La vie est belle , la vie est un jeu , Jouons !
J'arrivais en club avec l’envie extrême de faire un gang bang .
Pourquoi cette envie majeure ?
F me faisait l’amour en me racontant ce gang bang virtuel . Ce récit descriptif, au creux de mon oreille, résonnait comme un courant pulsatil au niveau de mon clitoris.
J’avais très envie d'être baisée par plusieurs hommes en même temps mais j'avais également une appréhension. Ce sentiment était finalement source d’excitation. Dans mon imaginaire, je commençais mon gang bang virtuel pour me projeter petit à petit dans le réel.
Ce jour-là , j’avais décidé de porter la couleur qui me correspond le mieux, c'est-à-dire une robe rouge avec un maquillage léger , mais un rouge à lèvres rouge et surtout j’avais pris l’option de ne porter ni soutien gorge ni string. j’avais soif de liberté et de légèreté.
J’avais cette envie de me faire prendre par plusieurs hommes, au niveau de la piste de danse rapidement , sans barrière, j’avais donc opté de retirer mes sous vêtements.
J’avais très envie de sentir leurs mains me caresser et de sentir leurs doigts venir toucher avec délicatesse et excitation mon clitoris.
J’avais envie de sentir leurs doigts glissant profondément en moi, aidés par l’abondance de ma cyprine.
J'étais follement excitée par cette situation imaginaire, un fantasme parmi tant d’autres !
Je savais que dans le club que l’on fréquentait, baiser sur la piste n'était pas possible, mais dans mon fantasme le plus fou me faire baiser aux yeux de tous majorait mon excitation.
Je libertinais depuis quelques mois à peine et ma transformation était fulgurante, je pense que parfois la rapidité de cette transformation faisait peur à F.
J’avais enfilé mes talons vertigineux pour allonger ma silhouette et j’adoptais mon style c'est-à-dire sexy, classe et chic mais avec une seule envie : me faire prendre !
Je rentrai dans ce club, dans lequel je me sentais bien et prête à tout pour dépasser mes limites.
A la porte, il y avait la patronne souriante comme à son habitude et un ami, Thomas qui l’aidait, la cinquantaine en léger surpoids.
Il était souriant et son regard posé sur moi me disait à quel point son envie était forte de me baiser, probablement aussi forte que mon fantasme de gang bang.
Je lui souris furtivement et rentrai dans le club, la tête droite , je m'efforçai d’avoir une démarche attractive et très sûre de moi, pour me faire repérer. Ma tenue était des plus sexy et je savais que je capterais les regards.
F savait que j’étais d’apparence sûre mais qu’au fond de moi, parfois, les doutes me hantaient, et que je jouais à les masquer. D’ailleurs, j’y arrive très bien, par des années de pratique !
Je sentais les regards sur moi, cela m’excitait, je sentais mon corps déjà réactif dès mon entrée.
Je ne pouvais pas leur répondre, ma timidité m'empêchait d'être trop rapide dans une réponse.
J’avais besoin d’observer, de repérer et de choisir, un instinct purement animal était en moi et la recherche m’excitait au plus au point.
Je sentais également l’excitation de F face aux regards masculins et féminins posés sur moi.
Avec F, nous commandons un verre et je rejoins mon terrain privilégié, terrain de fantasme qui débute par la piste de danse.
La sensualité de la danse, les mouvements de mon corps en dansant excitent le public. Je le sais et j’en abuse. je connais mes forces et je les utilise.
Je le sais par les regards nombreux posés sur moi, mais le revelateur a été, la rencontre de cette jolie femme, la trentaine qui est venue me voir un jour. Elle s’est approchée de moi et m’a dit “je ne suis pas bi, mais tu as un corps magnifique et tu danses d’une façon divine”. J’étais emue par ce retour, j’avais souvent eu de la jalousie d’autres femmes mais rarement la bienveillance d’une femme si jolie.
En effet, je sens la musique en moi, j’aurais voulu en faire mon activité sportive favorite, plus jeune, mais mes parents n’ont jamais voulu. Pour autant, j’ai toujours gardé ce rythme dans mon corps et surtout cela a été une façon de vaincre ma timidité à travers la danse et la sensualité. Elle m’a permis de m’accepter et d'apprécier le regard du désir sur moi.
