Comme
Maîtrejoa vous l'a dit, je me suis faite baiser par un ami de ma soeur. Il faisait une formation à Montpellier et avait demandé mon numéro à ma soeur pour faire connaissance avec la ville, qu'il ne connaissait pas, éventuellement sortir en toute « amitié », boire un verre ou faire un petit resto.
La formation de Denis consistait à venir à Montpellier pendant une semaine, plusieurs fois dans l'année. La première fois qu'il est venu, il m'a invitée au resto et j'y suis allée. La conversation a tourné assez rapidement autour de sa relation avec sa femme puis de sexe et, finalement, de son libertinage. Il m'a parlé de ses maîtresses, de ses visites au K (curieux de connaître le K quand on ne connait pas Montpellier) etc. Je savais que je lui plaisais car ma soeur m'avait dit qu'il lui avait avoué qu'il aimerait bien que je sois une de ses maîtresses. En plus, j'avais remarqué, à plusieurs reprises, qu'il me regardait avec insistance, quand je l’avais croisé chez elle, et j'en avais parlé à mon
maître. Cependant, c'est mon
maître qui décide de où et quand je me fais baiser et je ne lui ai proposé mon cul que quand mon
maître me l'a ordonné !
Donc la première fois, je suis allée au resto avec lui, nous avons parlé de cul mais je suis rentrée à la maison en toute innocence. Il est ensuite revenu quelques fois à Montpellier, toujours dans le cadre de sa formation, mais il ne m'a pas appelé. Surement parce qu'il était retourné la queue entre les jambes la première fois... Puis, mon
maître est parti à l'étranger, pour des raisons professionnelles, à la fin du mois d'août, et cela devait durer plusieurs semaines. Nous savions plus ou moins les dates où Denis revenait à Montpellier et c'est à cette occasion que mon
maître m'a dit d'offrir mon cul à Denis. J'ai écrit un compte rendu à
Maîtrejoa et je dois aujourd'hui vous le faire partager. Le voici, j’espère qu’il vous plaira :
Le 6 sept. à 13h45
J’étais sur la route car je revenais de payer les kinés. Toute la matinée j’ai repoussé le moment d’appeler Denis car je ne savais pas comment j’allais lui présenter les choses. Puis j’avoue que je stressais pas mal quand même !
Je me suis garée près de la poste de Malbosc, mon discours était prêt.
Il a décroché, me demanda comment j’allais, je lui ai demandé si je le dérangeais. Il m’a répondu que non, qu’il était en pause.
Je lui ai dit que j’allais bien. Il voulait savoir si j’étais dispo pour manger le soir. Je lui ai dit que non que j’avais un truc de prévu.
Par contre je lui ai également répondu que je l’appelais pour quelque chose en particulier. Je lui ai dit que tu étais loin et que j’avais des besoins à satisfaire. Que je savais qu’il était quelqu’un de discret et que moi aussi. À ce moment là, juste avant de lui faire ma proposition, mon cœur battait super fort et puis, dès que j’ai commencé à lui proposer, c’est allé beaucoup mieux. J’étais très à l’aise au bout du compte, ce qui m’a surpris !
Il a répondu oui tout de suite mais qu’il allait falloir être discret car certains de ses collègues travaillaient près de chez lui et, tu le sais, c’est un homme marié.
J’ai demandé s’il voulait aller à l’hôtel et il a dit non, qu’on se verrait dans sa chambre au centre de formation. On a convenu que ce serait le soir même, après ma virée en ville.
Après avoir raccroché j’étais légèrement excitée par ce que je venais de faire, assez fière de moi au passage, et très agréablement surprise d’y être arrivée aussi facilement !!!
J’ai récupéré ma voiture et suis rentrée.
À 19h30
Je me suis préparée pour sortir, j’ai pris une douche (coquine la douche) et, en fait, jétais très excitée, contrairement au moment où on en discutait tous les deux, plus tôt dans l’après-midi. Donc comme j’étais excitée et sous la douche je me suis caressée car l’idée de me prendre une bite et la manière dont tout c’était déroulé m’a beaucoup plu. Je me suis sentie vraiment salope ! Je me suis également dit que c’était un bon moyen de faire redescendre la pression et d’y aller avec un orgasme d’avance ce n’est pas plus mal pour arriver à tenir plus longtemps !
Comme tu le souhaitais je me suis habillée de manière stricte : jupe, taille haute et qui arrive en dessous du genou, pas de culotte, talons et un haut rouge pour la sensualité.
J’ai mis le rosebud, la robe résille et mon collier dans mon sac. J’étais parée à toute éventualité !
J’étais légèrement nerveuse en me préparant mais, par la suite, j’étais zen.
