©FORUM CANDAU - N'oubliez pas de liker !
A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • 5
  • 10
par manukib56
#1285614
Elle venait d’avoir dix huit ans …

Deux semaines se sont passées depuis notre soirée chez Jean Pierre, le voisin de Mathias.
Nous avions à nouveau rendez vous chez lui pour un diner.

Comme la dernière fois nous avions opté d’arriver tous les quatre ensemble, c’est Jean Pierre notre hôte qui nous ouvre la porte. La joie de nous revoir n’était pas dissimulée, on pouvait facilement le deviner à son visage.

« Entrez mes amis, çà fait plaisir de vous revoir. Toujours aussi charmantes Mesdemoiselles. Entrez donc ne restez pas dehors. Il fait meilleur ici. »

Comme il y a deux semaines, la température de la maison était très élevée. Très vite nous abandonnons notre veste. L’homme nous invita à passer au salon. A la différence de notre dernière rencontre, l’agencement n’était plus du tout le même et avec plus des allures de véritable salon.

L’emplacement du grand lit avait laissé sa place à un grand canapé, accompagné de deux fauteuils et d’une belle table basse. A l’autre extrémité de la pièce se tenait une table de réception, qui était très bien décoré. Audrey me tapa du coude pour me faire remarquer, que cette table était dressée pour sept couverts alors que nous étions que cinq. Attendons-nous d’autres convives ?

Mathias ne tourna pas sept fois sa langue dans sa bouche pour poser la question : « Dis moi Jean Pierre, il n’y aura pas que nous ce soir, le couvert est mis pour sept personnes. »
« Tu as l’œil dis donc, oui effectivement nous attendons Marc et Emilie qui ne devraient plus tarder maintenant. Vous verrez ils sont très sympas. J’espère que çà ne vous dérange pas ? »
« C’est toi qui invite … »

Le fait d’avoir parlé d’eux les a sans doute fait venir, car aussitôt on frappa à la porte.

« Ah bah tient ce doit être eux. Salut Marc, vient rentre. Ils ne manquaient plus que vous. Emilie n’est pas avec toi ? »
« Salut Jean Pierre, si elle est dans la voiture au téléphone avec une copine. Elle ne va pas tarder »
« Les amis, je vous présente Marc. Un ami de longue date, avec qui je tape souvent la balle. »

Jean Pierre était un passionné de Tennis. Marc nous salua tous par une poignée de main virile. C’était un homme plutôt petit de corpulence moyenne, il était difficile au premier abord de lui donner un âge. On a su par la suite qu’il en avait 37. A l’identique de son ami, il était lui aussi habillé très classe. Il devait certainement appartenir au niveau de classe social que notre soixantenaire.

« On va passer dans le salon, débouchons une bouteille de champagne, je suis sur que cela fera venir Emilie. »

Nous prenons donc place autour de la table de salon pour l’apéritif.

Nous échangeons quelques formalités avec cet inconnu. Les questions vont de bon train.
« Que faites vous dans la vie ? Vous avez quel âge ? Vous vivez où ? »

La porte d’entrée s’ouvrit et une fine silhouette fît éruption dans le salon.

« Bonsoir tout le monde, désolée d’avoir tardé. »
« Non t’inquiète il n’y a pas de soucis. Emilie, je te présente Mathias, Audrey, Frédéric et Manue. »
« Enchantée, moi c’est Emilie. J’ai beaucoup entendu parler de vous. Très heureuse de faire votre connaissance » Moins timide que nous elle vient nous faire la bise.

Elle était toute jeune. Pour elle aussi il était difficile de lui donner un âge. Etait elle-même majeur ? En tout cas, elle était très grande et très longiligne. Ses cheveux avaient de très jolis reflets roux très prononcés, ses yeux étaient d’un bleu quasi transparent. Son visage était parsemé de tâches de rousseur. Elle était habillée d’un chemisier et d’un jean.

Après avoir apprécié le champagne, Jean Pierre nous convia à passer à table. Et c’est pendant ce diner que les langues se délièrent. Comme à l’accoutumé dans notre petit groupe, c’est encore une fois Mathias qui ouvra le sujet.

« Mais dites moi, Marc, excusez moi de ma question. Emilie et vous vous êtes ensemble dans la vie ? Il y a une grande différence d’âge »
Ils étaient très amusés de la question.

« Quasiment vingt ans, oui en effet. Moi j’ai 37 ans et Emilie vient de fêter ses 18 ans il y a deux mois. Et si vous voulez, pour répondre à votre question, on peut dire que nous sommes ensemble mais c’est un peu compliqué. »

Jean Pierre prît aussitôt la parole.

« Oui, c’est en fait pour çà que je vous ai tous convié ensemble ce soir à ce diner. Car Frédéric et Manue vous avez un petit point commun avec Marc et Emilie. L’histoire que vous m’avez fait part l’autre jour au restaurant à Vannes, avec le propriétaire de Manue qui vous avait proposé de l’argent pour disposer de vous »

« Oui, c’est tout à fait çà. Et bien nous c’est pareil. Emilie gagne la gratuité de son appartement en ayant acceptée de m’appartenir totalement. Je lui offre tout ce dont elle a besoin et en échange elle me laisse disposer d’elle à ma convenance. J’ai un devoir de l’éduquer sexuellement »

« Oh rassurez vous, je ne me sens pas tant que çà forcée. J’y trouve mon plaisir là dedans. Surtout depuis que j’ai deux hommes »

Ce message nous laissait penser que Jean Pierre était complice. Tout au long du diner notre discussion s’était portée sur ce sujet : Comment se sont ils rencontrés ? Qu’entendait-il par éduquer ? etc …

Les prochains récits conteront l'histoire de Jean Pierre, pour bien vous expliquer le tenant des aboutissants.
par manukib56
#1286774
Education sexuelle d’Emilie.

Marc est un homme de 37 ans, brun pas très grand et de corpulence moyenne. Il vit sur Vannes où il travaille comme courtier en assurance à son compte. Ses revenus mensuels sont plus que confortables et a un train de vie assez aisé.

Comme toute personne vivant bien sa vie, il pense à sa retraite et à donc beaucoup investi dans l’immobilier : à Vannes mais aussi dans les grandes villes limitrophes.

Un jour lors d’une visite d’un de ses appartements sur Vannes, il a eu la joie de rencontrer Emilie à cette époque avec son petit ami. Après avoir vérifié les revenus de chacun (bourses, APL etc …) il accepta de leur louer l’appartement en plein cœur de la vieille ville de Vannes, tout proche du port.

Les deux jeunes encore mineurs venaient justes d’avoir leur bac en poche et commençaient des études de commerces à l’IUT. Leur couple dura 6 mois, et le petit ami d’Emilie parti avec une autre fille de la promo.

Il était arrivé impossible pour la jeune fille de pouvoir supporter à elle seule le loyer de ce grand appartement. Elle fît donc une lettre de préavis.

Quand Marc reçu ce courrier, il décida d’aller voir la fille pour en discuter avec elle. Et pourquoi ne pas mettre en place une colocation avec d’autres étudiants.

Arrivé chez elle, il découvrit une jeune fille anéanti par le chagrin de ce premier amour. Très vite il devient le confident de l’étudiante. Prit d’affection pour elle, il lui propose de conserver l’appartement en continuant de verser que sa part. Lui n’étant pas dans le besoin, il pouvait se permettre de se voir verser que la moitié d’un loyer.

Un climat de confiance se créa entre ces personnes. Un soir où Marc était passé prendre des nouvelles de la jeune fille. Il la découvrit dans une tenue un peu plus décontract que d’habitude. Elle n’était seulement vêtue que d’une chemise et d’un petit. Sa tenue de nuit en l’occurrence.

La jeune fille l’invita à venir prendre une tasse de thé. Très vite elle se confia un plus à Marc.

« Si mon petit copain est partie c’est qu’il me trouvait trop coincée au lit. Il avait l’impression de coucher avec un glaçon, à ce qu’il aimait à dire. »
« Vous savez Emilie, des jeunes petits cons comme çà vous en connaitrez beaucoup. C’était votre premier amant. »
« Oui bien sur je n’ai que 18 ans à peine »
« Vous n’avez donc jamais fait l’amour avec d’autre ? »
« Non jamais »
L’homme se rapprochait dangereusement de la jeune fille, limite à en devenir oppressant. Sa main glissa lentement sur le genou de la jeune majeur. Elle ne savait pas comment réagir, devait elle se laisser faire ou devait elle faire face à son propriétaire ?

Elle capitula et laissa les mains baladeuses remonter le haut de ses cuisses. C’était le signal de non retour.

« Je pense que tu as donc tout à apprendre. Si tu sais te montrer gentille, je saurai t’éduquer et tu me remercies plus tard. »

Marc prit la main de sa locataire, la fît se lever, et comme s’il était chez lui, l’amena avec lui dans la chambre. Arrivés au niveau du lit, il passa son tee-shirt au dessus de sa tête pour y venir découvrir sa toute petite poitrine. (75B tout au plus) La peau de la jeune fille était blanche et une légère chair de poule apparaissait sur son corps. Etait ce de l’excitation ou de l’appréhension ?
Après avoir prit le temps d’observer cette petite poitrine toute juste majeur, il saisit son petit short et le fît tomber sur ses chevilles. Une culotte en coton fît son apparition.

« Rassure moi tu ne portes pas que çà comme sous vêtements ? »
« Je me sens plus à l’aise »
« Autant ne pas en mettre tu seras encore plus à l’aise, mais bon voyons voir ce que nous cache cette culotte »

A sa grande surprise, le sexe de la fille était tout juste épilé.

