- 29 juin 2010, 11:43
#53365
Ravissante!!! Quel age a-t-elle?
N'hésitez pas à voir ma fiche.
http://forum-candaulisme.fr/post50995.html?hilit=impudik93#p50995
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- 30 juin 2010, 15:22
#53805
sososeule, ces quelques mots sont une motivation pour vous proposer le début d'une aventure...
"
C'était une superbe journée ensoleillée, et j'avais quelques heures pour moi dans Paname. J'errais et profitais de Nestor, lorsque mon regard croise une superbe dame devant moi. Le soleil m'aveuglait un peu, mais déja, elle m'interpellait par son allure de bourgeoise, sa classe, son raffinement aussi. Elle avait une jupe et un chemisier, ses hauts talons claquaient sur le bitume, malgré la chaleur ses jambes était voilées de noir, et cela m'interpellait.
Je décidais ainsi de profiter du spectacle et de m'approcher un peu plus... C'est alors que je vis que sa jupe moulante laissait deviner un porte jarretelles, un tel flagrant délit de sensualité eu le glas de mes autres projets de la journée, et je décidais de la suivre.
Elle s'engouffra dans une bouche de métro, et je me réjouis ainsi d'une potentielle proximité, je la suivais à courte mais raisonable distance, ce n'est que lorsqu'elle monta dans la rame que je m'approchais d'elle. Pour une fois, la proximité ne me génait guere, et je pus voir alors que l'érotisme de cette charmante inconnue était à son paroxysme, son chemisier rouge laissait transparaitre une poitrine que l'on avait envie de chérir. Mon excitation augmentait clairement et de manière ostentatoire, d'ailleurs, lors d'un arrêt dans une station populaire, je me retrouvais collé à Elle, dans son dos. Mon sexe grandissait au fur et à mesure que ses fesses se collaient à moi, et j'étais persuadé qu'elle ignorait rien de mon excitation. Mon sexe commenca alors à prendre toute sa splendeur, quand (consciemment ou pas) je sentais ses fesses se frottait à moi... Madame était sublime, raffinée, sexy ... et joueuse. Notre petit jeu dura quelques instants, mes mains parfois s'égaraient sur sa jupe, carressant son porte-jaretelles, puis elle sortit à une station quelquonque. J'admirais ses jambes galbés par des bas et ses hauts talons, je me régalais lorsqu'elle monta les escaliers pour sortir de cette prison souterraine...
A ma grande surprise, elle alla directement dans une brasserie, je n'hésitais pas une seconde, et je me placais face à elle, pour un nouveau moment d'érotisme... je n'imaginais pas à cet instant que cette divinité raffinée et troublante n'avait pas non plus de culotte... mais bientot elle me le prouverait "
"
C'était une superbe journée ensoleillée, et j'avais quelques heures pour moi dans Paname. J'errais et profitais de Nestor, lorsque mon regard croise une superbe dame devant moi. Le soleil m'aveuglait un peu, mais déja, elle m'interpellait par son allure de bourgeoise, sa classe, son raffinement aussi. Elle avait une jupe et un chemisier, ses hauts talons claquaient sur le bitume, malgré la chaleur ses jambes était voilées de noir, et cela m'interpellait.
Je décidais ainsi de profiter du spectacle et de m'approcher un peu plus... C'est alors que je vis que sa jupe moulante laissait deviner un porte jarretelles, un tel flagrant délit de sensualité eu le glas de mes autres projets de la journée, et je décidais de la suivre.
Elle s'engouffra dans une bouche de métro, et je me réjouis ainsi d'une potentielle proximité, je la suivais à courte mais raisonable distance, ce n'est que lorsqu'elle monta dans la rame que je m'approchais d'elle. Pour une fois, la proximité ne me génait guere, et je pus voir alors que l'érotisme de cette charmante inconnue était à son paroxysme, son chemisier rouge laissait transparaitre une poitrine que l'on avait envie de chérir. Mon excitation augmentait clairement et de manière ostentatoire, d'ailleurs, lors d'un arrêt dans une station populaire, je me retrouvais collé à Elle, dans son dos. Mon sexe grandissait au fur et à mesure que ses fesses se collaient à moi, et j'étais persuadé qu'elle ignorait rien de mon excitation. Mon sexe commenca alors à prendre toute sa splendeur, quand (consciemment ou pas) je sentais ses fesses se frottait à moi... Madame était sublime, raffinée, sexy ... et joueuse. Notre petit jeu dura quelques instants, mes mains parfois s'égaraient sur sa jupe, carressant son porte-jaretelles, puis elle sortit à une station quelquonque. J'admirais ses jambes galbés par des bas et ses hauts talons, je me régalais lorsqu'elle monta les escaliers pour sortir de cette prison souterraine...
