jaddeladominante a écrit :C'est vrai que c'est mou tout ça..... Ils ne semblent pas très motivés...soleil, chaleur...le bon cocktail pour matter .....…
Misepan a écrit :Et bien malgré ce temps....(variable d'un jour sur l'autre c'est la crise aussi pour les mateurs....) Nous allons continuer nos sorties pour équiper la terrasse.. Peut être un saut vite fait à Claye souilly chez Carrouf.... et ensuite à voir... (mais pas val Europe..) On prends le GSM et on reste à l'écoute du forum si des coquines se sentent elles aussi prêtes à venir s'exposer un peu (beaucoup ?)
Alors à force si on à rien à y acheter et en plus si il n"'y a pas d'autres coquines pour jouer.... C'est un peu "lassant".... tendreraideur a écrit :Vous est-il déjà arrivé de vous exhiber au Val d'Europe Madame Jade?
jaddeladominante a écrit :tendreraideur a écrit :Vous est-il déjà arrivé de vous exhiber au Val d'Europe Madame Jade?
Bonne question...
nikko a écrit :nikko a écrit :
Le jeu pour aujourd'hui consiste à vous retrouver dans un magasin, et à frôler de très très près Madame, sous vos yeux, et avec votre complicité... : une ou plusieurs caresses furtives, plus ou moins appuyées, à son insu ou non... : un beau mec qui mets la main aux fesses à votre compagne, avec tact et en douceur, devant vos yeux...
... Eh bien voilà, c'est fait !
Je n'y croyais pas trop ce matin en postant cette idée… mais quelques minutes après, j’ai eu le plaisir de découvrir le message d’un futur complice sur ma messagerie. Quelques échanges rapides, puis un rdv dans un joli terrain de jeux de la RP, avec quelques indices pour se reconnaître.
A l’heure convenue, je vois arriver un couple qui pourrait correspondre à la description. J’ai quelques doutes mais bon, je leur emboîte le pas, discrètement, à distance…
De ce qu’il m’avait indiqué, « Elle » n’était pas informée de notre scénario…
Ils flânent dans les allées, s’attardent ici ou là, progressent doucement mais sûrement. Tentative d’échanges de regards avec Mr pour valider « qui est qui », mais la discrétion est visiblement de mise. Je me dis que c’est eux, je prends ce risque. Bon vu la carrure de Mr, mieux vaut que je sois sûr de mon coup… Je garde donc mes distances, je les observe, je l’observe, Elle. Désirable ? A croquer…
Je commence à me rapprocher d’eux, à tournoyer : c’est avec Elle que désormais je cherche le contact visuel, le regard qui va ou non m’indiquer si je suis sur la bonne voie, si « je lui plais »… Car c’était la règle initialement convenue avec lui : si elle n’accroche pas, je disparais, aussi discrètement que je suis apparu.
Soudain, au hasard (mais pas tant que ça) de deux allées qui se croisent, je plonge mon regard dans le sien… un sourire, deux sourires. Il semblerait que je sois sur la bonne voie, même si beaucoup de doutes m’accompagnent : sans pour autant être tiré aux quatre épingles, j’aime mettre toutes les chances de mon côté pour mieux vivre ce genre de moments ; mais mon planning de ce matin a contrarié cette volonté : je n’ai pas eu le temps de me changer mais […] la seconde fois où je la croise, le regard et le petit grand sourire échangés sont sans équivoque : je peux facilement comprendre que oui… oui… oui… : la voie est libre pour la suite !
L’étape suivante sera de passer à ses côtés, de la frôler, avec une main plus ou moins baladeuse…
C’est bien beau tout ça mais je ne souhaite pas non plus donner l’impression de les suivre comme un pot de colle !
Mais ces regards échangés signifiaient bien que je pouvais aller plus loin dans mon approche !
Et si c’était juste un échange de sourires, complices, et que dans sa tête à Elle, c’était amplement suffisant, que je ne devais pas m’attendre à plus… ?!?
