- 14 juin 2014, 19:52
#1604851
Comme il se doit, puisqu'en temps que mari cuckold je lance ce nouveau post, je commence.
Ma femme et moi même sommes libertins, tous les deux bisexuels (active pour elle, passif pour moi), depuis 20 ans. Candauliste qui s'ignorait, je suis devenu cuckold le 31/12/2009. La date est très précise. C'est ce jour là que ma femme est tombée amoureuse à 49 ans d'un jeune black de 24 ans, JJ,...incroyablement expérimenté aussi bien avec des femmes que des couples cuckolds. Leur liaison, un peu cahotique en raison de notre départ de Paris, perdure en 2014.
L'anecdote que je conte ici date de juin 2010.
Si JJ n'est pas l'Homme le plus performant qu'il a été donné à ma femme de rencontrer, il est dans son "top five". Je ne dis plus combien d'hommes ma femme a baisé, on ne me croit en général pas. Avec elle, en 20 ans, c'est en milliers qu'il faut compter. C'est en fait vite atteint quand on partouze plusieurs fois par mois. Leur entente sexuelle fut parfaite dès leur première rencontre, en octobre 2009. Ladite rencontre n'avait rien de romantique puisqu'il s'agissait d'un "mini" gang bang. Ma femme, moi inactif, une amie bisexuelle de ma femme et 7 blacks dont aucun n'avait un pénis en dessous de 21x5...la taille de celui de JJ.
Le coup de foudre me fut visible ainsi qu'à l'amie qui faisait partie de la fête. Ma femme ne baisait plus, elle ne dominait plus comme à l'accoutumée, elle se faisait baiser, elle se laissait dominer. Elle n'était plus à "chevaucher" JJ, elle s'offrait à lui jambes bien écartées, lèvres collées, lui la besognant comme seuls les blacks savent le faire, en missionnaire. Ce fut en fait le moment le plus excitant de la soirée pour moi. Voir ce jeune homme dont le corps d'athlète ondulait pendant qu'il étraignait ma femme me fit bander. Je n'ai aucun problème érectile, mais je suis vraiment blasé de voir ma femme baiser des mecs ou des nanas. Ce qui l'excite elle même le plus, c'est de "tomber" sur des partenaires qui parviennent à prendre le dessus sur elle. Hommes ou femmes. Là, cette nuit de fin octobre 2009, cet homme la dominait avec une tendresse évidente, pendant que sa virilité et son expérience exceptionnelle lui arrachait des hurlements de jouissance.
Le nouvel an 2009-2010 scellait leurs retrouvailles. La magie opérait à nouveau, et c'est autour de 20h le 31/12/2009 que pour la première fois de sa longue vie de libertine ma femme se cachait de moi et montait avec un homme, seule, dans la chambre que nous avait attribué l'ami bi qui nous recevait pour ce réveillon de 4 nuits...Avant que les 12 coups de minuit aient sonné, par deus fois ma femme finissait l'année 2009 et beauté, et elle commençait l'année 2010 encore avec JJ.
Le reste alla très vite. Le 2 janvier 2010, elle ne faisait plus l'amour qu'avec JJ dans cette chambre où se décidait notre avenir de couple "cuckold". Le 11 février 2010, ma femme partait de l'appartement vers 12h30 et y revenait à 20h45 après un après midi d'amour avec son amant. Son premier amant en fait. Je n'avais pas été convié à regarder la première de sa vie où un autre homme que moi allait lui faire l'amour sans capote. Une femme de notre génération qui aurait pu avoir des relations sexuelles sans capote à une époque où le sida n'existait pas, ne s'offre pas au premier venu en 2010...JJ reste le seul homme à avoir fait l'amour à ma femme "queue nue". J'aurais aimé les voir. Je me consolais en nettoyant son minou. Deux souvenirs se superposent. Celui de ce 11 février 2010, puis - on viendra après - celui de la scène qu'elle m'offrit en juin.
Là elle venait donc de rentrer à l'appartement. Je passe les détails pratiques. Les enfants n'avaient pas terminés leurs devoirs. Ils étaient dans leurs chambres. Le diner était en train de chauffer. Ma femme m'entraina dans notre chambre. Le sperme de son amant, qu'elle portait en elle, fut un instrument de domination. J'allais "le bouffer", et ainsi être soumis à son amant sans qu'il ne soit là, dans l'intimité de notre chambre. De toute évidence ma femme n'avait pas envie d'avoir une relation sexuelle avec son mari. Je comprenais qu'elle avait eu des relations sexuelles intenses, très intenses, pendant les 7 heures consécutives qu'elle venait de passer dans le lit de JJ. Elle ne savait plus combien de fois elle avait jouir (plusieurs dizaines de fois puisqu'elle jouit toutes les 12 à 15 minutes quand elle fait l'amour avec JJ), ni combien de fois JJ avait éjaculé en elle. Elle avait envie que je la remercie de ses bonnes intentions. "On a refait l'amour au moment où je partais pour que je rentre bien pleine". A l'inverse de la célèbre publicité, elle gardait le haut et enlevait le bas. Son jean était maculé de sperme, et son string noir était presque blanc ! Le tout allait directement dans la corbeille destinée au linge sale. Elle déboutonnait son chemisier, mais n'enlevait que son soutien gorge.
En fait, elle voulait que je découvre que son corps était maculé de sperme, séché. Elle m'embrassait puis me prenant la tête elle la dirigeait vers son cou, puis vers ses seins, et à mesure elle remontait dans le lit. Du cou à son pubis, ma langue et mes doigts était au contact du sperme de JJ. Cela sentait bon. "Je ne me suis pas lavée, pour toi".
