- 04 nov. 2024, 00:02
#2835137
On pourrait sortir ce soir et aller à l'A. comme on l'avait déjà projeter.
Sortir en amoureux, toi et moi, s'amuser à deux.
Je nous imagine bien arrivé, tout sourire dans ce lieux où tu fais fureur auprès des hommes.
On commencerait la soirée tout les deux, accompagnés d'un cocktail.
Tu me raconterais ton désir de M., tes doutes.
Je te parlerai de mon envie de te faire des enfants et de te voir mère.
Et très vite je comprendrais que je suis en train de perdre ton attention, car il y a ce beau black derrière moi.
Impossible pour toi de l'ignorer, son sourire écarlate luit comme un phare dans l'obscurité de l'A.
Je n'ose pas me retourner pour ma rompre l'alchimie naissante entre vous.
Je l'imagine grand, bien bâti, viril et élégant, comme tu les aimes.
Notre discussion n'a plus aucun sens, tu n'es plus là. Il a toute ton attention. Alors je te propose de l'inviter, ça te fait rire, tu ne réponds pas de suite, tu hésites ou tu me jauges ? Quoiqu'il en soit tu lui fais signe.
Il est vraiment grand et imposant. Ça voix est à la fois douce et profonde, c'est envoûtant. C'est quelqu'un de calme, mais on sent une force naturelle en lui.
Il me parle comme si de rien était, il est curieux de ma vie.
Il te parle avec beaucoup de respect, mais son sourire et son regard trahissent ses intentions.
Sait-il qu'on est ensemble ? Évidemment. Il a l'air habitué à la situation.
Plus la conversation avance et plus je vois ton esprit s'embraser dans le reflet de tes yeux. On devient de plus en plus complices, tactiles tous les trois.
Des accolades amicales pour ma part et des mains baladeuses entre vous. Ça devient gênant alors je nous propose de partir.
Sorti du bar, je lui donne l'adresse en lui disant qu'il ne peut pas rentrer en même temps que nous. Je te demande de rentrer en première, c'est lui qui te rejoindra ensuite. J'ai envie de vous laisser quelques minutes d'intimité, je ne te sens pas encore à l'aise dans nos interactions à trois, je préfère que vous brisiez la glace à deux.
20 minutes plus tard, je suis en bas de chez toi. Mon cœur bât a 1000/heure, je monte les escaliers en courant, glisse la clef dans la serrure le plus discrètement possible et me faufile dans ton appartement.
Que s'est il passé jusqu'à présent, je n'en ai aucune idées, mais là ! Quelle vision incroyable s'offre à moi.
Cet homme est nu, grand, musclé, je ne vois que son dos mais je suis impressionné. Tu es nue sur le lit, à genoux, le visage au niveau de son sexe. Je ne vois pas la scène mais je sais exactement ce que tu fais. Je ne vois pas la scène mais je sais exactement dans quel état tu es. Folle de désir, tu bouges dans tous les sens, tu gobes son sexe, tu fais des bruits de succion, je ne t'ai jamais vu dans cet état, avide de sa bite.
J'ôte mes chaussures et je viens vos rejoindre dans ton lit.
Je te caresse le dos, la nuque, je glisse mais doigts entre tes cheveux et te les empoigne fermement avant de te libérer aussitôt pour te caresser le reste du corps.
Nos yeux se croissent dans ton miroir, nos peaux dessinent un dégradé de couleur dans le reflet de ce tableau argenté. Quel spectacle magnifique, je prends le temps de prendre une photo dans mon imagination, je n'oublierai jamais ce moment magique, hors du temps.
Un bruit de déglutition me ramène à la réalité, il t'a attrapé la tête avec ses mains immenses (tu parais si petite entre ses doigts) et te force à aller plus loins. Tu as un mouvement de recule, comme si tu allais vomir, tu rigoles. Tu te sens dominée, utilisée ? Ou alors tu apprécies ça fougue ? Quoiqu'il en soit tu aimes le traitement qu'il t'impose. Je vois alors enfin l'objet de ton entrain, de ton désir, son sexe.
