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Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par Tito40
#1628647
J’ai aujourd’hui 50 ans. L’histoire que je vais vous raconter est tout à fait réelle. Elle date de 2004. Il y a 10 ans déjà. Evidemment je vais changer les prénoms.

Mariés depuis 20 ans, nous étions un couple qui vu de l’extérieur, pouvait créer de l’envie. Mon épouse était plutôt jolie bien qu’un peu enrobée, et moi pas trop mal non plus. Bonne situation, belle baraque, belles bagnoles. Tout ce qu’il faut pour être heureux comme on dit.

Mais madame, appelons là Corinne, était un peu coincée. Moi, timide, j’attendais sans jamais rien demander. Et lorsque je voulais qu’on sorte un peu de l’ordinaire (dans le noir, madame ne suce pas c’est sale, pas de levrette c’est vulgaire, pas trop souvent ça fatigue etc), je me faisais renvoyer dans mes 22. Alors j’allais de temps à autre goûter d’autres corps, sans y trouver qu’une satisfaction ponctuelle et une dose de culpabilité.

Corinne, qui avait du mal avec son poids, était partie en cure d’amaigrissement pendant 2 semaines. On se parlait au téléphone souvent, et elle me racontait ses journées. Rien de bien particulier. Elle me raconta un soir qu’un mec du coin l’avait « branchée » quand elle dinait, et qu’il était resté discuter avec elle un bon moment avant de prendre congé. Il lui avait proposé une balade en montagne, et ça la tentait de dire oui, mais elle n’avait pas osé. Alors ce soir là, sans trop réfléchir, je lui ai suggéré d’accepter, que ça ne lui ferait pas de mal etc. La balade avait lieu l’après-midi du lendemain et je me suis surpris à imaginer qu’il tente sa chance, qu’il essaie de la sauter, qu’il la baise. Je me croyais jaloux mais là cette idée, peut-être parce que ce n’était qu’une idée, m’excitait énormément. Je me suis masturbe plusieurs fois devant ces vues de l’esprit.

Le lendemain soir elle m’a raconté sa balade. Il avait bien tenté quelques approches, mais timides, et elle ne lui avait laissé aucune ouverture. En fin de journée il lui avait proposé d’aller boire un verre chez lui mais elle avait gentiment refusé, se disant fatiguée. Et elle devait dîner à heure fixe. J’ai hésité un moment avant de lui demander si ce mec lui plaisait. Elle a rapidement coupé court, sans comprendre ce que je voulais dire, ou en tout cas en faisant comme si.

Quelques mois plus tard, alors qu’elle revenait d’une soirée en boîte avec des copines, elle me raconte qu’elle s’est fait draguer assez lourdement. Un type qui était là pour son boulot lui avait offert un verre, et lui avait tenu la jambe toute la soirée. En clair il l’avait ouvertement draguée. Elle me racontait ça en rigolant. Encore une fois sans réfléchir, je lui dit qu’elle aurait pu aller un peu plus loin, se laisser embrasser et pourquoi pas caresser, que ça ne mange pas de pain et que ça ne peut pas lui faire de mal. Elle parut surprise, mais pas autant que je l’aurais cru. Elle me répondit simplement qu’on ne sait pas jusqu’où ça peut mener, que je suis jaloux etc… J’entrepris alors de lui expliquer qu’il est normal que des mecs la draguent car elle est très attirante, que j’en éprouve une certaine fierté, et que si elle avait envie de coucher avec un mec comme ça dans une soirée je voudrais qu’elle me raconte tout, et que même j’adorerais être là. Gros blanc…

Sa seule réaction fut de me dire qu’elle ne supporterait pas de me voir avec une autre et que du coup elle ne me comprenait pas. Mais elle ne dit pas non. Incroyable pour mois. Rétrospectivement, je ne sais pas si j’avais envie qu’elle m’envoie chier ou si j’avais envie qu’elle me dise oui. Là j’étais je dois dire un peu perdu.

Les semaines sans sortie passèrent. Elle m’annonça une soirée pour un samedi soir à venir avec ses copines. Je lui dis ok. Comme d’hab. A son retour de boîte elle me parla d’un mec, encore un, qui l’avait draguée toute la soirée, se jetant sur elles pendant les slows, lui faisant mille compliments sur ses yeux, sa tenue, son sourire. Il lui avait laissé son numéro de portable en lui disant qu’elle pouvait appeler quand elle voulait, qu’il adorerait la revoir. Je lui ai alors demandé s’il lui plaisait, si elle s’était imaginée coucher avec lui. Elle m’avoua qu’elle avait été excitée ce soir, qu’elle avait mouillé, mais qu’elle n’avait pas pu aller plus loin qu’un baiser profond. Elle ne s’était pas laissée toucher, pas plus qu’elle n’avait posé ses mains sur lui. Elle était coincée, et ne se sentait pas de transgresser toute cette éducation qui lui avait enseigné que le sexe, c’est mal. D’autant plus si on est marié.

Non seulement je n’éprouvais aucune jalousie mais en plus, je souhaitais vraiment qu’elle se lâche. Je suis allé trainer sur moult sites internet pour rechercher des indices sur la « maladie » dont je devais probablement être atteint, et finalement rassuré, je n’avais plus qu’à attendre qu’elle passe à l’acte, ou pas.

Quelques semaines plus tard elle est à nouveau rentrée vers 6h du matin. Cette fois elle s’était laissé caresser par un jeune mec, 23-24 ans, Turc, qui lui avait laissé son téléphone. Elle me demanda à nouveau si je ne lui en voudrais pas, si elle pouvait aller plus loin. Je lui confirmais illico. Les jours qui suivirent nous nous échangions des sms sur le sujet.

