- 26 janv. 2011, 20:10
#206399
Les conversations en chat ont continuées entre ma femme et son Maître.
Elle à du lui avouer qu’elle avait eu une relation avec l’homme rencontré en club et elle avait cru bon de lui donner les détails exquis de cette soirée. En plus celui-ci lui avait laissé un gentil message que tout le monde peut consulter. La sanction a été immédiate car aucune relation n’est possible avec un autre homme que lui et moi, sans son autorisation. Elle du se rendre chez lui pour recevoir une punition. Pendant le voyage je la sentais partagée entre le plaisir de le revoir et la crainte de la punition.
Nous nous sommes rendus chez lui samedi il y a quinze jours et l’ambiance était tendue. Ma femme avait mis sous son manteau un bustier avec jarretelles, des bas et des chaussures à talons haut. Mais pas de string comme il lui avait ordonné. Quand il a ouvert la porte, il l’a regardé droit dans les yeux, sans sourire. Il lui ordonna de retirer son manteau et de venir vers lui. Après lui avoir expliqué les raisons pour lesquelles elle devait être punie. La sentence tomba : se sera trente coups de baguettes en bois. Mais pour compliquer cela, il fallait qu’elle décompte à rebours les coups, de deux en deux (28,26, 24..etc) sans se tromper sinon il recommençait à chaque fois depuis le début.
Ensuite, il lui imposa de se pencher et de s’appuyer sur le dossier d’une chaise. « Cambre tes reins » lui dit-il fermement. Je la sentais très tendue et je me tenais prêt à intervenir si elle me le demandait. Le premier coup claqua fermement sur ses petites fesses qui relevaient devant lui. Elle se trompa deux fois au début et elle voulut arrêter. Il lui expliqua exactement la façon de faire et la punition repris depuis le début. Je voyais ma chérie se mordre les lèvres et se concentrer sur le décompte qu’elle fit parfaitement. Les coups prenaient de l’intensité à mesure que l’on se rapprochait de la fin. Une fois la punition terminée, il lui appliqua de la pommade sur son petit cul qui était tout rouge et bosselé par les coups de baguettes. La séance était terminée. Pas un bisou, pas un sourire, pas une caresse. Je crois que c’est cela qui lui a fait le plus mal.
Dans la voiture, ma femme me dit que c’était fini et qu’elle n’avait pas pris de plaisir. Les jours qui ont suivi, elle reçut des sms auxquels elle ne répondait pas. Le mercredi, elle lui écrivit un message sur le site libertin et lui annonça qu’elle ne voulait plus être sa soumise car cela manquait de tendresse. Le lendemain, je la sentais libérée et contente. Les jours suivant et insensiblement le sentiment commençait à s’inverser. Elle trouvait dommage que les choses s’arrêtent ainsi. Et au bout de dix, jours, elle me demanda si elle pouvait lui envoyer un sms car elle ne recevait plus rien. Le texte était simple : « tu boudes ». La réponse fut instantanée : « non je respecte ton choix ». Elle lui dit qu’elle voulait tout de même restée amie avec lui et qu’il accepta volontiers.
Il nous invita ce samedi à une soirée privée qu’il organisait avec d’autres couples. Pour cette soirée ma chérie avait mis un bustier en vinyle noir et son string assorti, des bas et des bottines à talons hauts. C’est lui qui ouvrit la porte, il avait mis sur son dos une cape noire. Un sourire de part et d’autre signait la fin des hostilités.
Il était accompagné d’une amie à lui, qui fait aussi de la domination, mais pour les hommes. Le courant a tout de suite passé entre les deux femmes et elles plaisantaient. La Dominatrice était habillée d’une combinaison en vinyle noir et des bottes rouges à talons immenses. Elle proposa à ma femme de lui faire un bondage. Son corps ainsi ficelé harmonieusement était une œuvre d’art et nous avons dansé comme cela. Je m’accrochais au cordage et je la sentais fier de s’exhiber ainsi devant les autres couples. Au bout d’une heure notre hôte est venu chercher ma femme pour l’attacher à la croix de st André après lui avoir retiré son bondage. Elle s’exécuta sans broncher. Et elle fut attachée face au mur en string, jambes et bras écartés devant tous les convives. Son corps mince était magnifique. Et les deux dominateurs prirent chacun un martinet et ils lui assénaient des coups énergiquement mais avec respect. Son corps ondulait sous les caresses de cet outil qu’elle apprécie beaucoup. Sur les fesses entre les jambes sur le dos, les coups claquaient. Elle était heureuse de montrer que ça n’était pas fini et qu’elle supportait très bien. Son Maître (à nouveau) se rapprocha d’elle et il lui caressa les seins, le sexe et lui fit un bisou. Ma femme était radieuse et superbe. Nous avons fini la soirée en faisant l’amour sur un lit disposé au milieu de la pièce. Si pour ma femme maintenant, il lui semble aisé de faire l’amour en public, pour moi la chose reste encore difficile. Je ne peux pas dire que j’ai été très performant et pourtant comme elle était belle…..