Sous le rythme d’une de mes musiques espagnoles préférées “Suavemante”, les oscillations de mon corps avaient accroché tous les regards, je le savais, je le sentais et mon excitation était à son apogée. Le premier qui arriverait près de moi et oserait être en contact avec mon corps le sentirait rapidement, par mes mouvements en sa direction mais aussi par l'humidité qui coulait entre mes jambes, sans aucune barrière pour la retenir.
Plus j'étais excitée, plus j'avais envie de les exciter. Qui étaient-ils, ces hommes sur lesquels j’avais jeté mon dévolu ?
Il y avait en premier le un trentenaire que je connaissais de vue, lors de ma dernière sortie en club.
F pensait que je ne l’avais pas remarqué mais je l’avais bien repéré et j’avais très envie qu’il intègre mon gang bang.
Il était très timide et m’avait déjà regardé lors de mes précédentes venues à ce club .
F me dit : “Regarde-le, il est timide et ne fera probablement pas le premier pas, tu l’impressionnes”.
Il était assis sur un tabouret et tout en dansant je décidai de me mettre à danser entre ses jambes au niveau du tabouret, c’est lui que j’avais choisi en premier et c’est lui que je voulais, ma détermination me faisait déployer tout mon pouvoir de sensualité et de séduction.
Il me souriait, son envie et son excitation se lisaient sur son visage mais elle transparaissait également sous la forme d’une énorme protubérance.
Je lui tournais le dos et je dansais les fesses cambrées, collées à cette protubérance afin de majorer son excitation. Tout en dansant, je l'emmenai sur la piste, cela devait être un effort surhumain pour lui, j’avais observé qu’il ne dansait jamais. Il était extrêmement timide mais j’avais très envie de lui et lui de moi.
Je l’encourageai en prenant ses mains et en les faisant parcourir mon corps au rythme de la musique, je le guidai et le conduisis vers les portes du plaisir .
Je lâchai une main et d’une audace extrême je me mis à caresser sa protubérance. Il souriait, sa respiration était saccadée et il avait une envie extrême de moi qui transpirait.
Je commençai à l’embrasser de façon très sensuelle sur la piste, il embrassait extrêmement bien avec une douceur, une lenteur signe d’une sensualité extrême.
Les jeux de langues faisaient courir mon imaginaire majorant mon excitation,j’adore embrasser pour démarrer une séance de baise !
J'étais venue avec un but, F le savait, il ne disait rien, il m’observait, je le surprenais par ma fougue et mon désir, je le savais et cela m’excitait profondément aussi.
Je devais en parallèle poursuivre ma recherche, j’avais repéré en allant au bar un Black très grand et très baraqué qui me regardait depuis un certain temps et en continu.
Sur la piste alors que je venais de finir d’embrasser mon premier très sensuellement , la musique de “Body talk” démarra et là, je poursuivis ma danse, sans lâcher mon premier complice et je me dirigeai vers le second.
Je lui fais signe avec mes mains et notamment mes doigts sur le rythme de la musique , je le fais venir vers moi , il comprend très vite mon jeu.
Il sourit, m’accompagna sur la piste, il se positionna derrière moi moi et mon premier complice devant moi.
Nous commençammes la transformation de mon fantasme par une danse à trois extrêmement erotique et sensuelle.
Je poursuivis ma danse et j’utilsai mes fesses comme source d’excitation pour le black qui se dressa derriere moi, mes fesses poursuivirent une danse contre son sexe et perçurent la presence d’une dureté, je sus vite que l’ambiance était au rendez-vous pour notre soirée.
Je les embrassai tour à tour et ils me caressèrent à quatre mains au rythme de la musique, je perçus leurs doigts en moi je n’arrivai même pas à savoir qui faisait quoi. Je sus néanmoins que leurs doigts glissaient avec une extrême facilité en moi et j’eus le sentiment qu’ils allaient me prendre sur la piste tant l’excitation des trois était forte. Je me demandai si je allais devoir les arrêter pour nous diriger vers l'alcôve ou si l’un d’entre eux allait sortir sa queue pour me pénétrer sur la piste.
