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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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Nous sommes mariés depuis presque vingt ans ,la quarantaine, mon épouse Val est superbe, mince, cheveux noir au carré avec des seins menus et arrogants au pointes sensibles. Une tenue chic et des dessous affriolant lorsque nous sortons ,il n'est pas rare que Val se couvre de dessous ouverts très sexe pour mon plus grand bonheurs...
Elle apporte un soins à son corps et tous spécialement à son sexe au douce lèvres roses ,épilée entièrement, c'est une femme liane qui s'enroule autour d'un homme comme la plante autour d'un arbre ,la sève oui mais sans végétation.
Gémeaux de signe ,tantôt timide tantôt bravant les interdits, pleine de fantasmes mais un peu honte et inavoués
Un jour nous sommes sortie au cinéma voir un film d'action, elle ne portait qu'une petite robe de coton légère,mini string et soutien-gorge de chez Lola Luna. Nous nous sommes installés en haut ,la salle n'était occupée que de quelques personnes ou couples mais vraiment parsemés ,le film n'était pas commencé et les lumières étaient allumées. Nous discutions de chose et d'autres en nous tenant la main. Puis un homme seul rentra dans la salle ,seul ,auscultant le choix de sa place, un homme très classe pensais-je ,la trentaine ,grand et mince , brun à la barbe de trois jour, il était habillé très élégamment ,le genre de gars qui à du savoir vivre...Son regard porta sur nous et c'est à cette instant que la lumière s'atténua et que l'écran s'illumina, nous nous rapprochâmes de l'un et de l’autre Val ayant remonté ses jambes sur le siège.
Quelques minutes passèrent et j' aperçue une ombre venant de la droite du coté de mon épouse ,cette ombre s'assoyant à la droite même de ma douce,soufflé par cette certaine audace imprévu alors qu' un très grand nombres de sièges étaient libres,je m'interrogeais comme mon épouse d'ailleurs à l'échange du regard que nous avons eu à cette instant et puis dans un éclair de lumière je reconnue l'homme très classe rentré à la levée de rideau...
Je retournais doucement mais surement à la fiction qui se déroulait devant nos yeux abandonnant l’évènement qui nous avaient un peu surpris. Un bon quart d'heure passa et tous d'un coups Val eu un sursaut , je penchais la tête dans sa direction et lui demanda si cela allait ...elle me regardait droit dans les yeux sans me répondre ,à sa respiration légèrement saccadée, la bouche légèrement ouverte ,essayant de me marmonner quelque chose mais sans grandes réussites ,des sons me parvenais d'elle mais rien de compréhensible, ces yeux grands ouverts exprimaient d'une grande activité puis tous d'un coup ses paupières papillonnait légèrement et s'ouvrir de nouveau accompagné d'un petit râle étouffé,poussant un léger ha à la fin ,puis sa tête pencha vers mon oreille et me dit péniblement :pardon...je t'aimmmmeeeeuuu.....
Ne comprenant pas la situation de suite mais un doute survint dans ma tête et me pencha légèrement vers l'homme assit au coté de Val et d' un coups d’œil furtif je distingua dans la lueurs de la projection qu'une main du type était glissé sous la robe de mon épouse entre les jambes de celle-ci ,s'activant doucement au mouvement de la robe à lui pétrir les cuisses et je compris au sons qu'émettait la bouche de ma femme qu'il venait de lui pénétrer sa chatte avec ses doigts. Val me posa la main sur ma joue m’amenant à elle ,m'embrassa tendrement au début puis sa langue vint franchir la barrière de mes dents se mélangeant avec de plus en plus de force à la mienne,mélangeant nos salives ,puis dans un nouveau gémissement Val roula sa tête sur mon épaule et je pût apercevoir l'homme qui du coups avait pensé libre accès et avait retroussé sa robe jusqu'au nombril pour mieux l'explorer et apprécia de la trouver avec ce string ouvert laissant la voie libre à ce con gonflé ,à ce bouton sortit de son capuchon, à cette fente trempée de désir,ma Val râlait et se trémoussait doucement mais avait abandonnée toutes résistances à cette assaut ,ces jambes étaient désormais complétements ouvertes,poussant même son bassin vers l'intrus se tordant au prémisse du plaisir. Je bandais de façon incroyable. J 'aperçu la main libre du type libérant son sexe bandé d'une taille pas très longue mais assez grosse de circonférence avec un gland circoncis ,plus gros que la base presque impressionnant,est il me semblât humide à sa brillance,. L'homme attrapa avec douceur la main de mon épouse et guida celle-ci jusqu’à son membre ,les doigts de mon épouse s’enroulèrent tout d' abord avec hésitation puis s'enhardit doucement comme à la conquête d'une terre nouvelle,en premier lieu la base était imberbe avec de grosses testicules qu'elle serra dans ces mains les malaxant de l'une à l'autre puis sa main remonta suivant la légère courbe découvrant chaque millimètre de ce sexe ,Val commença à le masturber m'embrassant une nouvelle fois avec fougue, tendrement je l’interrompis pour lui faire changer de position ,elle se mit parfaitement assise les jambes écartées et posées sur les accoudoirs après avoir ôtée son string ,Val me regardait dans les yeux comme pour me dire merci avec amour ,elle repris ensuite le membre du type dans le main ,le regardant de sa splendeur, je sentis vraiment à cette instant le désir pour cette queue ,elle la voulait!
