Et l'après pause fut aussi torride que l'avant.
Puis il y eut une autre pause... puis une autre reprise...
Phil ne lâchait rien.
Honnêtement, ce type m'impressionnait. Ca faisait maintenant plus d'une heure qu'il allait et venait entre les reins de ma femme sans faiblir ni se relacher.
Tout en maîtrise !
On ne pouvait pas en dire autant de ma chérie !
Elle n'en pouvait plus. Ses cris s'étaient transformés en gémissements plaintifs qui parfois se muaient en sanglots tant le plaisir était intense.
Je n'entendais plus que des "oh oui !", "là !", "encore !, "oui là !" "oui !"
Eloquent !
A la place du gars, il y aurait belle lurette que j'aurais lâché les chevaux.
Mais pas lui.
Pourtant, il finit par craquer, au bout d'une heure et quart de baise presque ininterrompue.
J'entendis son souffle s'accélerer. Il accentua, si c'était encore possible, la puissance de ses intromissions. Raphaëlle pleurait presque entre ses bras.
Puis il lâcha.
Mais encore une fois, tout en maitrise, sans envolée frénétique.
Je crois que je n'ai jamais entendu un mec jouir aussi bruyamment et aussi longtemps, sauf peut-être dans des films pornos mais là, on sait que c'est surjoué.
Phil, lui, ne jouait pas.
Pendant des secondes qui m'ont paru une éternité, il a poussé de longs gémissements de délivrance.
A chaque plainte, je voyais ses fesses se contracter pour envoyer une rasade d'éjaculat au plus profond de l'intimité de mon épouse.
Au vu du temps que cela dura, elle dût en recevoir une sacrée dose.
Voilà, c'était fini.
Phil venait de posséder ma femme comme rarement elle l'avait été.
Et moi, à côté, je bandais comme un âne devant ce spectacle.
Alors, une fois qu'ils se furent désolidarisés, tandis qu'ils avaient à peine repris leurs esprits, je me suis approché du lit.
J'ai souvent lu ici le témoignage de certains qui racontent le bonheur que c'est de prendre sa femme juste après qu'elle ait reçu l'hommage de son amant et alors qu'elle est encore "enspermée" (que ce terme est laid !)
Là, devant ma femme qui avait encore les jambes écartées, la vulve offerte, rougie et trempée, je me suis dit que c'était l'occasion ou jamais de tenter l'expérience... Elle semblait partante...
Alors je me suis penchée sur elle...
Je ne me suis pas attardé sur sa minette dont l'odeur de sperme était particulièrement marquée.
Je n'avais pas l'intention de la lécher. Ca, ce n'était vraiment pas mon truc...
Je l'ai donc pénétrée sans préambule et sans aucune difficulté.
Les témoignages disent dans ces cas là que l'on a l'impression de nager dans un espace trop grand, trop élargi.
C'est exactement ça ! La dilatation et l'extrême lubrification apportée par la conjugaison du plaisir féminin et de la première éjaculation masculine donnent vraiment cette impression.
Sauf qu'à la différence des autres témoignages (dont certains, il ne faut pas se leurrer, sont de purs fantasmes), ça ne m'a pas particulièrement excité.
Pire ! Privé de sensations péniennes valables, je me suis même mis rapidement à débander et j'ai dû abandonner sans avoir pu aller au bout et sans méler mon plaisir à celui de Phil.
Un peu frustrant, il est vrai.
Voilà, fin de cette soirée mémorable. Nous avons quitté Phil avec la promesse de se revoir rapidement, ce qui n'est pas encore arrivé.