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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

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par Phildulux
#2341179
Nous étions en vacances dans une petite île des Caraïbes, Madinina, nous avions décidé ce jour-là de louer une petite Jeep pour aller voir des coins un peu reclus de l’île. L’hôtel nous avait préparer un somptueux panier pique-nique, il avait vraiment eu peur que nous manquions à la quantité préparée…
Le temps étant remarquablement chaud et agréable, mon épouse, Doris, ne portait qu’un T-shirt très suggestif qui laissait deviner sa poitrine, une jupette ample et légère, un string de son maillot de bain sur le dessous. Moi-même, je ne portais qu’un T-shirt et mon maillot de bain. Nous avions pris aussi chacun nos serviettes de bain et un change pour nous changer éventuellement après nous être baignés.
Après deux heures de voiture avec plusieurs arrêts au bord d’immenses et magnifiques plages de sable blanc, après avoir traverser un petit village où nous nous étions arrêtés pour acheter des bouteilles d’eau fraîche. Nous décidâmes de faire escale sous le conseil de la commerçante qui nous avait indiqué une plage paradisiaque à deux ou trois kilomètres du village. Nous avions garé la voiture à proximité de la plage, sous les palmiers, le lieu était désert, avant de nous étreindre sur nos serviettes posées au sol, je me suis approché de ma belle pour l’aider à enlever son haut, puis j’ai posé mes mains sur la cordelette du tissu sur ces hanches pour le faire glisser au sol, mon maillot alla rejoindre son string, et c’est nu que nous avons rejoint l’eau salée.
Une baignade des plus sensuelle qui soit, frottements, caresses et baisés entrecoupés de nages, de l’eau jusqu’au ventre, Doris m’empoigna le sexe, nous allions sortir de l’eau ainsi, tiré par de la main ferme de ma muse sur une queue déjà bien en érection, nous n’étions pas sortis que quatre jeunes garçons torses nus en tenue de bain apparurent devant nous, Doris ne m’a pas lâchée, bien au contraire, la force de sa main sur ma verge c’est accentué créant même un léger coulissement, j’essayais de balbutier quelques mots pour lui faire comprendre… Ma coquine avait le sourire aux lèvres, fière sa capture et de cette exhibition, pour couronner le tout, ces fesses se sont mises à onduler outrageusement, pour mon plus grand plaisir, de la voir s’afficher de la sorte, elle était très provoquante, elle se pencha même dans une posture improbable pour ramasser un coquillage imaginaire, les cuisses écartées, ses orifices visibles ruisselants de gouttelettes d’eau de mer, avec mon étendard à la main, cambrant les reins et ouvrant de sa main libre, le sillon profond de sa croupe, dévoilant son anus rose pâle en une invite explicite.
Les quatre jeunes gens à quelques mètres de nous, n’avaient rien loupé de la scène, leurs tenues de bain très suggestifs par les formes dessinées sous les tissus, indiquaient même au repos, des mensurations inhabituelles, d’où nous venions. Nu comme des vers, le fou rire nous a pris, nous avons déballé nos petites provisions de fruits prédécoupés.
Eux, après quelques allées et venues en nous regardant du coin des yeux, toujours dans le jeu, je ne me démontais pas, je voulais provoquer quelques choses qui pour la première fois, bien conscient, que je n’allais peut-être pas pouvoir contrôler…
D’un geste, je les invitais à s’approcher comme pour leurs demander un renseignement, sous le regard surpris de mon épouse…
C’est debout devant nous que nous eûmes une sorte de conversation qui nous firent bientôt rire avec force gestes et mimiques, notre espagnol était des plus sommaires et ils ne parlaient aucune autre langue, si ce n’est quelques mots d’anglais élémentaire comme « yes, no, good, nice, very good », etc.
Doris avait du mal pour se retenir, hormis leurs magnifiques abdos, ces jolis yeux descendaient régulièrement pour se poser furtivement sur les tissus déformés qui comprimait leurs attributs et ce fait, dessinaient avec un détail incroyable les formes des cylindres…
Je leurs proposais de partager le panier repas qui constituaient notre déjeuner, ce qu’ils acceptèrent avec joie, se posant à nos pieds, au plus près de ceux de ma femme, la vulve presque apparente de ma belle attirait les regards mais discrets, j’étais fière, cela me provoquait admiration et sourire, et puis… je tenais ma petite vengeance de sortie d’eau...
Nos échanges nous permirent d’apprendre qu’ils avaient entre 19 ans et 24 ans respectivement et étaient venus du village parce que la plage où nous nous étions arrêtés était « very nice ». Le plus âgé et le plus grand s’appelait Juan, les autres, Miguel, Tonio et Alberto. Tous étaient de jeunes métis locaux avec une belle peau lisse d’un brun léger, et on pouvait voir qu’ils étaient costauds, avec des bras et des jambes solides, les muscles bien dessinés. Ils riaient avec nous de nos efforts de conversation polyglottes en essayant de jouer avec quelques mots de français typiques comme « joulie, Pareee et madameu ».
