- 04 août 2012, 11:31
#1168588
Pour plus de visibilité, je place ici aussi le recit de ma Theodora. Pour mieux la decouvrir
theodora-est-une-cochonne-t26928-310.html#p1140524
Petite visite chez H&M
Enfin le temps des vacances et notre retour sur Pais avait sonné. Nous avions convenu de profiter d’une journée d’escapade loin de la famille et des enfants pour assouvir un de mes nombreux fantasmes. Je sais que parfois je peux être très compliquée mais cette fois mon envie était des plus simple. Nous devions retrouver un de mes contacts pour un moment de très grande complicité ;)
Cela fait déjà 2 ans que nous le connaissons et que je fais régulièrement des cams avec lui ; Il est assez grand et d’une musculature fine et il a un regard qui sait être extrêmement érotique. Nous nous retrouvons donc pour un verre dans un bar qui vient d’ouvrir aux Halles. Nous discutons d’un peu tout, de son nouveau contacte qui aime être dominée, de nos projets de club et de nos futurs rencontres coquines. Une fois nos verres terminés je l’invite à aller faire quelques essayages un peu particuliers. Nous reprenons le RER direction Opéra. Vous me direz sans doute que je suis étrange, pourquoi donner rendez vous aux halles pour finir à Opéra ? Et bien la réponse est simple, pour profiter des escalators. Lors de notre rencontre en tête à tête à Pâques nous avions déjà profité d’un court moment, sa main sous ma jupe et ma main sous son manteau pour juger de sa taille et de l’effet que peut lui faire ma chatte trempée.
Cette fois, j’ai pu le caresser longuement. Ma main faisait de long va et vient à travers le tissu de son bermuda, je pouvais sentir sa queue gonflée un peu plus à chaque passage. Mon mari derrière moi me caressait le cul au travers de ma robe légère, je ne pouvais être en meilleure position (quoique … hihi). Nous voici donc dans la file pour les cabines, ces messieurs pantalon à la main (si j’ose dire) et moi entre eux. Sur ce coup là nous avons manqué de chance les cabines n’étaient pas l’une à cote de l’autre, Mr devra se contenter de mon récit tout comme vous ;)
J’entre donc dans la cabine. Il m’accueille d’un fougueux baiser, nos langues tournent s’affolent, ma main glisse le long de son torse et finit sa course sur sa braguette. D’un geste rapide et sur il l’ouvre et me propose de gouter à sa queue. Vous vous doutez bien de ma réponse. Je me penche, glisse ma main dans son boxer noir et sort une queue magnifique. Je me doutais déjà de ses proportions et maintenant que je l’avais en main je pouvais être sur que je n’avais pas été volé sur la marchandise ….
Toujours penchée en avant, ma main joue les yoyos. Elle monte fermement et redescend d’un geste lent. Je ne résiste pas à lécher cette hampe déjà bien ferme. Ma langue remonte de ses bourses vers son gland si appétissant. D’un léger mouvement de la tête, je l’enfonce entre mes lèvres. Ma langue coquine sait où titiller ce pauvre garçon. De sa pointe, j’appuie sur son frein. Je sens ses mains s’accrocher à mes cheveux. Il m’enfonce un peu plus loin. Plus sa queue pénètre ma gorge plus ma culotte se mouille et j’en oublie même où je suis. La cabine n’existe plus, je n’entends plus les aller venus de tout les clients autour de nous, plus rien n’existe que sa queue, ma langue et cette chaleur extrême entre mes cuisses. Il veut durer, me donner aussi du plaisir. Il me relève vers lui, m’embrasse. Sa langue prend de nouveau possession de ma bouche, il me mordille la lèvre. Je fonds, j’en veux plus. Sans me demander, il soulève prestement ma robe et passe sa main dans mon shorty.
