[iiyama]

Un sujet que j'aimerais partager avec d'autres amateurs: les femmes en mini jupe en cuisine pour exciter un amant.

après quelques petites expériences en club échangiste que nous apprécions. J'ai eu envie de renouveler mes expériences de candauliste, en lui demandant ce qu'elle souhaitait faire, si elle voulait rencontrer d'autres hommes. Je reconnu qu'à ses yeux malicieux et d'envie, elle le désirait volontiers. Mais n'ayant pas trop d'idée, elle me laissa l'initiative. C'est donc après avoir choisi un type d'homme qu'elle aimait, je l'invitais pour un soit disant dinner d'affaire pour la boite d'import, export ou je bosse. Le jour dit, il sonna à la porte. Ma compagne avait souvent l'habitude de s'habiller très chic, un léger maquillage, une jupe courte, un chemisier presque transparent, légèrement ouvert sur une poitrine qu'elle pouvait se permettre se dévoiler sans pudeur. Pendant tout le repas,notre invité regardait souvent vers son décolleté, mais il se demandait quand j'allais lui proposer de le laisser s'approcher d'elle, quand Mel alla chercher les plats suivant, elle demanda de l'aide. En parfait gentleman, Jean se proposa d'aller donner de l'aide.
Puis je m'approchais sur la pointe des pieds pour voir comment elle s'y prendrait avec ce dragueur. Je me régalais déjà du spectacle: Mel en parfaite cuisinière se tenait face au plan de travail en prenant en mains un grand plat. Et elle avait eu le présence d'esprit de remonter légèrement sa jupe déjà courte, à la lisière de son si joli fessier. Je la vis volontairement faire tomber un couteau. Jean s'empressa de s'accroupir pour ramasser le couteau, et en profita bien sur, pour mater sous les jupes de ma douce. Mel voyant son petit manège ne ressera même pas ses cuisses, bien au contraire. Que feriez vous dans ces cas là? Il se releva, lui mit la main au cul en lui murmura quelque chose à l'oreille. Ce fut au tour de Mel de s'agenouiller, Mais pourquoi? il n'y avait plus rien par terre, le couteau était récupéré. Elle avait semble t'il qu'elque chose de plus important à faire, quand Jean sorti son sexe à bonne hauteur. Ma petite gourmande le pris en bouche, et commença à lui manipuler avec délicatesse, puis la maneuvre s'accéléra. Au bout d'un certain moment, ce qui devait arriver arriva. Mel s'offrit un fabuleux dessert avant tout le monde. Je regagnais ma place, et les attendait en remplissant les verres. je me disais qu'après ces réjouissances ils devaient avoir soif.

[Anonymous]

j'ai quand même réussi à faire une photo discrétos

même pas vraie car c'est une photo du net

[capsules]

j'ai quand même réussi à faire une photo discrétos

Belle tenue de pute j'aime bien ces talons hauts, tu les as sous un autre angles?

[iiyama]

Hélas, non pas d'autres photos, mais la suite de notre soirée.