Lui avait repris possession de la vulve de ma femme que je perçu trempée de nectar ,et confirmation fût quand des bruits mouillés s'en échappa sous le mouvement des doigts de l' étranger,son vagin s'écartant inexorablement de plus en plus.... La main libre de mon épouse libéra ma queue qui me faisait mal tellement elle était bandé ,je coulait littéralement ,excitation trop forte ,mon amour me libérant quelque peu de cette pression par ces va et vient ...Tous à coup l'homme se penche et murmure quelque chose à Val, du coup elle nous repousse tendrement,se rajustant ,me regardant avec ce jolie regard malicieux que je connais ci bien en me disant assez fort pour qu'il l'entende aussi ,nous sommes invités à aller chez Marc prendre un verre...J'ai envie amour...tellement envie...Je vous veux tous les deux.
C’est alors que je la sens. Je la sens comme jamais je n’ai senti et n’en sentirai aucune autre. Elle s’est décidée à prendre les choses en main.Nos yeux s’accrochent dans la pénombre de la salle, s’interrogent. Nous y lisons le même désir, la même attente et sans trop réfléchir malgré le risque de rupture du charme des lieux, je me leva entrainant ma femme et suivit de cette homme qui ce nommait Marc. Une fois sortis du cinéma nous le suivîmes main dans la main ,sans paroles mais des regards appuyés de malice de complicités ,Marc appela un taxi apparue au loin et nous montâmes à bord de cette grosse berline Allemande,les trois à l'arrière Val au centre entre nous deux ,je aperçu à ce moment là que Val ne pouvait dissimuler grand chose de ces cuisses avec cette robe et sans culotte,elle était presque exposé. Pendant le trajet Marc posa sa main sur le haut de la cuisse de mon épouse, elle se pencha immédiatement vers moi pour m'embrasser langoureusement, sans plus attendre je m' empara de ma main droite d'un de ces seins en forme de poire lui titillant au travers de sa fine robe avec douceur ce bout particulièrement saillant ;J'observais avec intermittence tantôt le chauffeur de la limousine qui avait des regards furtif sur nous à l'aide des rétroviseurs, tantôt Marc qui ne ce freinait plus pour titiller de nouveau son clitoris ...Nous nous sommes même pas aperçu que le véhicule était à l’arrêt, arrivé à destination je supposa car le chauffeur était retourné ,sourire au lèvres,les yeux braqués entre les cuisses de ma femme qui sans s'en rendre compte les avait écarté au maximum pour aider Marc à son inquisition ... Sa chatte ainsi exposée ,totalement ouverte ,laissant apparaître au creux du sillon cette trainée laiteuse qui en disait long. Nous quittâmes le taxi laissant le chauffeur à ses rêves ,Marc nous fîmes rentrer dans une allée d'allure bourgeoise mais ancien ,il appela l’ascenseur qui était du style encore plus ancien me sembla t-il, aussi bien par la taille que par la ferronnerie ,une fois à l’intérieure le protocole long de l'ascenseur engagé ,je me retrouva contre la croupe de mon épouse qui elle même se retrouva appuyée poitrine contre poitrine contre celle de Marc, je me remis à exprimer mon désir par la dureté ,sans équivoque ma femme le sentie contre ses fesse et les remua de haut en bas frottant au passage sa poitrine contre celle de Marc, celui-ci commença à caresser ses épaule et délicatement de ses lèvre embrassa son cou ,en remontant ,délicatement à l'orée de la commissure de ses lèvres il pris possession des lèvres ,puis de la langue de ma douce qui succombais sans relâche au charme qu'opérait sur elle ,l’individu,il me sembla qu’elle perdit pied. Son trouble étant devenue si palpable qu’il décuplais le miens et le pire pour moi était de comprendre pourquoi j'aimais, j’appréciais au plus haut point toute cette situation...
Nous découvrîmes un petit appartement chaleureux et Marc nous invitât à nous installer dans un canapé confortable ,le style de canapé ou nous avons du mal à nous relever tant le il était molletonné et il nous servit à Val un Martini blanc avec une tranche de citron et à moi un Whisky sans glace ,il prit un verre de vin et s’installât dans le gros fauteuil qui nous faisait face,nous parlâmes de choses et d'autre et l'alcool aidant surtout pour Val ,la discutions se dirigeât assez vite sur le sexe ,les attentes de chacun, les tabous de l'autre, Val je suppose sans se rendre compte ,s'ouvrant à la vue de Marc qui développa une bosse sur son jean ,elle le remarqua et eu du mal à quitter la chose des yeux revenant sans cesse à cette endroit ,à ce moment là elle me pris la main et me la guida entre ces cuisses ,ce que je découvris ,je ne l'avais jamais sentis avant ce jour ,sa moule était gonflé de désir ,son bourgeon tendu comme une mini bite, ses lèvres totalement ouverte à vouloir aspirer tous ce qui pouvais passer à proximités, et une quantité incroyable de cyprine ,son jus coulait au dehors débordant avec rafale ,inondant jusqu’au ces fesses,même sa robe n'y échappa pas...
