- 22 sept. 2019, 11:58
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Après notre petite escapade sur ce parking où miss avait été offerte à plusieurs inconnus, dans les jours qui suivirent, je remarquais qu'elle était quelque peu troublée . Comme à notre habitude, ayant beaucoup de conversations, je lui demanda ce qui la perturbait , si j'avais mal agis, si je lui avais manqué de respect ou tout autre chose dont j'ignorais l'origine . Immédiatement, elle me répondit qu'à aucun cas, je lui avais manqué de respect, bien au contraire et que dans ce genre d'expérience, parfois après celle-ci, elle se refaisait le film de la soirée et dans ce cas ci, elle et je suis complètement d'accord avec elle, elle me faisait remarquer, que l'on avait pris quand même pas mal de risques en s'aventurant dans ce parking, ne sachant pas ce qui aurait pu se passer si cela avait dérivé. Sur l'aspect sexe proprement dit, elle me fit remarquer qu'elle avait pris son pied et que l'idée d'une pluralité ne la dérangeait pas, bien au contraire mais alors dans un lieu sûr et avec des personnes que j'aurais pris la peine personnellement de rencontrer afin de voir à qui nous aurions à faire. Cette petite mise au point faite, quelques jours après, ma femme est conviée à l'inauguration de la nouvelle aile de l'hôpital où elle travaille. Les conjointes (s) sont également les bienvenus et nous nous rendons à ce drink un peu par obligation puisqu'elle est chef de service, hé oui, c'est une blouse blanche. Beaucoup de monde dans ce bâtiment encore non occupé, une petite visite des lieux se fait , ce après quoi, un apéro dinatoire nous attendait. Ma femme me présente ses collègues tant féminines que masculines . La soirée est très bonne enfant. Mon épouse, bien naturellement converse avec pas mal de gens, obligations professionnelles et donc, j'erre ci et là . Ma femme, me parlait de temps à autre de son boss comme elle l'appelait et il apparaît qu'ils ont l'air de bien s'entendre, je remarque qu'elle est en sa compagnie depuis un certain temps, verre de champagne à la main et leur comportement m'intrigue car j'imagine qu'il pourrait y avoir bien plus qu'une relation de travail. Bref , enfin, elle me revient , un peu perturbé par ce que je venais de voir, peut-être un peu de jalousie, un peu laisser de côté et je lui dis, tu as l'air de bien t'entendre avec ton boss comme tu l'appelles? Elle me répondit au creux de l'oreille, serais tu jaloux? Aurais tu peur qu'il me baise? Ca ne t'excite pas d'imaginer ce qu'il pourrait me faire, que je pourrais le sucer jusqu'à avaler son foutre ? Elle ne devait pas en dire plus, ses paroles me faisaient bander et mon excitation grimpait en flèche. Je lui dis , bien sûr que j'aimerais qu'il te baise mais comme tu le sais, toujours en ma présence. Son sourire en dit long et elle rajoute , et si j'en avait envie maintenant , là tout de suite. Bien entendu, je la pris pas au sérieux, les lieux ne s'y prêtaient pas et puis je n'y croyais pas malgré qu'au plus profond de moi, j'en avais envie, envie de voir cette queue la limer. Le temps passe et un moment donné, je constate que ni ma femme , ni ce médecin ne se trouvent dans la salle et j'imagine directement qu'elle s'affaire soit à le sucer ou à se faire sauter. Un peu déstabilisé, même un peu fâché , je patiente en ruminant lorsque je reçois un texto. C'était ma femme qui m'indiquait où me rendre , quel route suivre ( maintenant dans les hôpitaux universitaires, ce sont des routes que l'on emprunte ) . Je m'active , je fais quelques dizaines de mètres , je regarde le numéro de porte, je n'ose pas ouvrir où plutôt si, j'en ai très envie , savoir qu'elle se trouve derrière celle-ci et occuper à se faire démonter , m'excite. J'entends de petits gémissements, je dois me rendre à l'évidence, elle avait pris seule l'initiative. Les lieux sont déserts, je bande comme un fou. Mais quelque chose me surprend, j'entends pas une, pas deux mais bien 3 personnes parler, traitant ma femme de petite salope, de petite pute. Je me masturbe, le fait de me trouver à l'extérieur et d'imaginer me procure encore plus de plaisir. Un autre texto me demande , où es tu ? dépêche toi, je suis entrain de me faire démonter, que c'est bon, 3 grosses queues pour moi seule sans toi, viens vite, une quatrième me plairait bien. Je fais le code d'accès pour entrer dans ce bureau, et je la vois déjà en double pénétration et une bite dans sa bouche. La scène était merveilleuse, splendide. Ayant entendu la porte s'ouvrir et se refermer, aussitôt elle me pria de m'asseoir, de la regarder. Je lui demanda de les rejoindre mais sur ce coup là, elle me répondit dans la négative, argumentant que c'était sa soirée, que la dernière fois, c'était moi qui l'avais un peu contraint à s'offrir à des inconnus….