Il y avait à peu près une demi-heure que nous étions ensemble et nous venions de finir notre dégustation quand Juan sortit de son sac à dos, une bouteille de Rhum sans étiquette, des morceaux de bois à l’intérieur, je connaissais cette pratique, le rhum arrangé au bois bandé avait des vertus local dit aphrodisiaques. Il nous en proposa, que nous goutâmes tous les six en nous passant la bouteille à tour de rôle, en commençant par ma femme. L’atmosphère était déjà très détendue et ce que nous nous partagions la rendit vite encore plus agréable. La chaleur aidant, je savais que l’effet sur ma belle serait puissant, autant que sur moi, et je supposai que ce serait légèrement différent pour nos compagnons certainement habitué à cette boisson.
Au bout de quelques instants, d'ailleurs, je constatai que ces messieurs regardaient avidement mon épouse, les larges sourires s’accentuaient, certains étaient couché sur le côté, les cuisses écartées, ce qui avait tendance à accentuer leurs virilités et de créer des soubresauts. Ils portaient également de plus en plus ouvertement les yeux sur son corps, elle s’en était aperçue, au début, dans un mouvement de va et viens, ses jambes se disjoignaient du balancement, de plus en plus, ce qui leurs laissaient apparaitre ces petites lèvres roses légèrement ouverte sur le bas, elle se montrait aguicheuse, elle savait que toutes ses formes étaient contemplées jusqu’aux plus intimes détails. Cela l’excitait, elle s’était placée de telle sorte que de ma place j’avais moi aussi, une vue directe sur ses jambes, qu’elle avait délibérément entrouvertes avec un air coquin. L’alcool aidant certainement, le processus ambient devint érotique, avec une mine approbatrice à leurs intentions, ils plongeaient leurs regards dans son entrejambe ainsi offert qui eut pour effet d’augmenter nos érections. Mon visage illuminé induit immédiatement l’accroissement de l’ouverture des cuisses où apparurent au grand jour, les petites lèvres délicatement écartées de mon épouse qui ne se sentait nullement gênée par la présence de nos hôtes, exposant sans la moindre pudeur sa chatte luisante d’humidité, et dont les lèvres battaient sous les effets de l’excitation. Ils échangeaient de temps en temps des paroles discrètes et Juan fut soudain assez audacieux pour me faire comprendre en riant, gestes à l'appui, que Doris lui semblait très belle, très « joulie », ces formes, qu'il dessina dans l'air avec ses mains, ce que j'approuvai sur-le-champ en riant.
Durant notre pique-nique improvisé, de gros nuages s’étaient formés au-dessus de nos têtes et je me dis que nous allions sans doute avoir un peu de pluie, une de ces pluies brèves et soudaines des Caraïbes qui sont très appréciées quand il fait si chaud. Effectivement, quelques minutes plus tard, la pluie se mit à tomber, mais beaucoup plus fort que je ne l’avais pensé. En quelques secondes, nous étions tous trempés en quelques minutes, la température baissa rapidement. Nous rassemblâmes en vitesse nos affaires en rigolant et Juan nous fit signe de le suivre en courant. Notre petit groupe partit donc au pas de course dans la direction qu’il nous indiquait, sous les palmiers et les frondaisons. Soudain, mon épouse perdit la serviette dans laquelle elle s’était enroulée, je m’arrêtai pour la ramasser, ce qui me fit prendre quelques pas de retard sur les autres. Je me trouvais ainsi derrière eux cinq qui couraient sous les palmiers et je vis Juan prendre la main de Doris pour la guider.
A suivre...
#2341771
Nous vîmes rapidement apparaître une bicoque où nous allions pouvoir nous abriter pour laisser passer ce qui était maintenant un gros orage, Juan la pointa du doigt en nous faisant signe de courir encore plus vite. De grosses gouttes de pluie nous assaillaient et nous nous précipitâmes tous les quatre à l’intérieur en riant à gorge déployée car nous étions tous absolument trempés et dégoulinants de pluie. Je rendis la serviette à Doris qui la prit pour se sécher la tête, ce que je fis moi aussi avec la mienne. Pendant que nous nous séchions, la situation s’accentua, les garçons riaient toujours, dans le dos de mon épouse et en cœur, ils enlevèrent sans pudeurs leurs maillots de bain, laissant apparaitre des queues déjà bien bandées, ils accrochèrent les tissus à un clou de la bicoque, laquelle n’était qu’un ensemble de quatre murs de planches avec deux simples ouvertures équipées de jalousies en bois en guise de fenêtres, et un toit de tôle.
