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par Jolicouple
#2398197
Merci pour ce récit joliment écrit !

Effectivement pas évident de trouver le bon complice et amant à la fois.
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par Dionysos06
#2659506
@Lausas84 au vu de la qualité des photos et des rencontres, cela sera lu et vu avec bonheur.
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par Lausas84
#2659545
Dernière aventure en date... Et oui depuis nous sommes un couple candauliste totalement assumé !
Quel weekend nous venons encore de passer, un jour et demi de plaisir à tes côtés, ou chaque instant même anodin devient un espace de jeu et de complicité, un moment de vie merveilleux. Chaque seconde nous a rappelé que rien n’est plus fort que notre amour et notre passion mutuelle pour l’autre.
Et puis il y a eu mon insistance aussi pour répondre à ce SMS de Nicolas, et je dois dire que je ne l’ai pas regretté. Tu t’es prise au jeu rapidement, plus rapidement que je ne l’aurai imaginé, il avait du répondant en plus ce qui a mis rapidement quelques degrés supplémentaires dans vos échanges.
C’était même toi qui te languissais à présent de le rencontrer, vos messages semblaient tellement prometteurs que tu voulais profiter des talents qu’il te vantait.
Et jeudi matin, c’est toi qui en jouais avec moi, en m’écrivant :
« Les SMS avec Nico deviennent de plus en plus chauds », mais en te refusant à me faire partager des copies écrans de ton téléphone pour alimenter encore plus ma frustration. J’attendais ton arrivée au resto avec impatience mais il y avait déjà trop de monde pour partager un bref moment d’intimité avec toi au comptoir et que tu puisses m’en dévoiler davantage.

Le service fut assez intense et je dois avouer que tout cela m’était un peu sorti de la tête quand tu m’as envoyé ce message :
« Tu es un peu plus disponible mon amour ? j’ai pas mal de choses à te dire »
Et la bien sur toutes mes idées les plus coquines revenaient de plus belle et le temps que tu descendes les escaliers mon imagination avait déjà bien avancée.
Je te servi un sirop très peu dosé et pris mon paquet de cigarette pour te rejoindre dehors. Tu n’avais pas pris ton téléphone, et t’en excusais car c’était involontaire mais me rassurais en me disant que tu allais essayer de me résumer au mieux votre conversation.
C’est lui qui avait entamé les démarches tôt ce matin en t’envoyant une photo de lui en érection, avec la phrase suivante « tu ne crois pas que ça ferait plaisir à ton mari de te voir jouer avec ma queue », et que 9 fois sur 10 tu n’aurais même pas eu envie de répondre mais que la, tu avais imaginé le plaisir dans mon regard et que tu en avais envie, peut-être plus même pour moi que pour toi, et que de fil en aiguille tu en étais arrivée à lui faire une mini vidéo de toi en train de te caresser dans les WC du bureau avant de partir.

Ta manière de me raconter tout ça me faisait voir que tu en étais tout autant surprise que joyeuse. Et tu enchainais en me disant que tu l’avais invité à boire un verre chez nous ce soir, certaine que cette initiative ne me dérangerait pas. Bien entendu j’acquiesçait, plus que ravi de ton émancipation. Je te proposais même d’aller chercher quelques grignotages car j’aurai surement plus de temps que toi.

Avant de remonter, tu me disais un brin provocatrice :
« J’essaye de rentrer pour 17h, il faut que je me prépare pour mon amant »
Cette phrase résonna dans mon esprit de longues secondes, et curieusement j’aurai souhaité que la terre entière l’entende. Était-ce la fierté d’être cocu ? ou plus raisonnablement celle d’avoir une femme totalement libérée ?