Je la fit se lever et d'un regard vers Marc pour lui faire comprendre de nous rejoindre ,ensemble nous finissons délicatement de la déshabiller entrecoupé de caresses ,je retrouve la vision de ses seins tendus que j'avais aperçu au cinéma, entourée de ces quatre mains qui n'ont plus de barrières et qui partent et reviennent dans toutes les parties du corps de mon épouse ,allant dans tous les recoins possible accompagné de savants doigtages à la rencontre de sa liqueur ,des spasmes traversent son corps ,je le sent...
A ce moment là Val entreprend de nous déshabiller et mutuellement nous l'aidons ,je suis le premier nu et Marc ne met pas longtemps à me rejoindre ,ma douce s'agenouilla à cette instant regardant de part et d'autre nos deux sexes tendus vers elle, observant un peu plus celui de Marc qui est une nouveauté ,puis nous prend par les testicules ,nous massant ,nous caressant, je suis le premier qui est droit à un coup de langue sur le gland ce qui à pour but de m'essuyer du nectar qui coule de moi ,tournant la tête vers la queue de Marc elle n'agit pas de la même ,mais part de la base et remontant jusqu'à la naissance du gland qui n'a pas d'autre effet de faire sursauter celui-ci et de grossir le gland encore plus ,elle s'amuse à ce jeu tous en me caressant,me masturbant de son autre main ,Marc à les yeux fermés ,à voir les gouttelettes sortir et couler le long de sa queue ,il apprécie à sa juste valeur la montée du désir que lui prodigue ma douce, et d'un coup sans prévenir elle le happe frénétiquement sous le cris de surprise ou de sa sensibilité accru, elle le pompe ,le suçote ,le tète ,le ressortant de ça bouche pour descendre sur ses testicules qui seront léchées ,mordillées, puis remontant la langue sortie dardée contre le pieu tendu de cet l'homme, elle semblait sucer un bonbon longtemps désiré ,je reste un peu spectateur mais par sur ma faim tant le plaisir de Val est fort et il l'est c'est sur, de plus le spectacle est terriblement excitant ,je me retiens ne de pas abandonner le feu qui est en moi...
Val décide la fin de cette interlude ,se lève sans nous lâcher nos queues ,nous tirant presque pour nous diriger vers le sofa ,c'est elle qui nous indique les places de chacun ,elle s'allonge sur le dos ,pousse Marc vers le bas et moi vers le haut, nous comprenons de suite ses désirs ,Marc attrape au passage un préservatif et l'enfile .C’est une folie douce qui s’est emparée de nous pensais-je alors qu’il commença à l'enfourcher ;je suis déjà à porter de la bouche de mon épouse que déjà sa langue vient rejoindre mon sexe ,un autre sexe se présente déjà à l'entrée de la grotte de mon amour ,il se frotte à elle ,écartant au passage ses lèvres gonflées et étalant la mouille qui c'est accumulé avec quantité ,sa queue est alors enduite de ce nectar que j'apprécie tant, il pose la tête et rentre doucement ,je devine l'endroit bouillonnant ,la sensation doit être voluptueuse, divine, les parois de son vagin doive le serrer comme un gant...Ma Miss est à l’arrêt ,elle délecte ce moment avec ma queue ou du moins mon gland à l’intérieure de sa bouche,
elle se délecte de son épaisseur, elle jouit de sa force, de sa rigidité, de sa désir pour elle. Son sexe agit comme une bouche avide, cherchant à le boire, à le vider jusqu’à la dernière goutte. Elle se renverse avec force contre lui tandis que les contractions s’intensifient, se précisent, se multiplient,elle ouvre sa bouche et un long râle survint exprimant un orgasme dû à la pénétration profonde de la queue de Marc,il est au fond, il ne bouge plus ,regardant comme moi et avec plaisir immense la réaction extasique de mon épouse, les yeux mie clos ,elle jouit ,d'une force violente ,Marc active alors ces va et vient déclenchant de long petit cris de ma douce qui s'active en essayant de pas mordre ma queue m’empoignant avec fermeté et douceur elle me fait aller et venir, variant pression et vitesse. Mon corps se tord involontairement sous la caresse, mon plaisir a maintenant pris racine loin, très loin en moi. Le bruit montant de ventouse mouillée que Marc produit dans son vagin ruisselant témoigne sans vergogne de son plaisir , Marc ne s’arrête pas la ,il prend en bouche et virevoltant avec sa langue les tétons roses turgescents de ma douce puis remonte et prend possession de sa bouche que ma femme qui est libérée temporairement pour lui en continuant de me titiller avec volupté le gland de sa main ,au départ les baisers sont chastes et sensuelles puis très vite les langues sont passionnelles sortant de leur fourreaux ,les lèvres ne ce touchant presque plus ,les salives se mélangeant avec fougues ne nombreuses jouissances et cris de mon épouses surviennent encore ,la queue de Marc est bien emprisonnée dans ce trou gluant de douceur remplit de soubresauts par vagues incessantes et cinglantes,elle se met à nous crier de la prendre fort, de la baiser et il ne s’agit pas d’un ordre ,mais d une nécessité. Marc la tiens fermement par les hanches et désormais il la baise comme la femelle déchaînée qu’elle est, ma queue dans sa bouche je n'en peut plus,il s’enfonce sauvagement en elle ,il ne pourrais la pénétrer plus profond, il manque de la soulever à chaque coup de boutoir. Une plainte sourde monte en moi, plainte que j’ai beaucoup de peine à réprimer. Le dénouement du film approche,les cris se font stridents,les souffles sont courts, elle se noie dans ce déluge sensoriel, sentant l’orgasme arriver pour une multitude de fois mais se retient du mieux qu’elle peut car elle ne veut pas jouir toute seule. Il reste enfoncé,tous comme moi et déchargeons en elle ,vidant notre sang blanc en à-coups sauvages, elle sent l’écume envahir sa bouche ,sa gorge et son bas ventre et se tend comme un arc avant de jouir à son tour en secousses spasmodiques ...
