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Il existe de multiples façons de pratiquer le candaulisme, elles sont extrêmement diverses et variées, et chacun est libre d'explorer son candaulisme comme il le souhaite selon ce qui lui convient le mieux.

Le candaulisme peut s'exprimer de différentes manières, allant des pratiques les plus élémentaires aux expériences les plus élaborées. Chaque couple ou individu peut développer sa propre approche en matière de candaulisme, en fonction de ses propres fantasmes et désirs. Les possibilités sont infinies et il n'y a pas de limites autres que celles que l'on s'impose soi-même ou avec son/sa partenaire.

Vous êtes invités à échanger sur ces différentes pratiques candaulistes dans cette section du forum, qu'il s'agisse de celles que vous avez déjà expérimentées ou que vous aimeriez simplement explorer. N'hésitez pas à partager vos récits, vos questions, vos conseils ou vos réflexions sur ce que vous appréciez ou non dans le cadre de vos expériences candaulistes. Le candaulisme se décline sous de multiples facettes, à chacun de trouver ce qui lui correspond le mieux.

Profitez de cette zone d'échange pour discuter des pratiques candaulistes, des plus simples aux plus poussées, de ce qui est envisageable ou non envisageable selon vos propres critères. Le candaulisme est une pratique subjective que chacun peut modeler à sa guise.
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par expercocu
#29566
Bonjour, j'ai raconté dans le thème "comment la convaincre" commen j'avais amené mon épouse Anne à être libertine. Nous avons exploré différentes voies du libertinage, et s'agissant de ce thème, je vais évoquer les exhibitions que nous avons eu l'occasion de faire. Une petite précision, vous constaterez, que contrairement aux expériences racontées dans le thème "comment la convaincre", c'est mon épouse qui raconte. Il faut savoir que je lui demandais de me faire un compte rendu détaillé des expériences que lui faisais vivre, aussi bien sur l'aspect cérébral que sur l'aspect physique. Même si je me trouvais à ses côtés, il m'a toujours paru fondamental qu'elle fasse part de ses sensations et sentiments. Je me suis contenté de reformuler le récit pour lui donner, dans la limite de mes moyens, une transcription moins littérale.

"Souvent après une sortie (théâtre, concert, cinéma), nous aimions prendre la voiture et traverser Paris. Nous ne nous lassions pas du spectacle des ponts et monuments éclairés. Le circuit préféré de mon mari était de prendre la voie rapide du pont de l’Alma jusqu’à Bercy, de traverser et prendre la rive gauche dans l’autre sens.
Cette promenade automobile, le plus souvent silencieuse, nous permettait de nous « remettre » de nos émotions. Nous ne souhaitions pas rentrer immédiatement après avoir assisté à un concert ou une pièce de théâtre.