« Non mais c’est quoi tous poils !!!! Effectivement y’a un gros travail de fond à faire avec toi. As-tu des préservatifs ? »
« Oui dans la salle de bain, mais on ne pas faire l’amour comme çà le premier soir »
« Oh non t’inquiète pas avec moi tu n’emploieras plus cette expression, mais pas contre je peux te dire qu’on va baiser ce soir. Je vais chercher des préservatifs pendant que toi tu vas te préparer. A défaut d’avoir une poitrine tu vas me faire dresser ces tétons comme jamais ils n’ont été dressés auparavant. Je veux que ton sexe soit le plus luisant possible, je ne veux pas perdre de temps avec des préliminaires. Exécution !!! »

Marc sorti de la chambre en laissant cette jeune fille totalement nue perdue dans ses pensées. Que devait-elle faire ? Fuir ou se laisser éduquer par cet homme, inconnu d’il y a quelques mois. Elle décida d’en assumer les conséquences, tout en espérant beaucoup en apprendre pour ne plus jamais se faire traiter de fille coincée. Trop souvent elle avait été moquée d’être trop coincée, ou même sur son physique : « Planche à pain, jamais personne ne voudra te peloter ! » « Les rousses çà puent » etc … Aujourd’hui elle tenait sa vengeance.

Elle s’allongea sur son lit, écarta doucement ses cuisses et y glissa une main maladroite pour venir caresser son petit bouton. C’était bien la première fois qu’elle se masturbait vraiment. De son autre main elle alternait d’un sein à l’autre pour stimuler ses tétons et faire en sorte qu’ils durcissent avant que son maitre n’arrive.

Cinq bonnes minutes s’écoula quand soudain Marc arriva dans la chambre totalement nu, le sexe dressé.

« Tu vois moi non plus je n’ai pas perdu de temps. Passons tout de suite aux choses sérieuses. Tu ne crois tout de même pas que je vais te baiser comme çà allongée sur le dos, fous toi à quatre pattes » L’homme était très directif envers sa jeune compagne et ne faisait aucun effort de langage. Les mots venaient comme tels. La petite rousse s’exécuta et vient offrir à cet étranger une vue plongeante sur son sexe mal rasé.
« Ecarte moi çà plus ! Montre-moi à quel point tu as envie de m’accueillir » Il enfonça sans précaution un doigt dans le sexe de la fille « Ma parole, mais tu es trempée. Ca n’a pas l’air de te déplaire tant que çà de te faire malmener par un plus vieux que toi. Je vais peut être réussir à faire de toi une petite salope. »
A peine son doigt retiré que son sexe venait le remplacer. Il commença alors un va et vient énergique entre les cuisses de sa locataire soumise.
« Ouahh, y’aurait la place d’en mettre deux. T’es bien ouverte !!!! Et de là aussi tu es ouverte ? » Disait il en désignant son petit orifice.
« Noooooon ! »
« Comment çà non ! Déjà première règle tu ne me diras jamais non. Je dispose de toi à mon bon vouloir. Entendu ? » Tout en finissant sa phrase il se dégagea totalement d’elle pour la re-pénétrer aussitôt avec force.
« Oui ! »
« Ton petit copain t’a déjà défloré par derrière ? »
« Non jamais j’ai toujours refusée. »
« Et ben les choses vont changer maintenant et tu ne refuseras plus grand-chose je peux te le certifier. Bon maintenant tu vas me sucer. Montre-moi comment tu sais faire avec ta bouche. Viens t’asseoir devant moi. » La fille s’exécuta. Il saisit une grosse mèche de cheveux roux dans sa main pour dégager le visage de la petite. Et força le passage entre les lèvres pour y loger son sexe.
« Ramasse tes dents !! Joue plus de ta langue, voilà c’est çà. N’hésite pas à bien saliver dessus pour que ca glisse mieux. » Il retira son sexe de sa bouche et laissa couler un petit filet de salive dessus pour lui montrer comment faire. Et aussitôt le renfourna. Il donnait la cadence à l’aide de sa main droite toujours agrippée à la tignasse. Elle était mélangée entre la douleur de se faire tirer les cheveux et l’excitation de se faire ainsi violer la bouche. Il ne cessait de pousser son organe toujours un peu plus au fond de la gorge. Elle avait des sursauts d’envie de vomir tellement il était enfoncé. Une fois qu’il fût bien enfoncé et que la cadence qu’il donnait était maintenue, il décida de délaisser la chevelure pour venir triturer les tétons du petit 75B. Du bout de ses doigts il serrait fermement ces petites protubérances pour les faire ressortir. Il s’accrochait à eux et y mettait toute sa force.

« Voilà comment je les aimes, bien durs !!!! Allez retourne toi, je voudrai en finir maintenant. »

A nouveau, la jeune fille se retrouva prise en levrette par son propriétaire. Elle n’arrivait plus à dissimuler son plaisir et ses cris arriva jusqu’aux oreilles de son éducateur.

« Ah çà y est, Mademoiselle se lâche. Je savais bien que j’avais à faire à une gamine pas si prude que çà. Tu aimes çà on dirait »
« Mmmmh … « réussit-elle à gémir.
« En tout cas tu auras réussit à me faire jouir, vient tourne toi vers moi vite. Allonge-toi ! »

La fille s’extirpa rapidement pour venir s’allonger en dessous de Marc. Il retira le préservatif de son sexe et à l’aide de sa main se termina au dessus d’elle. Dans un râle masculin il éjacula sur la poitrine de la gamine. Il frottait son gland enduit de sperme sur les mamelons.

« Viens avec tes mains étaler ma semence. Vas-y ! Ne me dis pas que çà te dégoute »
« On ne m’avait jamais fait çà avant. Ca colle … »
« Je vais t’apprendre à l’apprécier, je peux te dire qu’après tu n’en voudras pas perdre une goutte de ce liquide précieux. Tu n’as donc jamais gouté de sperme ? Jamais un homme ne t’a jouie dans la bouche ? ».

Une rapide douche de prise, et les revoilà à nouveau assis comme au tout début devant une tasse de thé.

« Bon écoute, voilà ce que je te propose, à partir d’aujourd’hui tu m’appartiens sexuellement. Je disposerai de toi comme je le souhaite, sans aucune limite. Par contre en contre partie je te donne la gratuité du logement. On laisse tomber la colocation, tu vivras seule ici sans rien me devoir. De financier je parle, par contre faudra me payer à la force de ton cul. C’est entendu, j’ai été assez clair ? »
« Oui, mais … » L’homme lui coupa la parole
« Pas de mais, ni de négociation. Le deal c’est le deal. Par contre tu as interdiction de coucher avec un autre homme que moi. Sauf si je te le demande. Tu romps tous contact avec les jeunes de ton âge, c’est de l’homme de ce que tu as besoin. Bon demain on est samedi, tu n’as donc pas cours. As-tu prévu de rentrer dans ta famille ? »
« Non, je ne rentre qu’une fois par mois. Je suis rentrée le week-end dernier »
« Entendu tiens, voilà deux chèques » l’homme sorti de la poche de son manteau son carnet de chèque et en signa deux.
« Je veux que tu ailles chez l’esthéticienne et te fasse raser tout çà. Je ne veux plus voir un poil chez toi. Avec le deuxième chèque tu iras t’acheter une parure de sous vêtements de femme et pas te gamine. Va falloir oublier la matière coton ma petite, place à la dentelle. Tu t’achèteras une tenue des plus sexy. Je viendrai te chercher demain à 19h00, nous irons diner en ville. Et je peux te dire que tu vas encore apprendre des choses. »

Samedi 19h00 à l’appartement d’Emilie.

Marc ne prit même pas la peine de sonner à la porte, il utilisa directement son double de clé.
« Emilie où es tu ? »
« Je suis dans la salle de bain, je fini juste de me maquiller »

La fille sortie de la pièce, elle était métamorphosée.

« Cà vous plait ? »

Ses cheveux étaient tirés en arrière par une queue de cheval, son maquillage était sobre mais faisait d’elle une petite femme dans un corps de 18ans. Elle portait un débardeur moulant, elle avait optée la solution sans soutien gorge, la forme de ses tétons à travers le tissus en étaient la preuve. En bas elle était habillée d’une très courte robe noire et d’une jolie paire de bottes en nubuck.

« Tu me fais déjà bander, à l’idée. Allons vite dîner ensuite nous reviendrons ici pour ta deuxième leçon. »

2h30 sont passés et le couple improbable est de retour à l’appartement. Après avoir passé une soirée agréable malgré certains regards désobligeants devant ce couple atypique : une jeune fille de 18 ans au bras d’un homme de quasi 20ans son ainé. Les autres femmes en étaient outrées tandis que les hommes étaient plus admiratifs.

« Bon hier soir tu m’as dis que tu n’as jamais été prise par derrière. On va voir çà. Non reste ici pas besoin d’aller dans la chambre. Le canapé te suffira. Ne perdons pas de temps non plus avec tes vêtements. Qu’est ce que tu portes en dessous »

« Un collant et une culotte en dentelle comme vous me l’aviez demandé »

« Des collants ca m’étonnerait, faudra penser à des bas la prochaine fois. Ca m’évitera de te demander de déchirer ton collant. Allez vas y fait le. Déchire ce collant. »

Tremblante elle déchira son collant au niveau de l’entre cuisse.

« Très bien, tu es docile. Mets toi à quatre pattes il me tarde de venir t’explorer dans la partie encore vierge. Et écarte moi cette culotte pour me laisser la place » L’homme déboutonna son pantalon et le baissa à ses chevilles. De sa poche, il sortit un préservatif extra lubrifié. Il ne remarqua même pas que la fille s’était intégralement épilée comme il lui avait demandé.

« Bon t’as de la chance mon sexe n’est pas non plus énorme. J’en connais certains ils te déchireraient. Allez cambre toi plus. » Il saliva sur son doigt et une fois n’est pas coutume, doucement, l’introduisit dans le petit orifice.

« C’est bien serré tout çà ! Allé tu es prête ? » Il positionna son sexe devant la partie inexplorée. Avec la plus grande délicatesse, il commença lentement l’intrusion.

« Je crois que je ne vais pas aimer » soupira t’elle.