Nos souffles calmés, nos corps apaisés, nous nous sommes rhabillés, réajustés, avant de filer par la sortie allez savoir pourquoi mais ce jour-là, nous ne voulions plus personne entre le soleil et nous.
#913659
Nous avons depuis ce jour au cinéma, beaucoup fantasmé sur ce partage de ma tendre et douce épouse…
Samedi soir, nous voilà en route pour un club de Lorraine. Juste le temps d’ôter le manteau de ma douce et le mien au vestiaire, et nous pénétrons dans le bar qui se prolonge par la piste de danse. Plusieurs couples se trouvent déjà là. Quelques regards et sourires échangés manifestent de l’intérêt suscité auprès de certains. Nous commandons un cocktail et un couple de notre âge assis à côté de nous sur des chaises hautes entame la conversation, ils sont accompagné, semblent t’ils d’un amis à l’allure athlétique, assez grand, sa peau couleur des Antilles. Elle, est rousse, est vêtue d’une robe courte noire légèrement transparente qui dévoile largement la lisière de ses bas, ses formes prononcées, son dos est assez largement dénudé, lui est plus jeune mais les cheveux grisonnants, les yeux bleus, style cadre supérieure. Quelques banalités échangées entre deux gorgées d’alcool et allons nous asseoir sur un des canapés installés de part et d’autre de la piste de danse. Mon épouse entre lui et moi, elle juste à côté de son mari et de leur ami. La conversation prend un ton badin et entre deux fous rires, il pose volontiers, comme par inadvertance, sa main sur la jambe de Val. Penché en avant pour mieux voir nos amis d’un soir, je pose aussi ma main sur sa cuisse, à la lisière de la dentelle de son bas. Sa robe est tellement courte, elle remonte pratiquement, dévoilant la dentelle de son bas, les attaches de son porte-jarretelle, le string noir fendu de chez Lola et qui peine à cacher son intimité.
Sa femme qui s’est absentée un instant pour se refaire un peu le maquillage revient et s’assoit auprès de moi, serrée qu’elle est au bout du canapé. Peut-être aussi, coquine, pour venir se faire câliner par un autre homme que son mari.
J’en profite naturellement pour poser la main sur sa cuisse laissée nue par une robe en satin bien courte. Nous nous levons pour aller danser sur un des rythmes proposés par le DJ et échangeons plusieurs fois nos cavalières. Elle a vraiment le dos très doux à caresser, peau que je parcours longuement pendant la durée d’une chanson.
La chaleur aidant, nous allons faire une pause au bar avec une coupe de champagne. Val appuyé de dos contre moi penche sa tête en arrière pour me délivrer discrètement son attirance physique de cet homme, je lui réponds positivement mon idée sur le couple. Tous en échangeant avec ma douce, je parcours sa poitrine aux tétons dardés de ma main, ses flancs et revenant sur son ventre, je croise la main de l’homme qui esquisse un mouvement de recul et m’adresse un regard interrogatif. Mon sourire le rassurant, il poursuivit ses caresses, sa main s’immisçant entre les cuisses de ma douce. Val se calant sur les talons, après avoir ouvert un peu plus les jambes et la tête en arrière, je l’imaginais déjà bien humide, quand à moi, mon sexe est redressé ,déjà à l’étroit.
Quelques caresses plus tard, nous retournons sur la piste de danse et nos deux coquines s’enroulent autour de la barre, dansant pour notre plus grand plaisir, un brin provocant, elles jouent, puis rapprochent leurs lèvres, d’un baisé tendre et langoureux vient de naitre de la douceur, de la passion, leurs bouches s’ouvrent et leurs langues se rencontrent, mélangeant leurs salives qu’elles savourent avec délectation. Il se place derrière mon épouse, le courage nos femmes qui descendent sur leurs talons découvrant leurs trésors que peine à cacher les strings minimalistes qu’elles portent l’une et l’autre. Val en se relevant, recule tout en maintenant la barre et vient, de ses fesses tendues, se frotter sur le sexe de l’homme. Il en profite pour lui caresser la poitrine et glisser ses mains vers le sexe à peine couvert.
