- 24 mai 2011, 21:23
#460909
A la salope….
Puis je proposai d'aller tous ensemble, nous allonger dans un petit salon du backroom .
Dans la pénombre de cette petite pièce, Nous avons installés nos serviette sur le matelas, Val s'est allongée sur le dos, moi allongé à ses cotés, je l'embrassais fougueusement, amoureusement, en lui caressant la poitrine,lui malaxant les seins. Je bandais fort, je croie que ma queue allait exploser.
Notre premier compère c'est réinstallé entre ses jambes qu'elle a consciencieusement replacées sur ses épaules pour lui être encore plus ouverte, sa fente offerte à ses lèvres charnues, pour qu'il la fouraille encore plus profondément de sa langue épaisse. Tour à tour elle gémissait de plaisir ou implorait que cela continu encore et encore....
Il la léchait comme un fou, tout en lui titillant de son doigt la rosette de son petit cul, et elle aimait cela la salope, ma garce, ma putain. Elle aimait cela et le faisait savoir.
Je vous dis pas la troupe de sangliers affamés que ses feulements avaient rameutés.
Il y avait du monde autours de nous (pour la plupart la bite en pleine forme à la main°
Son copain, installé, allongé de l'autre coté de Val, caressait le clito de ma belle avec douceur et tendresse en lui suçant un teton. Elle lui tenait son beau sexe à la peau lisse, bien fermement avec sa main pour "j'imagine " le sentir dur et ferme, et peut être "surement" le garder en forme (qu'avait elle dans la tête à ce moment là???),
il était droit, épais, rasé de près ou épilé, surement très doux
Quelques minutes plus tard, n'en pouvant plus notre ami le lécheur, se releva d'entre les jambes de Val et interrompant son cunni fit signe à son ami de prendre la place. Il vint se mettre derrière moi comme pour m'empêcher de bouger, me bloquant contre ma belle. Je sentais son sexe bandé contre mon cul et n'osait aucun mouvement, je ne dis rien et plongea mon regard dans les yeux de ma belle pour lui souhaiter beaucoup de bonheur.
L'autre se fit glisser hors du matelas en moins de deux pour se positionner entre les cuisses de Val toujours écartées écartelée pattes en l'air, il approcha doucement son gros gland luisant de la fente trempée de ma belle.
Sa queue bandait fortement il était gros, épais, il était beau ce sexe noir.
Quel braquemart, quel pieux il allait lui mettre au plus profond de son sexe