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par Yakou
#963890
Hier, je téléphone à ma copine avant de rentrer à la maison, lui expliquant que je vais passer à la pharmacie acheter des aspirines, et lui demande donc si elle n'a besoin de rien. Elle réfléchit un bref instant puis me dit que non.

Je quitte donc le boulot et au moment de rentrer dans ma voiture, je reçois un sms : "ramène des capotes". (Il va de soi que nous n'en utilisons pas entre nous.) Je me suis senti, une fois de plus et immédiatement, envahi d'une drôle de torpeur excitée ou excitante, d'une sauvage attaque d'adrénaline qui fut bien plus efficace que n'importe quel aspirine pour soigner les éclairs électrisant ma tête.

Je rentre chez moi, sans rien lui dire. Je tremble presque d'excitation, elle le sait. Elle ne me dit pas bonjour non plus. Je prends un verre dans l'armoire, y verse de l'eau et le dépose sur le coin de la table. Je prends le sac de la pharmacie, un de ces sacs que l'on reçoit dans toutes les pharmacies, faisant ce bruit si spécifique lorsqu'on le froisse. J'en retire la boîte d'aspirine, la dépose devant moi, et je place un peu plus loin deux paquets de douze préservatifs. Un assortiment et d’autres destinés aux virilités de grande taille. Ma tête virevolte. Je l'imagine déjà. Je n'ai plus mal à la tête, mais je prend un cachet d'aspirine et le jette maladroitement dans le verre d'eau. Elle sait que je lui en ai acheté. Mais elle prend son temps, joue avec ma patience. Et elle sait que je n'en ai aucune face à l'émoi de sa jouissance, tout particulièrement avec d'autres corps. Je regarde nerveusement le cachet se dissoudre dans l'eau avec son nuage de bulles, lorsqu'enfin elle s'approche de moi. Elle regarde la table avec des yeux espiègles et un petit sourire en coin. D’un geste d’une légèreté extraordinaire, elle fait glisser doucement le paquet du dessus pour découvrir la variété de celui du dessous. Sans rien dire elle prend la boîte des grandes tailles et la met dans son sac. Elle sait déjà, probablement. Une main, peut-être une bouche. Je tremble définitivement et très nerveusement d'excitation. Je l'adore. Elle sait qu'elle ne doit rien dire et ne me dit rien. Mais elle sent mon être tellement en érection, que toujours sans un mot, elle s'approche de moi, se met à genoux, ouvre mon pantalon doucement, en me faisant languir, commence à me caresser pour enfin me faire une fellation comme peu en ont le secret.

Cela m'a un petit peu détendu, calmé le temps d’un repas vite enfilé. Après avoir mangé, nous avons immédiatement fait l'amour, puis de nouveau, et encore, en parlant de tout et surtout de rien de particulier entre nos caresses, mais rien ne pouvait faire passer l'excitation de savoir qu'elle était prête et armée à affronter sa sensualité le lendemain, sans que je ne sache où, ni quand, ni comment, ni avec qui. Elle est seule face à son désir sur ce coup là, tout en m'apportant un plaisir fou par son jeu et sa suggestion.

Je vais bientôt quitter le travail. J'ai passé une journée complètement tirée par les cheveux, ahurie. En lisant des bilans, je ne voyais que sexes pénétrant le sien. Je me suis masturbé pour tenter de penser à autre chose, enfin. Sans résultat. En discutant, je n'écoutais que ses gémissements. J’ai récidivé ma jouissance, lui expliquant par sms que mes mains tentaient difficilement d’égaler son expertise en la matière. Elle n’a pas répondu et rien n’y fit. Un homme la prenait, puissamment parfois, tendrement d’autres, souvent bravant l’interdit, mais toujours elle le guidait avec avidité vers son intimité embuée d’un trop plein d’appétit. Je ne pensais même plus, elle m’accaparait de ses cris. Nombreux et pleins. En obéissant à des consignes, je la laissais faire l'amour à son envie, en donnant des ordres, elle s'éloignait de la liberté de ses désirs. Après l’éjaculation, je bandais toujours autant. Je vais bientôt quitter le travail. Oui, je vais bientôt quitter le travail. Elle ne m'a rien dit de la journée. Je vais bientôt quitter le travail et la rejoindre. Je l'aime !

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