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Il existe de multiples façons de pratiquer le candaulisme, elles sont extrêmement diverses et variées, et chacun est libre d'explorer son candaulisme comme il le souhaite selon ce qui lui convient le mieux.

Le candaulisme peut s'exprimer de différentes manières, allant des pratiques les plus élémentaires aux expériences les plus élaborées. Chaque couple ou individu peut développer sa propre approche en matière de candaulisme, en fonction de ses propres fantasmes et désirs. Les possibilités sont infinies et il n'y a pas de limites autres que celles que l'on s'impose soi-même ou avec son/sa partenaire.

Vous êtes invités à échanger sur ces différentes pratiques candaulistes dans cette section du forum, qu'il s'agisse de celles que vous avez déjà expérimentées ou que vous aimeriez simplement explorer. N'hésitez pas à partager vos récits, vos questions, vos conseils ou vos réflexions sur ce que vous appréciez ou non dans le cadre de vos expériences candaulistes. Le candaulisme se décline sous de multiples facettes, à chacun de trouver ce qui lui correspond le mieux.

Profitez de cette zone d'échange pour discuter des pratiques candaulistes, des plus simples aux plus poussées, de ce qui est envisageable ou non envisageable selon vos propres critères. Le candaulisme est une pratique subjective que chacun peut modeler à sa guise.
#1204425
Je me suis présenté et vous pouvez me lire dans le post dédié à la présentation le 20 sep 22:53

Voilà la suite de mes aventures, un début dans le candaulisme et le passage au Cuckhold.
Mon nouveau collègue de 40 ans avait accepté de me rendre un service en se proposant d'initier ma maîtresse aux plaisir du sexe. Une femme de 62 ans qui dit toujours qu'elle ne plaît pas aux hommes et que de toute façon leurs pénis ne font pas partie de sa vie. Toujours des caresses, j'en ai un peu marre de voir que je ne suis pas à la hauteur pour la rendre heureuse avec mon sexe. Je suis pourtant un grand de 1m82 avec un sexe de 12cm de long en érection et bien épais.
Le scenario de lui faire un chantage fut enfin élaboré et bien cadré. Mon collègue s'est donc fait passer comme enquêteur pour le compte de son mari. Je lui ai donné l'adresse de ma maîtresse et il fallait impérativement que cela se passe à son domicile . On savait que son mari était absent pour le WE.

Le but premier était d'abord la rencontre. Tout ce que je vous raconte a été rapporté de mon collègue et je vous l'exprime selon mes interprétations. Mon imagination est certainement débordante car le plaisir est intense.

Rusant, il est donc arrivé un peu avant elle devant la porte de sa maison et il a sonné sachant bien que personne ne pouvait répondre. Ma maîtresse, qu'on nommera pour l'histoire "Sophie", arriva immédiatement et lui demanda le pourquoi de sa visite. Mon collègue "Gérard" lui répondit qu'il travaillait pour le compte du monsieur habitant cette adresse. Elle précisa qu'il était absent et le fit quand même entrer dans sa demeure pour qu'il lui explique sa venue au domicile. Il profita donc de la situation pour lui avouer qu'elle était le motif de sa venue et qu'il allait confirmer à son époux qu'elle avait bien un relation avec un amant. Pour confirmer ses vérités, il fit ma description physique et lui raconta quelques moments prouvant notre relation amoureuse. Je lui avais soufflé certains lieux de rencontre, mon adresse et les dernières fois où nous avons fait l'amour. Il précisa qu'il avait des photos et qu'elles étaient prêtes à envoyer à son époux. Elle s'est mise à pleurer et était désespérée de se voir deja à la rue. Elle lui avoua que son mari aurait tous les biens pour lui si il demandait le divorce pour faute. Elle cherchait à negocier pour eviter cette séparation eventuelle et Gérard sauta sur l'occasion pour la consoler et lui proposa un marché. Ce marché était le suivant : avoir une relation de soumise avec lui sans actes de pénétration. Elle ne comprenait pas du tout le SM, elle n'avait jamais dû en entendre parler de sa vie. Il savait qu'elle n'aimait pas la pénétration, chose que je lui avait déjà dite, il connaissait aussi sa faiblesse pour les caresses clitoridiennes. Elle posa des questions sur la soumission, voulant savoir si elle devait souffrir physiquement. Elle lui dit que son corp marquait vite sur les étreintes brutales et qu'elle ne savait rien du sexe. Elle pleurait comme une madeleine, la pauvre.
Gérard lui expliqua que tout était dans la tête, rien ne pouvait amener à des violences sur son corps et qu'il serait même très doux avec elle. Elle répondit que son mari était absent un WE sur deux pour affaire à l'étranger et qu'elle allait réfléchir sur le sujet. Il lui répondit que c'était bien le moment pour commencer son initiation et qu'il n'insisterait pas si elle n'adhérait pas à la soumission. Elle a fini par arrêter de pleurer et à finalement accepter de le faire mais très rapidement. Le charme de Gérard avait certainement fait effet mais rien n'était encore gagné.

J'ai eu mal pour elle mais mon collègue m'a dit de le laisser raconter la suite qui était bien plus excitante et surtout très inattendue. Quand il l'a vue en larme, il a effectivement pensé qu'il fallait abandonner l'idée de ce chantage. Mais il avait remarqué qu'elle rusait en usant de ses charmes en lui tenant la main, de plus elle avait défait discrètement un bouton de son chemisier pour mettre en évidence un beau décolleté.

Il lui a donc, de ce pas, demandé d'ouvrir completement son chemisier et il s'est approché pour lui sortir les deux seins de son soutien gorge. Elle baissait les yeux, déjà soumise, les mains cherchant à les cacher. Il lui fit des compliments sur sa poitrine, les détailla comme une œuvre d'art pour la mettre en valeur. Délicatement, il lui ouvrit le haut de son pantalon et le lui baissa à mi-jambes faisant découvrir à peine son sexe jamais entrenu. Il lui fit la remarque et lui demanda où se trouvaient les appareils pour l'entretien de son épilation. Elle le conduisit à la salle de bain. Il y avait, là, un grand miroir où on pouvait se voir entièrement et il la plaça face à celui-ci, lui demandant de rester là à regarder son image. Elle pouvait déjà se voir le pantalon légèrement baissé et les seins dressés débordant au dessus du soutien gorge. Gérard lui demanda de se raser entièrement et il assista à toute le scène. Elle avait enlevé le bas. Une fois fini et vérification faite, Gérard lui ordonna de remettre sa culotte et son pantalon en se repositionnant comme avant devant le grand miroir. Gérard se plaça derrière elle et se mît à lui caresser les fesses d'une main et à lui titiller les pointes de ses seins. Il avait eteint la lumiere et il passait de temps en temps de son ventre au haut de son vagin sans oser le toucher pleinement. Il lui demanda de lui ouvrir sa braguette et de lui sortir son pénis qui bandait fort depuis la scène de rasage. Elle s'exécuta maladroitement et Gérard le plaça entre les cuisses de ma chérie. Il le glissa sur les lèvres, frottant son clitoris et s'aperçut qu'il le glissait assez facilement. Elle a eu un sursaut et tremblait de peur. Gérard lui serra les cuisses pour mieux la sentir et il continuait à découvrir les détails de son corps avec ses mains. Les caresses ont duré un bon moment, laissant à Sophie le temps necessaire de se rassurer et se detendre. Il ralluma la lumiere, regarda par dessus l'épaule de Sophie et il vit que son pénis était bien humide. Les seins de Sophie ne pouvaient cacher son excitation. Il savait maintenant que Sophie allait être capable d'aller assez loin dans l'expérience. Il était confiant. Il lui dit de bien regarder le sexe de 22cm qui sortait au devant d'elle et il continuait à se frotter entre les cuisses bien serrées de Sophie tout en jouant avec ses tétons de son pouce et de son index. Il les pinçait en les faisant tourner allant chercher de sa cyprine pour mieux les faire glisser entre ses doigts. Sophie gardait bien les yeux grands ouverts et assistait à son acte pour la première fois de sa vie.

Elle qui voulait toujours faire l'amour dans le noir, elle devait avoir honte de son corps et de son comportement avec un inconnu. Mais pourtant, Gérard m'a dit qu'elle ne disait rien et que sa respiration était bien plus longue et souvent irreguliere comme si elle cherchait de l'air pour maîtriser un effort.

Elle n'a pas tardé à jouir et s'est mise à pleurnicher se voulant d'avoir cédé au plaisir. Gérard la prit dans ses bras, la déshabilla entièrement et se plaça devant elle pour qu'il le fasse jouir à son tour. Il lui ordonna de le regarder droit dans les yeux et de le masturber lentement avec ses deux mains. Elle le fit en soumise, Gérard aimait sa maladresse, il avait l'impression d'avoir à initier une pucelle. Il l'embrassait fougueusement avec sa langue mais elle refusait de lui ouvrir la bouche car elle lui avait dit que ce baiser était réservé à son amour. Comme le baiser était réservé, il lui demanda de faire ce qu'une femme ferait à un homme qui la désirait seulement. Il lui demanda de s'agenouiller, lui prit la tête et la guida vers son sexe. Chose qu'elle n'avait jamais faite, elle prit son pénis en bouche et trés maladroitement le lui lécha comme un chien qui lapait sa gamelle. Gérard lui demanda donc fermement d'ouvrir la bouche et il lui tira la tête pour qu'elle puisse prendre en pleine bouche le membre. Il dût lui montrer comment il fallait sucer puis il la laissa faire seule les va et vient juste sur le gland. Elle s'appliqua sachant être douce et parfois serrant fort ses lèvres autour du pénis. Elle a même essayé de le sucer au plus loin mais elle a eu un haut le cœur. Gérard lui disait que c'était bon et la tenait par les cheveux pour la dominer et lui montrer le rythme à prendre.

J'étais fier d'elle, de sa preuve d'amour : Pas de baisers à un inconnu.

Sentant son plaisir arrivé, il lui demanda de stopper et l'emmena vers le lit conjugal. Elle lui prit la main pour lui supplier de ne pas la pénétrer comme promis. Gérard ne fut pas surpris mais il ne voulait pas la laisser prendre l'initiative. Il prit les ceintures des peignoirs présent dans la chambre et la lia bras et pieds gardant ses jambes biens écartées, dos au lit. Il savait qu'il était capable de la faire jouir et qu'elle était soumise naturellement, qu'elle allait aimer son sexe. Les liens étaient à peine serrés pour lui laisser la possibilité de fuir la relation. Si elle ne faisait rien pour se délier, c'était signe qu'elle se résignait à subir la pénétration. Il avait donc le feu vert, elle avait fermé le yeux et attendait sagement la domination. Elle disait "non non non s'il vous plaît" mais Gérard sentait bien au contraire qu'elle voulait continuer. Il a mis un préservatif et il est entrait en elle d'un coup brutal, allant la taper sur son pubis. Il la baisait comme un sauvage et allait très fort et de plus en plus fort, claquant son corps contre elle pour lui montrait que ce n'etait pas la douceur de son mari ni de son amant. Il devait montrer sa puissance et sa violence du plaisir sexuel pour qu'elle sache qu'une bête la désirait. Elle a joui en silence, Gérard a senti son vagin se contracter, se resserrer sur son sexe et sa bouche était pincée pour éviter de crier afin de cacher la honte de son plaisir. Elle le regardait avec des yeux grands ouverts, affolée et surprise de sa première jouissance par la pénétration d'un pénis. Elle respirait par le nez, ne pouvant pas camoufler les irrégularités et les sifflements de son expiration. Elle se trahissait et enfin laissa échapper un long soupir de soulagement.

Gérard m'a juré qu'il ne l'a pas touché ou caressé le clitoris pendant la pénétration. J'étais content pour elle et j'avais hâte de le faire à mon tour. Il m'a annoncé que je ne pourrais jamais lui donner ce plaisir car c'était mécanique et surtout grâce à son long sexe, il arrivait à lui taper l'uterus. Les coups violents qu'il mettait n'était pas fait pour rien, Il avait réussi plusieurs fois à faire jouir quelques femmes dites frigides et cela, grâce à cette façon de faire.

Sophie a pensé que l'aventure était finie et qu'il allait en rester là. Mais Gérard a insisté pour la revoir regulièrement sinon il allait montrer les photos à son mari et aussi à son amant. Sachant qu'elle allait tout perdre, les biens de son mari et l'amour de son amant, elle accepta. Je ne suis pas certain qu'elle l'ait fait seulement pour ces raisons car elle voulait peut-être aussi savoir si son plaisir de se faire pénétrer par Gérard n'était pas juste qu'un coup du hasard.

