AgnesB31 a écrit :Nos jeux dans les trains de nuit.
Il faut savoir qu’Alain adore les trains.
Nous avons des amis toulousains, Patrice et Chloé, que nous voyons au moins une à deux fois par an. C’est un couple charmant qui ne partage pas nos goûts et nos pratiques sexuelles, mais avec qui au demeurant nous partageons d’autres choses et ce depuis des années.
A chaque fois que nous allons les voir et que nous passons quelques jours là-bas c’est un pur plaisir mais côté libido c’est le désert. Lors d’un voyage nous sommes parti en avion pour rejoindre notre couple d’amis et Alain eu cette réflexion. « J’adore Patrice ainsi que sa femme mais par contre quand on va les voir nous ne baisons plus. Il faudrait trouver un jeu qui nous convienne pour épicer ces trajets ou du moins notre séjour ».
On ne peut qu'adorer cette histoire, si bien racontée par l'actrice elle-même...
L’idée germa dans la tête de mon mari. Cette fois-là, notre retour se ferait par un train de nuit, Toulouse-Paris.
Alain m’expliqua son idée :
« Nous allons voyager de nuit dans une cabine 1ere classe où nous réserverons trois lits sur quatre. Nous tomberons sûrement avec un autre homme car très souvent les femmes seules prennent l’option d’être avec d’autres femmes. »
Ainsi, le jeu s’installa. Alain m’indiqua que nous arriverions très tôt et ainsi nous monterions à bord du train en premier. Arrivés à notre cabine, il ferait semblant de dormir sur l’une des couchettes du haut (l’autre étant réservée pour y mettre nos bagages laissant ainsi une seule possibilité pour l’inconnu d’être en bas à côté de mon lit.)
Dès que l’homme arrive pour prendre sa place je suis là et lui explique que mon mari (dors avec un bandeau de nuit sombre sur les yeux) est malade en train et prend un lourd somnifère pour ne rien voir du trajet et se réveiller une fois arrivé.
Ceci me laisse tout loisir de faire mon numéro de femme très « libérée ».
A ce stade vous allez penser que cela ne devait pas fonctionner. Au début je pensais cela.
Pourtant et après presque plus d’une vingtaine de voyage de nuit et à chaque fois la magie opéra (sauf deux fois).
Le truc est que quand la personne arrive dans la cabine, Alain est déjà couché et grâce a son bandeau sombre, il peut tout voir de ce qu’il s’y passera et nous sommes déjà dans une certaine pénombre.
Moi je suis en nuisette sur ma couche et j’explique rapidement le pourquoi du comment. A chaque fois les hommes sont compatissants![]()
![]()
![]()
La seule fois où j’ai refusé les appels de l’inconnu était en rapport avec son physique très ingrat doublé de son hygiène. La seconde fut un jeune-homme qui n’avait sûrement trouvé aucun attrait à mes charmes. Les autres fois se fut pour le moins de l’exhibitionnisme, ou de la masturbation et jusqu’en arriver à des rapports un peu plus d’une dizaine.
Voilà le genre de « jeu » qui nous excite.
Pour les meilleures fois, je vous en citerai trois :
- La première fut celle où un homme âgé d’une cinquantaine d’année m’a demandé de me masturber devant lui durant presque toute la nuit. Il me fit me mettre dans toutes les positions, sans jamais me toucher mais en se masturbant lui aussi. Cette nuit là fut longue pour moi. Il éjacula une dizaine de fois ou un peu plus. C’est une des préférés d’Alain.
- La seconde est quand j’ai commencée très doucement en faisant celle qui était dans un sommeil léger et qui descendait tout d’abord la couverture, puis le drap, ensuite remontant ma nuisette pour in fine finir sur mon lit complètement nue. Quand je simulai mon réveil, j’avais deux gros yeux qui me matait la bave (presque) aux lèvres. Cette fois là ce dernier me sauta dessus (on aurait pu croire à un viol si après la minute il s’aperçu de mon ouverture !). Nous avons baisaient devant les yeux (bien ouvert) d’Alain pratiquement dura tout le voyage. Nous avons d’ailleurs laissé ce dernier dans sa couche à notre arrivée, ronflant de tout son souffle. Il doit être encore en train de récupérer…
- La troisième histoire du train de nuit, fut celle avec un beau jeune-homme black d’une vingtaine d’années. Ce dernier ne me laissa pas faire mon numéro habituel d’effeuillage car le train avait -il quitté le quai de gare, qu’il était déjà sur moi en train de me sodomiser. Cette nuit mérite d’être citée ici car ce fut la seule fois de mon existence à avoir du mal à marcher quand nous sommes sorties du train.
Voilà le genre d’aventures qui nous excitent et nous font rires.
Si cela vous intéresse, je vous raconterais d’autres jeux ou scénario qui par contre font plus de dégâts collatéraux.
@ Bientôt