- Tu l’as appelé
- Non pas encore mais j’en ai très envie
- Vas-y, lâches toi, donnes lui un rdv
- Je ne sais pas si j’oserai. Mais en même temps j’ai envie
- Tu as envie alors vas-y
- Ok je vais l’appeler
- Tu es excitée ?
- J’ai honte mais oui
- Appeles le - C’est fait ? – tu réponds pas ?

Le soir Corinne me dit qu’elle l’avait appelé. Ils s’étaient donnés rdv en boîte pour le samedi suivant. Je vous passe les détails de nos discussions jusqu’à ce soir de rdv, et de mon excitation.

Elle partit le samedi pour dîner avec ses copines et ne revint qu’en milieu de matinée le lendemain. Je n’avais pas dormi. Elle non plus. Ce jeune Turc était d’une endurance certaine. Il l’avait retournée dans tous les sens. Elle avait joui plusieurs fois, très fort. Très fort ça lui arrivait, mais plusieurs fois jamais. Elle avait découvert qu’une fois les tabous envolés on pouvait s’éclater au lit. Elle s’était totalement lâchée, l’avait sucé, s’était laissée faire (sauf sodo) « pour voir », et elle avait pris énormément de plaisir. J’étais estomaqué, partagé entre une excitation terrible et quand même une pointe de jalousie. Elle m’avait décrit le sexe de ce gars, très gros, très long mais un peu mou. Elle l’avait bien senti au fonds de son vagin et ça l’avait étourdie tellement c’était bon. Il avait bien mis un préservatif la première fois, mais elle avait préféré s’en passer pour les fois suivantes et finalement il avait éjaculé dans sa chatte 5 ou 6 fois dans la nuit.

Je lui ai demandé si elle allait le revoir. Elle m’a répondu « comme tu veux mais j’en ai envie ». Je l’ai donc autorisée à aller le voir, tant qu’elle voulait, à condition qu’un jour ou l’autre elle « m’invite », ce qu’elle promit de tenter s’il était d’accord.

Elle alla le voir régulièrement. Elle me racontait à chaque fois, lui donnant des notes en fonction de sa performance du jour. Vint enfin l’invitation que j’attendais. Nous nous étions donnés rendez-vous dans un bar pour faire connaissance avant d’envisager autre chose. K était d’une corpulence moyenne, ne parlait pas bien le français, et il était très intimidé par ma présence. Nous restâmes un moment à boire un chocolat dans un bar pendant qu’il nous racontait sa vie. Je lui proposais alors d’aller à l’hôtel mais il me dit non. Il préférait qu’on le dépose chez lui, si ça ne me gênait pas. J’étais évidemment un peu déçu. Corinne monta était montée avec moi à l’avant de la voiture. Pas un mot pendant le trajet. Pour éviter de me faire repérer dans son quartier, je m’étais garé dans une ruelle sombre. Corinne me demanda si j’étais toujours d’accord. J’en perdis un peu mon latin puisque nous étions là pour le déposer. Je répondis oui quand même. Elle sortit de la voiture et vint ouvrir la porte arrière droite. Elle se pencha pour embrasser K à peine bouche, et entrepris de lui caresser les cuisses et le sexe à travers son pantalon. Il se laissa faire. Elle lui demanda si on pouvait aller dans un coin tranquille pour continuer, que j’étais ok et que je ne dirais rien. Elle s’installa à côté de lui et me dit « roule ». C’était parti.

J’avais à l’époque un Renault Espace. Les sièges arrières se couchent complètement. Je conduisis jusqu’à un petit chemin dans la campagne. J’avais dans l’idée de coucher les sièges et de les regarder.
Arrivés dans le chemin, je coupais le moteur, et ne dis rien. Corinne avait ôté sa culotte et sa jupe. Elle ôtait le pantalon de K. En effet, il y avait du matos. Enorme. Elle coucha les sièges. K se trouva sur le dos. Elle entreprit de le chevaucher. Je voyais sa petite chatte blonde remonter vers sa cible. J’avais sorti ma queue pour me branler mais c’était déjà trop tard. Merci kleenex. Cette vision était énorme. Ma femme allait se faire baiser là, dans ma voiture. Elle prenait l’initiative, le branlait doucement, lui caressait les couilles, lui parlait à voix basse. Elle avait maintenant le bassin un peu au dessus de celui de K. Elle avait laissé sa queue entre elle et lui. Elle entreprit de sa main de sortir cette queue vers son entrecuisse. Elle pointa son gland vers sa chatte et se laissa pénétrer, tout doucement. IL était en train de la baiser. Je venais de jouir une deuxième fois. Je n’en croyais pas mes yeux. Je croyais rêver. A aucun moment ils n’eurent de geste brusque. Elle bougeait lentement. Elle s’empalait tout doucement. Elle remontait de la même manière. A chaque descente elle cherchait à aller le plus profond possible. Il accompagnait ses mouvements de descente par des poussées mais également tout doucement. Ils ne baisaient pas. Ils faisaient l’amour. Devant moi. K poussa quelques cris rauques, poussa sur ses jambes pour se caller bien au fond. Elle l’aida en passant sa main derrière elle, en lui caressant les couilles. Elle avait senti qu’il allait jouir. Elle était d’accord. Il ne se fit pas prier. Je suis incapable de dire combien de temps cette séquence a duré… Corinne resta sur lui un moment, continuant de l’embrasser. Elle se mit ensuite sur le côté, pris la queue dans sa main et commençât à le masturber lentement. J’avais derrière moi ma femme qui branlait une grosse queue, en la regardant avec envie. Elle tournait de temps à autres son regard vers moi. J’étais dingue d’excitation. Après quelques minutes il était à nouveau opérationnel. Elle prit encore une fois l’initiative en proposant « on va à l’hôtel ? ».

