- Aujourd’hui, 15:30
#2885457
C’était un lundi férié, et depuis quelques semaines déjà, ma chérie et moi parlions de franchir ce pas. On avait lu, fantasmé, hésité. Puis finalement, ce jour-là, on a décidé. Nous sommes allés dans un club libertin humide, un sauna, toutes tendances. J’étais assez nerveux. Elle aussi, mais elle souriait. L’extérieur n’était pas franchement engageant mais les avis sur Internet étaient bons. On pousse la porte, on entre. Le hall d’entrée est tout petit, personne à l’accueil, de l’autre côté d’une vitre en plexi. A peine quelques secondes après, la porte derrière nous s’ouvre, un homme seul vient d’entrer, grand, black, massif. On s’écarte, on ne sait pas comment se placer dans ce hall minuscule. Cela fait à peine une minute que nous sommes là et je sens déjà la pression montée. Le patron arrive, souriant. Il nous fait passer de l’autre côté et nous remet serviettes et paréo. Direction les vestiaires. On se déshabille, les hommes d’un côté, les femmes de l’autre. Ma chérie sort enfin, nue sous son paréo et moi, comme tous les hommes, simplement vêtu d’une serviette autour de la taille. On aurait pu croire que c’était une simple journée spa. Sauf que non.
Dès que nous sommes entrés dans la salle principale, j’ai senti les regards. Les hommes. Beaucoup d’hommes. Ils ne disaient rien, ne touchaient pas. Mais ils étaient là. Ils nous suivaient partout. Ma chérie tentait de faire abstraction, moi je devenais raide, pas là où j’aurais voulu. On a essayé de se détendre en allant au bar. Le patron nous a offert un café. Sympa, rassurant. Il nous a expliqué les lieux, les règles, les lumières, les zones plus ou moins publiques. Ça m’a fait du bien. A ma chérie aussi, je crois.
On s’est baladés. Un hammam, des vitres teintées, une ouverture sur un couple d’hommes qui s’aimaient sans pudeur, un gloryhole sombre qui nous a donné des idées. C’était un autre monde. Fascinant. Puis une pièce BDSM, avec croix de Saint-André et du mobilier assorti. On y est entrés. On a fermé la porte à barreaux. Immédiatement des hommes se sont agglutinés derrière.
J’ai voulu distraire ma chérie, la chauffer. J’ai glissé son paréo, l’ai allongée sur la table. Je l’ai léchée lentement. C’était bon. Elle a joui, discrète, tendue. Moi, j’ai voulu la prendre, mais rien. Trop de regards. Trop de pression. Mon sexe restait mou. Elle m’a embrassé. M’a dit que ce n’était rien, que l’on n’était pas là pour ça. On est sortis.
Retour au bar. On s’est assis, sans trop parler. Je voyais ma chérie chercher des visages. Rien qui ne l’attirait. Moi, je regardais les rares femmes, mais sans envie réelle. Et puis ma chérie a levé les sourcils. Elle avait repéré un jeune mec, seul. Brun, musclé, un sourire discret. Elle me dit juste : « Regarde ce petit cul ». On était là pour ça.
Je me lève. Je vais vers lui. Il est anglais. J’improvise : « My girlfriend likes you. Do you want to talk to her? » Il accepte avec un sourire. Il vient s’asseoir. Poli. Charmant. Ma chérie est ravie. Je propose, presque sans réfléchir : « Do you want to fuck her ? I will watch. Maybe help. » Il accepte sans hésiter. A peine le temps de préciser que c’est la première fois pour nous, dans ce club, mais aussi et surtout, la première fois que je partage ma chérie à un autre. Première fois qu’elle baisera un autre mec devant moi.
On se lève. Des hommes nous suivent. Mais on entre dans une pièce qui ferme à clé. Ils restent dehors. Petite pièce, on y tient tout juste à trois. Un matelas qui va d’un mur à l’autre. Une vitre sans tain. Moi, je m’installe à côté de la vitre. Nu. Je me caresse doucement. Eux deux s’embrassent directement, à pleine bouche, leurs langues se mêlent. Un coup d’œil de ma chérie vers moi, pour s’assurer que je regarde. Elle fait tomber sa serviette. Il bande déjà. Son sexe est correct, mais plus petit que le mien. C’est futile car nous sommes venus pour ça mais je ressens presque du soulagement. Les émotions se mélangent et s’entrechoquent dans ma tête.