Nos verres remplis nous triquons à notre amitié, car je voyais bien que le courant passait entre Mel et mon "collègue". Ce qui n'était pas pour me déplaire, avec un brin de jalousie quand même.
-"Ho, on dirait que tu as de la crème sur les lèvres et ton chemisier?" Sans gêne, elle commença à se lécher les lèvres mais fit mine d'être scandalisée (je connaissais bien son attitude) "Ho zut, mon chemisier tout neuf, j'espère pouvoir le nettoyer? " Et pour se trouver une excuse elle continua "Jean s'est proposé de faire une crème blanche pour ton asperge. Ho pardon pour les asperges que tu as rapporté du marché ce matin. Il est très doué pour la cuisine. Il m'a promis de m'apprendre quelques trucs enseignés par sa grand mère, n'est pas Jean? -- Tout à fait chère Mel, et si je puis me spermettre, ma crème ne tâche pas, et je vous aider à la nettoyer avec un peu d'eau tout simplement?" Leurs 2 lapsus révélateur me prouvait que la mayonnaise prenait bien entre eux, c'est le cas de le dire . Alors, là j'attends de voir comment il s'y prend? Mel se laissa faire, offrant son chemisier et surtout ce qu'il y a dedans. Jean s'agenouilla, posant une main sous son sein gauche pour faire remonter son chemisier et mieux voir la tâche. De son autre main il frotta avec un tissu imbibé d'eau, ce qui eu pour effet de faire tomber la fine bretelle déjà en équilibre sur l'épaule de Mel. Troublé ni l'un ni l'autre par ce sein dévoilé, il continua à frotter avec délicatesse. Il osa dire << Vos seins sont magnifiques, bien remplis, il serait dommage de les cacher-- merci, Jean, vous me flattez, je suis confuse, merci en tous cas, la tâche est partie. Allez continuons ce repas, j'ai hâte mon chéri que tu goûtes à la crème que Jean nous à préparée" Et me voilà à tremper mes asperges dans sa crème. Je ne connaissais pas ce goût nouveau pour moi. En tout cas Mel se régala de se breuvage, elle en repris 3 fois.
"Jean, vous qui semblez avoir des talents cachés de cuisinier, voulez vous m'aider à finir de préparer le plat suivant, pendant que mon homme ira nous chercher une bonne bouteille à la cave. Prend ton temps pour bien choisir" J'avais compris le message, et je fis semblant de descendre à la cave, car la bouteille était déjà mise à chambrée, pour aller voir ce qui se préparait en cuisine. Tout simplement, Mel s'affairait devant le plan de travail, Jean était collé derrière elle, il lui a été facile de relever sa jupe déjà courte, pour rentrer en elle. Mel se donnait complètement, je voyais à cris étouffés qu'elle appréciait ses talents de cuisinier, son mixeur tournait à fond dans le récipient de Mel. J'étais comme attiré, excité par ce spectacle. Puis regagna ma place, et la j'en croyais pas mes yeux. Jean vint s'asseoir à sa place l'air ravi d'avoir pu aider ma compagne, mais cela semblait normal, non le plus étonnant, c'est Mel, elle revenait aussi de la cuisine avec un grand sourire d'extase. Avec une précision importante quand même: elle était toute décoiffée; son chemisier était complètement ouvert, dévoilant ses seins magnifiques, d'une main elle apporta le plat suivant, et dans l'autre il y avait sa petite culotte qu'elle déposa dans la main de notre invité. Jean assuma et se mit à la sentir, pour la mettre dans sa poche.
Mel posa le plateau sur la table, et alla s'abandonner sur le canapé, en relevant ses bras derrière sa nuque, et cuisses complètement ouvertes sur sa si jolie petite chatounne bien taillée. << Humm, quel merveilleux cuisinier vous faites Jean. Pouvez vous revenir m'apprendre quelques recettes personnelles? N'est ce pas chéri, tu es d'accord? Tu m'as bien maté en cuisine, je sais que çà t'as plus, ne nie pas, et bien maintenant tu vas te régaler, car Jean va te montrer comment il prépare une de ses spécialités, et directement avec la cuisinière, devant tes yeux, en direct..........

[iiyama]

et la suite,tant demandée en Mp:

