- Aujourd’hui, 03:27
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Rencontre au bord des chevaux
Après plusieurs mois d’échanges de messages, le jour tant attendu était enfin arrivé. Le hasard nous avait offert deux chambres voisines, donnant sur un enclos paisible, habité par quelques chevaux tranquilles. Une scène presque irréelle, baignée d’une lumière douce et dorée.
Je tenais un bouquet de fleurs, où se cachait délicatement un body rouge, soigneusement roulé parmi les tiges. Derrière la cloison, j’entendais l’eau de la douche couler. Elle effaçait la fatigue du voyage, se préparait à ce moment suspendu que nous allions partager.
Le message arriva, simple et chargé de promesses : « On est prêt. »
J’ai pris une profonde inspiration, ajustai ma chemise, et sortis. À l’instant où je poussai la porte-fenêtre, ils étaient là, tous les deux face à moi.
Son mari, debout, calme, presque noble. Elle, rayonnante, encore vêtue de sa robe, le regard brillant, un sourire doux et complice aux lèvres.
Elle s’avança vers moi, surprise et heureuse du bouquet, prenant les fleurs avec un rire léger. Son mari resta à nos côtés, attentif et fier.
Sa Robe (**)
Le tissu épousait ses formes avec élégance, soulignant la finesse de sa taille, la courbe de ses hanches, le galbe de sa poitrine. Ses talons noirs claquaient doucement sur le parquet, ajoutant à sa démarche une grâce hypnotique.
Elle viens vers moi, ses yeux pétillants d’une lumière nouvelle, et se glissa dans mes bras, douce, sensuelle, totalement présente. Ses premiers baisers étaient timides, furtifs, mais déjà lourds de promesses. Son corps chaud frémissait contre le mien.
Son mari, assis non loin, nous observait avec une attention pleine de respect et de désir contenu. Sa main vient parfois caresser doucement la taille de sa femme, renforçant le lien puissant qui nous unissait.
Les murmures de nos respirations se mêlaient dans la pénombre, chaque souffle une caresse invisible. Elle se laissait porter par la douceur de nos mains, oscillant entre abandon et désir.
Ses yeux croisaient ceux de son mari, cherchant la sécurité, l’amour, la permission. Les gestes se faisaient plus confiants, les baisers plus profonds, et la pièce s’emplissait de cette musique silencieuse qui ne connaît que le plaisir partagé.
La robe, désormais à moitié défaites , révélait la perfection de ses courbes, la promesse de chaque découverte.
Dans ce cercle de tendresse et de sensualité, nous formions un équilibre fragile et précieux, un moment suspendu hors du temps, où la confiance était la clef d’une liberté infinie.
Chaque regard, chaque soupir, chaque caresse était une invitation à s’abandonner, à se perdre ensemble dans cette danse érotique et sensorielle qui nous rapprochait, nous unissait.
Ce fut une nuit mémorable, un feu doux et brûlant à la fois, une célébration délicate et puissante de la passion, du respect, et du plaisir partagé
Merci Reglis Merci ma complice vous êtes un couple que je protègerais comme la prunelle de mes yeux
PS/« Je l’avais nommée ma douce sans jamais l’avoir touchée. Mais le jour où je l’ai rencontrée, j’ai découvert que même la douceur s’incline devant elle.
Je passe la plume à Réglis, si l’envie lui prend, pour écrire ce que moi seul ne saurais dire de cette rencontre
Amir