« Je ne te demande d’aimer non plus, je te demande de te détendre pour l’instant. Allez cambre toi plus, j’ai à peine mon gland de rentré. Je veux te pénétrer jusqu’à la garde, je ne veux plus voir mon sexe. »

Dans un élan de courage, le jeune fille accentua sa cambrure et inspira profondément tout en s’obligeant à se détendre à ce niveau. Il en saisit l’occasion, pour y donner un petit coup de rein qui fît enfin disparaître son organe. Elle n’eu comme réaction que la force de pousser un cri.

« Voilà, c’est très bien. Le plus dur est fait maintenant. Ca y est je suis bien à fond là. Regarde comme je rentre et sort facilement maintenant ». Sa cadence était soutenue, il s’offrait même le plaisir de s’en dégager complètement pour y retourner aussitôt. Les cris de la fille s’estompaient petit à petit pour laisser place à des gémissements.

« Tu commences à y prendre goût on dirait ? »
« Je ne sais pas la sensation est bizarre »

Le plaisir commençait à monter, il était temps pour lui de se décharger. Il se retira d’Emilie, retira à la hâte son préservatif.

« Viens te mettre à genoux devant moi. Comme çà. Lève ta tête et ouvre ta bouche. C’est çà. Tire un peu ta langue » Après quelques caresses, il éjacula dans la bouche de la jeune soumise.

« Voilà, essaye de garder le maximum dans ta bouche. » Après avoir fini de se vider totalement, il donna l’ordre à son étudiante d’avaler son nectar. Elle ne put s’empêcher de faire une grimace. L’aspect était dégoutant mais à sa grande surprise le goût n’en était pas aussi dégueulasse qu’elle avait pu l’imaginer. Elle ne dira pas que c’est bon, mais du moins çà ne la dégoute pas tant que çà.

Cette soirée là, confirma entre eux le contrat qui allait les lier. Pendant plusieurs mois, ils continuaient à se voir de manière régulière, et Marc ne cessait d’en faire son objet sexuel. Ce petit jeu commençait à réveiller en elle, un réel appétit sexuel. Au jour le jour, la fille s’assumait dans son rôle d’étudiante soumise et s’affirmait de plus en plus dans son rôle de soumise, en faisant la joie de son propriétaire.

Après quelques mois passés comme çà, Marc voulait passer à la vitesse supérieure avec Emilie et lui faire découvrir d’autres sensations. Il se souvient de Jean-Pierre son ami du tennis, avec qui il parle souvent. Qui lui avait raconté son histoire sur le parking du Bono et qu’il avait surpris un couple de jeunes en train de s’envoyer en l’air dans leur voiture pendant qu’il les mâtait au carreau. Jean Pierre ne s’en était jamais remis de cette fois là et n’arrêtait pas de revenir sur le sujet. Pour Marc c’était l’occasion rêvé d’offrir à son ami, une jeune fille de 18ans. En plus, pour avoir souvent prit des douches avec lui après le sport, il savait que son compagnon de tennis était particulièrement bien bâti à ce niveau là.

Marc provoqua la chose, en se faisant inviter à dîner chez son collègue. Il se garda bien entendu de lui dire qu’il viendrait accompagner.
.
par manukib56
#1290186
Le dîner chez Jean Pierre.

Quelle ne fût pas la surprise de Jean Pierre quand il accueilli son ami, normalement attendu seul.

Il les invita à rentrer en ne cessant de dévisager cette jeune fille. Qui était-elle ? Pourquoi l’avoir amené ? Etait-elle majeur ?

« Ca va Jean Pierre ? Je me suis permis de venir avec Emilie, j’espère que çà ne te dérange pas. Emilie, je te présente Jean Pierre donc, la personne avec qui je joue au tennis depuis maintenant pas mal d’années. »

« Enchanté Mademoiselle. Non bien entendu çà ne me dérange pas, je vais de suite rajouter un couvert. Je vous en prie installez-vous, faites comme chez vous. Marc tu connais la maison. »

Pendant le diner, Marc expliqua la situation.

« Voilà tu vas trouver çà bizarre, je pense Jean Pierre. En fait Emilie et moi on est comme qui dirait ensemble. En fait Emilie est étudiante à Vannes, et je lui loue un appartement. Tu sais celui près du port. C’est comme çà que je l’ai rencontré. Bon c’est vrai ca peut choquer y’a quasi 20 ans d’écart entre nous. Mais je te rassure elle est majeur. » Dit-il en lui adressant un petit clin d’œil.

« Oh non ne vous inquiétez pas, çà ne me dérange pas. Je respecte votre choix et votre vie. Je n’ai pas à vous juger. Du moment que ce soit consentie … » Jean Pierre ne se doutait de rien, il était loin d’y penser qu’en fait, un contrat liait ses deux êtres. Sa soumission contre un loyer. Qu’il n’avait pas à faire à un couple mais à un dominant et sa dominée.

Mais le fait d’avoir percé cet abcès détendit considérablement l’atmosphère du repas qui pouvait poursuivre dans la bonne humeur.

Les deux amis échangèrent beaucoup sur des anecdotes communes, et les rires allaient de bon train. Les bouteilles de vins se débouchèrent au fil des discussions. Mais à un moment du repas, Jean Pierre remarqua que la jeune fille le fixait souvent. Il ne savait pas comment réagir face à cette inconnue. Son regard devenait pesant et vide d’interprétation. Cela en devenait oppressant. Mais cette jeunesse ne le laissait pas indifférent.

Le diner suivit son cours. Au moment de partir, il fallut se rendre à l’évidence Marc ne pouvait pas conduire et comme souvent lors de soirée entre eux, Jean Pierre invita son ami à rester pour la nuit.

Les amis prirent congés, et chacun rejoignit sa chambre. Le calme était revenu dans la grande maison et lentement tout le monde glissa dans les bras de Morphée. Tout le monde ?! Pas si sur…

Tandis que Jean Pierre dormait à point fermé, il fît un drôle de rêve. Il avait la sensation qu’une main, dont la peau était d’une douceur, venait caresser son sexe et furtivement se glisser en dessous de son caleçon. Ce doux câlin le fît gentiment se réveiller et qu’elle ne fût pas sa surprise, de trouver dans son lit, la jeune fille qui était assise il y a quelques heures en face de lui dans son lit.

« Mais, qu’est ce que ….. »
« Chut Grand Père ! Tu vas réveiller Marc. J’ai bien vu pendant le diner que tu me dévisageais. Je ne te laisse pas indifférente. Hein ? » Pendant qu’Emilie lui parlait elle continuait bien évidemment de caresser l’homme avec qui elle était en train de partager le lit. Très doucement elle lui baissa son caleçon pour avoir un accès direct à sa verge.
Elle arrêta de parler et entoura de ses lèvres le sexe, quant à lui encore endormi. Elle en était effarée de voir que ce pénis pas encore en érection lui remplissait déjà bien la bouche. Cela laissait à penser qu’elle allait aller de surprise en surprise.
Jean Pierre ne savait pas quoi faire, tellement de questions venaient s’entre choquer dans sa tête. Comment pouvait-il faire çà à son ami, en plus avec une fille qui pourrait être sa propre fille. (48 ans les séparaient). Mais ca faisait si longtemps qu’il n’avait pas connu çà, en plus cette gamine savait y faire avec sa langue. Jamais il n’avait été sucé de la sorte, c’était une pro. En l’espace de quelques coups de langue et de petits va et viens entre ses lèvres, le voici au garde à vous. Emilie ne s’imaginait même pas que le sexe d’un homme puisse faire cette taille. Elle était obligée de forcer sur l’ouverture de sa bouche pour pouvoir accueillir cette circonférence. Mais elle y mettait du sien et à chaque coup de tête elle essayait toujours de s’enfoncer toujours un peu plus. Ce qui ne faisait qu’accentuer le plaisir de son inconnu.

Il sentait le plaisir monter en lui, il tira énergiquement la tête de la gamine en arrière en la saisissant par les cheveux pour lui épargner de jouir dans la bouche. Avec sa main elle continua de le masturber pour en extraire son précieux jus. Elle sentait le liquide chaud couler entre ses doigts, elle ne distinguait rien dans la nuit mais elle se doutait que la quantité qui en sortait devait aussi être démesurée.

A peine a-t-il eu le temps de reprendre ses esprits, qu’il se rendit compte que la jeune fille avait déserté son lit pour rejoindre la chambre d’ami.

Mais il était sur d’une chose, çà il ne l’avait pas rêvé.

Jean Pierre a toujours gardé ses habitudes de la vie active, et aime se réveiller tôt le matin. Mais ce réveille n’était pas le même que les autres jours, son esprit était partagé par le remords, la honte, mais aussi l’excitation. Il resta un long moment assis dans son canapé à essayer de trouver un peu d’attention pour lire son journal en attendant que ses convives ne se lèvent.

C’est Marc qui fît irruption le premier dans le salon.

« Salut JP, bien dormi ? Moi j’ai dormi comme un loir. La miss est sous la douche. Tu veux que j’aille chercher des trucs à bouffer pour le petit déjeuner pendant ce temps là ? Croissants, pain. »
« Attends Marc je vais y aller ! Vous êtes mes invités »
« Bah pas de çà entre nous. Reste peinard j’en ai pas pour longtemps. » Il mit son manteau et se dirigea vers la porte.
« A tout’ »

A peine la porte d’entrée se refermait que celle de la salle de bain s’ouvrait. Il était seul dans sa grande maison avec cette fille. Il l’entendait descendre les escaliers, et osait à peine tourner la tête pour croiser son regard.

« Bonjour Jean Pierre, je me suis permise de prendre une douche j’espère que çà ne vous dérange pas. »
« Non pas du tout vous avez bien fait »
« J’ai pris une serviette de bain dans le placard aussi »
Une serviette de bain qui l’habillait. Emilie était descendue dans la simple tenue vestimentaire. Seule une grande serviette de bain masquait sa nudité. Voyant que Jean Pierre ne se retournait pas elle se présenta devant lui.
« Ah eeuuuh oui bonjour, vous n’allez pas avoir froid habillée comme çà. »
« Non il fait bon chez vous. Marc est parti chercher du pain ? »
« Euh oui. Il ne devrait pas tarder »
« J’ai vu hier soir que vous aviez une salle de billard ? »
« Oui effectivement mais je n’y joue quasiment jamais »
« Ca vous dirait de faire une partie, j’adore ce jeu. Mais pas contre je ne suis pas très bonne. »
« Quoi maintenant ? »
« Oui pour attendre Marc, ca fera passer le temps »

Et après tout pourquoi pas, au moins çà lui permettra de penser à autre chose, qu’à cette jeune rousse tellement désirable devant lui.