De mon côté, je me colle à sa conjointe qui se retourne vers moi, et nos lèvres se soudent tandis que je parcours son dos et le haut de ses fesses. Leur ami vient nous rejoindre, se colle au dos de ma femme et nous entamons une danse sensuelle. Val est intercalé sur le côté et promène ses doigts sur le flanc de notre prisonnière. La température montant assez sérieusement nous revenons vers le bar tout en discutant avec tous, chacun frôlant du plus qu’il peut nos deux belles.
Après un nouvel épisode sur la piste de danse, nous nous posons un instant sur un canapé, ma douce entre les deux hommes.
Sa robe maintenant remontée à la lisière de son string ne nous pose aucun problème d’accès à ses cuisses. Leurs mains vont et viennent plutôt de la lisière des bas vers le creux de l’aine où la peau est si douce. Par moment leurs doigts s’égarent vers la fente humide encore cachée bien que les lèvres gonflées débordent assez volontiers de chaque côté de l’ouverture centrée de son string. Bien appuyée sur le dossier, ma douce ouvre les jambes, et croise la droite sur la gauche, la cheville sur le genou. Bien ouverte, en appui sur les cuisses de nos hôtes, elle s’offre maintenant à la main qui parcourt de plus en plus le haut de cette jambe dorée.
N’y tenant plus, surpris de son audace, Val se soulève et ôte son string laissant apparaître sa fente rose, luisante de son excitation, lèvres épaisses traduisant son envie. Elle reprend la pause précédente exhibant sans gêne son intimité à nos voisins qui nous frôlent en évoluant sur la piste de danse. Ils continuent le partage de ses jambes, chacun évoluant sans jalousie vers l’intimité convoitée, une main se retirant volontiers pour laisser la place à sa concurrente, la vision de cette complicité étant d’un érotisme torride. J’ai pour ma part une érection continue, d’autant que mon épouse vient maintenant poser une main sur chacune de leurs braguettes, s’enquérant de la dureté des verges qui s’y cachent encore. Elle appuie sur leurs queues, caressant au travers de leurs pantalons, les sexes qui n’en peuvent plus d’attendre.
Si on continue comme ça je ne réponds plus de rien. Je subis le même traitement et il ne faut pas être grand clerc pour voir la satisfaction que nous ressentons tous sur nos visages, un peu, au travers des bosses qui disparaissent sous la main gourmande de ma compagne, et de celle de la femme sur moi. Ils partagent ensembles la douceur de la peau des cuisses à la lisère des bas et en alternance ils viennent caresser le bouton turgescent de ma femme. Leurs doigts se retrouvent à l’entrée du puits d’amour, se font des politesses et finalement par instant y entrent ensemble avant que les uns se retirent laissant libre champ à leurs concurrents. Ceux-là alors tournent, s’enfoncent et se retirent, caressent l’intérieur du vagin en hauteur vers le fameux point G, se retirent pour poliment laisser place à leurs complices. Le pincement de sa bouche traduit son plaisir et elle se penche vers eux et à ma grande surprise se laisse prendre la bouche par d’autre que moi, une première qui me procure un sentiment de jalousie alliée à de l’excitation… Val est décider, elle franchie toutes ces peurs et leurs réclament maintenant un autre lieu, pour plus de plaisir…
Nous nous levons tous les cinq et allons à la recherche d’une alcôve libre pour nous accueillir.
Nous nous installons sur un lit à l’étage, je caresse Val promenant mes lèvres dans son cou, allant de l’oreille que je souligne de ma langue jusque vers son épaule. Elle frissonne et sa main trouve ma queue trop serrée dans le pantalon. Je glisse vers ses jambes que je parcours en allant vers l’intérieur des cuisses pour me promener sur cette partie de peau si douce avant d’atteindre les lèvres humides de plaisir. Ma langue vient goûter le suc qui coule de ses lèvres que j’écarte pour aller titiller le bouton rose que je découvre en écartant le haut de la vulve. Le petit bouton rose pointe fièrement son nez, dégagé de son capuchon que je titille de mes doigts. Une contemplation de ce bonbon rose que je suce doucement alternant coups de langues et succion me régalant du goût de cette mouille abondante. Ma tendre épouse gémit maintenant et demande que je poursuive mes caresses, mais je me relève et désigne ma compagne à nos invités de me remplacer, je te livre à eux comme malgré moi, prenant conscience de mon geste par un petit pincement au cœur, je l’aime, tellement.
Ils parcourent des doigts l’entrée de sa grotte glissant légèrement à l’intérieur du vagin accueillant, s’ agenouillant à hauteur du visage de ma femme et lui caresse la poitrine, le cou et descend vers le ventre à la recherche de son intimité. L’épouse embrasse ma femme, par jeu de langues obscènes, où lui lèche le cou, sa poitrine, je ne vois plus très bien tandis que je laisse une main s’égarer sous sa la robe de cette rousse pulpeuse, où j’accède à une chatte aux lèvres charnues et lisse en partie, chaude et totalement nue, l’endroit est mouillé.
