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Dans cette section dédiée aux fantasmes du candaulisme et du cuckolding, nous vous invitons à partager avec la communauté du forum vos envies et aspirations les plus secrètes en matière d'épanouissement sexuel au sein de votre couple.

Le candaulisme et le cuckolding, bien que tabous et méconnus, représentent pour de nombreux couples un puissant stimulant de leur vie intime et amoureuse. Il s'agit d'explorer, au-delà des sentiers battus de la sexualité à deux, de nouveaux horizons riches en sensations fortes et en plaisir recherché.

Que ce soit le fait de voir son conjoint avec un ou une autre partenaire, de l'imaginer dans les bras d'un amant fictif, de partager vos ébats avec un voyeur consentant ou d'assister en simple observateur aux étreintes de votre moitié avec un tiers, les variations possibles offrent un vaste champ d'expression aux penchants plus ou moins exhibitionnistes de chacun.

Les membres de notre communauté sont invités à s'exprimer sans tabou ni retenue sur les scénarios, images mentales ou souvenirs qui titillent leur libido et alimentent leurs jeux de séduction à deux. Qu'il s'agisse de confidence, de témoignage, de questionnement ou de recherche de conseils avisés, cet espace se veut un lieu d'échange privilégié sur ces pratiques parfois mal comprises.

N'hésitez pas à partager avec nous, dans le détail suggestif ou cru de votre choix, ces petites « perversions » intimes qui subliment votre complicité de couple et boostent votre épanouissement sexuel. Car, il faut bien le reconnaître, le fantasme reste le meilleur moteur d'une sexualité épanouie !
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par durandale
#1280631
Voilà qui va faire le bonheur des représentants ...

Je planifiais un déplacement professionnel, pour me rendre à la capitale d'un pays limitrophe, quand je me vis demandé de faire un crochet, pour aller prendre des mesures aux fins d'une installation conséquente, chez un particulier.

Le rendez vous fût fixé relativement tôt dans la journée, pour nous laisser toute latitude dans nos métrés.

Bref, il s'agissait pour moi de prendre la route très tôt (dommage, car pas beaucoup de chance de ramasser de "stoppeuse" à ces heures là).
Faire le plein, un café, un bidon de boisson énergisante et un casse croûte pour plus tard, me voici en route ...

5 heures plus tard, 09:15, j'avais 15min. de retard, mais j'avais signalé la veille que "en fonction de l'état des routes, etc ... "
Je ne pris pas la peine d'appeler pour m'excuser. Jusque là, j'avais suivi les indication du GPS, et maintenant, j'ai repris l'E-mail de mon client, qui portait un soin tout particulier à la description du trajet.

Celui-là, ne veut pas que je me trompe ! :) , un peu las du trajet, tout de même.

... un dernier virage, et me voilà arrivé.
Petit check : Carte de visite, le mètre enrouleur.
... la maison est sympa.

Quelques marches me mènent au perron, la porte d'entrée est munie d'une vitre sur le bord, à l'américaine.
Il y a toujours un petit coup d'émotions, juste avant de sonner.

Maison "proprette", on s'imagine aisément les habitants, "madame et monsieur tout-le-monde", classique ... un petit coup en missionnaire le jour de la paye...

Allons, sonnons ...
:geek: à partir de là, les choses se bousculent dans ma tête :
c'est comme au cours d'un accident : le temps connaît des fluctuations il se déroulent des actions en quelques fractions de secondes, mais le cerveau en à gardé un film entier .

J'ai entre-aperçu une créature à cheveux longs, et col roulé, passer à hauteur de la vitre ...
Mais la porte s'est ouverte sur, (pour moi, vue ainsi) le prototype de l'institutrice érectile, vous savez bien, celle qui est l'objet de nos masturbations coupables, dont l'image nous poursuit pendant toutes les années de notre puberté ...
Je me reprends :? ... je tente, du moins, car mes yeux connaissent déjà tous ce corps, ils sont tombés, du visage de la personne en face de moi, à ses chevilles bottées, ont relevés la présence d'un collant clair qui habille genoux et cuisses aux formes envoûtantes ...
je voudrais que mon regards soit "correcte" mais la tentative de correction fixe mes prunelles sur la courbure des hanches de celle qui se tient devant moi. :|
Mes mains, dans ma tête, y sont déjà posées ... agrippées devrais-je dire. :twisted:

Je m'en remet à mes réflexes de représentant ...
(les yeux dans ses seins ... je crois)
"Bonjour madame X " ... je me présente "représentant l'entreprise bla bla...", ce qui devrait m'aider à replacer mes yeux en une position décente.
:shock: ... et là, je reçois un "uppercut" de je ne sais pas où ... ses yeux ont brûlés un instant de ce feu féminin, ce regard de la femme qui vient de découvrir qu'elle avait raison de savoir qu'elle plaît, et son battement de cils m'a demandé " c'est vrai, je te plais ?"... (le trouble grandit, et je suis convaincu que j'ai arrêté de respirer)

Cette accélération du temps m'a donné l'impression qu'elle était pétrifiée, et je n'avais pas l'intention de rester sur le pas de la porte.
"Je suis attendu par monsieur..." et là dessus, elle se retourne et me précède... (Ô ce cul !)

Sa jupe ne permettait pas trop le déhanché en montant les quelques marches qui menaient au séjour...
Par contre, d'un petit regard en coin, il me semble qu'elle vérifiait bien si mon regard était plus haut ou plus bas, que sa ceinture... il y avait une lueur carnassière. Et moi, j'étais en train d'oublier l'objet de ma visite...

Ses hanches roulaient à chaque marche ... je devinais des fesses rondes,pleines, sous cette jupe, courte, mais encore trop longue car je ne saurais toujours pas dire si "collant "ou "bas "...
Entre mecs, j'aurais sifflé, et lancé un "putain de chassis, la poulette..." mais là, j'étais un professionnel. Une réclamation sur un écart de ma part, et je peux me faire licencier.
Devant moi, sur l'escalier,... cette garce, habillée en madame tout le monde, une sage queue de cheval, un pull à col roulé ;
Je n'en menais pas large,
Là devant moi, une femme montait simplement quelques marches ...
... et je crois que mon trouble devenait sensible.

Mais tout cela était "trop" ... la queue de cheval trop sage, devenait un moyen de la saisir dans un accouplement en levrette ...
Son pull, col roulé, trop ajusté, était un prétexte pour mettre sa poitrine et sa taille au paroxysme de la mise en valeur ...

Le trajet, et son ronron, m'ont heureusement sauvé la mise : je suis devenu une bête en rut dans mon crâne, mais tout mon bas-ventre était encore anesthésié par la position de conducteur ... ça m'a épargné l'érection "mal à propos".

Tempête de sexe en boite crânienne !
.. .tout celà en ... 20 secondes.

:mrgreen: Se rapeler la réalité de la vie :
Mon travail, et corriger ma tenue par rapport aux rêgles sociales ... non, on ne renifle pas le dessous des jupes !!
... non, c'est la femme d'un autre ; et là, resurgissent d'un passé enfoui depuis 15 ans de mariage, toute une rafale d'images. Les souvenirs d'une vie décousue, oû les tabous étaient autant d'objectifs à abolir ... des soirées passées entre "adultes consentants"
:mrgreen: Sauve ton boulot, mon gars ... ne fais pas l'idiot.

Nous arrivons au séjour (entre 3 et 10 marches plus haut)
Moi - "Bonjour monsieur X, enchanté de faire votre connaissance" ... (ta femme, mon vieux, c'est une femelle de compétition, ou bien je n'y connais vraiment plus rien)
et je lui parlais, mais mes yeux avaient du mal à ne pas la suivre ... peur qu'elle quitte mon champ de vision
Lui - "vous avez fait bonne route ? ... bla bla..." (ah merde, ça tourne, là bas, elle est passée où ?)
Moi - "Oh, vous avec un piano ?"
Lui - "Oui, ma femme prend des cours" ( ... imagines son cul, rond, posé juste là, le dos redressé, les seins tendus en avant ...)
Moi - "vous nous en ferez écouter un peu ?" ( curieux de voir ses doigts bouger ... )
Elle - (devenue toute rouge ... c'est là que j'ai réalisé que je devais avoir un regard d'une lubricité extrême ) - "ha non, sûrement pas..."

