Je retrouve maintenant cet homme/ami/amant dans des endroits plus conventionnels tels que les chambres d’hôtel, toujours avec la complicité de mon mari. Nous sommes plus intimes, ce qui rend nos échanges encore plus agréables, sans préservatif. Nous discutons tout en nous caressant, en nous embrassant, il me parle de son envie de me dominer, de son fantasme : la sodomie.
Je ne m’étais pas préparer à se qui allait arriver peu de temps après les caresses ,alors que nous étions debout l’un contre l’autre, il me saisit les mains fortement dans mon dos, les attaches avec un lien, me tourne face au lit, me met à genoux, le visage collé sur cette couette blanche, me voilà complètement impuissante, deux sentiments étranges m’envahissent ; la peur et l’excitation je peux sentir son souffle s’accélérer, il s’installe contre mes fesses, me saisit fortement les hanches de ses mains, et là, il fait glisser son sexe dans mon anus, qui à ma grande surprise s’ouvrait à lui sans résistance! D’abord doucement, puis avec une certaine brutalité maîtrisée, donne de grands coups de reins, il attrape sa ceinture à ses côtés, et me fait rougir gentiment la peau de mes cuisses.
Le plaisir que je ressens me met le feu aux joues

et m’extirpe de petits gémissements qui l’excite au plus haut point, et à cet instant, il ne résiste plus, son sexe grossit encore plus en moi et là je l’entends gémir à son tour, en me saisissant plus fort, il jouit et reste en moi jusqu’à la dernière goutte.
Satisfait,

il m’embrasse le dos, se détache de moi, il me libère, passe sous la douche et me retrouve sur le lit, m’embrasse de nouveau et me prend, tout en douceur, en missionnaire et m’emplit cette fois ci ma petite chatte laissée à l’abandon jusque là.
Je dois bien l’avouer j’ai passé un bon moment.
Après quelques câlins, je suis rentrée avec une certaine satisfaction de rapporter, à mon cocu de mari, quelques souvenirs cet après midi dans une chambre d’hôtel.