J'étais nu, elle à moitié habillée. En fait elle poussait toujours davantage ma tête vers son pubis. Mon sexe raide s'éloignait à chaque fois un peu plus du sien. Mon visage était maintenant à la hauteur de sa chatte. Elle écarta grand les jambes. Je reniflais son intimité. Elle sentait le plaisir. La jouissance. Ses poils bien taillés étaient à la fois couverts de sperme séché et frais. Son humidité était telle que le sperme de JJ était encore presque intact. 1/2 de métro, 15 minutes entre son arrivée à l'appartement et que nous nous retrouvions allongés sur notre lit. Il y avait 45 minutes à peine, le sexe de JJ était encore en elle. Je l'imaginais. JJ me fait bander. Il n'est pas bi, mais il en joue. Tous les couples cuckolds dont il est l'amant des femmes sont les mêmes. Avoués ou non, les maris cocu sont presque tous bisexuels, et le corps et le sexe des bulls font partie de leur excitation. Quand je suis face à ma femme et à JJ qui font l'amour, autant ma femme que JJ me font bander !
Ma langue un instant hésitante s'engouffrait dans l'intimité de ma femme. Elle poussa. Fort. Très fort. J'aspirais machinalement. Ma bouche se remplit d'un coup. C'était du sperme. C'était le sperme de JJ. C'était la jute de ma femme dont je reconnaissait un peu le goût. Le mélange des deux me plut. Le sperme de JJ donnait de l'onctuosité à la jute de ma femme. J'en ai bu des litres depuis ce 11 février 2010. Je me suis mis à lécher comme un fou le sexe de ma femme. J'aspirais. Je mettais mes doigts pour aller chercher au fond d'elle le sperme de JJ. Je comprenais que c'était maintenant lui "son Homme". "Tu aimes bien ?" "Oh oui" "Alors tant mieux" ...avec un ton qui me faisait comprendre que si cela ne m'avait pas plu cela aurait été pareil...!
Je me remontais vers sa bouche. Nos corps étaient maintenant l'un contre l'autre. Ma bouche était pleine de sperme. Mes lèvres également. Je l'embrassais. Ce fut sensuel. "Tu aimes son sperme" lui disais-je ? Elle se mit à lécher mes lèvres. J'avais la réponse. Elle rit. "Non, non". Et elle relécha mes lèvres comme pour faire disparaitre ce qui pouvait y rester de sperme. J'avais envie de la pénétrer. Elle le sentit. Mon pénis s'approchait de son sexe. "Il faut diner". Elle me repoussa. J'aurais volontiers trempé ma queue dans sa chatte. Elle finit la nuit avec le seul sperme de JJ en elle. Elle ne voulut pas que je la pénètre après le diner. "Excuses moi, j'ai baisé toute la journée, j'ai envie de dormir". C'était vrai.
Mon second souvenir le plus excitant remonte à juin 2010. Je l'ai déjà en partie raconté ici, je ne sais plus dans quel post. Dans le premier souvenir qui m'a ému et restera indélébile, cela ne se passait qu'entre ma femme et moi.
Là, cette fois, cela se passe en public. Le public était avertit. Nos principaux amis et amies libertins. Le cadre était encore celui de la maison de cet ami bi qui nous recevait si souvent ma femme et moi. Avec la gentilesse qui lui est coutumière il avait bien évidemment invité également JJ. Il n'ignorait en rien l'attachement qu'éprouvait ma femme vis à vis de JJ. Cet ami, Philippe est un libertin dans l'âme. Il a souvent baisé ma femme et moi aussi. L'un après l'autre. Notre complicité avec Philippe est donc totale. Il aurait volontiers baisé avec JJ, mais ce dernier n'est pas davantage sensible à ses avances qu'aux miennes, très softs. JJ aime les trans, et ne se prive pas d'en baiser entre deux filles...
Là donc, ce qui m'a le plus excité de ma vie (jusqu'à présent) s'est passé en 2 temps. Le temps du matin. Le temps du soir. Il vous faut imaginer une maison à la campagne, pleine d'amis, mais libertins. Un mois de juin assez chaud. Chacun et chacune très légèrement habillé. Une partouze de la veille, un vendredi, qui s'était terminée à "pas d'heure". JJ et ma femme s'étaient clairement affiché en couple. J'étais resté dans mon coin, sans eux, toute la soirée. Toutes les soirées de notre ami étant "bisexuelles", je m'étais satisfait avec un ami bi, et regardé les uns et les autres comme les unes et les autres baiser entre eux et elles, et le couple formé par ma femme et JJ s'échanger avec d'autres couples. Avaient dormi dans la maison une bonne quinzaine des meilleurs amis et amies "de cul". Tout le monde était dans la salle à manger, dont moi. Ma femme m'avait demandé à ne dormir qu'avec JJ. J'avais accepté. Je ne sais pas si je dois le regretter. Parfois je me dis que oui, d'autres que non... Ils avaient donc partouzé jusque tard dans la nuit. Puis, comme demandé par ma femme, ils se sont enfermés dans la chambre qui était habituellement "la nôtre" quand nous passions des weeks ends chez cet ami. Ils avaient fait l'amour, et sans prévenir, ma femme était venu me voir sur le canapé lit où je dormais, un peu "à ses pieds et ceux de JJ". Ledit canapé lit était sur le vaste palier sur lequel ouvrait la chambre en question. Je n'avais pas perdu une miette des bruits d'orgasmes aussi bien de ma femme que de JJ.