J’allais tranquillement faire quelques courses à la supérette, imaginer ce que tu aimerais grignoter, ce qu’il pouvait aimer, quelque chose de pas trop lourd et dans l’idéal plus glamour qu’un bol de cacahuète. Je prenais finalement quelques feuilletés, des crevettes et deux bouteilles de champagne. J’ouvrirai aussi une de ces belles bouteilles que nous gardons en bas de la cave à vin, celles que de toute façon nous n’ouvrirons jamais

Je te vis arriver guère avant 17 heures, encore plus joyeuse que tout à l’heure, un sourire malicieux et je sentais que tu avais une idée en tête, quelque chose à me dire ou à me demander ; ce qui n’allât pas tarder d’ailleurs. Le temps de se poser 5 minutes pour fumer une cigarette dehors, tu me demandas :
« Ça te dirait que ce soit toi qui me prépares ? je vais me refaire le maillot et j’aimerais que ce soit toi qui me le fasses »
Je voyais un peu ou tu voulais en venir, c’est vrai que nous avions lu plusieurs fois ces préparatifs en commun, ou le mari prépare sa femme à son amant, et je trouvais cette complicité très excitante dans un couple candauliste. J’acceptais bien sûr avec plaisir. Tu rajoutas :
« Allez plus une seconde à perdre il sera là dans moins de deux heures ! »

On montât dans la salle de bain, et pendant que je m’armais d’un rasoir, tu continuas à me raconter un peu vos échanges de la journée. Je te demandai comment tu voulais t’habiller, et tu me répondis que ce sera une surprise pour moi, que tu lui avais proposé plusieurs tenues et que c’est lui qui avait décidé.
Je descendis préparer l’apéritif le temps que tu finisses de te préparer, cherchais une playlist assez sexy et attendais patiemment sur le canapé ton retour. C’est le bruit des talons qui me fit comprendre que tu étais fin prête et les pas dans l’escalier agir comme un décompte avant de te découvrir.

Je te vis ou plutôt te contemplas de la tête aux pieds, les cheveux tirés te donnaient un air sérieux, ta chemise blanche, ta minijupe noire, tes bas et tes talons te donnaient un style très working-girl très sexy. Ton parfum embaumait le salon et il ne te restait plus qu’à mettre ton rouge à lèvres pour rajouter une touche glamour. Ton soutient gorge se laissait deviner par moment dans ton décolleté, j’étais totalement charmé.

Tu me demandas de te servir un rhum avant qu’il n’arrive, surement pour atténuer un peu la pression qui devait peu à peu t’envahir, et moi j’étais assez serein finalement, peut-être parce que je n’avais toujours pas eu le droit de lire vos échanges !

Lorsqu’il t’envoya un SMS pour te dire qu’il venait de se garer, tu te mis à faire les 400 pas, te regarder dans le miroir en me demandant si la jupe était assez courte, si le rouge à lèvre était de la bonne couleur, si tu allais lui plaire et encore plein de question auxquelles je n’avais de toute façon pas le temps de répondre.

Il toquat à la porte et tu me demandas d’ouvrir pour l’accueillir. Il est la devant moi, assez sûr de lui et me tendit la main fermement
« Nicolas, enchanté »
« Laurent, de même » suivi du bruit de tes talons s’avançant vers nous
« Entre ne te gènes pas » et il s’avançât vers toi pour te faire la bise, une main posée sur tes hanches.

Tu le guidas vers le canapé en lui proposant de s’assoir, t’installas à ton tour à ses côtés et naturellement je me suis assis presque en face sur le pouf. Je vous proposa à boire, il choisit le champagne et toi le vin que j’avais préalablement ouvert. Après vous avoir servi, je suis retourné à la cuisine chercher les deux assiettes apéritives. Nous trinquons ensemble en l’honneur d’une soirée que nous souhaitons tous trois très belle.

Il se présenta un peu plus, et j’apprécia car je ne connaissais finalement pas grand-chose de lui. Tout en me prenant en considération je voyais son regard attiré par ton décolleté et tes cuisses. Il tendit une première perche en te demandant si tu portais bien des bas, tout en vérifiant par lui-même avec son index, puis ensuite en te demandant s’il pouvait défaire lui-même un bouton supplémentaire à ton chemisier.