Comme vous pouvez le voir, beaucoup de questions, d’hésitations me taraudaient.
Elles allaient être balayées très peu de temps après, au rayon des serviettes de toilette…
C’est dans ce rayon qu’ils se sont arrêtés. Elle sait que je suis à proximité. Elle sait qu’il s’est passé quelque chose dans nos sourires. Alors je viens discrètement me placer dans le rayon situé juste derrière elle. La vue sur sa cambrure est… déboussolante. Elle est à peine à 2 m de moi, se penche en avant, se relève, doucement, se déhanche, à droite, à gauche… Elle sait que je suis derrière. Elle joue, et elle joue très bien. Alors oui c’est excitant, oui j’en veux plus, et oui : je pense que je peux aller plus loin… !
Rayon suivant, la configuration est idéale : je la suis, elle s’arrête. J’arrive à sa hauteur. En une fraction de seconde, je sais que le moment tant attendu est là, le Graal, ses hanches, ses fesses, le tissu de sa robe, ma main… contact… touché… coulé !
J’ai le cœur qui bat assez fort, et même si son sac à main m’empêchait de plaquer ma main de façon magistrale, le contact a été une sacrément excitant.
Le scénario initial a été réalisé, elle en a souri, j’en ai rougis !
Le magasin est grand, très grand, les recoins idéaux sont néanmoins assez rares. Le genre de mini alcôve où je pourrai… où je pourrai faire je ne sais quoi… la caresser en toute confiance, faire courir mes mains sur sa poitrine, ses hanches, empoigner doucement ses fesses, m’attarder sur un de ses seins… Mais nous sommes Samedi, 14h30 environ, région parisienne, le magasin se remplit doucement, il y a du monde partout. Mais c’est quand même sympa de rêver un peu, je n’ai que ça à faire, après ce qui s’est passé. Je continue de les suivre, discrètement.
Si l’on regarde la façon dont les choses se sont enchaînées, j’ai eu (à priori) tout bon…
La suite c’est quoi ?
C’est au rayon des cuisines que ça se passe : Elle s’attarde dans une cuisine totalement aménagée. Lui continue, alors je me dis que je vais « tâter le terrain » de son côté : c’est grâce à lui si je suis là, et il serait temps que j’essaie de savoir ce qu’il pense de la situation. Je l’interpelle du regard, me plante devant lui et bredouille un « bonjour » très interrogatif... il a la mine perplexe, me regarde en silence…
Bon, je me rends compte que j’ai été très con sur ce coup : c’était définitivement inopportun en fait !
Alors tout s’enchaine assez vite dans ma tête, je me dis que j’ai eu ce que je voulais, et qu’il est temps de partir, de passer à autre chose, de les laisser tranquilles (j’ai horreur des mecs insistants).
Je m’éloigne d’eux, de lui…
J’entends qu’on m’interpelle : c’est pour qui ? c’est pour moi ? oui c’est pour moi ! et qui m’interpelle ? lui !
Je reviens vers lui et il me dit en souriant légèrement : « Elle est toute seule, là-bas » en me désignant du menton le fameux rayon des cuisines…
Une douce frénésie m’envahit.
Si elle est « là-bas », s’il me dit qu’elle est « là-bas », c’n’est pas pour rien !
J’y vais, je découvre une cuisine aménagée d’une quinzaine de mètres carrés, tout en recoins. J’ai la bonne surprise de découvrir que dans ce simulacre de cuisine, on est sacrément isolé de toute cette foule.