Gérard n'ayant pas encore joui, la détacha et lui imposa encore la fellation. Elle avait vite appris car elle lui suçait juste le gland et d'elle même, elle jouait aussi avec sa langue. Il sentait venir rapidement son éjaculation, ce que Sophie avait bien vu car son sexe se mettait à donner des coups incontrôlés. Elle le ressortit au bon moment, et tout son sperme gicla sur son visage. Gérard était tellement excité qu'il semblait pissait. Il regardait la scène tandis que ma chérie fermait les yeux et grimaçait en essayant de tourner la tête de gauche à droite pour éviter les projections.

Gérard m'a dit qu'il n'avait jamais joui aussi fort de toute sa vie. Ils ont ensuite pris une douche ensemble et se sont savonner mutuellement dans le noir total. Etonnament, à la demande de Sophie, il l'a masturbée sous la douche et l'a entendue jouir. Cette fois, Sophie ne s'était pas cachée, elle a crié sa jouissance. Elle lui a glissé un remerciement en le bisant sur la joue avant de sortir de la douche.

Gerard a pris des photos de Sophie dans la position attachée au lit et me les a montrées pour prouver qu'elle y était passée. Elle l'avait autorisé a condition qu'elle ne sois pas reconnue. Je pouvais l'identifier, à son grain de beauté sous son sein gauche, malgré le drap qui lui cachait le visage. J'étais excité et je bandais de savoir ma bien-aimée qui acceptait tant de choses alors qu'elle détestait la pénétration. Mon plan avait bien marché mais je ne pensais pas que la relation sexuelle allait se faire si rapidement et surtout que Sophie aurait cédé aussi facilement. Trois jouissances à la suite, c'était une blague ou Gérard devait être un expert. Il faut dire qu'il a le physique, le charme et l'intelligence que Sophie apprécie beaucoup chez les hommes.

La semaine suivante, elle vint me voir et elle ne fit rien paraître de son aventure avec mon collègue. Elle était bien plus sexy que d'habitude dans sa tenue vestimentaire, portant des talons hauts et une jupe ouverte sur le côté. Son soutien gorge la mettait en valeur, il etait fin et on voyait sur le polo la forme de ses tétons qui pointaient. Elle ne portait plus ses culottes "Petit Bateau" mais une culottes large à dentelle assortie au haut. Nous avons fait l'amour et je lui ai posé la question sur son épilation du vagin. Elle m'a simplement répondu que son gynécologue le lui avait conseillé pour des raisons d'hygiène. Elle mouillait énormément et n'avait pas joui de ma pénétration. Par contre, en pensant à son aventure avec Gérard, j'ai joui très rapidement, un peu comme un éjaculateur précoce. J'ai voulu la masturber comme on faisait habituellement mais elle a refusé prétextant qu'elle devait rentrer rapidement. En me quittant, elle me dit qu'elle pouvait moins me voir ces temps ci car son mari la surveillait et qu'elle devait rester plus souvent chez elle. Je savais que c'était faux, elle devait certainement être avec Gérard à se faire soumettre à tous ses désirs.

Le jour suivant, je vis Gérard au travail et il me demanda si cela allait mieux sexuellement avec Sophie. Je lui répondis que Sophie mouillait dorénavant intensément. Il me répondit que c'était un peu grâce à lui et je le remerciai. Il me dit que je n'avais pas bien compris sa réponse. Je lui demandai donc d'approfondir et il m'avoua qu'il avait montré à Sophie ses résultats sanguins prouvant qu'il n'avait pas le SIDA et que les relations régulières avec elle, devaient se passer dorenavant avec éjaculation en elle. Il m'a avoué avoir une passion pour le creampie, voir sa semence ressortir du vagin de Sophie, l'excitait et il lui filmait le sexe à chaque fois pour visionner chez lui et se masturber à nouveau. Il lui a promis de n'avoir qu'elle comme partenaire sexuelle pour la protéger de tout risque à venir. Gérard m'a donc confirmé qu'il l'avait prise juste avant dans sa voiture, sur le parking voisin et qu'il l'a déposée devant chez moi en lui demandant d'aller me faire l'amour sans se nettoyer. il m'a montré une vidéo de leurs ébats pour me prouver que Sophie prenait du plaisir. Il m'a expliqué avoir préparé son coup en collant son IPhone sur le pare soleil sans que Sophie soit au courant. Un jeu d'enfant avec ces appareils modernes. Il lui a fallu juste d'un instant pour déplier le pare soleil et de le remettre. Sophie etait agenouilléeà l'avant face au siège passager et dos au pare brise avec la jupe remontée au plus haut, il faisait tres sombre et Gérard la défonçait brutalement. Ses bras faisaient le tour du dossier et ses mains étaient liés car elle avait refusé l'acte dans un parking où on pouvait la voir. Elle a quand même joui en poussant des saccades de tous petits cris bien aiguës et Gérard n'a pas tardait à grogner comme une bête. Gerard me dit tout bas à l'oreille que dorenavant, il nous imposait une règle, il devait d'abord jouir en elle avant que je lui fasse l'amour. Je bandais tellement de savoir que j'avais baigné dans le sperme de mon collègue et que Sophie jouissait enfin pleinement de sa pénétration.
Je me suis précipité dans les toilettes pour me masturber afin de me soulager en moins de une minute et en ressortant, mon Gérard m'a fait un sourire pour me montrer qu'il savait que j'avais du plaisir à lui être soumis. Je lui ai dit que les vidéos sur la soumission de Sophie me plaisaient et que j'aimerai en avoir souvent. Il me promit de m'en envoyer par mail régulièrement.

Je rêve maintenant de voir mon amour se faire prendre avec jouissance et ensuite de boire le sperme de Gérard qui sort de son vagin. Comment faire, c'est assez effrayant mais je dèjà une idée d'un scénario.

J'attends aussi avec impatience que Gérard passe à l'étape supérieure car il m'a avoué qu'il aimerait passer bientôt à la fellation complète. Il veut la voir avaler son sperme. Il a un programme bien ficelé et l'étape finale serait qu'elle accepte de se faire dépuceler des fesses. La sodomie, il rêve, ce n'est pas gagné.

À suivre...




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#1209563
J'ecris la suite assez rapidement car il se passe beaucoup de choses et tout à l'air d'aller plus vite que ce que j'avais prévu.
Sophie, ma bien aimée, à pris vraiment goût à la domination de Gérard. Elle ne me dit toujours rien, Gérard est mon seul lien pour me raconter les évolutions de sa domination. Il faut dire qu'il me harcèle au travail et fréquemment, il me convoque dans son bureau pour me montrer les photos de Sophie, souvent attachée et dans des positions très osées. À chaque fois, je bande et je suis obligé d'aller aux toilettes pour me satisfaire solitairement en me refaisant le film des récits de mon collègue. Il la voit régulièrement les lundis, mercredis et vendredis midi. Lorsqu'il est absent à la cantine où qu'il a pris son après-midi, c'est qu'il est avec Sophie. Il est même arrivé que Sophie m'appelle lors de sa soumission pendant que je suis entrain de déjeuner. Avec les téléphones de nos jours, on entend bien plus facilement les choses et Sophie me parle du beau temps qu'il fait dehors à la terrasse d'un bistrot alors que j'entends très bien le corps de Gérard cognait contre le sien. Parfois, ne se retenant pas du plaisir certainement éprouvé, elle laisse des blancs mais se trahit par sa respiration qui est au rythme des coups de butoir de Gérard.
Mon collègue m'a confirmé qu'il l'oblige à me téléphoner. Cela fait partie de sa soumission et qu'elle jouissait aussitôt après avoir raccroché.
Gérard a déjà réussi à lui jouir dans la bouche mais il n'était pas encore satisfait car elle ne voulait pas encore avaler. Elle laissait ressortir sa semence tout en continuant à aspirer. La fellation lui est souvent imposée lors de leur promenade dans le jardin voisin proche du travail. Ils se mettaient à l'abri des regards derrière les cabanes des cantonniers.
J'ai voulu aller voir un jour où mon collègue n'est pas venu manger avec nous et j'ai pu, avec bonheur, assister à la scène. Je suis resté dans ma voiture derriere les grilles du parc, très proches des cabanes en question et je pouvais à peine apercevoir la scène au travers des buissons. J'ai laissé ma vitre ouverte pour mieux entendre Gérard qui lui donnait des directives. Plus lentement, attention aux dents sinon ce sera la punition, serre la bouche, plus vite, plus loin, concentre toi juste sur le gland ... Rien que de l'entendre, je bandais encore plus fort de savoir qu'elle se soumettait. Je me masturbais en même temps et j'ai joui juste après que Gérard se soit lâché. Je crois aussi avoir entendu le bruit que Sophie faisait avec sa bouche, comme des reniflements de nez. Elle essayait certainement de lui pomper les gouttes restantes.
À mon retour au travail, Gérard m'a appelé et m'a dit qu'il avait cru apercevoir ma voiture. Je lui ai avoué que j'avais assisté à sa fellation et que je m'étais masturber en prenant du plaisir.
Suite à cette aveu, il m'ordonna de venir voir lorsqu'il pratiquait sa soumission chez lui.
Le moment venu, il me donna un double de ses clefs et avant qu'il arrive avec Sophie, je devais aller me mettre sous le lit. J'étais bien caché, il avait un grand lit et les draps couvraient bien le dessous. Je bandais déjà et je dus me masturber pour éviter de le faire quand ils étaient dans la chambre. J'ai entendu la porte s'ouvrir et la voix de Sophie parlait de moi. Elle disait qu'elle souffrait de prendre du plaisir avec un autre et qu'il fallait qu'elle me le dise. Gérard lui répondit qu'il connaissait certains couples qui pratiquaient le candaulisme et lui expliqua la chose. Elle lui répondit que c'était impossible de la part d'un homme de se savoir cocu et d'y prendre plaisir. Gérard lui demanda si elle avait entendu de la bouche de son amant des choses faisant allusion à ce désir de voir sa bien-aimée avec un autre et que si elle trouvait, cela montrait que son homme avait une réelle preuve d'amour pour elle. Cet homme amoureux lui laisserait la liberté de vivre sexuellement autre chose car il ne pouvait la satisfaire, de plus cet acte était très excitant pour le cocu. Elle lui répondit qu'une fois, je lui avais exprimé un rêve que j'avais fait, celui où un écrivain la courtisée et qu'il la ensuite kidnappée sur son bateau. Elle avait ri à l'epoque sans penser à une suite sexuelle. Ce jour là, elle lui a confirmé qu'elle s'est souvenue que j'avais joui très rapidement à la masturbation qu'elle m'avait faite.

Je me souviens encore, elle avait fait à peine quelques allers-retours et j'ai éjaculé abondamment.

