©FORUM CANDAU - N'oubliez pas de liker !
A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
Avatar de l’utilisateur
par Phildulux
#2260162
Ce train de nuit démarre enfin, nous sommes seuls dans le compartiment, nous avons tiré les rideaux en visu avec le couloir du wagon pour être plus tranquilles. Après le départ, peu après que le contrôleur soit passé, un groupe de cinq types ouvre soudain la porte, cinq personnes du continent nord Africain rentrent dans notre compartiment en referment la porte derrière eux, ils sont gigantesques, énormes et bruyants, vulgaires, ils parlent fort, ils gesticulent. Mon mari est près de la fenêtre, deux s’installent à coté de moi, les trois autres en face, nous ne sommes pas à l’aise, moi encore moins.
Je porte une minijupe et en dessous des bas tenus par un porte jarretelle et un minuscule petit string noir en dentelle transparent. Je sais ce que l’on peut voir, si je desserre légèrement un peu les jambes ou si je fais un mouvement.
Je suis l’archétype de la jolie femme BCBG, séduisante, blonde aux yeux gris, une poitrine qui se tient, un sexe épilé comme un bébé, je suis bien faite. Je plais aux hommes et bien que je n’aie pas connu beaucoup d’autres hommes que mon mari, je le sais, ils me le disent, ils me le font bien comprendre aussi.
Mais là, dans notre situation, je me maudis un peu d’être habillée de façon aussi courte et sexy, mon homme avait un peu participé au choix de ma tenue.
Ils nous observent, ironiques, je murmure à mon mari que je voudrais sortir, je lui demande de m’accompagner, mais j’ai peur de bouger, j’ai peur de déclencher quelque chose.
Je n'ai pas eu le temps de relever les yeux, que j'ai sentais un grosse main chaude sur ma cuisse et très rapidement, se glissa sous ma jupe glissante sur mes attaches de mon porte jarretelle…
Je n'eut aucune réaction de recul!
Mon corps ne répondait pas à mes commandes, ma tête me disait « Arrêtes» mon corps me disait « Vas-y, laisses toi faire, aides le!»
J'avais peur...
Et, je me vit même écarter les jambes pour lui faciliter l'accès à mon jardin secret !
Soudain le mec me crie «Ouvres plus tes cuisses, salopes ...» mon homme tente de protester en ce levant mais deux des hommes le prenne en tenaille, le maintiennent en le rassoyant en lui menacent de lui couper les couilles et de me les faire bouffer si nous crions.
A ce moment le type à coté de moi me passe son bras droit autour du cou et commence à me peloter la poitrine de sa main gauche, je ne porte pas de soutien gorge et il s’en aperçoit, Il me soulève mon chandail et libère mes seins qu’il se met à me palper durement, en même temps, celui d’en face se penche et m’écarte les cuisses de ses deux mains puissantes. J’ai les seins à l’air et la jupe remontée haut, ils m’insultent: « Oh la salope ! Quelle pute, regarde un peu ce morceau, pouffiasse, t’as vu comme elle est sapée la pute, elle demande que ça, cette vicieuse, elle va pas être déçue»…
Celui qui était en face de mon mari nous pousse, une grosse bosse déformait son pantalon, je ne pus m'empêcher de regarder avec insistance, ce qui fut remarqué!
«Tu vois, tu en a envie, tu n'arrêtes pas de mater ma bite, tu nous fait bander, tu ne peux plus nous laisser comme ça ! »
Sur ses paroles, il avait glissé de nouveau sa main sous ma jupe en se plaçant à ma droite et me met directement la main sur la vulve, je le laissais faire, il passa directement sous mon string, il m’écarte le slip et plonge un doigt dans ma fente, je hurle, et je me trahis toute seule en écartant encore les cuisses et tortillant des hanches pour approfondir ses caresses en lâchant un gémissement approbateur ! « Ouuuiiii ! » mon mari ne peut pas intervenir, ils me fouillent l’intimité tous les deux, désespérée, je sens que je mouille malgré moi, ils me placent au milieu du compartiment, Ils me troussent ma mini-jupe jusqu’à la taille et j’ai toujours le chandail relevé avec mes seins nus à l’air.
