- 26 sept. 2012, 19:26
#1204425
Je me suis présenté et vous pouvez me lire dans le post dédié à la présentation le 20 sep 22:53
Voilà la suite de mes aventures, un début dans le candaulisme et le passage au Cuckhold.
Mon nouveau collègue de 40 ans avait accepté de me rendre un service en se proposant d'initier ma maîtresse aux plaisir du sexe. Une femme de 62 ans qui dit toujours qu'elle ne plaît pas aux hommes et que de toute façon leurs pénis ne font pas partie de sa vie. Toujours des caresses, j'en ai un peu marre de voir que je ne suis pas à la hauteur pour la rendre heureuse avec mon sexe. Je suis pourtant un grand de 1m82 avec un sexe de 12cm de long en érection et bien épais.
Le scenario de lui faire un chantage fut enfin élaboré et bien cadré. Mon collègue s'est donc fait passer comme enquêteur pour le compte de son mari. Je lui ai donné l'adresse de ma maîtresse et il fallait impérativement que cela se passe à son domicile . On savait que son mari était absent pour le WE.
Le but premier était d'abord la rencontre. Tout ce que je vous raconte a été rapporté de mon collègue et je vous l'exprime selon mes interprétations. Mon imagination est certainement débordante car le plaisir est intense.
Rusant, il est donc arrivé un peu avant elle devant la porte de sa maison et il a sonné sachant bien que personne ne pouvait répondre. Ma maîtresse, qu'on nommera pour l'histoire "Sophie", arriva immédiatement et lui demanda le pourquoi de sa visite. Mon collègue "Gérard" lui répondit qu'il travaillait pour le compte du monsieur habitant cette adresse. Elle précisa qu'il était absent et le fit quand même entrer dans sa demeure pour qu'il lui explique sa venue au domicile. Il profita donc de la situation pour lui avouer qu'elle était le motif de sa venue et qu'il allait confirmer à son époux qu'elle avait bien un relation avec un amant. Pour confirmer ses vérités, il fit ma description physique et lui raconta quelques moments prouvant notre relation amoureuse. Je lui avais soufflé certains lieux de rencontre, mon adresse et les dernières fois où nous avons fait l'amour. Il précisa qu'il avait des photos et qu'elles étaient prêtes à envoyer à son époux. Elle s'est mise à pleurer et était désespérée de se voir deja à la rue. Elle lui avoua que son mari aurait tous les biens pour lui si il demandait le divorce pour faute. Elle cherchait à negocier pour eviter cette séparation eventuelle et Gérard sauta sur l'occasion pour la consoler et lui proposa un marché. Ce marché était le suivant : avoir une relation de soumise avec lui sans actes de pénétration. Elle ne comprenait pas du tout le SM, elle n'avait jamais dû en entendre parler de sa vie. Il savait qu'elle n'aimait pas la pénétration, chose que je lui avait déjà dite, il connaissait aussi sa faiblesse pour les caresses clitoridiennes. Elle posa des questions sur la soumission, voulant savoir si elle devait souffrir physiquement. Elle lui dit que son corp marquait vite sur les étreintes brutales et qu'elle ne savait rien du sexe. Elle pleurait comme une madeleine, la pauvre.
Gérard lui expliqua que tout était dans la tête, rien ne pouvait amener à des violences sur son corps et qu'il serait même très doux avec elle. Elle répondit que son mari était absent un WE sur deux pour affaire à l'étranger et qu'elle allait réfléchir sur le sujet. Il lui répondit que c'était bien le moment pour commencer son initiation et qu'il n'insisterait pas si elle n'adhérait pas à la soumission. Elle a fini par arrêter de pleurer et à finalement accepter de le faire mais très rapidement. Le charme de Gérard avait certainement fait effet mais rien n'était encore gagné.
J'ai eu mal pour elle mais mon collègue m'a dit de le laisser raconter la suite qui était bien plus excitante et surtout très inattendue. Quand il l'a vue en larme, il a effectivement pensé qu'il fallait abandonner l'idée de ce chantage. Mais il avait remarqué qu'elle rusait en usant de ses charmes en lui tenant la main, de plus elle avait défait discrètement un bouton de son chemisier pour mettre en évidence un beau décolleté.
