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Comme indiqué précédemment, divers soucis de santé m’ont tenu éloigné de FC durant plusieurs mois. Mais je tiens à raconter à ceux qui aimaient nous lire la suite et la fin de nos aventures que je me suis donné le plaisir d’écrire et d’illustrer..
La venue d’Ali, ce bel africain qui provoqua un tumulte certain chez nos amies et épouse, eût une aventure prolongée avec Lison, qu’elle raconta dans son journal intime. Comme j’avais insisté pour qu’elle me conte de vive voix ce qui lui est arrivée avec cet amant noir, en me basant également sur ce que P.. m’avait rapporté puisqu’il avait assisté à leurs ébats, j’ai rédigé le récit que je vous livre.
Voici le récit que Lison me relata de sa rencontre avec Ali l’Africain :
P.. l’avait avertie qu’Ali était revenu de ses visites familiales, alors, si elle avait envie de le rencontrer… Elle m’en parla, me demandant mon avis ! Je lui répondis que je croyais bien que ce garçon est affamé, que tu sembles lui plaire et il semble qu’il te plaît aussi, alors, à toi de voir. Elle me répondit que c’était tout vu, mais elle ne savait ni quand ni où ! P.. s’occupa d’arranger l’affaire, après tout Ali est son ami. Je ne sais comment il s’y prit, du reste cela n’a pas d’importance, tout ce que j’en sus le fut par ce que P.. me raconta, ensuite par ce qu’elle a finalement bien voulu me confier, alors que précédemment elle n’avait rien voulu entendre, tout au plus m’avait-elle lâché de mauvaise humeur que oui, ça s’était passé mais que ça ne me regardait pas !
Mais quinze jours plus tard, lorsque nous nous sommes finalement retrouvés Lison et moi, elle avait changé d’avis et m’avait raconté l’affaire en la détaillant.
P.. avait organisé la rencontre. Il lui avait raconté qu‘Ali étant sensiblement mieux monté que lui, il en profita pour lui expliquer qu’il fallait lui dilater le vagin ; il la baisa donc ! Cette perspective l’excita tellement qu’elle eut un orgasme presqu’immédiat dès que P.. l’eut pénétrée, rien qu’à l’idée de ce qu’elle allait vivre. Elle s’inquiéta de savoir s’il se couvrirait de latex, mais P.. la rassura : il est « clean » et venait d’être déclaré négatif au VIH. Elle s’inquiétait de savoir s’il la prendrait au naturel, car elle n’a jamais aimé être pénétrée par un latexé ! Elle sentit son cœur se mettre à battre plus vite, sa respiration était courte, elle sentait comme des papillons dans son bas ventre, elle vit que ses seins gonflaient et ses tétons devenus très sensibles pointaient.. Elle en voulut à P.. qui, profitant de son état d’excitation et de nudité, chopa entre deux doigts son clitoris qui pointait: ça la fit rugir ! Puis on se calma.. Elle devait se revêtir avant l’arrivée d’Ali car elle avait envie d’être mise nue par lui..