Il est extrêmement long et large. Circoncis et droit comme une fusée. Tellement esthétique que je pourrais me laisser tenter. Mais pour l'instant, la reine du bal c'est toi.
Tu te jettes à nouveau la bouche grande ouverte sur son pieux.
Cette fois-ci tu es à quatres pattes et m'offre une vu imprenable sur ton intimité. J'aimerais me contenir et commencer à te toucher délicatement mais tout à coup l'animal en moi se réveille. Je me jette sur ta fente à pleine bouche, mon visage heurte tes fesses et je te dévore comme un affamé. Je lèche, je pénètre, j'aspire, je suce tout et sans distinction, ton clitoris, t'es lèvres, ta petite chatte encore serrée (pas pour longtemps) et même ton anus. Je me frotte littéralement le visage entre tes jambes.
J'ai envie qu'il te pénètre en premier, je t'attrape par la taille et te tire brusquement à moi, tu tombes assise entre mes jambes, dos à moi et face à lui jambes écartées.
Il se penche sur son pantalon et attrape un préservatif de sa poche, l'enfile. Pendant ce temps-là, je suis toujours derrière toi, mes mains parcourt ton corps en sueur, je t'attrape les deux seins fermement. Tu tournes ton visage vers moi, la bouche entre ouverte, on marque une seconde de pause, je sens ton hallen marqué par se sexe démentiel alors je me jette à pleine bouche sur tes lèvres, je bois littéralement ta salive pendant qu'il se rapproche de toi, le dar en avant.
Tu ne me regarde plus, tu es concentrée sur la verge bandé qui avance vers toi. On se penche tous les deux en arrière pour faciliter sa progression.
Tu es toujours dos à moi, enlacée dans mes bras.
Il colle son gland contre l'entrée de ton sexe, quel spectacle. Lentement, très lentement, proportions oblige il te pénètre. Jamais je n'aurais pu croire que tu puisse accueillir en toi un tel organe. Deux pensées me traverse l'esprit, on a commencé ton entraînement et tu réalises une réel prouesse, je suis fière de toi.
Enfin il est au fond de toi, son ventre collé au tiens. Il pousse encore un peu, comme s'il voulait te transpercer. Je sens son poids désormais. Tu as la bouche grande ouverte mais aucuns son n'en sort. Il commence ses aller-retour, lentement, mais profondément. J'entends un clapotis je n'en crois pas mais oreilles, tu mouilles autant ?
Il accélère le rythme, en poussant toujours aussi loin, le plus loin possible en toi. Je sens son poids, ça m'excite, je reprends tes deux seins fermement et enfin un son sort de cette bouche grande ouverte, après seulement 30 secondes de pénétration, tu jouis.
Tu as la tête en arrière contre mon épaule, tu reprends tes esprits dans mes bras protecteurs, il est toujours planté en toi.
Je t'embrasse dans le coup et je commence à te caresser le clitoris et les petites lèvres qui dépassent. Lui reprend ses allés et venus, il va moins en profondeur mais ma main fait son affaire, 30 secondes après tu jouis à nouveau.
C'est pas possible, nous aussi on veut prendre notre pied, cette fois-ci on ne va pas s'arrêter !
Je me retire et me place à genoux au dessus de ton visage, tu es sur le dos, les jambes écartées face à notre inviter qui te prend sans retenue. Tu avales mon sexe et commences à me sucer.
Quelques minutes passent ainsi, je sens que tu as récupéré de ton orgasme et que tu es prête à repartir. Mais cette fois-ci c'est à mon tour de te faire jouir.