Voilà, il lui répondit alors que si elle avouait à son amour ses relations de dominations, l'amour serait encore plus fort et qu'il accepterait certainement d'aller encore plus loin dans l'acceptation de son candaulisme caché. Un homme n'avoue pas facilement ce genre de chose mais il fallait le mettre le pied au mur pour qu'il dise ce genre de fantasme.
Gérard lui rappela l'origine de sa venue et les désirs qu'il avait encore. Il lui ordonna donc de sortir son sexe de son pantalon, son membre n'attendait que cela. Il la complimenta, et savait lui imposait les choses. Elle ne disait plus rien, Gérard devenait le maître lui demandant de sucer tout en le masturbant. Cette fois, j'entendais bien la succion et je n'osais pas regarder en soulevant le drap qui me cachait la scène. J'entendis un tiroir s'ouvrir et il posa au sol devant mes yeux, une mallette contenant des liens et un attirail d'objets destinaient aux soumises. Je voyais leurs pieds et je devinais bien des choses. Il prit une corde et devait la saucissonner. Ils étaient debout et Gérard tournait autour d'elle. Une fois fait, il se plaça devant elle certainement pour se glisser entre ses cuisses ou la pénétrer. Il allait lentement et pas un mot ne sortait de la bouche de Sophie. Il lui ordonna de bouger d'en avant et en arrière, elle s'executa en tapant sur le corps de mon collègue. Je supposais qu'il lui pinçait les seins car il disait qu'ils devenaient bien fermes.
Gérard lui expliqua qu'il allait pratiquer une nouveauté et lui rappela le code pour arrêter la soumission si elle ne supportait plus la souffrance. Elle lui demanda de quoi il en était et n'eut aucune réponse. Il la prit et la posa délicatement sur le lit. Il la massa, je sentais le parfum d'une huile et elle se laissait aller à des soupirs de soulagement. Gérard lui décrit l'intérieur de ses fesses qu'il devait certainement ouvrir et elle poussa un cri, lui ordonnant de ne pas la prendre de ce côté là. Il la fessa en lui signalant que c'était lui qui décidait. La fessée durait, Sophie résistait bien et jusqu'au moment où je l'entendis dire "fleur". Gérard s'arrêta instantanément et j'ai vite saisi que c'était le mot clé pour qu'il arrête. Il lui massa les fesses et lui fit encore une remarque délicate sur la douceur et la rougeur. À plusieurs reprises, il prenait l'huile de massage pour lui calmer la douleur.
Le téléphone sonna et il décrocha. Dans sa discussion, il proposa à la personne de venir assister à une séance de soumission qui venait juste de débuter et qu'il ne fallait pas qu'il tarde. Une fois le téléphone raccroché, il dit à Sophie que cet homme était un dominateur comme lui et qu'il négociait pour la partager en échange d'une compensation de salaire. Elle avait le droit de refuser, mais il fallait qu'elle le voit d'abord pour prendre sa décision.
Ça sonnait déjà, il alla ouvrir. J'ai tout de suite reconnu la voix de notre responsable de service. Joël est le directeur de toute la production de l'usine. Il avait presque 65 ans et était physiquement grand et très sportif. À la vue de Sophie sur le lit, il lui dit bonjour d'une voix rassurante. Gérard lui demanda de venir toucher la chair douce de Sophie et il fit la description de son vagin, de son anus, de sa poitrine en lui précisant qu'elle aimait beaucoup les masturbations clitoridiennes. Il lui montra et Joël prit la relève. Très peu de temps après, Joël la pénétra avec ses doigts et il fit un compliment à Sophie pour sa mouille abondante et lui précisa que c'était assez rare pour une femme de son âge. Gérard était ravi et commença à négocier la location de Sophie. Ils finirent par se mettre d'accord, 500 euros d'augmentation, une promotion et une voiture de fonction.

Incroyable, je ne pensais pas qu'il irait jusqu'à la vendre comme une putain. N'empêche que je n'ai pas entendu Sophie se plaindre. Le physique de Joël était exceptionnel, ses cheveux sont pratiquement blancs. Il parlait bien et savait être autoritaire au travail. Les gens le respectaient. Joël a expliqué à Sophie qu'il était veuf depuis un an et que son épouse lui manquait énormément. Elle lui ressemblait presque comme deux goutte d'eau et elle était sa soumise aux jeux sexuels depuis leur mariage. Depuis son décès, il n'a jamais pratiqué avec une autre et il est resté fidèle à la mémoire de son épouse. Jamais de leur vie en commun, il ne l'avait trompée et qu'il connaissait Gérard pour l'avoir rencontré dernièrement dans une salle de sport. Ils se sont avoués leur passion pour la domination et il a dit à Gérard qu'il ne retrouverait jamais une femme comme la sienne. C'est de là que venait l'idée à Gérard de lui proposer une femme de son âge qui pourrait lui faire rappeler les souvenirs de son épouse décédée.

Gérard lui demanda de s'asseoir sur le fauteuil et de se mettre à l'aise pour voir si Sophie correspondait aux souvenir de son épouse. Il prit Sophie pour la déposer sur la moquette. Elle avait les pieds qui entraient presque sous le lit. Gérard lui travailla les seins pour faire grossir ses tétons, Sophie bougeait ses doigts de pieds, une preuve de son plaisir. Elle n'avait toujours rien dit à propos de la négociation. Gérard lui ordonna de regarder Joël dans les yeux pendant l'acte.
Il commença à lui chatouiller le clitoris, je voyais les pieds de Sophie se tendre et s'arrêta à chaque fois qu'il sentait qu'elle aller jouir. Elle a failli jouir à 3 reprises. Ses pieds tremblaient un peu juste avant et il lui donnait des claques gentillettes sur le bout de ses seins pour la faire revenir à la réalité. Joël demanda la permission de se masturber, comme un gentleman et Gérard la lui donna. Il retourna ensuite Sophie sur le ventre, lui écarta les fesses et cracha délicatement sur l'entrée. Joël s'est lèvé pour la caler avec un coussin afin qu'elle ait la tête bien relevée pour le voir se masturber. Il ne retourna pas à son fauteuil, se plaça allongé le sexe devant Sophie au plus près de son visage pour qu'elle puisse admirer les détails de son pénis. J'étais éberlué de voir qu'il bandait aussi fort pour son âge et son sexe avait un gland très épais, le reste etait aussi fin et long que celui de Gérard. Un sexe rasé qui donnait confiance concernant son hygiène. Pendant ce temps, Gérard s'est placé au dessus de Sophie en lui écartant bien les fesses. Il voulait la sodomiser et j'ai pensé que cela allait être la catastrophe.
Sophie a supplié "non non non Gérard", qu'il allait lui faire mal car elle n'avait jamais fait. Il n'a pas ecouté et il se concentrait à trouver l'entrée. De ma place, je voyais tout en grossissement dix, il frottait l'entrée avec son gland et une fois en place, il commença à pousser. Sophie se débattait mais Gérard la maintenait par le bassin en lui écartant bien les fesses. Joël la rassura en la carressant avec delicatesse et se mît à lui prendre le visage pour guider son sexe vers sa bouche. Avant de le mettre en bouche, comme un homme bien élevé, il lui demanda la permission d'y jouir. Il lui rappela qu'il n'avait jamais trompé sa femme et qu'il était donc sain de ce côté là. Elle fit un signe affirmatif de la tête et prit en bouche son énorme sexe. Joël la remercia et lui prit la tête pour la guider car elle ne pouvait pas bien bouger.
Pendant ce temps, Gérard continuait à s'occuper de ses fesses. Il poussait mais son sexe ne voulait pas entrer,il glissait toujours en direction de son vagin. Elle devait serrer son anus pour qu'il ne puisse pas le pénétrer. Gérard prit donc un godmichet de sa mallette, le lubrifia, le mis en place et poussa progressivement par à coup. Sophie avait le pénis de Joël en bouche mais poussa quand même un cri. L'objet avait réussi à passer mais juste un bout. Il s'arrêta, laissa l'objet en position. Gérard se plaça au dessus de Sophie, prit son pénis et pénétra Sophie par son vagin. Il était entré facilement et jouait seulement à faire entrer et sortir son gland bien brillant par la cyprine de mon amour. Il allait de plus en plus profondément par étape et j'ai tout de suite compris qu'il faisait aussi entrer simultanément le godmichet dans son anus en le tapant de son bas ventre. Il lui pratiquait une double pénétration. Incroyable, elle ne hurlait pas et continuait à sucer Joël qui avait l'air d'y prendre énormément goût. Elle ne le suçait pas entièrement, juste son gros gland profitait ce massage buccal. Elle faisait beaucoup de bruit avec sa bouche, je ne pouvais pas voir son visage mais je pense qu'elle devait baver tellement le gland de Joël devait lui ouvrir la mâchoire. De son côté, Gérard n'était pas arrivé à bout, son sexe était humide qu'à la moitié de sa longueur. il s'arrêta et resta en elle puis passa une main devant pour aller lui titiller son clitoris. Je sentais que Sophie se plaisait à se faire dominer, elle ne résistait pas, elle restait passive et bien docile.

Je peux vous dire que dans la vie de tous les jours, elle ne se laisse jamais faire quelque soit la situation. Elle qui n'a pas la langue dans sa poche quand il le faut, elle n'hésite pas à remettre en place les hommes très machos et cela même devant du monde. Je n'osais pas me toucher tellement je bandais fort et j'avais peur de jouir, ce qui pouvait trahir ma présence sous le lit. Ils étaient trop proche de moi.

Je vis les pieds de Sophie se tendre et trembler, elle commençait à jouir. Aussitôt, Gérard se retira et il enfonça brutalement le god jusqu'à le mettre en buté sur les fesses de Sophie. Une fois au bout, il le bougea très rapidement sans le retirer pour lui faire découvrir son plaisir. Elle gémissait et Joël se retira de sa bouche. Il la laissait respirer et enfin, des petits cris très aigus sortaient de sa bouche. Elle se tut aussitôt pendant 10 secondes, se raidit et hurla un grand NONNNNNNNNN qui montrait sa jouissance de soumise. Elle tremblait de tout son corps et se relâcha en soupirant. Ce fut le silence, je n'osais pas respirer. Gérard et Joël la caressaient et avaient des paroles très douce lui disant qu'elle était extraordinaire et belle dans son plaisir. Ils la détachèrent délicatement et elle se fit massait avec beaucoup de delicatesse pour enlever les traces que la corde avait laissé sur sa peau. Les deux dominateurs n'avaient pas encore joui. Gérard proposa à boire et il quitta la chambre pour aller chercher les boissons. Sophie alluma une cigarette et dit d'une voix calme qu'elle acceptait d'être négociée à la condition où elle serait comme une épouse pour Joël. Il devait la choyer et se conduire comme un gentleman. Elle lui a parlé de la relation d'amour qu'elle avait pour moi et qu'il ne fallait pas mélanger la sexualité et les sentiments.

Mon cœur battait encore plus pour elle car je savais maintenant que son amour ne se laisserait pas déborder par tout ce que j'avais manigancé pour lui donner ce plaisir de la pénétration.

Gérard revint avec les boissons, ils étaient tous les trois dans le lit. Gérard a juste rappelé qu'il n'avait pas fini la séance. Il demanda à Joël s'il voulait continuer et Joël demanda l'avis de Sophie. Elle répondit affirmativement mais proposa que Joël lui montre sa façon de dominer. Gérard refusa car il ne pouvait pas accepter de rester passif. Pour lui, une soumission ne se faisait que par un seul dominateur à la fois. Joël dit qu'il pouvait assister seulement mais Sophie insista pour mieux connaître son nouveau maître.Gerard céda donc la place à Joël leur souhaitant une réussite. Il reviendrait plus tard en début de soirée, il s'habilla sans demander son reste et s'en alla. Sophie avait l'air ravi, elle riait de la situation car elle sentait Gérard un peu jaloux. De toute façon, elle disait que c'était aussi bien comme ça. Joël était aussi de bon humeur et ils se chahutaient dans le lit comme des petits enfants. Elle lui parla longuement de moi et il l'écoutait attentivement. Elle lui proposa enfin de profiter de sa chose, de son objet de location et lui demanda d'être à la hauteur pour l'honorer de ce qu'elle avait accepté. Il fallait faire vite avant qu'elle ne change d'avis. Il ne fit rien et continua à lui parler, mais cette fois, c'était son tour de lui exprimer l'amour qu'il a toujours pour sa femme décédée. Il lui dit enfin qu'il ne serait pas autant exigeant que Gérard et que sa soumission avait déjà commencé. Le fait d'avoir accepté montrait qu'elle se soumettait. Il lui demanda de suivre à la lettre les informations qu'il allait lui donner. Pour cela, il fallait qu'elle fasse beaucoup appel à son imagination. Son cerveau serait le déclencheur de son orgasme. Il lui demanda la permission de lui bander les yeux et de se laisser aller au scénario qui la guiderait à un orgasme cérébral. Il commença à lui raconter à voix basse le film qu'elle devait imager pour apprendre une autre façon de se faire dominer. Il s'excusa d'avance car il sera très vulgaire verbalement mais sa douceur compensera.
" Tu n'es plus chez Gérard, et pense fort que tu es avec celui qui te désire, qui aime ton corp et qui te séquestre pour te prendre de force. Tu ne vas pas lui donner ton sexe car tu aimes trop ton cher amant. Tu vas être passive et attendre. Tu vas te retenir et rejeter les démons qui te poussent à prendre naturellement du plaisir. Résiste le plus longtemps que tu peux et à chaque fois que tu sentiras le plaisir monté, tu prieras pour qu'il disparaisse. Je veux t'entendre le dire à voix haute. Tu auras honte de savoir que tu es fragile. Ton amant est dans la pièce voisine, bien attaché et baillonné et tu iras le rejoindre pour montrer comment j'ai éjaculé en toi. Ne te laisse pas entraîner facilement. Découvre ton corp avec ton cerveau et pense aux plaisirs à venir pour ta soumission. Le temps ne compte plus, tu te sais maintenant vraiment soumise et tu vas vraiment lutter pour ne pas jouir car ton amour risquerait de t'entendre. Je te laisse libre de jouir en silence, tu sauras le faire à plusieurs reprises et à chaque fois que cela se produira je veux t'entendre dire NON à haute voix."