J’avais le cœur à 200 à l’heure, et ma queue me faisait à nouveau souffrir. Je m’occupais d’aller louer une chambre. Je ressortis avec la clé. Corinne et K me devancèrent. Quand je les rejoignis dans la chambre ils étaient déjà nus. Elle avait sa queue dans la main. Je m’assis dans un coin et les regardais faire. Je n’osais même pas me déshabiller. Je restais là comme un con à regarder ma femme se faire baiser. Elle jouit plusieurs fois sous mes yeux. Jamais de vulgarité mais des « viens, plus profond, oui, je vais jouir, caresse moi, mange mes seins ….) Lui ne disait rien, sans doute gêné par ma présence, mais il faisait le boulot. Effectivement, en 2 heures de temps, il lui avait rempli la chatte 4 fois. Elle dégoulinait se sperme. Et j’adorais ça…

Voilà la première partie. Je sais que je suis un peu long. Si quelqu'un veut la suite ...
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par sergio
#1628664
Bien sur que la suite est attendue.

Ce n'est pas trop long quand le texte est bien écrit et qu'il raconte une histoire intéressante. :P
par Tito40
#1628680
Cette première expérience avec K modifia profondément nos relations. Celle qui m’apparaissait comme une sainte-nitouche était en fait assez facile à dévergonder. Sauf qu’en plus de 20 ans de vie commune, on n’avait pas avancé d’un pouce. Il avait fallu ce fantasme fou pour que tout s’emballe.

On faisait l’amour plus souvent et de façon plus intense. Je lui demandais en la pénétrant « et c’est comme çi que tu aimes, c’est comme ça qu’il te fait jouir ?... » J’ai fini par lui poser la question de la taille du sexe. Ce jeune mec, K, n’a aucune conversation, aucune culture. Pour moi c’était juste une queue mais à chaque fois que je venais sur ce terrain-là Corinne se montrait gênée. Je me demandais du coup si elle n’avait pas quelques sentiments pour lui. J’ai gardé ce doute longtemps.

Pour en revenir à la taille de sa queue, elle me parla plus librement. Elle me dit que c’était « différent » avec une grosse bite, qu’elle avait besoin de moins de mouvements, que la sensation qu’elle éprouvait à la pénétration était géniale, et que quand il éjaculait elle sentait encore mieux la taille de son gland. Elle me dit qu’avec moi aussi c’était bon, mais différent. Différent parce que mon sexe est d’une taille « normale », et qu’elle a besoin de plus de sollicitations autours (clito, seins, reste du corps) ; qu’elle jouit bien sur, mais pas forcément de la même façon, que c’est plus « intime ». Bref j’ai bien compris. Elle aime cette grosse queue pour ce qu’elle est. Tant pis pour moi. Il me reste ma langue.

Elle allait le voir quand j’étais en déplacement et de temps en temps, j’étais « invité ». Il était de plus en plus décontracté. Il n’hésitait plus à lui fourrer sa queue dans la bouche, à lui lécher le cul, à la bourrer violemment. Et elle adorait ça. Elle me disait aussi que quand je n’étais pas là c’était encore plus intense, que comme il n’y avait plus la gêne liée à ma présence, elle se laissait encore plus aller. Elle pouvait dire des choses très crues, lui cracher dans la bouche, lui caresser l’anus etc… Mais avec moi à côté impossible. Elle se sentait trop mal…. Le week-end on refaisait l’amour, mais finalement il était là, entre nous. Je repensais à cette histoire de taille, du fait que je dois bouger plus pour lui faire du bien ? Quand je vois comment il la défonce, son explication perds un peu de son sens. Avec lui elle avait tout. La taille, la vigueur, un mec capable de re-bander 1à minutes après et de ne pas faiblir de la nuit.

Petit à petit je me suis contenté qu’elle me raconte. Je la touchais, mais je ne la baisais plus. Je trouvais toujours une explication. Finalement petit à petit je me suis fait plus honnête en lui disant que puisqu’elle avait plus de plaisir avec lui et que c’est finalement ça qui me plait, son plaisir, je préférais qu’elle garde ses envies pour lui mais qu’elle ne me mente pas. Et on a vécu ainsi plusieurs mois. Elle ne sortait plus le week-end mais elle allait le voir la semaine, en journée ou le soir, et elle revenait puante de sperme. Elle me racontait tout dans les moindres détails. Ça me convenait comme ça. Puis le temps a passé. Il est devenu de moins en moins attentif à son plaisir à celle. Il jouissait plus vite, rebandait moins bien et moins souvent. Elle a fini par s’en lasser et me dire « marre de sa grosse bite molle ». On a repris notre train-train, comme avant, sans K à l’horizon. De temps en temps je luis demandais si elle n’avait pas envie d’aller le voir. Elle me disait « j’ai fait le tour ».

Une seconde aventure, c’est peut-être de ça dont elle avait envie. J’ai recommencé à l’inciter à aller avec ses copines le week-end…

Je vous raconte la suite plus tard.
Et pour mémoire, c’est ma vie dont je vous parle. Pas d’un fantasme.
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par sergio
#1628683
Le sexe est important dans une relation, mais celle-ci peut sembler fade s'il n'y a pas l'amour et l’intellectuel qui fait un couple. K était peut-être trop jeune pour mériter ta femme plus longtemps. Mais la suite devrait nous apporter encore du plaisir à la lecture. :P
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par FloetSergio
#1628755
Et bien !!j'ai lu d'une seule traite, la suite :D
par Tito40
#1628756
Au risque d’une redite, cette histoire est totalement vraie.
J’aurais adoré vivre ma sexualité sans tabou, mais je suis ainsi fait que le cérébral a du mal à passer au corporel. Je suis naturellement plein de retenue, ou à tout le moins c’est ce que je croyais ou vivais à l’époque. Je ne masturbais pas, par exemple, devant Corinne. J’évitais les mots crus. Je ne lui demandais rien de façon trop directe. Et pourtant j’en aurais eu tellement envie. L’envie, c’est un peu ce que je ressentais à l’époque quand je voyais de mecs aller directement à l’essentiel, oser, alors que je restais dans l’attente que ma femme prenne l’initiative.

