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Présentation des couples candaulistes : Ici tous les membres de notre forum cando (couples candaulistes, femmes cocufieuses et aussi hommes seuls) sont invités à se présenter à toute la communauté du forum. C'est impératif pour pouvoir poster ensuite.

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Alors n'attendez plus pour vous présenter à la plus grande communauté candauliste francophone (ou souhaiter la bienvenue aux nouveaux couples candaulistes inscrits, ils sont plus d'une vingtaine chaque jour).
#2893845
Bonjour,
Je suis présent sur ce forum depuis un certain temps, mais je ne me suis jamais présenté, sans doute parce que je n’avais pas de vécu à raconter. Mais les choses sont, lentement, en train de changer.
Je sortais d’une très longue relation, où le candaulisme n’a jamais eu sa place, lorsque j’ai rencontré ma compagne actuelle. Elle est un peu plus jeune que moi. J’ai 39 ans, elle en a 34. Tout de suite, l’alchimie sexuelle à été extraordinaire. Nous faisions l’amour tout le temps, et encore aujourd’hui d’ailleurs, après 3 ans de relation. Une sexualité débridée, gourmande, amoureuse, généreuse. G, ma compagne, est un petit bout de femme aux formes généreuses, des seins amples et lourds, de long cheveux noirs, des fesses délicieuses et des jambes douces et féminines.
Au début, mes penchants candaulistes se sont tus, remplacés par une frénésie d’amour et de sexe à deux. Mais très vite, l’envie est revenue. Silencieusement, tranquillement, mais sûrement. J’aimerais vous raconter comment cette envie est revenue, parce que G n’y est pas pour rien, et comment, à deux, notre vie pourrait peut être prendre un tournant candauliste.
Wysiwyg, Clyde77, Dedeploof et 1 autres a liké
#2893862
Ces envies candaulistes sont revenues très vite notamment parce que j’ai compris rapidement que G, qui n’avait pratiquement jamais été en couple jusqu’ici, avait un passé sexuel très dense. Elle avait enchaîné les nuits sans lendemain pendant longtemps, avec beaucoup d’hommes. Elle avait couché avec beaucoup, presque tous, de ses amis garçons, eu des expériences avec des femmes, aussi. Une fois, elle me raconta qu’à un EVJF, une copine avait organisé un jeu. Il fallait écrire son nombre de partenaire sexuel sur un papier, le mettre dans une corbeille. Puis le groupe devait retrouver la fille en fonction du nombre…. Elle a divisé conséquemment son score, qui restait bien au dessus de ses amies, score qu’elle refusa de me donner… La multitude de ces aventures d’un soir fit naître dans mon esprit, en plus d’une pointe de jalousie, énormément d’images érotiques. Je l’imaginais prise avec fougue par un inconnu rencontré le soir même, ou suçant un homme au détour d’une soirée.
De plus, notre début de relation lui même est plus compliqué qu’il n’y paraît. En effet, nous nous sommes rencontrés sur une application, et j’ai appris deux mois après notre rencontre qu’elle voyait un autre garçon. Elle m’en a parlé, me disant qu’elle avait besoin de savoir si j’avais envie d’être avec elle, d’être juste avec elle. je lui répondis que oui, extrêmement surpris par cette révélation, et le soir même, elle rompait avec l’autre. C’était quelque chose de normal pour elle, nous n’étions pas en relation officielle. Elle avait déjà fréquenté deux garçons en même temps, peut être plus. Et que les choses soient très claires, je sais qu’elle ne l’a jamais revu, et qu’elle ne m’a jamais trompé. Mais, je dois avouer que je me suis senti cocu ;) . Et si la jalousie me transperçait le cœur, une pointe d’excitation me retournait le ventre. Bon, tempérée par le fait qu’elle n’aimait pas faire l’amour avec lui ! Je crois que c’était un très mauvais amant. Et encore une fois, je sais qu’elle me dit la vérité, nous ne nous mentons pas. Notre amour est véritable, puissant, charnel et profond.
#2893947
Je pense que pour commencer, je dois vous raconter comment j’ai perçu les penchants exhibitionniste de G. Elle aime se sentir désirée, regardée, convoitée.
Nous sommes partis en vacances en Grèce, à une période de l’année où les touristes se font rares mais le soleil brille encore. Les plages désertes s’offraient à nous. Les criques isolées nous ont rapidement poussé à abandonner les maillots de bain. Et je sentais le plaisir que G prenait à être nue. Nue pour bronzer, nue pour marcher le long de la mer, nue pour se baigner…
Et rapidement, les inoffensifs plagistes impudiques que nous étions sont devenus des amants fougueux et infatigables. Et quand nous faisions l’amour sur cette plage, je sentais l’excitation de G décuplée par la peur d’être surprise, par les regards qui peut-être n’en perdaient pas une miette.
À notre retour, je me décidais à lui écrire une histoire érotique dans laquelle nous étions les héros. Et si je racontais nos ébats sur la plage, j’ajoutais un élément. Des bruits au loin, que G entendait, qui pourraient bien être des voyeurs….
«  Guidée par une pulsion irréfléchie, elle se redressa et s’installa entre les jambes de son homme, pour continuer à l’embrasser avec passion. Elle eu conscience de s’offrir ainsi davantage aux regards qui peut-être n’en perdaient pas une miette. Elle se sentit terriblement vulnérable et incroyablement forte. Elle aurait pu sentir le poids des yeux sur ses fesses dressées, sur ses hanches, sur ses seins. Peut-être ces yeux voyeurs la regardaient-elle prendre dans sa bouche le sexe de son homme. Peut être la désiraient-elle ? Sans les formuler, elle laissait ses pensées vagabonder, et, nue sur cette plage, offerte, coquine, donnant tout le plaisir du monde à son homme, elle se sentait libre, belle, excitante, convoitée… »
Voici notamment ce que je lui écrivis. Elle a adoré. Et si dans mon histoire, la présence des voyeurs n’était jamais avérée, je lui posais la question : Selon elle, étaient-ils la ? La réponse fut sans équivoque. Oui, ils étaient là !
Je découvris aussi pendant ces vacances qu’elle aimait que je la prenne en photo, nue, ou dans des situations d’exhib ravissante, jupe retroussée au détour d’une ruelle grecque, provocante en dénudant ses seins sur une route de montagne…
J’aimerais partager ces clichés, mais je sais que pour l’instant G n’est pas encore prête pour ça. Par contre, j’aimerais vous raconter comment j’ai monté un scénario qui m’a plus que confirmé ses délicieux penchants impudiques.
#2893997
@alfred2048 Ton récit de votre avanture est superbe et ta femme a adoré .... vivement la suite ! Mme semble vraiment wow d'après ta description ... pourquoi pas une photo de son corp en floutant le visage ??
#2894015
Un peu plus tard, nous étions en week end en Italie. J’avais eu l’idée d’un scénario que je voulais mettre en pratique. De retour dans notre chambre d’hôtel après une longue balade en amoureux, j’ai demandé à ma G de s’assoir sur le lit. Je lui ai bandé les yeux, et je lui ai expliqué mon petit jeu.