Elle virevolte au fond de cette cuisine, s’attarde sur je n’sais quoi : ni une, ni deux, je la rejoins, elle se dérobe et se dirige vers une pièce attenante à cette cuisine qui ressemble un peu à un labyrinthe. 3 murs, 2 mètres carrés, 1 rideau, elle, moi. Elle me sourit, elle est sacrément désirable. Nous sommes seuls…
« Alors il parait que t’aimes mon cul ! » …
C’est ce qu’elle m’a sorti, tout en se mettant à caresser cette inexorable bosse qui déformait mon pantalon. C’est alors que ma main droite agrippe sa fesse gauche, mon autre main part à la découverte de sa poitrine. Elle me caresse et le toucher se fait plus insistant. Elle s’excuse d’avoir les mains fraîches et les faufile entre ma peau et le haut de mon pantalon. Elle est magnifique. Elle sait ce qu’elle veut. Les Femmes qui savent ce qu’elles veulent sont magnifiques. Je lui facilite l’accès « vers le bas », déboutonne mon pantalon. Je la laisse faire, savoure l’instant : elle me caresse « à ciel ouvert » dans ce qui semble être une buanderie… Mes mains se font plus curieuses, vigoureuses, audacieuses et intrépides : je caresse son entrejambe à travers sa robe, malaxe ses fesses avec délices… Elle ne boude pas mon insistance, bien au contraire… Elle qui, moins d’une heure avant déambulait dans ce grand magasin sans (à priori) savoir ce qui allait se passer.
Le moment est exquis, je le savoure, il sera mémorable, c’est une évidence.
Il la rejoint, il nous rejoint, et découvre la scène, tout sourire. 2 ou 3 clichés pour immortaliser le spectacle, puis elle se réajuste, je me rhabille, ils disparaissent, je les recroise, et les abandonne, aussi discrètement que je les avais découvert.
Merci
La suite ? …
PS. j’ai d’autres idées de scénarios similaires, pour des moments aussi furtifs qu’intenses en émotions, des approches emplies de tact et de discrétion, toujours avec la complicité de Mr… : n’hésitez-pas à me faire signe.
Nikko
angelopa a écrit :effectivement très très dommage
. et bien demain, lundi 9 juin,vers 12H00, je serai avec ma chérie au centre commercial Val d'Europe .les1001nuits a écrit :Je viens de lire d'un seul trait le post sur ces exhibes dans les centres commerciaux ... et j'avoue avoir été particulièrement excité par certaines situations ...Alors j'ai une confidence à vous faire ...Si Si c'est vrai , c'est certainement mon coté altruiste
Si vous avez un scénario, une proposition indécente, une envie de folies... nous sommes preneurs et si un couple souhaite nous entrainer dans leurs aventures alors ....
Je précise que que ce sera une première pour nous .
nikko a écrit :nikko a écrit :
Le jeu pour aujourd'hui consiste à vous retrouver dans un magasin, et à frôler de très très près Madame, sous vos yeux, et avec votre complicité... : une ou plusieurs caresses furtives, plus ou moins appuyées, à son insu ou non... : un beau mec qui mets la main aux fesses à votre compagne, avec tact et en douceur, devant vos yeux...
... Eh bien voilà, c'est fait !
Je n'y croyais pas trop ce matin en postant cette idée… mais quelques minutes après, j’ai eu le plaisir de découvrir le message d’un futur complice sur ma messagerie. Quelques échanges rapides, puis un rdv dans un joli terrain de jeux de la RP, avec quelques indices pour se reconnaître.
A l’heure convenue, je vois arriver un couple qui pourrait correspondre à la description. J’ai quelques doutes mais bon, je leur emboîte le pas, discrètement, à distance…
De ce qu’il m’avait indiqué, « Elle » n’était pas informée de notre scénario…
Ils flânent dans les allées, s’attardent ici ou là, progressent doucement mais sûrement. Tentative d’échanges de regards avec Mr pour valider « qui est qui », mais la discrétion est visiblement de mise. Je me dis que c’est eux, je prends ce risque. Bon vu la carrure de Mr, mieux vaut que je sois sûr de mon coup… Je garde donc mes distances, je les observe, je l’observe, Elle. Désirable ? A croquer…
Je commence à me rapprocher d’eux, à tournoyer : c’est avec Elle que désormais je cherche le contact visuel, le regard qui va ou non m’indiquer si je suis sur la bonne voie, si « je lui plais »… Car c’était la règle initialement convenue avec lui : si elle n’accroche pas, je disparais, aussi discrètement que je suis apparu.