Après l’aventure avec K qui a duré quelques mois, je poussais Corinne à sortir à nouveau avec ses copines en boîte. Dès le premier soi elle avait déjà des touches. En rentrant elle me dit « si j’avais voulu, je me tapais au moins 3 mecs mignons ». Et moi de répondre « qu’est-ce qui t’en a empêché ? »

Et c’est reparti. Cette fois avec B. Encore un jeune mec, 26 ans, et encore un Turc. Cette fois, d’après ses premiers retours, un peu moins bien monté question longueur, mais plus grosse, beaucoup plus grosse, et très très dure. Le premier soir elle avait décliné poliment mais quand même noté son téléphone. Mon accord obtenu, elle l’a appelé dès le lundi pour lui proposer de le voir le soir même. Il habitait à 80kms. Qu’à cela ne tienne. Elle a pris la route en début de soirée et n’est rentrée que le lendemain midi. Et j’ai eu droit à un compte-rendu enthousiaste.

K, son premier, était au début totalement dévoué à son plaisir à elle. Elle adorait ça. Il bandait et rebandait, faisait ce qu’elle demandait, au rythme qu’elle voulait. Il demandait mais n’exigeait rien. Il la faisait jouir assez vite tant qu’elle appréciait sa « grosse queue molle ». Et point de bla bla. Du resultat.

B, au contraire, était assez directif. Dès son arrivée chez lui, il l’avait pris dans ses bras pour l’embrasser et en même temps, lui avait déboutonné le pantalon, viré le soutien gorge ; il avait passé une main dans sa culotte et sans lui laisser le temps de dire bonjour, lui avait enfilé un doigt dans le vagin. Si j’avais su, j’aurais fait ça depuis longtemps. J’y étais toujours allé à tâtons, et comme elle n’aimait pas vraiment ça, j’avais toujours rebroussé chemin.

Là, surprise et sentant qu’elle n’avait pas le choix, elle avait pris le parti de laisser faire. Il lui a ensuite appuyé sur la tête pour qu’elle prenne sa queue dans la bouche en lui disant simplement « suce ma queue ». Là aussi pas le choix. Elle a rentré ce qu’elle pouvait. Il s’est retiré pour jouir dans ses mains. Et lui a proposé de boire un verre. Ça c’est fait. Grosse envie passée, ils sont restés quelques dizaines de minutes à parler actualité, lecture, cinéma, et sexe. Elle lui a raconté nos nuits, mais pas ses soirées avec K. Elle lui a avoué rapidement que je savais où elle était et pourquoi, qu’elle m’aimait fort, et réciproquement, que j‘aimais l’idée qu’elle se fasse du bien avec un autre mec, si possible devant moi. Elle lui mentit en disant que c’était son premier passage à l’acte.

Il n’hésitait pas à la regarder sous toutes les coutures, à la lécher, à la complimenter, à la toucher. Une fois rebandé, il l’a fait mettre à genoux et lui a léché la chatte et entre les fesses. Elle adorait que je la lèche, mais pas dans cette position qu’elle trouvait obscène. Mais partie pour partie, elle s’est laissée faire comme jamais, écartant ses fesses avec ses mains quand il lui titillait l’anus. Il y a glissé sa langue, puis un doigt, et s’est longuement attardé sur l’endroit. Elle m’avouera d’ailleurs tout le plaisir qu’elle y a pris, plaisir nouveau et interdit. Elle a refusé d’aller plus loin, mais c’est la seule chose qu’elle lui a refusé. Il a été ensuite très directif, cherchant à maximiser son propre plaisir, lui parlant crument et directement. Ouvre ta chatte, caresse moi le cul, écartes bien les cuisses, cambres toi, suce ma queue, branle moi, caresses toi les nichons etc…. Et elle a adoré. Pendant 2 heures il l’a baisée sans ménagement, sans lui demander si elle aimait ça ou si elle avait du plaisir. Il voulait juste jouir, se vider les couilles, bander à nouveau, se vider à nouveau les couilles. Et elle jouissait à répétition, écœurée d’être aussi salope, aussi soumise, aussi à sa disposition, et en même temps ravie de se faire défoncer comme ça. Là pas d’amour, pas de sentiments. Du cul, de la mouille, du sperme. Il a retenté sa chance en fin de nuit, lui disant qu’il allait l’enculer doucement et qu’elle ne pourrait plus s’en passer. Mais là c’était trop. Elle a refusé. Elle s’est laissé à nouveau entreprendre la rondelle, mais « à la main ». Il l’a prise en levrette, la pénétrant bien profond, et il lui glissait ses doigts dans l’anus en même temps, enfonçant ses doigts à chaque coup de queue. Elle m’a avoué qu’elle avait joui encore plus fort, qu’elle a failli se laisser aller à tenter l’expérience de la sodomie, mais qu’elle n’a pas pu s’y résoudre. Peur d’avoir mal, mais aussi de briser le dernier interdit.