J’imagine leur désir et l’excitation que je provoque avec le spectacle que je leur offre ainsi troussée, en petite culotte à demi écartée, mes jarretelles et mes bas, ma vulve humide, avec les lèvres bien visibles déjà bien entrebâillées et mes seins fièrement dressés qui dansent à chaque mouvement. L’un d’eux m’arrache la culotte ; ils me scrutent, m’auscultent, ils me touchent, me palpent, me tripotent, me pelotent les seins, le ventre, les fesses j’ai des mains partout, des doigts sortent, entrent, me fouillent en profondeurs, me pénètrent le vagin, l’anus, ce rude traitement quoiqu’odieux affolait mes hormones. Ils ont tous sortis leur membre, ils sont énormes, longs épais, noirs, bruns, aux glands luisants et gluants de sécrétion, dressés, érigés, durs, palpitants, menaçants, prêts. Je ne peux m’empêcher de les comparer au sexe de mon mari qui est le seul que je connaisse, ils sont tous, et de beaucoup, plus gros, plus longs que le sien. Je suis résignée, soumise, ouverte, consentante, j’attends l’inéluctable, j’attends qu’ils me baisent, qu’ils m’emmanchent, qu’ils me bourrent, qu’ils me défoncent, j’attends qu’ils me possèdent, j’attends le viol, les viols, les viols multiples ; je m’imagine les subissant, je frissonne… d’impatience, je sais que j’ai envie qu’ils me pénètrent, qu’ils me violent. J’ai envie de ces bites monstrueuses dans moi, dans mon ventre, dans mon sexe, j’ai envie qu’ils jouissent de moi, en moi, qu’ils m’inondent de leur foutre. Je sens que je vais jouir de leurs attouchements. Je suis devenue une femelle en chaleur, je ne suis qu'une chienne, il suffit de quelques secondes et déjà mes cuisses s’ouvrent alors que je gémis sourdement. Je regarde mon mari impuissant qui sait, lui aussi par ma rougeur aux joues et la sueur qui perle sur mes seins, il sait que je suis au bord de l’orgasme. Je murmure en le regardant, prenez-moi, baisez-moi, violez-moi.
Le premier me soulève et en me basculant sur lui, il me force. Son membre est très gros, mes lèvres grasses de ma liqueur s’ouvrent, s’écartent, il me pénètre au plus profond de moi, jusqu’au fond du vagin. Je soupire par l'intromission de plaisir, mes muqueuses sont envahies, écartées, mon clitoris gonflé glisse et s'excite sur cette grosse bite, mon vagin est rempli, plein de cette virilité dure, bousculé, malmené, il me martyrise l’utérus, il me cogne délicieusement en s’enfonçant tout au fond, je regarde incrédule ce sexe noir démesuré qui rentre en moi, qui va et vient dans mon intimité, je suis baisée comme jamais je ne l’ai été, mon bassin contre mon gré va à sa rencontre, comme s’il était possible qu’il aille encore plus loin. Je jouis, je jouis et mes sphincters se contractes sur la bite, si forte, puissamment, violemment, je jouis de cette hampe qui s’enduit de nos jus et qui continue de me pilonner sans ménagement.