.Driiing, Driiiing, driiing, et merde, qui peux bien m’appeler à cette heure ? …….Mon frangin qui me rappelle pour aller le chercher à la gare ! << Je suis désolé, Jean, j’avais complètement oublié mon frangin, nous allons être obligé de reporter notre rendez vous à la semaine prochaine ! – Vous êtes tout excusé, et ce sera un honneur de revenir parler cuisine avec votre charmante épouse, qui ne manque pas d’atout, pour nous préparer de savant plats exotiques. >> Je vis Mel rougir d’extase devant tant de courtoisie…..
Je descendis le premier, en dévalant les escaliers 4 à 4, désolé de laisser Jean, un instant seul avec Mel, elle si timide avec les étrangers.  A mon retour, nous avons confirmé de revoir Jean. En réponse, elle me présenta son bandeau pour les yeux, et repris la position qu’elle avait commencée à prendre sur le canapé, offerte, écartée, Comment résister devant ce jardin printanier ? Sur le point de conclure, Mel, toute haletante, cria : « Ouiiii, Jean, continue comme çà, plus fort, >> J’ai encore pris comme un coup sur la tronche, mais elle semblait si heureuse, et détendue……………….
….La semaine suivante, Jean arriva à heure dite. Mel en parfaite cuisinière attentionnée, s’était surpassée, elle nous avait préparée quelques surprises culinaires. Ayant une garde robe assez variée, (elle me coûte cher en vêtements ma coquine, mais quand on aime on ne conte pas), elle avait revêtue, une robe à motif léopard, courte, fendue sur l’arrière, avec un décolleté tellement plongeant sur ses toujours aussi splendides seins, que je lui demandais si elle ne l’avait pas mise à l’envers ? « « Oui, c’est vrai, J’ai voulu essayer, comment me trouves tu ce soir, mon amour ? N’est ce pas trop vulgaire, pour notre invité que je connais à peine ? — Splendide, si nous n’avions pas d’invité, je te prendrais de suite, tu sais que j’adore te voir de dos dans ta cuisine, avec ce genre de tenue à faire bander un moine. --- Grand fou va »……………. Jean entra, alla posa sa veste au porte manteau, comme s’il était chez lui, et alla s’installer dans le canapé, sans attendre mon invitation. Je n’en revenais pas de ce culot, je me demandais si j’étais bien chez moi, j’osais à peine m’asseoir à coté de lui, quand ma charmante compagne vint nous apporter des rafraîchissements bien mérité. Jean ne pu s’empêcher de mater dans sa direction, je ne crois pas qu’il regardait seulement ses yeux si finement relevé d’un léger fard à paupières de chez Color Nature, une marque de maquillage écologique de chez nous. (Publicité gratuite), je devrais demander des royalties ? Enfin passons. Elle vint s’asseoir en face de nous, sans cessez de croiser et décroiser ses longues jambes, je ne savais même pas si elle avait mis une culotte, seul notre invité pouvait le voir. « « Que nous avez-vous préparé de délicieux ce soir ? Cette bonne odeur qui vient chatouiller mes narines, hummmmm, je sens que je vais encore me régaler ! Avez-vous besoin d’aide chère hôte ? ---- Avec plaisir Jean »…. Que voulez vous dire à çà ? Comment s’interposer devant tant de bienveillance ?...... au bout de 5 mn je reprends ma place derrière la porte entrebâillée. Mel aurait elle encore fait tomber un couteau, comme la dernière fois ? Pourtant je n’ai rien entendu. Toujours est il que ma miss est encore à genoux à bonne hauteur pour malaxer les outils de son cuisinier. Et faut le voir pour le croire, elle y met du cœur à l’ouvrage, avec détermination elle fait monter la mayonnaise, une experte, un vrai bonheur. Bon c’est pas tout çà, mais çà donne soif ce genre de vision, et un petit whisky bien frappé. Haaaa.
……..Ha les revoilà enfin, avec chacun un plateau. La conversation va bon train, nous parlons de tout et de rien : nos prochaines vacances aux Antilles où d’après un ami, il y aurait un club privé très cool, voir très libertaire et plus si affinité……Mel, de plus en plus en symbiose avec son cuisinier, posa sa délicate main manucurée sur son bras : « Voulez vous m’aider pour la suite ? » ………….je vous passe les détails culinaires de se qui se passe aux cuisines……. Puis je regagnais ma place, et la j'en croyais pas mes yeux. Jean vint s'asseoir à sa place l'air ravi d'avoir pu aider ma compagne, mais cela semblait normal, non le plus étonnant, c'est Mel, elle revenait aussi de la cuisine avec un grand sourire d'extase. Avec une précision importante quand même: elle était toute décoiffée; son chemisier était complètement ouvert, dévoilant ses seins magnifiques, d'une main elle apporta le plat suivant, et dans l'autre il y avait sa petite culotte qu'elle déposa dans la main de notre invité. Jean se mit à la sentir, la respirer avec délectation, puis la mis dans sa poche.
Mel posa le plateau sur la table, et alla s'abandonner sur le canapé, en relevant ses bras derrière sa nuque, ce qui eu le mérite de faire remonter sa poitrine pourtant déjà généreuse, et cuisses complètement ouvertes sur sa si jolie petite chatounne bien taillée. << Humm, quel merveilleux cuisinier vous faites Jean. Pouvez vous revenir m'apprendre quelques recettes personnelles? N'est ce pas chéri? Tu m'as bien maté en cuisine, je sais que çà t'as plus, ne nie pas, et bien maintenant tu vas te régaler, car Jean va te montrer comment il prépare une de ses spécialités, et directement avec la cuisinière, devant tes yeux, en direct>>......... Bon les ronchons, vont me dire, mais il nous l’a déjà raconter ce paragraphe, il radote ou quoi, ce con ?......Et bien voici la réponse de Mel : « Nous avons été interrompu par ton frangin, la dernière fois, j’espère qu’il n’a pas de train à prendre cette fois, et j’ai bien méritée une pause après avoir passée toute ma journée à la cuisine. » Nous nous régalions du spectacle que Mel nous offrait, je remarquais que Jean n’était pas insensible à cette vénus, mais en parfait gentleman, il su se retenir. Mais pour ma part, je rageais, alors là, je sors de mes gonds, osez me parler comme çà devant un collègue, et en plus madame sort à moitié nue de la cuisine, en nous montrant son intimité. Non, je dis non, il y a des limites à ne pas dépasser. Après mettre laissé dépasser par les évènements, je reprends mon autorité : « « Chérie, peux tu nous apporter le café ? Nous avons à parler affaire avec Jean. – Oui, excusez-moi, ou avais-je la tête ? Jean, pouvez vous m’aider à apporter les tasses ? – Volontiers, chère Mel>>
Ha non mais, c’est un monde çà. Faut pas se laisser monter sur les pieds ? J’avance à pas de loups vers la cuisine, cet antre où il s’y prépare des mixtures, des préparations magiques, un vrai délice pour le nez et les yeux. Que c’est beau une femme de dos dans sa cuisine, à nous préparer de si bons petits plats longuement mijotés, avec amour et délectation, même si un inconnu se colle derrière elle pour l’aider à accomplir son œuvre, moi je trouve çà bandant……….. « Chéri, approches, peux tu surveiller le café, tu vois bien que je suis occupé à autre chose de plus important ? » Je l’adore, c’est ma compagne………………