Il lui a donc, de ce pas, demandé d'ouvrir completement son chemisier et il s'est approché pour lui sortir les deux seins de son soutien gorge. Elle baissait les yeux, déjà soumise, les mains cherchant à les cacher. Il lui fit des compliments sur sa poitrine, les détailla comme une œuvre d'art pour la mettre en valeur. Délicatement, il lui ouvrit le haut de son pantalon et le lui baissa à mi-jambes faisant découvrir à peine son sexe jamais entrenu. Il lui fit la remarque et lui demanda où se trouvaient les appareils pour l'entretien de son épilation. Elle le conduisit à la salle de bain. Il y avait, là, un grand miroir où on pouvait se voir entièrement et il la plaça face à celui-ci, lui demandant de rester là à regarder son image. Elle pouvait déjà se voir le pantalon légèrement baissé et les seins dressés débordant au dessus du soutien gorge. Gérard lui demanda de se raser entièrement et il assista à toute le scène. Elle avait enlevé le bas. Une fois fini et vérification faite, Gérard lui ordonna de remettre sa culotte et son pantalon en se repositionnant comme avant devant le grand miroir. Gérard se plaça derrière elle et se mît à lui caresser les fesses d'une main et à lui titiller les pointes de ses seins. Il avait eteint la lumiere et il passait de temps en temps de son ventre au haut de son vagin sans oser le toucher pleinement. Il lui demanda de lui ouvrir sa braguette et de lui sortir son pénis qui bandait fort depuis la scène de rasage. Elle s'exécuta maladroitement et Gérard le plaça entre les cuisses de ma chérie. Il le glissa sur les lèvres, frottant son clitoris et s'aperçut qu'il le glissait assez facilement. Elle a eu un sursaut et tremblait de peur. Gérard lui serra les cuisses pour mieux la sentir et il continuait à découvrir les détails de son corps avec ses mains. Les caresses ont duré un bon moment, laissant à Sophie le temps necessaire de se rassurer et se detendre. Il ralluma la lumiere, regarda par dessus l'épaule de Sophie et il vit que son pénis était bien humide. Les seins de Sophie ne pouvaient cacher son excitation. Il savait maintenant que Sophie allait être capable d'aller assez loin dans l'expérience. Il était confiant. Il lui dit de bien regarder le sexe de 22cm qui sortait au devant d'elle et il continuait à se frotter entre les cuisses bien serrées de Sophie tout en jouant avec ses tétons de son pouce et de son index. Il les pinçait en les faisant tourner allant chercher de sa cyprine pour mieux les faire glisser entre ses doigts. Sophie gardait bien les yeux grands ouverts et assistait à son acte pour la première fois de sa vie.
Elle qui voulait toujours faire l'amour dans le noir, elle devait avoir honte de son corps et de son comportement avec un inconnu. Mais pourtant, Gérard m'a dit qu'elle ne disait rien et que sa respiration était bien plus longue et souvent irreguliere comme si elle cherchait de l'air pour maîtriser un effort.
Elle n'a pas tardé à jouir et s'est mise à pleurnicher se voulant d'avoir cédé au plaisir. Gérard la prit dans ses bras, la déshabilla entièrement et se plaça devant elle pour qu'il le fasse jouir à son tour. Il lui ordonna de le regarder droit dans les yeux et de le masturber lentement avec ses deux mains. Elle le fit en soumise, Gérard aimait sa maladresse, il avait l'impression d'avoir à initier une pucelle. Il l'embrassait fougueusement avec sa langue mais elle refusait de lui ouvrir la bouche car elle lui avait dit que ce baiser était réservé à son amour. Comme le baiser était réservé, il lui demanda de faire ce qu'une femme ferait à un homme qui la désirait seulement. Il lui demanda de s'agenouiller, lui prit la tête et la guida vers son sexe. Chose qu'elle n'avait jamais faite, elle prit son pénis en bouche et trés maladroitement le lui lécha comme un chien qui lapait sa gamelle. Gérard lui demanda donc fermement d'ouvrir la bouche et il lui tira la tête pour qu'elle puisse prendre en pleine bouche le membre. Il dût lui montrer comment il fallait sucer puis il la laissa faire seule les va et vient juste sur le gland. Elle s'appliqua sachant être douce et parfois serrant fort ses lèvres autour du pénis. Elle a même essayé de le sucer au plus loin mais elle a eu un haut le cœur. Gérard lui disait que c'était bon et la tenait par les cheveux pour la dominer et lui montrer le rythme à prendre.
J'étais fier d'elle, de sa preuve d'amour : Pas de baisers à un inconnu.