Denis m’appelle à 21h30 pour me dire qu’il est rentré et qu’il est dans sa chambre. Je n’aurais qu’à l’appeler quand je voudrais passer. J’ai répondu que j’étais encore en ville, mais que je le ferais. Je ne voulais pas trop donner d’indice à mes amis car j’ai décroché devant eux. J’étais toujours sereine.
À 23h
J’ai raccompagné Rémi, notre voisin et ami, et dès que j’ai été seule, j’en ai profité pour mettre le rosebud en place. Il est rentré tout seul. J’ai attendu que Rémi soit monté se coucher pour m’éclipser. Je m’étais volontairement garée plus loin pour qu’il ne m’entende pas repartir.
Sur le chemin j’ai appelé Denis pour lui signaler mon arrivée imminente. Il a répondu qu’il allait m’attendre à l’extérieur. Etrangement, tout cela me paraissait naturel et j’étais vraiment calme et à l’aise. Mais pas encore excitée.
À 23h34
Je t’ai envoyé le sms pour te dire que j’y étais. Je suis rentrée dans l’enceinte du centre de formation et Denis m’attendait sur le parking. Je suis descendue de la voiture. Il a remarqué que j’étais en jupe. On s’est dit bonjour et je l’ai suivi jusque dans sa chambre à travers les couloirs du centre. Une fois dans sa chambre, j’ai quitté mes talons. Il s’est assis sur le lit et je me suis assise à côté de lui.
Il a rit car, m’a-t-il dit, il ne s’attendait vraiment pas à ça ! Je lui ai dit que j’étais un peu nerveuse quand même et que je ne faisais pas ça souvent. Il m’a répondu qu’il n’était pas là pour me juger. Cela m’a détendue. Du coup, j’ai annoncé la couleur et lui ai dit que j’avais amené quelques petites choses. Il a tout de suite pensé à des sextoys, alors je lui ai dit que le sextoy que j’avais amené, je le portais sur moi. Mais j’ai sorti la robe courte en résille en disant que j’avais aussi amené ça ! Il a souri et a dit qu’on allait passer une sacrée soirée !!! Je ne sais pas si j’ai commencé à mouiller à ce moment là, car avec la montée d’adrénaline et la nervosité je n’ai pas vraiment fait attention. Mais je suis allée dans la salle de bain, me déshabiller et enfiler la robe. Je suis sortie. Il m’a regardée et a prononcé mon prénom. Il m’a ensuite attirée vers lui et m’a embrassée les seins. Mes tétons sortaient de la robe résille et pointaient sous l’effet de sa langue. J’ai senti ma chatte mouillée et, là, j’en étais sûre ! Je pense qu’à ce moment là je me suis sentie comme une grosse salope car j’étais en robe résille, sans sous vêtement, dans une chambre d’un centre de formation avec un type de 45 ans, ami de ma sœur… et j’ai beaucoup aimé cette sensation !
Je lui ai dit : « la robe est un cadeau de Joaquim. Et ce que j’ai dans le cul aussi ! »
Alors je me suis penchée en avant pour lui montrer mon bijou. J’étais penchée, les jambes tendues, le dos cambré, et j’écartais mes fesses avec mes mains pour qu’il voit bien. Je jouais la carte salope à fond ! Il a rit de nouveau. Il était toujours assis sur le lit, il s’est alors allongé et m’a demandé de m’assoir sur sa tête. J’ai mis un genou de chaque coté de son crâne et j’étais face au mur. Il me léchait, et j’aimais ça. J’ai commencé à gémir. C’est à ce moment là que tu m’as envoyé ton sms.
Mais j’étais dans l’action alors je me suis penchée en arrière pour attraper sa queue et le branler. Il était bien dur. On a continué un petit moment comme ça puis je me suis relevée pour descendre et le sucer. Il m’a dit qu’il allait partir vite mais qu’on avait toute la nuit. J’ai rajouté en gémissant : « Ça fait longtemps que je n’ai pas sucé de bite ! J’aime vraiment beaucoup la bite et dans ma bouche encore plus ! »
Il m’a proposé un 69, alors je me suis retournée sur lui. Il me léchait et jouait avec mon rosebud. Il tapotait dessus et c’était très agréable, je me suis dit que c’était un super cadeau que tu m’avais fait ! J’aime vraiment l’avoir en moi.