Tous les deux se dirigèrent donc vers la salle du fond. A peine la partie commencée, Jean Pierre sentait des bouffées de chaleur lui monter. Quel drôle d’effet lui faisait cette gamine, il en était certain que cette nuit il n’avait pas rêvé mais elle ne faisait comme si de rien n’était.

Quand tout d’un coup, elle se pencha pour jouer sa boule et par le pur hasard ou par un effet de style, le nœud qu’elle avait fait à sa serviette céda au moment de se redresser. La voici entièrement nue devant lui. Il n’en croyait pas ses yeux. Très vite gêné devant cette nudité il détourna le regard.

« Qu’est ce qu’il y a, je ne vous plais pas ? Ce n’est pas ce que me semblait penser hier soir. » Ce n’était donc pas un rêve, elle était bien venue lui rendre visite.
« Vous auriez peut être préféré voir une fille avec plus de forme ? Vous êtes tous les mêmes »
« Non pas du tout, bien au contraire je vous trouve parfaitement ravissante »
« Mais mes seins sont trop petits, c’est ce que vous êtes en train de vous dire »
« Je les trouve très mignons » La fille se rapprocha dangereusement.
« Vous avez vu aussi, Marc l’adore comme çà » disait elle en désignant son sexe totalement imberbe.
« Je n’avais jamais encore en vrai, de mon temps cela ne se faisait pas »
« Vous voulez toucher ? »
« Euh non je ne peux pas, Marc est mon ami et en plus vous être trop jeune pour moi. »
« Mais allé, laisse toi aller Papy, Marc n’est même pas là. » Tout en motivant son hôte, elle prît de la hauteur en venant s’asseoir sur le billard tout en écartant les cuisses.
« Viens juste embrasser mon abricot. Tu en meurs d’envie. » C’était vrai son envie était grandissante et il finit par capituler. Il se rapprocha à son tour de la gamine en laissant glisser ses mains sur les jeunes cuisses. Machinalement il s’agenouilla pour porter son visage à la hauteur de ce fruit défendu. Cela faisait combien d’années qu’il n’avait pas senti le sexe d’une femme. En plus celui-ci était d’une jeune fraicheur et était agrémenté d’une sensation nouvelle, l’absence totale de pilosité. S’en était trop pour lui, il le porta à sa bouche. Timidement il sortit sa langue pour venir jouer avec le bouton d’Emilie. S’en était trop pour elle, ses petits gémissements commençaient à arriver aux oreilles de Jean Pierre, ce qui ne faisait qu’attiser son engouement. Il essaya d’y introduire un doigt qui à sa grande surprise s’engouffra sans aucun souci. Jamais il n’avait connu un sexe aussi luisant de plaisir. C’était aussi doux à l’intérieur qu’à l’extérieur. Tellement absorbé par le corps de cette jeune étudiante il en avait complètement oublié son ami. Le retour à la réalité se fît par surprise.

Marc ouvra la porte de la salle de jeu énergiquement :
« J’espère que je ne vous dérange pas ? »
« Oh merde Marc, écoute ce n’est pas ce que tu crois … » La honte se lisait sur son visage.
« Mais t’inquiète JP y’a pas de soucis. Au contraire, c’est fait pour çà. Emilie, monte nous attendre en haut je dois parler à mon ami ».
Amusée elle descendit du billard et quitta la pièce entièrement nue.
« T’avais pas compris notre petit manège ? C’était un scénario monté de toute pièce. Emilie si tu veux c’est comment dire ma petite soumise. Je l’éduque sexuellement en contre partie elle peut disposer de mon appartement sur Vannes gratuitement. »
« Mais attends Marc c’est de la prostitution. T’as vu son âge ? »
« Prostitution : ce n’est pas le mot disons un échange de bons procédés. Et puis on y trouve notre compte tous les deux. Et puis tu ne vas pas me dire qu’elle a l’air forcée de le faire. C’est même elle qui m’a proposé d’aller te rendre une petite visite cette nuit dans ton lit. »
« Non de Dieu, mais c’est une histoire de dingue »
« Tu sais ton aventure sur le parking du Bono, quand tu as surpris le jeune couple en train de s’envoyer en l’air, j’ai bien vu que çà t’avais marqué. Et ben aujourd’hui je te propose de t’envoyer en l’air avec une encore plus jeune je suis sur. Et crois moi elle sait y faire la petite. Tiens prends ces capotes et va la rejoindre, elle n’attend que çà. Et un conseil d’ami, vas y profites en, fais lui voir de tout. Elle ne te dira pas non. Amuse-toi. »
Totalement abasourdi par ce qu’il venait d’entendre, Jean Pierre ne savait pas trop comment réagir. Les capotes à la main, il allait rejoindre cette jeune inconnue. Il ne savait plus où il était et ne reconnaissait plus sa maison. Arrivé en haut, il entra dans sa chambre et trouva sur son lit Emilie les jambes écartées en train de se masturber. Elle se leva devant le soixantenaire et l’aida à se dévêtir. Ils s’embrassèrent fougueusement, pendant ce long baiser il profita de venir caresser cette ci jolie petite poitrine. Les tétons durcirent quasi instantanément. Il interrompit le baiser pour venir prendre le 75B en bouche. Il mordillait les tétons un à un pour les rendre encore plus durs qu’ils ne l’étaient. Il descendit sa main droite tout en prenant soin de bien effleurer tout le long du corps de la jeune fille pour venir s’y glisser entre ses jambes. Avec son majeur, il vient caresser son clitoris en alternant des passages dans son sexe totalement humide. Quant à elle, sa main entourait son sexe et dans un mouvement de va et viens elle cherchait à le faire durcir. Elle n’eu pas besoin de trop y insister, au fil des secondes le sexe se raidissait à mesure. Jamais il n’allait s’arrêter de grandir, çà ne faisait qu’attiser son désir en elle.

Le moment était arrivé de passer à l’étape suivante, pendant que Jean Pierre était occupé à mettre un préservatif, chose qu’il n’avait jamais mit depuis des années. Emilie se positionna à quatre pattes (comme lui avait apprit son maître) prête à attendre le sexe de l’homme. Elle se cambra au maximum et stimulait son clitoris en même temps.

« Allez Papy presse toi ! Viens me prouver que ton sexe peut rentrer en moi. N’y va pas par quatre chemins, j’ai l’habitude tu sais … »

A peine terminée sa phrase que Jean Pierre l’avait agrippé par les hanches et forcé le passage avec son sexe hors normes. La fille ne pu se retenir de lâcher un cri strident dans toute la maison. En rien ce cri ne coupa l’élan de notre ami, et pourtant pas dans son habitude il vient sauvagement lui donner des coups de rein pour bien s’assurer que son sexe y entre dans son intégralité. Elle était secouée par cette brutalité, qu’elle aimait. Elle n’avait jamais connu si gros auparavant, elle n’arrêtait pas de stimuler son clitoris pendant ce temps là.

Derrière eux, la porte s’ouvrit sans bruit et Marc entra dans la pièce à pas de loup, totalement nu.

« Merde, Marc qu’est ce que tu fous là ? Je croyais que tu nous attendrais en bas »
« Attends Jean Pierre, tu ne croyais tout de même pas que j’allais te laisser tout seul t’envoyer en l’air avec mon étudiante. Et puis de toute façon, il faut bien lui apprendre à cette gamine à baiser avec deux hommes à la fois. Je te rappelle que j’ai un devoir d’éducation sur elle. »
« Putain j’ai jamais fait çà moi ! »
« Laisse aller JP, et puis à entendre les cris d’Emilie, j’ai bien l’impression que cette situation tu plais non ? Alors accepte un petit coup de main d’un pote pour la faire crier encore plus. A deux on y arrivera mieux. »
Tout en discutant il monta sur lit pour venir présenter son sexe mou à sucer.
« Fais-moi durcir ! Allez choppe moi çà ! » Il l’agrippa par les cheveux et venait lui-même donner la cadence dont il souhaitait. Très vite il se raidit aussi et jouait à enfoncer toujours un peu plus son sexe dans la bouche de sa compagne. Cette situation avait considérablement réduit l’ardeur de notre partenaire, qui était plus spectateur qu’acteur. Pourtant toujours agrippé aux hanches de la jeune fille, ses allers et venus étaient moins énergiques.
« Alors tu l’as senti passé mon copain, je t’avais dis qu’il avait une grosse. »
« Oui, j’aime beaucoup. Je suis bien ouverte »
« Mmmmh ! Tu peux me laisser voir JP ? »
Jean Pierre se décala pour laisser la place à son ami. Marc la pénétra aussitôt comme le lui avait fait il y a quelques minutes.
« Ah oui je confirme, on y rentre facilement. Et ben mon Jean Pierre je dois dire que passer après toi c’est un vrai plaisir. Et pourquoi on ne demanderait pas à notre ami d’explorer ta petite intimité ? Quand dis tu ?»
« Tu crois que çà passera ? Il est quand même beaucoup plus gros que toi et ma petite intimité n’a connu que toi. »
« Raison de plus !! Jean Pierre çà te dirait d’enculer cette petite étudiante effrontée ? »
« Oh non je vais lui faire mal, tu as entendu »
« Mais non, attends je reviens »
Marc s’absenta quelques secondes pour aller chercher un petit tube de lubrifiant dans son sac. Il retrouva sa locataire à genoux en train de se livrer à une fellation.
« Retourne sur le lit, je vais te préparer. » Il lui administra une grosse quantité de lubrifiant et avec son doigt veillait à bien remplir son petit trou. Il s’essaya à deux doigts. L’entrée semblait être faite. Pour s’en assurer Marc prit les devant et vient doucement s’y introduire pour commencer le travail. Après quelques passages, il se dégagea totalement pour laisser place à son camarade de tennis.
« A toi de jouer, l’ami. » Timidement il se positionna derrière elle, et vint appliquer son gland sur la petite partie rose. Avec une extrême prudence il vient appuyer pour essayer d’y rentrer.
« Ouhhhh çà fait mal !! Il est vraiment très gros le Papy ! » Avec persévérance, le gland disparut dans les cuisses. Il se retira et recommença l’opération autant de fois que nécessaire. Après plusieurs minutes et apports de lubrifiant parfaitement orchestré par l’éducateur, Jean Pierre était maintenant totalement à l’intérieur. Il ne voyait plus son sexe. Alors commence pour lui le jeu de rein. Emilie ne pouvait plus retenir ses cris, et se laissait aller.