Sentant son plaisir arrivé, il lui demanda de stopper et l'emmena vers le lit conjugal. Elle lui prit la main pour lui supplier de ne pas la pénétrer comme promis. Gérard ne fut pas surpris mais il ne voulait pas la laisser prendre l'initiative. Il prit les ceintures des peignoirs présent dans la chambre et la lia bras et pieds gardant ses jambes biens écartées, dos au lit. Il savait qu'il était capable de la faire jouir et qu'elle était soumise naturellement, qu'elle allait aimer son sexe. Les liens étaient à peine serrés pour lui laisser la possibilité de fuir la relation. Si elle ne faisait rien pour se délier, c'était signe qu'elle se résignait à subir la pénétration. Il avait donc le feu vert, elle avait fermé le yeux et attendait sagement la domination. Elle disait "non non non s'il vous plaît" mais Gérard sentait bien au contraire qu'elle voulait continuer. Il a mis un préservatif et il est entrait en elle d'un coup brutal, allant la taper sur son pubis. Il la baisait comme un sauvage et allait très fort et de plus en plus fort, claquant son corps contre elle pour lui montrait que ce n'etait pas la douceur de son mari ni de son amant. Il devait montrer sa puissance et sa violence du plaisir sexuel pour qu'elle sache qu'une bête la désirait. Elle a joui en silence, Gérard a senti son vagin se contracter, se resserrer sur son sexe et sa bouche était pincée pour éviter de crier afin de cacher la honte de son plaisir. Elle le regardait avec des yeux grands ouverts, affolée et surprise de sa première jouissance par la pénétration d'un pénis. Elle respirait par le nez, ne pouvant pas camoufler les irrégularités et les sifflements de son expiration. Elle se trahissait et enfin laissa échapper un long soupir de soulagement.
Gérard m'a juré qu'il ne l'a pas touché ou caressé le clitoris pendant la pénétration. J'étais content pour elle et j'avais hâte de le faire à mon tour. Il m'a annoncé que je ne pourrais jamais lui donner ce plaisir car c'était mécanique et surtout grâce à son long sexe, il arrivait à lui taper l'uterus. Les coups violents qu'il mettait n'était pas fait pour rien, Il avait réussi plusieurs fois à faire jouir quelques femmes dites frigides et cela, grâce à cette façon de faire.
Sophie a pensé que l'aventure était finie et qu'il allait en rester là. Mais Gérard a insisté pour la revoir regulièrement sinon il allait montrer les photos à son mari et aussi à son amant. Sachant qu'elle allait tout perdre, les biens de son mari et l'amour de son amant, elle accepta. Je ne suis pas certain qu'elle l'ait fait seulement pour ces raisons car elle voulait peut-être aussi savoir si son plaisir de se faire pénétrer par Gérard n'était pas juste qu'un coup du hasard.
Gérard n'ayant pas encore joui, la détacha et lui imposa encore la fellation. Elle avait vite appris car elle lui suçait juste le gland et d'elle même, elle jouait aussi avec sa langue. Il sentait venir rapidement son éjaculation, ce que Sophie avait bien vu car son sexe se mettait à donner des coups incontrôlés. Elle le ressortit au bon moment, et tout son sperme gicla sur son visage. Gérard était tellement excité qu'il semblait pissait. Il regardait la scène tandis que ma chérie fermait les yeux et grimaçait en essayant de tourner la tête de gauche à droite pour éviter les projections.
Gérard m'a dit qu'il n'avait jamais joui aussi fort de toute sa vie. Ils ont ensuite pris une douche ensemble et se sont savonner mutuellement dans le noir total. Etonnament, à la demande de Sophie, il l'a masturbée sous la douche et l'a entendue jouir. Cette fois, Sophie ne s'était pas cachée, elle a crié sa jouissance. Elle lui a glissé un remerciement en le bisant sur la joue avant de sortir de la douche.
Gerard a pris des photos de Sophie dans la position attachée au lit et me les a montrées pour prouver qu'elle y était passée. Elle l'avait autorisé a condition qu'elle ne sois pas reconnue. Je pouvais l'identifier, à son grain de beauté sous son sein gauche, malgré le drap qui lui cachait le visage. J'étais excité et je bandais de savoir ma bien-aimée qui acceptait tant de choses alors qu'elle détestait la pénétration. Mon plan avait bien marché mais je ne pensais pas que la relation sexuelle allait se faire si rapidement et surtout que Sophie aurait cédé aussi facilement. Trois jouissances à la suite, c'était une blague ou Gérard devait être un expert. Il faut dire qu'il a le physique, le charme et l'intelligence que Sophie apprécie beaucoup chez les hommes.