Moi -" Euh, je pense que vous vous doutez que je vais devoir prendre des mesures" (dommage que ce ne soit qu'avec un mètre enrouleur)
Lui - "oui bien sur, je vais vous emmener" (... ça va me refroidir un peu les esprits ... ouf)
Décidé à revenir à une vie plus "socialement correcte" je jette néanmoins un dernier coup d’œil à la miss, un peu à regrets, mais ...
:shock: MAIS !
... j'y crois pas ! ... est-ce qu'elle sait ce que ça fait à un homme, quand il voit une femme ainsi adossée à une cheminée ?, les mains dans le dos, une jambe repliée ... je n'ai vu que ses seins !, ses hanches ... le galbe d'une cuisse ... et des images de copulations !

:mrgreen: Boulot - BOULOT mon gars ... je saisis mon mètre, en bredouillant une phrase débile ... je sais que j'ai dit n'importe quoi, car le mari m'a regardé d'un air "point d'interrogation" ... je n'ai pas insisté.

Je le suis, dans l'escalier qui monte aux chambres ... ( la garce, l'air innocente ... elle me cherche ou quoi ? elle veut que je la coince dans un coin ?, son mec, il va nous coller tout le temps ? ...)

La visite de l'étage me laisse rétablir un équilibre hormonal fragilisé. 8-)
vestibule, chambre enfant, salle de bain, trappe d'accès au toit, suite parentale ... suite parentale :| .

( :o Oh Bordel ! ... il n'a pas vu ? ... là sous l'oreiller, un gland de gode rouge !)
Lui - "... et on fera passer le conduit, par ..." (t'as raison, causes)
Moi - "auriez vous un escabeau pour que je jette un œil par ici " (un passage de lampe ... n'importe quoi, mais j'avais besoin de rester seul un instant pour avoir le cœur net)
Lui - "Oui, je vous ramène ça ..."

Fais vite, mon gars,
... sous l'oreiller, je trouve un magnifique Gode, annelé, rouge, la qualité du système de vibration trahit un matériel de qualité : ces gens mettent les moyens dans leur plaisir.
Juste à côté de l'oreiller, sous un petit livre de poche, un ouvrage plus large ... "l'art de la fessée..." ou un truc comme ça. J'ai eu un vertige.
Plus bas sur le lit, des vêtements ... mais surtout un ensemble en dentelles noires. (mais là, je n’étais déjà plus étonné ...)
Tempête de SEXE hormonale ! ... il ne manque plus que de trouver quelques photos de la miss dans des positions chaudes ... je cherche avec le désespoir du bout en train ... le mâle qui sert à vérifier les chaleurs des juments, et qui régulièrement bande quand c'est le cas, on le remplace alors par l'étalon ... et se mange une ruade si non.
La culotte à la main, je l'entend qui remonte avec son escabeau ... vite, je l’escamote dans une poche.

"bla bla bla..." (oh la vache ... j'ai la culotte de sa femme dans la poche)
Heureusement, je ne bande toujours pas ...


J'ai soif, j'ai chaud ... tout ça c'est passé d'une traite, je n'ai pas quité mon manteau ... je me souviens à peine avoir retiré les chaussures, avant de monter à l'étage ... le fait d'être en nage en rajoute à mon mal-aise ... imposer ma transpiration...

J'avais atteint un "palier" ... un "seuil"....

<=== Pause ===>

;) il y a une suite ...
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par durandale
#1281171
... Cette femme, au look sage d'instit., propre à générer une classe de pré pubères lubriques, se masturbe en lisant des revues osées ... et moi, j'ai sa culotte dans la main/poche. :twisted:

Il faut à tout prix que je la revois, que je m’imprègne de son image. Il y a un parallèle à rétablir. Une ligne à rebâtir ...

Lui -"Redescendons, voulez vous ..." (oh oui ! ... je veux encore la voir !!)
... j'ai le sentiment que toutes les réponses que je bredouille sont totalement à côté de la question . En bas, vers la cuisine, de l'autre côté par rapport au bureau, je la vois près du feu, là où nous l'avions laissée. Aussi sexy que qu'avant.
"Je vous fais un café ... " (Je l'imagine en train de faire aller et venir le chibre de latex rouge, à quatre pattes sur le lit conjugal ; et debout comme elle est là ... vraiment bien faite )
... normal ou déca ? (Habillée comme ça, en fait, les cuisses ouvertes pour faire passer le vibro ... et je ne vois qu'elle, juste elle, les yeux aimantés comme une boussole, sur ses hanches, son sexe ...)
Moi - " oui, un café, merci ..." (pourquoi me sourit-il, lui ?)
Lui - " ... déca ?"
Moi - "mais non, sans rien, ni lait ni sucre ..." (comment vais-je la calculer celle là ?, ... si loin ! ... au moins 5m !)
Je demande à retirer le manteau ... mais garde la veste, et son précieux contenu.