Je me lève et il comprend mon intention. On échange alors nos places, me voilà entre tes cuisses, si belles cuisses et te voilà la bouche à nouveau comblée par cet énorme chibre. Tu es trempée, dilatée, quelle sensation incroyable, je ne sens presque plus tes parois, ton vagin m'effleure à peine, c'est comme une caresse humide. Tu ne réagis pas, tu ne me sens pas. Alors j'accélère, je donne tout, rien à faire, il était vraiment immense en toi. Je me contorsionne pour enfin trouver l'angle adéquat, tu daignes enfin me sentir. Il nous faut quelques minutes pour que tu jouisses une troisième fois.
Tu ne l'as plus sucé pendant ton orgasme alors il se masturbe devant ton visage. Je t'aide à te redresser et te voilà à genoux entre nous deux. Je t'embrasse à pleine bouche, cette fois-ci je ne sens plus ton hallen ni ta salive, j'ai l'impression de le sucer lui tellement tu empeste son odeur. Ça me rend fout d'excitation, je t'attrape doucement par les cheveux et te guide vers ma bite. Tu t'empresse de me pomper, moi, puis lui et tous les deux à tour de rôle. C'est excitant de te voir jongler entre deux queues, bien bandées, que pour toi.
Tu me fascines, tu es une déesse du sexe, tu arrives à satisfaire deux hommes à la fois.
Tu me fascines, toi si sage en apparence, élégante. Pas bien grandes et pas bien large, mais quel tempérament de folie, quelle assurance, quel appétit.
Tu déglutis à nouveau et de la même manière me ramène à la réalité. Une nouvelle pensée me traverse l'esprit, si tu ne me sens pas en missionnaire, je vais enfin pourvoir te prendre en levrette sans retenue. (Je suis trop membré pour cette position habituellement)
Je me place derrière toi, ce que tu peux être belle à quatres pattes, je t'attrape par les hanches et te pénètre sans sommations ! Je commence à te prendre en levrette, te limer. Je me défoule et tu n'en ressens aucunes douleurs, je sens que je vais venir, j'accélère, j'y vais profondément, je te tape les fesses avec mes cuisses de toutes mes forces, t'es gémissement s'étouffe sur la queue de notre ami noir, une vague de chaleur t'envahi le bas du ventre, tu es pris d'une envie irrépressible de pisser, je me tire d'un coup sec pour jouir sur tes fesses, et pour la première fois devant moi, tu squirt !
C'est moment de prendre une pause, peut-être même est-ce la fin de nos ébats.
On se rend tous dans le salon. Je vous entends rire tous les deux mais sans suivre votre conversation.
Je nous sors une cigarette qu'on se partage sur le balcon.
Heureusement qu'il n'y a personne dehors. Tous les trois nus par dessus la fenêtre, notre vie sexuelle ne serrait plus un secret dans le quartier.
Mais à cet instant plus rien n'a d'importance, on est libre, le monde peut bien aller se faire voir, au moins le temps d'une nuit.
J'ai envie de te prendre dans mes bras, de t'embrasser, je t'aime. Je me suis reculé pour pouvoir t'admirer. Tu te tournes vers moi et me souris. Il se place derrière toi et t'enlace tendrement. Tu penche la tête sur le côté, contre son torse musclé, je bande à nouveau.
Je me rapproche de vous, et je t'embrasse, très lentement, on commence à t'enlacer tous les deux, très tendrement. Nos mains se baladent sur ton corps de nymphe. Nos doigts effleurent à peine ta peau. Des vagues de chaleur et de plaisir t'envahissent, tu te laisse aller, tu te laisses tomber, on te retient.
Je te soulève dans mes bras, notre ami se met accroupi derrière toi, je ne sais pas ce qu'il fait mais tu as l'air t'apprécier.
Tu es dans mes bras, les jambes écartées autour de mes hanches, les bras autour de mon cou, je te porte toujours, mon sexe est à l'entrée de ton intimité, tu es trempée. Il est derrière collé à toi, tu es en sandwich entre nous deux, on te fait un câlin tendre et sensuel. Puis tout à coup je sens des doigts me caresser les bourses. Je suis étonné, tes bras sont autour de mon coup, alors je comprends. Tu finis par comprendre toi aussi, son bras est entre tes jambes, sa main me branle le sexe.
