Petit résumer, pour ceux qui prendraient l’histoire en cours, ou ceux qui ont perdu le fil…
Jeudi matin : A la suite d’un chantage de Sandra, je dû supplier mon copain de venir faire l’amour à ma femme car sinon, je n’aurai plus eu le droit de la toucher. Le soir même, celui-ci passa la nuit avec elle pour me rendre service…
Vendredi fin de journée : Je surprenais dans notre chambre ce même pote, nu, à genou bien planté au plus profond de Sandra, en levrette et nue elle aussi.
Vendredi soir, Sandra me virait du lit, manquant de me faire tomber, car elle préférait faire l’amour avec son amant. « C’est avec lui que j’ai envie de faire l’amour, pas avec toi, Dégage !!! »
Samedi matin, Sandra se refusa à moi, voulant profiter encore de Cédric. Et c’est ce dernier récit que je vous livre en image…
Je vous passe les détails du reste de la matinée, car je suppose que vous ne lisez pas ce récit pour des astuces de bricolage.
(Je ne suis peut-être pas l’amant préféré de ma femme, mais je suis son meilleur bricoleur ! Comme dit Sandra : je suis pratique !

)
Nous passerons donc directement au début de l’après-midi, fin du repas.
Nous prenions le café sur la terrasse, et l’humeur était joyeuse…, enfin pour Sandra et Cédric, car moi je rongeais mon frein comme on dit. En effet, le début du week-end avait bien commencé pour eux, mais pas pour moi…
J’essayais pourtant de ne rien laisser paraitre et faisais comme si je maitrisais toujours la situation.
Donc nous venions de prendre le café, et flânions tranquillement au bord de la piscine depuis 10 minutes lorsque je me décidais à préparer la voiture pour y installer le couchage, en prévision de la soirée qui nous attendait.
Il était difficile pour moi de laisser Sandra seule avec Cédric, à peine couverte de ces deux bouts de tissus noirs, dont un était en partie mangé par le sillon fessier. Mais après tout, ils avaient déjà fait l’amour quatre fois en moins de 48 h, alors ils devraient rester tranquilles cet après-midi me disais-je.
Je quittais donc les deux amants, les laissant en maillot de bain sur les margelles de la piscine.
- « Fait nous un p’tit nid douillet ! » me dit Sandra avec un regard complice.
- « ça va être Nikel » lui dis-je
De l’autre côté de la maison, j’ouvrais toutes les portes de la voitures, sortais les sièges arrières, me retrouvant ainsi avec un plateau vide, qu’il ne me restait plus qu’à aspirer.
Je sortis l’aspirateur et m’apprêtais à le passer lorsque je regarda ma montre. Cela faisait déjà 20 minutes que je m’activais sur la voiture… Que pouvaient-ils bien faire en ce moment ???
L’envie fut trop forte, je rentrais discrètement dans la maison pour les observer.
A travers la fenêtre, je m’aperçût que mes deux acolytes n’étaient plus sur les bords de l’eau.
De ma position je ne voyais personne et aucun son n’était émis à l’intérieur de la maison, cependant je ne pus m’empêcher de vérifier discrètement dans les chambres que celles-ci étaient bien vides. C’était effectivement le cas. Mais où sont-ils ???
L’adrénaline commençait à monter en regardant par chaque fenêtre l’absence de mouvement dans le jardin. Il ne restait plus que le canapé d’angle extérieurs, situé sur le mur juxtaposant la fenêtre donnant sur la piscine.
Pas moyen de voir quoi que ce soit sans ouvrir la fenêtre, pensant maintenant que ma femme et mon pote bien fatigués par leur nuit de débauche étaient endormis sur les cousins, je vérifiais cela en jetant un œil par la porte fenêtre du cellier.
En m’approchant de cette dernière, je compris de suite que ceux-ci ne dormaient pas. En effet, la porte n’était pas fermée, et j’entendais par l’entrebâillement un bruit de cognement répétitif, ainsi qu’un halètement féminin.
Mes craintes se confirmèrent lorsque je vis ma femme assise nue sur le pubis de Cédric, s’empalant vigoureusement sur le pénis de ce dernier. Elle imprimait de fort vas et viens encouragée par les mains de son amant qui lui donnait le rythme bien cramponné sur ses hanches.
Mais c’est pas vrai !!! Des vrais lapins, j’étais fou de jalousie !!! Et pourtant, je ne fis rien, observant impuissant, caché dans mon coin, ma femme prendre du plaisir à laisser un autre que moi profiter de son corp. Profiter de la douceur de sa peau. Profiter de la chaleur de son ventre. Profiter de son envie de jouir à nouveau du plaisir de l’interdit, qu’est celui de s’offrir entièrement à un autre que son mari.
Résigné je retournais à mon aspirateur. Je commençais à nettoyer le coffre sans d’autre pensée en tête que celle de ma femme en train de faire l’amour avec notre ami en ce moment même…
Au bout de 5 minutes, je laissais l’aspirateur en fonctionnement pour faire croire à un semblant d’activité, et retournais à mon poste d’observation espérant que… en fait je ne sais plus ce que j’espérais… Avais-je envie de constater que Sandra et Cédric étaient à nouveau en maillot de bain, ou bien voulais-je voir ma femme nue dans les bras de mon pote … ?