Quand ma muse eut fini de se sécher les cheveux, elle m’embrassa tendrement et se tourna vers les garçons, ces yeux devinrent tous ronds, tours à tours, Doris regarda, leurs corps, plus particulièrement leurs sexes, elle s’attarda plus particulièrement sur celle de Juan tout en lui faisant le geste de lui tendre sa serviette. Celui-ci arbora un large sourire en fixant ces yeux, il semblait beaucoup apprécié qu’elle le choisisse. Juan n’avait pas bougé quand elle avait commencé à tendre le bras vers lui pour lui donner la drap de bain . Les autres restèrent figés quelques secondes, les yeux dans les yeux, Juan se décida enfin à faire le geste de tendre la main vers la serviette quand elle poursuivit son propre geste et s’avança vers lui.
Doris m’expliqua plus tard que leurs regards s’étaient croisés durant cette seconde d’immobilité, et qu’une sorte de courant était passé entre eux, qui cela l’avait amenée instinctivement à avancer vers Juan.
Elle se plaça devant lui et se mit à lui sécher vigoureusement la tête. Il ne bougeait pas et se laissait faire souriant en parlant à son ami. Je tendis ma propre serviette à Miguel qui se mit lui aussi à se sécher les cheveux après que nous nous fûmes assis ensemble à même le sol. Je levai alors les yeux et constatai que Doris était passée derrière Juan, tout en lui frottant encore la tête, mais désormais le geste était lent et doux. Il n’y avait plus dans son geste la vigueur du début, son mouvement était devenu presque tendre. Après lui avoir frotté ainsi la tête quelques instants, elle lui frotta doucement le cou, les épaules, les bras. Juan ne bougeait pas d’un poil, il se laissait faire et apparemment, trouvait cela délicieux.
Doris me regarda quelques instants, son regard toujours amoureux mais remplis d’ interrogation, ces sens étaient confus à mon attention, je lui souriais pour la rassurer, clignais des yeux, en hochant même la tête, je savais que ce que je venais de permettre était lourd de sens, je venais d’acheter une séance du spectateur, une sorte de mise en scène érotique absolument.... grisante. … je venais d’appuyer sur l’interrupteur one d’un camera qui allait commencer à saisir le moment comme on saisit une image dans son imaginaire en lui donnant les valeurs rebelles des fleurs sauvages...
À suivre...
#2342772
La serviette devint un prétexte, les doigts féminins qui la dirigeait, dépassèrent les bordures du tissu pour rentrer en contacts directes avec la peau de cette homme, du bout de ces phalanges, elle lui caressait le dos, puis ces mains descendirent sur le bas, pour finalement venir atterrirent sur les fesses bombées, elle se rapprocha alors un peu plus de lui pour lui sécher le torse, Juan se retrouva pris en sandwich entre la serviette qui coulissait sur le torse et mon épouse.... Cette manœuvre l'avait amenée à passer les deux bras autour de lui sous ses bras, le contact fût inévitable entre les deux corps, la poitrine de mon épouse caressait son dos ambré, elle exagéra même la pression exercée, à bien finir plaquée contre lui, lui se fendait dans un large sourire. La serviette tenue par mon épouse glissa sur son ventre, à l’orée de cette mandibule déployée, phénoménale, fière d’elle même…
Le front de Doris s’appuya contre le dos de Juan, ses lobes mammaires écrasés contre sa peau. Les doigts de ma muse fleurtaient avec ces abdominaux, Juan eut des mouvements de recul pour accentuer la pression de ces fesses.
Comme tous deux étaient de profil par rapport à nous, il fut évident que Juan était très sensible à la situation, sa bite tendait de ces 26... 27 cm, au jugé, elle était surmontée d’un nœud très proéminent, un champignon, qui semblait encore prendre du volume.
Le désir de ma femme s’accentua, accéder au grâle devint un besoin essentiel, le premier contact inévitable de ces doigts avec la base de sa verge fut électrique, la serviette en tomba sur le sol, Doris impressionnée s’en mordit la lèvre supérieur, elle laissa échapper un soupire...
Le contraste de sa peau blanche et de ses ongles vernis sur le chibre de couleur sombre était magnifique, inexorablement et sans hésitations, elle l’enroula comme pour former une alliance en tirant sur sa peau, la queue tressaillait, la main glissa sur la hampe capturée en le redressant, le gros gland fût à son tour maltraité, Juan à son tour, poussa une plainte, Doris se laissa glisser accroupie, glissa entre les jambes masculines, elle lui attrapa les grosses prunes, tous comme mes pensées, elle devait les savoir pleinement gorgées de semences...
Elle s’était tellement entraînée qu’elle maîtrisait sa chorégraphie sur le bout des doigts...