Ali arriva. Embrassades, bavardages autour d’un verre, plaisanteries sensuelles, puis orientées sur le sexe et le fameux fruit défendu auquel Ali avait déjà goûté avec Victoire. Elle aurait voulu que P.. la laissât seule avec Ali, mais ce n’était clairement pas son intention. Elle interrogea Ali du regard mais il ne saisit pas l’allusion, étant habitué à la présence de P.. lors de ses ébats. Ali la prit dans les bras comme une enfant et monta vers la chambre, suivi par P.. Un grand lit couvert d’un drap blanc immaculé était préparé. Ali y posa délicatement son corps ; débuta alors son déshabillage : le sweetshirt vola par dessus sa tête, le soutif désagrafé dans le dos libéra deux seins volumineux, faisant pointer insolemment des tétons vers son contemplateur admiratif.. Couchée sur le dos, les jambes relevées, le jean fut retiré délicatement pour découvrir un slip blanc. Il fut retiré découvrant un sexe lisse, ses lèvres entr’ouvertes gonflées par le désir, laissaient entrevoir une vulve empourprée. Elle y plaqua une main par pudeur tandis que de l’autre bras elle tenta de cacher sa poitrine : ce grand homme noir l’impressionnait, elle le regarda dans les yeux ! Ali se détourna pour, en un tournemain, se mettre à nu et lui fit face ; elle découvrit, dressé comme un noir missile ce qui était destiné à la pénétrer ! Elle poussa un gémissement, à la fois de surprise et d’inquiétude en me décrivant cet objet noir d’ébène, luisant, terminé par un gland rosâtre, très gros, débordant de son manche. Si elle fut impressionnée par la longueur de l’engin, elle fut encore plus par la taille de son gland qu’elle jugea géant ! Comparé à la monte de P.. il n’y a pas photo : il est un peu plus long, plus gros. Mais alors, le gland !…
Assise sur le bord du lit, elle voulut détailler son anatomie d’Africain. Elle lui saisit le sexe d’une main et parvint à peine à en faire le tour ; de l’autre elle soupesa ses testicules mais ne pu n’en saisir qu’un à cause de leur grosseur de la taille d’un œuf de poule ! Elle rêva de la quantité de semence contenue dans ces deux gonades qui jaillirait dans son ventre ; elle frémit à cette idée ! Affamé, Ali approcha son gland de sa bouche mais elle dénégua du chef : elle n’osait pas.. Alors il la pris dans ses bras, pressant ses seins contre son thorax et l’emmena à la douche et fit couler l’eau.. P.. en profita pour les prendre en photo avec un Instamatic qu’il avait caché. Elle protesta et lui dit de partir.
L’eau chaude lui fit du bien ; il se savonna lui laissant le soin de lui savonner le sexe et les testicules, ce qui eut un effet immédiat! Une fois séchés, la saisissant à bras le corps, il la renversa sur le lit, lui replia les cuisses sur le torse, et saisissant sa queue il lui badigeonna la vulve jusqu’à ce qu’elle soit bien lubrifiée, puis il pointa son gland vers le Golgotha, et d’une franche poussée, la pénétra à fond. Surprise, elle eut une sorte d’apnée avant de pouvoir reprendre son souffle. Malgré que P.. l’y avait préparée, la sensation d’écartèlement lui fit craindre un dégât: elle cria pour demander qu’il se retire, elle avait mal. P.. intervint, l’ayant entendu se plaindre. Il l’examina et la rassura, confia à Ali du gel lubrifiant pour enduire sexe et vagin. La suite, bien que dérangée par la présence de P.. qui, elle l’entendait, les prenait en photo, ne fut que du bonheur ! Il enfonça ce dard qui ne demandait que ça, allant et venant vigoureusement, frappant sa petite bouche de son gland.. Elle haletait de plaisir et de jouissance, gémissant tout en demandant toujours plus fort, plus profond ! Il la fit pivoter pour la prendre en levrette, s’y enfonça si loin qu’elle crut qu’il était entré dans son utérus ! Elle s’écroula sur le ventre, serrant les cuisses pour comprimer la queue d’Ali qui n’avait pas arrêté de limer un fourreau qui s’était bien dilaté. Ils roulèrent sur le côté, elle se retrouva sur le dos, couchée sur le ventre d’Ali, toujours enfoncé en elle. Elle protesta en disant que non, elle ne voulait pas ça, car elle redoutait ce qu’ils voulaient lui faire subir.. Cependant P.. s’approcha, lui ouvrit les cuisses puis visualisant cette grosse queue noire fichée dans ce corps si blanc, fut fortement tenté de la pénétrer par dessus la queue d’Ali. S’étant déboutonné, bandant ferme, il caressa du bout du gland son clitoris ce qui décupla son excitation. Lorsqu’elle préssentit cette tentative de pénétration, elle redit non, enfin oui peut être, elle ne savait pas. Elle sentit qu’il introduisait deux doigts dans sa chatte puis, comprimant la queue d’Ali, il réussit à élargir le passage pour y faire entrer son gland, et le reste suivit étonnement facilement. Elle se sentait envahie par ces deux gros sexes bandés allant et venant dans son ventre : elle se demandait quelle sensation cela devait leur faire que leurs sexes se frottent l’un à l’autre… se disant avec soulagement que P.. fort occupé ne prenait pas de photos ! Elle sentit qu’elle venait, l’orgasme n’était plus loin.. Soudain il survint, lui arrachant cris et sanglots..