Une fois qu’il était bien à l’aise. Marc proposa de la prendre à deux.
Il s’allongea sur le dos pour venir accueillir la jeune fille au dessus de lui. Elle prit son sexe en main et vint le guider à l’entrée de son sexe et s’y empala. Au tour de Jean Pierre maintenant de réinvestir le petit orifice. Et les voilà tous les deux en train d’écraser le corps d’une jolie petite de 18ans.

Le plaisir devenait trop fort pour Jean Pierre. A ses gémissements Emilie comprit qu’il allait bientôt éjaculer.

« N’éjacule pas dans ta capote Papy, vient te libérer sur ma poitrine si mignonne ! »

Il se retira rapidement d’elle, ôta son préservatif pendant qu’elle se dégagea de Marc pour venir se présenter à genoux devant lui. Jean Pierre se masturba énergiquement et gicla comme jamais sur les seins de la petite rousse. Des jets atteignaient même son visage, ce qui ne semblait pas la déranger. Au même instant c’était au tour de Marc de ressentir le besoin de se soulager, à la différence de son compère il avait le privilège de pouvoir se déverser dans la bouche de la jeune, qui avec le temps avait apprit à aimer son goût. Une fois n’est pas coutume sa quantité était plus importante que d’habitude et la jeune fille n’arrivait pas à tout avaler de ce que lui donnait son maître, et cela coulait le long de son visage pour venir finir sur son coup et venir se mélanger avec celui de son ami.

Cette expérience nouvelle pour Jean Pierre, lui a permis de renouer avec le sexe. Qui avait totalement oublié depuis le décès de sa femme. Un peu comme nous, une relation particulière est née entre ces personnes. Et plusieurs rencontres ont suivi par la suite.

Mais Jean Pierre gardait toujours au fond lui l’image d’Audrey dans la voiture. Et le fait d’avoir rencontré Emilie ne fait qu’accroitre son fantasme. Malgré lui, il aimait suivre les faits et gestes de ce couple voisin. Et un beau jour, nous croisa (Manue et moi) qui allions chez Mathias pour notre soirée poker. Il se doutait que quelque chose se passait entre nos deux couples.

Un matin, où Mathias partait faire son jogging, il l’interpella et mit sa timidité de coté pour l’aborder sur le sujet.

« Bonjour Mathias, vous allez bien ? Bon, excusez moi de vous aborder comme çà mais voilà depuis que je vous ai surpris sur le parking du Bono on en a jamais reparlé »
« Ecoutez Jean Pierre, n’ayez pas honte. Vous savez on était conscient qu’en le faisant à cet endroit y’avait un risque de se faire surprendre. On a joué et nous avons perdu, j’espère juste que vous avez passé un bon moment ? Vous savez nous et je parle pour Audrey ca n’a fait qu’augmenter notre désir. En plus par chance nous sommes tombés sur une personne respectueuse. Ne vous inquiétez pas … »
Ils restèrent parler un bon moment tous les deux, et très vite nous sommes rentrés dans le sujet de discussion. Et Mathias expliqua notre relation à quatre, et comment Manue s’était affirmée.
Jean Pierre osa sa question :
« Et vous pensez que je peux les rencontrer ? »

Vous connaissez après la suite de l’histoire …
par manukib56
#1298939
Livrée à nous …

Quelques semaines sont passées depuis notre dernier dîner chez notre nouvel ami Jean Pierre. Nous en reparlions régulièrement entre nous de cette fille, mystérieuse qui était devenue la propriété de ces deux hommes. Comment en quelques mois pouvait-on changer à ce point ? Audrey avait une vraie théorie là-dessus, qui nous paraissait tout à fait plausible : On ne peut pas changer comme çà du jour au lendemain, on se révèle juste comme on est réellement à l’intérieur de soi. Manue en était le bon exemple, qui aurait cru que cette grande timide complexée puisse un jour vivre une aventure sexuelle à quatre ?

C’est Marc qui prît directement contact avec nous via Mathias, pour à son tour nous inviter à dîner chez lui dans sa maison près de Vannes. En acceptant cette invitation nous savions bien que cela n’allait pas se résumer à juste partager le repas avec eux, il avait une idée derrière la tête. Mais à quatre on est toujours plus fort et nous décidons d’accepter ce rendez vous en Terre Inconnue.

A l’inverse des autres fois, c’est nous qui attendions Audrey et Mathias chez Manue pour aller tous ensemble à notre soirée. Pour ne pas avoir l’air aguicheur, nous avons tous les quatre optés pour des tenues sobres et pas provocatrices. Même si, comme toujours je trouvais Manue magnifique. Elle avait opté pour un petit pantalon noir stretch, accompagné de sa petite paire de chaussures à talons. En haut, un petit chemisier entre-ouvert laissait supposer qu’elle avait fait un petit effort sur la lingerie. De la fine dentelle blanche dépassait légèrement de son décolleté.

L’option covoiturage ayant été retenue, c’est avec la voiture de Mathias que nous arrivons dans la propriété. L’architecture de la maison et l’aménagement paysager du jardin divulguaient bien que nous avions à faire à une personne très aisée. Marc était courtier en assurance à son compte. Les affaires allaient très bien pour lui, la crise n’ayant eu que très peu d’impact sur son activité.

Jean Pierre était déjà arrivé depuis la veille, c’est lui-même qui nous ouvrit la porte. Comme chez lui d’ailleurs, la température de la maison était relativement élevée, on comprit très vite pourquoi. La règle de bonne conduite établit entre eux était simple, Emilie avait pour obligation de ne se vêtir que d’un string, de bas et de talons hauts quand elle se trouvait chez Marc ou bien chez Jean Pierre. C’était comme aimait dire Marc, sa tenue de travail. C’est dans cette tenue que nous retrouvons donc la jeune rousse de 18 ans. Il était difficile pour nous de ne pas poser notre regard sur son corps quasi dénudé. J’appréciais beaucoup sa petite poitrine, cela donnait un coté très excitant à la chose. J’aimais déjà beaucoup le petit 85B de Manue, qui complexait énormément sur la petite taille de la sienne, mais celle là avait tout de même le mérite d’être encore plus petite et était totalement assumé par cette jolie rousse. Sa peau était blanche et paraissait tellement douce. Un petit piercing venait décorer son bas ventre, un petit diamant ornait son nombril. Ses jambes étaient très longues et très fines, l’accessoirisassions des bas et des chaussures à talon ne faisaient qu’accentuer son coté féminin et mettaient en valeur ses formes longiligne.

« Bonsoir les amis, très content de vous voir et très heureux que vous ayez répondu présent à mon invitation. Ne vous étonnez pas de voir Emilie habillée de cette manière, c’est sa tenue de rigueur. Et comme maintenant vous savez toute l’histoire sur notre petite vie, je lui ai demandé de conserver sa tenue dite réglementaire. Enfin bon, passons. Je vous en prie, rentrez et faites comme chez vous. J’ai fait préparer deux chambres au cas où vous voudriez passer la nuit ici, la maison est grande et vous aurez tout le loisir d’en profiter. Et cela vous laissera plus libre. Vous verrez elle est très bien équipée. »

En effet, sa maison avait sa propre piscine intérieure ainsi qu’un espace spa : Sauna et jacuzzi. Tout cet espace était sous une verrière qui donnait directement sur un parc arboré. Un petit paradis. Toute la demeure était décorée dans une ambiance moderne et chic, sans doute le travail d’un architecte d’intérieur.

Le début de soirée fût très cordiale et dans la bonne humeur. Marc nous questionnait beaucoup sur comment nous nous étions rencontrés, comment en étions nous arrivés à vivre cette relation à quatre.

Au fil de la discussion, la timidité s’effaçait et nous lui contions plus facilement nos diverses péripéties. Pendant que moi et Mathias racontions notre histoire, je voyais bien que Jean Pierre ne cessait de dévisager ma conjointe. Le regard qui posait sur elle était gorgé de sens, il avait une attirance forte pour elle. Je l’avais déjà remarqué lors de notre diner chez lui, et il l’avait confirmé quand il avait demandé à pouvoir se soulager sur elle. Pourquoi elle et pas Audrey ?

Emilie n’était pas à table avec nous, c’est elle qui assurait le service. Quand elle venait déposer notre assiette elle avait toujours une main d’apposer sur nous. Son intervention était très tactile, que se soit envers nous ou envers les filles.

Le dessert marqua la conclusion des hostilités chez notre hôte.