Elle à du lui avouer qu’elle avait eu une relation avec l’homme rencontré en club et elle avait cru bon de lui donner les détails exquis de cette soirée. En plus celui-ci lui avait laissé un gentil message que tout le monde peut consulter. La sanction a été immédiate car aucune relation n’est possible avec un autre homme que lui et moi, sans son autorisation. Elle du se rendre chez lui pour recevoir une punition. Pendant le voyage je la sentais partagée entre le plaisir de le revoir et la crainte de la punition.
Nous nous sommes rendus chez lui samedi il y a quinze jours et l’ambiance était tendue. Ma femme avait mis sous son manteau un bustier avec jarretelles, des bas et des chaussures à talons haut. Mais pas de string comme il lui avait ordonné. Quand il a ouvert la porte, il l’a regardé droit dans les yeux, sans sourire. Il lui ordonna de retirer son manteau et de venir vers lui. Après lui avoir expliqué les raisons pour lesquelles elle devait être punie. La sentence tomba : se sera trente coups de baguettes en bois. Mais pour compliquer cela, il fallait qu’elle décompte à rebours les coups, de deux en deux (28,26, 24..etc) sans se tromper sinon il recommençait à chaque fois depuis le début.
Ensuite, il lui imposa de se pencher et de s’appuyer sur le dossier d’une chaise. « Cambre tes reins » lui dit-il fermement. Je la sentais très tendue et je me tenais prêt à intervenir si elle me le demandait. Le premier coup claqua fermement sur ses petites fesses qui relevaient devant lui. Elle se trompa deux fois au début et elle voulut arrêter. Il lui expliqua exactement la façon de faire et la punition repris depuis le début. Je voyais ma chérie se mordre les lèvres et se concentrer sur le décompte qu’elle fit parfaitement. Les coups prenaient de l’intensité à mesure que l’on se rapprochait de la fin. Une fois la punition terminée, il lui appliqua de la pommade sur son petit cul qui était tout rouge et bosselé par les coups de baguettes. La séance était terminée. Pas un bisou, pas un sourire, pas une caresse. Je crois que c’est cela qui lui a fait le plus mal.
Dans la voiture, ma femme me dit que c’était fini et qu’elle n’avait pas pris de plaisir. Les jours qui ont suivi, elle reçut des sms auxquels elle ne répondait pas. Le mercredi, elle lui écrivit un message sur le site libertin et lui annonça qu’elle ne voulait plus être sa soumise car cela manquait de tendresse. Le lendemain, je la sentais libérée et contente. Les jours suivant et insensiblement le sentiment commençait à s’inverser. Elle trouvait dommage que les choses s’arrêtent ainsi. Et au bout de dix, jours, elle me demanda si elle pouvait lui envoyer un sms car elle ne recevait plus rien. Le texte était simple : « tu boudes ». La réponse fut instantanée : « non je respecte ton choix ». Elle lui dit qu’elle voulait tout de même restée amie avec lui et qu’il accepta volontiers.
Il nous invita ce samedi à une soirée privée qu’il organisait avec d’autres couples. Pour cette soirée ma chérie avait mis un bustier en vinyle noir et son string assorti, des bas et des bottines à talons hauts. C’est lui qui ouvrit la porte, il avait mis sur son dos une cape noire. Un sourire de part et d’autre signait la fin des hostilités.
Il était accompagné d’une amie à lui, qui fait aussi de la domination, mais pour les hommes. Le courant a tout de suite passé entre les deux femmes et elles plaisantaient. La Dominatrice était habillée d’une combinaison en vinyle noir et des bottes rouges à talons immenses. Elle proposa à ma femme de lui faire un bondage. Son corps ainsi ficelé harmonieusement était une œuvre d’art et nous avons dansé comme cela. Je m’accrochais au cordage et je la sentais fier de s’exhiber ainsi devant les autres couples. Au bout d’une heure notre hôte est venu chercher ma femme pour l’attacher à la croix de st André après lui avoir retiré son bondage. Elle s’exécuta sans broncher. Et elle fut attachée face au mur en string, jambes et bras écartés devant tous les convives. Son corps mince était magnifique. Et les deux dominateurs prirent chacun un martinet et ils lui assénaient des coups énergiquement mais avec respect. Son corps ondulait sous les caresses de cet outil qu’elle apprécie beaucoup. Sur les fesses entre les jambes sur le dos, les coups claquaient. Elle était heureuse de montrer que ça n’était pas fini et qu’elle supportait très bien. Son Maître (à nouveau) se rapprocha d’elle et il lui caressa les seins, le sexe et lui fit un bisou. Ma femme était radieuse et superbe. Nous avons fini la soirée en faisant l’amour sur un lit disposé au milieu de la pièce. Si pour ma femme maintenant, il lui semble aisé de faire l’amour en public, pour moi la chose reste encore difficile. Je ne peux pas dire que j’ai été très performant et pourtant comme elle était belle…..