Les lèvres de ma compagne déposèrent un baiser sur ces fesses magnifiquement musclées. Les yeux fermés, elle était plonger totalement dans le seul plaisir du geste de ses mains à la conquête de cette queue et du corps auquel il était rattaché, Il est clair que j’avais le sentiment que ma femme m’avait alors totalement oublié, elle vivait pleinement la sensualité de cet instant avec lui, un grand besoin de satisfaire ses envies, exprimées en premier lieu pas sa chatte, ses envies avec déployées tous ces sens, je suis sûr qu’elle se l’imaginait déjà posée sur ça vulve cherchant à écarter ses chairs, j’étais conscient…
Ces attouchements de ses parties génitales le rendaient sensible, son corps était tendu, sa bite toute droite réclamant encore ses stimulations, il devait éprouver le besoin impérieux d’être branlé. Comme par télépathie, elle s’empara de son chibre à pleine main, elle commença à le branler vigoureusement en poussant de petits grognements, faisant rapidement s’écouler de petites gouttes de sécrétion sur le méat, elle en pris une première fois avec son index, Et l’étala comme une huile de massage sur le gland, la deuxième récolte, la phalange vola à sa bouche, elle le goûta, et lécha goulûment le près-sperme, vulgairement, le regard avec une expression ludique à mon attention....
Elle profita pour déposer un peu de salive en crachant dans le creux de sa main, j’adorais qu’elle me prodigue cette caresse, son savoir-faire de était subtiles, frottant de cette humidité gluante le dessous du gland bombé, au niveau du frein naturellement décalotté, Juan émit un grognement plus fort de satisfaction, d’extase. Je la vis ensuite prendre fermement sa queue entre ses doigts et la tenir solidement, sans bouger, après quoi elle relâchait la pression de ses coulissements.. elle glissa une nouvelle fois son bras entre ces cuisses, attrapant au passage les deux Grosses couilles chargées, malaxant nerveusement les deux grosses prunes gonflées, toute impatiente et déterminée à bien lui les livrer.
À suivre...
#2343398
Doris se releva, le fit tourner sur lui-même, Juan face à elle, elle entreprit de lui caresser les épaules et comme pour le prendre dans ces bras, le dos, cela l’obligeait à être très proche de lui en gardant les bras autour de sa taille et en se collant littéralement contre son torse, la queue sombre au bout brillant sur son nombril, Juan posa alors ses mains sur les hanches de sa partenaire, pour l’attirer à lui, pendant qu’ils se frottaient mutuellement, il pencha sa tête pour embrasser le cou de ma belle sur toute sa longueur en remontant, puis sur sa joue, venant même à la limite de ces commissures de lèvres, elle resta interdite peut-être une seconde d'hésitation sur la marche à suivre, il l’a pénétra à ce moment-là avec ses doigts, court et épais, ce qui devait arriver arriva, leurs lèvres se rencontrèrent… cette double sensation de peur et de sexe lui faisait perdre totalement le contrôle de son corps, grisantes et extrêmes, elle gémissait de plus en plus fort et se sentait partir en transe érotique. Lui avait retiré ces doigts à un moment, pour le porter à sa bouche et savourer le jus, ses sécrétions intimes si délicieuses, pour ensuite retourner prodiguer un mouvement de piston, il devint de plus en plus incisif. La sensation pour Doris était inimaginable, je le sentais, je ne pouvais m’empêcher de penser ce que ce serait avec les bites, ces gros membres qui irait jusqu’au fond d’elle même. Elle fermait les yeux et se laissait aller. Toutes les mains sur elle la tourneboulaient, c’est elle qui cette fois alla chercher la bouche de l’homme, fougueusement, voracement les langues apparaissaient chargées de salive…
La jalousie me tenaillait devant leurs complicités évidentes, mais partagé avec l’excitation théâtrale de la situation, nous ne perdions rien du spectacle, nous en étions même, absolument fascinés par ce qu’ils voyaient, presque immobiles comme des statues, les yeux exorbités tellement ils voulaient ne rien perdre de ce qui se passait, les bites considérablement bandées, ils se masturbaient en alternance. Quant à moi, voir ma femme se faire caresser par ce bel apollon vigoureux, la voir dans cet état d’excitation, me fascinait, cela m’excitait énormément.
Pendant ce temps, un des jeunes, la queue un peu plus courte mais assez épaisse, s’approcha d’eux et les regardait attentivement sans oser faire de geste, il lança un regard vers moi, je lui fis signe d’être plus hardi. Il se plaça alors derrière ma belle, rejoint par les autres, et ils posèrent tous leurs fougues sur son corps, d’abord en caressant ses épaules puis en faisant passer ses mains vers l’avant pour toucher lui aussi ses seins, puis les mains palpèrent ses fesses, les queues se frottèrent à son corps. Les garçons la pelotèrent alors pendant quelques instants en même temps, leurs mains se touchant comme s’ils s’en disputaient amicalement la possession.
