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Il existe de multiples façons de pratiquer le candaulisme, elles sont extrêmement diverses et variées, et chacun est libre d'explorer son candaulisme comme il le souhaite selon ce qui lui convient le mieux.

Le candaulisme peut s'exprimer de différentes manières, allant des pratiques les plus élémentaires aux expériences les plus élaborées. Chaque couple ou individu peut développer sa propre approche en matière de candaulisme, en fonction de ses propres fantasmes et désirs. Les possibilités sont infinies et il n'y a pas de limites autres que celles que l'on s'impose soi-même ou avec son/sa partenaire.

Vous êtes invités à échanger sur ces différentes pratiques candaulistes dans cette section du forum, qu'il s'agisse de celles que vous avez déjà expérimentées ou que vous aimeriez simplement explorer. N'hésitez pas à partager vos récits, vos questions, vos conseils ou vos réflexions sur ce que vous appréciez ou non dans le cadre de vos expériences candaulistes. Le candaulisme se décline sous de multiples facettes, à chacun de trouver ce qui lui correspond le mieux.

Profitez de cette zone d'échange pour discuter des pratiques candaulistes, des plus simples aux plus poussées, de ce qui est envisageable ou non envisageable selon vos propres critères. Le candaulisme est une pratique subjective que chacun peut modeler à sa guise.
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Tout d’abord une petite présentation. Nous sommes un couple marié depuis 25 ans. Nous avons (légèrement) dépassé le cap de cinquantaine..
Anne est une très jolie femme brune yeux bleus, 1m70 62k, avec de superbes jambes. Elle était vierge quand je l’ai rencontré, et n’a jamais connu d’autres hommes avant……
J’ai découvert le libertinage non pas avec ma femme, mais avec une autre femme, qui avait déjà fait l’amour avec 2 hommes en même temps, et avec qui j’ai découvert les clubs.
Cette découverte m’a excité, et je n’ai eu de cesse à compter de cet instant, d’amener Anne à être coquine.
J’ai donc commencé à évoquer le fait que j’aimerais la voir prise par un autre homme,….
Les réactions furent violentes.
Ce n’est que lorsqu’elle a découvert que je réalisais certains de mes fantasmes avec une autre, qu’elle m’a demandé de l’associer à mes turpitudes, et elle a exigé d’être la seule avec qui je réaliserais les scénarios que mon esprit pervers était capable d’imaginer.
Je l’ai donc emmené dans un club, et pour ne pas la choquer, j’ai choisi le 2+2, club ringard et vieillot, mais relativement soft.
Elle a passé sa soirée blottie contre moi, n’osant regarder personne, alors que beaucoup de mâles essayaient en vain de croiser son regard.
Ce soir là elle n’était pas habillée très sexy. Cela n’a pas empêché l’envie chez les mâles présents. J’ai donc veillé, et cela a finit par lui plaire, à ce qu’elle porte des tenues sexy, mais toujours bcbg, lors de nos sorties.
En rentrant du 2+2, j’avais constaté qu’elle était très mouillée. Cela l’avait donc excité.
Le plus dur était fait, et elle fut d’accord, après plusieurs semaines de discussions, pour que nous rencontrions un partenaire avec qui elle ferait l’amour devant moi.
J’achetais SWING (netechangisme n’existait pas), et sélectionnait un candidat dont la photo correspondait à ses goûts (grand, mince, brun, et TBM). TBM parce que, ne connaissant que ma queue, certes de belle taille, elle rêvait de prendre une queue très très large. Une précision à ce sujet : aucun des partenaires que nous allions rencontré dans la suite de notre parcours libertin, n’était doté d’un membre capable de la remplir.
Je rencontrais le futur partenaire dans un bar du 15ème . Son physique et son niveau social correspondant à ce que je souhaitais. Nous avons convenu de nous retrouver le samedi soir au bar du SOFITEL Porte de Sèvres.
Si Anne lui plaisait, il devait nous proposer de prendre un verre chez lui, s’il plaisait à Anne elle devait accepter.
Dès notre arrivée au SOFITEL, Frédéric nous attendait, et je vis tout de suite que l’attirance était réciproque entre eux.
Nous nous sommes rendus chez lui, et dès que nous sommes entrés dans l’ascenseur, il a glissé sa main entre les cuisses de Anne. Elle a été surprise, mais cela l’a fait rire.
Il bandait déjà (il était très bien monté), avant d’ouvrir la porte de son appartement. Il a déshabillé mon épouse, et l’a pénétré tout de suite sur le canapé. Son excitation était telle qu’il a éjaculé rapidement (préservatif bien sur). Je lui ai succédé pour « finir » le travail, et j’ai superbement baisé Anne, qui était très excitée.
C’est ainsi que commencèrent nos coquineries….
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Suite,….

