- 19 janv. 2011, 23:07
#197538
Après la première rencontre, ma Femme a continué à communiquer avec cet homme sur le site libertin. Ils se sont envoyés aussi des SMS. Ma chérie me racontait aussitôt les messages enflammés qu’elle recevait et qu’elle lui répondait également. Aujourd’hui, elle doit accepter ou non, d’être sa soumise. C'est-à-dire autoriser cet homme à lui faire subir ses diverses demandes sexuelles. Bien sur avec son accord. Il deviendrait alors son dominateur. Pour cela elle doit accepter le rencontrer seule chez lui habillée sexy et sans string. Elle a un peu peur, mais cela la tente beaucoup. Car elle me dit apprécier énormément les fantasmes de cet homme. Cela m’angoisse, car je ne veux pas qu’elle prenne des risques. Nous ne le connaissons pas vraiment.
Les nuits qui ont suivis ont été pour nous, très agitées. Parce que nous faisions l’amour en pensant à la demande de cet homme qui nous bousculait et qui nous excitait aussi. Et puis, j’ai eu l’idée, pour permettre à ma femme de rester en contact avec moi, si elle acceptait de le rencontrer seul, d’utiliser son téléphone portable en communication permanente avec moi. Le sien dans la poche de son manteau et le mien avec le kit main libre dans ma voiture.
Nous avons donc pris rendez vous ce vendredi a 18h chez lui. Pour l’occasion ma femme avait mis une mini robe brillante, ultra moulante et si courte qu’elle laissait voir le bas de ses fesses. Un zip devant permettait de la déshabiller en un clin d’œil. A la demande de cet homme elle devait être complètement nue dessous. Bien sur, elle avait mis des bottines à talons hauts (celles qu’elle porte sur la photo) et un manteau par-dessus qui, fermé, ne laissait pas tellement paraitre le volcan qu’il pouvait y avoir dessous.
Nous sommes arrivés à 18h15, car je roulais très doucement sans m’en rendre compte, peut-être pour reporter le plus loin possible le moment ou ma chérie s’offrirait à cet homme. Devant chez lui mais à l’abri de sa vue, nous avons mis en communication nos téléphones. Ma femme, m’a demandé de l’accompagner jusque devant la porte de son futur maître si elle l’acceptait bien sur. Car elle avait peur de croiser quelqu’un en montant l’escalier. Cela ne pouvait pas laisser d’équivoque possible car l’homme devait être connu de ses voisins. Arrivés devant chez lui, elle ouvrit son manteau, et nous nous sommes embrassés très fort. J’en profitais pour lui caresser le sexe, que je trouvais très lisse et étonnamment très ferme, l’excitation était me semble t’il déjà au maximum. Elle me dit de m’en aller avant qu’elle ne sonne. Ce que je fis aussitôt. Descendu d’un étage, j’écoutais l’homme lui ouvrir la porte et s’extasier devant cette femme qui n’était bientôt plus, uniquement la mienne.
Je me dépêchais de rejoindre ma voiture et là je me suis mis à écouter leur conversation qui était, il faut bien le reconnaître, pas très audible mais toutefois compréhensible. L’homme ordonna à ma femme de se mettre à genoux et de lui faire une fellation. Ensuite, à nouveau debout elle fut déshabillée et embrassée vigoureusement me raconta t’elle. Car il n’est évidemment pas facile d’entendre cela au téléphone. Quelques échanges ont eu lieu. Lui assez autoritaire et ma femme déjà soumise lui répondait. Elle devait être attachée avec des bracelets en cuir reliés à une barre métallique aux chevilles et en bois aux poignets. Les bras en l’air et attachés a une sangle il lui caressait le sexe en lui disant tu aimes ça petite chienne ! Et la réponse fut « oui Maître ».
C’est alors qu’il la fouetta avec un martinet qui claquait dans les hauts parleurs de ma voiture. Après un quart d’heure et toujours prêt à intervenir si cela tournait mal, il lui imposa un bondage qui pour lui serait très joli sur son corps très mince. Ma femme était ensuite allongée par terre sur le ventre avec les jambes repliées et écartées qui devait rendre son sexe entièrement disponible.
C’est alors qu’elle lui demanda de lui faire l’amour. Il lui répondit que c’était exceptionnel et qu’il ne faisait jamais ça pendant une séance de soumission. Elle était à nouveau debout et je l’entendais gémir de plaisir sous les coups de boutoir de cet homme qui maintenant faisait tout ce qu’il voulait.
Après leur étreinte il lui demanda comment elle devait me contacter pour que je vienne la chercher. Bien entendu c’était par téléphone. C’est alors, et au bout d’une heure et demi, que je décidais de couper la communication. Mais il m’a fallu encore attendre une demi-heure avant que mon téléphone retentisse. Je m’étais fixer justement cette limite avant d’aller sonner à la porte.