Ma chérie le suce tout en me regardant. Longtemps. Passionnément. L’Anglais aime ça et le fait savoir. Puis il s’allonge et la lèche. Moi, je me branle en silence. Elle tend la main, attrape mon sexe, le serre. Elle me regarde. Elle gémit. C’est beau. C’est sale. C’est nous.
Il enfile une capote et la pénètre. Pas un mot. On n’est pas là pour papoter. Juste des coups de reins. Ma chérie crie de plaisir. Moi, je l’embrasse, je caresse ses seins. Elle s’abandonne. L’anglais la déglingue devant moi, dans plusieurs positions. Il est puissant, vigoureux. Après de longues minutes de baise, il finit par faire une pause. Ils sont tous les deux en sueur, épuisés, à bout de souffle.
Sans que l’on ne me demande rien, je descends, naturellement, entre les cuisses de ma chérie. Je lèche. Je lubrifie. Je nettoie. Certes il n’y a pas de sperme, l’anglais porte un préservatif, mais c’est tout comme. Je lèche la chatte brulante de ma chérie tandis qu’ils se reposent avant de baiser de plus belle. Je suis dans mon rôle de cocu serviable. C’est une première pour moi, c’est ce que je suis, à cet instant présent. Et j’aime ça.
Ma chérie se relève et reprend la queue de l’anglais en bouche. Je suis juste à côté, je la regarde avaler cette queue avec envie. Il n’est pas bi, je le vois. Je n’aurai pas droit d’y gouter. Je ne l’ai jamais fait mais j’aurais voulu essayer. Partager cette queue tous les deux. Aider à le faire bander, qu’il soit bien dur pour la baiser fort. Ce sera pour une prochaine fois. Et puis ils n’ont pas besoin de mon aide. Il bande de nouveau comme un âne et recommence à la prendre à quatre pattes. Je me glisse sous elle. Ma bouche sous sa chatte. Ma vue : sa queue qui pilonne ma chérie. Je veux lécher. Mais c’est dur. Ses coups de reins sont violents. Elle jouit. Me trempe le visage. Je bois sans en perdre une goutte.
Il s’écarte et enlève sa capote. Il commence à se branler au-dessus d’elle. Je sens le grand final arriver. Je me branle fort également, la gueule trempée. Il a été plus rapide que moi et gicle abondement sur ses seins. Elle me regarde. Me dit doucement : « Je suis une princesse, essuie moi. ». J’arrête de me branler, sans avoir giclé, et attrape un papier.
Je l’essuie. J’aurais pu lécher. J’en ai presque envie. Mais pas encore. Un jour, peut-être.
On remet nos serviettes, on se remercie, une petite accolade, des sourires... On sort de la pièce. De l’autre côté, des hommes attendaient. Trop tard messieurs. Peut-être une prochaine fois. On retourne s’asseoir. Ma chérie rayonne, elle est sur un petit nuage. Moi, je suis… vidé et plein. Je n’ai pas joui. Mais j’ai vécu. Elle me chuchote : « Ce soir, je m’occupe de toi. »
Sur la route du retour, on s’arrête rapidement au resto. Tout ce sexe lui a donné faim. Elle dévore son plat mais on ne s’attarde pas, elle a d’autres projets pour moi. Une fois rentrés, elle m’envoie prendre une douche. En revenant dans la chambre, elle m’attend sur le lit, un gode-ceinture fixé autour de la taille. Elle sent encore l’autre mec. Elle me fait approcher, l’embrasser puis lécher sa poitrine, qui porte encore le sperme sec de l’anglais. Je nettoie chaque centimètre carré. Elle me félicite. Me dit que je suis un bon lécheur de sperme. Elle m’allonge sur le dos, me fait écarter les jambes et se met à me doigter. Elle me parle salement. Me raconte comme elle a joui sur la queue d’un autre cet après-midi. Elle me remercie aussi. Mais elle me dit que maintenant ça allait être mon tour. Que je suis son petit cocu, sa petite pute. Je me branle et je jouis, fort, avec ses doigts dans mon cul. Elle récupère mon sperme entre ses doigts et enduit généreusement son gode de ma semence.
