- 09 sept. 2019, 20:25
#2338632
En rangeant un peu ma boite de courriel qui était en faite devenue de pourriel, vu le nombre de missives indésirables que l'on peut recevoir.
Je suis retombé sur une de mes aventures qui avait pris des proportions incontrôlables et m'avait envoyé dans la situation que je voulais éviter à tout prix...
Cette histoire m'a' amené à réfléchir sur mon libertinage et de recentrer mes approches libertines.
Et particulièrement celle d'être l'amant d'un couple candauliste...
A la base j'avais commencé mon entrée dans le monde libertin un peu par hasard même si..., une amie m'avait mis dans le bain entre trio et quatuor...Une gourmande...
Je finis par m'inscrire, dans la foulée, sur des sites interlopes.
Plein d'étoiles dans les yeux, je voulais assouvir certain de mes fantasmes. La partouze en était un, un terme généraliste qui ce déclinait en plusieurs sous catégories, pluralités masculines, gang bang, multicouples privées et sortie en club. Tout en restant néanmoins adepte des trios que je trouve plus intimiste.
J'écumais donc les méandres du net pour faire matcher mon profil, pas des plus faciles.
Oui, fin trentenaire, bon vivant, l'inverse du bellâtre souvent recherché quoi que l'on en dise.
Mais l'homme persévérant, utilisant sa plume numérique comme bâton de pèlerin, des contacts furent pris, des rendez vous vinrent. Je passais de bon moment.
Je remarquais aussi que les libertins aiment souvent les one shots et sont avides de nouveautés.
Entre contacts du net et sortie club, ce petit monde m'appréciait et me recommandait.
Sur les sites, je prenais du galon, on m'appréciait et me remerciait par un petit mot.
Les rencontres d'une fois me laissaient sur ma faim et je modifiais mon annonce à la recherche d'une amitié coquine.
L'idée à la base était une complice libertine ou un couple partageur en résumé la croix et la bannière.
Les années passent, depuis 2010... et même avant à la sortie de l'université, j'aimais badiner.
Sur un des sites que je fréquente, en 2016, un couple m'ouvre sa galerie de photos privées. Impossible de les contacter pour les remercier et faire connaissance...Il filtre les hommes.
Je dois dire, j'ai été étonné de n'y trouver que les photos d'une dame.
Des clichés entre photo de profil, érotique ou de charme mais également du hard ...
Fort jolie, Méditerranéenne, cheveux châtains, yeux noisette, un teint halé de partout, mais c'est bien subjectif et vu par mes yeux écarquillé et vu également au travers de mes oeilères...
Mais un vide abyssale est devant moi.
Je n'ai que le lapse de temps d'un effeuillage de peep show, pour mater cet obscur objet du désir avant le clap final.
Les mois passent , je repasse de temps à autre sur ce profil emprunt de mystère...
Intrigué, désabusé, impuissant...Enfin impuissant non...
Le membre est tendu, gorgé de sang, purgé, le fluide est vidé de temps à autre.
Les images sont gravées . Je suis dans une impasse, je dois faire l'impasse...
Et pourtant...
Un de mes clichés...
Je suis retombé sur une de mes aventures qui avait pris des proportions incontrôlables et m'avait envoyé dans la situation que je voulais éviter à tout prix...
Cette histoire m'a' amené à réfléchir sur mon libertinage et de recentrer mes approches libertines.
Et particulièrement celle d'être l'amant d'un couple candauliste...
A la base j'avais commencé mon entrée dans le monde libertin un peu par hasard même si..., une amie m'avait mis dans le bain entre trio et quatuor...Une gourmande...
Je finis par m'inscrire, dans la foulée, sur des sites interlopes.
Plein d'étoiles dans les yeux, je voulais assouvir certain de mes fantasmes. La partouze en était un, un terme généraliste qui ce déclinait en plusieurs sous catégories, pluralités masculines, gang bang, multicouples privées et sortie en club. Tout en restant néanmoins adepte des trios que je trouve plus intimiste.
J'écumais donc les méandres du net pour faire matcher mon profil, pas des plus faciles.
Oui, fin trentenaire, bon vivant, l'inverse du bellâtre souvent recherché quoi que l'on en dise.
Mais l'homme persévérant, utilisant sa plume numérique comme bâton de pèlerin, des contacts furent pris, des rendez vous vinrent. Je passais de bon moment.
Je remarquais aussi que les libertins aiment souvent les one shots et sont avides de nouveautés.
Entre contacts du net et sortie club, ce petit monde m'appréciait et me recommandait.
Sur les sites, je prenais du galon, on m'appréciait et me remerciait par un petit mot.
Les rencontres d'une fois me laissaient sur ma faim et je modifiais mon annonce à la recherche d'une amitié coquine.
L'idée à la base était une complice libertine ou un couple partageur en résumé la croix et la bannière.
Les années passent, depuis 2010... et même avant à la sortie de l'université, j'aimais badiner.
Sur un des sites que je fréquente, en 2016, un couple m'ouvre sa galerie de photos privées. Impossible de les contacter pour les remercier et faire connaissance...Il filtre les hommes.
Je dois dire, j'ai été étonné de n'y trouver que les photos d'une dame.
Des clichés entre photo de profil, érotique ou de charme mais également du hard ...
Fort jolie, Méditerranéenne, cheveux châtains, yeux noisette, un teint halé de partout, mais c'est bien subjectif et vu par mes yeux écarquillé et vu également au travers de mes oeilères...
Mais un vide abyssale est devant moi.
Je n'ai que le lapse de temps d'un effeuillage de peep show, pour mater cet obscur objet du désir avant le clap final.
Les mois passent , je repasse de temps à autre sur ce profil emprunt de mystère...
Intrigué, désabusé, impuissant...Enfin impuissant non...
Le membre est tendu, gorgé de sang, purgé, le fluide est vidé de temps à autre.
Les images sont gravées . Je suis dans une impasse, je dois faire l'impasse...
Et pourtant...
Un de mes clichés...
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Le sexe est une émotion en mouvement.
Mae West
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