La semaine suivante, elle vint me voir et elle ne fit rien paraître de son aventure avec mon collègue. Elle était bien plus sexy que d'habitude dans sa tenue vestimentaire, portant des talons hauts et une jupe ouverte sur le côté. Son soutien gorge la mettait en valeur, il etait fin et on voyait sur le polo la forme de ses tétons qui pointaient. Elle ne portait plus ses culottes "Petit Bateau" mais une culottes large à dentelle assortie au haut. Nous avons fait l'amour et je lui ai posé la question sur son épilation du vagin. Elle m'a simplement répondu que son gynécologue le lui avait conseillé pour des raisons d'hygiène. Elle mouillait énormément et n'avait pas joui de ma pénétration. Par contre, en pensant à son aventure avec Gérard, j'ai joui très rapidement, un peu comme un éjaculateur précoce. J'ai voulu la masturber comme on faisait habituellement mais elle a refusé prétextant qu'elle devait rentrer rapidement. En me quittant, elle me dit qu'elle pouvait moins me voir ces temps ci car son mari la surveillait et qu'elle devait rester plus souvent chez elle. Je savais que c'était faux, elle devait certainement être avec Gérard à se faire soumettre à tous ses désirs.
Le jour suivant, je vis Gérard au travail et il me demanda si cela allait mieux sexuellement avec Sophie. Je lui répondis que Sophie mouillait dorénavant intensément. Il me répondit que c'était un peu grâce à lui et je le remerciai. Il me dit que je n'avais pas bien compris sa réponse. Je lui demandai donc d'approfondir et il m'avoua qu'il avait montré à Sophie ses résultats sanguins prouvant qu'il n'avait pas le SIDA et que les relations régulières avec elle, devaient se passer dorenavant avec éjaculation en elle. Il m'a avoué avoir une passion pour le creampie, voir sa semence ressortir du vagin de Sophie, l'excitait et il lui filmait le sexe à chaque fois pour visionner chez lui et se masturber à nouveau. Il lui a promis de n'avoir qu'elle comme partenaire sexuelle pour la protéger de tout risque à venir. Gérard m'a donc confirmé qu'il l'avait prise juste avant dans sa voiture, sur le parking voisin et qu'il l'a déposée devant chez moi en lui demandant d'aller me faire l'amour sans se nettoyer. il m'a montré une vidéo de leurs ébats pour me prouver que Sophie prenait du plaisir. Il m'a expliqué avoir préparé son coup en collant son IPhone sur le pare soleil sans que Sophie soit au courant. Un jeu d'enfant avec ces appareils modernes. Il lui a fallu juste d'un instant pour déplier le pare soleil et de le remettre. Sophie etait agenouilléeà l'avant face au siège passager et dos au pare brise avec la jupe remontée au plus haut, il faisait tres sombre et Gérard la défonçait brutalement. Ses bras faisaient le tour du dossier et ses mains étaient liés car elle avait refusé l'acte dans un parking où on pouvait la voir. Elle a quand même joui en poussant des saccades de tous petits cris bien aiguës et Gérard n'a pas tardait à grogner comme une bête. Gerard me dit tout bas à l'oreille que dorenavant, il nous imposait une règle, il devait d'abord jouir en elle avant que je lui fasse l'amour. Je bandais tellement de savoir que j'avais baigné dans le sperme de mon collègue et que Sophie jouissait enfin pleinement de sa pénétration.
Je me suis précipité dans les toilettes pour me masturber afin de me soulager en moins de une minute et en ressortant, mon Gérard m'a fait un sourire pour me montrer qu'il savait que j'avais du plaisir à lui être soumis. Je lui ai dit que les vidéos sur la soumission de Sophie me plaisaient et que j'aimerai en avoir souvent. Il me promit de m'en envoyer par mail régulièrement.
Je rêve maintenant de voir mon amour se faire prendre avec jouissance et ensuite de boire le sperme de Gérard qui sort de son vagin. Comment faire, c'est assez effrayant mais je dèjà une idée d'un scénario.
J'attends aussi avec impatience que Gérard passe à l'étape supérieure car il m'a avoué qu'il aimerait passer bientôt à la fellation complète. Il veut la voir avaler son sperme. Il a un programme bien ficelé et l'étape finale serait qu'elle accepte de se faire dépuceler des fesses. La sodomie, il rêve, ce n'est pas gagné.