JJ qui se défend (gentiment à mon égard) de mieux connaitre (sexuellement) ma femme que moi me dit souvent qu'elle est très vicieuse et perverse. Je le sais bien. Cette nuit là qui fut la première complète qu'elle passa sans moi, son mari, alors que j'étais au même endroit, elle vint se "vider" du sperme de JJ sur mon visage et dans ma bouche aussitôt après avoir jouit en même temps que JJ. Entre leur orgasme commun, très très violent, il lui fallu 2 ou 3 minutes pour s'en remettre. Les soupirs, les essouflements me semblaient transpercer la porte à l'isolation symbolique. le temps de se lever, le temps d'ouvrir la porte (fermée mais pas à clé), le temps de sortir de la chambre et de parcourir les 2 m qui la séparait de mon canapé lit. Le temps de me dire "Tu dors ?" Le temps de répondre "Non". Le temps qu'elle se mettre sur le côté du lit, le temps qu'elle monte dessus et m'enjambe. Le temps qu'elle se retrouve le sexe au dessus de ma tête, moi étant allongé, et le temps que le sperme de JJ commence à me couler sur le visage et dans la bouche.... tout cela ne du prendre qu'une minute ou deux... Pas un mot. Plusieurs minutes (4, 5 ? je ne sais pas) le temps que plus rien ne coule. Une petite masturbation qu'elle a bloqué avant de jouir, qui a du durer 5 minutes et qui fasse finir de sortir le sperme de JJ... et elle repartait vers la salle de bains, pour ensuite juste avec un "Bonne nuit" retourner dans la chambre avec JJ.
C'est le lendemain matin dont je garde un souvenir de "ouf"...! Je m'étais levé avant ma femme et JJ. La porte de leur chambre était restée fermée. Elle ne l'était pas à clé. Je l'entrouvrais. Ils étaient blottis l'un contre l'autre. JJ ne dormait pas. Ma femme si. Il me fit un clin d'oeil. Je refermais la porte et je descendais prendre mon petit déjeune dans la salle à manger qui était située juste sous la chambre. Tout le monde était là. L'ambiance était très gaie. Je me trouvais une place autour de la très grande table. Quelques minutes après mon arrivée, une de nos amies fit "Chuuuuuut....". Chacun se tut. On entendait ma femme et JJ faire l'amour. Chacun rit. Moi aussi. Il se passa plus d'une demi-heure. Personne ne faisait plus attention aux orgasmes de ma femme. Chacun et chacune autour de la table avait déjà baisé avec ma femme, souvent même à de très nombreuses reprises. Deux des amis présents m'avaient également baisé, après ma femme. Ils connaissaient parfaitement mes goûts et la très grande liberté dont jouissait ma femme. D'un coup, ma femme et JJ pénètrèrent dans la salle à manger. Ma femme et JJ firent le tour de la table pour embrasser chacun et chacune. C'est là que je vis le regard étonné et amusé de l'une des très bonnes amies de ma femme. Elle portait un tee shirt blanc, moulant. Ses pointes de seins étaient encore bandées d'excitation. Ce n'est pas ce que la copine regardait. Elle fixait l'entrejambe de ma femme qui portait un lggins noir, totalement moulant, et dont les mailles extrêmement fines étaient assez lâches. Je ne rêvais pas. Plus ma femme faisait le tour de la table, plus une large trace de sperme transperçait le tissu noir. Elle portait directement le leggins, et on voyait tout, à commencer par le sperme. Ma femme m'avoua plus tard, quand je lui demandais si c'était une idée de JJ "Non, c'est moi qui ai eut l'idée. J'avais envie qu'on voit que JJ me faisait l'amour".
Le petit déjeuner s'était passé à l'heure du déjeuner, et le début comme la fin de l'après midi furent propices à des câlins. Si la fameuse amie qui accompagnait ma femme au gang bang du mois d'octobre où elles avaient fait la connaissance de JJ m'avait fait une remarque de désaprobation, deux autres de nos amies coquines eurent l'air de trouver agréable que ma femme "soit avec JJ". La plus délurée de nos amies, impressionnante physique et terriblement sexy fut la première à essayer le couple JJ-Uta. Je la vis monter avec ma femme et JJ. Je laissais passer une bonne heure et je me décidais à monter. J'avais envie d'écouter. Le hasard fit que quand j"arrivais sur le palier, ma femme sortait de la chambre à ce moment précis. Elle allait à la salle de bains où se trouvaient les toilettes. Elle se tenait une serviette en papier entre les jambes. La copine, une rousse incroyable, était accroupie sur le lit. Elle nettoyait la queue de JJ. Elle me demanda de les laisser. Je refermais la porte. Ma femme revint, m'esquissa un sourire. Elle rouvrit la porte, et me la referma au nez. Je préférais descendre. Je les croisais dans le jardin environ une demi heure plus tard. Personne ne me dit rien. Ni la copine, ni JJ, ni ma femme. C'est comme si je n'avais rien vu. Je savais que cette femme aimait avaler le sperme, arguant de ce que le danger était très restreint quand la/le suceur n'avait pas de plaie bucale. Ce qui était sur c'était que JJ avait éjaculé dans ma femme et qu'au moment où je me présentais à la porte elle lui nettoyait le pénis. J'ignore s'ils avaient été au delà... En fin d'après midi, ils rentraient cette fois dans la chambre avec une autre de nos amies libertines. Je ne m'intéressais pas à ce qui se passait. J'avais été vexé que ma femme me ferme la porte au nez. Le soir, "ce fut partouze". JJ et ma femme formaient un couple magnifique. J'avais le coeur serré car pas une seule fois depuis le matin et l'épisode du leggins, ma femme ne m'avait manifesté le moindre intérêt, sexuel ou autre. Elle agissait comme si elle voulait me montrer qu'elle formait un couple avec JJ, et que je n'étais pas convié à participer à leurs jeux. Ce fut le comble de l'excitation pour moi, rétrospectivement. Sur le coup je fut très triste.