C’est ma femme qui ouvrit la porte. Elle était entièrement nue avec ses bottines et je voyais dans son regard un mélange de satisfaction et de fierté. Je l’embrassais et lui caressais les seins qui pointaient fièrement. Une fois vers l’homme, celui-ci m’offrit un café et me remercia de lui avoir fait confiance (confiance contrôlée quand même, mais il ne le savait pas). Ma chérie remit sa petite robe, et son manteau et nous avons pris congé de notre hôte. En rentrant chez nous, nous nous sommes arrêtés au bord de la route dans un chemin forestier et nous avons fait l’amour. Je voulais absolument profiter aussi de ce corps magnifique qui par magie était encore plus désirable.
Les nuits qui ont suivis ont été pour nous, très agitées. Parce que nous faisions l’amour en pensant à la demande de cet homme qui nous bousculait et qui nous excitait aussi. Et puis, j’ai eu l’idée, pour permettre à ma femme de rester en contact avec moi, si elle acceptait de le rencontrer seul, d’utiliser son téléphone portable en communication permanente avec moi. Le sien dans la poche de son manteau et le mien avec le kit main libre dans ma voiture.
Nous avons donc pris rendez vous ce vendredi a 18h chez lui. Pour l’occasion ma femme avait mis une mini robe brillante, ultra moulante et si courte qu’elle laissait voir le bas de ses fesses. Un zip devant permettait de la déshabiller en un clin d’œil. A la demande de cet homme elle devait être complètement nue dessous. Bien sur, elle avait mis des bottines à talons hauts (celles qu’elle porte sur la photo) et un manteau par-dessus qui, fermé, ne laissait pas tellement paraitre le volcan qu’il pouvait y avoir dessous.
Nous sommes arrivés à 18h15, car je roulais très doucement sans m’en rendre compte, peut-être pour reporter le plus loin possible le moment ou ma chérie s’offrirait à cet homme. Devant chez lui mais à l’abri de sa vue, nous avons mis en communication nos téléphones. Ma femme, m’a demandé de l’accompagner jusque devant la porte de son futur maître si elle l’acceptait bien sur. Car elle avait peur de croiser quelqu’un en montant l’escalier. Cela ne pouvait pas laisser d’équivoque possible car l’homme devait être connu de ses voisins. Arrivés devant chez lui, elle ouvrit son manteau, et nous nous sommes embrassés très fort. J’en profitais pour lui caresser le sexe, que je trouvais très lisse et étonnamment très ferme, l’excitation était me semble t’il déjà au maximum. Elle me dit de m’en aller avant qu’elle ne sonne. Ce que je fis aussitôt. Descendu d’un étage, j’écoutais l’homme lui ouvrir la porte et s’extasier devant cette femme qui n’était bientôt plus, uniquement la mienne.
Je me dépêchais de rejoindre ma voiture et là je me suis mis à écouter leur conversation qui était, il faut bien le reconnaître, pas très audible mais toutefois compréhensible. L’homme ordonna à ma femme de se mettre à genoux et de lui faire une fellation. Ensuite, à nouveau debout elle fut déshabillée et embrassée vigoureusement me raconta t’elle. Car il n’est évidemment pas facile d’entendre cela au téléphone. Quelques échanges ont eu lieu. Lui assez autoritaire et ma femme déjà soumise lui répondait. Elle devait être attachée avec des bracelets en cuir reliés à une barre métallique aux chevilles et en bois aux poignets. Les bras en l’air et attachés a une sangle il lui caressait le sexe en lui disant tu aimes ça petite chienne ! Et la réponse fut « oui Maître ».
C’est alors qu’il la fouetta avec un martinet qui claquait dans les hauts parleurs de ma voiture. Après un quart d’heure et toujours prêt à intervenir si cela tournait mal, il lui imposa un bondage qui pour lui serait très joli sur son corps très mince. Ma femme était ensuite allongée par terre sur le ventre avec les jambes repliées et écartées qui devait rendre son sexe entièrement disponible.
C’est alors qu’elle lui demanda de lui faire l’amour. Il lui répondit que c’était exceptionnel et qu’il ne faisait jamais ça pendant une séance de soumission. Elle était à nouveau debout et je l’entendais gémir de plaisir sous les coups de boutoir de cet homme qui maintenant faisait tout ce qu’il voulait.
Après leur étreinte il lui demanda comment elle devait me contacter pour que je vienne la chercher. Bien entendu c’était par téléphone. C’est alors, et au bout d’une heure et demi, que je décidais de couper la communication. Mais il m’a fallu encore attendre une demi-heure avant que mon téléphone retentisse. Je m’étais fixer justement cette limite avant d’aller sonner à la porte.
C’est ma femme qui ouvrit la porte. Elle était entièrement nue avec ses bottines et je voyais dans son regard un mélange de satisfaction et de fierté. Je l’embrassais et lui caressais les seins qui pointaient fièrement. Une fois vers l’homme, celui-ci m’offrit un café et me remercia de lui avoir fait confiance (confiance contrôlée quand même, mais il ne le savait pas). Ma chérie remit sa petite robe, et son manteau et nous avons pris congé de notre hôte. En rentrant chez nous, nous nous sommes arrêtés au bord de la route dans un chemin forestier et nous avons fait l’amour. Je voulais absolument profiter aussi de ce corps magnifique qui par magie était encore plus désirable.