Lui - "prenez place..." (ah oui, super ... sur le canapé, juste à côté d'elle : à 2 m de ses reins, là où je vais la maintenir fermement ..)
il place une table basse au milieu de nous (les pieds me semblent fragiles pour la culbuter la dessus) et se retire à la cuisine (elle à un bassin qui doit aimer la bite ! ...).

... je fais quoi, maintenant ? :?

lui, à la cuisine à préparer des cafés,
elle, en face de moi, adossée (comme une petite pute à son lampadaire) au foyer de la cheminée
moi, enfoncé dans un fauteuil moelleux ... et le cerveau en compote : les mesures, le mec, la bourge, la pute, la prof, la salope que j'ai baisée dans tous mes fantasmes d'ados...
Un mètre ruban ... un livre Érotique, un gode ... une culotte...
Vite, trouve un truc. 8-)

ça y est, j'ai le bon bout ... parfois, on retrouve un peu d'inspiration perverse
A partir de là, j'ai craint et redouté sans arrêt, le retour du mari (mais ça rajoutait au plaisir de participer à quelque chose d'interdit)

Moi - " Les femmes sont sensibles aux effets de température : vous dormez de quel côté, dans la chambre" ( ah, tu baisse la tête, en rougissant un peu ?)
... ma question était un peu directe, peut être ...
Elle - " à droite ... " ( très "rouge" tout à coup ... mais le gode était à gauche)
Moi - " ah oui ? ... je pensais de l'autre côté ..." (hé hé, là elle sait que je sais un truc ...)
Elle - "ça dépend de quel côté on regarde ..." ( dit elle : rouge, le visage chaud .. .et les yeux brûlants, pris d'une soudaine fièvre ...)
Moi - " ... car je suis tombé sur un livre traitant de la fessée, vous appréciez ?" ( là, j'ai sauté, plus rien a perdre :? )

croyez moi, mais elle s'est à peine déstabilisée ! ... ( :shock: la salope, la salope, la salope ... la chienne !)
Elle - "J'aime assez " (zut, elle à repris les commandes de la manœuvre ... vite, improvisons)
Moi - "voyons cela !"
"tournez vous..."
Elle - "pardon ?...."
Moi - "TOURNEZ VOUS ! ..."
et la voilà qui me tourne le dos, se place face au foyer, et me présente de la plus belle façon, ses atouts de femme...
"Magnifique !, vous avez de formes qui appellent le plaisir ..."
j'allais m'en saisir quand je me suis rappelé le mari à deux pas, le but de ma visite ... :oops:
"je veux en voir plus" tandis qu'elle se retournait à nouveau vers moi. Son regard est ailleurs, je reconnais les narines dilatés. Elle aime.
elle plaque alors ses deux mains sur les cuisses, et tire doucement sa jupe vers le haut ... ce sont des bas ! (zut, je crois que le mari revient)
"remettez vous" ... ce qui a eu pour effet de la désarçonner un peu.
En face de moi, à ... 50cm, je la regarde (sans que mon cerveau n'ait réellement "imprimé" ce que je voyais) et vois une femme, les jambes légèrement fléchies, se passer la main à plat sur tout le mont de vénus, en un geste sorti tout droit de ses ovaires en direction de sa chatte ... par dessus la jupe.
Une caresse si naturelle, tellement belle, la bouche entre-ouverte, les yeux mi-clos et la tête en arrière ...
C'était d'une déflagration érotique extrême ! ... le porno ne sait pas faire ça ! :ugeek:

Et à ce moment là, passe le mari pour se rendre ailleurs, et elle, elle s'en est à peine embarrassée. Gonflée ! :mrgreen:

Elle en profite pour s’asseoir au bout du canapé, en croisant les jambes de cette si "fémini-charmante" façon, qui relève loin la jupe, et fait deviner la texture de la peau qu'il serait possible de percevoir si nous avions de mains à la place des yeux ...