Je ne sais plus quelle heure il était, mais très tard. Pour être franc, j'étais le seul candaule/cuckold de cette soirée. Il n'y avait que des "couples performants", tous et toutes bisexuels, échangistes. J'étais le seul à "petite queue" et si tout le monde me connaissait bien et m'aimait bien en tant que copain, ou en tant que "masturbateur", "d'homme aux doigts d'or", la soirée n'était aucunement consacrée à des jeux de "touche pipi". Les partenaires s'échangeaient, chacune étant certaine de jouir avec chacun de ses partenaires masculins et féminins. Je me sentais très inutile dans cette soirée, car même les deux mecs qui m'avaient déjà baisé devant ma femme avaient vraiment "mieux" comme partenaires que moi, passif, à baiser. Bref, les mecs seuls qui n'étaient pas occupés avec des couples baisaient entre eux pendant que les couples s"échangeaient et que les femmes baisaient entre elles à l'occasion. C'était une très belle soirée bi, et JJ quoique ne l'étant pas y était parfaitement intégré. Il faisait l'amour à ma femme, il baisait (en généralement les partageant) les copines de ma femme. J'avais vraiment "du spectacle", et je dois bien avouer que cela a été l'une des meilleures soirées auxquelles j'ai assisté. En dehors de ce qui se passa en fin de soirée justement...
La nuit était déjà avancée. Il suffisait à ma femme et à JJ d'emprunter l'escalier qui se trouvait dans le salon pour rejoindre le premier étage et "leur" chambre. 1 minute était suffisant. Et bien non.
Ma femme et JJ venaient de baiser une jolie jeune femme dont le mari tout à fait viril et actif était en train de baiser le maitre de maison, "actif/passif" (les meilleurs selon ma femme !). La jeune femme jouit sous les coups de reins de JJ. Ma femme regardait "son Homme" (JJ, pas moi
) avec une sorte de respect admiratif qui se lisait sur son visage. JJ n'avait pas jouit. Il se retira de la jeune femme. Ma femme vint l'embrasser et surement lui dire quelque chose à l'oreille. Il faisait sombre. Toujours est-il que tout le monde, enfin beaucoup de monde, regardait la scène, comme moi. JJ continuait de bander. Très gros, très dur. Il me faisait bander et surement aussi une partie des amis bisexuels qui regardaient. Il enleva sa capote. Ma femme s'installa sur une banquette fixe qui crée une sorte de séparation entre le séjour et le fameux escalier. Chacun avait don vu qu'il ne portait pas de capote et ma femme nue comme un ver s'était mise en doggy, fesses offertes. JJ la pénétra d'un coup et ils se mirent à faire l'amour devant tout le monde. Au bout d'une dizaine de minutes plus personne ne baisait et chacun et chacune, sans bruit, s'était rappoché pour les regarder. Ils s'offraient en spectacle. Jamais aucun de nos amis ou amies, même en couple n'avait baisé dans une soirée sans capote. Chacune suçant, doigtant ou fistant chacune, il ne se faisait pas d'avoir une chatte pleine de sperme, même de son mari. Là ma femme et JJ faisaient l'amour à la fois d'une façon très hard (JJ lui défonçait la chatte) et en même temps très sensuellement. Ils jouirent en même temps, dans un râle commun d'une rare intensité et force. Ils restèrent comme prostrés 2 ou 3 minutes pour reprendre leurs esprits. JJ se dégagea d'elle. Il me demanda avec assez de discrétion de quoi essuyer ma femme. Je cherchais une serviette en papier sur la table de la salle à manger et je revenais avec. Ma femme continuait d'exposer ses gracieuses fesses. Le sperme de JJ dégoulinait de son sexe. Elle se redressa pour attraper la serviette qu'elle se mit entre les jambes. Ils se prirent par la main, et saluant tout le monde à la cantonade, ils montaient l'escalier.
Plus personne n'ignorait que ma femme et JJ étaient devenus un couple à part entière.
Je fus très ému de la situation. L'indifférence la plus totale dans laquelle m'avait tenu ma femme me faisait une peune sourde. J'étais cafardeux. Triste. J'attendis que la tension retombe. Les uns allaient se coucher, d'autres copulaient à nouveau. J'ai eu l'impression que les gens étaient gênés pour moi. Je ne sais pas si c'était le cas. Quand plus personne ne fit attention à moi, je m'écclipsais. Je n'osait pas prendre cet escalier pour regagner le 1er étage et aller me coucher. Je passais par l'autre escalier, à l'autre extrêmité de la maison.Je traversais donc toute la maison par le premier étage pour regagner mon palier et mon canapé lit. Je passais obligatoirement devant la chambre de JJ et de ma femme.