À suivre...
.
Voilà la suite de mes aventures, un début dans le candaulisme et le passage au Cuckhold.
Mon nouveau collègue de 40 ans avait accepté de me rendre un service en se proposant d'initier ma maîtresse aux plaisir du sexe. Une femme de 62 ans qui dit toujours qu'elle ne plaît pas aux hommes et que de toute façon leurs pénis ne font pas partie de sa vie. Toujours des caresses, j'en ai un peu marre de voir que je ne suis pas à la hauteur pour la rendre heureuse avec mon sexe. Je suis pourtant un grand de 1m82 avec un sexe de 12cm de long en érection et bien épais.
Le scenario de lui faire un chantage fut enfin élaboré et bien cadré. Mon collègue s'est donc fait passer comme enquêteur pour le compte de son mari. Je lui ai donné l'adresse de ma maîtresse et il fallait impérativement que cela se passe à son domicile . On savait que son mari était absent pour le WE.
Le but premier était d'abord la rencontre. Tout ce que je vous raconte a été rapporté de mon collègue et je vous l'exprime selon mes interprétations. Mon imagination est certainement débordante car le plaisir est intense.
Rusant, il est donc arrivé un peu avant elle devant la porte de sa maison et il a sonné sachant bien que personne ne pouvait répondre. Ma maîtresse, qu'on nommera pour l'histoire "Sophie", arriva immédiatement et lui demanda le pourquoi de sa visite. Mon collègue "Gérard" lui répondit qu'il travaillait pour le compte du monsieur habitant cette adresse. Elle précisa qu'il était absent et le fit quand même entrer dans sa demeure pour qu'il lui explique sa venue au domicile. Il profita donc de la situation pour lui avouer qu'elle était le motif de sa venue et qu'il allait confirmer à son époux qu'elle avait bien un relation avec un amant. Pour confirmer ses vérités, il fit ma description physique et lui raconta quelques moments prouvant notre relation amoureuse. Je lui avais soufflé certains lieux de rencontre, mon adresse et les dernières fois où nous avons fait l'amour. Il précisa qu'il avait des photos et qu'elles étaient prêtes à envoyer à son époux. Elle s'est mise à pleurer et était désespérée de se voir deja à la rue. Elle lui avoua que son mari aurait tous les biens pour lui si il demandait le divorce pour faute. Elle cherchait à negocier pour eviter cette séparation eventuelle et Gérard sauta sur l'occasion pour la consoler et lui proposa un marché. Ce marché était le suivant : avoir une relation de soumise avec lui sans actes de pénétration. Elle ne comprenait pas du tout le SM, elle n'avait jamais dû en entendre parler de sa vie. Il savait qu'elle n'aimait pas la pénétration, chose que je lui avait déjà dite, il connaissait aussi sa faiblesse pour les caresses clitoridiennes. Elle posa des questions sur la soumission, voulant savoir si elle devait souffrir physiquement. Elle lui dit que son corp marquait vite sur les étreintes brutales et qu'elle ne savait rien du sexe. Elle pleurait comme une madeleine, la pauvre.
Gérard lui expliqua que tout était dans la tête, rien ne pouvait amener à des violences sur son corps et qu'il serait même très doux avec elle. Elle répondit que son mari était absent un WE sur deux pour affaire à l'étranger et qu'elle allait réfléchir sur le sujet. Il lui répondit que c'était bien le moment pour commencer son initiation et qu'il n'insisterait pas si elle n'adhérait pas à la soumission. Elle a fini par arrêter de pleurer et à finalement accepter de le faire mais très rapidement. Le charme de Gérard avait certainement fait effet mais rien n'était encore gagné.
J'ai eu mal pour elle mais mon collègue m'a dit de le laisser raconter la suite qui était bien plus excitante et surtout très inattendue. Quand il l'a vue en larme, il a effectivement pensé qu'il fallait abandonner l'idée de ce chantage. Mais il avait remarqué qu'elle rusait en usant de ses charmes en lui tenant la main, de plus elle avait défait discrètement un bouton de son chemisier pour mettre en évidence un beau décolleté.