[iiyama]

La suite:

Notre invité fétiche, que ma douce appréciait de plus en plus pour ses talents culinaires me semble t’il, a du revenir en 3ème semaine. Nous n’avions toujours pas conclu de partenariat convainquant avec les partenaires de notre boite import/export. Ainsi Mel pouvait se surpasser en cuisine, je sens qu’elle va nous préparer un repas sortant de l’ordinaire. Sa nouvelle tenue aussi sortait de l’ordinaire. Elle avait mis des bas rouges retenus par un porte jarretelles assorti. Une robe courte en stretch, ce tissu caractéristique en coton élastique, qui cache l’essentiel et laisse deviner les formes de celle qui le porte. Ou, pour le dire autrement, qui moule et met en valeur son superbe corps de déesse, un tissu de couleur chaire transparente. Mais nous avions convenu pour donner un peu de piment à cette rencontre, que Jean venait en tant que plombier réparer une fuite, car d’après le coup de fil de Mel à Jean : « Mon mari n’est vraiment pas doué pour le bricolage, et je préfère faire intervenir un professionnel » « Mais ma chérie, je pourrais quand même essayer de regarder d’où vient le problème – Non , non, Jean me semble avoir beaucul, pardon, beaucoup de talents cachés, j’ai hâte de les découvrir. -- Comme tu voudras ma puce, pour ta cuisine, c’est toi qui gères. – Mais j’espère bien ». Je devais ravaler ma fierté dans ma culotte, et elle avait raison, on ne peut pas tout gérer, il faut savoir déléguer, de temps en temps.
Ding, dong, sonnait le carillon de notre home, devant lequel était posé le traditionnel tapis en coco : Bienvenu. Mel, en entendant le carillon, alla se recoiffer, repositionna sa robe pendant que j’ouvrais au plombier. « Ha, enfin, vous voilà, nous étions impatient de votre visite, enfin surtout ma femme, allez donc la voir en cuisine ! – Merci de m’avoir appeler, je vais allez voir cela de plus prêt. » Je les laissait un instant, prétextant un coup de fil à donner, mais j’allais mater comment il allait opérer. Mel, avec son sourire charmeur lui montra la fuite sous l’évier. Il s’allongea pour voir çà de plus près. « Pouvez vous ouvrir le robinet, cela me permettra de déceler votre fuite » Mel, s’approcha du plombier pour pousser la manette du robinet. Imaginez vous à sa place, allongé, avec une belle femme en mini jupe qui vient presque vous montrer ses dessous féminins. « Depuis quand avez-vous ce problème ? – 2 jours – Dans ce cas n’hésitez surtout pas à m’appeler, quand il s’agit d’une urgence. Non, continuez de faire couler l’eau, s’il vous plait, j’ai besoin de vérifier quelque chose. – Oh, pardon, mais je dois vous enjamber, car je suis en équilibre – Pas de problème, surtout mettez vous à l’aise, car j’en ai pour un certain temps. » Mel n’hésita pas à passer une jambe au dessus de lui. Ainsi notre professionnel pouvait mater ma femme. Ha oui, au fait, j’ai oublié de préciser que Mel, ne portait aucun sous vêtements sous sa robe en stretch. « Tenez, approchez vous, la fuite vient d’ici ». Mel s’accroupie, avec toujours une jambe de chaque coté de son plombier. Et comment résister devant cette appel de la nature, il approcha sa langue, et commença un cunnilingus en règle. Dieu, qu’elle est bandante dans cette position. J’allais me servir un apéro, bien frais en attendant que « la fuite » soit réparée. ….