Ma femme s’écarta de Juan et se glissa à ces pieds, il la laissa faire, l’aidant même en lui tenant les mains, Doris souriait en le voyant venir vers elle, son corps puissant précédé de son membre engorgé qui remuait à chacun de ses pas nous offraient une vision légèrement ridicule et en même temps tellement érotiquement évocatrice. Quand il fut à sa portée, elle laissa tomber ses dernières retenues, caressant des mains le sexe et ses bourses… elle le passait sur sa joue, du menton à l’oreille contre ce sexe, du gland aux couilles puis elle le remontait son visage, caressait le gland de son menton et passait à l’autre joue, des filaments la reliant parfois à cette queue si filandreuse... Et puis, elle redressa son visage, le gland n’est pas posé sur le menton , ce sont ces lèvres qui l’accueillir lèvres, sa bouche rose effleurer ce gland mastiffs, j’étais sûr qu’elle n’y résisterait pas, elle allait le prendre... le goûter... le sucer…
Juan se figea quand il l’entendit m’adresser la parole.
« Tu vois ce qu’il fait, tu vois ce qu’ils vont me forcer à faire? »
« Oui, je comprends. »
« Et tu sais que je vais le faire, que je vais lui obéir? »
« Oui, je le sais. »
« Tu sais que j’en ai envie et qu’ils n’ont pas besoin de me forcer? »
« Je m’en doute. »
« Oui, je vais prendre leurs bites dans ma bouche parce que j’en ai envie, parce qu’ils me font mouiller comme une fontaine et que je veux les sucer ces petits salauds, parce que j’ai envie de sentir leurs belles queues dans ma bouche, les faire gonfler, les gouter un peu… peut être un peu plus… je les imagine déjà en moi... un délice... une nécessité... je suis impatiente de sentir mes chaires s’écarter devant eux... Je ne peux pas leurs résister, mon amour»
#2343684
Elle promenait le gland sur ses lèvres humides, y déposait de petits bisous, puis elle descendit jusqu’aux couilles, la bouche entrouverte, elle coulissait de tous son long, pour revenir suçoter le phallus... je ne le voyais pas, mais je savais, d’expérience, que sa langue ne restait pas inactive, Doris adore le près-sperme, par sa texture mielleuse, mais aussi son goût...
Juan enfourna profondément lui-même son sexe la bouche de ma femme, docilement elle lui ouvrit grand l’accès pour lui permettre de le laissé pénétrer au maximum, à genoux devant lui, comme en prière, les mains jointes et fermes sur les couilles de cette homme pour l’attirer à elle, la bouche de ma femme coulissait agréablement sur ce sexe noir baveux qu’elle faisait apparaître et disparaître comme par magie avec application. Le mouvement de va-et-vient du bassin de l’homme accentuait cette pénétration, il lui baisait la bouche. La main droite de ma femme lui malaxait … lui pétrissait les couilles, de plus en plus, dans une application un peu vulgaire, mon épouse était provocante, dans le geste du coulissement, la bite baveuse sortait régulièrement de la cavité buccale, des fils de salives mélangés au sécrétions pendaient entre eux , cette mixture gluante était re-avaler immédiatement par ma femme qui se projetait sur la tige massifié pour le branler sur sa langue ...
Elle révélait tout son art en la matière, une experte....
Miguel, Tonio et Alberto, quant à eux bandaient tout autant que Juan… et moi, bien sûr, aussi.
Ils avaient tous de belles queues avec leurs variantes, plus fine, longue, plus grosse de la base et plus courte, plus élégante peut-être si l'on peut dire. Un s’avança derrière ma belle et se mit à caresser ses fesses avec sa queue tendue en faisant lui aussi le geste de la baiser.
L’agitation particulière de la bouche de ma femme autour de son gland se faisait maintenant dans la contorsion, la langue et la bite étaient complices, elle le cajola à l’unisson, elle qui était quémandeuse dans cette folle farandole, si elle ne parlait pas, elle poussait des soupirs et des gémissements. Juan ouvre la bouche pour chercher de l’air, la bouche pleine, elle me regardait avec une lueur de vice que je connaissais. Ma salope était chaude, la braise s’activait entre ses cuisses, ses sens le pompait, le suçait avec une avidité impressionnante, cela déclenchait des gargouillis infâmes.... ô combien la situation était excitante, la suavité du moment me rendait remplie de fierté d’être l’homme qu’elle avait choisie pour faire sa vie... Le comportement frénétique de ma femme s’accentua, elle assumait entièrement sa nymphomanie, si belle, si désirable, tant d’amour en moi …
Des mains se sont glissées entre ses fesses brûlantes jusqu’à caresser sa petite rondelle et enfoncer leurs doigts entre les dentelles ruisselantes de sa petite chatte à la doigter lentement, profondément et j’ai vu son corps onduler au rythme du ballet de ses doigts, jusqu’à ce que ses râles étouffés de plaisir et ses vocalises orgasmiques se mettent à résonner. J’avais une vue splendide sur sa croupe qui s’activait, ses fesses qui montaient puis redescendaient pour que sa chatte engloutisse les doigts qui passaient par là, une vue splendide sur ses hanches qui ondulaient le bâton qui frotte au mieux sur les parois sensibles de son vagin. Dans un mouvement légèrement tournant, un enfonce ce fît aux millimètres, deux doigts vinrent prendre possession de son cul, il encadrait ce petit renflement situé à l’entrée, le pressait délicatement. cette zone est si tendre, si érogène que j’adore le lécher. Les pressions successives ne tardaient pas à produire leur effet…
La vulve de ma chienne se contractait, elle entonna un gémissement qui se transforma en un cri de jouissance étouffée par la queue en bouche. Brusquement elle redressa son cul en écartant les cuisses tandis que ses propres jets de liquide transparent jaillissaient en giclant de sa petite chatte blonde. Elle finit par s’écrouler sur des cuisses avant qu’ils ne la prenne dans leurs bras pour l’embrasser.