« Bon, excusez moi de me montrer comme çà un peu brutal mais vous vous imaginez bien que notre petit diner (aussi sympa soit il) était un prétexte pour vous demander quelque chose. Comme vous le savez maintenant, Emilie est donc, si on peut dire, notre esclave sexuel à Jean Pierre et moi. Nous avons un devoir d’éducation envers elle. Depuis maintenant quelques mois, nous essayons de lui faire découvrir toutes les facettes du sexe. Par le pur des hasards, vous avez tissé avec Jean Pierre un climat de confiance pour vous être illustrés à une exhibition chez lui. J’ai donc demandé à Jean Pierre de nous faire rencontrer, j’ai beaucoup aimé votre histoire et je dois dire que vous avez un coté très attachant. C’est aussi la raison qui me pousse à vous demander ce soir un petit service. Je voudrai ce soir faire vivre deux choses à Emilie, tout d’abord l’homosexualité. Enfin je devrais dire la bisexualité. Si vous êtes d’accord les filles, je voudrai que vous l’utilisiez. Et quand je dis utiliser c’est bien dans ce sens que je l’entends. Je ne veux pas que vous en fassiez une maitresse et encore moins une amie. Mais qu’elle vous appartienne le temps d’un soir et que vous vous procuriez de plaisir avec elle. Elle serait en quelque sorte votre sextoy. Ne cherchez pas à lui procurer du plaisir mais à vous en procurer, vous. Dans ce que vous avez pu nous conter, j’ai compris que la bisexualité entre vous existait. Je crois, et les garçons me soutiendrons je l’espère, que ce que je vous offre est loin d’être moche. Et je peux vous garantir qu’elle apprend très vite, et elle saura vous écouter. »

Voilà où ils voulaient en venir, c’était maintenant plus clair sur les motivations de cet homme à vouloir garder le contact avec nous. Bizarement cela semblait inquiéter Audrey.

« Ok, j’ai bien compris votre demande mais vous pendant ce temps qu’est ce que vous faites ? Vous n’allez pas me faire croire que vous vous contenterez de juste regarder sagement. J’imagine que vous allez vouloir participer ? »
« Non rassurez vous, j’en arrive donc à ma deuxième demande. Comme je vous disais je veux faire vivre deux choses à Emilie ce soir. Donc la bisexualité mais je voudrais aussi lui offrir son premier gang bang. Aujourd’hui elle connaît bien sur la sexualité à plusieurs, car comme vous savez Jean Pierre participe aussi avec moi à son éducation. Mais là je voudrai lui offrir quatre hommes en même temps. C’est donc là où Jean Pierre et moi rentrions en jeu, bien entendu si Mathias et Frédéric acceptent de leur coté. Donc à moins bien entendu que vous souhaitiez nous accompagner en aucun cas nous serons oppressants envers vous. Vous avez ma parole. »

« Admettons … »

Quand Marc avait énoncé le second souhait et dit le mot « Gang bang », j’ai bien vu sur Manue que cela la dérangeait un peu. Je me souviens au tout début où nous côtoyons Mathias et Audrey, elle avait beaucoup de mal à accepter que je puisse prendre du plaisir avec une autre fille qu’elle. Mais au fil du temps et de la tournure qu’avait prit notre relation à quatre, elle l’avait totalement intégré et surtout vivait la même chose que moi avec Mathias. Depuis maintenant pas mal de temps, il n’y a plus de jalousie entre nous quatre, notre plaisir est totalement assumé et surtout complémentaire. J’aimais la voir faire la moue, cela la rendait encore plus attachante. Je la rassure par un petit sourire.

« Bon, je ne vous force pas dans tous les cas. Que diriez-vous d’aller boire le champagne au bord de la piscine. Pour ceux qui veulent, il y a aussi la possibilité de faire un sauna. Emilie !!! Va allumer le sauna et prépare des serviettes de bain pour nos invités. »

Tous les six, nous nous dirigeons vers l’espace détente. Sur le bord de la piscine, une petite estrade meublée de plusieurs chaises transat surplombait le bassin. Juste derrière, une porte en bois vitrée marquait l’existante du Sauna. Sur chaque chaise une serviette de bain nous attendait. Les spots du jardin ainsi que ceux de la piscine étaient allumés et suffisaient largement à nous éclairer, tout en donnant une atmosphère feutrée à cette verrière.
Quelques minutes passèrent, et Emilie arriva avec une bouteille de champagne et sept coupes. Pour le coup, elle était cette fois-ci conviée à nous rejoindre.

« Je vous ai mis des serviettes si vous souhaitez vous baigner ou même vous faire un sauna. Je l’ai allumé il doit être chaud maintenant. »

« Merci Emilie, allez buvons une coupe à la santé de notre rencontre. »

Très vite les groupes se formèrent d’un coté les filles, d’un autre les garçons. Bien entendu les sujets de discussion étaient bien différents d’un groupe à l’autre. A notre grande surprise, nous avons eu la joie d’apprécier la compagnie d’Emilie qui sous ses airs de petite soubrette parfaitement assumé, elle était aussi une fille très ouverte avec qui il est agréable de discuter. Pendant que nous étions occupés à parler sport et boulot, les filles quant à elles échangeaient sur des conseils beauté et forme. L’ambiance était détendue et les coupes de champagne ne cessaient de se remplir.

C’est Emilie qui prît les devants en voulant aller se délasser dans la piscine. Le Champagne lui montant à la tête, elle proposa de faire un petit break. Devant toute l’assemblée elle se leva et retira ce qui lui servait de vêtements. En quelques secondes elle se retrouvât totalement nue. Je ne vous cache pas que je laissais volontiers poser mes yeux sur cette plastique d’à peine 18 ans. Son sexe était totalement lisse comme Manue et Audrey, mais je ne sais pas pourquoi, peut être parce qu’il m’était étranger, j’étais comme attiré. Cette surface polie et luisante n’attendait qu’à être embrassée et être caressée par un sexe d’homme. Son corps de jeune fille faisait l’unanimité au sein de notre petit groupe, je crois que tout le monde avait envie d’y gouter.

Après s’être mis en scène devant nous, elle plongea dans l’eau. Audrey se laissa tenter à son tour, et commença à se déshabiller. Quand elle retira son haut, elle fît l’admiration de Marc.

« Ouahhhh, çà change de notre petite. Quels beaux seins ! Ma parole on doit y être à l’aise entre eux deux, non ? Ne me dites pas que vous n’en profitez pas les mecs ? »
« Oh que si, je te confirme Marc on y est très bien » lui répondit Mathias. Il en rajouta même.
« Et en bouche je te dis pas le plaisir, on s’y étoufferait »
Elle était maintenant entièrement nue elle aussi, et va rejoindre la petite rousse à l’eau.

Manue toujours plus timide que les autres s’était éclipsée dans un coin de la verrière pour se dévêtir à son tour. Elle s’était précipitée dans un drap de bain pour ne pas avoir à retraverser l’espace totalement nue. Jean Pierre n’était plus avec nous depuis un petit moment son esprit était trop focalisé sur ma petite amie. Il l’avait suivi du regard tout au long de son petit aparté et n’attendait plus qu’une chose qu’elle laissa tomber sa serviette pour redécouvrir le corps dont il était tombé sous le charme la fois dernière chez lui. Il se remémora le moment où il avait profité de l’occasion pour se décharger sur sa poitrine.
Arrivée au bord du bassin, elle laissa délicatement tomber sa serviette à ses pieds et fît profiter de ses jolies courbes mises en valeur par la douce lumière des spots. Les voilà maintenant toutes les trois dans la piscine à se laisser aller dans la douceur de la soirée.

« Bon les gars, que diriez vous de continuer notre petite discussion au sauna, laissons les filles un peu tranquilles ? »
« Ah oui tient bonne idée. » Plus pudiquement chacun de nous avait gardé une serviette autour de la taille et tous les quatre rentrons dans le Sauna. Nous étions pudique peut être dans nos gestes mais plus dans nos paroles. Le sujet de discussion était tourné sur nos femmes respectives, ce qu’on aimait leur faire, ce en quoi elles excellaient.

Après un bon quart d’heure passé au chaud, il était temps pour nous de sortir pour retrouver un peu d’air frais à respirer. C’est Jean Pierre qui sortit le premier et chacun à notre tour filons sous la douche pour nous rafraichir. Pendant ce temps les filles avaient quitté leur bain et entamé très librement le moment plus qu’intime de la soirée.
Nous retrouvions donc Audrey et Manue allongées, sur un transat, totalement nues les jambes bien ouvertes, pendant qu’Emilie alternait de sexe en sexe avec sa bouche.
Audrey s’était prise au jeu et se montrait très directive envers la jeune fille.

« Joue plus de la langue, n’hésite pas non plus à la glisser dans ma fente. Oui c’est mieux. Allez va faire pareil à ma copine et reviens me voir » Son visage disparut entre les cuisses de ma bien-aimée qui ne dissimulait pas son plaisir. A l’aide d’une main, elle exerçait une pression sur la petite tête rousse pour bien la sentir en contact. Son autre main malaxait son sein gauche. On pouvait facilement deviner quand Emilie visait juste avec son petit coup de langue, car elle se cambrait en sursaut pour mieux appréhender le plaisir. Jean-Pierre ne perdait pas une seconde à ce spectacle, qu’il appréciait au point de voir sa serviette autour de la taille se redresser toute seule comme par magie. Pour plus de confort il choisit un transat tout près de Manue, ainsi il était en première loge. Marc était lui plus intéressé par les attributs d’Audrey, l’excitation chez lui se fît sentir assez rapidement. Il aimait voir les seins lourds d’Audrey se balloter au rythme du cunnilingus de sa petite protégée. A la différence de nous tous, il préféra se dispenser de serviette pour laisser la place à son sexe en érection.

« Bon tu as bien compris maintenant comment faire avec ta langue, n’hésite pas non plus à y glisser quelques doigts. Viens voir à quel point tu m’excites. Ne vois tu pas que je mouille ? »
Elle ne se fît pas prier plus, pendant que sa langue était occupée à titiller le bouton d’Audrey, elle introduisit deux doigts et apprécia qu’effectivement l’ouverture était bien luisante à souhait. Son travail était donc bien fait. Elle alla faire de même à la voisine, qui elle aussi n’avait rien à envier niveau plaisir.
Après avoir lécher le sexe de Manue, elle vint embrasser à pleine bouche Audrey. Qui par ce baiser retrouvait l’odeur de sa copine.