Ils se penche et relève la robe de Val qu’elle fait glisser sous les fesses que ma coquine soulève pour aider à l’effeuillage. Une fois nue, juste vêtue de ses bas et de son porte-jarretelle, elle se rallonge tandis qu’elle lui prend un sein en bouche laissant l’autre à son mari.
Niché entre ses jambes, le black de sa langue et de ses lèvres développées attaque l’intérieur de ses cuisses et viens boire sa mouille et sucer son clitoris maintenant complétement sorti de son capuchon. La trouvant assez prête à la recevoir, elle se relève et laisse la place à son homme qui prend possession de sa bouche et de sa langue puis des seins de ma chérie. Elle, maintenant nue et à cheval sur le visage de Val, se fait lécher la chatte et en échange, son mari mordille la pointe d’un sein l’autre restant pour l’instant prisonnier de deux doigts sur le téton.
Besoin de bites, Val cherche sa queue et essaie de défaire la ceinture et boutons pour accéder à sa verge tendue qu’elle convoite. Il l’aide bien évidemment et nous nous mettons tous nus à l’unissons comme le sont nos épouses respectives.
Val a maintenant pris leurs sexes en main, elles sont différentes de l’une de l’autre, une est bien blanche, très fine et recourbée comme un arc le phallus rosâtre, l’autre couleur pain d'épice est plus impressionnante par sa circonférence, droite et surmonté par un gland sur-gonflé ayant l’aspect d’un champignon, la queue d’un black je suppose …
Elle les masturbe lentement, serrant volontiers la base de leurs verges, enveloppant leurs glands dans la paume et redescendant sans relâcher la pression qu’elle exerce. Elle malaxe ces queues faisant venir sur chaque les gouttelettes du près-sperme à leur extrémités, elle descendant des ses doigts agiles vers leurs bases venant enserrer et caresser les bourses bien remplies qu’elle aspire manifestement à voir venir se nicher entre ses cuisses.
Ils lui glissent un doigt entre les lèvres, et sa promenade du clitoris vers le petit trou plissé se perd dans la grotte humide. Il entame un lent va-et-vient provoquant les gémissements de la belle subissant les assauts conjoints des trois.
Ils la retourne maintenant et la positionne à genoux les cuisses ouvertes, fesses bien dressées libérant son œillet plissé. La femme glisse son bassin sur le coté quémandant la bouche de Val.
Le mari reprend possession de la chatte de ma douce dans laquelle il introduit maintenant deux doigts, il la prépare, maintenant la cadence d’un va-et-vient lent et profond. Mon épouse est livrée, elle gémit de plus en plus d’autant que la langue de son amant part à la conquête de ses reins. Sa langue se promène dans le sillon allant du bas du dos jusqu’au périnée et remontant humidifie l’anus qu’elle pénètre maintenant comme une petite bite. L’autre passe sa main entre ses cuisses et vient caresser le bourgeon orphelin accentuant les gémissements de la belle. Les doigts de sa conjointe viennent le retrouver, elle prends entre deux doigts le clito qu’elle branle comme une petite bite, la pince et l’étire doucement avant de le caresser comme un objet tendre et fragile.
Les fesses se soulèvent encore, tendues vers l’arrière pour libérer cette douce rondelle plissée tandis que les doigts de l’homme pénètrent de plus en plus rapidement sa chatte luisante et engluée de sécrétion, ils sont en trio sur elle, la caressante, la pénétrante, son bassin levé et remuant cherchant un contacte invisible, suppliante de plus encore …
Le mari se relève, habille sa queue d’un préservatif et pose la tête de cette bite à l’entrée de son vagin ou se distingue sur le bas une accumulation de mouille. Il pose les mains sur les hanches et s’enfonce lentement jusqu’à venir en butée, le râle qui sort de ta gorge est comme une libération, les couilles contre les autres doigts qui ne cessent de caresser le clito de ma tendre. Sa femme, passant les mains sous la poitrine de Val, malaxe ses seins et pince les bouts dressés à chaque jouissance successive qu’elle reçoit de la langue de mon épouse. Je sais qu’elle adore cette sensation de presque douleur en phase de jouissance. Elle nous fait part de son plaisir par des gémissements plus audibles et ses propos qui se font presque vulgaires, réclament plus encore, la dévoilent un peu salope…
Le black fait le tour, et il présente son mat à l’entrer de la bouche de mon épouse, sans hésiter, sa langue sort de celle-ci lâchant son con, venant au contacte du gland, enroulant celui-ci, le bisouillant, puis de ses gestes involontaires des assauts dans sa moule, la propulse en avant, enfournant naturellement cette queue entre ses dents, faisant gonfler ses joues, les bourses lui frappant le menton.
L’autre la pilonne de plus en plus fort, claque les fesses du plat des mains, sort son gland en totalité et se renfonce brusquement dans cet antre chaud qui réclame une bite pour le remplir. Il la retourne, la couche sur le dos, relève ses jambes qu’elle maintient en se tenant les genoux, elle lui demande de la baiser, vite, de la prendre profond… Je n’avais pas vu ma chérie pareillement excitée. Elle pince les seins de l’homme, je sais qu’elle l’amène à la limite de la douleur, puis passant la main gauche sous sa cuisse, elle va caresser les grosses couilles qui battent sur ses fesses. Lui reste abuté bien au fond de ce con accueillant, se retire, revient lentement, sort totalement et revient brusquement au fond de cette chatte en chaleur.