Décidément, je pourrai croire qu’il me connait par cœur. Sa main gauche écarte mes lèvres gonflées, il me murmure qu’il adore me sentir dans cette état. Il pince entre son index et son majeur mon clitoris. Je me retiens de crier sous le plaisir. Tout mon corps se colle à lui, je me retiens à son épaule. C’est trop bon, je voudrais crier de plaisir. Il agite un peu plus sa main, il veut me faire jouir, je le sais. Il m’embrasse encore puis sa bouche redescend le long de mon cou. Il m’embrasse le haut de mon sein, me mordille le téton, je vais défaillir. A mon étreinte il sait que je suis au bord de la jouissance. Il accélère son rythme, appuies un peu plus. Tout disparait, il m’a vaincu.
Il a certes gagné une bataille mais je gagnerai la guerre.
Oui je venais d’être satisfaite mais en partie seulement, mon corps réclamait plus, encore plus. Je voulais encore sentir son excitation au fond de ma gorge, son gland sur ma langue. Je me suis donc repencher sur ce superbe objet de désir, toujours droit comme la justice et gonfle de plaisir. Ma main parcourt de nouveau sa queue mais laisse rapidement le champ libre à ma bouche. Je l’enfonce à chaque mouvement un peu plus, je veux l’avaler jusqu’à la garde. Après quelques mouvements c’est chose faite. Quel délice ! Je le pompe telle une assoiffée. Ses mains s’agrippent à ma tête, il me maintient. Ma main caresse ses couilles, je veux qu’il prenne un maximum de plaisir et je sais que j’arriverai à mes fins. Le plaisir monte en lui. Il me prévient de l’imminence de sa jouissance mais je l’enfonce encore plus dans ma bouche. Un flot long et chaud inonde mes amygdales, je déglutie une première fois, puis une seconde. Il me remplit la bouche, j’ai gagné la guerre ;)
Dans un dernier baiser, il se rhabille, je me rajuste et nous voilà de nouveaux des clients comme les autres. Toutefois je me demande si nous n’étions pas des clients comme les autres, on pourrait se demander, après tout aller savoir ce qu’il se passe dans les cabines chez H&M ;)
theodora-est-une-cochonne-t26928-310.html#p1140524
Petite visite chez H&M
Enfin le temps des vacances et notre retour sur Pais avait sonné. Nous avions convenu de profiter d’une journée d’escapade loin de la famille et des enfants pour assouvir un de mes nombreux fantasmes. Je sais que parfois je peux être très compliquée mais cette fois mon envie était des plus simple. Nous devions retrouver un de mes contacts pour un moment de très grande complicité ;)
Cela fait déjà 2 ans que nous le connaissons et que je fais régulièrement des cams avec lui ; Il est assez grand et d’une musculature fine et il a un regard qui sait être extrêmement érotique. Nous nous retrouvons donc pour un verre dans un bar qui vient d’ouvrir aux Halles. Nous discutons d’un peu tout, de son nouveau contacte qui aime être dominée, de nos projets de club et de nos futurs rencontres coquines. Une fois nos verres terminés je l’invite à aller faire quelques essayages un peu particuliers. Nous reprenons le RER direction Opéra. Vous me direz sans doute que je suis étrange, pourquoi donner rendez vous aux halles pour finir à Opéra ? Et bien la réponse est simple, pour profiter des escalators. Lors de notre rencontre en tête à tête à Pâques nous avions déjà profité d’un court moment, sa main sous ma jupe et ma main sous son manteau pour juger de sa taille et de l’effet que peut lui faire ma chatte trempée.