Un soir, mon mari a décidé de prolonger vers la Porte Dauphine. Il avait au préalable été attentif à ma tenue, et m’avait demandé de ne pas mettre de culotte. J’étais donc vêtu d’un tailleur noir, chemisier blanc, et avais comme sous-vêtement un soutien-gorge noir « seins libres », et des bas auto-fixants.
Ce soir de printemps, beaucoup de piétons marchaient dans les contre allées de l’avenue Foch. Quelques jeunes hommes semblaient attendre le client près de la faculté.
Mon mari emprunta le Boulevard Lannes jusqu’à la porte de la Muette, puis il tourna à droite Place de Colombie, pour revenir vers la porte Dauphine dans une rue parallèle au Boulevard Lannes. Nous longions l’ambassade d’URSS. De nombreux d’hommes se trouvaient sur les trottoirs, nous pouvions voir également plusieurs groupes. Nous suivions une file de voiture à allure réduite. Sur les quelques centaines de mètres de cette rue, nous avons du nous arrêter 3 fois. Je n’en comprenais pas la raison, mais mon mari m’expliqua qu’il devait y avoir des exhibitions dans les voitures nous précédant. Effectivement, lors du dernier arrêt, 2 ou 3 hommes s’approchèrent de la voiture nqui se trouvait devant nous. Le conducteur venait d’allumer le plafonnier.
D’autres hommes s’approchèrent de notre voiture, mais mon mari n’a pas bougé. Ne voyant rien ils nous dépassèrent sans s’arrêter.
Je trouvais excitant ce spectacle, et commençait à mouiller. Mon mari roula encore avant que nous nous retrouvions à nouveau porte Dauphine. Il reprit le même parcours, dans cette rue étroite, en bordure du bois de Boulogne, que les habitués appellent la « rue des branleurs »..
« déboutonne ton chemiser, remonte ta jupe »
Je m’exécutai, je laissai mes seins couverts, et ma jupe était remontée au dessous du liseré de mes bas.
Arrivé à mi parcours de la rue, mon mari alluma le plafonnier. Il y avait peu de voitures devant, et aucune derrière nous.
Trois jeunes s’approchèrent rapidement. Ils avaient le look « banlieue ». Casquette vissée sur la tête, jogging, chaussures de sport.
« Montre, montre……. » me dit l’un d’entre eux.
J’écartai le chemisier pour qu’ils voient mes seins. Serge releva complètement ma jupe. J’écartais les cuisses. Ils pouvaient voir ma chatte.
Le jeune qui m’avait interpellé sortit sa queue et se mit à se branler. Plusieurs autres avaient la main dans la poche.
Celui qui était le plus excité, essaya d’ouvrir la portière. Heureusement notre voiture était équipée d’un dispositif de fermeture automatique, qui était activé dès que nous roulions.
Mon mari démarra aussitôt.
Nous avons fait le tour de la porte Dauphine, et nous engageâmes dans le bois de Boulogne. J’étais très excitée (je mouillais vraiment), et Serge semblait un peu nerveux.
Cette exhibition m’avait plue, et je me caressais la chatte.
A un feu rouge, dans le bois, un énorme 4x4 apparut sur la file de droite. Le conducteur fit descendre la vitre et nous interpella :
« excusez moi de vous déranger, je vous suis depuis l’avenue Fayolle (j’appris plus tard qu’il s’agissait de la rue dans laquelle Serge m’avait exhibée), et j’aimerais que madame se montre.. »
Le conducteur me dominait de la taille de son engin sur lequel figurait le nom d’une entreprise de bâtiment. J’examinais l’intrus, il avait un visage « intéressant », très mâle.
Mon mari le regarda, et lui dit « pourquoi pas ? ».
« Suivez moi, je connais ».
Nous l’avons suivi durant 5 minutes. Il s’arrêta sur une aire de stationnement proche de la Porte Maillot. Il descendit et vint de mon côté. Je descendis ma vitre.
« Bonjour, madame est très belle, on peut voir ? »
Il portait un blouson marron en cuir, un jean, et était chaussé de chaussures de chantier genre rangers.
A nouveau, je montrais mes seins, et Serge remonta ma jupe pour bien exposer ma chatte.
« on peut toucher ?»
Mon mari répondit «oui, si tu es propre »
« oui pas de problème, je viens souvent au bois voir les belles bourgeoises qui se montrent ».
L’expression « belles bourgeoises » me fit sourire.
Il caressa mes seins. Il se rendit compte de leur souplesse, et commença un léger malaxage.
Sa main quitta mes seins, pour descendre entre mes cuisses.
« Mmmmmh , elle mouille ….vous faites souvent des exhibs ?»
« non rarement, ce soir on avait envie » lui répondit Serge.
J’évitais de participer aux échanges oraux entre mon mari et mes partenaires inconnus. Je me plaçais dans la posture de l’exécutante, et je me concentrais sur mon rôle d’exhibitionniste.
Mon mari me caressait également. « Tu ne veux pas t’occuper de lui ? » me demanda-t-il ?
J’hésitai, mais ne dit pas non. Cette absence de réponse encouragea mon peloteur
« Pas ici, si vous voulez, on va dans le bois, on sera plus tranquille »
« Vas y Anne, je surveille »
Je descendis de la voiture. Mon voyeur a eu un large sourire quand je suis sortie de la voiture.
« Putain elle est belle… »
Je le suivis durant une vingtaine de mètres. Il se retourna en déboutonnant son jean. Je pris son sexe, qui était dur, dans ma main, et commençai à le branler. Pour reprendre ma position favorite, je m’accroupis, et m’appliquai à bien le manipuler.
« La salope, putain tu branles bien… »
Je le branlai lentement, mais fermement durant 1 ou 2 minutes.
« Suces moi »
« C’était pas prévu ça » lui répondis-je l’air embêté.
« Allez, tu dois avoir envie, regarde je suis propre, et elle est belle ma queue non ? »
« Bon d’accord, mais j’avale pas »
« ok »
Je pris son membre dans ma bouche et le pompais avec application. Il gardait la tête levée, comme s’il scrutait le sommet des arbres. A chaque fois, qu’il la baissait, c’était pour dire :
« la salope, elle suce bien ».
Cette alternance se renouvela 4 ou 5 fois.
J’ai interrompu cette fellation dès les premiers signes d’éjaculation.
Je lui dis au revoir, le laissant remonter son pantalon. Il me semble l’avoir entendu me demander mon numéro de téléphone. Je ne me suis pas retourné et courus à la voiture.
« Tu l’as sucé ?»
« oui , qu’est-ce que je mouille»
« tu aurais pu te faire baiser »
« non, pas ce soir ».
En fait, je ne m’expliquais pas pourquoi je ne m’étais pas faite baisée, car j’en avais très envie.
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par expercocu
#29909
voici une petite suite gentillette, qui reprend le compte rendu de mon épouse, que j'ai rewrité pour permettre une lecture aisée. Encore une fois les faits sont réels.
"Lorsque nous faisons des voyages assez longs sur autoroute, mon mari aime me caresser et me montrer. Cela m’excite beaucoup. Un jour sur l’autoroute Paris/ Le Mans, nous avons été obligé de ralentir à cause de travaux, l’autoroute passant de 3 à 2 voies. Depuis plus d’une heure, mon mari me branlait très fortement. Il avait l’habitude de tirer sur les lèvres, et d’exercer un mouvement circulaire très violent sur mon clitoris, qui me faisait sursauter de plaisir. J’avais baissé le dossier de mon siège, me permettant ainsi d’être dans une position allongée, j’avais le buste dégagé, et je maintenais l’écartement de mes cuisses à son maximum en posant mes talons sur le tableau de bord. Je m’offrais sans pudeur aux regards, en plein jour, sans que cela prête à conséquence, les vitres de la voiture étant suffisamment opaques pour rendre malaisée (lorsque nous roulions à vitesse « normale »), la vision de mon corps dénudé.
Lors du dépassement d’un camion dans ce secteur limité à 90, nous sommes restés à hauteur de la cabine d’un camion qui était sur la voie de droite pendant une dizaine de secondes.
J’avais simplement ôté mes pieds du tableau de bord, mais j’avais gardé la jupe retroussée, et le chemisier ouvert.
Dès la fin de notre dépassement, j’ai aperçu dans le rétroviseur extérieur, des appels de phare.