Joël devait déjà être en elle car j'entendais le bruit de la pénétration.

"Tu es bien serrées pour un vieille et ton amant ne te satisfait pas avec sa bite. Tu sens bien la mienne en toi et j'espère que tu vas mouiller plus sinon tu vas avoir mal. J'ai tout mon temps et si tu ne mouilles pas plus, je te baiserai alors le cul à sec. Je te prendrai par tous les trous. Sens comment ta chatte s'ouvre déjà difficilement et pense ensuite comment ma bite te fera mal quand je t'enculerai"

Il la pénétrait toujours avec douceur et je pouvais imaginer qu'il entrait le plus loin possible pour lui faire sentir une longue et forte pénétration. Elle a déjà prié deux fois, disant "Sainte Mère, aidez moi" et Joël continuait à la pistonner de la même façon. Très peu de temps après, Gérard la traita de salope et elle cria "NON" assez longuement. Elle devait vraiment s'imaginer se faire pendre par un voyou. La dernière insulte l'a bien fait jouir.

"À quatre pattes maintenant et montre bien ton beau cul. Sens bien, tous mes doigts qui vont entrer en toi. Tu peux pleurer ma p'tite dame, tu auras comme je te l'ai promis, ma bite dans ta p'tite fleur. Je vais te dépuceler par l'endroit qui est interdit et tu ne seras pas prête à t'asseoir sur un chaise pendant une semaine."

Encore un hurlement, un NON qui donnait la preuve de sa troisième jouissance en si peu de temps. Elle n'avait pas pu se retenir. La vulgarité de Joël la faisait tant jouir, je ne la comprenais plus.

"Maintenant c'est toi qui va bouger ton cul pour le coller à moi. Tu vas aller au rythme que je vais te donner sinon je te tords les mamelles. Tu auras tellement mal et tu les verras bleues pendant un sacré bout de temps. Vas y bouge ton cul et va le plus loin que tu peux. Prends ta main et caresse moi les couilles. Ton mec ne saura pas si tu mouilles alors vas y et ça te fera moins mal. Tu aimes la bite, vieille pute. Défonce toi, viens cogner contre mon gland"

Sophie pria mais n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'elle hurla NONNNNNNN. Joël se retira d'elle et lui confirma qu'elle réagissait comme sa pauvre femme. Il lui fit un compliment sur son vagin, quelle douceur pour son pénis, il a failli jouir mais c'était retenu car il savait que Sophie avait rêver de plusieurs éjaculations en elle du voyou qui la possédait, la violait avec son consentement. Elle lui confirma que c'était vrai, elle sentait même le sperme qui lui coulait sur les cuisses. Elle lui a aussi dit qu'elle voyait le voyou qui la brutalisait en la giflant car elle resistait trop. Cette violence, elle ne la craignait pas car ne la subissait pas réellement. Son imagination lui permettait de jouir de toutes les souffrances qu'elle ne voulait pas recevoir pour de vrai. Elle lui a dit qu'elle a beaucoup aimé se faire insulter, chose qu'elle n'accepte pas de la vraie vie. Joël était ravi. Il proposa à Sophie d'aller se doucher et qu'il souhaitait encore la revoir dans ces mêmes conditions. À ma grande surprise, elle demanda timidement et à voix basse de se faire prendre par derrière. Elle expliqua qu'elle voulait de la douceur et de la beauté pour son dépucelage. Elle voulait garder un bon souvenir, pas comme celui qu'on lui avait fait par devant à l'âge de 15 ans. Elle lui dit qu'elle n'avait pas peur de la taille de son sexe et qu'elle lui ferait entièrement confiance. En retour, il aurait le droit de jouir elle, il serait le premier à la sodomiser et à y laisser sa semence. Avec une voix encore plus douce et sensuelle, elle lui murmura de faire comme il l'avait faite à l'epoque à sa défunte et tendre épouse.

Je bandais tellement que j'avais mal. Mon penis bougeait tout seul. Je me suis touché et je fus étonné de voir que j'avais le sexe tout mouillé. J'en avais partout, j'ai éjaculé sans m'en rendre compte. Incroyable, c'était juste la dernière phrase de Sophie qui m'avait fait cet effet, jouir sans se toucher.

Il lui expliqua les risques des déchirures qu'elle pourrait avoir s'il ne la préparait pas et qu'il fallait beaucoup de patience pour ne pas souffrir. Il fallait impérativement la lubrifier et il verrait alors comment elle se comporterait. Il décidera de la suite à prendre en fonction sa prédisposition à la pratique de la sodomie. Il lui rappela quand même la taille de son pénis et elle lui répondit juste qu'elle avait confiance en lui, qu'elle le sentait expérimenté pour faire souffrir sans donner la douleur. Il lui dit qu'il fallait aller d'abord à la salle de bain pour faire un lavement avec le tuyau de la douche et que ce serait mieux pour éviter les odeurs qui pourraient dégager de son anus. Il l'accompagna et j'entendis l'eau couler. Sophie riait, elle disait qu'elle pissait des fesses et que lorsque son intestin se remplissait d'eau, elle ressentait du plaisir dans le bas ventre. Joël lui a répondu qu'elle prendrait alors du plaisir à sa sodomie et qu'elle était faite pour se faire prendre de ce côté. Il lui a proposé de rester dans la salle de bain et de la prendre dans la baignoire avec une eau bien chaude et parfumée. Après avoir rempli la baignoire, j'ai osé sortir de ma cachette pour aller voir de plus près. La porte de la salle de bain était restée bien ouverte et sans sortir de la chambre, je ne voyais juste que Joël, le sexe qui tombait entre ses jambes et tout l'arriere de sophie qui était à quatre pattes. La mousse lui effleurait le ventre. Il lui massait le dos et descendit progressivement ses mains vers les fesses de ma bien aimée. Comme lubrifiant, il prit du savon en morceau et lui lava en allant profondemment. Il devait la doigter. Il lui dit qu'il avait déjà passé trois doigts et qu'il allait en passer encore deux autes très progressivement. Il insista encore avec le savon et lui demanda de se détendre encore. Elle ne devait pas souffrir mais ressentir tous les effets des préliminaires. Ce n'etait pas seulement une preparation physique mais aussi le début de son plaisir à vouloir s'offrir. Il signala que le quatrième doigt venait de rentrer et qu'il la sentait volontaire pour le dernier passage. L'autre main passait au devant de son corp, elle devait certainement se faire titiller les seins en même temps.
La tête de Sophie apparu et elle pris son sexe en bouche et garda juste son gland. Il commençait à bander, Sophie ne faisait pas de va et vient, elle devait jouait seulement avec sa langue. Une fois bien tendu, elle fit des allers-retours sur le gland pour le gonfler encore plus.

À suivre, la partie n'était pas encore finie, un moment inoubliable qui a duré...
#1212105
Voir mon amour vouloir se faire sodomiser, sucer un inconnu pour lui gonfler le sexe à son maximum, montrer son corps et se faire câliner pour le plaisir sexuel, tout cela paraissait inimaginable pour une femme qui ne se sentait pas désirée par les hommes. La vulgarité et les obscénités n'étaient pas de son goût, mais là, elle allait un peu loin. Tout ce qu'elle détestait lui faisait jouir. Elle avait ces fantasmes bien cachés en elle. Comme moi qui ait découvert ma soumission de cocu en provocant cette aventure. Le monde ne tournait plus rond.

Revenons à l'initiation de sa sodomie.

Joël bandait très fort, son membre était devenu violet et son gland bien rempli de son sang paraissait ÉNORME. Sophie avait la bouche très ouverte, elle ne savait certainement pas ce qui pouvait l'attendre. Joël lui reposa la question sur son envie à vouloir se faire prendre par les fesses. Elle ne lui répondit pas, se retourna pour lui présenter ses fesses et se courba vers l'avant. Joël lui dit alors qu'elle devait se coller à lui et s'appuyer sur son sexe pour qu'elle puisse maîtriser sa pénétration. Le pénis de Joël était vraiment énorme au niveau du gland. Il prit du gel douche et en fit couler le long de sa raie. Il se plaça délicatement en tenant bien droit le pénis pour qu'il puisse rester bien en position devant son anus. De son autre main, il l'attrapa par les cheveux pour qu'elle cambre son dos. Avec ses deux mains, ma bien aimée, écarta ses fesses et se laissa aller vers l'arrière. Elle donnait des petits coups et comme prévu, rien ne rentrait. Elle essaya plus fort mais elle eu mal, le léger cri et son geste brusque vers l'avant l'avait trahi. Joël ne la motiva pas de continuer, il lui disait qu'il fallait prendre son temps et y aller progressivement en plusieurs étapes. Son anus ne pourrait pas supporter le pénétration vu la taille de son sexe. À moins qu'elle accepte le sacrifice de la première douleurs, ce que beaucoup de femmes font. Elles y arrivent car elles aiment avoir mal. Ce mal instantanément fugitif pour le plaisir ultime en valait la peine et il lui proposa de rêver à qu'elle soit prise de force. Il lui dit qu'il ira au bout de son désir, et qu'il était maintenant trop tard pour reculer. Pas de mot de passe pour arrêter l'acte, elle devait pour cette fois être responsable de son envie. Elle lui a répondu qu'elle ressentait une telle confiance et savait reconnaître un homme bien élevé.

Elle finit par accepter qu'elle devait être totalement passive et soumise. Toute sa vie, son côté actif ne lui a jamais réussi. Le sexe devait lui être imposé pour qu'elle puisse se sentir heureuse et avoir ce plaisir de se faire pénétrer par un pénis.

Ils décidèrent, cette fois-ci, ensemble d'un scénario et il lui décrit le film qu'elle devait suivre :
- Tu as volé des dessous sexy de luxe dans ma boutique et tu t'es fait attrapée. En tant que directeur de l'établissement je t'ai proposé de ne pas appeler la police à la condition que tu me suives dans mon appartement pour un arrangement à l'amiable. J''ai demandé de te déshabiller pour montrer ce tu avais caché sur toi. Je t'ai bien regardée et je t'ai fait des compliments sur ton physique, te disant que tu n'avais pas besoin de porter des dessous volés car tu étais bien excitante sans. Tu as rougi et tu te cachais à peine la poitrine. J'avais envie de toi, tu regardais vers ma braguette, la forme bombée me trahissait. Tu as demandé d'aller aux toilettes avant et je t'ai montré la salle de bains pour que tu puisses uriner devant moi dans la baignoire. Et maintenant, fais le, écarte bien tes levres que je puisses voir tout.