Avec B ça a duré 6 mois. Elle ne pouvait plus s’en passer. J’assistais à leurs ébats de temps en temps. A chaque fois j’en baillais des ronds de chapeau. Elle n’avait plus aucune gêne vis-à-vis de moi. Elle regrettait juste ses moments avec lui « hors sexe » puisque quand j’étais là elle ne discutait pas. Elle se faisait baiser.6, 7 fois de suite, il la faisait jouir. Et à chaque soirée c’était un feu d’artifice.

B lui a proposé d’amener des copains mais elle a toujours refusé. Je me demande si au fonds d’elle il n’y avait pas une envie de dire oui. De mon côté je n’ai pas insisté. J’avais déjà du mal à assumer cette situation, finalement. A la longue, ça me pesait un peu. Je pensais à ses parties de jambes en l’air en permanence. Je ne la baisais plus et passais mon temps à me branler. Quand elle passait la soirée chez lui, sans moi, il m’arrivait de me masturber 5 ou 6 fois dans la nuit. Quand elle rentrait,, je bandais encore aux premiers mots qu’elle prononçait pour me raconter sa nuit.

Puis un soir ça a débordé. On s’était rendus dans un hôtel assez classe. Il avait commencé comme d’habitude par la « limer » intensément. Il avait joui 2 ou 3 fois déjà. Il s’était ensuite assoupi. Elle l’a alors réveillé en le suçant. J’ai senti dans sa façon de faire qu’il n’y avait pas que du sexe. Elle le caressait avec tellement de délicatesse, de souci de faire du bien ; elle lui léchait le gland, le caressait en même temps entre les cuisses. A un moment elle avait passé sa main sous les fesses de B et je suis demandé si elle n’était pas en train de le doigter. Elle avait pour lui la tendresse qu’elle me donnait auparavant, le côté « sexe » en plus, et je me suis senti très mal. Je voyais là un couple dont j’étais le spectateur. Tout cela m’échappait. Et la suite de la soirée m’a conforté dans ce sentiment. Quand il s’est remis à bander dur, elle s’est allongée sur le dos, les cuisses écartées. Il est venu lentement se coucher sur elle. Il l’a pénétré lentement, imprimant des mouvements longs et profonds. J’entendais Corinne gémir. Je la voyais remonter les fesses au contact de son chibre. Une scène d’amour. Ils ne baisaient pas. La façon qu’avait Corinne de venir à la rencontre de son bassin en se relevant pour qu’il entre plus profond me faisait penser à une recherche de procréation. Je me suis senti oublié.

Je connais Corinne. Je savais qu’elle allait jouir d’autant plus fort que les mouvements de B étaient lents et profonds. Il lui parlait doucement, lui disait qu’elle sentait bon, qu’il aimait sa chatte, qu’il aimait son humidité, qu’il sentait bien « au fond » quand ça tape. Il lui dit qu’il allait jouir et lui demanda s’il devait attendre. Elle s’arrêta net, lui demanda d’attendre pour qu’ils jouissent en même temps, c’est meilleur. Il repris lentement ses mouvements, sortant sa queue puis l’entrant à nouveau, lentement. Elle lui dit « je sens que je vais jouir, ne t’arrêtes plus, vas bien au fond », et répéta plusieurs fois « viens, oui viens, fais-moi jouir, oui viens ». B suivit ses consignes et accéléra un peu le mouvement en lui disant « oui vas-y jouis mon amour, laisses toi aller, je vais jouir aussi, je sens ma queue qui gonfle, tu vas sentir mo, sperme bien au fonds. Je viens »… « Mon amour ». J’en ai pris un coup. Ce con appelle ma femme « mon amour ». Elle cherche son plaisir à lui en même temps que le sien. Là ça dérape. Il y a des sentiments. Je suis hors-jeu. Je suis resté un moment à faire la gueule, à gamberger. Elle était amoureuse de lui ce n’était plus qu’une question de sexe.

Quand nous sommes rentrés à la maison, cette fois, je n’avais pas envie de la baiser. Juste de faire le vide.

Du coup le lendemain nous avons eu une discussion surréaliste pendant laquelle elle m’a avoué qu’il lui disait souvent « mon amour » ou « je t’aime ». Il avait plusieurs fois demandé « et toi tu m’aimes ? ». Elle avait d’abord dit « je t’aime bien », puis « un peu » puis « oui ». Elle m’a expliqué qu’elle m’aimait toujours autant, mais qu’elle l’aimait aussi finalement, d’une façon différente. Il la traitait souvent comme une pute, mais souvent aussi comme une reine.

La semaine précédente, il l’avait accompagné en train à Paris. Au retour, il lui avait demandé de le masturber dans le compartiment. Elle avait posé un blouson sur leurs jambes et avait entrepris de le branler, sans protester. Elle l’avait fait jouir assez vite. Il n’y avait qu’une dame avec eux dans le compartiment, qui sans doute avait tout compris, mais Corinne s’en foutait. Elle avait voulu ljui faire du bien, transgresser. Le suivre. C’est là qu’elle avait réalisé qu’elle avait de l’amour pour lui. Il pouvait demander ce qu’il voulait, elle ferait.

Je suis finalement rentré dans son jeu et disant que je n’y voyais aucun problème. Il en a bien profité, et elle aussi. Puisque ça ne la dérangeait pas le sexe devant une inconnue, il n’a amené à faire es choses que je n’aurais même pas imaginé par la suite.

Il lui a demandé de se mettre nue devant des copains chez lui. Elle a accepté. Ils ne l’ont pas touché, mais ils sont masturbés devant elle. Ça t’a pas gênée ? Non, même pas. Je crois que si B m’avait demandé, je les aurai sucés.