Il lui a donc, de ce pas, demandé d'ouvrir completement son chemisier et il s'est approché pour lui sortir les deux seins de son soutien gorge. Elle baissait les yeux, déjà soumise, les mains cherchant à les cacher. Il lui fit des compliments sur sa poitrine, les détailla comme une œuvre d'art pour la mettre en valeur. Délicatement, il lui ouvrit le haut de son pantalon et le lui baissa à mi-jambes faisant découvrir à peine son sexe jamais entrenu. Il lui fit la remarque et lui demanda où se trouvaient les appareils pour l'entretien de son épilation. Elle le conduisit à la salle de bain. Il y avait, là, un grand miroir où on pouvait se voir entièrement et il la plaça face à celui-ci, lui demandant de rester là à regarder son image. Elle pouvait déjà se voir le pantalon légèrement baissé et les seins dressés débordant au dessus du soutien gorge. Gérard lui demanda de se raser entièrement et il assista à toute le scène. Elle avait enlevé le bas. Une fois fini et vérification faite, Gérard lui ordonna de remettre sa culotte et son pantalon en se repositionnant comme avant devant le grand miroir. Gérard se plaça derrière elle et se mît à lui caresser les fesses d'une main et à lui titiller les pointes de ses seins. Il avait eteint la lumiere et il passait de temps en temps de son ventre au haut de son vagin sans oser le toucher pleinement. Il lui demanda de lui ouvrir sa braguette et de lui sortir son pénis qui bandait fort depuis la scène de rasage. Elle s'exécuta maladroitement et Gérard le plaça entre les cuisses de ma chérie. Il le glissa sur les lèvres, frottant son clitoris et s'aperçut qu'il le glissait assez facilement. Elle a eu un sursaut et tremblait de peur. Gérard lui serra les cuisses pour mieux la sentir et il continuait à découvrir les détails de son corps avec ses mains. Les caresses ont duré un bon moment, laissant à Sophie le temps necessaire de se rassurer et se detendre. Il ralluma la lumiere, regarda par dessus l'épaule de Sophie et il vit que son pénis était bien humide. Les seins de Sophie ne pouvaient cacher son excitation. Il savait maintenant que Sophie allait être capable d'aller assez loin dans l'expérience. Il était confiant. Il lui dit de bien regarder le sexe de 22cm qui sortait au devant d'elle et il continuait à se frotter entre les cuisses bien serrées de Sophie tout en jouant avec ses tétons de son pouce et de son index. Il les pinçait en les faisant tourner allant chercher de sa cyprine pour mieux les faire glisser entre ses doigts. Sophie gardait bien les yeux grands ouverts et assistait à son acte pour la première fois de sa vie.
Elle qui voulait toujours faire l'amour dans le noir, elle devait avoir honte de son corps et de son comportement avec un inconnu. Mais pourtant, Gérard m'a dit qu'elle ne disait rien et que sa respiration était bien plus longue et souvent irreguliere comme si elle cherchait de l'air pour maîtriser un effort.
Elle n'a pas tardé à jouir et s'est mise à pleurnicher se voulant d'avoir cédé au plaisir. Gérard la prit dans ses bras, la déshabilla entièrement et se plaça devant elle pour qu'il le fasse jouir à son tour. Il lui ordonna de le regarder droit dans les yeux et de le masturber lentement avec ses deux mains. Elle le fit en soumise, Gérard aimait sa maladresse, il avait l'impression d'avoir à initier une pucelle. Il l'embrassait fougueusement avec sa langue mais elle refusait de lui ouvrir la bouche car elle lui avait dit que ce baiser était réservé à son amour. Comme le baiser était réservé, il lui demanda de faire ce qu'une femme ferait à un homme qui la désirait seulement. Il lui demanda de s'agenouiller, lui prit la tête et la guida vers son sexe. Chose qu'elle n'avait jamais faite, elle prit son pénis en bouche et trés maladroitement le lui lécha comme un chien qui lapait sa gamelle. Gérard lui demanda donc fermement d'ouvrir la bouche et il lui tira la tête pour qu'elle puisse prendre en pleine bouche le membre. Il dût lui montrer comment il fallait sucer puis il la laissa faire seule les va et vient juste sur le gland. Elle s'appliqua sachant être douce et parfois serrant fort ses lèvres autour du pénis. Elle a même essayé de le sucer au plus loin mais elle a eu un haut le cœur. Gérard lui disait que c'était bon et la tenait par les cheveux pour la dominer et lui montrer le rythme à prendre.
J'étais fier d'elle, de sa preuve d'amour : Pas de baisers à un inconnu.
