- Aujourd’hui, 18:24
#2886140
(Écrit par Fred)
Je suis arrivée vers 15h aujourd'hui sur la plage naturiste. Le sable était tiede, et l’air doux caressait ma peau nue. J’avais laissé mes vêtements dans la voiture, avec cette sensation si délicieuse de liberté absolue. Marcher totalement dévêtue, sentir le soleil lécher chaque parcelle de mon corps… ça m’excitait déjà.
J’ai posé ma serviette un peu à l’écart, mais pas trop. J’aime être regardée. Surtout quand je sais que mon chéri et occupé cet après-midi, Tu n’étais pas là physiquement, mais je te sentais avec moi, comme une présence invisible, gourmande, avide, comme d'habitude.
Je me suis allongée, cuisses légèrement entrouvertes, poitrine offerte au soleil, ma main jouant distraitement avec ma peau. Je savais que les regards se posaient sur moi.
Et puis il est arrivé.
Un homme seul, la quarantaine sexy, viril sans en faire trop, et complètement nu lui aussi. Bien monté, sans fausse pudeur. Il m’a vue, a souri, et s’est installé à quelques mètres. Je sentais son regard glisser sur mon corps. Il prenait son temps, mais son excitation était visible. Très visible.
J’ai croisé ses yeux. Il n’a pas baissé les siens. C’était une provocation silencieuse. Un jeu auquel j’ai répondu en me redressant lentement, laissant ma poitrine se tendre. Ma main est passée sur mon ventre, puis plus bas, très bas.
Il s’est rapproché, comme attiré. Je ne l’ai pas repoussé. Au contraire.
Tu es seule ? a-t-il soufflé, debout devant moi, sa virilité déjà tendue vers moi.
Pas vraiment… ai-je répondu, un sourire aux lèvres. Mon mari adore me savoir observée. Surtout quand je suis prise par un autre.
Il n’a pas eu besoin d’en entendre plus. Il s’est allongé contre moi, sa peau brûlante contre la mienne. Nos corps se sont cherchés, trouvés, glissés l’un contre l’autre avec une évidence crue, animale. Sa bouche a parcouru mes seins, sa langue m’a goûtée sans retenue, là, sur cette plage, sous le soleil.
J’étais offerte. Sauvage de plaisir. Et je te pensais, mon amour. Toi qui lirais ça ce soir.
Pendant qu’il me prenait lentement, puissamment, mes gémissements se perdaient dans le vent salé. Et je me disais : je suis ta femme… mais là, maintenant, je suis sa salope. Et tu m’adores comme ça.
Quand tout a explosé, j’ai crié ton prénom, pas le sien.
Je suis arrivée vers 15h aujourd'hui sur la plage naturiste. Le sable était tiede, et l’air doux caressait ma peau nue. J’avais laissé mes vêtements dans la voiture, avec cette sensation si délicieuse de liberté absolue. Marcher totalement dévêtue, sentir le soleil lécher chaque parcelle de mon corps… ça m’excitait déjà.
J’ai posé ma serviette un peu à l’écart, mais pas trop. J’aime être regardée. Surtout quand je sais que mon chéri et occupé cet après-midi, Tu n’étais pas là physiquement, mais je te sentais avec moi, comme une présence invisible, gourmande, avide, comme d'habitude.
Je me suis allongée, cuisses légèrement entrouvertes, poitrine offerte au soleil, ma main jouant distraitement avec ma peau. Je savais que les regards se posaient sur moi.
Et puis il est arrivé.
Un homme seul, la quarantaine sexy, viril sans en faire trop, et complètement nu lui aussi. Bien monté, sans fausse pudeur. Il m’a vue, a souri, et s’est installé à quelques mètres. Je sentais son regard glisser sur mon corps. Il prenait son temps, mais son excitation était visible. Très visible.
J’ai croisé ses yeux. Il n’a pas baissé les siens. C’était une provocation silencieuse. Un jeu auquel j’ai répondu en me redressant lentement, laissant ma poitrine se tendre. Ma main est passée sur mon ventre, puis plus bas, très bas.
Il s’est rapproché, comme attiré. Je ne l’ai pas repoussé. Au contraire.
Tu es seule ? a-t-il soufflé, debout devant moi, sa virilité déjà tendue vers moi.
Pas vraiment… ai-je répondu, un sourire aux lèvres. Mon mari adore me savoir observée. Surtout quand je suis prise par un autre.
Il n’a pas eu besoin d’en entendre plus. Il s’est allongé contre moi, sa peau brûlante contre la mienne. Nos corps se sont cherchés, trouvés, glissés l’un contre l’autre avec une évidence crue, animale. Sa bouche a parcouru mes seins, sa langue m’a goûtée sans retenue, là, sur cette plage, sous le soleil.
J’étais offerte. Sauvage de plaisir. Et je te pensais, mon amour. Toi qui lirais ça ce soir.
Pendant qu’il me prenait lentement, puissamment, mes gémissements se perdaient dans le vent salé. Et je me disais : je suis ta femme… mais là, maintenant, je suis sa salope. Et tu m’adores comme ça.
Quand tout a explosé, j’ai crié ton prénom, pas le sien.