Les gémissements gagnent en intensité et sa femme, sa main toujours glisser entre les deux corps pour masturber le clitoris turgescent de mon épouse, la portant à sa bouche pour gouter les sucs de ma douce, de son autre main, elle s’active sur ça chatte, les cuisses largement écartées, laissant apparaître sa fente et ses lèvres boursouflées, quelque poils soigneusement dessinés sur le dessus en forme de flèche, pointant sur son antre, la main s’active sans vergogne, elle se branle sans honte et je trouve le geste beau.
Je me trouve un peu à l’écart, devant ce tableau idyllique, jouant sur ma queue qui ne fait que de couler, humidifiant mes doigts…
Le vocabulaire de mon épouse est délirant ! En fait j’adore ça, mon excitation redouble encore, je la découvre avec toutes ces possibilités. Ma bite tendue me fait presque mal de désir…
Il la pénètre par grands élans dans ce vagin ouvert et y glisse sans soucis, franchement je l’ai rarement vu aussi excitée, sa mouille a humidifié et imprègne ses cuisses…
Les lèvres de ma femme engloutissent maintenant la queue de couleur avec un plaisir non feint. Elle alterne succion et petits coups de langue sur le frein pour la reprendre le plus profond possible, le gland est mousseux de plaisir, elle coule en elle inexorablement, j’ai le sentiment qu’elle le pompe de plaisir voulant absolument le vider de son sperme.
L’homme fiché en toi fait un signe à son ami, ils décident d’échanger leurs places. Le mari sort de toi d’un bruit humide d’une ventouse, le préservatif qui l’entoure et qu’il se débarrasse est couvert de ton jus, il se place à hauteur de ton visage et propose son gland violet et gonflé aux lèvres gourmandes de ma femme. Elle prend ses couilles et les caresses remontant vers la tige qu’elle porte à sa bouche alternant fellation et masturbation avant de la reprendre de nouveau goulûment, l’essuyant de son propre jus. Je devine que sa jouissance viendra vite… L’autre enfile sa protection de couleur rose ce qui me fait sourire.
Il se présente au devant de sa chatte ouverte, coulissant sur son sillon, son gland s’immisçant un peu plus en elle, l’ouvrant totalement, son trou béant attendant avec impatience cette nouvelle inquisition.
Val s’agite d’avant en arrière de plus en plus rapidement, il la penche un peu sur lui et écarte ses fesses entre lesquelles il insinue un doigt titillant sa rosette. Trempée de la mouille de sa chatte et sûrement aussi de son plaisir propre, sa rondelle s’ouvre sans résistance sous la phalange et il se glisse dans sa chatte l’empalant, sa grosse queue est enroulée par les lèvres de son sexe, comme enserré avec force. Val explose sous ce traitement d’une jouissance extrême.
L’autre épouse un peu délaissée, il faut le reconnaître, embrasse les seins de ma femme et se masturbe toujours, ses doigts dans sa fentine rougie couverte de ses sécrétions.
Val se redresse et mordant sa lèvre inférieure, je regarde monter ses orgasmes qu’elle crie sans retenue avant de se reprendre en bouche la queue avec laquelle elle s’applique.
Elle n’est pas assouvie, je sens parfaitement qu’elle en redemande. J’ai réussi à ne pas éjaculer mais franchement...
Elle recommence à onduler, son vagin distendu se contracte autour du gros gland. Elle recommence à bouger le bassin, lentement avec un petit mouvement rotatif inhabituel mais surement très agréable.
Lui, toujours à hauteur de son visage, lui t’ordonne de gober sa bite, il veut gicler sur toi, te traitant de bonne suceuse, elle lui demande de l’arroser, lui réclamant son jus. Elle le porte à ses lèvres avec gourmandise et reprend son alternance de caresses et de léchouilles. Soudain il se crispe, Val accélère ses caresses et un premier jet de foutre odorant vient s’écraser sur la poitrine de son amante, le deuxième s’écrase sur sa langue de sa bouche ouverte faisant délecter ses papilles du sperme qu’elle vient d’extraire. Le reste se répand sur sa poitrine et sur le ventre.
L’épisode a contribué à raviver encore plus son désir. Elle ondule de nouveau sur l’autre queue, il te prend par les hanches pour les faire se lever, le rose de son emballage est couvert de ta cyprine, coulant sur les bourses de l’homme révélant le contraste.
Le mari s’est allongé à côté de toi, il t’embrasse mélangeant son sperme entre vos langues. J’attire tendrement son épouse pour qu’elle l’enjambe et s’empale sur ma queue dressée et le jeu de ses lèvres sur ma queue tenaille mon sexe. Je la vois monter et descendre sur mon pal dressé, luisant de ses jouissance récente avec un mouvement d’avant en arrière propice à l’excitation de son clitoris. Mais je ne quitte pas des yeux ma femme, c’est un spectacle d’un érotisme étonnant, un pincement et une jouissance cérébrale extraordinaire. Voir sa femme s’empaler sur la queue d’un autre me provoque une vraie émotion et quel plaisir de la découvrir prendre son pied.