« Il a l’air d’avoir apprécié » souligna mon mari.
« Tu crois ? » répondis-je faussement étonnée.
Nous avons poursuivi notre route en roulant à vitesse normale, mon mari continuant de me caresser vigoureusement. Je me laissais faire, j’avais repris ma position favorite. Je fermais les yeux et appréciat les caresses.
« Je crois qu’ils se sont passés le mot par leur CB, cela fait plusieurs routiers que je vois complètement tournés lorsque nous les doublons ».
« Ah bon ? » je m’en moquais un peu, profitant du bien être dans lequel je me trouvais depuis que mon mari s’acharnait sur ma chatte.
Un moment, je sentis la voiture ralentir. Je jetais un œil au rétroviseur extérieur. Il n’y avait personne derrière. Devant, l’autoroute était dégagée. Seul un camion occupait la voie de droite. C’était un grand camion blanc. Manifestement mon époux avait décidé de me montrer.
Nous arrivions lentement à la hauteur du camion.
« Ecarte toi bien, branle toi, montre lui tes seins, regarde le… ». Je sentais mon époux s’exciter.
Je m’offris au regard le plus possible, les cuisses très écartées. Le chauffeur dont je voyais le visage complètement tourné vers nous, n’en manquait pas une miette. Il ne regardait pas la route.
Nous sommes restés ainsi une trentaine de secondes, ce qui m’a apparu très long, je me caressais les seins et la chatte, le chauffeur était rivé à sa vitre. Nous accélérâmes. Je constatais que plusieurs voitures s’approchaient, et manifestement mon cher époux ne voulait pas aller plus loin dans mon exhibition.
Je vis de nombreux appels de phares du camion, avant que nous soyons loin devant.
Nous sommes rentrés « normalement ». Mon mari m’a branlé jusqu’au péage.
par cffj14
#29930
expercocu a écrit :voici une petite suite gentillette, qui reprend le compte rendu de mon épouse, que j'ai rewrité pour permettre une lecture aisée. Encore une fois les faits sont réels.
"Lorsque nous faisons des voyages assez longs sur autoroute, mon mari aime me caresser et me montrer. Cela m’excite beaucoup. Un jour sur l’autoroute Paris/ Le Mans, nous avons été obligé de ralentir à cause de travaux, l’autoroute passant de 3 à 2 voies. Depuis plus d’une heure, mon mari me branlait très fortement. Il avait l’habitude de tirer sur les lèvres, et d’exercer un mouvement circulaire très violent sur mon clitoris, qui me faisait sursauter de plaisir. J’avais baissé le dossier de mon siège, me permettant ainsi d’être dans une position allongée, j’avais le buste dégagé, et je maintenais l’écartement de mes cuisses à son maximum en posant mes talons sur le tableau de bord. Je m’offrais sans pudeur aux regards, en plein jour, sans que cela prête à conséquence, les vitres de la voiture étant suffisamment opaques pour rendre malaisée (lorsque nous roulions à vitesse « normale »), la vision de mon corps dénudé.
Lors du dépassement d’un camion dans ce secteur limité à 90, nous sommes restés à hauteur de la cabine d’un camion qui était sur la voie de droite pendant une dizaine de secondes.
J’avais simplement ôté mes pieds du tableau de bord, mais j’avais gardé la jupe retroussée, et le chemisier ouvert.
Dès la fin de notre dépassement, j’ai aperçu dans le rétroviseur extérieur, des appels de phare.