Joël s'est mis à genoux et il regardait Sophie uriner. Il lui fit des compliments sur l'épilation de son sexe. Il pouvait la fouiller et détailler avec ses doigts. Il vida ensuite la baignoire et il lui ordonna de se retourner et de mettre ses mains contre le mur. Elle devait rester dans cette position. Il la tira en arrière pour qu'elle puisse pencher son corp en avant. Ses seins flottaient et ses tétons devenaient fermes et bien gonflés. Joël avait débandé, il plaça son sexe entre les cuisses de Sophie, lui demanda de bien les serrer et de bouger son cul pour l'exciter. Petit à petit, son membre reprenant de la vigueur, sortait au devant d'elle. Il lui ordonna de regarder la scène en baissant au maximum sa tête. Il allait et venait et Sophie se mît à pleurer en le suppliant de ne pas la pénétrer brutalement. Son sexe lui paraissait énorme.
Je savais qu'il la pénétrait enfin car Sophie lança un long soupir comme si elle avait été surprise. Il l'a prise lentement jusqu'à se coller à elle. Il restait bien au fond et continuait à lui caresser le bout de ses seins. Sophie simulait en pleurnichant et le suppliait de ne pas jouir en elle. Joël commença son va et vient quand Sophie se mît à gémir. Il lui disait qu'elle était douce à l'interieur et ne comprenait pas pourquoi qu'une femme comme elle ne savait pas donner son corp pour rendre heureux les hommes. Ce n'était pas tout d'être une allumeuse et de porter des dessous sexy sans aller au bout pour le plaisir de se faire prendre. Il allait lui montrer aussi comment se faire enculer et il allait lui dire lesquels des côtés serait le meilleur.
- non monsieur, je suis vierge, pas ça
- ce sera encore meilleur alors et à votre âge, c'est plus détendu et je pourrais plus facilement vous défoncer.
Il lui leva une jambe pour lui poser le pied sur le rebord de la baignoire et je pouvais voir la couleur de ses lèvres qui battaient et le membre qui entrait bien au fond d'elle. Le plus excitant, c'est lorsque Joël le ressortait entièrement et qu'il la repénétrait violiamment en allant en bout de course. À chaque fois, mon amour hurlait un grand NON. Elle simulait merveilleusement, une bonne actrice, elle était prise de force mais sa respiration la trahissait quand il lui donnait des coups de butoir rapides sur son utérus.
- maintenant, écoutez bien chère madame, vous allez écarter vos fesses et vous allez enfin découvrir l'ultime de la pénétration.
- non, je ne veux pas
- vous préférez donc la police ou la violence des deux vigiles du magasin. Ils adoreraient prendre une bourgeoise mure en même temps.
- je vais faire un effort, soyez gentil et ne me faites pas trop de mal. Je ne connais pas et j'ai peur.
- de toute façon, ce sera comme aller aux toilettes, pensez juste que ce n'est juste qu'un gros caca qui entre au lieu de sortir.
- soyez gentil, s'il vous plaît, laissez moi, je vous sucerai à la place.
- ne vous inquiétez pas, ce sera aussi prévu après si vous m'excitez encore et je vous demanderai de me boire
- soyez gentil, je ne volerai plus
Joël se plaça et commença à pousser. Il mettait du gel douche sur son dos et il coulait gentille ment vers sa raie.

Je bandais très fort et je n'osais rien faire de peur de jouir rapidement. Je pinçais fort mon gland pour avoir une douleur et oubliais mon plaisir. J'avais peur qu'elle se fasse déchirer.

Sophie écartait ses fesses, elle tirait un maximum avec ses mains pour éviter la douleur. Je vis le gland de Joël disparaître à moitié. Il s'arreta de pousser pour laisser à Sophie le temps de reprendre sa respiration. Pour l'instant, elle n'avait pas hurler sa douleur. Joël lui ordonna de remmettre ses mains contre le mur et il se remit à lui caresser la poitrine tout en restant en position. Il lui pelotait les seins fermement et les serrait à pleine mains lui faisant limite mal vu qu'elle poussait des cris de douleurs. Il les caressa à nouveau delicatement pour lui donner le plaisir et avec ses doigts il lui prit le bout de ses tétons et commença à les pincer. Le pression augmentait, elle lui dit d'arrêter mais il continua à resserrer ses doigts comme un étau. Elle criait de plus en plus et se mît à pleurer.

Je savais que ça allait mal finir et j'étais prêt à intervenir. Elle n'avait pas de mot de passe pour arrêter son supplice.

Je vis alors Joël donnait un coup rapide de son bassin et il lui caressa le dos en lui disant que son gland était passé et qu'elle ne risquait plus rien. Sophie s'était tûe et elle respirait en suiffant du nez.
- allez y, la voie est libre, vous pouvez vous coller à moi progressivement
- je n'ai rien senti au niveau de mes fesses mais vous m'avez fait horriblement mal à ma poitrine.
- taisez vous et faites honneur à mon pénis, il veut vous sentir et jouir en vous

Joël a su détourner sa douleur afin qu'elle puisse oublier sa sodomie, il avait de l'expérience. Heureusement que je suis resté bien sagement dans mon coin. Mon intervention aurait pu tout faire capoter. Sa souffrance m'a quand même fait débander mais je rhétais tout excité.

Joël remis du gel entre la raie des fesses de Sophie. Il lui remit sa jambe pour qu'elle puisse se tenir correctement en équilibre. Il lui caressait les fesses en écartant de temps en temps. Il regardait son membre qui entrait progressivement. Sophie reculait avec prudence, voire même très lentement. Joël la prit par le bassin et la tira vers lui pour lui montrer qu'elle n'avait plus de crainte pour le douleur. Elle se laissa faire, obéissante et soumise. Joël faisait quand même de légers va et viens en allant plus profondément. Il finit par arriver à se coller à elle et il resta bien calé sans bouger. Une main passa devant pour des caresses seins, ventre, vagin et l'autre lui massait le dos. Sophie se détendait et sa respiration devenait plus intense, elle prenait du plaisir à la gentillesse de Joël. Tout en continuant à la câliner, il commençait à bouger en elle.
- soyez délicat, ne vous videz pas en moi
- fermez la et serrez plutôt les fesses juste au moment où je rentre, vous aurez au moins du plaisir à me sentir. Profitez bien car c'est la première mais peut-être la dernière fois qu'on vous le fera si vous n'y adhérez pas. Prendre du plaisir, c'est vouloir refaire. De toutes façons, je pense à moi et je vais vous garder assez longtemps car vous êtes encore plus douce par les fesses. Une petite pucelle, c'est bien étroit et on s'y sent bien.
- s'il vous plaît, n'ejaculez pas en moi

Le fait qu'elle dise à plusieurs reprises de ne pas éjaculer en elle, devait certainement dire le contraire. Elle voulait qu'il le fasse, elle aura le souvenir d'une sodomie bien complete.

Sophie commençait à lancer ses petits cris bien aigus, elle arrivait à sa jouissance. Joël arrêta ses caresses, lui prit les seins et les pinça à nouveau, ce qui fit redescendre son envie de jouir. Aussitôt, il relâcha prise et pistonna Sophie vivement, mais cette fois, son membre ressortait entièrement pour aller se replonger bien au fond. Sophie ne disais plus rien, j'entendais seulement des sons du fond d'elle. Elle respirait fort par le nez et se lâcha en hurlant sa jouissance. Joël la releva pour coller son corp à lui et continua lentement ses va et viens pendant qu'elle tremblait de tout ses membres. Il finit par se bloquer contre ses fesses et grogna sa jouissance lui aussi. À chaque jet, il faisait comme s'il voulait aller plus loin en elle. Je peux vous dire que sa jouissance à durer et Sophie continuait aussi à trembler.

Comme prévu, j'ai touché mon sexe et immédiatement, j'ai joui comme je pissais. Dans mes mains, mon sperme était transparent comme de l'eau et bien en abondance. Je suis vite aller me cacher sous le lit et je les ai entendus prendre une douche. Ils sont revenus dans la chambre, je voyais leurs pieds. Je pensais qu'il allait se quitter, et bien non, Joël lui proposa un massage pour finir avec de la douceur. Elle s'est allongée, se faisant masser avec une huile bien parfumée à la noix de coco. Joël lui a demandé si elle avait aimé sa façon de la soumettre et elle lui a répondu que c'était un homme comme lui qui lui fallait. Elle se sentait bien plus rassurée qu'avec Gérard. Elle était prête à tout accepter de Joël à la condition qu'il respecte son amour qu'elle avait pour son amant. Joël lui dit que sa femme était toujours presente dans son esprit et qu'il ne voulait pas la remplacer mais qu'il avait besoin de Sophie pour retrouver ses plaisirs partagés. Il lui affirma qu'il n'était pas possessif et que s'il devait y avoir une suite, c'est Sophie qui décidera des rendez-vous. Peu lui importait le régularité des rencontres, il désirait simplement que la relation soit durable. Sophie le remercia de sa courtoisie et lui demanda s'il pouvait dire à Gérard qu'elle préférait avoir un seul homme pour le sexe et qu'elle avait décidé qu'il serait maintenant l'élu pour ses dominations à venir. Joël était bien content, je sentais qu'il jubilait en lui répondant qu'il en ferait son affaire et que la chose serait assez facile car le Gérard était arriviste et vénal.
- non mais tu bandes encore
- désolé, c'est la faute de ta peau douce, ton corp est merveilleux
- je vais donc te faire une chose que je n'ai jamais encore faite
- décidément, tu ne connais pas grand chose
- si, quand même un petit peu, tu vas voir. C'est pour te remercier et te souhaiter la bienvenue que je vais faire quelque chose qui te fera tant de plaisir. Tu pourras penser à moi bien souvent et je veux aussi être à la hauteur de ta défunte épouse.

Incroyable, je pensais que l'affaire était bouclé. La position sous le lit est bien inconfortable mais je préfère là que caché dans un placard.

Elle lui demanda de s'allonger à son tour et se posa sur Joël. Le lit bougeait au rytme de Sophie, elle y allait lentement. Joël lui dit qu'il pouvait encore jouir si elle continuait à lui caresser les pointes de sa poitrine.

Il était donc sensible comme moi.

Sophie lui dit qu'il ne jouira pas comme un homme ordinaire, elle se détacha de Joël et lui prit le sexe en bouche. Je l'entendais sucer et elle devait continuer à lui caresser sa poitrine. Joël lui dit de faire attention car il allait pas tarder à jouir. Avec la bouche pleine, elle lui répondit qu'elle était prête à recevoir. Sans attendre, Joël éjacula, et je n'entendais plus Sophie sucer. Elle essayait d'avaler, sa gorge faisait un très léger bruit comme si elle essayait de boire à toute vitesse. Silence radio et Joël tremblait encore tant que Sophie le garder en bouche.

Je me suis mis à bander à nouveau, j'avais peur de me faire surprendre car il n'y avait plus de bruit dans cette pièce.

Au bout d'un instant, Sophie se leva, se rhabilla sans dire un mot et elle souhaita de le revoir bientôt. Joël lui donna ses numéros de téléphone, elle pouvait le joindre à tout moment, jour et nuit. Malgré la charge de travail, il se fera aux conditions de Sophie. Elle le quitta en lui faisant une bise.

- sors de ta cachette, Gérard m'a dit que tu es sous le lit

J'étais effrayé et je ne voulais pas bouger pensant à un cauchemar. Mes jambes tremblaient, le chef de la production me parlait. Il dût venir me tirer de là et m'a rassuré en me disant que Gérard avait aussi annoncé la couleur de cet amant candauliste. Il me promit de ne rien dire à Sophie et respectait mon choix. Il m'a demandé si j'avais aimé et combien de fois j'ai pu jouir. Je lui ai répondu que je ne savais plus mais que cela avait était intense. Il me demanda si je voulais nettoyer les restes de sperme sur son sexe. Je lui ai juste dit que pour son âge, il avait la forme et comme un soumis, j'ai pris pour la première fois un pénis en bouche. Je m'imaginais à la place de Sophie, il a recommençé à bander, m'a pris la tête pour lui faire des gorges profondes. Par moment, j'en avais des hauts le cœur mais il me maintenait fermement. Je n'en voyais pas la fin et il se mît à jouir en se retirant de ma bouche. Toute sa semence me coulait sur le visage. Il m'ordonna de le nettoyer et de me branler en même temps. C'est la première fois que je goute, le goût était légèrement amer mais pas du tout désagréable. Ce que je fis et ne tardais pas a jouir en pensant aux futurs aventure de Sophie. Joël était d'un niveau supérieur, il avait de l'expérience. Je lui ai quand même demandé comment il faisait pour garder autant la forme et il me répondit qu'avec les nouvelles pillules médicales, le monde du sexe allait appartenir au troisième âge. Il m'a aussi avouer que Sophie en prenait, ceux qu'on donne aux femmes ayant perdues le désir sexuel. Gérard le lui en met discrètement dans ses boissons comme au début de la rencontre. C'est un peu grâce à ça qu'elle arrive à mouiller autant. Mais ce médicament ne donne pas des envies comme par magie, il faut avant tout que son cerveau soit demandeur de sexe et le médicament facilite la suite. Sophie a juste envie de se libérer des tabous qu'on lui a inculqués. Elle découvre la pénétration, il espère qu'elle ne deviendra pas une nymphomane.

On s'est quitté et Joël m'a dit que je suçais bien et qu'il aimerait me revoir à chaque fois après avoir prise Sophie. Il disait qu'elle ne sera jamais capable de faire une gorge profonde et que je le ferais à sa place si je désirais encore être soumis. Il me contacterai de son bureau pour une fellation de fin de journée et que c'est que comme ça que je saurai alors qu'il prenait Sophie. Il ne ferait pas comme Gérard, pas de récit de ses aventures avec ma chérie. Il me dit que cette privation me poussera à avouer à Sophie mon candaulisme pour qu'elle puisse me raconter sa version. Les femmes savent aimer leurs hommes, si elle t'aime vraiment, elle saura faire monter ton excitation car une femme heureuse sait bien le rendre.