Sentant son plaisir arrivé, il lui demanda de stopper et l'emmena vers le lit conjugal. Elle lui prit la main pour lui supplier de ne pas la pénétrer comme promis. Gérard ne fut pas surpris mais il ne voulait pas la laisser prendre l'initiative. Il prit les ceintures des peignoirs présent dans la chambre et la lia bras et pieds gardant ses jambes biens écartées, dos au lit. Il savait qu'il était capable de la faire jouir et qu'elle était soumise naturellement, qu'elle allait aimer son sexe. Les liens étaient à peine serrés pour lui laisser la possibilité de fuir la relation. Si elle ne faisait rien pour se délier, c'était signe qu'elle se résignait à subir la pénétration. Il avait donc le feu vert, elle avait fermé le yeux et attendait sagement la domination. Elle disait "non non non s'il vous plaît" mais Gérard sentait bien au contraire qu'elle voulait continuer. Il a mis un préservatif et il est entrait en elle d'un coup brutal, allant la taper sur son pubis. Il la baisait comme un sauvage et allait très fort et de plus en plus fort, claquant son corps contre elle pour lui montrait que ce n'etait pas la douceur de son mari ni de son amant. Il devait montrer sa puissance et sa violence du plaisir sexuel pour qu'elle sache qu'une bête la désirait. Elle a joui en silence, Gérard a senti son vagin se contracter, se resserrer sur son sexe et sa bouche était pincée pour éviter de crier afin de cacher la honte de son plaisir. Elle le regardait avec des yeux grands ouverts, affolée et surprise de sa première jouissance par la pénétration d'un pénis. Elle respirait par le nez, ne pouvant pas camoufler les irrégularités et les sifflements de son expiration. Elle se trahissait et enfin laissa échapper un long soupir de soulagement.
Gérard m'a juré qu'il ne l'a pas touché ou caressé le clitoris pendant la pénétration. J'étais content pour elle et j'avais hâte de le faire à mon tour. Il m'a annoncé que je ne pourrais jamais lui donner ce plaisir car c'était mécanique et surtout grâce à son long sexe, il arrivait à lui taper l'uterus. Les coups violents qu'il mettait n'était pas fait pour rien, Il avait réussi plusieurs fois à faire jouir quelques femmes dites frigides et cela, grâce à cette façon de faire.
Sophie a pensé que l'aventure était finie et qu'il allait en rester là. Mais Gérard a insisté pour la revoir regulièrement sinon il allait montrer les photos à son mari et aussi à son amant. Sachant qu'elle allait tout perdre, les biens de son mari et l'amour de son amant, elle accepta. Je ne suis pas certain qu'elle l'ait fait seulement pour ces raisons car elle voulait peut-être aussi savoir si son plaisir de se faire pénétrer par Gérard n'était pas juste qu'un coup du hasard.
Gérard n'ayant pas encore joui, la détacha et lui imposa encore la fellation. Elle avait vite appris car elle lui suçait juste le gland et d'elle même, elle jouait aussi avec sa langue. Il sentait venir rapidement son éjaculation, ce que Sophie avait bien vu car son sexe se mettait à donner des coups incontrôlés. Elle le ressortit au bon moment, et tout son sperme gicla sur son visage. Gérard était tellement excité qu'il semblait pissait. Il regardait la scène tandis que ma chérie fermait les yeux et grimaçait en essayant de tourner la tête de gauche à droite pour éviter les projections.
Gérard m'a dit qu'il n'avait jamais joui aussi fort de toute sa vie. Ils ont ensuite pris une douche ensemble et se sont savonner mutuellement dans le noir total. Etonnament, à la demande de Sophie, il l'a masturbée sous la douche et l'a entendue jouir. Cette fois, Sophie ne s'était pas cachée, elle a crié sa jouissance. Elle lui a glissé un remerciement en le bisant sur la joue avant de sortir de la douche.
Gerard a pris des photos de Sophie dans la position attachée au lit et me les a montrées pour prouver qu'elle y était passée. Elle l'avait autorisé a condition qu'elle ne sois pas reconnue. Je pouvais l'identifier, à son grain de beauté sous son sein gauche, malgré le drap qui lui cachait le visage. J'étais excité et je bandais de savoir ma bien-aimée qui acceptait tant de choses alors qu'elle détestait la pénétration. Mon plan avait bien marché mais je ne pensais pas que la relation sexuelle allait se faire si rapidement et surtout que Sophie aurait cédé aussi facilement. Trois jouissances à la suite, c'était une blague ou Gérard devait être un expert. Il faut dire qu'il a le physique, le charme et l'intelligence que Sophie apprécie beaucoup chez les hommes.