« Il a l’air d’avoir apprécié » souligna mon mari.
« Tu crois ? » répondis-je faussement étonnée.
Nous avons poursuivi notre route en roulant à vitesse normale, mon mari continuant de me caresser vigoureusement. Je me laissais faire, j’avais repris ma position favorite. Je fermais les yeux et appréciat les caresses.
« Je crois qu’ils se sont passés le mot par leur CB, cela fait plusieurs routiers que je vois complètement tournés lorsque nous les doublons ».
« Ah bon ? » je m’en moquais un peu, profitant du bien être dans lequel je me trouvais depuis que mon mari s’acharnait sur ma chatte.
Un moment, je sentis la voiture ralentir. Je jetais un œil au rétroviseur extérieur. Il n’y avait personne derrière. Devant, l’autoroute était dégagée. Seul un camion occupait la voie de droite. C’était un grand camion blanc. Manifestement mon époux avait décidé de me montrer.
Nous arrivions lentement à la hauteur du camion.
« Ecarte toi bien, branle toi, montre lui tes seins, regarde le… ». Je sentais mon époux s’exciter.
Je m’offris au regard le plus possible, les cuisses très écartées. Le chauffeur dont je voyais le visage complètement tourné vers nous, n’en manquait pas une miette. Il ne regardait pas la route.
Nous sommes restés ainsi une trentaine de secondes, ce qui m’a apparu très long, je me caressais les seins et la chatte, le chauffeur était rivé à sa vitre. Nous accélérâmes. Je constatais que plusieurs voitures s’approchaient, et manifestement mon cher époux ne voulait pas aller plus loin dans mon exhibition.
Je vis de nombreux appels de phares du camion, avant que nous soyons loin devant.
Nous sommes rentrés « normalement ». Mon mari m’a branlé jusqu’au péage.



j adore aussi caressé ma femme lors des trajets ils paraissent moins long pour elle
mais nous n allons pas encore aussi loin dans l exibition
par LOLOJR
#45733
NOUS PRATIQUONS AUSSI EN VOITURE POUR LES ROUTIERS JE SUIS UNE BELLE SALOPE ET J ADORE CELA ON TERMINE SOUVENT SUR LES PARKINGS D AUTOROUTE LA NUIT JE VAIS AUX TOILETTES NUE ET RESSORT NUE JE ME PROMENE ENTRE LES CAMIONS ET C EST TRES SOUVENT QUE DES ROUTIERS S OCCUPENT DE MOI J AIME FAIRE LE SALOPE JE SUCE ME FAIT BAISER AVEC CAPOTE SOUS LES YEUX DE MON MARI QUI ADORE ME VOIR ME FAIRE BAISER D AILLEUR NOUS VIVONS A 3 DEPUIS 5 ANS J AI 2 HOMMES A LA MAISON UN GRAND LIT JE SUIS TOUJOURS NUE A LA MAISON ILS LE VEULENT C EST PLUS FACILE POUR ME TRIPOTER ME BAISER JE SUIS UNE SALOPE COMBLEE BISES
par phil640
#183363
on adore le faire aussi avec ma femme on se caresse mutuellement et quand le désir est trop grand on s'arrête dans une aire et on se fait jouir devant voyeur ou pas.

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