- 01 juin 2010, 17:09
#43568
Magie des mathématiques charnelles. Hier soir, je me suis endormie dans les bras d’un amant et le lendemain matin… nous étions trois dans le même lit ! Un ami à lui est passé dans la matinée et il semble que mon absence naturelle de gêne ait rapidement gommé la sienne. Il m’a dit que j’étais belle au réveil. Je l’ai remercié. Il s’est assis sur le bord du lit, nous avons discuté tous les trois en riant. De temps à autre, mon amant m’embrassait et me caressait, ce qui eut l’effet de soulever un peu les draps et de dévoiler quelques brins de mon corps nu. Nous étions proches les uns des autres et pendant un instant, dans le hasard des télescopages, nos mains se sont frôlées. L’ami a laissé la sienne plus longtemps que prévu au contact de la mienne. Mon amant l’a remarqué et a dit que le lit était bien assez grand pour trois. Il m’a regardé comme pour m’interroger du regard et avec un sourire faussement innocent j’ai dit, oui, bien sûr…
Mon Dieu, l’imprévu de la situation n’a fait qu’ajouter à mon excitation et, visiblement, à la leur. Ce fut une valse ininterrompue d’étreintes, leurs mains, leur bouche, leur sexe entrant partout en moi jusqu’à ce qu’ils me prennent tous les deux ensemble. J’étais empalée sur la queue de mon amant pendant que son ami a enfoncé la sienne dans mon cul. J’étais en nage et la sueur entre nous faisait comme un cordon de perles qui nous reliait les uns aux autres.
Après avoir joui, l’ami s’est affalé sur le dos, ne cessant de répéter, comme dans une transe, qu’il n’avait jamais rien vécu de si bon.
Mon amant m’a dit qu’il semblait que j’avais épuisé un de mes soupirants. Il m’a alors baisé à nouveau, en me chevauchant cette fois, jusqu’à ce qu’il gicle comme un possédé. Je ne sais combien de fois j’ai joui ce matin-là, perdant toute notion d’identité et de temps, et jusqu’à la promesse que j’avais fait à mon mari de rentrer avant le déjeuner.
Après un petit-déjeuner tardif, je suis rentrée en début d’après-midi. Devant l’éclat que devait diffuser mon visage et la perversité que je mis à lui montrer combien j’avais été une femme heureuse toutes ces heures, le regard mort d’amour de mon mari leva toute culpabilité. Qu’il est bon d’affoler les hommes comme les horloges…
Mon Dieu, l’imprévu de la situation n’a fait qu’ajouter à mon excitation et, visiblement, à la leur. Ce fut une valse ininterrompue d’étreintes, leurs mains, leur bouche, leur sexe entrant partout en moi jusqu’à ce qu’ils me prennent tous les deux ensemble. J’étais empalée sur la queue de mon amant pendant que son ami a enfoncé la sienne dans mon cul. J’étais en nage et la sueur entre nous faisait comme un cordon de perles qui nous reliait les uns aux autres.
Après avoir joui, l’ami s’est affalé sur le dos, ne cessant de répéter, comme dans une transe, qu’il n’avait jamais rien vécu de si bon.
Mon amant m’a dit qu’il semblait que j’avais épuisé un de mes soupirants. Il m’a alors baisé à nouveau, en me chevauchant cette fois, jusqu’à ce qu’il gicle comme un possédé. Je ne sais combien de fois j’ai joui ce matin-là, perdant toute notion d’identité et de temps, et jusqu’à la promesse que j’avais fait à mon mari de rentrer avant le déjeuner.
Après un petit-déjeuner tardif, je suis rentrée en début d’après-midi. Devant l’éclat que devait diffuser mon visage et la perversité que je mis à lui montrer combien j’avais été une femme heureuse toutes ces heures, le regard mort d’amour de mon mari leva toute culpabilité. Qu’il est bon d’affoler les hommes comme les horloges…
Modifié en dernier par cassandra le 01 juin 2010, 18:58, modifié 6 fois.