- 29 août 2023, 22:27
#2741563
SenXualine était arrivée au club avec la ferme résolution de réaliser un Gang Bang, la dernière sortie dans ce club s'étant limitée à un simple trio.
Après quelques minutes, elle s'était décidée à changer de tenue, ce qui annonça à la fois une volonté de se mettre plus à l'aise pour danser mais aussi sa décision d'aguicher plus efficacement encore.
Elle avait volontairement longé le bar, faisant mine d'ignorer les regards qui la poursuivaient jusqu'à la piste.
Elle avait commencé à danser avec sa robe rouge moulante, à la ligne cintrée à la taille et aux seins, qu'aucune culotte ni soutien-gorge ne venait perturber.
Dans les lumières psychédéliques, elle s'était déhanchée lascivement, parfois cambrée, ondulant le bassin, oscillant les épaules, le tout comme un piège à regard pour ces yeux captifs qui ne pouvaient plus échapper à l'envie.
Elle opérait parfois un demi-tour en direction du bar, en redressant le buste, et en agitant ses seins alliciants. Elle en entretenait le balancement comme une invitation à un pelotage ardent, ferme et viril.
Alors que je l'accompagnais sur la piste de danse en ménageant suffisamment d’espace pour faciliter les audaces de ces hommes envieux, je repérai un homme, la trentaine, un peu timide, au visage doux et à la silhouette sculptée, assis au bord de la piste, n’osant trop appuyer son regard sur cet objet de désir.
- « Il te désire, ça se voit mais il n'osera pas faire le premier pas", lui soufflai-je à l'oreille. »
Elle se mit alors à le provoquer plus ardemment, dansant dans sa direction durant de longues minutes, pour qu'enfin des sourires s'esquissent, pour que ses yeux au bleu affuté le transperce du regard.
Se résignant à ce qu'il fût trop timide pour faire le premier pas, elle s'avança et se planta devant lui, plongeant ses yeux profondément dans les siens, avant de le pénétrer d'un cataglottisme impétueux, les langues enlacées, les lèvres goulument apposées.
Ils restèrent de longues minutes à ce premier contact des corps, ces pelotages de découverte, lui, explorant ses seins, avisant ses fesses et s'aventurant parfois dans ses sillons, elle, massant la protubérance de son boxer, pressant sa hampe entre ses doigts doux, avec une prise toutefois suffisamment ferme et résolue pour le faire bander.
Alors que la prise de contact battait son train, j'aperçus derrière leur table, un homme jeune, black aux traits fins, grand et bien bâti, comme elle les aime.
Je m’approchai d’elle, l'embrassant dans le cou.
"Un black te regarde avec insistance et il me semble qu'il ne serait pas contre de se joindre à vos jeux. Veux-tu que je lui indique qu'il est le bienvenu ?"
Elle hocha la tête en signe d'approbation. Alors que la musique hypnotisait et accompagnait ces deux corps enchevêtrés, je fis quelques pas et indiquai à ce somptueux black qu'il pouvait se joindre s'il en sentait le désir. Il ne put réfréner un sourire de satisfaction doublé d'un regard déjà captif. Il rapprocha son tabouret sans oser interrompre trop vite cette danse des corps qui s'opérait devant lui.
Voyant qu'il ne se joindrait pas facilement, elle entreprit de lui faciliter la tâche. Elle se décala d'un pas et alors que la musique battait un rythme endiablé, elle tendit ses mains vers lui et l'invita à les rejoindre.
Il l'enlaça partiellement, laissant un côté à celui qui l'avait précédé de quelques minutes dans ses jeux d'embrassades et il lui roula une pelle, lui aussi, comme pour en prendre sa quote-part.
Il s'ensuivit un trio de caresses sur le bord de la piste, moi volontairement à distance pour mieux les observer. Je sentis vite mon sexe s'ériger dans mon boxer et une excitation irrépressible s'emparer de moi.
C'est alors que, surgi de la piste de danse, un troisième homme, plus petit et menu que les deux autres, s'approcha avec l'audace d'un habitué. Il avait une peau blanche, un corps mince et il semblait compenser sa petite taille par sa pugnacité.
Il s'approcha du trio ainsi formé et se positionna derrière Severine, les mains déjà sur ses seins, la bouche furetant dans son cou.
Les jeux d'exploration reprirent de plus belle, chacun défendant jalousement son pré carré ou négociant avec son voisin des échanges de positions.