Dans tous les cas, le choix s’était imposé à moi, ma p’tite femme allongée sur le dos avait les bras autour du coup de Cédric. Ses p’tits pieds noués sur les hanches de ce dernier, elle regardait mon copain dans les yeux avec des airs d’envies et de défis. Cédric faisait claquer son pubis contre celui de Sandra, qui recevait dans son ventre l’entièreté de la colonne de chaire à un rythme incroyable.
Les deux transpiraient abondamment et la scène qui se déroulait sous mes yeux était d’un érotisme incroyable.
Ces deux corps trempés, nus, fusionnés, se voulant l’un l’autre, étaient excitant . Tout cela sur fond de l’eau bleutée de la piscine et de verdure bordant celle-ci, c’en était magnifique, superbe… (…) ??? Mais qu’est-ce que je raconte-moi ??? C’était horrible, c’est MA FEMME !!!
Et pourtant j’avais une érection, encore…, Sandra était sublime et vraiment bandante !!! Même à la voir les cuisses largement ouvertes se faisant défoncer ainsi, je la trouvais excitante…
Mais il fallait malgré tout que j’avance dans mon travail, et me fit donc violence en retournant à la voiture. J’activais l’aspirateur dans tous les sens pour finir au plus tôt, mais cela n’allait pas assez vite à mon gout. Trop dure de savoir que ma femme était en train de faire l’amour pendant que je bossais, je devais y retourner, juste 1 minutes…
De retour à la voiture environ 10 minutes plus tard…, je brossais maintenant les dossiers de siège en repensant à Cédric debout derrière Sandra. Elle, en position de levrette, recevait de violent coup de rein de son amant. Elle gémissait doucement, susurrant son plaisir « C’est bon ! » , « Oh oui c’est bon ! » , « Vas-y continu ! »
Je repensais à mon pote qui écartait les fesses bien cambrées de ma femme, ne perdant pas une miette de la vue que lui offrait cette position.
Je repensais à ma femme qui s’était relevée, debout, sur la pointe d’un pied, l’autre sur le canapé, les mains contre le mur, une main de son amant sur une hanche, l’autre agrippée à un sein.
Je repensais à ce couple illégitime qui avait pris leur pied de concert ainsi debout. Sandra se caressant son p’tit bouton d’amour, et lui, sortant in extrémis du puit de lave pour se répandre dans le sillon fessier de la belle qui était secouée de spasmes orgasmiques.
Toujours dans cette position Cédric se lova contre Sandra, qui reprenait son souffle.
Je repensais au sperme de Cédric qui coulait d’entre les fesses de ma femme, à l’intérieur de la cuisse de ma femme et jusqu’à l’arrière de son genou.
Je travaillais machinalement, pris dans mes pensées :
C’est dingue, je sais que plus Sandra prend son pied, plus elle a envie de recommencer, mais lui… ?
Il aurait dû avoir les couilles vides, c’est la cinquième fois en moins de 48h00 !!!
De plus, j’ai une érection qui me fait mal, j’aurais pu me satisfaire, mais je garde cela pour ce soir, car ce soir, je serai seul avec ma femme… (pour ceux qui ne comprennent pas ce qu’il y a d’étonnant, vous n’avez qu’à lire depuis le début !)
Trente minutes plus tard, notre lit de fortune était prêt, matelas de 5cm d’épaisseur sur toute la surface du plateau, j’avais transformé l’arrière du véhicule en en lit plus que convenable.
Satisfait, je démontais ce dernier provisoirement, (Démonter, c’est exactement ce qu’avait fait Cédric avec Sandra tout à l’heure…

), et je remontais le siège de covoiturage pour l’amant de ma femme…
Je retrouvais les deux insatiables assis les pieds dans l’eau là où je les avais laissé la dernière fois qu’ils m’avaient vu. Si je n’étais pas revenu entre temps, rien n’aurait pu laisser penser que j’étais cocu…
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L’après-midi fut des plus calme, ponctué de piscine, farniente un peu de bricolage et de jardin.
Sandra était au top de sa forme et nous allumait dès qu’elle le pouvait en exposant son p’tit cul plus que nécessaire.
Lorsqu’elle se penchait, se cambrant outrageusement jambes tendues en ramassant son sécateur par exemple.
Passant lentement sa main dans son haut de bikini pour remettre celui-ci en place, nous laissant apercevoir un téton au passage…
Vers 17h00, une bonne douche pour tout le monde, chacun son tour, et nous nous préparâmes pour un départ à 18h00 et 30 minutes de route.
La soirée s’annonçait belle et animée. Nous étions tous les trois décontracté short T-shirt et tennis pour Cédric. J’avais opté pour un jean, une chemisette coloniale et des Vans neuves grises que je venais de m’offrir. (Vans : Marque de chaussure de Skateur)
Sandra quant à elle portait un haut à rayure et bleu, sous lequel on distinguait un soutien-gorge à fleurs bleues également. (Cf Photo ci-dessous)
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Son cul était quand à lui mis en valeur par un jean bleu épousant parfaitement ce délicieux entremet…
Un régal pour les yeux… des hommes, et le contraire pour les yeux des épouses jalouses…
Le tout réhaussé par une paire de chaussures à talons orange :
Ci-dessous l’ensemble porté ce jour.
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