- 17 sept. 2013, 10:41
#1419778
Depuis que ma femme a décidé de cesser toute relation sexuelle avec moi, elle n'a plus de gêne à avouer à ses amants que je ne la satisfais pas au lit. C'est une étape nouvelle dans nos relations, son insatisfaction étant restée jusqu'à présent privée.
Néanmoins, nous formons un couple et elle a compris que cette situation humiliante n'était "gérable" pour moi que si elle me maintenait dans un désir permanent et non soulagé. Aussi, m'a-t-elle demandé de porter une cage de chasteté.
J'ai du m'habituer progressivement à l'objet, son but avoué étant de me la faire porter en permanence. Ce qui est le cas depuis quelques semaines. Le résultat est "explosif" : je me sens comme enfermé dans mon propre désir, puisque les seules fois où elle retire la cage, c'est pour me sucer. C'est une sensation inouïe de sentir mon sexe sortir de la prison de silicone pour entrer aussitôt dans celle de ses lèvres... puis réintégrer ensuite la cage.
Depuis qu'elle a mis ce principe en place, je pense sexe, je vis sexe et j'avoue être traversé par la pensée très déstabilisante qu'elle pourrait, dans cet état, me faire accepter ce qui serait inacceptable dans un état normal. L'excitation folle dans laquelle je me trouve se double d'une certaine terreur (et excitation encore) de devenir son "jouet" et de m'exposer à de dangereux lendemains, fusse avec mon aval. Sous l'emprise du désir, je sens ma volonté fondre, je suis incapable de dire non à ses envies. Mais n'est-ce pas son but après tout ?
Néanmoins, nous formons un couple et elle a compris que cette situation humiliante n'était "gérable" pour moi que si elle me maintenait dans un désir permanent et non soulagé. Aussi, m'a-t-elle demandé de porter une cage de chasteté.
J'ai du m'habituer progressivement à l'objet, son but avoué étant de me la faire porter en permanence. Ce qui est le cas depuis quelques semaines. Le résultat est "explosif" : je me sens comme enfermé dans mon propre désir, puisque les seules fois où elle retire la cage, c'est pour me sucer. C'est une sensation inouïe de sentir mon sexe sortir de la prison de silicone pour entrer aussitôt dans celle de ses lèvres... puis réintégrer ensuite la cage.
Depuis qu'elle a mis ce principe en place, je pense sexe, je vis sexe et j'avoue être traversé par la pensée très déstabilisante qu'elle pourrait, dans cet état, me faire accepter ce qui serait inacceptable dans un état normal. L'excitation folle dans laquelle je me trouve se double d'une certaine terreur (et excitation encore) de devenir son "jouet" et de m'exposer à de dangereux lendemains, fusse avec mon aval. Sous l'emprise du désir, je sens ma volonté fondre, je suis incapable de dire non à ses envies. Mais n'est-ce pas son but après tout ?