Soudain, au hasard (mais pas tant que ça) de deux allées qui se croisent, je plonge mon regard dans le sien… un sourire, deux sourires. Il semblerait que je sois sur la bonne voie, même si beaucoup de doutes m’accompagnent : sans pour autant être tiré aux quatre épingles, j’aime mettre toutes les chances de mon côté pour mieux vivre ce genre de moments ; mais mon planning de ce matin a contrarié cette volonté : je n’ai pas eu le temps de me changer mais […] la seconde fois où je la croise, le regard et le petit grand sourire échangés sont sans équivoque : je peux facilement comprendre que oui… oui… oui… : la voie est libre pour la suite !
L’étape suivante sera de passer à ses côtés, de la frôler, avec une main plus ou moins baladeuse…
C’est bien beau tout ça mais je ne souhaite pas non plus donner l’impression de les suivre comme un pot de colle !
Mais ces regards échangés signifiaient bien que je pouvais aller plus loin dans mon approche !
Et si c’était juste un échange de sourires, complices, et que dans sa tête à Elle, c’était amplement suffisant, que je ne devais pas m’attendre à plus… ?!?
Comme vous pouvez le voir, beaucoup de questions, d’hésitations me taraudaient.
Elles allaient être balayées très peu de temps après, au rayon des serviettes de toilette…
C’est dans ce rayon qu’ils se sont arrêtés. Elle sait que je suis à proximité. Elle sait qu’il s’est passé quelque chose dans nos sourires. Alors je viens discrètement me placer dans le rayon situé juste derrière elle. La vue sur sa cambrure est… déboussolante. Elle est à peine à 2 m de moi, se penche en avant, se relève, doucement, se déhanche, à droite, à gauche… Elle sait que je suis derrière. Elle joue, et elle joue très bien. Alors oui c’est excitant, oui j’en veux plus, et oui : je pense que je peux aller plus loin… !
Rayon suivant, la configuration est idéale : je la suis, elle s’arrête. J’arrive à sa hauteur. En une fraction de seconde, je sais que le moment tant attendu est là, le Graal, ses hanches, ses fesses, le tissu de sa robe, ma main… contact… touché… coulé !
J’ai le cœur qui bat assez fort, et même si son sac à main m’empêchait de plaquer ma main de façon magistrale, le contact a été une sacrément excitant.
Le scénario initial a été réalisé, elle en a souri, j’en ai rougis !
Le magasin est grand, très grand, les recoins idéaux sont néanmoins assez rares. Le genre de mini alcôve où je pourrai… où je pourrai faire je ne sais quoi… la caresser en toute confiance, faire courir mes mains sur sa poitrine, ses hanches, empoigner doucement ses fesses, m’attarder sur un de ses seins… Mais nous sommes Samedi, 14h30 environ, région parisienne, le magasin se remplit doucement, il y a du monde partout. Mais c’est quand même sympa de rêver un peu, je n’ai que ça à faire, après ce qui s’est passé. Je continue de les suivre, discrètement.
Si l’on regarde la façon dont les choses se sont enchaînées, j’ai eu (à priori) tout bon…
La suite c’est quoi ?
C’est au rayon des cuisines que ça se passe : Elle s’attarde dans une cuisine totalement aménagée. Lui continue, alors je me dis que je vais « tâter le terrain » de son côté : c’est grâce à lui si je suis là, et il serait temps que j’essaie de savoir ce qu’il pense de la situation. Je l’interpelle du regard, me plante devant lui et bredouille un « bonjour » très interrogatif... il a la mine perplexe, me regarde en silence…
Bon, je me rends compte que j’ai été très con sur ce coup : c’était définitivement inopportun en fait !