A ma grande surprise, elle alla directement dans une brasserie, je n'hésitais pas une seconde, et je me placais face à elle, pour un nouveau moment d'érotisme... je n'imaginais pas à cet instant que cette divinité raffinée et troublante n'avait pas non plus de culotte... mais bientot elle me le prouverait "
- 30 juin 2010, 16:20
#53824
je suis ravi que cela vous plaise, et j'avoue être ravi aussi d'être en compagnie de madame...
"J’étais assis confortablement dans ses épais siéges et je bénéficiais d’une vue privilégié sur cette troublante femme. Elle était presque face à moi, et je bénissais cette brasserie d’avoir des tables si hautes qu’elles me permettaient de voir ses jambes divinement croisées.
Je fais (à peine) illusion en m’armant d’un journal, je ne voulais pas non plus l’importuner en la scrutant pendant qu’elle buvait son thé. Me voilà ainsi, tel un détective privé de deuxième zone, a regardé mon journal…
Elle prit alors son téléphone pour converser, et je pris cela comme une carte blanche pour que le spectateur que j’étais puisse profiter de ce magnifique paysage.
Ses jambes croisées, splendidement terminées par ces talons hauts étaient une ode au raffinement, je me délectais de cette vision, mon regards hésitait alors à déguster la vue de sa poitrine ou celle de ses jambes..
Je me replongeais dans les (mauvaises) nouvelles du monde, mais ces dernières n’arrivaient pas à capter ma concentration, le spectacle devant moi : oui.
Je bénissais alors les dieux puisque sa jupe avait la fâcheuse ( ou plutôt la délicieuse) tendance a faire remonter sa jupe, ainsi, à présent, je pouvais voir le liseré de ces bas.
Cette image, presque photographique, eut le don d’électriser la situation, si besoin en était.
Je continuais ce jeu, et inexorablement, je sentais le désir montait, celui de caresser ces jambes interminables, celui d’effleurer ces seins qui semblait ne demandait que cela…
Je m’égarais dans ses considérations fantasmagoriques, lorsque je décidai de me lever pour l’aborder. Je réalisais aussi que mon excitation était visible, que mon membre se sentait prisonnier dans mon boxer.. mais rien ne pouvait freiner mon envie de m’approcher d’elle. J’essayais de la regarder et d’éviter la délicieuse vision plus rapprochée de sa poitrine ainsi exhibée. Elle me regarda avec un air interrogatif, puis je lui demandais « veuillez m’excuser Madame, puis je vous demander une faveur »
"J’étais assis confortablement dans ses épais siéges et je bénéficiais d’une vue privilégié sur cette troublante femme. Elle était presque face à moi, et je bénissais cette brasserie d’avoir des tables si hautes qu’elles me permettaient de voir ses jambes divinement croisées.
Je fais (à peine) illusion en m’armant d’un journal, je ne voulais pas non plus l’importuner en la scrutant pendant qu’elle buvait son thé. Me voilà ainsi, tel un détective privé de deuxième zone, a regardé mon journal…
Elle prit alors son téléphone pour converser, et je pris cela comme une carte blanche pour que le spectateur que j’étais puisse profiter de ce magnifique paysage.
Ses jambes croisées, splendidement terminées par ces talons hauts étaient une ode au raffinement, je me délectais de cette vision, mon regards hésitait alors à déguster la vue de sa poitrine ou celle de ses jambes..
Je me replongeais dans les (mauvaises) nouvelles du monde, mais ces dernières n’arrivaient pas à capter ma concentration, le spectacle devant moi : oui.
Je bénissais alors les dieux puisque sa jupe avait la fâcheuse ( ou plutôt la délicieuse) tendance a faire remonter sa jupe, ainsi, à présent, je pouvais voir le liseré de ces bas.
Cette image, presque photographique, eut le don d’électriser la situation, si besoin en était.
Je continuais ce jeu, et inexorablement, je sentais le désir montait, celui de caresser ces jambes interminables, celui d’effleurer ces seins qui semblait ne demandait que cela…
Je m’égarais dans ses considérations fantasmagoriques, lorsque je décidai de me lever pour l’aborder. Je réalisais aussi que mon excitation était visible, que mon membre se sentait prisonnier dans mon boxer.. mais rien ne pouvait freiner mon envie de m’approcher d’elle. J’essayais de la regarder et d’éviter la délicieuse vision plus rapprochée de sa poitrine ainsi exhibée. Elle me regarda avec un air interrogatif, puis je lui demandais « veuillez m’excuser Madame, puis je vous demander une faveur »
- 30 juin 2010, 16:33
#53837
merci pour cette délicieuse suite...
sososeule a écrit :elle vous répondit instantannément : veuillez m'excuser quelques instants je m'aperçois que quelques gouttes de mon thé au lait viennent de finir leur course sur mon chemisier......je vais me faire un brin de toilette aux comodités et je suis à vous.....illustrant sa réponse en souriant d'un air mutin....et s'éloignant en ajoutant ces quelques mots....."je ne sais pas ce qu'il m'arrive aujourd'hui, je suis une vraie cochonne.."
merci pour cette délicieuse suite...