Je ne me disais déjà plus inconsciemment "je regagne notre chambre". C'est bien devant la chambre de "ma' femme et de "son Homme" que je passais. Et non.... ils faisaient encore l'amour. Ils venaient de s'exhiber comme "mari et femme" devant tous nos amis et amies libertins. La porte était fermée. Je n'osais pas essayer de l'ouvrir. Je collais mon oreille à la porte, à leur porte. Je me branlais en les écoutant. Quand JJ rejouit toujours en synchrone avec elle, j'eus peur qu'elle me surprenne à les écouter. Je fonçais dans mon canapé lit sans prendre le temps de me déshabiller. Bien m'en pris. Elle ouvrit la porte, mais elle ne chercha pas à savoir si je dormais ou pas. Elle me vit sous la couette où je mourrais de chaud tout habillé que j'étais. Elle alla dans la salle de bains. Elle revint, sans un mot. Elle alla dans la chambre et en refermit la porte.
Ce n'est que plusieurs mois après que cette scène où ils s'étaient exhibés devant tout le monde à fair l'amour commença à m'exciter incroyablement.
Je fait donc en sorte depuis qu'ils sont ensemble d'essayer de les accompagner quand ils sortent dans des endroits où personne ne nous connait. J'ai pris goùt à ce que l'on remarque que je suis le cocu. Plus la situation est déshabillée plus c'est visible. Il n'étonne personne que cela soit "le black" qui reparte main dans la main en direction des chambres... Ma femme aime bien le montrer...
Ma femme et moi même sommes libertins, tous les deux bisexuels (active pour elle, passif pour moi), depuis 20 ans. Candauliste qui s'ignorait, je suis devenu cuckold le 31/12/2009. La date est très précise. C'est ce jour là que ma femme est tombée amoureuse à 49 ans d'un jeune black de 24 ans, JJ,...incroyablement expérimenté aussi bien avec des femmes que des couples cuckolds. Leur liaison, un peu cahotique en raison de notre départ de Paris, perdure en 2014.
L'anecdote que je conte ici date de juin 2010.
Si JJ n'est pas l'Homme le plus performant qu'il a été donné à ma femme de rencontrer, il est dans son "top five". Je ne dis plus combien d'hommes ma femme a baisé, on ne me croit en général pas. Avec elle, en 20 ans, c'est en milliers qu'il faut compter. C'est en fait vite atteint quand on partouze plusieurs fois par mois. Leur entente sexuelle fut parfaite dès leur première rencontre, en octobre 2009. Ladite rencontre n'avait rien de romantique puisqu'il s'agissait d'un "mini" gang bang. Ma femme, moi inactif, une amie bisexuelle de ma femme et 7 blacks dont aucun n'avait un pénis en dessous de 21x5...la taille de celui de JJ.
Le coup de foudre me fut visible ainsi qu'à l'amie qui faisait partie de la fête. Ma femme ne baisait plus, elle ne dominait plus comme à l'accoutumée, elle se faisait baiser, elle se laissait dominer. Elle n'était plus à "chevaucher" JJ, elle s'offrait à lui jambes bien écartées, lèvres collées, lui la besognant comme seuls les blacks savent le faire, en missionnaire. Ce fut en fait le moment le plus excitant de la soirée pour moi. Voir ce jeune homme dont le corps d'athlète ondulait pendant qu'il étraignait ma femme me fit bander. Je n'ai aucun problème érectile, mais je suis vraiment blasé de voir ma femme baiser des mecs ou des nanas. Ce qui l'excite elle même le plus, c'est de "tomber" sur des partenaires qui parviennent à prendre le dessus sur elle. Hommes ou femmes. Là, cette nuit de fin octobre 2009, cet homme la dominait avec une tendresse évidente, pendant que sa virilité et son expérience exceptionnelle lui arrachait des hurlements de jouissance.
Le nouvel an 2009-2010 scellait leurs retrouvailles. La magie opérait à nouveau, et c'est autour de 20h le 31/12/2009 que pour la première fois de sa longue vie de libertine ma femme se cachait de moi et montait avec un homme, seule, dans la chambre que nous avait attribué l'ami bi qui nous recevait pour ce réveillon de 4 nuits...Avant que les 12 coups de minuit aient sonné, par deus fois ma femme finissait l'année 2009 et beauté, et elle commençait l'année 2010 encore avec JJ.
Le reste alla très vite. Le 2 janvier 2010, elle ne faisait plus l'amour qu'avec JJ dans cette chambre où se décidait notre avenir de couple "cuckold". Le 11 février 2010, ma femme partait de l'appartement vers 12h30 et y revenait à 20h45 après un après midi d'amour avec son amant. Son premier amant en fait. Je n'avais pas été convié à regarder la première de sa vie où un autre homme que moi allait lui faire l'amour sans capote. Une femme de notre génération qui aurait pu avoir des relations sexuelles sans capote à une époque où le sida n'existait pas, ne s'offre pas au premier venu en 2010...JJ reste le seul homme à avoir fait l'amour à ma femme "queue nue". J'aurais aimé les voir. Je me consolais en nettoyant son minou. Deux souvenirs se superposent. Celui de ce 11 février 2010, puis - on viendra après - celui de la scène qu'elle m'offrit en juin.
Là elle venait donc de rentrer à l'appartement. Je passe les détails pratiques. Les enfants n'avaient pas terminés leurs devoirs. Ils étaient dans leurs chambres. Le diner était en train de chauffer. Ma femme m'entraina dans notre chambre. Le sperme de son amant, qu'elle portait en elle, fut un instrument de domination. J'allais "le bouffer", et ainsi être soumis à son amant sans qu'il ne soit là, dans l'intimité de notre chambre. De toute évidence ma femme n'avait pas envie d'avoir une relation sexuelle avec son mari. Je comprenais qu'elle avait eu des relations sexuelles intenses, très intenses, pendant les 7 heures consécutives qu'elle venait de passer dans le lit de JJ. Elle ne savait plus combien de fois elle avait jouir (plusieurs dizaines de fois puisqu'elle jouit toutes les 12 à 15 minutes quand elle fait l'amour avec JJ), ni combien de fois JJ avait éjaculé en elle. Elle avait envie que je la remercie de ses bonnes intentions. "On a refait l'amour au moment où je partais pour que je rentre bien pleine". A l'inverse de la célèbre publicité, elle gardait le haut et enlevait le bas. Son jean était maculé de sperme, et son string noir était presque blanc ! Le tout allait directement dans la corbeille destinée au linge sale. Elle déboutonnait son chemisier, mais n'enlevait que son soutien gorge.