«Ah tu jouis salope! Tu aimes ça avoir une grosse bite dans la chatte et une autre dans la bouche. En fait tu es vraiment une chienne, un garage à bite, qui ne rêve que d'une seule chose c'est de se faire tringler à longueur de journée. Je vais te gicler au fond de la chatte! je vais te tapisser de mon foutre! »
Toute cette jouissance me fait oublier les autres, Ils sont là, ils attendent impatiemment leur tour, je sens que quelqu’un m’écarte les fesses et me lèche l’anus, je sens qu’il place son énorme gland à l’entrée de mon anus, je ne veux pas, il me force, il me fait un peu mal, il pousse, il entre le bout, je jouis tellement de celui qui me baise que je facilite involontairement l’introduction, il rentre petit à petit un peu plus, je hurle de douleur, avec un grand coup de rein il s’est enfoncé jusqu’à la garde, son ventre est collé à mes fesses, il m’encule, j’ai toute la longueur de sa queue dans le rectum, je n’ose imaginer jusqu’où il va, mon anus est totalement distendu, anormalement dilaté, mais il est rentré, il est dans moi, s’est insensé, je suis prise en sandwich, la douleur se calme doucement, remplacée par une excitation nouvelle, une chaleur, il synchronise ses mouvements sur celui qui me ramone le con, mon esprit chavire, je me vois de l’extérieur, je me vois entre ses deux hommes qui me possèdent si profondément, je regarde mon mari et son regard amplifie mon plaisir, il ne me quitte pas des yeux, je n’y peux rien, cette double pénétration, ce viol monstrueux me procure un orgasme démentiel, je veux qu’il me voit jouir, je crie, je gueule, l’enculage doublé du baisage me procure des sensations inconnues, touche des zones inviolées, c’est incroyablement bon, mes orgasmes se succèdent . Le premier éjacule longuement, il se vide, il se déverse en moi en puissantes giclées de son sperme qui nappe mon vagin, Quand il ressort, un long filet de sperme s'échappa de ma chatte béante comme moulée par le vît inquisiteur. L'homme s'en saisit et me porte ses doigts couverts de sa crème à ma bouche, je lui lèche les doigts volontairement avec application.
Il se retire de mon corps entier en flammes, je réalise alors que j'arque mes hanches voyant un autre arriver immédiatement, je l’invite inexorablement à me remplir, il présente son énorme gland à la forme d’un champignon à l'orée de mes lèvres intimes lubrifiées par le mélange de cyprine et de sperme. Il pousse de tout son poids et après une faible résistance, ma chatte s'ouvre... ma fentine se distend pour accueillir quelque chose de bien plus gros, il m'élargit comme jamais je ne l'avait jamais ressenti, ma chatte l’englobe le nouveau morceau de chair, la sensation est douloureuse, mais peu à peu... délicieuse. Je ne contrôle absolument plus mes sens! Chaque fibre de mon corps résonne divinement, j'atteins des sommets jusqu'ici inconnus!
Lentement je le vois pousser pour faire progresser la longueur de son chibre. Il réussit à me la rentrer au deux tiers et alors, il commence ses allez retour, l'enfonçant chaque fois un peu plus, je suis prise à nouveau, ma chatte et mon cul sont tellement dilatés et graissés de foutre que ça devient facile maintenant, il rentre tout seul, je souhaite que ça ne s’arrête jamais, je suis devenue une putain, ma chatte et son conduit, un déversoir à sperme, et… j’aime énormément ça, je jouis, ils vont finir par m’éventrer.
«Ough .......Ugh .....Ugh .......Ugh ......Ugh!........ » grogne t’il, chaque fois qu'il s'enfouit dans ma chatte pantelante alors que je sent ses couilles vibrer, proches de l'explosion, il gémit, va de plus en plus vite, me pilonnant le con furieusement
«Bordel ... Je jouis .....Je lui jute dedans ......Ahhhhh ...... Ahh-hhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh! ...» gémit-il sourdement en inondant mon utérus de sa chaude semence, ce qui me déclenche un nouvel orgasme.
J’en entends un qui gueule qu’il ne peut plus attendre, qu’il faut qu’il me fourre, sinon ça partira tout seul, il monte sur la banquette me tire les cheveux pour m’amener la tête près de lui, il me présente sa grosse mentule en érection qui pointe sur mes lèvres. Il me prend les mains et les poses sur son épais engin, puis il se penche en avant pressant son gland contre mes lèvres charnues. A peine embouché que déjà il s'enfonce profondément et brusquement dans ma gorge asservie comme s’il s’agissait d’un vagin et il décharge immédiatement une quantité énorme de foutre, j’en ai partout, il me dit d’avaler, j’avale, j’engloutis en savourant la texture d tout son sperme et je jouis encore et encore, je ne m’arrête pas. Celui qui m’encule explose à son tour et m’en met plein les intestins, je suis bourrée de partout, une usine à foutre, il se retire tout de suite remplacé par un autre qui me sodomise à son tour, je n’ai pas de répit, des flot énorme de sperme s'écoule de ma chatte après que les queue s’en étires dans de grands flop. Un qui avait pris place sur ma langue, extirpe son chibre de ma bouche, et entreprend de se branler frénétiquement, projetant dans de long jet son foutre sur mon visage et dans mes cheveux, j’accueille ses jets, la bouche ouverte, la langue hors de son fourreau pour en récolter le plus possible...