Sa main passa derrière ton dos et je vis les mouvements de son bras me faire comprendre qu’il te caressait doucement, et ta main se posa sur son genou. La discussion entre nous trois n’empêchait pas vos petites caresses et c’est lorsque tu te relevas pour nous resservir qu’il glissa sa main sur les fesses, tu te retournas vers lui pour lui adresser un sourire approbateur. Tu renversas même un peu de champagne sur la table, déconcentrée par cette initiative. En te rasseyant tu remontas un peu plus ta main sur sa cuisse, tes doigts glissants à l’intérieur de se jambes. Son bras t’encerclant maintenant presque totalement te rapprochant un peu plus de lui, et ses doigts flirtait avec le coté de ton sein. Cette manœuvre eut le don de tirer sur ton chemisier et faire sauter un bouton supplémentaire que je fus le premier à voir.

Il prit comme excuse de vouloir sentir ton parfum pour déposer un baiser dans ton cou et remonta délicatement vers ta joue. Et après m’avoir longuement fixé du regard, tu fermis les yeux et pivotât ton visage pour l’embrasser à ton tour. Sa main libre ne le fut plus pour longtemps, elle partit dans tes cheveux puis descendit directement dans ton soutien-gorge. Vos lèvres comme aimantées ne se quittent plus, les derniers boutons de ton chemisier sautent un à un, un sein presque totalement sorti de son écrin de dentelle, ton téton qui bande comme rarement, bientôt imité par le second qui voulait aussi sa part de caresse. Ta main enserre son sexe à travers ton jean bougeant surement au rythme de vos langues.

Face à vous, je suis obligé de me relever, cherchant une position plus agréable tellement mon sexe est à l’étroit dans mon caleçon, sans même que vous le remarquiez. Il quitta enfin ta bouche pour flatter de ses baiser ta poitrine si réactive. De ses mains il presse fortement tes seins tout en suçant leurs pointes dressées. Peu à peu il te bascule sur le dos sans interrompre ses attentions. Tu parviens à glisser tes mains pour lui caresser le dos puis lui enlever son t-shirt et commercer à sentir sa peau contre la tienne. Tu accèdes difficilement a sa ceinture pour lui défaire puis déboutonner son jean pour sentir le tissus de son caleçon tout déformé.

Je sens mon gland mouillé d’excitation, presque prêt à jouir rien qu’en vous regardant. Le temps s’est arrêté pour moi depuis bien longtemps et je ne me suis même pas rendu compte que la musique s’était arrêtée. Seul le bruit de votre étreinte empli la pièce d’une douce mélodie charnelle. Il fit glisser lui-même son jean à ses chevilles tout en descendant sa bouche entre tes cuisses ne se privant pas de nous dire « mais tu es toute trempé dis-moi ! » et de tes doigts tu écartas tes lèvres pour qu’il y glisse plus facilement sa langue. Tes mains attrapèrent ses cheveux pour qu’il continue encore plus intensément son jeu de langue avant que ses doigts ne s’insèrent en toi. Il n’en fallait pas plus pour que ne s’échappent de ta bouche des cris de plaisir que tu n’eus la force d’étouffer.

Au bout d’un long moment, tes cuisses se refermèrent sur son visage, submergée par l’intensité des sensations qu’il venait de t’offrir, et quelques spasmes me faisant penser à des décharges électriques te faisaient encore sursauter.
« Hummm, c’était trop bon » s’échappa de ta bouche, avant de rajouter que tu avais besoin de boire un verre.
Tu réajustas à peine ta jupe, ôta totalement ton soutien-gorge qui ne servait plus à rien depuis longtemps et te rassit presque normalement. Ton verre de vin d’une main, une cigarette de l’autre, tu me souriais radieuse. Il se débarrassa totalement de son jean et se saisissa aussi de sa coupe de champagne. Ton verre posé, ta main libérée trouva vite refuge sur son caleçon ou tu jouas a dessiner les contour de sa queue avant de glisser deux doigts dedans pour l’effleurer. Il s’étira presque à son maximum pour laisser libre court a tes caresses.

