- 02 mars 2012, 00:23
#1015124
Quelques années avant mon mariage, j avais rencontré une jolie jeune fille blonde et romantique qui est devenue très amoureuse. Jamais personne encore avant ne l avait embrassé... Comme elle habitait à Tarascon et moi à Paris nous nous écrivions et téléphonions beaucoup. C'était une fille de militaire qui était encore vierge.
Après des mois de correspondance et de rares entrevues nous avons évoqué le fait de faire le grand saut. Avec sa famille et ses traditions cela représentait un acte important pour elle. Etant plus vieux qu'elle (13 ans de plus) j avais vécu et eu un certain nombre de maitresses. Je lui disais régulièrement que cette différence de vécu serait une source de malaises si nous devions faire notre vie ensemble et que je serais plus rassurré si nous étions un peu plus en égalité, autrement dit si son dépucelage se faisait par un tiers, comme ça avait été le cas pour moi. En même temps je lui disais que c'était un sacrifice difficile pour moi mais nécéssaire pour garantir notre bonheur. Pour minimiser ma jalousie il faudrait que cet initiateur n'ait rien d'attirant, qu il soit comme un objet, comme un docteur pour une petite intervention en vue d être heureux ensemble après. Ce portrait type était donc un homme expérimenté, mur, gentil que je connaissais. En réalité je l ai trouvé par petites annonces...
Elle vint à Paris, ou cet homme de 52 ans l'attendait chez moi dans une ambiance plus médicale que coquine. Je lui avais présenté comme un homme sage, sécurisant et d'accord pour me rendre ce service. Je lui avais aussi dit avant de faire tout ce qu'il disait sans s'inquiéter et juger, et d'obeir avec confiance afin qu'il ne soit pas déçu par celle que j aimais. Une fois dans l appartement, et apres des présentations assez courtes, je la pris dans mes bras l'embrassais en lui exprimant ma douleur et aussi mes remerciements pour cette étape nécéssaire à notre bonheur et je les quittais.
Deux heures après quand je suis revenu elle était déjà seule avec les joues rouges et du mal à me regarder en face. Sa bouche et sa chatte avaient bien été etrennées sans préservatif, l'homme finissant dans son ventre, lui laissant à l intérieur le petit souvenir de la vie.
Elle ne m a jamais reproché quoi que ce soit et a toujours considéré que c'était un cadeau d amour pour moi et pour notre avenir. J ai eu aussi le récit détaillé de son amant et de son initiation assez complete (sauf sodomie) avec une jolie jeune fille appliquée à bien faire.
C'est la volonté d'une preuve d amour, un défi, pour garantir un bon équilibre sentimental et eventuellement conjugal qui l'a rendu capable de se donner au corps inconnu d'un homme mur et d'y perdre sa fleur.
Après des mois de correspondance et de rares entrevues nous avons évoqué le fait de faire le grand saut. Avec sa famille et ses traditions cela représentait un acte important pour elle. Etant plus vieux qu'elle (13 ans de plus) j avais vécu et eu un certain nombre de maitresses. Je lui disais régulièrement que cette différence de vécu serait une source de malaises si nous devions faire notre vie ensemble et que je serais plus rassurré si nous étions un peu plus en égalité, autrement dit si son dépucelage se faisait par un tiers, comme ça avait été le cas pour moi. En même temps je lui disais que c'était un sacrifice difficile pour moi mais nécéssaire pour garantir notre bonheur. Pour minimiser ma jalousie il faudrait que cet initiateur n'ait rien d'attirant, qu il soit comme un objet, comme un docteur pour une petite intervention en vue d être heureux ensemble après. Ce portrait type était donc un homme expérimenté, mur, gentil que je connaissais. En réalité je l ai trouvé par petites annonces...
Elle vint à Paris, ou cet homme de 52 ans l'attendait chez moi dans une ambiance plus médicale que coquine. Je lui avais présenté comme un homme sage, sécurisant et d'accord pour me rendre ce service. Je lui avais aussi dit avant de faire tout ce qu'il disait sans s'inquiéter et juger, et d'obeir avec confiance afin qu'il ne soit pas déçu par celle que j aimais. Une fois dans l appartement, et apres des présentations assez courtes, je la pris dans mes bras l'embrassais en lui exprimant ma douleur et aussi mes remerciements pour cette étape nécéssaire à notre bonheur et je les quittais.
Deux heures après quand je suis revenu elle était déjà seule avec les joues rouges et du mal à me regarder en face. Sa bouche et sa chatte avaient bien été etrennées sans préservatif, l'homme finissant dans son ventre, lui laissant à l intérieur le petit souvenir de la vie.
Elle ne m a jamais reproché quoi que ce soit et a toujours considéré que c'était un cadeau d amour pour moi et pour notre avenir. J ai eu aussi le récit détaillé de son amant et de son initiation assez complete (sauf sodomie) avec une jolie jeune fille appliquée à bien faire.
C'est la volonté d'une preuve d amour, un défi, pour garantir un bon équilibre sentimental et eventuellement conjugal qui l'a rendu capable de se donner au corps inconnu d'un homme mur et d'y perdre sa fleur.