Nous avions franchi une nouvelle étape dans la vie de notre couple et l’un comme l’autre savions que ce ne serait pas la dernière.
Le sol grinça lorsque Juan se mît à lui lécher sa vulve en feu, puis, en place entre ses jambes ouvertes, avant de la pénétrer, cette queue sombre, noire, qui écarta ses chairs blanches que le soleil n’avait jamais été autorisé à contempler, rendit la possession encore plus forte, le délicieux supplice pris fin, le gland, imprégné de la liqueur et de salive, s’immobilisa enfin poser à l’entrée du vagin, coincé entre ses lèvres gonflées et brillante, il s’engagea en elle, brusquement. Le pieu était là, planté en elle, elle se tortillait sous la possession, chaque centimètre carré de son vagin en contact avec la chair brûlante de son partenaire. Le brasier qui s’annonçait enflamma son désir de l’homme. Mais celui-ci ne bouge pas, comme s’il attendait quelque chose, l’homme s’exécutait, très lentement au début. Ce niveau d’excitation était jusqu’alors inconnue pour ma femme, dilatée et remplie de la sorte par cette inconnue, la faisait mouiller comme une fontaine, chaque mouvement de pénétration lui arrachait un bruit mouillé provenant de sa chatte.
Sa main se tendait pour masturber les queues à sa portée, à chaque poussé profonde, elle gémissait plus fort et ses doigts coulissaient plus rapidement sur les sexes. Lorsque le sexe de l’homme vint cogner au fond de sa chatte, sa poitrine se souleva, Juan commence à la besogner profondément, la respiration de mon épouse s’accéléra immédiatement en trahissant une intense émotion...
#2344698
Mes pensées étaient devenues folles, floues, je me laissais divaguer, ma femme m’excitait énormément, la sensation que j’éprouvais pour elle, étaient un véritable délice. Elle s’appliquait tellement en poursuivant sa quête orgasmique que déjà nous sentions Juan au bord du paroxysme, mais il continuait malgré tout, avec ardeur…
Doris enfournait et ressortait la queue, le branlait avec vigueur en crachant parfois dessus avant de l’emboucher à nouveau, elle pompait une autre, les aspiraient en mettant tout son cœur et son savoir-faire, pour faire couler les sèves... Son visage était parcouru de mimiques qui trahissaient une volupté intense mêlée à la douce souffrance du plaisir. Elle me souriait victorieusement, les regards que nous échangions régulièrement, trahissaient notre bonheur d’une immense complicité.
Dans un ultime assaut, les doigts incrustés sur ces hanches, Juan plongeait en elle profondément, dans de derniers râles, la vague de plaisir qui submergea mon épouse la délivra, elle projetait son bassin à la rencontre des jets de sperme brûlants qui lui cognaient son fondement, fouettaient sa matrice et la conduisait vers une vague orgasmique, la situation était presque bestial, cela l’embrasait entièrement, les corps se crispait plus forts dans les mouvements de va et viens, elle poussait des cris, rauques, sauvages, qui évacuaient brutalement toute l’émotion accumulée.
Le hasard fit que, simultanément, l’étalon tenu en main, voulu pénétrer sa bouche dans un mouvement un peu brutal en poussant un grand « han » tandis qu’une giclée de sperme épais et chaud s’expulsait de sa queue et lui éclaboussait la figure. La bouche ouverte, le second jet s’y engouffra, elle déglutit avec précipitation pour ne pas étouffer, à ne point perdre une goutte.
Le mandrin qui la défonçait toujours à grands coups rageurs la rendait folle, Juan ne ménageait ni sa peine, ni son plaisir, ni sa partenaire, il la baisait mieux que bien, elle adorait cette bite, plus tard, elle me dit que jamais elle n’avait connu de pareilles sensations. Elle avait eu l’impression de n’être plus qu’un tout, une chatte et une queue, sur lesquels le temps s’est figé en un seul mouvement.