Une autre fois il lui a demandé de le masturber chez lui, devant ses potes. Là aussi, aucune gène. Elle l’a masturbé et sucé. Ses potes se sont finis à la main. Elle a reconnu que ça l’avait terriblement excitée et que là aussi, s’ils avaient insisté, elle aurait volontiers essayé leurs queues. A cette évocation je lui ai conseillé de se laisser aller la prochaine fois.

Et cette prochaine fois est arrivée assez vite. Ils étaient allés se promener dans le village de B après avoir baisé l’après-midi. Ils ont rencontré un pote à lui. Ils sont allés boire un verre dans un bar. Le copain faisait éloge de la beauté de Corinne, de son sex-appeal… et ne se gênait pas pour toucher ses mains, lui faire des allusions graveleuses. B a ensuite proposé de finir la soirée chez lui. Son copain lui dit qu’il allait rentrer. B lui dit attends, je te propose de venir baiser ma copine et toi tu te barres ?. Evidemment le mec a vite changé ses plans. Corinne qui n’avait pas été consultée ne s’est même pas posée la question. Le mec lui a mis une main sur la jupe dans les escaliers, et à peine la porte franchie il l’a prise debout dans le couloir. B ça le faisait rire. Son copain a assuré, comme dir Corinne. Pas aussi bien monté que B, il est en revanche plus tendre, il caresse beaucoup, demande si ça plait, va au rythme que tu lui demandes. B est resté à regarder. Son copain est resté plusieurs heures la queue en mouvement.

Après plusieurs caresses appuyées autours de son anus, Corinne a fini par craquer. Elle a tendu les fesses pour laisser rentrer les doigts du copain dont j’ignore le nom. Il n’a rien dit, a fait c qu’il fallait, humectant ses doigts de la mouille qui coulait, mélangés au sperme qu’il avait laissé auparavant, installait son doigt, le ressortait, le rentrait à nouveau, humectait, entrait, sortait. Corinne se laissait faire. Elle me dit avoir éprouvé une sensation brève, une intuition. Il fallait qu’elle essaie.

Sur le ton de la plaisanterie elle lui dit « tu ne vas quand même pas essayer de m’enculer ? ». Le tyoe rigole et en retour lui demande « pourquoi, tu as envie ? ». Elle n’a pas répondu et s’est cambrée. Quand elle a senti le gland entre ses fesses elle a poussé un peu, puis s’est détendue. Il s’y est repris à plusieurs reprises, se retirant à chaque fois qu’elle avait mal. Puis petit à petit son gland est entré tout entier. Le reste est entré tout seul. B qui était à côté n’en revenait pas lui non plus. Il est venu lui caresser les seins et lui dire des mots doux pendant que son pote l’enculait doucement.

Elle me dit que ce soir là, il n’y avait rien eu d’autre que le plaisir d’essayer. La peur et la honte l’avaient emporté. Par la suite en revanche, quand B lui a demandé, elle n’a plus refusé. Et là, elle avoue avoir eu du plaisir même si au début, B avait du mal à entrer et lui faisait mal. Ce qui lui plaisait finalement, c’est sentir cette grosse queue bien dure dans son cul, et des doigts dans sa chatte en même temps.
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par sergio
#1628785
Les candaulismes sont souvent différents. La, tu acceptes que ta femme soit aussi amoureuse d'un autre. C'est risqué.
Mais si vous en tiriez du plaisir......... Enfin, plus elle que toi apparemment. :)
par Tito40
#1628797
Sidéré !
Non seulement elle me faisait partager ses aventures, mais elle en parlait sans détours, me parlant de ses jouissances, me remerciant de lui avoir ouvert cette porte.
Grande ouverte la porte. Il y avait bien de temps à autre une période calme, mais ça revenait avec son lot de surprises. B lui envoyait des sms sans arrêt. Des « je t’aime », des « j’ai envie de toi ». Elle lui répondait toujours avec un peu de délai par des « j’ai hâte de sentir ta queue », des « j’aime ta bite ». Amis de la poésie bonsoir.
Nous étions partis à l’étranger une semaine. Corinne était partie se faire masser et était revenue sans le préservatif qu’elle avait emmené. La routine. Un masseur black, monté moyen, qui avait joui en quelques secondes. « Mais ça fait du bien quand même de faire bander un mec ».
Elle m’avait demandé pendant ces vacances de la prendre en photo, nue, dans des poses suggestives. J’envoyais ensuite ces photos par mail à B avec des légendes « un petite chatte à qui tu manques », ou « ce beau cul c’est pour toi ». Durant cette semaine, comme celles d’avant ou celles d’après, je n’avais que la branlette pour m’amuser, et les images de B baisant ma femme comme alibi.

Sans le dire à Corinne, je me suis fait un petit extra avec une animatrice. Ça fait un bien fou.

Quand nous sommes rentrés de vacances, c’est B qui partait. 2 semaines dans le sud avec des copains. Corinne en était contrie…

Finalement elle est allée le rejoindre pour la seconde semaine. Ou plutôt d’ailleurs les rejoindre, puisqu’il était avec un cousin et un copain. Ce copain c’était justement celui qui avait eu l’honneur et l’avantage d’enculer ma femme pour la première fois. Et le cousin, lui, n’était pas trop attiré par les femmes.

