C'est avec un gode gonflable que je continue le travail. Je me branle et demande à mon Maître de le gonfler au fur et à mesure. Il finit par être tellement gros que je n'arrive plus à le faire bouger. Je contracte et relâche ma rondelle autour puis demande à mon Maître de le dégonfler.
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«
Écarte bien !!! ». Sa queue entre sans aucune résistance. Il me félicite, mais veut encore plus souple. J'aime le sentir en moi, cherchant à découvrir les moindres recoins de mon gros cul.
Il se retire et veut voir le gros, l'énorme gode aller et venir en moi. Cette fois, je n'ai aucune crainte, je suis excitée, j'ai envie de lui plaire, je me sens chienne et heureuse de l'être. Comme à chaque fois
cette dualité entre le fait d'être si chienne et la honte se bat en moi. Mais je veux profiter à fond et j'attrape le gros gode.
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Je le pose sous moi et me laisse glisser dessus. Le gros gode entre en moi doucement. Mon Maître vient devant ma bouche «
Continue, prends ton temps. Je veux te voir l'avaler à fond. Suce-moi bien en même temps». Je sens que ma chatte est trempée.
Je demande à mon Maître de me martyriser les mamelles, le cul afin que les jours prochains je mouille rien qu'en voyant les marques et en repensant à cette séance. Mon Maître aime, il me fesse fort, tape mes mamelles, sa queue au fond de ma gorge. Il retourne derrière moi pour apprécier le spectacle. Je me branle sur le gros gode avec aisance.
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«
Enlève-le et cambre-toi bien. Écarte ton gros cul, je vais me branler dedans ». Il enfonce sa queue d'un seul coup, profond en moi. Il me baise fort «
c'est bon ma chienne, j'aime bouger ainsi dans ton gros cul. »
Je sens que je vais couiner et je lui demande l'autorisation. Mon Maître est fier de savoir qu'il est le premier et maintenant le seul à me faire jouir que par le cul. Il m'autorise à couiner, empoigne mes fesses et me pilonne de plus belle. Je ne sais plus où je suis, je sens le plaisir monter en une vague qui emporte tout. Je crie, enfin je crois. Je ne sais plus. Je sens alors mon maître lâcher à son tour, sa semence dans mon cul…
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Et j'entends la moto de mon petit cocu s'arrêter devant la maison. J'enfile une robe, vais lui ouvrir la porte. Il me demande si tout va bien et pour toute réponse je me tourne et lui montre mon cul en écartant bien les deux lobes afin qu'il voie le sperme de mon Maître s'en écouler. Il a un grand sourire de satisfaction et me dit que je suis sa petite salope.
Maître Le Pervertisseur
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