J’écarte de mes mains les globes joufflus de ma rousse pour que je puisse y replonger voluptueusement.
L’antillais est à la manœuvre, stoppe ses mouvements et attire ma femme sur lui, s’allongeant, poitrine contre poitrine, écrasant ses seins, guidant elle même de ses doigts la queue encore plus gonflée qu’avant, vers sa moule, son chibre recouvert se présente et encore lubrifié de sa mouille, à l’entrée de son trou béant. Il appuie doucement et lentement je vois son gland disparaître avec une telle facilité consternante vu l’engin, aspirée entre les reins de ma chérie. Je vois les yeux écarquillés de ma femme qui semble ne pas en revenir, la bouche ouverte, du mal à retrouver son souffle. Il pousse encore un peu et c’est toute sa bite qui est maintenant engloutie. Le mari de ma rousse se présente à elle, la queue de nouveau pleine de vigueur, elle l’avale sans ménagement et sans sourcilier, le dévorant de tout son long.
Pas très facile en vérité de s’agiter à deux en même temps mais ils trouvent un certain rythme qui semble vous convenir à tous trois, en tout cas si j’en crois les montée des l’orgasmes chez Val.
Elle sens monter le sperme du fin fond du ventre et s’abutant contre les fesses tendues, le black se vide littéralement dans le latex qui le recouvre non sans émettre un vrai grognement de contentement. Val a senti sa jouissance et se retire en faisant comprendre au mari de la reprendre, se qu’il fait rapidement, frottant son clito sur le pubis de son amant. Elle bascule la tête en arrière et crie son plaisir librement, oublieux de l’environnement et des spectateurs maintenant groupés autour de nous, certains pénètrent leur partenaire, d’autre homme ou femme se branles.
Le black toujours à ses cotés, Val attrape sa queue toujours dressée, le débarrasse de son préservatif gonflé de sperme et prend cette bite couverte de jus.
Nous sommes transportés par le plaisir comme jamais.
La rousse sur moi ne compte plus ses orgasmes, son jus coule sur mes couilles, mais me fais comprendre sa sensibilité de son vagin et se retire, me débarrassant de mon plastique, m’embouche au plus profond de sa gorge déclenchant en moi une onde électrique et l’afflux de mon sperme vers mon gland, j’éjacule en elle avec frénésie et violence, je sent la quantité se déversant mais aucune trace à la commissure de ses lèvres ne trahisse la présence, elle me boit les yeux dans les yeux ,jusqu'à la dernière goutte, nettoyant mon sexe dans les moindres replis. Je la remercie, déposant de multiples baiser sur ça bouche.
Son mari s’extrait du sexe de ma femme et gicle de longues trainées fouettent ses seins et son ventre, essuyant son phallus sur sont intimité, le black grogne et lui aussi délivre sa liqueur qui envahie sa bouche, la quantité étant et malgré elle, le liquide chaud s’échappe de la jointure de sa bouche inondant celle-ci de toute part, sa langue active essayant de récupérer le nectar devenant rare à chaque seconde. Le mari rejoint son pote, mon épouse les nettoie avec application, son regard posé sur le mien comme cherchant à découvrir si son homme est fier d’elle, je le lui délivre avec engouement.
Nous retrouvons tranquillement nos esprits collés l’un à l’autre. Dans un élan de tendresse, Val et la rousse caressent lentement les trois queues brillantes encore de salive mais qui ne trônent plus, tandis que nos mains retrouvent le chemin de leurs seins et de leurs sexes trempés et rougis. Nous ne sommes plus seuls d’ailleurs, au moins deux de nos voyeurs actifs promènent leurs mains sur leurs peaux. Elles n’y voient aucun inconvénient et caressent même les cuisses qui se trouve à leurs portées, cherchant et trouvant les sexes féminins et masculins de leurs admirateurs.
#928725
valphil a écrit :Nous sommes mariés depuis presque vingt ans ,la quarantaine, mon épouse Val est superbe, mince, cheveux noir au carré avec des seins menus et arrogants au pointes sensibles. Une tenue chic et des dessous affriolant lorsque nous sortons ,il n'est pas rare que Val se couvre de dessous ouverts très sexe pour mon plus grand bonheurs...
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Le dénouement du film approche,les cris se font stridents,les souffles sont courts, elle se noie dans ce déluge sensoriel, sentant l’orgasme arriver pour une multitude de fois mais se retient du mieux qu’elle peut car elle ne veut pas jouir toute seule. Il reste enfoncé,tous comme moi et déchargeons en elle ,vidant notre sang blanc en à-coups sauvages, elle sent l’écume envahir sa bouche ,sa gorge et son bas ventre et se tend comme un arc avant de jouir à son tour en secousses spasmodiques ...
Nos souffles calmés, nos corps apaisés, nous nous sommes rhabillés, réajustés, avant de filer par la sortie allez savoir pourquoi mais ce jour-là, nous ne voulions plus personne entre le soleil et nous.



Magnifique récit !!

Vos talents se conjuguent à merveille ... lol

Très belle et envoutante année 2012 !

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