- 29 sept. 2012, 22:39
#1206966
Seul je clairseme mes rêves dans un tourbillon solennel papillonnant au grès de mes pensées
La ferveur capricieuse de la nuit enchaine mon âme, encourageant mes nombreuses divagations
Avec insistance j’explore le monde nocturne par mes parades imaginaires nuancées d’un délit érotique
Exhibant les subtiles prouesses d’un esprit libre et polisson tamisé d’une légère pudeur utopique
Mais mon esprit vagabonde dans la sphère angélique d’une exposition fantasmagorique enrobée d’une lueur exotique
Et aux confins de mes songes ; j’invoque la présence de ma belle, vénusté intemporelle, que je déshabille de mes pensées mystiques
Jaillissant d’une magnificence tel un spectre dont la transparence de sa robe exhibe un voile épicurien
La douce apparition fantomatique ébauche un sensuel pas de danse d’un érotisme déluré et sulfureux
Agité par tant de sybaritisme, mon corps diffuse un spiritueux désir égaré par des mouvements saccadés
Et mes yeux trahissent des pulsions d’une pureté fallacieuse tandis qu’elle se courbe avec indécence sur une mélodie langoureuse
Ébahi par cette majestueuse déesse imaginaire, j’appâte mon indécence de soubresauts chaotiques traversant son corps épié par l’envie
Et de sa chair gonflée, frétille un désir inextricable tandis que je saisis subitement ma princesse dans un élan de fougue passionnée et enflammée
Laissant place à l’ivresse des sens dans un tourbillon charnel où seuls nos corps mènent la danse…
La ferveur capricieuse de la nuit enchaine mon âme, encourageant mes nombreuses divagations
Avec insistance j’explore le monde nocturne par mes parades imaginaires nuancées d’un délit érotique
Exhibant les subtiles prouesses d’un esprit libre et polisson tamisé d’une légère pudeur utopique
Mais mon esprit vagabonde dans la sphère angélique d’une exposition fantasmagorique enrobée d’une lueur exotique
Et aux confins de mes songes ; j’invoque la présence de ma belle, vénusté intemporelle, que je déshabille de mes pensées mystiques
Jaillissant d’une magnificence tel un spectre dont la transparence de sa robe exhibe un voile épicurien
La douce apparition fantomatique ébauche un sensuel pas de danse d’un érotisme déluré et sulfureux
Agité par tant de sybaritisme, mon corps diffuse un spiritueux désir égaré par des mouvements saccadés
Et mes yeux trahissent des pulsions d’une pureté fallacieuse tandis qu’elle se courbe avec indécence sur une mélodie langoureuse
Ébahi par cette majestueuse déesse imaginaire, j’appâte mon indécence de soubresauts chaotiques traversant son corps épié par l’envie
Et de sa chair gonflée, frétille un désir inextricable tandis que je saisis subitement ma princesse dans un élan de fougue passionnée et enflammée
Laissant place à l’ivresse des sens dans un tourbillon charnel où seuls nos corps mènent la danse…