Je n’ai pas eu à attendre le retour. Corinne m’appelait chaque jour. J’avais droit à un compte-rendu détaillé de ses activités. Promenade, nage, footing, cinéma, boîtes de nuit, resto, bars. Et côté sexe ? « ah ça je te raconterai en rentrant »…

B m’envoyait lui aussi des infos par mail. De jolies photos de Corinne en activité promenade ou resto, mais aussi son cul. Des photos sur la plage, mais aussi des photos de Corinne à genoux avec son copain entrain de la bourrer…

Au retour elle m’a effectivement raconté. Elle est allée au bout du bout. Le copain de B avait capote obligatoire. Idem pour le mec du mobil home d’a côté qui a voulu participer. Il n’est venu que 2 fois mais pas pour rien. C’est lui qui a suggéré d’essayer une double pénétration. Ils ont commencé par mettre leurs 2 queues en même temps dans la chatte de Corinne. L’un était sur le dos et l’autre derrière. Derrière c’ était B. Il avait entreprise en même temps de doigter le cul de Corinne. C’est l’autre en dessous qui a un moment lui a dit « je crois que la petite dame elle te préférerait dans son cul ». Corinne n’a pas protesté. B l’a pilonnée pendant que le mec en dessous lui labourait la chatte. Elle m’avouera que finalement c’était l’image dans le miroir qui lui plaisait à mort, la sensation elle-même étant assez moyenne, pas manque de synchronisation de ses baiseurs.

Les jours suivants ils ont essayé à nouveau. B et son copain se sont cette fois bien organisés. Un coup l’un un coup l’autre, puis les 2 en même temps, puis à nouveau chacun son tour etc… Pour mieux tout ressentir, cette fois pas de capote. Après-tout… Et là elle a vraiment pris son pied. Au point de se demander si elle allait pouvoir se contenter d’un seul mec ensuite.

De retour de sa semaine elle était radieuse, heureuse. Elle allait régulièrement chez B, de plus en plus souvent et de plus en plus longtemps. Je sais que son copain venait lui aussi de temps en temps pour satisfaire madame. Le simple fait de lui en parler le soir continuait de l’exciter. Je lui parlais de B, posais juste une question sur la dernière soirée. Immédiatement je lui passais une main entre les cuisses. Elle était déjà mouillée. Incroyable. Je lui en faisais la remarque « la vache t’es mouillée grave ». « ben oui, à chaque fois que je pense à lui je mouille ». J’ étais finalement vexé que jamais un effet pareil ne soit venu d’une pensée pour moi mais ça m’excitait quand même.

Ils allaient de temps en temps dans des clubs échangistes ou des hammams. B disait oui ou non pour tel mec. Souvent il la prenait devant tout le monde mais n’autorisait personne à la toucher. Elle ne se posait aucune question et faisait selon ses demandes. Elle a refusé quelques fois des choses limites comme se faire sauter sans capote par des inconnus. Mais chaque fois que c’était safe, elle a fait le job. En gros il avait obtenu d’elle ce que je rêvais d’obtenir.

Elle connaissait petit à petit tous ses potes. Ils étaient tous ravis de venir boire l’apéro quand elle était là. Au minimum ils pourraient se rincer l’œil. Et au mieux, ils pourraient repartir les couilles vides.

Pendant 20 ans j’ai pris du plaisir avec Corinne au lit. Pas souvent, pas beaucoup, pas tout, mais c’était sympa. Ma petite femme à moi.
Pendant 2 ans, on n’a quasiment pas fait l’amour. En revanche je l’ai vue se faire démonter, et elle m’a raconté ce que je n’ai pas vu. J’ay ai pris encore plus de plaisir, un plaisir cérébral qui faisait jaillir mon sperme à la moindre sollicitation de ma queue.

Puis boum. Problème. Retard de règles. Test. Enceinte. Forcément pas de moi. On fait quoi ? Comment ça on fait quoi ? je suis enceinte de B c’est sur. Et tu me demandes ce qu’on fait ? je vais avorter évidemment. Et moi de répondre, encore sans réfléchir « avortes le plus tard possible. Je veux le voir te baiser quand tu seras grosse. J’adorais quand tu étais enceinte. J’adorerai encore plus avec lui. »

J’ai pris une gifle. Cinglante. Puis la gueule pendant 1 semaine.
Au huitième jour Corinne a rompu le silence. Ok. Si tu veux le voir baiser avec un gros ventre, il sera trop tard pour avorter. C’est soit tu renonces et j’avorte tout de suite, soit je garde cet enfant et tu pourras me voir baiser avec B pendant ma grossesse »

Encore une fois ce n’est pas mon cerveau qui a répondu. « super. N’avortes pas. Par contre il est hors de question que tu fasses tous ces kms pour aller voir B. Il faut qu’il s’installe avec nous le temps de ta grossesse. »

Corine a accepté. B aussi. J’assistais aux ébats de ma femme, enceinte de ce mec, dans notre lit. Au début de la grossesse surtout c’était incroyablement intense. Il lui répétait sans arrêt qu’il l’aimait. Elle lui disait « j’aime ta queue, baises moi. Baises moi. Baises moi encore ». Elle a fini par l’appeler elle aussi « mon amour » sans s’en rendre compte. Il voulait la baiser. Elle lui répondit ‘pas maintenant mon amour ». J’étais à portée. Je l’ai regardé dans les yeux. Elle a réalisé ce qu’elle venait de dire. Elle est venue s’excuser. Je lui ai répondu que je préférais que tout soit clair, qu’elle ne me mente pas. Alors elle ne s’est plus gênée du tout.

Il dormait dans la chambre d’amis et quittait la maison quand nous avions de la visite. Quand nous étions enfin seuls Corinne lui envoyait un sms et il revenait. Il partait parfois quelques jours ou nous laissait un peu d’intimité, mais le plus souvent il était là. On démarrait un film à la télé. Au bout de quelques minutes il avait déjà passé la main sous la jupe de Corinne. Elle se collait à lui, sortait sa queue, commençait à le caresser. Si le film était intéressant elle le faisait jouir. Sinon elle écartait les cuisses. De temps en temps il la prenait à genou et Corinne, enfin, s’occupait de ma queue. Finalement j’aimais bien ces moments. Elle me branlait et me parlait. « c’est ça que tu aimes hein, que je prenne du plaisir. Putain il me fait du bien avec sa queue. T’as vu je suis de plus en plus grosse et B ça l’excite encore plus. Je le sens jouir putain c’est bon ». En général je n’avais pas besoin de tout ça pour partir. A moi ses yeux, à lui son cul.

