- 23 avr. 2012, 13:50
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Inutile de vous dire que je suis resté bien sagement dans la cuisine pendant que ma femme et mon frère s’amusaient quelques mètres à coté. Depuis quelques jours, j’avais l’impression de ne plus savoir que ce je voulais. Evidemment, voir ma femme se faire prendre ma mon frère représentait une sorte d’humilation suprême, mais d’un autre côté, je crois que j’ai toujours eu le fantasme d’être soumis. Et même si c’était dur à avouer, le fait d’entendre ma femme hurler son plaisir avec un mec autre que moi commençait à me faire bander…
Au bout d’à peu près une heure, les deux amants sont enfin montés dans « leur » chambre, ce qui m’a permis de passer le reste de la nuit au salon… Evidemment, ils n’avaient pas nettoyé ce qui restait de leur baise. Je pense que Mathias avait fait exprès de laisser le string humide de Sarah bien en évidence sur le canapé, en guise de trophée. Mais bon, j’ai quand même réussi à m’endormir pour les quelques heures restantes de la nuit. C’était pas tout, mais je devais taffer tôt le lendemain !
Justement, je me suis réveillé sur les coups de sept heures du mat’. A en juger par le bruit dans la cuisine, les deux amants étaient déjà levés (ou ne s’étaient jamais couchés ?), mais, chose étonnante, ils ne semblaient pas (encore…) être en train de baiser. Je me voyais mal aller les salut tranquillement dans la cuisine et siroter mon café pendant une séance de suçage matinal, donc j’ai décidé de me barrer directement, ni vu ni connu. J’ai enfilé mon manteau et me suis dirigé, comme d’hab, vers la corbeille où je mets toujours mes clés… Putain, elles n’y étaient pas ! Evidemment, rien non plus dans mes poches. Mais pourquoi le sort s’acharnait-il sur moi ?!
Puis dans mon dos, j’ai entendu le tintement de clés qu’on agite.
-C’est peut-être ça que tu cherches ? A lancé Sarah, derrière moi.
Quand je me suis retourné, je n’ai même pas eu la force de me mettre en colère, tant elle était désirable. Rien de provoquant, mais tout ce qu’elle portait lui allait à une telle perfection que le tout frisait l’indécence. Avec un pantalon couleur crème moulant qui laissait suggérait les coutures d’un string, et un haut tout juste assez transparent pour faire fantasmer les hommes, ma prof de femme était tout simplement irrésistible pour aller faire cours. Mais bon, moi, fallait bien que j’aille bosser.
-Sarah, file-moi mes clés…
Dès que j’ai dit ça, j’ai su que j’avais fait une erreur. Elle a directement pris ce ton autoritaire de la veille, comme si elle l’avait toujours eu.
-Ma parole ma lopette chérie, t’as rien retenu de ce que je t’ai enseigné ?
-Si, mais…
-Dis moi comment je m’appelle.
-Je vais être en retard avec tes conn…
-Rien à foutre. Tu dois m’appeler comment le cocu ?
-Madame Mathias… Maintenant rends-moi mes cl…
-Est-ce que je t’ai dit que tu pouvais parler ? Je crois pas non. Avec mon homme, on a décidé de faire ton éducation et de t’imposer quelques règles. La première, c’est de pas parler si tu n’y es pas autorisé. C’est compris ?
-Mais…
-C’est compris la lopette ?
-Oui…
Sarah paraissait prendre un malin plaisir à me soumettre à ses volontés.
-Bon, a-t-elle reprit. Deuxième règle : si tu veux prendre notre voiture, j’exige que tu me demandes l’autorisation avant.
-Mais c’est n’importe…
-Je crois que tu n’as pas bien compris. Si tu veux rester, ces règles sont non négociables. Alors tu dois faire quoi si tu veux aller à ton taff de merde ?
-Je dois te demander les clés de la bagnole…
-Mieux que ça putain !
-S’il te plaît… Madame Mathias… Est-ce que j’ai l’autorisation de prendre la voiture ?
Sarah a alors pris une mine plutôt satisfaite. Elle s’est avancée vers moi, et après avoir mis les clés dans ma poche, a posé ma main sur mon jean. Ou plus exactement, elle a commencé à compresser mon sexe, jusqu’à la limite entre plaisir et douleur. Avant de se barrer, elle m’a murmuré : « Ben voilà, c’était pas si difficile mon cocu… J’espère que ça t’excite. »
C’est sur ces mots que je suis sorti. Evidemment, je n’avais rien répondu. Mais bien sûr, je connaissais Sarah (ou bien je croyais la connaitre, en tout cas), et je savais qu’elle avait ressenti mon excitation dans cette soumission. Je ne pourrais bientôt plus me cacher…J’ai repensé à cette scène pendant toute la journée, et je devais bien me rendre à l’évidence : elle m’avait malgré moi excité.
C’est ce genre de pensées qui me traversait l’esprit quand je suis rentré chez moi. Enfin… Dans la maison où j’avais le droit de vivre, en tout cas. Sarah était vassisesur un meuble de l’entrée. Habillée comme le matin même, elle avait écarté les jambes pour pouvoir embrasser son amant. Celui-ci, toujours habillé, mimait des coups de rein pour signifier ce qu’il s’apprêtait à faire.