Il m’a fessé tout doucement, pourtant je lui ai fait comprendre par mes gémissements que j’aimais ça mais il n’a pas plus insisté. J’aurais pourtant aimé qu’il insiste plus, qu’il joue avec le rosebud et qu’il me fesse d’avantage. J’aurais aimé être vraiment prise comme une grosse chienne en chaleur. J’étais très excitée et je voulais que ça soit plus bestial. Malheureusement ça ne le sera pas ! C’est surement de ma faute mais je ne le sentais pas très réceptif. Donc je n’y suis pas allée à fond !
Je le suçais et lui léchais les boules, le gland… Il aimait ça et a joui dans ma bouche. J’ai continué à le sucer et j’ai fait ça tellement bien qu’il ne débandait pas ! Il a, lui-même, était surpris et a explicitement fait savoir sa surprise. J’avais envi de continuer à le sucer car moi non plus je ne voulais pas qu’il débande. J’y ai mis du cœur et tout mon savoir faire pour arriver à mes fins !
J’ai avalé goulument le sperme de Denis et quand il l’a cherché sur son ventre avec sa main (il pensait que je ne l’avais pas avalé), il a, une nouvelle fois, été surpris. Il a compris quand il a vu que son ventre était sec ! Je l’ai sucé encore un petit moment puis il s’est levé pour aller chercher une capote. Il l’a enfilée. Pendant ce temps je me caressais, les jambes écartées face à lui pour qu’il voie bien la salope qui en veut !
Je suis restée sur lui et ce coup-ci je me suis empalée sur sa bite. J’ai fait tout le travail. J’ondulais et je faisais les vas et vient. Il sentait le rosebud et a dit que ça lui faisait des sensations à lui aussi. Mais là, le rosebud est sorti tout seul. Moi, j’ai continué à m’empaler. Tu sais comme j’aime ça, m’empaler !!! Il faisait chaud dans sa chambre et j’étais toute transpirante, mon corps glissait. Je m’agrippais à son torse pendant que sa queue me ramonait. Elle était bien dure et je prenais vraiment mon pied !!! Je sentais sa queue dans ma chatte et je me donnais à fond ! J’ai finalement eu un orgasme comme ça, pendant que je lui disais que j’aimais vraiment beaucoup sa queue !!! Vraiment, vraiment beaucoup !!!
On a fait une petite pause, je suis allée prendre une douche pour me rafraichir et nous avons discuté, nus en continuant de se caresser. C’est là qu’il m’a dit qu’il n’était pas trop branché fessées ! Mais qu’il avait bien compris que moi j’aimais bien ça ! Il m’a dit une nouvelle fois que s’il n’avait pas débandé c’est que je l’avais bien sucé ! Il m’a aussi dit « tu as avalé ! », j’ai répondu que oui ! On a parlé de ma sœur et de leur excursion dans un sauna, de sa femme…
Puis il a de nouveau mis sa tête entre mes jambes et a recommencé à me lécher. J’adore les cuni et j’ai mouillé tout de suite ! Je l’ai branlé et il était dur. Il m’a regardé et m’a dit : « levrette ! » Alors je me suis immédiatement mise à 4 pattes. Il a remis une capote et il m’a dit que les hommes aimaient bien cette position. J’ai répondu que moi aussi j’aimais être prise en levrette !
Il a mis sa queue dans ma chatte, c’était bon ! En plus, il m’a attrapée par les cheveux et je me suis sentie bien chienne, prise comme ça ! Il n’a pas tiré très fort mais c’était déjà bien. J’avoue ne pas m’être sentie maitrisée… Pour moi, c’est 100 fois mieux quand je me sens prise ! Ca a été assez vite, cette fois-ci, il a vite joui. J’ai été une bonne vide couilles !!! Très efficace !!! Pour moi ça a été trop court mais je me suis dit que j’étais là pour lui vider les couilles et que, sur ce principe là, j’étais parfaite puisque lui c’était bien vidangé !
Alors on s’est de nouveau arrêté. J’avais envi de partir tout de suite mais ses camarades sont arrivés dans le couloir et j’ai du attendre qu’ils aillent se coucher pour partir ! Je voulais partir assez vite pour bien compléter le tableau de salope, ou de pute gratuite, c'est-à-dire partir quand le boulot est fait !!!
Je suis partie à 1h30, il m’a raccompagnée à la voiture, en me remerciant et en me disant qu’il avait passé une très bonne soirée.
Je t’ai envoyé le message à 1h36.
D’avoir réecrit ces quelques lignes je mouille ! Je suis excitée et j’ai envie d’une queue, je me sens comme une grosse pute ! Je vais aller me branler !
Voilà pour le compte rendu. Merci
Maitrejoa de me permettre de vivre ces expériences. Merci à vous de les lire et, éventuellement, d'y participer. D'ailleurs, si vous voulez, comme Denis, profiter de moi il y a une annonce qui me concerne
ici.