Je lui demande de s'assoir sur le canapé. Puis je te porte vers lui, il tend les bras vers toi, te prend par les hanches. Tu poses les pieds sur le canapé de part et d'autre de ses cuisses. Tu as les jambes écartées, dos à lui, face à moi. Tu descends sur lui, lentement. Je cours dans la chambre prendre un préservatif à mon retour tu es accroupi sur lui, toujours en lui faisant dos. Il ne bande pas, alors je me mets à genoux, je prends son sexe, et pour la première fois de la soirée je constate réellement les dimensions de l'engin.
Je le branle, j'hésite à le sucer pour le faire bander, j'ai compris qu'il aimé aussi les hommes. J'espère qu'il a ton goût mais finalement son sexe reprend forme.
Je peux lui enfiler le préservatif, et le guider vers ton antre.
Il glisse lentement en toi, je me suis redressé et je t'embrasse, on te caresse. Je guide ses mains immenses sur tes seins, qu'il empoigne doucement, comme deux choses fragiles à protéger.
Je descends lentement vers vos sexes, je vois qu'il bouge à peine en toi, suffisamment pour que tu le sentes.
Alors je commence à te lécher, non, je t'effleure du bout de langue.
De temps à autre je prodigue le même traitement à ses boules. J'alterne entre vos deux sexes, je veux vous entendre jouir en même temps. Ce manège dure un moment.
Quelle douceur, quelle sensualité, quel acte.
Les dés sont jetés, je vous entends monter à l'unisson, ton vagin coulisse toujours aussi lentement sur son sexe, ma langue est à peine posée sur son clitoris, et tu montes en jouissance, et lui aussi. Je commence à me masturber de manière frénétique, je suis possédé par l'instant. J'entends votre orgasme à l'unisson, ça déclenche le mien.
Quelle soirée de folies, j'aime beaucoup cet homme, doux et puissant à la fois. Mais surtout, je suis fou amoureux de toi
Sortir en amoureux, toi et moi, s'amuser à deux.
Je nous imagine bien arrivé, tout sourire dans ce lieux où tu fais fureur auprès des hommes.
On commencerait la soirée tout les deux, accompagnés d'un cocktail.
Tu me raconterais ton désir de M., tes doutes.
Je te parlerai de mon envie de te faire des enfants et de te voir mère.
Et très vite je comprendrais que je suis en train de perdre ton attention, car il y a ce beau black derrière moi.
Impossible pour toi de l'ignorer, son sourire écarlate luit comme un phare dans l'obscurité de l'A.
Je n'ose pas me retourner pour ma rompre l'alchimie naissante entre vous.
Je l'imagine grand, bien bâti, viril et élégant, comme tu les aimes.
Notre discussion n'a plus aucun sens, tu n'es plus là. Il a toute ton attention. Alors je te propose de l'inviter, ça te fait rire, tu ne réponds pas de suite, tu hésites ou tu me jauges ? Quoiqu'il en soit tu lui fais signe.
Il est vraiment grand et imposant. Ça voix est à la fois douce et profonde, c'est envoûtant. C'est quelqu'un de calme, mais on sent une force naturelle en lui.
Il me parle comme si de rien était, il est curieux de ma vie.
Il te parle avec beaucoup de respect, mais son sourire et son regard trahissent ses intentions.
Sait-il qu'on est ensemble ? Évidemment. Il a l'air habitué à la situation.
Plus la conversation avance et plus je vois ton esprit s'embraser dans le reflet de tes yeux. On devient de plus en plus complices, tactiles tous les trois.
Des accolades amicales pour ma part et des mains baladeuses entre vous. Ça devient gênant alors je nous propose de partir.