Quand il m’a vu, Mathias s’est écrié : « Ah, voilà mon cocu préféré ! ». Sarah, elle, s’est immédiatement levée. Ses talons accentuaient l’air décidé qu’elle arborait.
-Ah, te voilà enfin… Je commençais à m’impatienter. Je dois continuer ton éducation de parfait petit cocu, tu te souviens ?
-Oui Madame Mathias…
-C’est bien. Donc troisième règle : je veux que dès maintenant, tu nous vouvoies mon homme et moi.
Pendant ce temps, Mathias s’était placé derrière Sarah et avait fait glisser ses mains sur ses hanches. Il avait une tête mi surprise mi amusée, l’air de dire « Ca me fait marrer, mais même moi j’avais pas prévu que ça irait aussi loin ! ».
-Quatrième règle… a reprit Sarah qui appréciait en même temps les caresses de son amant. Tu es à moi, tu m’obéis car on sait tous les deux que c’est ce que tu as toujours voulu. Hein mon petit cocu ?
-Oui…
-Jure-moi que tu répondras sincèrement aux questions que je vais te poser…
-Je le jure Madame Mathias…
Pendant ce temps, Mathias avait justement déboutonné le pantalon de « sa » femme et sa main venait de disparaitre à l’intérieur du string de Sarah. Il était de toute évidence très adroit, parce que Sarah n’a pas tardé à ressentir de léger spasmes.
-Mon cocu réponds moi… Hmm… Tu aimes me voir baiser avec un autre mec ?
-…oui…
-Hmm… Et tu aimes qu’en plus de baiser, je prenne mon pied ?
-Oui…
-Oui quoi, ma petite lopette ?
-Oui madame Mathias…
-C’est bien, peut être qu’on va pouvoir faire quelque chose de toi finalement… maintenant mets toi à quatre pattes et avance toi vers moi… Hmm…
Derrière elle, toujours occupé à la doigter, Mathias a murmuré : « C’est là qu’est sa place, hein ma petite salope ? ».
Pendant que Mathias continuait à faire gémir Sarah, je me suis exécuté. Difficile de dire lequel des (ou trois, en me comptant…) prenait le plus son pied à me transformer en parfait cocu.
Une fois que j’ai été assez proche d’eux, Sarah a murmuré quelque chose à son amant. Celui-ci s’est marré, puis, comme pour répondre à ce qui devait être une demande de ma femme, il a enlevé son tshirt qu’il a jeté sur moi avec un air dédaigneux.
-Alors mon cocu préféré, ça te plaît que je me tape un mec comme ça ? Un beau métisse bien membré ?
-…Non… Non madame Mathias, ça me fait pas plaisir.
Mais Sarah ne me connaissait que trop bien. Elle devait avoir décelé que je mentais…
-T’es sûr que ça te plaît pas ? Voyons voir si tu me racontes pas des conneries… a-t-elle fait, pendant que Mathias lui retirait son haut et révélait son soutien-gorge.
Tout en parlant, Sarah avait dirigé son pied vers mon entre-jambe. Avec son talon, elle s’amusait à me palper à travers mon jean, à donner des petits coups au niveau de mes boules. Evidemment, pas besoin d’avoir fait un doctorat pour remarquer que je bandais sévèrement.
-Mais c’est que tu m’as menti ma lopette… Tu m’as l’air tellement excité. T’aimes tellement ça d’imaginer les doigts de mon homme dans ma petite chatte ? Tu penses à la mouille qui rend mon string tout humide hein ? Et pourtant malgré ton excitation t’arrives pas à bander comme mon Mathias… Mathias chéri, j’imagine que j’ai pas besoin de te dire à quel point sa bite est petite et molle…
Pendant ce temps, Mathias avait enlevé son jean et restait en boxer. Une de ses mains s’amusait avec les seins de ma femme, et l’autre caressait toujours sa chatte. Il a sauté sur la perche tendue par Sarah pour m’enfoncer encore plus, le salaud…
-Oui ma salope, malheureusement j’ai grandi avec cette lopette et j’ai presque honte d’avoir un frère aussi pitoyable à ce niveau…
-T’entends ça ma lopette ? Ca fait quoi d’entendre ton petit frère dire que t’es pas capable de faire jouir une meuf ?
Mathias a repris la parole :
-Tu sais ma petite salope, faut pas lui en vouloir. Il a la bite de lopette de son père. C’est pour ça que notre mère s’est tirée. Elle est comme toi. Elle a juste compris ce que c’était que d’avoir un vrai queutard… Hein ma petite chienne, c’est comment d’avoir un mec bien membré ?
Tout en parlant, il avait d’abord accéléré ses caresses pour faire jouir ma femme rien qu’avec ses doigts. Puis il a retiré sa main, et l’a présentée à la bouche de Sarah, qui ne s’est pas gênée pour goûter sa propre mouille.
-Hmm mon Amour, je crois qu’on a bien éduqué notre tafiole pour aujourd’hui…
Puis, s’adressant à moi, elle a ajouté :
-T’aimes ça en fait, te faire traiter de lopette comme ça… Je vois d’ici que tu bandes. Ben t’inquiète pas, c’est pas fini… J’ai encore plein de leçons à t’enseigner. Mais là, je sens que mon homme n’en peut plus… Au revoir ma petite tapette. Interdiction de nous mater mon chéri et moi… Mais je t’autorise à te branler pendant que tous nous entendras…