En même temps, un troisième complice s’invita , il dansa avec nous, je l’acceptai même si je ne l'avais pas repéré afin de réaliser ce fantasme qui était le mien et celui de F également.
J’aurais pu baiser sur la piste,u ne idée de folie qui quelques mois auparavant aurait été impossible.
Nous nous dirigeammes vers une très grande alcôve ouverte près de la piste de danse ou les voyeurs furent nombreux !
Je retirai ma robe, j’étais nue avec mes chaussures que je laisse toujours au début.
Nous fûmes 6 au total. En effet, Thomas avait suivi toute la scène depuis le bord de l'alcôve et il débordait d’excitation. Je lui fis signe de venir et de jouer avec nous.
La vie est un jeu : jouons , partageons ce plaisir et cette excitation.
Fidèle à moi meme je priorisai toujours, je me penchai vers mon premier, je commençai à le sucer longuement, je jouais avec son sexe ma bouche et nos regards, je le sentais completement réceptif
Très rapidement, il me dit qu’il allait jouir et je lui dis : “vas-y, prends ton plaisir, c’est le plus important”. Il jouit dans ma bouche, il sourit, je fus heureuse de sentir ce bien-être chez lui. Certains avaient quitté la piste de danse juste pour nous observer !
Mon black n'était pas en reste pendant que je suçais mon premier complice. Il m’avait prise en levrette avec fougue.
Quand il perçut que le premier avait éjaculé dans ma bouche, la scène l’ayant fortement excité, il se retira et s’allongea.
Je compris qu’il avait envie de baiser ma bouche je le lus dans son regard et j’entrepris de le sucer de façon très sensuelle, longuement. Il voulut me stopper à plusieurs reprises car il sentait la jouissance arriver. Je poursuivis vigoureusement pendant que le troisième complice me léchait la chatte.
F nous observait, il régulait le jeu des uns et des autres, il contrôlait la scène de jeu.
Le deuxième complice clôtura sa jouissance dans ma bouche.
Étais-je plus excitée par eux ou par F qui m'observait avec passion et un peu de sidération ?
F ne put attendre, la levrette était à nous. C’est notre position de jouissance extreme.
Il ne me baisa pas, il me fit l’amour, il m'a toujours fait l’amour avec sensualité, il connaît chaque partie de mon corps, il sait comment j’aime jouir.
C’est le meilleur plan cul de ma vie, toute cette scène l’avait excité au plus au point. Je le sentis jouir en moi et je jouis à mon tour dans une ambiance digne d’un beau film porno qui nous aurait excité !
Thomas était toujours la à nous observer et il voulut venir en moi. Je le pris pendant que mon troisième s’invitait dans ma bouche. F était allongé à côté de moi, souriant.
J’avais envie de donner du plaisir à Thomas, Il ne ressemble pas à un apollon mais sa bienveillance, son attention et ses retours positifs en permanence à mon égard m’avaient donné envie de le faire jouir .
Moi la petite bombasse du club, moi à qui il donnait une petite claque sur mon cul à chaque fois que je dansais, à chaque fois que je le provoquais en mettant mes fesses en sa direction pour le chauffer sur la piste de danse, il était heureux et c’est une certaine tendresse que je percevais entre nous.
Je conclurais en disant que ce jour là, le plaisir a pris différentes formes.
Le fantasme et le jeu , l’excitation lors du passage dans le réel, la baise et la jouissance , la tendresse, et le souvenir de toute cette histoire qui continue d’alimenter notre mental à moi , F et d’autres.
J’ai découvert le monde du libertinage depuis peu, j’ai fait des rencontres virtuelles ou réelles merveilleuses riches en expériences humaines.
Merci à Toi F, mon amour et my best plan cul !
Merci pour m’avoir fait découvrir ce monde !
Merci aux complices virtuels ou réels , ils se reconnaitront.
Surtout ceux sans prises de tête et respectueux C, P, M ,BB, AC et tous ceux que je n’ai pas encore découverts complètement
La vie est belle , la vie est un jeu , Jouons !