Il a fallu à un moment assumer toutes ces conneries. Un enfant d’un autre, qui ne veut pas perdre le lien. Une femme qui a moins envie, moins le temps, et qui regrette je crois. Encore que nous avons de temps à autre encore des séances mémorables de baise, mais c’est quasiment toujours à 3. B vient nous voir. On couche le gamin, et on sait qu’après on va baiser ma femme tous les deux. C’est malsain mais ça me plait. Le copain de B a voulu une soirée pour lui. Corinne a refusé. Elle lui a proposé de venir la baiser une dernière fois mais chez nous. Il a refusé. On ne l’a pas revu.

Corinne m’a dit un week-qu’elle allait arrêter la contraception. De toute façon c’est l’oubli de la pilule qui nous avait mis dans l’ennui et quitte à se retrouver enceinte, autant le provoquer.

Elle m’a alors laissé le choix. Soit je la baise à nouveau jusqu’à ce qu’elle soit enceinte et elle ne couche qu’avec moi. Soit on ne change rien.

Etonnamment l’idée de lui faire l’amour m’a semblé la bonne. Je me suis jeté sur elle. Nous n’avions pas eu de rapports aussi intenses de toute notre vie. Plusieurs fois je suis revenu en forme, et plusieurs fois j’ai inondé sa chatte. Mais si les premières minutes me remplirent de joie et de paisir, j revis assez vite ces images d’elle avec K ou avec B, se faisant prendre ou sucer leurs queues, et ces images décuplaient mon excitation.

Alors je n’ai rien dit. Quand B est passé nous voir le soir suivant, Corinne avait du s’apprêter à lui dire qu’il ne pourrait plus la toucher jusqu’à nouvel ordre. Je ne lui ai pas laissé le temps. J’ai embrassé Corinne profondément, et j’ai entrepris de la caresser et de lui ôter ses vêtements. B s’est rapproché, un peu surpris. J’ai fait faire à Corinne un quart de tour de façon à ce qu’elle lui tourne le dos. J’ai glissé mes mains jusqu’à sa jupe pour la soulever. B a alors pris les fesses de Corinne à pleine main. Ce soir là nous avons pour la première fois fait l’amour tous les trois. Avec B nous avons mélangé nos spermes. Tout cela dans un infini respect.

Corinne est à nouveau enceinte. Tant pis pour les commérages. B habite la maison de gardien mais en réalité il dort souvent avec nous. Nous baisons ma femme aussi souvent que possible. Je suis apaisé.
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par sergio
#1628956
Tant que l'histoire se termine bien, c'est le principal. :P
par john91
#1629446
Merci Tito pour ce témoignage super bien raconté et bien écrit.

Depuis le dernier récit, il a dû se passer pas mal de choses.... on aimerait bien avoir quelques suites, si tu as l"envie bien sûr.

On peut se poser plein de questions concernant votre choix de vie à tous les deux.
La première est que se serait il passé si tu n'avais pas accepté cela de ta femme ?
Je pense que la réponse est simple, tu aurais eu une femme sans sexualité qui refuse tout et vous vous seriez lassés l'un de l'autre. Il est vrai que l'existence de sentiments pour l'amant est un gros risque aussi.
Le coté positif est que tu as souvent participé aux ébats de ta femme, était ce avec une participation forte ?

Une autre question, c'est l'absence d'enfant au bout de toutes ces années de mariage, avant le partage de ta femme avec des amants, c'est volontaire ?
Il est certain que ta femme n'est pas stérile ! Votre choix de vie ne serait il pas une façon libertine et beaucoup plus agréable que le recours aux éprouvettes et laboratoires pour avoir un enfant ?

Enfin merci pour ces récits et ce serait bien aussi de décrire en détails d'autre événements.

John.
par Tito40
#1629493
John j'ai raconté une partie de ma vie, pas toute ma vie. Nous avions déjà un enfant mais j'ai préféré oublier ça dans mes écrits.
Sans ce changement de vie que se serait-il passé ? difficile de savoir... Je pense que Corinne n'aurait jamais été voir ailleurs, ce n'était pas du tout son truc, et elle se serait contentée de cette petite vie tranquille. Moi j'aurais sans doute fantasmé dans mon coin. En fait quand on fait un choix on ne peut plus savoir ce qu'il serait advenu autrement. C'est un principe général.
par john91
#1630977
Merci Tito d'avoir répondu à ma question.

En effet, tu n'as raconté de ta vie que la partie candauliste, le reste est en dehors. Mais comme tu avais dit que ta femme avait été enceinte par la suite de ses aventures, il m'était venu cette idée sans fondement.

Merci encore pour le récit et nous espérons à bientôt car il serait étonnant qu'une partie si bien commencée n'ait pas de nombreuses suites.
par Ganawa
#1638902
Merci Tito, récit très intéressant qui réussit à nous faire partager tes sentiments, c'est plutôt rare ici. L'amour a différentes formes, nous on le comprends parce qu'on le vit, je suis content de voir que vous avez trouvé un équilibre.

Parfois je me demande si on est pas trop 'accommodants' en acceptant que notre épouse aie des amants (et dans ton cas un amant amoureux, c'est encore plus fort), et puis vite je me réponds que je suis heureux comme ça et eux aussi, tant mieux.

Alors bravo à toi et bonne continuation !

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