Le Repas
Nous habitons une maison avec piscine couverte attenante, il faisait chaud en cette fin d’après-midi et nous avions passé notre journée de samedi sur la terrasse de cette dernière à épiloguer sur notre façon d’agir le soir même avec Cédric.
Sandra et moi avions décidé que ce repas entre amis serait un premier contact afin de ne brusquer personne. C’est pourquoi, Sandra portait un short noir ample sur une jolie culote de la même couleur ornée d’un petit nœud rose à l’arrière, un haut blanc court à fine bretelle, et rien d’autre. (Nous sommes toute l’année pieds nus à l’intérieur de la maison, comme sur le caillebotis). Ses petits seins pointaient sans interruption depuis mardi, et l’effet de ses pointes sous le tissu était superbe, sans parler de ses jambes fines, bronzées et musclées, elle était tout simplement très sexy, rien de vulgaire mais juste ce qu’il faut pour attirer l’œil.
Cédric devait arriver d’une minute à l’autre, la tension était extrême. J’avais préparé pour se désinhiber, T-punch pour tout le monde ! Seule Sandra avait une faible dose, car elle ne boit jamais, et il lui en faut très peu pour qu’elle se lâche. Quant à Cédric, qui est très réservé au naturel, se transforme complètement après quelques verres, toute timidité disparait, et sa langue se délie. Rien de mieux pour détendre l’atmosphère qu’un huitième de citron vert, sur deux cuillères à café de cassonade, le tout arrosé de trois doses de rhum à 50° de bonne facture.
Cédric est arrivé vers 19h00 fraichement rasé, T-shirt blanc/Jean bleu, propres, très simple, parfait pour une rencontre détendue ! Il me présenta une bouteille de bordeaux.
- « Pour le repas ! » dit-il.,
- « Fallait pas, mais merci quand même ! »
- « Je crois savoir que Sandra aime le bordeaux ! »
- « Tout juste, toi tu veux choper ou quoi ?

» dis-je en riant essayant de détendre tout le monde.
En effet, l’ambiance des deux derniers jours, chaude et flirts ouverts par SMS, s’était retrouvée au point mort. Je sentais que Cédric aurait préféré se retrouver ailleurs sur le moment, plutôt que face à Sandra qui n’était pas plus à l’aise que lui. Il fallait agir, et ne pas laisser de temps mort. J’invitais donc tout le monde à passer sur la terrasse pour prendre l’apéritif, et posais discrètement la main sur les fesses de Sandra, en les caressant pour jauger de son humeur.
Aucune esquive de sa part…, donc c’est que madame est joueuse.
L’apéro était servi, les verres descendaient tranquillement et j’animais la conversation en évoquant les banalités habituelles entre amis, ne laissant aucun blanc dans mon presque monologue. Et oui, je dis bien ‘’monologue’’, car je n’avais en retour de mes questions ou récits de quelconques faits divers, que des « oui », « non » ou onomatopées qui ne m’aidaient pas beaucoup.
L’alcool aidant les visages se déridaient et les sourires s’affichaient maintenant constamment. Cédric assit en bout de table, Sandra sur sa gauche, osait enfin la regarder et rire avec elle. Il était temps !
J’épuisais progressivement mes idées de discussions et voyant que l’ambiance était à la détente je pouvais enfin me permettre d’aborder gentiment le sujet principal tout en parlant films.
- « Je ne sais plus si je te l’ai dit, Sandra, mais Cédric trouve que tu es du même genre de femme que Charlize THERON, c’est plutôt flatteur non ? »
- « N’importe quoi ! mais j’aimerais bien ! »
- « Cédric, je mens ou pas ? J’ai beau lui faire des compliments, elle n’en tient pas compte et ne me croit jamais ! »
- « C’est vrai, » répond dit-il timidement « et pas uniquement parce que tu es blonde » ajouta-t-il avec sourire.
- « Surtout que c’est en regardant les photos, que Cédric m’a dit cela, et on ne parlait pas de films à ce moment. »
- « C’est malin » dit Sandra le rouge aux joues. « Mais je prends cela comme un compliment, je la trouve très belle ! »
- « Moi aussi… » répondit Cédric
- « Aller ! à table ! » coupais-je ainsi le dialogue.
Le repas se passa normalement, très détendu, sans plus d’allusions de ma part, qu’il ne le fallait, afin de garder la bonne humeur, mais néanmoins entretenir cette tension sexuelle entre les deux futurs amants et ne pas laisser place à un hypothétique malaise. En effet je motivais discrètement l’un et l’autre lors d’une absence de Sandra pour le service, ou bien de Cédric. Je connaissais parfaitement ma femme pour savoir qu’elle était très excitée par la présence de notre invité, son sourire permanent et ses yeux brillants la trahissait.
Comment ne pas avoir envie de lui faire plaisir, je voulais qu’elle reste ainsi toute la vie, elle avait l’air vraiment heureuse. Profitant de son absence à la cuisine, je demandais à Cédric :
- « Sandra te plait toujours ? »
- « Oui… » me répondit-il gêné.
- « Tu sais tu peux être sincère avec moi, tu as vu à quel point elle est joyeuse, j’adore ça ! Et je veux qu’elle le reste alors si vraiment elle te plait tu as carte blanche pour la séduire, et quand je dis carte blanche, je veux dire par là que tu peux même lui mettre la main aux fesses devant moi. »
- « Mais toi tu y gagnes quoi ? » me demande-t-il sceptique.
- « Son bonheur !, je l’aime tellement que si elle voulait rester seule avec toi, je vous laisserais tous les deux »

« Alors tu sais une main aux fesses… »