- 30 juin 2010, 16:52
#53842
Je me délecte de ce contretemps, et j’aime ce sens de la repartie, Elle est vraiment sublime, pour mes yeux, et pour ma cérébralité… Vous voulez jouer madame, et bien jouons… Je reste ainsi quelques secondes (qui me paraissent des heures) et je me décide à la rejoindre au sous sol, dans ces commodités improbables que possèdent les établissements parisiens.
Comme je le devinais, la zone réservée aux dames est à la vue de tous. Enfin, à ma vue puisque le sous ol est désert, Elle est face à ce miroir en train de regarder cette minuscule tache (existe-t-elle d’ailleurs ? là n’est certainement pas le débat).
Un brin cavalier, je m’avance en lui précisant :
Je m’inquiétais ma chère, j’avais peur que vous ne soyez en difficulté, c’est ainsi que je souhaite vous proposer mes services de gentleman.
Ne lui laissant pas le temps de la réponse, je m’approchais d’elle par l’arriere entourant mes bras d’elle, en lui disant, voyons comme je puis vous aider. Je poser mon doigt sur la tache, pour constater les (soi disant) dégat… je mouillais un morceau de mon mouchoir pour essayer de l’aider, chaque tentative me permettait d’effleurer ses seins qui semblait apprécier mon aide. Ils pointait au travers du chemisier. N’étant pas en reste, je m’approchais de plus en plus derriere elle, réitérant l’excitant épisode du wagon de métro.
Au bout de quelques instants, elle se retourna, impétueuse, à quelques millimétres de moi, elle pouvait s’enivrer de mon parfum, et constater à proximité un désir qui ne cessait d’augmenter.
Coquine, elle me dit :
« Je vous remercie monsieur, vous m’avez sauvez, que puis je faire pour vous, je suis à votre disposition… »
Je lui proposais de remonter en salle, en public, et lorsqu’elle pris l’escalier, je profitais avec allégresse de la vision de sa croupe devant moi, qui se déhanchait presque offerte, comme un appel …
Elle pris place, et je la rejoignais, je lui demandais alors :
« voilà : Je dois acheter une robe à une amie, qui a la chance d’avoir les mêmes formes que vous. Ainsi, je souhaitais savoir si vous pouviez m’aider à lui choisir une robe, un conseil féminin est toujours précieux… Ainsi, si vous voulez bien m’accompagner dans quelques magasins pour que nous puissions choisir ensemble…
Comme je le devinais, la zone réservée aux dames est à la vue de tous. Enfin, à ma vue puisque le sous ol est désert, Elle est face à ce miroir en train de regarder cette minuscule tache (existe-t-elle d’ailleurs ? là n’est certainement pas le débat).
Un brin cavalier, je m’avance en lui précisant :
Je m’inquiétais ma chère, j’avais peur que vous ne soyez en difficulté, c’est ainsi que je souhaite vous proposer mes services de gentleman.
Ne lui laissant pas le temps de la réponse, je m’approchais d’elle par l’arriere entourant mes bras d’elle, en lui disant, voyons comme je puis vous aider. Je poser mon doigt sur la tache, pour constater les (soi disant) dégat… je mouillais un morceau de mon mouchoir pour essayer de l’aider, chaque tentative me permettait d’effleurer ses seins qui semblait apprécier mon aide. Ils pointait au travers du chemisier. N’étant pas en reste, je m’approchais de plus en plus derriere elle, réitérant l’excitant épisode du wagon de métro.
Au bout de quelques instants, elle se retourna, impétueuse, à quelques millimétres de moi, elle pouvait s’enivrer de mon parfum, et constater à proximité un désir qui ne cessait d’augmenter.
Coquine, elle me dit :
« Je vous remercie monsieur, vous m’avez sauvez, que puis je faire pour vous, je suis à votre disposition… »
Je lui proposais de remonter en salle, en public, et lorsqu’elle pris l’escalier, je profitais avec allégresse de la vision de sa croupe devant moi, qui se déhanchait presque offerte, comme un appel …
Elle pris place, et je la rejoignais, je lui demandais alors :
« voilà : Je dois acheter une robe à une amie, qui a la chance d’avoir les mêmes formes que vous. Ainsi, je souhaitais savoir si vous pouviez m’aider à lui choisir une robe, un conseil féminin est toujours précieux… Ainsi, si vous voulez bien m’accompagner dans quelques magasins pour que nous puissions choisir ensemble…