À suivre, j'ai aussi hâte de connaître aussi la suite. Ça se passe tellement rapidement, c'est excitant pour moi d'etre cocu et soumis. Je voudrais tellement que ça dure, mais j'ai quand même beaucoup de crainte car Sophie me voit moins et je sens qu'un éloignement pourrait vite arriver. Je croise les doigts...
#1219635
Je ne vois plus les femmes en retraite comme de sage grand mères avec leurs petits enfants.
Une chose assez remarquable, Sophie ose jouir avec son cerveau. Se faire prendre de force par des inconnus ignobles et vulgaires et jouir de ses scénarios, une chose impratiquable dans la vraie vie. Joël sait comment faire jaillir en elle cette envie pour le transformer en un plaisir.

Mon candaulisme, qui pouvait imaginer qu'un homme puisse accepter ce plaisir. Je n'ose même pas en toucher un mot à mon entourage. J'ai juste voulu savoir si Sophie pouvait se faire plaisir avec un autre, un homme qui connaît bien le sexe et qui lui donnerait juste la jouissance pour un instant de pénétration. Je suis tombé dans le chaudron du candaulisme et je ne peux plus en sortir car je découvre tellement de plaisir à être cocu. Pas vraiment cocu car je sais tout et que je le désire.

La soumission est aussi une grande découverte et je me rappelle mes souvenirs d'enfance où je refusais tout de ce système quand on m'imposait des choses. Je me souviens qu'à 15 ans, Un homme assez mur m'avait forcé à le masturber dans une salle de cinéma. Ayant peur, j'ai un peu resisté et j'ai fini par le faire honteusement. Il m'a ensuite proposé 200 francs pour que je le suce. Cette somme était énorme pour moi et j'ai pris les billets. Il n'avait pas encore joui, qu'il me proposa encore 200 francs pour que je le suive chez lui. J'ai refusé l'offre très alléchante et il m'a laissé tranquille à la remise des lumières dans la salle. Une autre fois à 16 ans, le surveillant général du collège m'avait demandé de baisser mon pantalon et m'avait ordonné de me masturber. J'ai fini par jouir dans son bureau et une fois par semaine durant 3 mois, il me convoquait pour me voir éjaculer et parfois il le faisait à ma place. J'avais cédé à ce chantage car c'était ça où le renvoi définitif de l'établissement. Une chose que j'avais honte car c'était un monsieur qui me faisait jouir et je me suis promis de ne plus jamais accepter ce genre de soumissions.
Maintenant, à 50 ans, je désire ces choses. La vie nous joue des tours et me voilà encore soumis mais cette fois je suis heureux de le vivre.

Sophie est passée me voir et elle ne me disait rien de ses aventures. Depuis qu'elle est maintenant avec Joël, elle se fait plus féminine et je sens qu'elle veut se sentir enfin désirable.

J'ai fini par lui avouer un rêve que j'ai inventé pour la motiver à comprendre mes nouvelles envies et la faire parler.

Je lui ai dit que c'était un rêve bien bizarre et complètement inhabituel, pas du tout un cauchemard et qu'il était difficile à exprimer car cela pouvait la choquer et risquer de détruire notre couple. Je suis immédiatement passé à autre chose mais c'est elle qui est revenue sur le sujet de mon rêve. J'ai feint en refusant de le raconter car cela pouvait vraiment la désorienter. Elle insistait et je lui ai dit brievement que dans ce rêve, un homme voire meme une bête l'a prise et elle a joui de ce moment vécu. Mais le plus incroyable, c'est que j'ai assisté à côté d'eux sans la défendre.
Jusqu'à là, elle me répondit qu'il n'y avait rien de grave et d'inquiétant pour notre couple.
J'ai fini par lui dire qu'à mon réveil au matin, je me suis masturbé et que j'ai joui de ce plaisir de la voir heureuse dans cet acte assez bestial. Elle a sourit et m'a simplement dit que c'était certainement normal car elle ne me donnait pas grand chose de ce côté là. Me sentant en manque de sexe, elle me proposa de me soulager immédiatement et me promit de passer un peu plus de temps pour calmer mon esprit et mes ardeurs.
Cette fois, elle semblait assez volontaire. Elle prenait l'initiative, pour une première fois. La pénétration fut lente et progressive, elle s'empalait et je sentais la peau de mon sexe se tendre jusqu'à être complètement en elle. C'est Sophie qui maîtrisait mon plaisir et elle savait ralentir et s'arrêter juste avant que je cède à l'éjaculation. Elle etait agenouillée au dessus de moi, me baisant et elle faisait durer mon plaisir. J'avais mal au pénis tellement je bandais fort depuis longtemps. Je sentais qu'elle serrait son vagin de temps à autre pour que je puisses mieux la sentir. Elle mouillait maintenant abondament et ce n'etait pas le sperme de Gérard ni celui de Joël car elle était assez sèche au tout début de la pénétration. Elle gémissait par moment mais ne jouissait toujours pas. J'arrivais à mon plaisir au bout d'une demi heure de sa torture, elle a calé mon gland bien au fond d'elle, s'est immobilisée et m'a caressé juste les tétons avec ses pouces. Formidable, je me suis vidé en elle, sans faire les va et vient habituels. J'ai eu droit à des longs baisers, elle me donnait sa langue et je lui donnais la mienne. Nous sommes restés longtemps coller ensemble, j'étais toujours en elle et je n'arrivais pas à débander. Sophie s'est dégagée de mon pénis et m'a alors pris le sexe en bouche. Je lui ai dit de ne pas le faire car j'étais encore plein de sperme. Elle n'a pas mouffeté et elle a continué. Elle me suçait juste le gland, avec beaucoup de douceur et sans me masturber avec ses mains. Elle a juste dit qu'elle le faisait par amour. Je sentais que j'allais encore jouir assez rapidement. Je l'ai prévenue afin qu'elle se retire de mon sexe mais elle m'a gardé en elle en accélérant la cadence. J'ai encore joui et je lui ai pris la tête pour qu'elle se retire. Elle a résisté pour me garder en bouche et elle a reçu mon sperme. Je me suis excusé mais elle est restée bien collée à mon gland. Incroyable, elle m'a bu, je tremblais de plaisir en la voyant, parfois mon sperme s'échappait de ses lèvres, la quantité devait être abondante.
Elle me regardait et je voyais son sourire dans son regard lumineux. Elle s'est ensuite allongée contre moi et a mis sa tête contre ma poitrine. nous nous sommes allumés une cigarette, sans dire un mot elle me caressait avec ses mains douces.
En écrasant sa cigarette, très calmement, elle me demanda si le rêve que j'avais fait était réellement excitant pour moi. Je lui ai répondu affirmativement. Elle s'est mise à pleurer pour de vrai, je sentais ses gouttes qui me tombaient sur la poitrine. J'ai paniqué et je lui ai dit que ce n'était qu'un rêve. J'etais désolé de lui avoir fait du mal et je regrettais déjà.
Elle pleurait énormément et je l'ai serrée fort contre moi. En sniffant du nez, elle m'avoua qu'elle me trompait avec un homme qu'elle connaissait à peine. Je lui ai demandé de répéter et elle me le répéta en s'excusant mile fois, insistant que c'était un accident.
De l'entendre dire ça, j'avais comme l'impression de prendre une douche froide, même si j'attendais qu'elle le dise. Un grand moment de silence. C'est elle qui reprit la parole et elle ne pleurait plus. Elle m'a dit qu'elle l'avait connu par le biais d'un ami et que cette personne avait 65 ans. Ce monsieur était arrivé à la faire jouir avec son pénis. Elle avait cédé sur un coup de tête, il disait qu'elle ressemblait à sa défunte épouse et elle a voulu être gentille, se laissant courtiser et charmer.
Je lui ai demandé de détailler son côté charitable et elle n'a pas hésité à me dire qu'il a insisté pour qu'elle la remplace et il a fini par l'entrainer à son jeu après quelques verres de trop. Elle s'est laissée faire pensant qu'il n'allait pas réussir étant donné qu'il était assez âgé. S'apercevant qu'il allait un peu loin, elle a essayé de fuir la relation mais elle a fini par être ligotée et prise de force. Immédiatement, elle a ressenti du plaisir quand elle le sentait bien au fond d'elle à lui cogner contre son utérus avec son sexe extrement long. Elle a joui discretement en essayant de cacher son plaisir et elle a eu honte. L'inconnu s'est rendu compte de sa jouissance, lui disant qu'elle avait contracté son vagin et sa respiration la trahissait. Il l'a ensuite détachée et cette fois elle s'est faite prendre en douceur pour une deuxième jouissance pratiquemment simultanée. Cette deuxième jouissance avait confirmé qu'elle pouvait jouir de la pénétration. Elle m'a avoué avoir fantasmé sur un scénario de soumission. Cet homme l'obligeait et la guidait en lui faisant croire que son amoureux était ligoté dans la pièce voisine, entendant tout et qu'elle devait se soumettre aux pires actes sexuels qu'il lui imposait. Elle a pris du plaisir aussi grâce à ce fantasme.
Je bandais à nouveau, elle me caressa le sexe avec sa main douce et me demanda si je voulais encore l'écouter. Elle me dit qu'elle était quand même très surprise de me voir autant excité du récit qu'elle me faisait. Elle voulait aussi connaître les limites de ce que je pouvais supporter.
Je lui ai demandé si elle voulait continuer la relation avec cet inconnu. Je ne lui en voudrais pas si son plaisir sexuel la faisait vivre mieux étant donné que j'etais incapable de la faire jouir de cette façon. Elle m'a répondu que ce plaisir était nouveau et intense. Elle désirait enfin jouir de la pénétration avec cet homme et elle m'affirma que notre amour resterait toujours intact. Cette relation pouvait nous apporter de l'expérience étant donné qu'elle ne voyait plus le pénis comme objet du mal. Tout ce qu'elle apprendrait, elle me promit de le faire ensemble, elle saurait fantasmer pour faire venir son désir et le partager.
Ce moment passait le prouvait déjà. Le temps ne comptait plus depuis cet instant, elle voulait enfin s'amuser et me rendre plus heureux.

Un peu menteuse ma sophie, mais son récit était assez proche de ce que je savais déjà. Je ne pouvais pas lui en vouloir, pas facile d'avouer sa tromperie et surtout le ressenti de son plaisir avec un inconnu. Je lui ai donc donné mon accord à la condition où elle me raconterait les détails de ses parties de jambes en l'air tout en me faisant l'amour. J'ai aussi souhaité de la voir se faire prendre par cet homme mais elle m'a répondu de ne pas precipiter les choses. Cela pourrait bien se faire plus tard, il fallait qu'elle le lui demande avant. Si toutes les conditions étaient réunies, elle ne désirait pas que je sois à vu et préférait plutôt que je sois présent très discrètement dans une pièce voisine ou caché.

Surprise de m'entendre dire que j'acceptais qu'elle puisses continuer avec Joël, elle me remercia et m'embrassa avec beaucoup de tendresse.

Je bandais comme un coq, sa main douce parcourait toujours délicatement mon pénis. Voyant que j'en voulais encore, elle me proposa très timidement que je la sodomise. Je fis semblant d'être surpris et je lui ai demandé si elle savait ce qu'était la sodomie. Elle me regarda droit dans les yeux avec un sourire du tonnerre et m'avoua qu'elle a été dépucelée dernièrement par ce monsieur et que par la suite elle s'était entraînée avec une petite bouteille de coca. Son plaisir était là, elle m'a juste demandé de la laisser faire pour maîtriser sa pénétration.