Nous avons ensuite fait pas mal de trios. En effet, c’était le « format » préféré d’Anne, qui avait le plaisir d’être le centre d’intérêts de 2 hommes. Elle détestait être en présence de femmes dans ces moments là.
Je continuais à lui recruter des partenaires. Tous avaient à peu près le même profil (très bon niveau, 30-35a, +1m80, …).
Parmi la quinzaine de partenaires qu’elle a eu uniquement en trios, j’en citerais quelques uns :
François, son premier « partenaire ». Elégant, très cultivé, charmeur, adoré des femmes. Nous l’avons revu à maintes reprises, et Anne est toujours en contact avec lui (c’est purement amical). Avec lui, outre les trios, nous sommes sortis en club, il nous a fait rencontrer un dirigeant d’entreprise italien très proche du pouvoir, et qui venait à Paris s’encanailler. C’est au cours de cette soirée que j’ai découvert l’absence de blocage d’Anne face à la pluralité masculine. Nous étions 3, et elle n’était pas pressée de rentrer.
Cela correspondait à mes fantasmes, car ne l’ayant jamais vu jouir, je fantasmais sur le fait qu’elle soit prise par une succession de queues. Fantasme que je réalisais plus tard et qui fera l’objet d’un récit.
Nous nous sommes rendus dans un club du 15ème. François baisa Anne en caressant une autre femme allongée à côté d’Anne. Je vis des signes de jalousie de la part de ma femme.
François nous emmena également dans des soirées de type « partouze ». Notamment une au Nord de Paris, à la campagne. Anne avait ses règles, mais elle avait tellement envie qu’elle s’est montrée enthousiaste lorsque François a évoqué cette soirée. Anne s’est fait draguer par un type au physique déplaisant. Elle ne le repoussa pas lorsqu’il la caressa. J’en fus très surpris, et compris que, excitée, elle était capable de se faire baiser par des types très laids. Compte tenu de son état il ne l’a pas baisée. Après quelques jours de réflexion, mon irritation avait cessée pour faire place à une forte excitation ; le jeu joué par Anne lors de cette soirée m’avait en fait ouvert des perspectives très intéressantes.
Moi-même, de mauvaise humeur lors de cette soirée (l’attitude de mon épouse acceptant de se faire peloter par un laideron m’avait un peu enervé), je fus « draguée » par deux femmes (accompagnées de leur mari), et elles furent étonnées de mon refus de monter avec elles dans les chambres.
François était le partenaire de cœur d’Anne. Elle l’a vu seul (avec mon accord). François était sans doute l’un des libertins de Paris à avoir sauté le plus de femmes mariées.
Bertrand, fou de la chatte de ma femme qu’il suçait des heures durant. Nous l’avions retrouvé, la première fois, dans le quartier de l’Opéra, et il l’avait sucé dans mon bureau. Bertrand ne correspondait pas tout à fait aux critères physiques définis par Anne, il était blond. Par contre il avait une queue très très épaisse qu’Anne appréciait.
Nous l’avons revu de nombreuses fois, en trio, avec des amis et/ou des amies.
Bertrand nous sollicitait très souvent pour des soirées - et parfois, nous avons vécu des situations assez cocasses.
J’en citerais 2. Nous nous sommes retrouvés un réveillon de jour de l’an, dans une auberge perdue de la campagne francilienne. Les convives étaient très quelconques, et le dîner exécrable. Nous avons fini la soirée chez nous, à 4. Anne s’est faite baisée toute la nuit par Bertrand, et j’ai baisée l’amie d’Bertrand comme un fou. Elle appréciait notamment la sodomie. C’était une jeune femme très très jolie, et qui ne refusait rien. Sachant Bertrand célibataire, je l’ai soupçonné d’être venu avec une « professionnelle » à cette soirée du réveillon. Ces soupçons ont été renforcés lorsqu’à une autre soirée « délire », il est venu accompagné d’une jolie brune (moins jolie que la première), complètement déjantée.
Bertrand nous avait demandé de venir avec eux chez un couple d’amis, dont le mari était (est toujours) quelqu’un de connu (télé+radio). Je tairais évidemment son nom.
Ce personnage, complètement obsédé, a baisé Anne et l’amie d’Bertrand, dans une pièce aménagée en salon de projection très sophistiqué. Je me suis occupé de sa femme. Ce fut un moment étonnant. En effet, cette assez jolie blonde avait une chatte très étroite, et je passais « juste » (Bertrand ne pouvait pas la prendre). Pendant que je la sautais, elle poussait des petits cris à intervalle régulier, sans avoir l’air de ressentir quoique ce soit. Une vraie planche. Bertrand m’avait prévenu.
Nous sommes sortis de chez eux complètement abasourdis par ce couple. Bertrand nous a alors confirmé que lui était un vrai obsédé, et que son dernier exploit est d’avoir emmené sa femme dans une banque ou elle s’était fait prendre par les surveillants sous l’œil des caméras. Il avait bien entendu récupéré les bandes. HISTOIRE VRAIE.

A bientôt pour la suite avec les partenaires de trio de mon épouse.
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Suite,….