La semaine suivante, elle vint me voir et elle ne fit rien paraître de son aventure avec mon collègue. Elle était bien plus sexy que d'habitude dans sa tenue vestimentaire, portant des talons hauts et une jupe ouverte sur le côté. Son soutien gorge la mettait en valeur, il etait fin et on voyait sur le polo la forme de ses tétons qui pointaient. Elle ne portait plus ses culottes "Petit Bateau" mais une culottes large à dentelle assortie au haut. Nous avons fait l'amour et je lui ai posé la question sur son épilation du vagin. Elle m'a simplement répondu que son gynécologue le lui avait conseillé pour des raisons d'hygiène. Elle mouillait énormément et n'avait pas joui de ma pénétration. Par contre, en pensant à son aventure avec Gérard, j'ai joui très rapidement, un peu comme un éjaculateur précoce. J'ai voulu la masturber comme on faisait habituellement mais elle a refusé prétextant qu'elle devait rentrer rapidement. En me quittant, elle me dit qu'elle pouvait moins me voir ces temps ci car son mari la surveillait et qu'elle devait rester plus souvent chez elle. Je savais que c'était faux, elle devait certainement être avec Gérard à se faire soumettre à tous ses désirs.
Le jour suivant, je vis Gérard au travail et il me demanda si cela allait mieux sexuellement avec Sophie. Je lui répondis que Sophie mouillait dorénavant intensément. Il me répondit que c'était un peu grâce à lui et je le remerciai. Il me dit que je n'avais pas bien compris sa réponse. Je lui demandai donc d'approfondir et il m'avoua qu'il avait montré à Sophie ses résultats sanguins prouvant qu'il n'avait pas le SIDA et que les relations régulières avec elle, devaient se passer dorenavant avec éjaculation en elle. Il m'a avoué avoir une passion pour le creampie, voir sa semence ressortir du vagin de Sophie, l'excitait et il lui filmait le sexe à chaque fois pour visionner chez lui et se masturber à nouveau. Il lui a promis de n'avoir qu'elle comme partenaire sexuelle pour la protéger de tout risque à venir. Gérard m'a donc confirmé qu'il l'avait prise juste avant dans sa voiture, sur le parking voisin et qu'il l'a déposée devant chez moi en lui demandant d'aller me faire l'amour sans se nettoyer. il m'a montré une vidéo de leurs ébats pour me prouver que Sophie prenait du plaisir. Il m'a expliqué avoir préparé son coup en collant son IPhone sur le pare soleil sans que Sophie soit au courant. Un jeu d'enfant avec ces appareils modernes. Il lui a fallu juste d'un instant pour déplier le pare soleil et de le remettre. Sophie etait agenouilléeà l'avant face au siège passager et dos au pare brise avec la jupe remontée au plus haut, il faisait tres sombre et Gérard la défonçait brutalement. Ses bras faisaient le tour du dossier et ses mains étaient liés car elle avait refusé l'acte dans un parking où on pouvait la voir. Elle a quand même joui en poussant des saccades de tous petits cris bien aiguës et Gérard n'a pas tardait à grogner comme une bête. Gerard me dit tout bas à l'oreille que dorenavant, il nous imposait une règle, il devait d'abord jouir en elle avant que je lui fasse l'amour. Je bandais tellement de savoir que j'avais baigné dans le sperme de mon collègue et que Sophie jouissait enfin pleinement de sa pénétration.
Je me suis précipité dans les toilettes pour me masturber afin de me soulager en moins de une minute et en ressortant, mon Gérard m'a fait un sourire pour me montrer qu'il savait que j'avais du plaisir à lui être soumis. Je lui ai dit que les vidéos sur la soumission de Sophie me plaisaient et que j'aimerai en avoir souvent. Il me promit de m'en envoyer par mail régulièrement.
Je rêve maintenant de voir mon amour se faire prendre avec jouissance et ensuite de boire le sperme de Gérard qui sort de son vagin. Comment faire, c'est assez effrayant mais je dèjà une idée d'un scénario.
J'attends aussi avec impatience que Gérard passe à l'étape supérieure car il m'a avoué qu'il aimerait passer bientôt à la fellation complète. Il veut la voir avaler son sperme. Il a un programme bien ficelé et l'étape finale serait qu'elle accepte de se faire dépuceler des fesses. La sodomie, il rêve, ce n'est pas gagné.
À suivre...
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