«Oh bordel Ahhhhhhhh! ... Quel sacré coup... Elle est sacrément bonne... Regardez là jouir! »
Vous pourriez penser qu'en entendant ces mots, je reprendrai mes sens... Mais non, je ne me contrôle toujours pas! Je me pourléche les babines, savourant jusqu'à la dernière trace le foutre souillant mes lèvres... Je n'ai pas la patience d'attendre de me nettoyer le visage! Je m’en fout totalement de ce qu'ils pensent, tout mon corps frémis de plaisir... Tout ce que je désir est de sentir la grosse bite de exploser dans mon intimité, je sais déjà que je vais ressentir un orgasme comme jamais je n'en avais éprouvé! Je ne suis pas désappointée, l'accroissement de son rythme de baise annonce la fin imminente de sa chevauchée... Alors qu'il ralenti lentement, je sent des geysers de foutre inonder ma chatoune... Je m'arque sur les hanches, mes sphincters se crispe sur sa queue légèrement courbée... Puis je me laisse retomber sur le lit, me tortillant de jouissance, je verrouille mes jambes dans son dos pour l'empêcher de fuir de mon corps... Le temps que mes sens exultes! ... Je n'avais plus les pieds sur terre... Je me trouve au septième ciel! Mes veines charrient des flots de plaisir dans tout mon corps!...
Combien sont-ils ? Je crois que je vais m’évanouir de plaisir. Ils me prennent, devant, derrière, dans la bouche, ils entrent, ils sortent, ils me baisent, ils me défoncent le cul, ils jouissent, éjaculent, déchargent, giclent, à trois, à deux, seuls, je goutte à tous les mélanges en leur nettoyant avec application leurs verges et leurs bourses poisseuses du mélange de nos sécrétions, je me délecte de cette crème comme droguée de cette subtilité, ils abusent de moi comme ils veulent. Je suis haletante, comblée, épanouie, rassasiée, épuisée. J’ai le cul en feu, le ventre douloureux, la bouche meurtrie est imprégner de ce goût salé, ma salive est gluants, le corps poisseux parcouru d’incessantes ondes de plaisirs.
Plus tard, beaucoup plus tard, quand ils sont enfin partis, qu’ils nous ont laissée, comme ils sont venus...
Malgré mon état de fatigue, j'ai remarqué chez certains, au seuil de la porteuse attitude dans leurs regard, comme une complicité, comme pour remercier, destiné à mon homme.
Mon mari m’a dit que cela avait duré plus de deux heures et demie sans interruptions, qu’il y en avait toujours eu au moins un qui me besognait.
Ma mini-jupe et mon chandail sont déchirés et maculés de sperme gluant, j’en ai partout, j’en suis pleine, ça fuit de ma chatte et de mon cul, le long de mes jambes, dans la bouche et l’estomac, le visage et les cheveux, sur le corps.
Il fait nuit dehors, heureusement...
Il me demande si je vais bien, et m’assure de ne pas m’inquiéter, qu’il ne peut pas m’en vouloir, que ce n’est pas de ma faute. Je me tais. J’ai trop joui, il m’a trop vu, j’ai trop honte.
Etonnamment, il me regarde, le sourire aux lèvres et m’embrasse passionnément en faisant danser nos langues, ma bouche couverte de sécrétion, il se retire, et me montre un peu désespéré du regard la bosse formée et la tache humide qui se dessine vers la braguette de son pantalon…
Fin.

Notre boutique candauliste 100% sécurisée