Et elle me prend. Fort. Crûment. Comme il l’a prise quelques heures avant. D’abord sur le dos, puis à quatre pattes. Elle fait de moi sa petite chose, sa pute. Et je suis heureux. Humilié. Honoré. Elle est ma Hotwife. Je suis son cocu soumis. Cela lui plait. C’est ce que je voulais. Je sais que l’on vient d’ouvrir une porte qui ne se refermera pas. Et je l’aime plus encore.
Dès que nous sommes entrés dans la salle principale, j’ai senti les regards. Les hommes. Beaucoup d’hommes. Ils ne disaient rien, ne touchaient pas. Mais ils étaient là. Ils nous suivaient partout. Ma chérie tentait de faire abstraction, moi je devenais raide, pas là où j’aurais voulu. On a essayé de se détendre en allant au bar. Le patron nous a offert un café. Sympa, rassurant. Il nous a expliqué les lieux, les règles, les lumières, les zones plus ou moins publiques. Ça m’a fait du bien. A ma chérie aussi, je crois.
On s’est baladés. Un hammam, des vitres teintées, une ouverture sur un couple d’hommes qui s’aimaient sans pudeur, un gloryhole sombre qui nous a donné des idées. C’était un autre monde. Fascinant. Puis une pièce BDSM, avec croix de Saint-André et du mobilier assorti. On y est entrés. On a fermé la porte à barreaux. Immédiatement des hommes se sont agglutinés derrière.
J’ai voulu distraire ma chérie, la chauffer. J’ai glissé son paréo, l’ai allongée sur la table. Je l’ai léchée lentement. C’était bon. Elle a joui, discrète, tendue. Moi, j’ai voulu la prendre, mais rien. Trop de regards. Trop de pression. Mon sexe restait mou. Elle m’a embrassé. M’a dit que ce n’était rien, que l’on n’était pas là pour ça. On est sortis.
Retour au bar. On s’est assis, sans trop parler. Je voyais ma chérie chercher des visages. Rien qui ne l’attirait. Moi, je regardais les rares femmes, mais sans envie réelle. Et puis ma chérie a levé les sourcils. Elle avait repéré un jeune mec, seul. Brun, musclé, un sourire discret. Elle me dit juste : « Regarde ce petit cul ». On était là pour ça.
Je me lève. Je vais vers lui. Il est anglais. J’improvise : « My girlfriend likes you. Do you want to talk to her? » Il accepte avec un sourire. Il vient s’asseoir. Poli. Charmant. Ma chérie est ravie. Je propose, presque sans réfléchir : « Do you want to fuck her ? I will watch. Maybe help. » Il accepte sans hésiter. A peine le temps de préciser que c’est la première fois pour nous, dans ce club, mais aussi et surtout, la première fois que je partage ma chérie à un autre. Première fois qu’elle baisera un autre mec devant moi.
On se lève. Des hommes nous suivent. Mais on entre dans une pièce qui ferme à clé. Ils restent dehors. Petite pièce, on y tient tout juste à trois. Un matelas qui va d’un mur à l’autre. Une vitre sans tain. Moi, je m’installe à côté de la vitre. Nu. Je me caresse doucement. Eux deux s’embrassent directement, à pleine bouche, leurs langues se mêlent. Un coup d’œil de ma chérie vers moi, pour s’assurer que je regarde. Elle fait tomber sa serviette. Il bande déjà. Son sexe est correct, mais plus petit que le mien. C’est futile car nous sommes venus pour ça mais je ressens presque du soulagement. Les émotions se mélangent et s’entrechoquent dans ma tête.
Ma chérie le suce tout en me regardant. Longtemps. Passionnément. L’Anglais aime ça et le fait savoir. Puis il s’allonge et la lèche. Moi, je me branle en silence. Elle tend la main, attrape mon sexe, le serre. Elle me regarde. Elle gémit. C’est beau. C’est sale. C’est nous.