Nous avons principalement pratiqué le trio pendant plusieurs années. Pendant ce temps, nous avons fait quelques exhibs que je vous raconterais plus tard ? Ensuite, notre libertinage est devenu plus hard.
Je poursuis, pour le moment, avec les partenaires de trios les plus « intéressants »

Eduardo : un italien, qui avait la particularité de bégayer. La première fois que nous l’avons rencontré, je n’étais pas convaincu que cela collerait…..son allure assez babacool, et ce bégaiement…….., j’ai pensé qu’Anne ne voudrait pas aller plus loin. Mais c’était un garçon adorable, de très bon niveau intellectuel ( architecte), et très doux. Nous l’avons suivi dans notre belle voiture dans sa banlieue lointaine. Il avait une petite moto en piteux état. Nous étions assez téméraires à cette époque.
Il s’est montré très bon amant et très démonstratif. Il poussait des grognements à chaque fois qu’il pénétrait Anne.
Un soir, il m’a demandé de la laisser seule avec lui. Ce que j’acceptais. Je la laissais donc pendant 2 heures seule avec lui. A mon retour, elle était dans un état d’excitation incroyable, et elle m’a demandé de la prendre immédiatement. Nous avons continué alternativement à essayer de la combler. Sur le chemin du retour j’ai amené Anne à faire quelque chose qu’elle n’avait jamais faite mais que l’excitation l’a conduite à réaliser. Ce sera l’occasion d’un autre récit.
Lors d’une autre soirée, ils se trouvaient tous les 2 sur le balcon de l’appartement d’Eduardo. Il entreprenait Anne par derrière debout, elle appuyée sur la balustrade.
Je lisais une revue, les laissant s’échauffer, lorsque je vins les rejoindre. Je commençais à la caresser, lorsque je me rendis compte que 2 jeunes adolescents (ils étaient sur un balcon au même étage) regardaient leurs ébats depuis un bon moment. Nous les avons salués, Anne n’était pas loin d’avoir un fou rire.
Ensuite, il y en eut beaucoup. Elle a été rarement déçue. Ses partenaires se sont montrés à la hauteur en général.
Nous pratiquions à Paris, mais quelques fois nous nous sommes retrouvés dans les Yvelines, ou à la Défense.
Un vendredi, nous avons rencontré un partenaire à Boulogne, que mon épouse a vu à la télé 2 semaines plus tard commentant une course automobile qui se déroule une fois par an.

Malgré le plaisir évident qu’elle avait à être la proie de 2 hommes en même temps, je savais qu’il lui manquait de prendre des sexes très très gros, d’une part, et la possibilité de se faire prendre très longtemps, d’autre part.
Pour la taille du sexe, elle regrettait vraiment de ne pas avoir à faire à des hommes hyper membrés. Il faut tout de même insister sur le fait que Fréderic était très très bien membré, qu’Alain était très large, et qu’Eduardo était bien pourvu également. Elle voulait de l’exceptionnel
Il faut dire qu’indépendamment de nos sorties libertines, je n’étais jamais à court d’imagination pour « travailler » la sexualité de Anne. Ainsi, je n’avais de cesse de la pénétrer avec tous les objets et ustensiles que je trouvais excitant de lui mettre dans la chatte. Elle avait déjà des capacités naturelles très importantes, mais ces pratiques lui ont permis d’avoir une superbe chatte très souple, et à très forte capacité de dilatation.
Pour la pluralité, je me suis rendu compte qu’elle pouvait être pénétrée pendant très longtemps sans être ni fatiguée, ni rassasiée. Je décidais donc de lui proposer des plans pluralité que je raconterais plus tard.
En ce qui concerne ses pratiques, elle rechignait lors de nos premiers trios, à sucer ses partenaires. Petit à petit, j’insistais pour qu’elle prenne l’initiative, et lui demandais d’utiliser certaines techniques que je trouvais performantes et esthétiques. Elle accepta avec un peu de réticence, mais lors de nos derniers trios, elle était capable de se mettre à genoux devant un homme qu’elle ne connaissait pas 2 minutes avant, et de pratiquer une fellation. Elle le faisait sans préservatif , mais ne recevait pas de sperme.
De la même manière, elle n’acceptait la sodomie que de moi. Sa première sodomie (par un autre que moi) a eu lieu lors d’un gangbang. Depuis, c’est une pratique qu’elle apprécie.


En fonction des commentaires, je donnerais quelques éléments de récit complémentaires…. Peut être……………
#29210
merci pour les commentaires. Effectivement nous avons eu beaucoup d'expériences, car on s'est orienté assez vite vers la pluralité.
De mon côté j'ai profité de mes expériences d'organisateur/dominateur pour réalliser des plans avec d'autres couples et femmes seules (sans que ma femme le sache). Nous avons arrêté en couple, car elle a considéré (à tort je vous l'assure), qu'elle avait passé l'âge..... Je suis aujourd'hui frustré de cette situtaion, mais je ne veux pas la forcer, et je fais des trucs par ailleurs...

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