Sorti du bar, je lui donne l'adresse en lui disant qu'il ne peut pas rentrer en même temps que nous. Je te demande de rentrer en première, c'est lui qui te rejoindra ensuite. J'ai envie de vous laisser quelques minutes d'intimité, je ne te sens pas encore à l'aise dans nos interactions à trois, je préfère que vous brisiez la glace à deux.
20 minutes plus tard, je suis en bas de chez toi. Mon cœur bât a 1000/heure, je monte les escaliers en courant, glisse la clef dans la serrure le plus discrètement possible et me faufile dans ton appartement.
Que s'est il passé jusqu'à présent, je n'en ai aucune idées, mais là ! Quelle vision incroyable s'offre à moi.
Cet homme est nu, grand, musclé, je ne vois que son dos mais je suis impressionné. Tu es nue sur le lit, à genoux, le visage au niveau de son sexe. Je ne vois pas la scène mais je sais exactement ce que tu fais. Je ne vois pas la scène mais je sais exactement dans quel état tu es. Folle de désir, tu bouges dans tous les sens, tu gobes son sexe, tu fais des bruits de succion, je ne t'ai jamais vu dans cet état, avide de sa bite.
J'ôte mes chaussures et je viens vos rejoindre dans ton lit.
Je te caresse le dos, la nuque, je glisse mais doigts entre tes cheveux et te les empoigne fermement avant de te libérer aussitôt pour te caresser le reste du corps.
Nos yeux se croissent dans ton miroir, nos peaux dessinent un dégradé de couleur dans le reflet de ce tableau argenté. Quel spectacle magnifique, je prends le temps de prendre une photo dans mon imagination, je n'oublierai jamais ce moment magique, hors du temps.
Un bruit de déglutition me ramène à la réalité, il t'a attrapé la tête avec ses mains immenses (tu parais si petite entre ses doigts) et te force à aller plus loins. Tu as un mouvement de recule, comme si tu allais vomir, tu rigoles. Tu te sens dominée, utilisée ? Ou alors tu apprécies ça fougue ? Quoiqu'il en soit tu aimes le traitement qu'il t'impose. Je vois alors enfin l'objet de ton entrain, de ton désir, son sexe.
Il est extrêmement long et large. Circoncis et droit comme une fusée. Tellement esthétique que je pourrais me laisser tenter. Mais pour l'instant, la reine du bal c'est toi.
Tu te jettes à nouveau la bouche grande ouverte sur son pieux.
Cette fois-ci tu es à quatres pattes et m'offre une vu imprenable sur ton intimité. J'aimerais me contenir et commencer à te toucher délicatement mais tout à coup l'animal en moi se réveille. Je me jette sur ta fente à pleine bouche, mon visage heurte tes fesses et je te dévore comme un affamé. Je lèche, je pénètre, j'aspire, je suce tout et sans distinction, ton clitoris, t'es lèvres, ta petite chatte encore serrée (pas pour longtemps) et même ton anus. Je me frotte littéralement le visage entre tes jambes.
J'ai envie qu'il te pénètre en premier, je t'attrape par la taille et te tire brusquement à moi, tu tombes assise entre mes jambes, dos à moi et face à lui jambes écartées.
Il se penche sur son pantalon et attrape un préservatif de sa poche, l'enfile. Pendant ce temps-là, je suis toujours derrière toi, mes mains parcourt ton corps en sueur, je t'attrape les deux seins fermement. Tu tournes ton visage vers moi, la bouche entre ouverte, on marque une seconde de pause, je sens ton hallen marqué par se sexe démentiel alors je me jette à pleine bouche sur tes lèvres, je bois littéralement ta salive pendant qu'il se rapproche de toi, le dar en avant.
Tu ne me regarde plus, tu es concentrée sur la verge bandé qui avance vers toi. On se penche tous les deux en arrière pour faciliter sa progression.
Tu es toujours dos à moi, enlacée dans mes bras.
Il colle son gland contre l'entrée de ton sexe, quel spectacle. Lentement, très lentement, proportions oblige il te pénètre. Jamais je n'aurais pu croire que tu puisse accueillir en toi un tel organe. Deux pensées me traverse l'esprit, on a commencé ton entraînement et tu réalises une réel prouesse, je suis fière de toi.