En fait, elle voulait que je découvre que son corps était maculé de sperme, séché. Elle m'embrassait puis me prenant la tête elle la dirigeait vers son cou, puis vers ses seins, et à mesure elle remontait dans le lit. Du cou à son pubis, ma langue et mes doigts était au contact du sperme de JJ. Cela sentait bon. "Je ne me suis pas lavée, pour toi".
J'étais nu, elle à moitié habillée. En fait elle poussait toujours davantage ma tête vers son pubis. Mon sexe raide s'éloignait à chaque fois un peu plus du sien. Mon visage était maintenant à la hauteur de sa chatte. Elle écarta grand les jambes. Je reniflais son intimité. Elle sentait le plaisir. La jouissance. Ses poils bien taillés étaient à la fois couverts de sperme séché et frais. Son humidité était telle que le sperme de JJ était encore presque intact. 1/2 de métro, 15 minutes entre son arrivée à l'appartement et que nous nous retrouvions allongés sur notre lit. Il y avait 45 minutes à peine, le sexe de JJ était encore en elle. Je l'imaginais. JJ me fait bander. Il n'est pas bi, mais il en joue. Tous les couples cuckolds dont il est l'amant des femmes sont les mêmes. Avoués ou non, les maris cocu sont presque tous bisexuels, et le corps et le sexe des bulls font partie de leur excitation. Quand je suis face à ma femme et à JJ qui font l'amour, autant ma femme que JJ me font bander !
Ma langue un instant hésitante s'engouffrait dans l'intimité de ma femme. Elle poussa. Fort. Très fort. J'aspirais machinalement. Ma bouche se remplit d'un coup. C'était du sperme. C'était le sperme de JJ. C'était la jute de ma femme dont je reconnaissait un peu le goût. Le mélange des deux me plut. Le sperme de JJ donnait de l'onctuosité à la jute de ma femme. J'en ai bu des litres depuis ce 11 février 2010. Je me suis mis à lécher comme un fou le sexe de ma femme. J'aspirais. Je mettais mes doigts pour aller chercher au fond d'elle le sperme de JJ. Je comprenais que c'était maintenant lui "son Homme". "Tu aimes bien ?" "Oh oui" "Alors tant mieux" ...avec un ton qui me faisait comprendre que si cela ne m'avait pas plu cela aurait été pareil...!
Je me remontais vers sa bouche. Nos corps étaient maintenant l'un contre l'autre. Ma bouche était pleine de sperme. Mes lèvres également. Je l'embrassais. Ce fut sensuel. "Tu aimes son sperme" lui disais-je ? Elle se mit à lécher mes lèvres. J'avais la réponse. Elle rit. "Non, non". Et elle relécha mes lèvres comme pour faire disparaitre ce qui pouvait y rester de sperme. J'avais envie de la pénétrer. Elle le sentit. Mon pénis s'approchait de son sexe. "Il faut diner". Elle me repoussa. J'aurais volontiers trempé ma queue dans sa chatte. Elle finit la nuit avec le seul sperme de JJ en elle. Elle ne voulut pas que je la pénètre après le diner. "Excuses moi, j'ai baisé toute la journée, j'ai envie de dormir". C'était vrai.
Mon second souvenir le plus excitant remonte à juin 2010. Je l'ai déjà en partie raconté ici, je ne sais plus dans quel post. Dans le premier souvenir qui m'a ému et restera indélébile, cela ne se passait qu'entre ma femme et moi.
Là, cette fois, cela se passe en public. Le public était avertit. Nos principaux amis et amies libertins. Le cadre était encore celui de la maison de cet ami bi qui nous recevait si souvent ma femme et moi. Avec la gentilesse qui lui est coutumière il avait bien évidemment invité également JJ. Il n'ignorait en rien l'attachement qu'éprouvait ma femme vis à vis de JJ. Cet ami, Philippe est un libertin dans l'âme. Il a souvent baisé ma femme et moi aussi. L'un après l'autre. Notre complicité avec Philippe est donc totale. Il aurait volontiers baisé avec JJ, mais ce dernier n'est pas davantage sensible à ses avances qu'aux miennes, très softs. JJ aime les trans, et ne se prive pas d'en baiser entre deux filles...