Tu écrasas ta cigarette, repris une gorgée de vin et en me regardant tu me dis :
« J’ai envie de la gouter »
Tout en te penchant vers lui. Tu lui fis glisser le caleçon, empoignant sa queue encore bien excitée et tendue de ta main. Et toujours en me regardant tu promenas ta langue plusieurs fois sur la longueur de sa queue avant de fermer les yeux en enfoncer son gland da ta bouche. Il s’agrippa à ta queue de cheval mais tu lui fis comprendre que c’est toi qui voulais donner le rythme, lui montrer ce dont tu étais capable. Je sais à quel point tu suce divinement bien et je ne pouvais qu’imaginer le plaisir qu’il ressentait. A ses mots flatteurs je voyais bien qu’il prenait son pied d’ailleurs.

J’avais envie de me déshabiller mais je savais très bien qu’une fois le sexe à l’air il me serait impossible de ne pas jouir, alors je profite en spectateur privilégié de ce moment torride. Son sexe qui me semblait gros et lisse en photo, me semble maintenant énorme et luisant de ta salive. Je sens le plaisir que tu prends à le sucer, à le lécher, à l’embrasser.

Il te prévient qu’à se rythme-là, il ne tiendra plus longtemps, et tu prends cela comme un encouragement à continuer de plus belle, tu as décidé de l’impressionner. Et quand tu sens son corps se raidir, tu écartes un peu tes lèvres de son sexe, maintenant juste le bout de ta langue sur son gland tout en continuant de le masturber. Plusieurs longues giclées de sperme finissent sur son ventre avant que tu ne te décides a le reprendre en bouche, le laisser débander sous les caresses de ta langue….

Il te caressa encore quelques instants la nuque, puis tu te relevas pour venir m’embrasser. Ta bouche avait pour moi un gout nouveau mais l’effet était exquis. Tu revins te rassoir à ses côtés tout en lançant :
« Ça m’a donné soif tout ça, tu nous ressers chéri ? »
Je m’empressai de nous resservir, et Nicolas flatta la qualité du champagne.

Les discussions reprirent, sur nos expériences libertines principalement, et il nous comptait qu’il avait été malgré son âge l’amant d’un couple candauliste pendant de longs mois. Il se vantait de quelques anecdotes assez poussées qui me laissaient rêveur, mais à ton regard je sentais qu’elles ne te faisaient pas le même effet. Il était même parti plusieurs jours en vacances libertines avec l’épouse alors que le mari était resté chez lui tout le séjour avec sa cage de chasteté qu’elle avait verrouillée elle-même.

Il était à son aise à tes côtés, nu comme un ver, à te caresser par moment les seins, t’embrasser langoureusement entre chaque phrase, nullement gêné par ma présence. J’étais le seul intégralement habillé, et quand je bougeai un peu mes jambes je sentais la quantité de liquide séminal qui s’était écoulé dans mon caleçon. Je dus m’excuser et vous abandonner un instant pour aller aux toilettes, mes intestins avaient accumulés trop de sensation que je devais évacuer.

Je fermais bien évidemment la porte des wc, ce qui me privait de tous mes sens. Je ne pouvais entendre ce que vous vous disiez, et encore moins voir ce que vous faisiez. D’un coup des mots bien plus audible me sortirent de mon imagination débordante :
« Chéri, ça va ? »
Ce à quoi je répondais :
« Oui mamour je ne vais pas tarder »
« On va monter, tu nous rejoins ? »
Ce n’était même pas une question car dans la foulée j’entendais vos pas dans l’escalier.

Quelques secondes après, je sortais et m’apprêtais à vos rejoindre tout en m’efforçant de faire le moins de bruits possible. Je montais doucement, une à une les marche de l’escalier et fut tout d’abord surpris de l’origine des bruits, elle ne venait pas de notre chambre d’ami, mais de notre chambre. J’entendais ses mots « oh oui, j’aime comme tu me suces, c’est trop bon »
Arrivé au palier de notre porte, je te vis allongée sur le dos, lui à genou devant ton visage, sa queue bien enfoncée dans ta bouche, une main caressant tes seins et dans l’autre jouant à te pénétrer avec ton rabbit.

Il était face a moi, et je pense qu’il s’était positionné volontairement ainsi pour que ce soit la première vision que j’ai en arrivant. Connaissant maintenant ses expériences passées, il devait connaitre les ressentis d’un mari volontairement cocu. Je ne sais même pas si tu t’es rendu compte de ma présence, mais tu semblais y trouver ton plaisir. Ta main droite se dirigeât vers ton clitoris pour te faire monter encore plus loin dans le plaisir. J’entendis un « j’ai envie de ta queue » qu’il t’a fait répéter plusieurs fois, de plus en plus fort.