Enfin il est au fond de toi, son ventre collé au tiens. Il pousse encore un peu, comme s'il voulait te transpercer. Je sens son poids désormais. Tu as la bouche grande ouverte mais aucuns son n'en sort. Il commence ses aller-retour, lentement, mais profondément. J'entends un clapotis je n'en crois pas mais oreilles, tu mouilles autant ?
Il accélère le rythme, en poussant toujours aussi loin, le plus loin possible en toi. Je sens son poids, ça m'excite, je reprends tes deux seins fermement et enfin un son sort de cette bouche grande ouverte, après seulement 30 secondes de pénétration, tu jouis.
Tu as la tête en arrière contre mon épaule, tu reprends tes esprits dans mes bras protecteurs, il est toujours planté en toi.
Je t'embrasse dans le coup et je commence à te caresser le clitoris et les petites lèvres qui dépassent. Lui reprend ses allés et venus, il va moins en profondeur mais ma main fait son affaire, 30 secondes après tu jouis à nouveau.
C'est pas possible, nous aussi on veut prendre notre pied, cette fois-ci on ne va pas s'arrêter !
Je me retire et me place à genoux au dessus de ton visage, tu es sur le dos, les jambes écartées face à notre inviter qui te prend sans retenue. Tu avales mon sexe et commences à me sucer.
Quelques minutes passent ainsi, je sens que tu as récupéré de ton orgasme et que tu es prête à repartir. Mais cette fois-ci c'est à mon tour de te faire jouir.
Je me lève et il comprend mon intention. On échange alors nos places, me voilà entre tes cuisses, si belles cuisses et te voilà la bouche à nouveau comblée par cet énorme chibre. Tu es trempée, dilatée, quelle sensation incroyable, je ne sens presque plus tes parois, ton vagin m'effleure à peine, c'est comme une caresse humide. Tu ne réagis pas, tu ne me sens pas. Alors j'accélère, je donne tout, rien à faire, il était vraiment immense en toi. Je me contorsionne pour enfin trouver l'angle adéquat, tu daignes enfin me sentir. Il nous faut quelques minutes pour que tu jouisses une troisième fois.
Tu ne l'as plus sucé pendant ton orgasme alors il se masturbe devant ton visage. Je t'aide à te redresser et te voilà à genoux entre nous deux. Je t'embrasse à pleine bouche, cette fois-ci je ne sens plus ton hallen ni ta salive, j'ai l'impression de le sucer lui tellement tu empeste son odeur. Ça me rend fout d'excitation, je t'attrape doucement par les cheveux et te guide vers ma bite. Tu t'empresse de me pomper, moi, puis lui et tous les deux à tour de rôle. C'est excitant de te voir jongler entre deux queues, bien bandées, que pour toi.
Tu me fascines, tu es une déesse du sexe, tu arrives à satisfaire deux hommes à la fois.
Tu me fascines, toi si sage en apparence, élégante. Pas bien grandes et pas bien large, mais quel tempérament de folie, quelle assurance, quel appétit.
Tu déglutis à nouveau et de la même manière me ramène à la réalité. Une nouvelle pensée me traverse l'esprit, si tu ne me sens pas en missionnaire, je vais enfin pourvoir te prendre en levrette sans retenue. (Je suis trop membré pour cette position habituellement)
Je me place derrière toi, ce que tu peux être belle à quatres pattes, je t'attrape par les hanches et te pénètre sans sommations ! Je commence à te prendre en levrette, te limer. Je me défoule et tu n'en ressens aucunes douleurs, je sens que je vais venir, j'accélère, j'y vais profondément, je te tape les fesses avec mes cuisses de toutes mes forces, t'es gémissement s'étouffe sur la queue de notre ami noir, une vague de chaleur t'envahi le bas du ventre, tu es pris d'une envie irrépressible de pisser, je me tire d'un coup sec pour jouir sur tes fesses, et pour la première fois devant moi, tu squirt !