Alors tout s’enchaine assez vite dans ma tête, je me dis que j’ai eu ce que je voulais, et qu’il est temps de partir, de passer à autre chose, de les laisser tranquilles (j’ai horreur des mecs insistants).
Je m’éloigne d’eux, de lui…
J’entends qu’on m’interpelle : c’est pour qui ? c’est pour moi ? oui c’est pour moi ! et qui m’interpelle ? lui !
Je reviens vers lui et il me dit en souriant légèrement : « Elle est toute seule, là-bas » en me désignant du menton le fameux rayon des cuisines…
Une douce frénésie m’envahit.
Si elle est « là-bas », s’il me dit qu’elle est « là-bas », c’n’est pas pour rien !
J’y vais, je découvre une cuisine aménagée d’une quinzaine de mètres carrés, tout en recoins. J’ai la bonne surprise de découvrir que dans ce simulacre de cuisine, on est sacrément isolé de toute cette foule.
Elle virevolte au fond de cette cuisine, s’attarde sur je n’sais quoi : ni une, ni deux, je la rejoins, elle se dérobe et se dirige vers une pièce attenante à cette cuisine qui ressemble un peu à un labyrinthe. 3 murs, 2 mètres carrés, 1 rideau, elle, moi. Elle me sourit, elle est sacrément désirable. Nous sommes seuls…
« Alors il parait que t’aimes mon cul ! » …
C’est ce qu’elle m’a sorti, tout en se mettant à caresser cette inexorable bosse qui déformait mon pantalon. C’est alors que ma main droite agrippe sa fesse gauche, mon autre main part à la découverte de sa poitrine. Elle me caresse et le toucher se fait plus insistant. Elle s’excuse d’avoir les mains fraîches et les faufile entre ma peau et le haut de mon pantalon. Elle est magnifique. Elle sait ce qu’elle veut. Les Femmes qui savent ce qu’elles veulent sont magnifiques. Je lui facilite l’accès « vers le bas », déboutonne mon pantalon. Je la laisse faire, savoure l’instant : elle me caresse « à ciel ouvert » dans ce qui semble être une buanderie… Mes mains se font plus curieuses, vigoureuses, audacieuses et intrépides : je caresse son entrejambe à travers sa robe, malaxe ses fesses avec délices… Elle ne boude pas mon insistance, bien au contraire… Elle qui, moins d’une heure avant déambulait dans ce grand magasin sans (à priori) savoir ce qui allait se passer.
Le moment est exquis, je le savoure, il sera mémorable, c’est une évidence.
Il la rejoint, il nous rejoint, et découvre la scène, tout sourire. 2 ou 3 clichés pour immortaliser le spectacle, puis elle se réajuste, je me rhabille, ils disparaissent, je les recroise, et les abandonne, aussi discrètement que je les avais découvert.
Merci
La suite ? …
PS. j’ai d’autres idées de scénarios similaires, pour des moments aussi furtifs qu’intenses en émotions, des approches emplies de tact et de discrétion, toujours avec la complicité de Mr… : n’hésitez-pas à me faire signe.
Nikko
) tres spacieux , modulable à souhait et tres discret ( vitres surteintées. 
glorytoo a écrit :tres peu de photo ce jour la .
glorytoo a écrit :tres peu de photo ce jour la .
les1001nuits a écrit :Réveil un peu difficile après notre soirée à l'Overside , hier soir. Mais c'est décidé , nous ferons une petite escapade au centre commercial Val d'Europe. Au programme, magasins de lingeries, Séphora, laVallée Village , Auchan... avec quelques bêtises au détour d'une cabine d'essayage .
Que vais je mettre ? A la lecture de certains post , je pense que je vais opter pour un pantalon baggy extra large, histoire de ne pas me sentir à l'étroit
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