- Hier, 22:56
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Je me doutais bien que ma Sandrine allait très vite adoré les plans à trois, mais je ne pensais pas qu’elle préférait encore plus avec eux qu’avec moi.
Elle a très vite adoré de jouer de ses atouts, de ses gros seins, de son gros cul, d’être toujours apprêté si ils lui faisaient la surprise de passer à la parfumerie, le fait de les rendre fou de désirs l’excitait.
Même si je l’ai su bien après, j’ai adoré de savoir mon épouse devenue sous les désirs de Philippe une vraie petite chienne de concour, une vraie petite salope, j’en avais rêvé, c’était devenu réalité.
La première fois qu’elle s’est retrouvée avec eux deux, chez nous en plus et sur notre canapé, elle aurait aimé que ça commence plus doucement, plus sensuellement mais elle s’est retrouvé prise en levrette tout habillé. Elle portait une lingerie érotique pour cela et elle n’avait pas à s’étonner d’être traité comme une chienne. Avec la grosse queue de Tony pour la première fois et sans capote bien profond dans sa chatte, celle qu’elle avait déjà eu en bouche, elle a joui comme jamais de cette situation brutale et fortuite.
Pourtant le lendemain elle en a eu un peu honte, mais sur le moment, elle s’est laissé faire, elle savourait le plaisir d’être soumise aux désirs de ces deux mâles en rut qui ne lui ont pas demandé son avis qui ils l’ont pris comme une pute. Tony lui a fait une nouvelle fois avaler s’en foutre et Philippe finissant bien au fond de sa chatte comme d’habitude.
La deuxième fois chez lui, elle était en jean comme pour prévenir mais son décolleté trahissait son envie.
Tout sourire de l’avoir à leur disposition chez lui, l’invitation ne laissait aucun doute sur la partie de baise, si elle était là, c’était pour cela, et rien d’autre. C’est donc sans aucune gêne, qu’ils ont dégrafé leurs pantalons et se sont placés au-dessus d’elle pour lui baiser la bouche chacun leur tour, en la traitant de grosse chienne.
Le fait qu’elle soit en jeans les a bien amusés car alors qu’elle les suçait, c’est elle-même qu’il l’a ôté son pantalon pour la suite et elle a pris une bonne fessée que ses grosses fesses réclamaient. Elle a eu droit à la totale, elle s’est fait enculer pour finir en double pénétration tout aussi vite que si elle avait été en jupe.
Elle essayait de nouer une relation différente et finalement ambigu avec eux. J’y vais, j’y vais pas… et finalement elle y allait et elle se faisait baiser à chaque fois comme une pute.
Le lendemain elle avait toujours un peu honte et elle m’en touchait quelques mots comme si j’étais sa conscience. L’échange était toujours excitant, car elle savait que ça me plaisait d’avoir enfin quelques détails croustillants. Elle culpabilisait pour elle, pas pour moi d’autant plus qu’ils la baisaient aussi chacun de leur côté régulièrement tout aussi crûment. Ils avaient même d’autres idées en tête, bien plus dégueulasses pour assouvir leurs pulsions sexuelles.
Ils ont fini par aller un peu trop loin et nous avons déménagé.