« Alors profites en c’est pas tous les jours qu’on a une proposition pareil ! »
- « Putain t’es dingue…, Sandra est superbe, elle est vraiment jolie ! »
Je rejoignais Sandra dans la cuisine, qui préparait le dessert.
- « Alors tu passes une bonne soirée ? » lui demandais-je
- « Oh oui, très bonne ! »
- « Et si on lui demandait de regarder le film avec nous après le repas ? »
- « Oui bien sûr, et il pourrait dormir dans la chambre d’amis s’il est trop tard ! » me dit-elle avec un large sourire.
- « Mouais, ou dans notre lit…, tu pourras dormir entre nous deux !!! »
- « Pourquoi pas ! Tu es toujours ok ? Toi ça va ? »
Pour toute réponse je l’embrassais posant mes mains sur son cul et collant son bassin au mien. Glissant mes doigts sur son short jusqu’à son entrejambe, je la massais ainsi quelque seconde et lui dis :
- « Je t’aime, tu as carte blanche. »
- « Merci mon amour »
Bon, ben moi j’ai fait tout ce que je pouvais, ils ont tous les deux cette fameuse ‘’carte blanche’’. Je devrais être inquiet, mais non, je suis excité comme jamais, je viens d’autoriser ma femme et mon pote à flirter, et bizarrement l’idée me plait.
- « Cédric, tu restes avec nous regarder un film ? C’est 8mm 2, on ne l’a jamais vu ! »
- « Moi non plus, pourquoi pas ! »
- « Tu dormiras à la maison ce soir. » tout en le regardant dans les yeux pour ne pas lui laisser le choix.
- « D’accord si vous m’acceptez chez vous ! »
Sandra ne disait rien mais je lisais son excitation dans ses yeux.
Le dessert prit, nous nous installions sur le canapé devant le film. Bien sûr, Sandra se retrouvait entre ses deux hommes du soir.
Le début de séance était parfait pour l’occasion. Les personnages principaux, formés d’un couple dans la quarantaine, dont la femme est une belle blonde, observent une jolie brune entièrement nue, nageant dans une piscine, sortant lentement puis s’allongeant et s’exposant ainsi à leurs regards, sur un transat.
Je vous passe quelques détails mais cela fini dans un plan à trois très chaud, dont les scènes de tournage ne cachent pas grand-chose de l’anatomie de ces dames !!!
Sur le canapé l’ambiance était calme… trop peut-être, et les images que je venais de voir m’avaient bien chauffé.
- « Cédric…, tu ne trouves pas que la blonde a le même petit cul que Sandra ? »
- « Si ! justement j’y pensais.

»
Sandra ne disait rien mais s’agitait sur son coussin, en regardant la scène.
Aux vues de la suite du film, je proposais d’écourter le visionnage prétextant d’être fatigué, et me levais en direction de la piscine pour la bâcher.
Sandra et Cédric avaient coupé la télévision et me regardaient finir de couvrir l’eau. Je les rejoignais et ressentais tout à coup une boule au ventre, personne ne parlait et tout le monde était en attente d’une proposition ou d’une action quelconque. Cela ne dura que quelques secondes, mais c’était très intense, une tension sexuelle insupportable ! Je pris donc une initiative, et me colla derrière Sandra pour lui glisser à l’oreille :
- « Laisse-toi faire… » lui dis-je en posant mes mains sur son ventre, alors que Cédric face à elle, nous regardait.
Je glissais mes doigts sous le fin voile de son haut blanc et lui dénudant le ventre, la caressais sous les yeux de notre ami. Je remontais maintenant sous le tissu, le long de son corps, pour venir lui caresser doucement les seins.
La belle se laissait faire, sa respiration était plus forte, ses pointes de sein érigées au maximum, je regardais Cédric :
- « Je crois que tu as froid chérie, tu pointes… » lui dis-je.
Et tout en joignant le geste à la parole, je m’adressais à ce dernier,
- « Regarde, elle a froid non ? » je soulevais le voilage et exposais ainsi ses petits seins gonflés de désir à sa vue.
Je sentis Sandra défaillir, elle prit une grande inspiration, et dans un souffle, s’abandonna totalement :
- « Ho Math… »
Toutes ses défenses lâchaient.Elle qui ne fait même pas de monokini sur la plage, me laissait l’exhiber à Cédric comme bon me semblait.
Cédric ne bougeait pas, comme bloqué sur une photo, il avait l’air de ne pas y croire. Je prenais les devants, et, gardant bien dégagé la poitrine de la belle d’un bras, ceinturant le haut de son corps, j’invitais notre ami.
- « Caresse la Cédric ! Regarde comme elle est réceptive... »
Comme un robot, il s’exécuta, avançant la main jusqu’au contact de sa peau, Sandra eut un frisson et accepta la caresse, amenant ses épaules en arrière pour faire ressortir ses seins.
Cédric massait maintenant alternativement l’un et l’autre, frôlant du bout des doigts ses pointes, ou attrapant à pleine main un sein, tandis que j’embrassais l’indécente dans le cou en lui massant les fesses de ma main libre.
Relâchant l’étreinte, je les invitais à passer dans la chambre, ne laissant pas le choix à Cédric.
Sandra ainsi libérée, partit la première en nous indiquant qu’elle allait passer une nuisette pour la nuit, Cédric m’aida à ranger les vestiges de la soirée, avant d’aller retrouver l’objet de nos désirs dans notre chambre.
La femme tout à l’heure exhibée, était à présent cachée sous la couette malgré la chaleur. Seul son visage tout sourire dépassait.
A suivre...