Epuisée, elle vivait un orgasme continu. P.. lui martyrisait le clitoris, lui claquait les fesses, pendant qu’Ali, saisissant ses seins à pleines mains leur donnait de petites claques et pinçotait les tétons dressés.. Après qu’ils se furent vidés dans son ventre elle demanda grâce : ils se retirèrent. Pantelante, à moitié morte, elle gisait sur le drap détrempé, les cuisses ouvertes, elle tâta son vagin béant duquel s’échappait un flot de semences mélangées, sous les yeux excités de ses deux tourmenteurs ! Voyant P.. prendre en photo son fondement dégoulinant elle protesta.
Ali la souleva pour la mener à la douche, elle ne tenait plus sur ses jambes. Ils lui savonnèrent tout le corps. Elle s’accroupit d’épuisement, mais se trouvant à la bonne hauteur elle s’occupa des deux queues mollissantes qui se balançaient à hauteur de bouche. Pour punir Ali de lui avoir fait mal au début elle lui mordit le gland et reçut sur les seins deux claques en retour !
Ils l’enroulèrent nue dans une serviette éponge et la mirent au lit après avoir changé le drap. Elle s’endormit et les deux compères éteignant la lumière, s’en allèrent prendre un verre.
Dans le silence de la nuit elle se leva, trouva l’appareil photos de P.. et subtilisa la carte mémoire. Elle trouva aussi l’Instamatic qui avait servi à la photographier dans la douche avec Ali. Elle s’en empara, on ne sait jamais se dit-elle s’il n’y a pas d’autres photos compromettantes.
Ali ne l’avait pas baisée avec beaucoup de subtilité mais les dimensions de l’engin l’avait largement compensé. Elle ne regrettait pas de l’avoir fait avec « ce grand bestiau tout noir », ce sont ses mots ! Elle n’en voulait plus à P.. de l’avoir pénétrée à côté d’Ali tellement la sensation de ces deux serpents dans son ventre l’avait fait jouir.
Ali lui demanda si elle accepterait de passer un we avec lui avant son retour au Niger. Elle m’a raconté qu’elle avait été le retrouver à son hôtel, elle le voulait pour elle seule, sans P..
Comme il avait fait mauvais temps ils avaient passé le plus clair du temps au lit, dans la baignoire remplie de mousse, et à la brasserie de l’hôtel. Elle m’a dit qu’on pouvait résumer la chose en disant qu’ils avaient baisé, baisé, baisé, dormi et mangé. Et qu’elle se demandait si elle n’aimait pas autant coucher avec un black qu’avec un blanc !
Ali repartit pour le Niger, promettant de revenir l’honorer, mais il ne revint plus : les djihadistes commençaient à envahir la région.
Elle ne voulut pas me confier la carte SD des photos prises par P.. qu’elle m’avait pourtant montrées lorsque nous nous étions retrouvés. Elle voulait les détruire malgré mes supplications. Elle voulut bien me donner l’Instamatic qui ne l’intéressait pas. Sur le film argentique que j’ai scanné après l’avoir fait développer il y avait une mauvaise photo mais néanmoins intéressante de Lison et Ali sous la douche, mais pas que ! J’y ai découvert aussi quelques photos de Victoire en positions avantageuses, sûrement prises à son insu.
Le journal intime de Lison, qui m’est parvenu après son décès, comportait la carte SD de l’appareil de P.. Elle n’avait pas détruit la cinquantaine de photos que j’y ai découvert !
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