La bite qui s’activait dans son fourreau débordant était toujours dure, mais voluptueusement douce comme du velours. Elle suçait de concert, allant même nettoyer celle qui l’avait éclaboussée avec précision, je crois qu’elle cherchait à lui redonner de la vigueur. En baissant les yeux, elle apercevait l’abdomen tablette-de-chocolat qui venait lui cogner le pubis avec frénésie. Son étalon aperçut son regard, il retira sa queue couverte de mousse blanchâtre de sécrétions mêlées, coulissa entre les lèvres ouvertes pour la lui montrer, l’impatience était palpable dans les yeux de mon épouse… et il replongeât profondément dans sa chatte en s’enfonçant jusqu’à la garde, accélérant parfois brusquement encore et encore, l’étalon se crispait modulés plus ou moins fort selon la brutalité du coup de queue qu’il lui affligeait. Quand son gémissement devint continu, je reconnu cette fois-ci le bruit que mon épouse fait au moment où je me vide au fond de sa chatte, dès la première giclée de sperme dans ces entrailles, elle feula de sa gorge, s’arc-boutassent de son corps, tétanisée par la jouissance que cela pouvait lui procurer.
— Le sperme… oh oui… le sperme… c’est booon! Salaud, gicle-moi tout… oui…
Ma femme ne put alors se retenir plus longtemps, entreprit alors avec moi le dialogue suivant :
« Oh, mon amour, j’ai honte de ce qu’ils font avec moi. »
« Je sais, tu as honte de ce que tu les as laissés faire. »
« Mais je n’ai pas pu résister. »
« Je sais, tu es incapable de résister parce que tu aimes ça. »
« Oui, c’est vrai, j’aime ce qu’ils me font… parce qu’ils sont beaux et forts. Et tu ne les as pas empêchés non plu. »
« Et tu aimes t’humilier devant des hommes, n’est-ce-pas? »
« Oh oui, mon chéri, j’aime beaucoup. Tu ne m’en veux pas, dis? »
« Non, je sais que tu as du plaisir. »
« Et toi aussi, hein? »
« Oui, j’aime voir comment ils te traitent. »
« Comment crois-tu qu’ils me traitent? »
« Mais… comme une salope, ma chérie. »
« Oh non, ne dis pas ça, c’est pas vrai. »
« Mais si, tu le sais bien. Pense d’ailleurs à ce qu’ils te font maintenant. »
« Oh, non, non, mon amour, non, je ne peux pas les laisser faire ça. »
Ces jambes se relevèrent, elle sentit, un nouveau gland se positionner contre son œillet qui appuya doucement puis, petit à petit, en douceur, les lubrifiants naturels par les nombreuses coulures lui facilitaient la tâche, malgré la longueur du chibre, je le vis disparaitre à petits coups dans son fondement. Aucune douleur ne fût perceptible sur le visage de Doris, rien que du plaisir. La queue alla jusqu’au bout, elle devait même le sentir dans son ventre. La queue se retira entièrement, pour se replanter au plus profond… La sensation devait être inimaginable, ma chérie était abasourdie de cette manœuvre, découvrir une telle symphonie de plaisir, le pied absolu. Le pieu dans son cul remuait un peu, se faisait de plus en plus présent, le mec qui contrôlait cette tige s’agrippa aux hanches de mon épouse, commença à la marteler de tous son poids, elle en devint folle à sombrer dans e néant… Le sodomite accéléra encore.
« Oooohhh ouiiiii, c’est tellement bon… c’est bon, mon amour. »
« Tu aimes qu’il joue avec ton trou, hein? »
« Ouuuiiii, dit-elle dans un souffle, j’adore ça. »
« Tu ne penses pas qu’ils sont très effrontés? »
« Si, ils osent plein de choses obscènes avec moi. »
« C’est parce qu’ils ont compris qu’ils peuvent avec toi, ma putain. »
L’un des partenaires à côté de son visage lui tourna la tête, il se branlait depuis un moment avec frénésie et, sans prévenir, lui envoya un puissant jet de sperme sur le côté du visage. Elle se tourna vers lui, bouche ouverte, comme pour le gober, la bite gluante s’y engouffra.
— Vois-tu, tu auras du sperme dans les tripes, dans la chatte et dans la bouche. J’en rêvais. Tu veux qu’il t’encule plus fort ?
— Oui, qu’il m’encule… Qu’il encule ta putain… plus fort… à fond ! C’est booonn… plus fooort ! – Plus viiiiite… casser-moi ! J’aime trop être enculée ! Vas-y…! C’est boooooon… !
Elle est vigoureusement secouée par la bite qu’elle avait dans les entrailles et cela renforça l’action de celle qui lui s’occupait de sa moule. Elle se sentit tout lâcher…
— Ah… aaaaaaaahhhhh ! Je… peux plus… je jouis !… je jouiiiiiiiiiis… !