Pendant qu’Emilie et Audrey étaient occupées à s’embrasser, Manue récolta les tapis mousses des transats pour constituer un matelas au sol. Elle s’y allongea pour venir accueillir Emilie au dessus d’elle en 69. Les deux jeunes filles montrèrent à chacune d’elle comment elles étaient douées l’une et l’autre dans l’exercice du cunilingus. Audrey s’agenouilla à coté des deux corps en plein étreinte et glissa sa main sous le corps de la petite nouvelle pour venir caresser sa poitrine et faire en sorte de venir durcir ses tétons. Elle les pinçait volontairement assez fort pour que la réaction soit plus rapide. Une fois satisfaite de son travail, à son tour elle s’allongea pour que la petite rousse lui passe dessus. Elle était beaucoup moins câline que Manue et n’hésitait pas à y introduire ses doigts pour bien l’ouvrir. Facilement elle arriva à y glisser jusqu’à 3 doigts. Les fille marquèrent une pause et prirent la position à genoux. Manue vint prendre en bouche la petite poitrine d’Emilie, et avec sa langue s’amuse à jouer avec les tétons ressortis. Quel plaisir pour elle de ne pas être pour une fois la plus mal fournit. Mais elle devait avouer que çà avait son charme. En échange elle proposa à la jolie rousse de prendre son petit 85b en bouche et de faire en sorte de faire durcir aussi les seins.
« Tiens viens gouter maintenant des plus gros, les hommes en raffole. » Elle changea de torse, et vint se blottir dans ces protubérances moelleuses.

« Bon les amis, que diriez vous de rentrer en scène et s’offrir à notre tour du bon temps. En tout cas merci beaucoup les filles pour votre prestation. Je peux en juger que vous nous l’avez gonflé à bloc, elle est excitée comme j’aime. Approche toi, laisse tranquille ces demoiselles et vient donc prendre en bouche ses messieurs. Fais leur honneur en leur montrant ce que l’on t’a enseigné. Messieurs, ce n’est pas votre ami qui va se trouver devant vous, donc ne vous retenez pas. Faites vous plaisir avant, Emilie a apprit à aimer le sexe dans toutes ses formes. Donc laissez-vous aller. »

C’est vers moi qu’elle se dirigea la première, elle dénoua ma serviette et me prit en bouche instantanément. Mon sexe était encore ramolli et était très loin de la grosseur qu’affichait Jean Pierre. Elle avait du mal à le garder à bouche et était obligée d’exercer une aspiration quasi constante pour le contenir entre ses lèvres. Son jeu de langue était grandiose, et à chaque passage mon sexe reprenait de la vigueur. Au fur et à mesure qu’il grandissait elle l’enfonçait toujours un peu plus au fond de sa gorge. La tentation de prendre ses petits seins entre mes mains était trop grande et je me retrouve en même temps en train de les malaxer énergiquement. Ceci ne faisant qu’accroitre mon désir mon sexe arriva à sa dimension au garrot. Mais je restais tout de même impressionné par les capacités de cette inconnue qui arrivait à l’enfoncer au plus profond d’elle. J’avais vraiment à faire à une gorge profonde. Seuls mes testicules restaient visibles au bord de ses lèvres. Je n’étais pas le seul étonné Mathias non plus n’en revenait pas.

« La vache, quand elle y va elle, elle y va. Fais-moi voir si avec moi tu y arriveras ? »
Son sexe en main et déjà à son apogée il vient le présenter à la jeune majeur. Sans réfléchir, et sans l’aide de ses mains elle vint d’une traite le saisir en bouche et dans le même élan le faire disparaître au fond de sa gorge. Les bras lui en tombèrent, jamais avant une fille n’avait réussit à le prendre aussi profondément. Audrey et Manue pendant ce temps là profitaient de la situation pour de leur coté continuer à se donner du plaisir. C’était Manue qui était maintenant au dessus de sa copine et chacune d’elle faisait reluire le sexe de l’autre avec sa langue. Les deux copines se retrouvèrent.
Vient se rejoindre à nous les deux autres hommes. La jeune fille était maintenant encerclée, elle n’avait autre choix que de nous prendre chacun à notre tour en bouche et d’accepter de se faire tripoter. Très vite elle ne savait plus où donner de la tête, toutes ces mains sur son corps : une lui malaxant le sein droit, l’autre agrippée à ses cheveux, une autre venait saisir sa main à elle pour lui faire comprendre que celui qui se tenait à sa droite voulait qu’en même temps elle le masturbe, une quatrième main était plus occupée à lui caresser le clitoris qui était aussi dur que les sexes qu’elle prenait bouche.

C’était Marc qui coordonnait les manœuvres. « Allez fous toi à quatre pattes qu’on te prenne comme tu le mérites. Viens nous montrer comment tu es ouverte »
Jean Pierre prit les devants « Quand il est question d’ouvrir le chemin, laissez-moi faire les gars. » D’un côté qui pouvait rivaliser avec la taille surhumaine de son sexe, cela en imposait le respect. C’est donc lui le premier qui se présenta derrière la petite rousse. A l’aide de ses deux il écarta la croupe de l’étudiante, approcha son visage comme pour renifler son odeur mais ceci n’était prétexte que pour venir cracher sa salive en guise de lubrification. Cela en voulait dire long sur comment il comptait la prendre. Une fois le sexe bien dégoulinant de salive, il recula légèrement pour prendre de l’élan tout en maintenant les cuisses bien écartées. Aligna son engin dans l’axe, et brusquement la pénétra sans prendre la moindre retenue.
« Merde !!!!! La vache Marc ! Jamais avant elle n’a été aussi facile à prendre. Putain on y rentre comme dans un moulin. Et ben ma petite, on dirait que les filles t’ont fait sensation. »
Tellement il n’en revenait pas, il ne cessait se réitérer son geste. Tantôt il se dégageait totalement, tantôt il venait s’engouffrer sauvagement. Marc voulait en avoir le cœur net et demanda à son ami de lui laisser la place. Avant de ce rendre derrière sa muse, il nous indiqua où nous pourrions trouver des préservatifs. A son tour, il vient sans délicatesse la pénétrer.
« Putain t’avais raison ! Regarde je rentre et sort facilement. » Il s’amusa un moment à varier les rythmes. Des fois, il se laissait aller à des grosses accélérations et stoppait presque immédiatement pour reprendre un rythme de croisière.
C’était à notre tour de participer, comme pour me donner du courage Manue délaissa quelques instants Audrey pour venir me prendre en bouche et m’embraser langoureusement. Après se transfère de force, elle retourna jouer avec son amie. J’étais maintenant devant ce sexe totalement inconnue, j’étais déjà le troisième en l’espace de 5 minutes à y rentrer. Mon intrusion fut plus délicate que les précédentes, mais je devais constater en effet qu’on ne se sentait pas à l’étroit. Pendant que je jouais du bassin, je me penchai sur elle pour saisir ses petits seins entre mes mains. Une fois bien agrippé à elle, je me laissai aller à une cadence plus soutenue. Quand le tour de Mathias arriva, il ne choisit pas ma méthode mais opta plus pour celle de ses ainés.

Ca y est chacun de nous étions passé une fois sur ce corps, qui il y encore quelques mois avait connu que très peu d’homme. Le gang bang commença réellement, chacun à notre tour on passait derrière elle mais on s’offrait aussi des petits plaisirs devant. Des fois elle se retrouvait avec deux sexes à sucer pendant qu’un troisième la secouait par derrière.

« Dis donc les gars, elle est tellement ouverte que je suis sur que Jean Pierre et toi (en désignant Mathias) vous y passeriez tous les deux. Vous ne voulez pas nous faire une démonstration ? » C’était une invitation à une double vaginale qui venait de nous être faite.

Mathias s’allongea sur le dos, et reçu la visite d’Emilie qui s’enfourcha sans attendre son nouvel étalon. Après quelques flexions des jambes pour bien s’assurer qu’elle glissait bien le long du membre, c’est par derrière qu’elle reçu la visite de Jean-Pierre. Pour être sur de bien suivre la bonne direction, il vient déposer le bout de son sexe au niveau de la liaison testicules verge de Mathias, et lentement vient remonter le long du membre pour arriver au passage déjà obstrué. Elle se cambra un peu plus pour essayer de s’ouvrir au maximum, déjà que Mathias était très bien proportionné mais rajouter en plus Jean Pierre relevait de l’impossible. Mais à force de persévérance tout doucement l’entrée se fît, et centimètre par centimètre notre retraité réussit à se faire une place. Les gémissements de la fille se transformèrent en cris, c’était une première pour elle. Elle avait déjà la joie de connaître une double pénétration mais pas vaginale. C’était anal et vaginal. Tous les deux ensembles ils s’amusèrent à se glisser l’un contre l’autre toujours maintenu par la fille. L’ouverture s’agrandissait toujours un peu plus.

Marc reprit les commandes. Il m’invita d’un signe de la tête à passer devant pour me faire sucer et vient m’accompagner pour se faire sucer à son tour.

« Ca te dirait de lui prendre le cul ? Elle aime çà aussi tu sais. Hein, tu aimes çà quand on te prend partout. Tu veux que le jeune homme te prenne par derrière après ? » Il n’y eut pas de réaction de sa part, elle était trop occupée à nous prendre en bouche tout en essayant de gérer au mieux les deux hommes qui s’introduisaient en elle avec force.

Après un long moment passé entre ses cuisses, ils s’octroyèrent une petite pause histoire de reprendre leur souffle. Mais pas pour elle bien entendu, à peine était-elle libéré de ces deux hommes qu’on lui ordonna de se remettre à quatre pattes pour que je puisse enchainer. Je cherchais du regard au tour de moi, où il y avait un tube de lubrifiant.

« Qu’est ce que tu cherches ? »
« Euuuh je ne sais pas, y’aurait pas de lubrifiant ? »
« Pour quoi faire ? T’inquiète pas pour elle, elle a l’habitude d’être prise par là. Utilise ta salive »

Avais-je vraiment le choix, c’était soit çà, soit à sec. Je préférais donc lui épargner une douleur supplémentaire. Comme avait fait Jean Pierre, me voici en train de cracher tout ma salive sur sa petite auréole, en espérant que cela suffirait. Pendant que j’étais en train d’essayer de pénétrer cette jeune fille par l’endroit interdit, mes deux compères Mathias et Jean Pierre papotaient à coté de moi en commentant les ébats amoureux de Manue et Audrey.