Quelques minutes plus tard, j’étais éberlué, à contempler une scène digne d’un porno chic, tout en prenant garde à ce que chacun respectât quelques règles dans cette alcôve jouxtant la piste de danse. Je n’avais pas trois hommes à gérer mais quatre. En effet j’avais à peine remarqué ce cinquantenaire, Thomas, que nous connaissions bien, nous accompagnant depuis le bar où il avait pris place. Il était coutumier du club et aidait la patronne à accueillir les clients en début de soirée. Sa bonhommie, sa façon de choyer Severine de caresses verbales, la félicitant sur son corps entretenu, sur son sourire et sur son charisme, avaient fini par attiser l’intérêt qu’elle lui portait. Sa sympathie avait compensé l’érosion du temps qui avait usé son physique d’homme mûr. Il avait repéré ce groupe, agglutiné sur la piste, autour de celle qu’il reluquait depuis quelques temps déjà, s’égailler en ordre dispersé vers l’alcôve toute proche. Comme il avait pour habitude de veiller au bien être des clients, il les avait suivis, emportant quelques préservatifs disposés dans une corbeille en osier sur le bar, et il avait commencé à monter la garde et à gérer les voyeurs trop pressants, trop empressés de subtiliser quelques caresses sans y avoir été invités. Il s’assurait que tout se passât bien sur ce grand matelas qui emplissait la pièce aux lumières tamisées. Son visage trahissait une envie de se joindre au groupe qui se reconstituait autour d’une femme qu’il ne manquait pas d’effleurer ou de gratifier d’une tape amicale, chaque fois qu’il la croisait sur la piste de danse. Elle avait relevé la tête, repéré au bord du lit, les yeux de cet homme qui ne pouvaient plus réprimer le désir et dans sa volonté libertine de donner du plaisir, elle l’avait invité à la rejoindre.
Un coup de reins de plus dans cette alcôve devenue chaude, une décharge parcourut mon bas-ventre, je jouis en elle, dans sa chatte, en levrette, heureux de me réserver ce privilège de la pénétrer sans capote, à la différence des quatre autres qui m’avaient précédé. Combien de temps s’étaient écoulé depuis que les premières mains s’étaient posées sur son corps dénudé, que les premiers doigts avaient pénétré ses nymphes, exploré son vagin trempé de cyprine ? Je ne pouvais le dire. Une heure sans doute à en juger par la touffeur de la pièce.
Durant ce temps, elle avait sucé tour à tour chacune de ces queues, le plus timide en premier qui au comble de l’excitation n’avait pu se retenir de s’épancher dans sa bouche en quelques minutes à peine. Elle l’avait senti gêné et elle n’avait pas économisé ses propos rassurants pour le mettre à l’aise.
- « Je suis contente que tu aies pris du plaisir, c’est le plus important, ne t’inquiète pas ! » lui avait-elle murmuré.
Elle n’avait pas non plus manqué de l’inclure dans tous les jeux qui s’ensuivirent, le gratifiant de temps à autre, de quelques instants de fellation, pendant qu’elle se faisait lécher, peloter ou un peu plus tard, que des bites durcies par un désir animal, entraient en elle, coiffées d’un préservatif. Elle avait adoré être prise comme un objet de désir puis de plaisir, à tour de rôle, par ces partenaires qui tournoyaient autour d’elle pour tantôt s’insérer dans sa bouche, tantôt dans sa chatte, un plus audacieux ayant tenté une incursion dans son cul, réprimandée ce jour-là.
C’est elle qui décidait, qui contrôlait et qui offrait ce qu’elle voulait, à qui elle voulait et quand elle voulait. Elle avait à cœur de rester en contrôle, maîtresse de la situation loin d’un rôle de soumise que d’aucun aurait pu lui prêter. Elle avait d’ailleurs annoncé la couleur quand au tout début des ébats, elle avait fait durcir sous sa langue son partenaire black puis, empoignant fermement sa mentule, elle s’était empalée dessus en amazone, les pieds en appui sur le matelas, priapisant à sa guise ce grand gaillard jusqu’au bord de l’orgasme. Au moment fatidique, il avait voulu éjaculer sur sa bouche, ce qu’elle avait accepté. Je l’avais observée, ébahi, la bouche ouverte, pendant que son partenaire finissait de se branler pour jouir dans plusieurs jets abondants sur sa bouche, sa joue et même son front.
J’avais également été ému quand Thomas s’était positionné derrière elle, en levrette, après que ses trois complices avaient déjà joui. Tel un cadeau offert pour sa bienveillance habituelle, elle s’était cambrée pour l’inviter à prendre place dans son vagin. J’avais voulu profiter du spectacle de cette pénétration quasi amicale et j’avais contribué à lui maintenir les fesses écartées de façon que sa vulve béante n’en soit que plus accessible, ouverte et offerte. Elle l’avait ainsi gratifié d’une vue sur son anus et je me plaisais à imaginer son envie frustrée de s’introduire de ce côté. Ce soir-là, elle s’était économisée et elle m’offrirait ce privilège le lendemain. Après plusieurs minutes de chevauchement, Thomas prit son plaisir dans un cri étouffé.
J’en profitai pour prendre alors fièrement mon tour, d’abord en missionnaire, content de retrouver ma petite femme, de l’embrasser sur la bouche alors même que je pensais que du sperme s’y était par deux fois déversé, je lui dis toute mon excitation « tu es ma petite salope !» mais aussi tout mon amour « tu es ma petite femme !».
Dans la pénombre et le calme retrouvé de cette alcôve, je l’avais simplement prise dans mes bras, pour la contempler. Simplement !