Là donc, ce qui m'a le plus excité de ma vie (jusqu'à présent) s'est passé en 2 temps. Le temps du matin. Le temps du soir. Il vous faut imaginer une maison à la campagne, pleine d'amis, mais libertins. Un mois de juin assez chaud. Chacun et chacune très légèrement habillé. Une partouze de la veille, un vendredi, qui s'était terminée à "pas d'heure". JJ et ma femme s'étaient clairement affiché en couple. J'étais resté dans mon coin, sans eux, toute la soirée. Toutes les soirées de notre ami étant "bisexuelles", je m'étais satisfait avec un ami bi, et regardé les uns et les autres comme les unes et les autres baiser entre eux et elles, et le couple formé par ma femme et JJ s'échanger avec d'autres couples. Avaient dormi dans la maison une bonne quinzaine des meilleurs amis et amies "de cul". Tout le monde était dans la salle à manger, dont moi. Ma femme m'avait demandé à ne dormir qu'avec JJ. J'avais accepté. Je ne sais pas si je dois le regretter. Parfois je me dis que oui, d'autres que non... Ils avaient donc partouzé jusque tard dans la nuit. Puis, comme demandé par ma femme, ils se sont enfermés dans la chambre qui était habituellement "la nôtre" quand nous passions des weeks ends chez cet ami. Ils avaient fait l'amour, et sans prévenir, ma femme était venu me voir sur le canapé lit où je dormais, un peu "à ses pieds et ceux de JJ". Ledit canapé lit était sur le vaste palier sur lequel ouvrait la chambre en question. Je n'avais pas perdu une miette des bruits d'orgasmes aussi bien de ma femme que de JJ.
JJ qui se défend (gentiment à mon égard) de mieux connaitre (sexuellement) ma femme que moi me dit souvent qu'elle est très vicieuse et perverse. Je le sais bien. Cette nuit là qui fut la première complète qu'elle passa sans moi, son mari, alors que j'étais au même endroit, elle vint se "vider" du sperme de JJ sur mon visage et dans ma bouche aussitôt après avoir jouit en même temps que JJ. Entre leur orgasme commun, très très violent, il lui fallu 2 ou 3 minutes pour s'en remettre. Les soupirs, les essouflements me semblaient transpercer la porte à l'isolation symbolique. le temps de se lever, le temps d'ouvrir la porte (fermée mais pas à clé), le temps de sortir de la chambre et de parcourir les 2 m qui la séparait de mon canapé lit. Le temps de me dire "Tu dors ?" Le temps de répondre "Non". Le temps qu'elle se mettre sur le côté du lit, le temps qu'elle monte dessus et m'enjambe. Le temps qu'elle se retrouve le sexe au dessus de ma tête, moi étant allongé, et le temps que le sperme de JJ commence à me couler sur le visage et dans la bouche.... tout cela ne du prendre qu'une minute ou deux... Pas un mot. Plusieurs minutes (4, 5 ? je ne sais pas) le temps que plus rien ne coule. Une petite masturbation qu'elle a bloqué avant de jouir, qui a du durer 5 minutes et qui fasse finir de sortir le sperme de JJ... et elle repartait vers la salle de bains, pour ensuite juste avec un "Bonne nuit" retourner dans la chambre avec JJ.
C'est le lendemain matin dont je garde un souvenir de "ouf"...! Je m'étais levé avant ma femme et JJ. La porte de leur chambre était restée fermée. Elle ne l'était pas à clé. Je l'entrouvrais. Ils étaient blottis l'un contre l'autre. JJ ne dormait pas. Ma femme si. Il me fit un clin d'oeil. Je refermais la porte et je descendais prendre mon petit déjeune dans la salle à manger qui était située juste sous la chambre. Tout le monde était là. L'ambiance était très gaie. Je me trouvais une place autour de la très grande table. Quelques minutes après mon arrivée, une de nos amies fit "Chuuuuuut....". Chacun se tut. On entendait ma femme et JJ faire l'amour. Chacun rit. Moi aussi. Il se passa plus d'une demi-heure. Personne ne faisait plus attention aux orgasmes de ma femme. Chacun et chacune autour de la table avait déjà baisé avec ma femme, souvent même à de très nombreuses reprises. Deux des amis présents m'avaient également baisé, après ma femme. Ils connaissaient parfaitement mes goûts et la très grande liberté dont jouissait ma femme. D'un coup, ma femme et JJ pénètrèrent dans la salle à manger. Ma femme et JJ firent le tour de la table pour embrasser chacun et chacune. C'est là que je vis le regard étonné et amusé de l'une des très bonnes amies de ma femme. Elle portait un tee shirt blanc, moulant. Ses pointes de seins étaient encore bandées d'excitation. Ce n'est pas ce que la copine regardait. Elle fixait l'entrejambe de ma femme qui portait un lggins noir, totalement moulant, et dont les mailles extrêmement fines étaient assez lâches. Je ne rêvais pas. Plus ma femme faisait le tour de la table, plus une large trace de sperme transperçait le tissu noir. Elle portait directement le leggins, et on voyait tout, à commencer par le sperme. Ma femme m'avoua plus tard, quand je lui demandais si c'était une idée de JJ "Non, c'est moi qui ai eut l'idée. J'avais envie qu'on voit que JJ me faisait l'amour".