Il te demanda de te retourner et le temps d’enfiler un préservatif, me demanda de me déshabiller et de venir devant toi. Il te tira les cheveux en arrière pour te relever la tête, tout en te pénétrant bestialement qui te fit lâcher un cri de soulagement. Ma queue dressée devant ta bouche ne mit pas longtemps à venir se frotter contre ton palais, et c’est ses coups de reins qui te firent faire les aller-retours le long de mon sexe. Sa manière de me regarder semblait me dire « elle est trop bonne ta femme » et je devais me concentrer pour ne pas jouir sous ce spectacle enivrant.

Au bord de l’extase, je me retirais avant le point de non-retour, et me mis sur le côté pour mieux vous regarder. Il te demanda de venir sur lui et de le faire jouir comme ça ; tu lui répondis d’attendre un peu. Ton orgasme n’était pas loin, et ta main je joignant à ton sexe fit le reste du chemin. Tes cris furent comme un soulagement, une délivrance. Cela faisait peut-être plus de 10 minutes que tu flirtais avec ce plaisir intense que tu recherchais et la tu pouvais tout évacuer. Un filet de mouille coulait à l’intérieur de tes cuisses et me laissait imaginer l’intensité de ton plaisir. Des spasmes saccadaient ta respiration, faisaient sursauter ton corps encore empalé de sa queue imposante. Il se retira et s’allongeât sur le dos, attendant ta chevauchée future. Il dressa son sexe vers le plafond et après l’avoir enjambé, je le vis s’engouffrer en toi. Tes mouvements s’accéléraient, vos bouches fusionnaient.

Les mots sortaient étouffés comme si cela était un nouveau langage, votre langage. Il te claquât les fesses a plusieurs reprises, laissant le dessin rosé de ses mains sur ta peau, te pinça les tétons comme jamais je n’aurai cru que tu le supporterais et tout cela semblait rajouter du plaisir à ta cavalcade. Il te demanda d’accélérer encore avant que vos gémissements mêlés m’indiquent votre orgasme commun. Tu t’écroulas sur lui, totalement repue.

Tu te relevas, te décollant de son torse et vos regards croisés furent presque aussi intense que les trois heures que nous venions de passer. Ta bouche replongeât contre la sienne, pour un baiser comme jamais dans la soirée tu ne lui avais fait. Il était à la fois sauvage et sexuel. Tu fis encore quelques petits aller-retours sur sa queue qui avait largement perdu en vivacité avant que celle-ci ne s’éjecte de toi. Je découvrais une quantité énorme de sperme qui cachait totalement son sexe dans son étui de latex.

Je dus même t’aider à te relever tellement tes jambes ne te portaient plus, tremblotante après ce moment charnel. Il me demanda l’heure et nous fit comprendre qu’il devait vite partir, une grosse journée l’attendait vendredi et son réveil sonnait bien trop tôt à son gout. Après être redescendu et s’être rhabillé, il pris congés de nous et juste après t’avoir embrassé longuement une dernière fois, te glissa quelques mots à l’oreille….
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par Dionysos06
#2659552
@Lausas84 très beau récit fort bien écrit. Un vrai plaisir tant toutes les phases de l'approche, des préparatifs, de l'attente, puis de la rencontre sont finement rendus. Vivement la suite dont je pressens qu'elle doit être tout aussi excitante.
par Douxreveur45100
#2660315
Un récit magnifique …. Un effet garanti sur le lecteur … vraiment superbe ! Et miss sait en effet recevoir et mettre en condition ses invités!
Merci @Lausas84
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par natu31
#2703717
Bonjour . J'ai parcouru et lu ce fil que je viens de découvrir d'une traite. Entre le corps divin de la belle et la plume aiguisée de monsieur, on est au premières loges via ces jolies lignes ! La tension sexuelle , l'érotisme , tout y est ! Merci pour le partage !

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