- 18 févr. 2015, 19:26
#1738300
Il y a quelque temps de cela j'ai reçu ce message par email: "Salut Fred, cela fait un moment que je n'ai pas baisé, j'ai trop envie de baiser ta femme! On pourrait s'organiser un petit scénario coquin. Elle aimerait quoi ta petite cochonne? Un petit scénario style bdsm mais en très soft ça vous dirait?"
C'était François, un quinquagénaire chez qui nous avions été une fois pour faire du sauna. Une séance de sauna qui avait tourné en partie de sexe. Il n'est pas très beau, bedonnant, mais il avait su bien limer ma femme.
Ma femme n'est pas une libertine, malgré les quelques expériences avec d'autres hommes cela reste des faits rares.
Ce message de François suscitais chez moi, je dois le dire, une certaine excitation. Il restait à convaincre ma femme Karine.
J’amenais le sujet comme quoi François m'avait contacté et qu'il aimerais bien nous revoir. Elle me répondit qu'elle n'avait pas envie de faire un sauna. Juste pour boire un verre et pourquoi pas un scénario un peu coquin, lui répondis-je.
Elle n'était pas convaincu. Comme je sais qu'elle aime un peu les tenues sexy, je lui proposait de jouer à la soubrette soumise a son Maitre qui serait François.
Quelques jours plus tard elle acceptait, l'histoire de scénario lui plaisait bien.
Rendez-vous pris nous fûmes accueilli chez François. Il nous proposa quelques alcool dans son salon qui mirent ma femme plus à l'aise. Car j'ai bien cru ce jour là que nous allions faire demi tour. François était tout sourire , sachant ce qui allait probablement se passer. J'ouvrais le bal en enlevant le large pull que portait Karine. Il faisait très chaud dans la pièce, la cheminée était allumée près du canapé. François s'absentait 5 minutes et revint habillé d'un pantalon cuir, d'une veste cuir ouverte laissant apparaitre son torse. Il portait aussi une cagoule. Il tendit un masque noir pour cacher les yeux de ma femme qui était maintenant en bas porte jarretelle et soutif noir.
Il donnait les consignes: elle devait obéir à sa voix et dans le cas contraire recevrait des petits coup de martinet.
Il la fit se promener à 4 pattes, cambrer ses fesses, et l’obligeait à répondre "oui maitre"
Mmm c'était excitant, il était de plus en plus autoritaire et lui tâtonnait tout le corps à l'aide d'une cravache.
François lui passait sa grosse main sur son petit minou au travers sa petite culotte. Il m’invitât a le relayer. Ce que je fit.
Il profita de ce moment pour sortir sa queue de son pantalon noir. Celle-ci faisait déja bonne impression. Il s'approchait de mon visage et me la mit dans ma bouche. En temps normal j'aurais été gêné de cette situation. Mais comme Karine ne pouvais pas me voir dans cette posture je crois que j'ai apprécié de sentir ce gros sexe dans ma bouche. Il me tenait le tête et faisait les vas et vient assez vigoureux. Je sentais son excitation et sa perversion augmenter.
Il déplaça ma femme vers la cuisine américaine, l'obligea a se positionner contre le comptoir les fesses cambrées vers l’arrière. "T'es qu'une pute" lui disait il tu vas prendre. Je vais faire voir a ton maris comment on baise les salopes comme toi.
Il lui baissa le string jusqu'aux chevilles et l'enfourna avec son sexe hyper raide. Il la prenait ainsi en levrette.
Sa queue, bien plus épaisse que la mienne rentrait comme dans du beurre! Ma femme mouillait comme une fontaine et se prenait de sacrés coups de rein.
Il la lima ainsi pendant de longue minutes avant de lâcher ses jets de spermes sur les fesse de ma chérie.
C'était François, un quinquagénaire chez qui nous avions été une fois pour faire du sauna. Une séance de sauna qui avait tourné en partie de sexe. Il n'est pas très beau, bedonnant, mais il avait su bien limer ma femme.
Ma femme n'est pas une libertine, malgré les quelques expériences avec d'autres hommes cela reste des faits rares.
Ce message de François suscitais chez moi, je dois le dire, une certaine excitation. Il restait à convaincre ma femme Karine.
J’amenais le sujet comme quoi François m'avait contacté et qu'il aimerais bien nous revoir. Elle me répondit qu'elle n'avait pas envie de faire un sauna. Juste pour boire un verre et pourquoi pas un scénario un peu coquin, lui répondis-je.
Elle n'était pas convaincu. Comme je sais qu'elle aime un peu les tenues sexy, je lui proposait de jouer à la soubrette soumise a son Maitre qui serait François.
Quelques jours plus tard elle acceptait, l'histoire de scénario lui plaisait bien.
Rendez-vous pris nous fûmes accueilli chez François. Il nous proposa quelques alcool dans son salon qui mirent ma femme plus à l'aise. Car j'ai bien cru ce jour là que nous allions faire demi tour. François était tout sourire , sachant ce qui allait probablement se passer. J'ouvrais le bal en enlevant le large pull que portait Karine. Il faisait très chaud dans la pièce, la cheminée était allumée près du canapé. François s'absentait 5 minutes et revint habillé d'un pantalon cuir, d'une veste cuir ouverte laissant apparaitre son torse. Il portait aussi une cagoule. Il tendit un masque noir pour cacher les yeux de ma femme qui était maintenant en bas porte jarretelle et soutif noir.
Il donnait les consignes: elle devait obéir à sa voix et dans le cas contraire recevrait des petits coup de martinet.
Il la fit se promener à 4 pattes, cambrer ses fesses, et l’obligeait à répondre "oui maitre"
Mmm c'était excitant, il était de plus en plus autoritaire et lui tâtonnait tout le corps à l'aide d'une cravache.
François lui passait sa grosse main sur son petit minou au travers sa petite culotte. Il m’invitât a le relayer. Ce que je fit.
Il profita de ce moment pour sortir sa queue de son pantalon noir. Celle-ci faisait déja bonne impression. Il s'approchait de mon visage et me la mit dans ma bouche. En temps normal j'aurais été gêné de cette situation. Mais comme Karine ne pouvais pas me voir dans cette posture je crois que j'ai apprécié de sentir ce gros sexe dans ma bouche. Il me tenait le tête et faisait les vas et vient assez vigoureux. Je sentais son excitation et sa perversion augmenter.
Il déplaça ma femme vers la cuisine américaine, l'obligea a se positionner contre le comptoir les fesses cambrées vers l’arrière. "T'es qu'une pute" lui disait il tu vas prendre. Je vais faire voir a ton maris comment on baise les salopes comme toi.
Il lui baissa le string jusqu'aux chevilles et l'enfourna avec son sexe hyper raide. Il la prenait ainsi en levrette.
Sa queue, bien plus épaisse que la mienne rentrait comme dans du beurre! Ma femme mouillait comme une fontaine et se prenait de sacrés coups de rein.
Il la lima ainsi pendant de longue minutes avant de lâcher ses jets de spermes sur les fesse de ma chérie.