Elle a pris le lubrifiant qu'elle utilisait par le passé lorsqu'elle ne mouillait pas et la voilà encore sur moi. Elle prenait mon sexe bien lubrifié et le plaça à l'entrée de son anus. Elle poussait ses fesses et une fois bien calée, elle prit ses deux mains pour les écarter. Je voyais son vagin rasé de près, ses lèvres pendantes étaient bien brillantes de sa mouille. Elle m'excitait sans ses poils, son sexe valorisait encore plus son physique. Progressivement, je sentais mon gland qui se tendait. Elle s'arrêta un instant et se mît à me décrire son de pucelage par Joël. La scène, je la connaissais bien et elle disait la vérité cette fois-ci. Je me suis mis à lui titiller le clitoris, ses seins pointaient fort prouvant bien son désir. Elle força enfin pour faire passer mon gland en criant NONNNN, resta un instant sans bouger, me racontant timidement l'entrèe du sexe de cet homme qui voulait d'elle. Elle a collé son corp au mien et continué de me chuchoter à l'oreille. J'avais déjà envie de jouir mais je me retenais pour savoir si elle allait prendre son plaisir par les fesses. Lentement, elle s'enfonça tout en respirant férocement jusqu'à finir en butée. Elle me demanda de lui tenir fermement ses mains dans son dos et d'être violent dans la pénétration pour réussir à la faire jouir. Ce que je fis, la butant en entrant vite et sortant très progressivement pour mieux la sentir. Elle gémissait de plus en plus de son plaisir, tout en suppliant en même temps d'arreter de la faire souffrir et me montrant qu'elle fantasmait déjà de l'inconnu qui la forçait. Je préssentais qu'elle allait jouir et d'une voix tendre, je lui ai glissé à l'oreille que j'étais à l'origine de tous ses rendez-vous avec Gérard. Un grand moment de silence, je continuais à la violenter par les fesses et elle a enfin crié sa jouissance. Une vraie, une que je n'avais jamais vécue. Elle serrait son anus à me faire limite mal comme un serpent étouffant sa proie.
Elle s'est affalée sur moi et j'ai continué de bouger en elle pour pouvoir jouir à mon tour. Sentant ma jouissance venir, elle s'est retirée et m'a gifflé, me disant merci pour Gérard et elle m'a embrassé avec beaucoup d'amour. Elle me dit que pour me punir de l'initiative que j'avais prise sans son autorisation, je devais à l'avenir la faire jouir par derrière en simulant son viol et ne pas éjaculer à cet endroit. Elle le réservait dorénavant uniquement à Joël. Sa vengeance sera sévère, elle sait déjà comment me rendre la pareille. Son regard et son sourire en disait long mais je savais qu'elle me ferait mal tout en me donnant du plaisir. J'ai accepté qu'elle prenne sa revanche et je me suis encore excusé tout en étant fier de l'avoir lancé dans cette aventure.
Nous sommes allés à la douche et j'étais toujours en érection, n'ayant pas joui de sa sodomie. Elle m'a lavé et m'a fini par une masturbation savonneuse à l'aide de ses deux mains hyper douces. Elle s'est moquée de moi lorsque j'ai éjaculé. J'ai eu un forte jouissance mais à peine deux gouttes de sperme. Elle m'a dit que son inconnu éjaculait bien plus, même après plusieurs jouissances. Elle a dit ça pour m'abaissait et déjà se venger. Au fond de moi, j'avais honte mais énormément de plaisir à être soumis de cette façon.

Pour la première fois, nous sommes restés 4 heures à faire l'amour. J'ai pu enfin la prendre de différentes façons. Le meilleur fut la fellation, mon sperme coulant de ses lèvres, une scène qui me fait encore rêver. Dommage que je n'ai pas pu lui jouir dans l'anus, j'aurai été comblé. Ne jamais pouvoir le faire me frustre et m'excite d'autant car je sais que Joël le fera à ma place. J'ai aussi bien apprecié le fait qu'elle m'ait aussi avouer que son inconnu a joui avec abondance plusieurs fois et qu'elle était fière pour une femme de son age de donner autant de plaisir à un homme qui la désirait comme une bête.

En me quittant, sur le pas de la porte, elle a telephoné à Joël et elle lui a demandé un rendez-vous pour le lendemain. Elle a insisté pour qu'ils soient ensemble la journée entière. Son sourire me disait que Joël avait accepté. Elle a noté son adresse en répétant à haute voix, certainement pour que je sache aussi où elle se trouvait. Puis, avant de prendre l'ascenseur, j'ai eu droit juste à une bise, me souhaitant de penser fort à elle pour sa journée du lendemain.

Le lendemain, avant d'aller au travail, je me suis présenté à l'adresse soufflèe par Sophie. Une très belle demeure, sa voiture était garée devant. Je me suis ensuite présenté devant le bureau de Joël, il était bien absent et sa secrétaire m'a dit qu'il était en déplacement pour toute la journée. Sophie m'a appelé dans la matinée, me disant qu'elle s'etait faite belle et qu'elle ne porterait plus de culotte car Joel le lui avait imposé pour venir le voir. Elle m'a dit que les passants la mataient car on voyait bien son vagin au travers de son pantalon. Ses lèvres mouillées la trahissait bien. Elle m'a ensuite souhaité une bonne journée. Je bandais déjà fort et j'ai dû aller aux toilettes les plus proches pour me soulager. Que pouvaient ils bien faire pour occuper toute une journée ? Joël allait savourer son corps et lui remplir l'esprit de sexe...

J'avais hâte d'être en fin de journée pour voir Joël, le directeur de production, afin de connaître la soumission qu'il saura m'imposer.
- Me recevrait-il dans son bureau ?
La dernière fois je l'ai sucé dans la chambre de Gerard et il m'a éjaculé au visage. J'aimerai aller encore plus loin pour voir s'il est aussi expert en tant que Maître. Il doit être à la hauteur pour donner à Sophie les plaisirs qu'elle ne connaît pas encore. Quelle chance pour lui d'avoir à initier une femme si fragile et si douce.

J'ai confiance en Joël et maintenant, je sens Sophie capable de le suivre dans ses délires plein de désirs. Il est assez vicieux, possède l'expérience et saura Respecter ma bien-aimée...
#1227977
Une longue journée d'attente et pas de nouvelles de ma chérie, ni de Joël son dominateur et cocufieur.

J'ai attendu assez tard le retour du directeur de production et j'ai fini par rentrer chez moi. À ma grande surprise, les lumières étaient allumées et j'ai appelé Sophie pour savoir si elle était là. Elle savait où était cachée la clef et avait accès quand elle voulait. Un peu de désordre dans le salon et mon lit un peu défait. J'ai touché mon drap et il était encore tiède. Un tour dans la salle de bain, la douche était encore toute humide. Sophie était donc passée par là.

J'ai completement enlevé la couverture, le drap du lit était humide de cyprine et bien tâché, j'ai senti et il devait y avoir aussi du sperme. Il y en avait aussi sur le canapé du salon. Sur les 4 pieds de la table basse, il restait les liens qui me disaient que Sophie a été attachée à celle-ci.

Dans la cuisine, il y avait 2 verres dans l'évier et un cendrier bien rempli de mégot. Sur la table, une enveloppe en évidence que j'ouvris immédiatement. C'était l'écriture de Sophie. Une longue lettre m'expliquant sa venue à mon domicile.


"Bonsoir mon amour,
Comme tu sais, Joël était avec moi et m'a encore fait découvrir de belle chose. Je t'avais promis de tout te dire lors de notre prochaine rencontre en te faisant l'amour mais Joël m'a imposé de le faire de suite par ce courrier. En espérant que cela te fasse bien du plaisir quand même, je te souhaite une bonne masturbation bien solitaire.
La journée a commencé chez Joël, je me suis presentée sans culotte à sa demande et il m'a sortie pour m'exhiber dans une brasserie parisienne. Je mouillais tellement que mon sexe était mis en evidence au travers de mon pantalon blanc. J'ai eu beaucoup de succès et pas mal d'hommes sont venus à ma rencontre pour des propositions de sexe. J'ai eu droit à aller aux toilettes à deux reprises pour me faire seulement caresser par Joël et j'ai joui en me laissant regarder à chaque fois par un homme différent. En quittant le bar, nous avons été suivi par deux monsieurs jusque dans le parking. J'ai eu la peur de ma vie et Joël aussi. Il connaissait leur réputation à être très violent dans le sexe. Joël a noté leurs téléphones pour un éventuel rendez-vous si je souhaitais donner une suite à leur demande.
Sur la route, j'ai dit à Joël que c'était assez excitant et que j'aurai bien aimé me faire prendre par ces deux hommes dans le parking. Mes fantasmes concernant des hommes qui me prennent de force lui ont donné une idée.
Tu vas donc te raser les poils du sexe et de l'anus. Une fois fait, reviens lire le suite et les ordres de Joël.
Nous avons passé ensuite un agréable moment chez toi, j'ai pu jouir intensément à trois reprises et Joël aussi. Tu connaitras les détails bientôt, je te promets de te rendre encore heureux.
Maintenant, lie toi les chevilles aux pieds de la table basse et une fois fait, passe moi un SMS pour me dire si tu es prêt à te faire sodomiser et attends bien sagement avec les yeux bien bandés. Je suis près de chez toi, fais moi plaisir à exécuter les consignes. Tu comprendras mieux ce que je subis et ce nouveau plaisir à être soumis par les fesses.
Je te souhaite bien du plaisir..."

Je bandais bien fort, de me voir rasé de près m'excitait beaucoup. Je voulais connaître la suite de mes aventures et j'ai donc passé le SMS à Sophie. Elle m'a répondu qu'elle m'aimait et qu'il fallait que je pense fort à elle lorsque Joël l'a prise par derrière sur cette même table et attachée dans les mêmes conditions. D'un moment à l'autre, j'allais avoir la surprise d'accueillir quelqu'un pour me faire dépuceler.
Je me suis bandé les yeux et j'ai attendu. Peu de temps après, le porte de l'appartement s'ouvrit et un main vint me caresser directement l'anus. Une voix d'homme disant que j'étais bien serré et une autre voix répondit que j'allais avoir mal. J'ai eu peur d'un coup car je ne pensais pas qu'il y aurait deux gars. J'ai aussitôt refusé de continuer mais on me prit les mains pour me les lier aux pieds restant de la table basse.
Ils riaient de savoir qu'ils allaient me prendre de force et disaient que le couple de vieux de ce matin les avait bien excités. La vieille était bien bonne et que mon cul allait les soulager de ne pas avoir pu la prendre.

Je tremblais de tout mes membres et j'avais déjà peur d'avoir mal. Je pensais à Sophie, de ce que j'avais vu et entendu lorsque Joël l'avait prise pour la première fois par les fesses.

J'ai tout de suite eu un sexe qui forçait ma bouche pendant que l'autre m'enfilait un objet fin dans les fesses. J'ai vite compris qu'il me seringuait avec un lubrifiant car je me suis senti remplir. Il s'est amusé à passer un doigt et ensuite deux et toujours pas de douleur. On me branlait pour m'exciter et on me travaillait les tétons. Je bandais et j'avais honte.

J'ai sentis un sexe à l'entrée de mon anus et il a poussè sans succès. Instinctivement, je devais serrer fort et j'ai reçu une gifle magistrale me disant qu'il fallait laisser passer la pine qui voulait jouir. Je me suis à peine détendu que ce pénis est rentré en forçant. J'ai crié ma douleur en pensant à celui de Sophie pour sa première. Il était collè à mes fesses et s'est amusè longuement en changeant d'allure pour faire durer son plaisir. Pendant ce temps, celui qui était dans ma bouche faisait de même.

J'ai fini par jouir quand ils ont changé de place, l'autre ne faisait que d'entrer et sortir son gland en stimulant ma prostate. Je serrais fort mes fesses au moment où il entrait en moi pour mieux sentir mon anus s'ouvrir et crier ma douleur à chaque coup. Mon sexe se faisait caresser, je sentais que je bandais moux et j'ai ejaculé quand même. Rapidement, ils ont aussi fini par jouir. Tous les deux ont pris du plaisir dans mon anus. Ils m'ont laissé attacher et sont répartis comme ils étaient venus.

J'ai eu peur car je ne savais pas comment me délier. Après un bon moment, j'entendis la porte se réouvrir. L'inconnu m'enlèva les liens en silence et j'otai aussitôt mon bandeau pour connaître mon sauveur. À ma grande surprise, je vis Sophie qui me souriait. J'avais un peu honte de la situation.
Sur la table, Sophie me montra les deux préservatifs bien remplis de sperme qu'avaient laissé les deux violeurs. Mon sexe goûtait encore et Sophie le prit en main pour une masturbation. Aussitôt que je me suis mis à bander, j'ai éjaculé immédiatement juste après qu'elle m'ait dit qu'elle venait juste de se faire prendre de force dans mon parking, dans le 4x4 des deux hommes lorsqu'ils lui ont remis mes clefs de l'appartement. Elle a eu très peur mais elle m'a rassuré en confirmant qu'elle a quand même finalement réussi à jouir de sa double pénétrations. C'était bestiale comme elle l'avait désiré.