Moi- "Montrez moi"
Elle-"hein ?"
Moi- "Laissez moi voir, écartez vos jambes ..."

Une femme, même si c'est par jeux au départ, dans ce geste le plus indécent possible qui est de montrer ce que par réflexe, elle dissimule, sent, alors, qu'elle est en train de basculer dans le pervers de la Salope.
Ce geste est l'épice la plus précieuse du mets le plus subtile parmi les délices qu'il m'ait été donné de goûter jusqu'à ce jour !

D'un geste brûlant, assuré, elle m'ouvre aussi grand que le permet la jupe, la fourche d'accès à son temple de tous les plaisirs
... ce geste, messieurs je vous en recommande la dégustation!

J'en ai profité pour me lever, et suis venu, le plus "naturellement" du monde, poser ma main sur cette parcelle de chaire dévoilée, en une caresse qui se voulait chaude et reconnaissante...
Mais le train (l'Express) hormonal, précédemment mis en route a tôt fait de s'exprimer ... pas effarouchée, ne manifestant aucune fermeture, aucun avis défavorable, je me suis saisi de tout l'espace sexuel ainsi mis à disposition, en plaquant ma main, le plus largement possible sur toute la surface encore protégée par la culotte ...
Ce qui lui a fait lâcher un soupir ... un murmure, un gémissement.

Sa motte était chaude et tendre, il résultait de ce contact une liaison quasi électrique... je sentais son cœur de femme, dans le creux de ma main ; je dégustais ses arômes de femelle du bout des doigts ... je sentais son âmes de libertine dans tous son corps...

Le mari réapparaît ... (Arf !)

Elle n'avait pas l'air "coupable", mais moi, dans un sursaut de pudeur, je lui ai fait remettre ses vêtement en "bonne place" ... et son visage en exprimait du désarroi.

Je me rassied à bonne distance, tout en "bredouillant" des mots de "professionnel", inquiet de me faire surprendre (ce coup ci, c'était chaud ...)

Elle - (le souffle encore un peu court )"Mon... ri ...mssa..."
Moi - "je vous demande pardon ?"
Elle -" Mon mari aime ça ..." en se pinçant la lèvre entre les dents, la tête baissée et les yeux "comme s'ils craignaient de se voir retirer une gourmandise convoitée" (je ne saurais pas dire mieux)
... Tempête de cafetière...

Alors pour me redonner une contenance, je sors sa culotte de ma poche, et lui dit que j'aimerai qu'elle l'enfile, devant moi ... Là, pour la première fois, je l'ai vue hésiter.
Je la lui donne puis je me place dans un angle de la pièce, pour la regarder "en entier"... à l'abri de la vue de son mari

Elle, dans le canapé, en face de moi ... ouvre ses jambes, relève sa jupe, pour en faire comme une ceinture ...
Oh là là là là là là .... je n'avais rien vu de la culotte qu'elle portait déjà ... blanche à rayures sombres en sa partie "maillot" et tout le reste, en dentelles et tulle transparente.
Le sol n'avait plus de consistance, sous mes pieds. Ma bouche était sèche comme un mirage du désert ... mon cerveau en feu.

Ma faim immense !

Cette femme était magnifique ! d'un érotisme incommensurable.
Un corps qui invite à tous les excès.
Mes yeux dans les siens trouvent toutes les ficelles de la luxure.

J'ai envie de la posséder ... envie de lui donner du plaisir pour mieux en prendre.


Lui :- "Vous prenez du sucre ? ... du lait ? ..."

//=============== to be continued ?
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par durandale
#1281186
... merci à tous ceux et celles qui m'ont encouragé à continuer le récit.
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par durandale
#1282060
... c'était une formidable histoire de complicité, et je ne saurais pas l'écrire aussi bien que le mari le fait, ici:

presentation-de-madame-fantasmes-t35732-1200.html


Ce couple est extra-ordinaire, et les photos publiés à ce jour sont très belles ... mais la réalité du modèle est incomparable !

Merci Manon, merci Laurent ... "vivent les fantasmes" !

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