- 12 mai 2020, 08:28
#2420476
Je l'entends encore, cette phrase qui m'a donné comme un coup dans le bas-ventre.
Nous faisions une petite fête à la maison, il y avait plusieurs copines du boulot - ma femme et moi travaillions dans la même boîte. Je ne sais plus comment a surgi ce sujet, mais j'ai entendu ma femme dire à ses copines, assez fort pour ne pas ignorer que je l'entendais : "Je préfère les blacks".
Un coup de poignard donc, de par la honte ressentie, mais accompagné immédiatement d'une excitation face à cette humiliation publique.
"Je préfère les blacks" : ça, moi, je le savais. Elle en avait connu pas mal avant moi et gardait un souvenir ému de leurs prouesses sexuelles. Elle me les avaient suffisamment racontées, à ma demande, et vous imaginez à quel point j'avais goûté ces récits. En outre, l'un des partenaires de nos jeux candaulistes était black, qui lui donnait énormément de plaisir.
Mais le dire devant ses copines, ouvertement ? Bien-sûr, la coquine savait que ça allait m'exciter et sans doute l'a-t-elle lâché comme un défi à mes penchants pour l'humiliation.
Que signifie en sous-entendus ce "Je préfère les blacks" ? Déjà que mon sexe est plus petit et qu'elle aime être mieux remplie que par moi. Ensuite, qu'ont pu penser ses copines ? J'imagine le dialogue :
- "Tu crois qu'elle se tape des blacks ?"
- "Je ne sais pas, peut-être... En tout cas elle l'a dit devant mon mec !"
La phrase lâchée devant ses copines laisse planer le doute, mais peut être interprétée comme un aveu du fait qu'elle fasse de moi un cocu. Pire (ou encore mieux !) : de le revendiquer ouvertement, puisqu'elle le dit devant moi.
Une façon de dire à ses copines : "Olivier est là mais je le dis quand même : je préfère les blacks, et je ne me prive pas de m'en taper ; Olivier est cocu parce que je préfère les grosses bites."
Je n'ai rien dit, peut-être ai-je rougi, j'ai baissé les yeux. En les relevant timidement, j'ai vu les petits sourires gênés des copines et l'air de défi de ma femme.
Je ne lui ai jamais reproché d'avoir dit ça, devant ses copines et moi. Elle n'aimait pas d'habitude flatter mon appétence pour l'humiliation. "Je t'aime, comment veux-tu que j'ai envie de t'humilier et comment puis-je aimer quelqu'un qui ne rêve que d'être humilié ?", était son leitmotiv. Mais elle le faisait tout de même à l'occasion, pour me faire plaisir. Comme quand elle me disait, après une rencontre : "Il m'a mieux baisée que toi, il m'a mieux faite jouir avec sa bonne queue que toi avec ton escargot qui bande mou". Ou quand elle me donnait la fessée.
Le souvenir de sa phrase balancée devant ses copines restera quoi qu'il en soit l'un de mes souvenirs les plus forts d'humiliation. J'en ressens encore la profonde et délicieuse morsure.

Nous faisions une petite fête à la maison, il y avait plusieurs copines du boulot - ma femme et moi travaillions dans la même boîte. Je ne sais plus comment a surgi ce sujet, mais j'ai entendu ma femme dire à ses copines, assez fort pour ne pas ignorer que je l'entendais : "Je préfère les blacks".
Un coup de poignard donc, de par la honte ressentie, mais accompagné immédiatement d'une excitation face à cette humiliation publique.
"Je préfère les blacks" : ça, moi, je le savais. Elle en avait connu pas mal avant moi et gardait un souvenir ému de leurs prouesses sexuelles. Elle me les avaient suffisamment racontées, à ma demande, et vous imaginez à quel point j'avais goûté ces récits. En outre, l'un des partenaires de nos jeux candaulistes était black, qui lui donnait énormément de plaisir.
Mais le dire devant ses copines, ouvertement ? Bien-sûr, la coquine savait que ça allait m'exciter et sans doute l'a-t-elle lâché comme un défi à mes penchants pour l'humiliation.
Que signifie en sous-entendus ce "Je préfère les blacks" ? Déjà que mon sexe est plus petit et qu'elle aime être mieux remplie que par moi. Ensuite, qu'ont pu penser ses copines ? J'imagine le dialogue :
- "Tu crois qu'elle se tape des blacks ?"
- "Je ne sais pas, peut-être... En tout cas elle l'a dit devant mon mec !"
La phrase lâchée devant ses copines laisse planer le doute, mais peut être interprétée comme un aveu du fait qu'elle fasse de moi un cocu. Pire (ou encore mieux !) : de le revendiquer ouvertement, puisqu'elle le dit devant moi.
Une façon de dire à ses copines : "Olivier est là mais je le dis quand même : je préfère les blacks, et je ne me prive pas de m'en taper ; Olivier est cocu parce que je préfère les grosses bites."
Je n'ai rien dit, peut-être ai-je rougi, j'ai baissé les yeux. En les relevant timidement, j'ai vu les petits sourires gênés des copines et l'air de défi de ma femme.
Je ne lui ai jamais reproché d'avoir dit ça, devant ses copines et moi. Elle n'aimait pas d'habitude flatter mon appétence pour l'humiliation. "Je t'aime, comment veux-tu que j'ai envie de t'humilier et comment puis-je aimer quelqu'un qui ne rêve que d'être humilié ?", était son leitmotiv. Mais elle le faisait tout de même à l'occasion, pour me faire plaisir. Comme quand elle me disait, après une rencontre : "Il m'a mieux baisée que toi, il m'a mieux faite jouir avec sa bonne queue que toi avec ton escargot qui bande mou". Ou quand elle me donnait la fessée.
Le souvenir de sa phrase balancée devant ses copines restera quoi qu'il en soit l'un de mes souvenirs les plus forts d'humiliation. J'en ressens encore la profonde et délicieuse morsure.