La déferlante de plaisir l’agita en tous sens, mais les mains la clouaient au sol. Elle sentit les soubresauts du membre cracher son sperme dans son conduit.
Pendant quelques secondes, la conscience étouffée par le plaisir, elle ne percevait pas les mouvements autour d’elle. Les partenaires échangeaient leurs places. En deux ou trois mouvement, elle se retrouva couchée sur le ventre, les cuisses tenues écartées, bientôt à sentir l’intrusion d’un autre appendice, plus épais, le passage de son œillet fut plus sensible malgré sa dilatation, inséré, des coups de piston rageurs s’enchaînaient… Elle pensait être anéantit.
Les coups s’interrompaient. Son partenaire, aidé par les autres, effectuait une rotation et se coucha sur le sol en l’emmenant dans son mouvement. Elle fût couchée sur le dos, posée sur le ventre de l’enculeur, dont la bite restait immobile, enfoncée à fond dans son fondement. Un autre lui saisissait les jambes, les releva et les cala contre ses épaules. Son sexe si tendu qu’il était à la vertical, un mât dont le gland faisait office de hune, il lui pénétra la fente, outrageusement baveuse de tant de liqueurs, la chatte de ma salope fût pistonnée, la violence de ses coups remuait le pieu qui l’empalait par derrière. Le plaisir était double, la sensation ineffable. Elle se mit à dévorer les deux membres aussi durs que le marbre qui vinrent devant sa bouche, tantôt l’un, tantôt l’autre. La bouche gigantesque engloutit entièrement les sexes, ses joues qui se creusaient quand elle aspirait goulûment, j’étais affolés, la sensation était cette fois-ci, indescriptible. Elle les happait férocement, telle une lionne affamée, c’était un pur délice. Chacun des deux grognaient de mécontentement lorsque les lèvres charnues et pulpeuses quittaient pour se consacrer à l’autre.
Elle y trouva certainement ses rêves les plus fous comme les miens : être traitée comme une femelle soumise, sans le moindre ménagement, pour le maximum du plaisir. Les yeux mi-clos, elle planait sur un océan de volupté en exprimant petits cris, petits râles, petits hoquets, petits sanglots, petites plaintes, profonds soupirs…
Les deux masses de chair exécutaient une danse endiablée, rythmée, juste le passage entre deux la libérait de crier sans retenue de chaque estocade profonde. Le tourbillon de sexe ne s’arrêta alors que Doris toujours empalée sur les membres des champions, haletante, lorsqu’un des blacks qui s’agitait dans sa bouche devenue docile, se répandit tout d’abord abondamment au fond de sa gorge. Elle était à la limite de l’écœurement quand il se retira pour asperger son visage d’un jet encore massif et puissant. L’autre suivi, se dispersant dans ses cheveux, éclaboussant ses narines, dégoulinant sur ses lèvres, comme elle recrachait le cocktail de foutre et de salive, il empoigna sa crinière pour s’enfoncer une dernière fois en elle afin qu’elle avale. Son cri de plaisir devenait impressionnant, elle se lâchait une nouvelle fois, poussait des gémissements, des sons rauques puis des cris saccadés… ah ah ah ah ou en mélopée, modulés aahhhh aaaaaaahhhhhhh aaaaaaaahhhhhhhh, je voyais son corps trembler, frémir, sa respiration de femelle queutée s’accélérait, tout comme son mouvement d’ascenseur qu’elle aidait en prenant appui sur sa main gauche tandis que de la droite, elle s’accrochait au membre pour le sucer avidement. Nous savions tous sa jouissance extrême, secouée de vagues continues de plaisir, totalement abandonnée à la violence croissante de ces garçons devenus ses amants, totalement soumise au groupe maintenant, comme une jument saillie par des étalons, à la merci de membres énormes. Ceux-ci étaient proches aussi de l’explosion, comme le montrait le rythme infernal qu’ils imposaient maintenant à son cul et à son con, ainsi que les mots manifestement crus et violents qu’ils laissaient tous échapper à son sujet, comme ce mot de « Puta » que je les entendis à nouveau prononcer. Et c’est dans un hurlement de plaisir commun que je les voyais exploser à grands coups de reins, et gicler en même temps, presque simultanément, ils lâchèrent leurs giclées de sperme, elle devait être au paradis des épouses infidèles, elle tremblait de tout son corps, c’était extrême, ressentir ces vagues inexorables au fond de son ventre, de ses entrailles, obligée de se laisser envahir par tant de liqueur chaude. Vaincue par la violence de leurs doubles saillies, les deux bambous de béton continuaient à coulisser doucement, elle se relâchait, mais semblait anéantie. Jamais elle n’avait joui comme ça, et jamais elle n’aurait cru qu’une telle intensité de plaisir puisse se réaliser.
À suivre...

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