« À mon signal, des inconnus vont entrer, ils sont trois, deux hommes et une femme, tu ne les verras pas, mais eux te verront. Ils vont me regarder te déshabiller, et te faire l’amour. »

Il n’y avait pas d’inconnu bien sûr, mais le jeu était lancé, et je l’ai senti tellement réceptive ! Pour plus de réalisme, j’ai même poussé la supercherie jusqu’à ouvrir et fermer la porte d’entrée ! Elle savait qu’il n’y avait personne, mais elle s’est terriblement prise au jeu. Et je l’ai rarement senti aussi excitée. Ce fut incroyable, et comme pour nos aventures Grecques, je décidais de lui écrire cette histoire, dont voici quelques passages.

(Je réalise que si j’ai présenté ma compagne, G, je ne me suis pas présenté ! C’est bien les candaulistes ça… Je suis W, 39 ans, amoureux transi de ma compagne :)

« Elle était maintenant nue. Entièrement nue. Offerte aux regards, aux envies, aux désirs de son homme et de ces inconnus, ces fantômes dont elle ne pouvait que percevoir la présence. G n’était pas certaine d’avoir déjà dans sa vie été aussi excitée. Elle avait laissé les clés de ce jeu à W. Elle s’en remettait à lui, entièrement, intégralement. C’est lui qui l’avait amené ici, lui qui lui avait bandé les yeux. Lui qui avait fait entrer ces inconnus, lui qui l’avait déshabillé. Après tout, elle, elle n’y était pour rien. Elle n’avait qu’à se laisser entraîner dans ce tsunami de sensations. Il ne pourrait s’en prendre qu’à lui même.
Mais W ne donnait pas l’impression de regretter. Au contraire. Lentement, la guidant, il la fit tourner sur elle-même.