Le petit déjeuner s'était passé à l'heure du déjeuner, et le début comme la fin de l'après midi furent propices à des câlins. Si la fameuse amie qui accompagnait ma femme au gang bang du mois d'octobre où elles avaient fait la connaissance de JJ m'avait fait une remarque de désaprobation, deux autres de nos amies coquines eurent l'air de trouver agréable que ma femme "soit avec JJ". La plus délurée de nos amies, impressionnante physique et terriblement sexy fut la première à essayer le couple JJ-Uta. Je la vis monter avec ma femme et JJ. Je laissais passer une bonne heure et je me décidais à monter. J'avais envie d'écouter. Le hasard fit que quand j"arrivais sur le palier, ma femme sortait de la chambre à ce moment précis. Elle allait à la salle de bains où se trouvaient les toilettes. Elle se tenait une serviette en papier entre les jambes. La copine, une rousse incroyable, était accroupie sur le lit. Elle nettoyait la queue de JJ. Elle me demanda de les laisser. Je refermais la porte. Ma femme revint, m'esquissa un sourire. Elle rouvrit la porte, et me la referma au nez. Je préférais descendre. Je les croisais dans le jardin environ une demi heure plus tard. Personne ne me dit rien. Ni la copine, ni JJ, ni ma femme. C'est comme si je n'avais rien vu. Je savais que cette femme aimait avaler le sperme, arguant de ce que le danger était très restreint quand la/le suceur n'avait pas de plaie bucale. Ce qui était sur c'était que JJ avait éjaculé dans ma femme et qu'au moment où je me présentais à la porte elle lui nettoyait le pénis. J'ignore s'ils avaient été au delà... En fin d'après midi, ils rentraient cette fois dans la chambre avec une autre de nos amies libertines. Je ne m'intéressais pas à ce qui se passait. J'avais été vexé que ma femme me ferme la porte au nez. Le soir, "ce fut partouze". JJ et ma femme formaient un couple magnifique. J'avais le coeur serré car pas une seule fois depuis le matin et l'épisode du leggins, ma femme ne m'avait manifesté le moindre intérêt, sexuel ou autre. Elle agissait comme si elle voulait me montrer qu'elle formait un couple avec JJ, et que je n'étais pas convié à participer à leurs jeux. Ce fut le comble de l'excitation pour moi, rétrospectivement. Sur le coup je fut très triste.
Je ne sais plus quelle heure il était, mais très tard. Pour être franc, j'étais le seul candaule/cuckold de cette soirée. Il n'y avait que des "couples performants", tous et toutes bisexuels, échangistes. J'étais le seul à "petite queue" et si tout le monde me connaissait bien et m'aimait bien en tant que copain, ou en tant que "masturbateur", "d'homme aux doigts d'or", la soirée n'était aucunement consacrée à des jeux de "touche pipi". Les partenaires s'échangeaient, chacune étant certaine de jouir avec chacun de ses partenaires masculins et féminins. Je me sentais très inutile dans cette soirée, car même les deux mecs qui m'avaient déjà baisé devant ma femme avaient vraiment "mieux" comme partenaires que moi, passif, à baiser. Bref, les mecs seuls qui n'étaient pas occupés avec des couples baisaient entre eux pendant que les couples s"échangeaient et que les femmes baisaient entre elles à l'occasion. C'était une très belle soirée bi, et JJ quoique ne l'étant pas y était parfaitement intégré. Il faisait l'amour à ma femme, il baisait (en généralement les partageant) les copines de ma femme. J'avais vraiment "du spectacle", et je dois bien avouer que cela a été l'une des meilleures soirées auxquelles j'ai assisté. En dehors de ce qui se passa en fin de soirée justement...
La nuit était déjà avancée. Il suffisait à ma femme et à JJ d'emprunter l'escalier qui se trouvait dans le salon pour rejoindre le premier étage et "leur" chambre. 1 minute était suffisant. Et bien non.
Ma femme et JJ venaient de baiser une jolie jeune femme dont le mari tout à fait viril et actif était en train de baiser le maitre de maison, "actif/passif" (les meilleurs selon ma femme !). La jeune femme jouit sous les coups de reins de JJ. Ma femme regardait "son Homme" (JJ, pas moi

Plus personne n'ignorait que ma femme et JJ étaient devenus un couple à part entière.
Je fus très ému de la situation. L'indifférence la plus totale dans laquelle m'avait tenu ma femme me faisait une peune sourde. J'étais cafardeux. Triste. J'attendis que la tension retombe. Les uns allaient se coucher, d'autres copulaient à nouveau. J'ai eu l'impression que les gens étaient gênés pour moi. Je ne sais pas si c'était le cas. Quand plus personne ne fit attention à moi, je m'écclipsais. Je n'osait pas prendre cet escalier pour regagner le 1er étage et aller me coucher. Je passais par l'autre escalier, à l'autre extrêmité de la maison.Je traversais donc toute la maison par le premier étage pour regagner mon palier et mon canapé lit. Je passais obligatoirement devant la chambre de JJ et de ma femme.
Je ne me disais déjà plus inconsciemment "je regagne notre chambre". C'est bien devant la chambre de "ma' femme et de "son Homme" que je passais. Et non.... ils faisaient encore l'amour. Ils venaient de s'exhiber comme "mari et femme" devant tous nos amis et amies libertins. La porte était fermée. Je n'osais pas essayer de l'ouvrir. Je collais mon oreille à la porte, à leur porte. Je me branlais en les écoutant. Quand JJ rejouit toujours en synchrone avec elle, j'eus peur qu'elle me surprenne à les écouter. Je fonçais dans mon canapé lit sans prendre le temps de me déshabiller. Bien m'en pris. Elle ouvrit la porte, mais elle ne chercha pas à savoir si je dormais ou pas. Elle me vit sous la couette où je mourrais de chaud tout habillé que j'étais. Elle alla dans la salle de bains. Elle revint, sans un mot. Elle alla dans la chambre et en refermit la porte.
Ce n'est que plusieurs mois après que cette scène où ils s'étaient exhibés devant tout le monde à fair l'amour commença à m'exciter incroyablement.
Je fait donc en sorte depuis qu'ils sont ensemble d'essayer de les accompagner quand ils sortent dans des endroits où personne ne nous connait. J'ai pris goùt à ce que l'on remarque que je suis le cocu. Plus la situation est déshabillée plus c'est visible. Il n'étonne personne que cela soit "le black" qui reparte main dans la main en direction des chambres... Ma femme aime bien le montrer...
(sommes cpl les 2 bi. Ch. Mâle pour elle...et lui)