Il enfile une capote et la pénètre. Pas un mot. On n’est pas là pour papoter. Juste des coups de reins. Ma chérie crie de plaisir. Moi, je l’embrasse, je caresse ses seins. Elle s’abandonne. L’anglais la déglingue devant moi, dans plusieurs positions. Il est puissant, vigoureux. Après de longues minutes de baise, il finit par faire une pause. Ils sont tous les deux en sueur, épuisés, à bout de souffle.
Sans que l’on ne me demande rien, je descends, naturellement, entre les cuisses de ma chérie. Je lèche. Je lubrifie. Je nettoie. Certes il n’y a pas de sperme, l’anglais porte un préservatif, mais c’est tout comme. Je lèche la chatte brulante de ma chérie tandis qu’ils se reposent avant de baiser de plus belle. Je suis dans mon rôle de cocu serviable. C’est une première pour moi, c’est ce que je suis, à cet instant présent. Et j’aime ça.
Ma chérie se relève et reprend la queue de l’anglais en bouche. Je suis juste à côté, je la regarde avaler cette queue avec envie. Il n’est pas bi, je le vois. Je n’aurai pas droit d’y gouter. Je ne l’ai jamais fait mais j’aurais voulu essayer. Partager cette queue tous les deux. Aider à le faire bander, qu’il soit bien dur pour la baiser fort. Ce sera pour une prochaine fois. Et puis ils n’ont pas besoin de mon aide. Il bande de nouveau comme un âne et recommence à la prendre à quatre pattes. Je me glisse sous elle. Ma bouche sous sa chatte. Ma vue : sa queue qui pilonne ma chérie. Je veux lécher. Mais c’est dur. Ses coups de reins sont violents. Elle jouit. Me trempe le visage. Je bois sans en perdre une goutte.
Il s’écarte et enlève sa capote. Il commence à se branler au-dessus d’elle. Je sens le grand final arriver. Je me branle fort également, la gueule trempée. Il a été plus rapide que moi et gicle abondement sur ses seins. Elle me regarde. Me dit doucement : « Je suis une princesse, essuie moi. ». J’arrête de me branler, sans avoir giclé, et attrape un papier.
Je l’essuie. J’aurais pu lécher. J’en ai presque envie. Mais pas encore. Un jour, peut-être.
On remet nos serviettes, on se remercie, une petite accolade, des sourires... On sort de la pièce. De l’autre côté, des hommes attendaient. Trop tard messieurs. Peut-être une prochaine fois. On retourne s’asseoir. Ma chérie rayonne, elle est sur un petit nuage. Moi, je suis… vidé et plein. Je n’ai pas joui. Mais j’ai vécu. Elle me chuchote : « Ce soir, je m’occupe de toi. »
Sur la route du retour, on s’arrête rapidement au resto. Tout ce sexe lui a donné faim. Elle dévore son plat mais on ne s’attarde pas, elle a d’autres projets pour moi. Une fois rentrés, elle m’envoie prendre une douche. En revenant dans la chambre, elle m’attend sur le lit, un gode-ceinture fixé autour de la taille. Elle sent encore l’autre mec. Elle me fait approcher, l’embrasser puis lécher sa poitrine, qui porte encore le sperme sec de l’anglais. Je nettoie chaque centimètre carré. Elle me félicite. Me dit que je suis un bon lécheur de sperme. Elle m’allonge sur le dos, me fait écarter les jambes et se met à me doigter. Elle me parle salement. Me raconte comme elle a joui sur la queue d’un autre cet après-midi. Elle me remercie aussi. Mais elle me dit que maintenant ça allait être mon tour. Que je suis son petit cocu, sa petite pute. Je me branle et je jouis, fort, avec ses doigts dans mon cul. Elle récupère mon sperme entre ses doigts et enduit généreusement son gode de ma semence.
Et elle me prend. Fort. Crûment. Comme il l’a prise quelques heures avant. D’abord sur le dos, puis à quatre pattes. Elle fait de moi sa petite chose, sa pute. Et je suis heureux. Humilié. Honoré. Elle est ma Hotwife. Je suis son cocu soumis. Cela lui plait. C’est ce que je voulais. Je sais que l’on vient d’ouvrir une porte qui ne se refermera pas. Et je l’aime plus encore.