« Ils veulent te voir, montre leur ton corps. Montre leur tes seins, tes fesses, tes hanches. Laisse les te dévorer des yeux. Tu es tellement belle, tellement désirable. » »


Et effectivement G se montra, elle ondulait comme une chatte dans mes bras, faisait ressortir ses fesses, s’offrait à mes caresses. Et lorsque ma main s’aventura jusqu’à son sexe, je le trouvais trempé, inondé de désir. Je bandais comme jamais de la voir aussi excitée. Elle pensait s’exhiber, elle voulait plaire, se montrer…
Je lui soufflais des mots dans l’oreille pour l’exciter encore plus : « « Ils sont juste là, à quelques centimètres. Ils pourraient tendre le bras et te toucher. Montre toi, montre leur ton envie, ton plaisir. Ils te désirent, ils te veulent. Tu les excites, G.»

Dans l’histoire que je lui ai écrite, je racontais son premier orgasme ainsi :

Les mots de W, glissés dans un souffle alors que sa main la rendait folle entre ses cuisses, acheva de la faire chavirer.
Les pensées s’entrechoquèrent dans son esprit. L’espace d’un instant, elle eu peur que oui, d’autres mains se joignent à ses caresses. L’espace d’une fulgurante seconde, elle le désira. Mais non, W ne laisserait pas cela arriver. C’était impossible, et puis, et puis rien ! Juste ce plaisir qui grondait en elle, qui hurlait en elle. Elle voulait qu’on la désire, qu’on la caresse, qu’on la veuille, qu’on la satisfasse, qu’on la regarde. Peu importe maintenant, elle voulait qu’il n’y ait qu’elle. Elle, dans la lumière, fière, grande, forte, invincible. Les peurs enterrées. Elle voulait prendre la place, toute la place. Elle s’exhibait. La pudeur était pour les lâches, et les faibles. Et G était forte. Tellement forte. Tellement belle.
Et enfin, enfin son corps explosa. La tempête du fond des âges qui grondait dans son ventre se déchaîna. L’onde de plaisir la foudroya. Pas une once de son âme n’échappa à cette jouissance. L’orgasme s’immisçait partout, dans chaque cellule, dans chaque neurone. Le temps disparut, et vaincue, terrassée, comblée, elle s’effondra.



G a adoré lire cette histoire. Mais le plus intéressant est à venir ! Parce qu’après avoir joui si fort, elle s’est jetée sur mon sexe, toujours les yeux bandés, pour me sucer longuement… Elle était déchaînée. Et j’ai pu commencer à laisser plus de place à mon fantasme candauliste. Et je voulais qu’elle le lise :

Elle percevait sans le voir le trouble de son homme. Ses mains dans ses cheveux, de plus en plus autoritaires. De plus en plus fermes et conquérantes. Moins de douceur, trop d’envie, trop de passion. Elle sentait ses hanches aller au devant de sa bouche. Elle le sentait dicter son rythme, s’enivrer en oubliant tout le reste. G, pour le narguer, se recula, chercha l’air qui lui manquait, mais d’un geste qui la rendait folle, d’une main tyrannique qui la guida, W la ramena vers son sexe au bord de l’explosion. Elle le reprit dans sa bouche, toujours plus excitée.
« Encore… Suce-moi, encore, lui intima t-il. Donne moi ce plaisir, devant eux. Ils voudraient être à ma place, je le vois. Ils voudraient ta bouche, ils voudraient ta bouche sur leur sexe, alors continue, ne t’arrête pas. »
G, galvanisée, si belle, si renversante, se sentit dépassée. Vulnérable, offerte. Son intimité la plus absolue dévoilée. Elle, G, objet de tous les désirs, de toutes les convoitises. Une seconde, elle s’imagina déesse de l’amour, capable de plus. Elle aurait voulu savoir l’effet qu’elle leur faisait. Elle aurait voulu prendre leur sexe entre ses mains, entre ses lèvres. Les rendre fou avec sa bouche. S’offrir entièrement. Se dissoudre dans le plaisir. Et prendre le pouvoir, sur eux, sur le monde.



Je vous laisse imaginer mon émoi quand, à la lecture de cette histoire, G me dit que c’était sa partie préférée ! Que oui, ça la troublait, qu’elle aurait peut-être eu envie de… Je touchais le graal candauliste ! Oui, elle avait eu envie, de ces mains sur elle, de ces inconnus, de ces queues dressées pour elle.
Mais comme beaucoup d’entre vous le savent, le chemin du candaulisme est pavé d’embûches. Entre les désirs et la réalité se cache toujours un monde !

Maintenant, j’aimerais vous raconter comment j’ai convoqué son passé sexuel pour érotiser nos étreintes. Et n’hésitez pas à me donner vos ressentis. En effet, c’est la première fois que j’ai l’occasion d’écrire ce qu’il m’arrive, et échanger sur ce forum ne pourrait qu’être bénéfique !

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