Elle m'a quitté rapidement sans ajouter un mot, me laissant les clefs de mon appartement sur la table. Son simple sourire me disait qu'elle prenait un malin plaisir à se venger de ce que je lui avais imposé. Pour vous dire, c'est quand meme une punition car j'ai quand même eu mal à mon anus durant deux jours.

Tant pis pour moi, je prends aussi tellement de plaisir à savoir que ma belle prenne autant de plaisirs.

J'attends avec impatience de lui faire bientôt l'amour pour qu'elle me raconte comment était la journée qu'elle a passé avec Joël.

Je voulais aussi dire qu'il m'arrive une chose bien sympa, en me relisant, j'arrive à me masturber et à jouir de ce que je vous raconte. Je prends énormément de plaisir et j'espère que vous êtes aussi heureux de me lire.
#1351728
Depuis, il s'est écoulé un bon moment et j'ai changé de poste à mon travail. Une augmentation de salaire de plus de 30% et je suis actuellement le chauffeur privé du dominateur de ma bien aimée Sophie.
Je fais office de maître d'hôtel lorsqu'ils vont en WE dans la demeure de Joël. J'ai ma chambre et Sophie me considère comme un employé, nous nous vouvoyons, elle fait comme bon lui semble.
Grâce à cette nouvelle fonction, je participe de loin. Je n'ai aucun droit concernant les actes sexuelles entre eux.
J'écoute et je regarde très discrètement. Un plaisir intense que je découvre en me masturbant en permanence. Sophie vient vérifier, dès son réveil, si j'ai bien laissé des traces de sperme dans les draps et elle me complimente plus ou moins selon la quantité visible.
L'amour que nous avons mutuellement est encore plus fort. Je lui dis tout concernant le nombre de fois où je jouis en l'espionnant et elle est fière de mon plaisir solitaire.
Son intensité sexuelle avec Joël ne fait que grandir, elle semble rajeunir tellement. Joël ne manque pas d'imagination pour la faire jouir toujours avec autant d'ardeur.
Je vous raconte ce moment très particulier car il vaut le coup d'être dit :
J'ai proposé à Sophie de vendre ses charmes dans une maison privée en Belgique et elle a bien évidemment refusé. Pour la motiver, j'ai insisté en lui disant qu'elle devait au moins savoir si elle était encore désirable. Je connaissais une maison où elle pouvait mettre son tarif au plus fort.
C'est alors qu'elle a pensé que personne ne viendrait vers elle et que le coup pouvait être tenté sachant d'avance qu'elle passerait une journée à attendre son premier client.
Le jour arriva et je fus chargé de la conduire à la maison privée en Belgique. Nous avons fait le nécessaire administratif et elle a signé les contrats avec la patronne des lieux. La responsable me connaissait bien et elle a dit à Sophie qu'elle n'aurait pas de souci pour trouver des clients qui aimeraient passer un moment avec elle malgré le tarif très élevé qu'elle souhaitait.
Il y avait trois autres femmes qui proposaient aussi leur service. Elles avaient toutes la trentaine et Sophie pensait bien que les clients iraient plutôt vers le choix d'une bien plus jeune qu'elle.
Je la laissai donc en main à la propriétaire des lieux et je m'installai à l'hôtel d'en face. L'apres-midi passa et Sophie me rejoignit pour partager le repas du soir. Des que je l'ai vue, elle était rouge de honte. Elle me raconta qu'elle avait eu 4 clients dans l'après midi et que cela c'était bien passé.
Je n'en revenais pas aussi, je ne pensais pas autant sachant que les 3 autres filles semblaient plus excitantes que mon amour de Sophie. Pas un mot de plus tout le long du repas et elle me quitta me disant qu'elle devait y retourner. J'ai insisté pour qu'elle n'y retourne pas si elle se sentait pas bien mais elle avoua qu'elle avait demandé à la tenancière d'arrêter pour aujourd'hui. En réponse, elle lui a montré son contrat et il était bien stipulé que la durée était de 12h. J'étais tellement excité de la voir repartir que j'ai approuvé en l'incitant à y retourner lui montrant les conséquences de sa rupture de contrat, les poursuites judiciaires et surtout que son mari pouvait découvrir le pot aux roses si on portait plainte contre elle. Elle a posé sa main au niveau de mon sexe et je ne pouvais pas cacher ma forte érection. Nous étions dans un coin bien tranquille du restaurant de l'hôtel et elle prit l'initiative de me déboutonner la braguette pour me masturber. Elle enfila sa douce douce main pour prendre l'objet bien excité et j'ai eu la honte de ma vie. J'ai éjaculé précocement, à peine un aller-retour. Elle m'a embrassé en me disant d'attendre son retour, elle pensait revenir assez tôt dans la nuit.
J'ai attendu jusqu'à 2h du matin et j'ai fini par m'endormir en pensant à mon amour. Elle attendait sans rien faire ou avait-elle autant de succès ?
Mon téléphone sonna, c'était Sophie qui m'appelait pour me dire qu'elle venait finalement coucher à l'hôtel. J'étais heureux de savoir qu'elle allait me rejoindre et que nous allions passer un bon moment, j'avais très envi de sexe suite à son expérience avec les nombreux clients qu'elle avait eu. Mais elle a fini par me dire qu'elle avait la chambre voisine et que je pouvais me rincer l'œil en passant par la terrasse, elle laisserait les rideaux et la fenêtre un peu entrouverts.
Je suis sorti sur ma terrasse et j'ai effectivement vu Sophie en train de fumer en compagnie de 2 très jeunes hommes. Par politesse, nous nous sommes salués et ils m'ont rapidement quitté. Je suis resté un bon moment seul et j'ai enfin osé passer à leur terrasse. Comme Sophie me l'avait promis, je pouvais voir une bonne partie de la chambre et tout entendre. Les deux étaient bien équipés et ils bandaient très fort. Sophie n'avait pas besoin de le exciter, ils devaient adorer les femmes matures. Elle était vêtue d'un corset dont on voyait ses seins mis en évidence et les fesses bien à l'air. Sophie les a d'abord masturbés très lentement et s'est laissée arroser abondamment la poitrine et le visage en moins de 5 minutes par le jeune homme qui paraissait avoir juste 20 ans. L'autre, à peine plus vieux, s'est fait du bien en se frottant entre les seins de Sophie. Des jets très puissants et abondants, que seul les jeunes pouvaient avoir.
Une voix me fit sursauter, je venais de ma faire surprendre par un vigile de l'hôtel. Il me demanda ce que je faisais là à regarder et je lui ai répondu que je mâtais ma femme qui se faisait du plaisir. Le grand black se mît à rire et m'attrapa violemment en me faisant entrer dans la chambre de Sophie. Les trois hommes avaient tout à fait l'air de se connaître et il demanda a Sophie si j'étais bien son mari. Elle répondit affirmativement et expliqua mon côté candauliste et aussi de soumis. On m'a permis donc de rester et le vigile s'est invité à la fête. Il a dit qu'il devait retourner au travail et qu'il voulait être prioritaire pour baiser rapidement ma vieille. Il a donc immédiatement sorti son énorme sexe de son pantalon mais Sophie refusa de se faire prendre par un pénis aussi gros et long. Les deux autres complices ont immédiatement maintenu Sophie allongée dos au lit, les jambes bien écartées et on m'a demandé de faire bander le black en le masturbant. Mes doigts ne pouvaient pas se fermer autour de son sexe, je n'en saisissais que la moitié de sa circonférence. Sa longueur devait faire au moins mon avant bras. Une fois prêt, on me demanda de lui enfiler un préservatif et de guider son sexe vers celui de Sophie. Il a commencé à la pénétrer et poussa son gland que je vis disparaître assez facilement. Sophie poussait des petits râles de refus mais le black continuait à entrer lentement en elle. Il arriva au fond d'elle et commença un long retrait, son sexe bien luisant trahissait qu'elle y prenait du plaisir. Il lui a fallu peu de temps pour qu'elle jouisse mais le black continuait à la prendre plus violemment. Les deux hommes la lâchèrent pour mieux la voir jouir encore une fois, elle tremblait comme une hystérique et il finit par sortir d'elle en élevant son préservatif pour lui éjaculer abondamment sur le pubis. La vigile quitta le chambre satisfait me disant que ma femme était une vraie salope et qu'elle n'était pas encore à mettre à la casse. Je bandais fort et Sophie leur a dit que j'étais un éjaculateur précoce. Elle me prit le sexe et leur prouva en ne faisant à peine qu'un aller retour.
Les jeunes m'ordonnèrent de rester allongé sur le sol à côté du lit et que Sophie viendrait me branler quand ils lui donneront l'ordre.
Ils l'ont prise tour à tour pendant au moins trente minutes, j'entendais les bruits de leurs sexes qui entraient en Sophie et leurs claquements contre son corps. Ils ont enfin ordonné à ma bien aimée de venir me masturber et ils se sont placés au dessus de mon visage pour se vider. Au moment où Sophie m'a fait jouir, ils ont joui en même temps. J'ai éjaculé longuement en tremblant. Sophie n'avait pas encore pris son plaisir et ils me demandèrent de lui faire un cunilingus pour qu'elle jouisse aussi. J'exécutai et elle se faisait peloter les seins par l'un tandis que l'autre lui doigtait l'anus. Ils me disaient qu'elle allait aussi y passer de ce côté. Sophie a serré fort ses jambes contre ma tête et a joui doucement et longuement en faisant vibrer son bassin.
Ils sont retournés tous les trois dans le lit et cela n'a pas tardé à reprendre après de longues caresses. Sophie ne voulant pas se faire sodomiser, se fit donc lier et bâillonner. Elle se fit fesser avec une ceinture, de toutes petites tapes qui lui donnaient juste des rougeurs pendant que l'autre lui titillait le bout des seins et le clitoris. J'ai vite entendu ses gloussements de jouissance, elle prenait du plaisir de cette séance fessage. Ils lui ont enlevé les liens et le bâillon et lui ont demandé d'être obéissante pour la sodomie et on m'a placé sur le lit, Sophie à quatre patte les fesses au dessus de mon visage. On m'a ordonné de l'écarter et de guider leurs pénis à chaque pénétration. Je voyais la scène en gros plan et Sophie n'arrêtait pas de dire non et non et elle poussait des râles à chaque fois où le gland passait son anus. De temps en temps, je lui suçais le clitoris, ce qui fit monter son plaisir. Elle a quand même réussi à se faire plaisir trois fois de suite, n'en pouvant plus, elle s'est laissée allonger sur moi de tout son poids et les deux jeunes ont continué à la pistonner jusqu'à se satisfaire.
Une fois qu'ils se sont endormis, Sophie m'a prise par la main et nous sommes allés dans notre chambre pour nous coucher collé l'un contre l'autre. Elle s'est endormie assez rapidement et j'ai du me masturber seul en me frottant gentiment entre ses cuisses. Elle dormait vraiment profondément et j'en ai profité pour la pénétrer. J'ai immédiatement joui en elle en ne faisant qu'un aller avec de très légers va et vient. Ça ne l'a pas réveillé, je comprenais sa journée éreintante avec tous ces hommes qui l'ont honoré. Une bonne journée où elle a appris qu'elle pouvait encore donner du plaisir à une large population d'homme.
Ce souvenir de Sophie qui se vendait m'a mis dans tout mes états, je me suis masturbé pratiquement pendant 2 semaines en imaginant les scènes dans la maison close. Elle m'a raconté qu'elle a beaucoup mouillé et qu'elle a réellement joui à sa première passe. Au milieu de leur rapport, elle avait decidé d'arreter, lui expliquant sa présence. Mais son client avait été autoritaire en lui imposant d'aller au bout en la prenant pendant qu'elle sanglotait. Se sentant forcée et soumise, cela lui a permis très facilement de jouir. Concernant les autres clients, elle mouillait quand meme mais elle simulait la jouissance au moment où ils jouissaient. Au total, elle a eu six clients, trois avaient environ la trentaine, deux autres la quarantaine et le dernier avait juste la cinquantaine. Elle n'a pas joui avec le plus vieux mais c'était pour elle le plus délicieux car il savait être caressant et leur relation a dure 2 heures avant qu'elle le fasse jouir.
Un WE mémorable.

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