C'est moment de prendre une pause, peut-être même est-ce la fin de nos ébats.
On se rend tous dans le salon. Je vous entends rire tous les deux mais sans suivre votre conversation.
Je nous sors une cigarette qu'on se partage sur le balcon.
Heureusement qu'il n'y a personne dehors. Tous les trois nus par dessus la fenêtre, notre vie sexuelle ne serrait plus un secret dans le quartier.
Mais à cet instant plus rien n'a d'importance, on est libre, le monde peut bien aller se faire voir, au moins le temps d'une nuit.
J'ai envie de te prendre dans mes bras, de t'embrasser, je t'aime. Je me suis reculé pour pouvoir t'admirer. Tu te tournes vers moi et me souris. Il se place derrière toi et t'enlace tendrement. Tu penche la tête sur le côté, contre son torse musclé, je bande à nouveau.
Je me rapproche de vous, et je t'embrasse, très lentement, on commence à t'enlacer tous les deux, très tendrement. Nos mains se baladent sur ton corps de nymphe. Nos doigts effleurent à peine ta peau. Des vagues de chaleur et de plaisir t'envahissent, tu te laisse aller, tu te laisses tomber, on te retient.
Je te soulève dans mes bras, notre ami se met accroupi derrière toi, je ne sais pas ce qu'il fait mais tu as l'air t'apprécier.
Tu es dans mes bras, les jambes écartées autour de mes hanches, les bras autour de mon cou, je te porte toujours, mon sexe est à l'entrée de ton intimité, tu es trempée. Il est derrière collé à toi, tu es en sandwich entre nous deux, on te fait un câlin tendre et sensuel. Puis tout à coup je sens des doigts me caresser les bourses. Je suis étonné, tes bras sont autour de mon coup, alors je comprends. Tu finis par comprendre toi aussi, son bras est entre tes jambes, sa main me branle le sexe.
Je lui demande de s'assoir sur le canapé. Puis je te porte vers lui, il tend les bras vers toi, te prend par les hanches. Tu poses les pieds sur le canapé de part et d'autre de ses cuisses. Tu as les jambes écartées, dos à lui, face à moi. Tu descends sur lui, lentement. Je cours dans la chambre prendre un préservatif à mon retour tu es accroupi sur lui, toujours en lui faisant dos. Il ne bande pas, alors je me mets à genoux, je prends son sexe, et pour la première fois de la soirée je constate réellement les dimensions de l'engin.
Je le branle, j'hésite à le sucer pour le faire bander, j'ai compris qu'il aimé aussi les hommes. J'espère qu'il a ton goût mais finalement son sexe reprend forme.
Je peux lui enfiler le préservatif, et le guider vers ton antre.
Il glisse lentement en toi, je me suis redressé et je t'embrasse, on te caresse. Je guide ses mains immenses sur tes seins, qu'il empoigne doucement, comme deux choses fragiles à protéger.
Je descends lentement vers vos sexes, je vois qu'il bouge à peine en toi, suffisamment pour que tu le sentes.
Alors je commence à te lécher, non, je t'effleure du bout de langue.
De temps à autre je prodigue le même traitement à ses boules. J'alterne entre vos deux sexes, je veux vous entendre jouir en même temps. Ce manège dure un moment.
Quelle douceur, quelle sensualité, quel acte.
Les dés sont jetés, je vous entends monter à l'unisson, ton vagin coulisse toujours aussi lentement sur son sexe, ma langue est à peine posée sur son clitoris, et tu montes en jouissance, et lui aussi. Je commence à me masturber de manière frénétique, je suis possédé par l'instant. J'entends votre orgasme à l'unisson, ça déclenche le mien.
Quelle soirée de folies, j'aime beaucoup cet homme, doux et puissant à la fois. Mais surtout, je suis fou amoureux de toi