Cette fois, j’ai pu le caresser longuement. Ma main faisait de long va et vient à travers le tissu de son bermuda, je pouvais sentir sa queue gonflée un peu plus à chaque passage. Mon mari derrière moi me caressait le cul au travers de ma robe légère, je ne pouvais être en meilleure position (quoique … hihi). Nous voici donc dans la file pour les cabines, ces messieurs pantalon à la main (si j’ose dire) et moi entre eux. Sur ce coup là nous avons manqué de chance les cabines n’étaient pas l’une à cote de l’autre, Mr devra se contenter de mon récit tout comme vous ;)
J’entre donc dans la cabine. Il m’accueille d’un fougueux baiser, nos langues tournent s’affolent, ma main glisse le long de son torse et finit sa course sur sa braguette. D’un geste rapide et sur il l’ouvre et me propose de gouter à sa queue. Vous vous doutez bien de ma réponse. Je me penche, glisse ma main dans son boxer noir et sort une queue magnifique. Je me doutais déjà de ses proportions et maintenant que je l’avais en main je pouvais être sur que je n’avais pas été volé sur la marchandise ….
Toujours penchée en avant, ma main joue les yoyos. Elle monte fermement et redescend d’un geste lent. Je ne résiste pas à lécher cette hampe déjà bien ferme. Ma langue remonte de ses bourses vers son gland si appétissant. D’un léger mouvement de la tête, je l’enfonce entre mes lèvres. Ma langue coquine sait où titiller ce pauvre garçon. De sa pointe, j’appuie sur son frein. Je sens ses mains s’accrocher à mes cheveux. Il m’enfonce un peu plus loin. Plus sa queue pénètre ma gorge plus ma culotte se mouille et j’en oublie même où je suis. La cabine n’existe plus, je n’entends plus les aller venus de tout les clients autour de nous, plus rien n’existe que sa queue, ma langue et cette chaleur extrême entre mes cuisses. Il veut durer, me donner aussi du plaisir. Il me relève vers lui, m’embrasse. Sa langue prend de nouveau possession de ma bouche, il me mordille la lèvre. Je fonds, j’en veux plus. Sans me demander, il soulève prestement ma robe et passe sa main dans mon shorty.
Décidément, je pourrai croire qu’il me connait par cœur. Sa main gauche écarte mes lèvres gonflées, il me murmure qu’il adore me sentir dans cette état. Il pince entre son index et son majeur mon clitoris. Je me retiens de crier sous le plaisir. Tout mon corps se colle à lui, je me retiens à son épaule. C’est trop bon, je voudrais crier de plaisir. Il agite un peu plus sa main, il veut me faire jouir, je le sais. Il m’embrasse encore puis sa bouche redescend le long de mon cou. Il m’embrasse le haut de mon sein, me mordille le téton, je vais défaillir. A mon étreinte il sait que je suis au bord de la jouissance. Il accélère son rythme, appuies un peu plus. Tout disparait, il m’a vaincu.
Il a certes gagné une bataille mais je gagnerai la guerre.
Oui je venais d’être satisfaite mais en partie seulement, mon corps réclamait plus, encore plus. Je voulais encore sentir son excitation au fond de ma gorge, son gland sur ma langue. Je me suis donc repencher sur ce superbe objet de désir, toujours droit comme la justice et gonfle de plaisir. Ma main parcourt de nouveau sa queue mais laisse rapidement le champ libre à ma bouche. Je l’enfonce à chaque mouvement un peu plus, je veux l’avaler jusqu’à la garde. Après quelques mouvements c’est chose faite. Quel délice ! Je le pompe telle une assoiffée. Ses mains s’agrippent à ma tête, il me maintient. Ma main caresse ses couilles, je veux qu’il prenne un maximum de plaisir et je sais que j’arriverai à mes fins. Le plaisir monte en lui. Il me prévient de l’imminence de sa jouissance mais je l’enfonce encore plus dans ma bouche. Un flot long et chaud inonde mes amygdales, je déglutie une première fois, puis une seconde. Il me remplit la bouche, j’ai gagné la guerre ;)
Dans un dernier baiser, il se rhabille, je me rajuste et nous voilà de nouveaux des clients comme les autres. Toutefois je me demande si nous n’étions pas des clients comme les autres, on pourrait se demander, après tout aller savoir ce qu’il se passe dans les cabines chez H&M ;)