« Vous avez quand même pas mal de chances, elles sont mignonnes vos copines. Vous devez bien vous marrer ensemble. J’aime bien en plus la petite là (en montrant Manue), je dois dire qu’elle me fait un certain effet. J’étais bien content la dernière quand j’ai pu me soulager sur elle. Ce n’est pas dans mes habitudes mais là à défaut d’autre chose, j’ai tout de même pris mon pied. » L’entendre parler comme çà de Manue, me rendait jaloux au plus haut point, j’en oubliais même Emilie. Un peu énerver de savoir que cet homme posait ces yeux sur ma copine en plein ébat, sans prendre garde mon intrusion dans le petit orifice ne se fît pas avec la tendresse initialement prévue. Je passais mes nerfs sur cette jeune fille qui n’y était pour rien. Mes mains agrippaient le haut de ses hanches pour l’éviter de bouger, j’y mettais les ongles pour m’assurer de bien m’y accrocher. Et cherchais à chaque coup de rein à m’y enfoncer toujours un peu plus. Les cris de la jeune rousse, marquèrent l’attention de toute l’assemblée. Mon corps était en sueur, mon rythme cardiaque était au plus haut, j’avais chaud ma tête me tournait, mais tout cela ne m’empêchait d’accentuer encore mes vas et viens.

Marc, voulait aussi la part de son gâteau : « Attends petit, on va se la faire à deux. » Il s’allongea sur le dos pour la prendre vaginale ment et moi je retournais là où j’étais il y a un instant. Et pareil, je repris mon rythme plus qu’enragé. Cette petite pause pour le changement de position, m’avait permis de souffler un peu et donc reprendre mes esprits. J’étais donc maintenant un peu en forme pour à nouveau la martyriser. Ses cris reprirent de l’ampleur. Chaque fois que je l’introduisais plus, çà la faisait s’introduire plus sur l’autre sexe. Elle n’en pouvait plus. Voyant çà, les deux autres reprirent du service en venant offrir leur sexe à sucer. Et eux non plus n’y allaient pas à le dos de la cuillère, chacun à leur tour ils essayent de s’enfoncer toujours un peu plus que l’autre. Une compétition était lancée.

S’en était trop pour moi, il était arrivé temps que je décharge. Je me retirai complètement de la fille et sans demander à personne, je retirai mon préservatif. J’avais bien l’intention de prendre ma petite revanche en me décharge sur la figure de cette petite. Marc en était au même stade que moi, Mathias et Jean Pierre s’en rapprochaient. Nous libérons la petite, qui s’affale sur le sol exténuée. Je m’approche de son visage, m’a genoux pour être à une hauteur convenable et viens me masturber pile au dessus. En très peu de temps le plaisir monte et sans aucune retenue lui décharge tout ce que j’ai sur ses jolies tâches de rousseur. A l’aide de mon sexe je m’assure au même moment de bien étaler pour lui faire un masque de soin. Je n’épargnais aucune région de son visage. Ses cheveux en prenaient, elle ne pouvait plus ouvrir les yeux tellement le sperme avait coulé. Elle essayait de maintenir sa bouche au maximum fermée. En face de moi (de l’autre coté d’Emilie) c’était Marc qui se préparait à jouir. Lui il avait l’avantage c’est qu’il pouvait se décharger directement dans la bouche de la petite. De sa main il fît pivoter sa tête vers son sexe, lui fît comprendre en appliquant son gland sur les lèvres qu’il fallait qu’elle l’ouvre. En maintenant, bien son sexe à l’intérieur il se masturba jusqu’à jouir l’intégralité dans sa bouche. Par petit à coup, elle essayait tant bien que mal d’évacuer la quantité importante se sperme en l’avalant par petite gorgée.
C’était au tour de Jean Pierre qui lui aussi opta pour le visage, par contre il fît bien comprendre à Emilie qu’il voulait voir sa bouche ouverte pour lui garder une quantité à boire. Au même moment Matias s’occupait d’enduire son joli petit torse et d’utiliser son sexe comme spatule pour bien homogénéiser le précieux liquide blanc.

Après nous être tous les quatre totalement déchargés, la jeune fille resta de longues minutes allongée totalement inerte, entièrement recouverte de sperme. Son corps était moite et collant, de grosses mèches de cheveux étaient plaquées sur son visage, elle ne ressentait plus rien en dessous du bassin. Jamais elle n’avait été autant sollicité partout et par tant de monde à la fois. Elle était essoufflée, épuisée.

« Et bien vous ne me faites pas regretter de vous avoir invité ce soir. J’espère que çà vous à plu. En tout cas c’est un très bon début de week-end qui s’annonce. N’est ce pas ? »

Pour lui la soirée de ne faisait que commencer ?
par manukib56
#1306850
La soirée chez Marc : acte 2

Pendant qu’Emilie cherchait à retrouver ses esprits, nous la délaissions tous pour aller nous rincer à la douche.

Une fois tous les six rincés, nous optons à l’unanimité pour une petite séance de sauna, qui nous fera le plus grand bien.

Nous étions un peu à l’étroit dans cette pièces en bois, seuls deux bancs étaient disposés autour de la roche volcanique. Il y avait de la place pour quatre mais pour six fallait vraiment se serrer. Cela ne semblait pas déplaire à nos nouveaux amis : Marc et Jean Pierre qui avaient chacun investi leur place privilégiée. Sans grande surprise Jean Pierre s’était installé tout près de Manue, qui elle-même était assise à mes cotés. Tandis que sur l’autre banc, Marc se rapprochait de sa préférée avec Mathias. Ca y’est la répartition était faite, notre petite séance bien être pouvait commencer. Marc saisit la louche et versa une grande quantité d’eau qui vint considérablement monter la température dans le cockpit. Il vint rajouter quelques gouttes d’huiles essentiels pour donner un coté frais à l’ambiance mouatte et lourde.
On respirait à pleins poumons pour reprendre de l’énergie. Et tout naturellement la discussion vint se porter sur nos ébats d’il y a trente minutes.

« Bon alors les filles, honneur à vous. Comment avez-vous trouvé Emilie ? »
« Très bien, elle apprend très vite mais son coté novice lui fait son charme aussi. On voit bien que c’est la première qu’elle touchait une fille. On se demandait même avec Manue, si elle-même elle se touchait ? »
« Avant de la connaître non je crois pas. Aussi bizarre que cela plus paraître elle était très coincée il y a de çà encore quelques mois. Elle n’avait fait qu’une fellation dans sa vie, jamais gouté de sperme, l’anal j’en parle même pas je crois qu’elle ne savait pas que c’était possible. »
Une question taraudait Mathias « Mais en combien de temps vous avez réussit à la faire se révéler comme çà ? Ca paraît irréel raconté comme çà. »
« Oui c’est clair. Non, çà c’est fait tout naturellement comme je vous avais raconté au diner chez Jean Pierre. Elle s’est fait larguer par son petit ami et cherchait réconfort. Elle était un peu pommée et mal dans son corps. Le fait de voir qu’un homme peut avoir du désir pour elle et qu’elle pouvait donner du plaisir l’a beaucoup rassurée. Et depuis que Jean Pierre m’a rejoint dans son éducation l’a totalement déculpabilisée et maintenant elle s’assume à 100%.
En tout cas je suis très content d’avoir pu lui faire vivre une expérience comme tout à l’heure. Je ne sais pas pour vous mais moi j’ai pris mon pied. »
Difficile de répondre par la négative, c’est vrai que nous avions bien profité de la situation.
« Par contre j’espère que mesdemoiselles vous nous en voudrez pas de vous avoir délaissé pendant un petit temps. Si bien entendu on peut faire quelque chose pour se faire pardonner. »
« Merci beaucoup Marc pour cette attention, mais comme vous avez pu le remarquer on ne c’est pas laissé abattre toutes les deux. Et puis c’est toujours un réel plaisir d’être seule avec ma copine Manue. » Au fil de la discussion, Marc ne cessait de rajouter de l’eau, la chaleur devenait très forte. Nos corps dégoulinaient, nos cheveux étaient trempés comme si nous sortions d’une douche. Les serviettes qui nous habillaient étaient imbibées d’eau et la sensation sur la peau en devenait désagréable. Une fois n’est pas coutume c’est moi qui cette fois prit les devant : « Ca ne dérange personne si je retire ma serviette ? »
C’est Jean Pierre qui me donna l’aval : « Mais toi à ton aise mon ami, tu as bien raison. D’ailleurs je vais en faire de même. »
Jean Pierre et moi retirons donc ensemble nos serviettes. Manue était maintenant encerclée par deux hommes nus. Je n’arrivais toujours pas à m’y faire quant à ses mensurations et j’entre aperçue furtivement Manue y jeter un œil aussi. Pourtant elle avait eu l’occasion de le voir de plus prêt et dans d’autres conditions en plus, quand l’homme l’avait aspergé lors de notre soirée voyeurisme. Mais je devais l’avouer cela relatait du surréalisme. Audrey qui était assise en face ne cachait pas non plus sa curiosité, pourtant elle qui était déjà habituée à un sexe de taille plus que respectable. Je ne sais pas si c’est la vision de ce sexe hors norme qui lui a donné un dernier coup de chaleur, mais à son tour elle prétexta que sa serviette ne devenait plus supportable et qu’il était temps aussi pour elle de la retirer. Ce qui fît la joie de Marc, qui ne perdait pas une seconde du spectacle de son corps. Il ne se cachait pas et laissait poser ses yeux sur la poitrine imposante de la jeune fille.
« Ouahhh, je ne m’y ferai jamais à votre corps, vous avez une plastique de rêve. Qu’est ce que vos seins sont beaux. Ils ont l’air si lourd, si doux. Et je ne parle pas du reste. Excusez-moi d’être aussi direct mais j’ai du mal à me contenir quand je vois çà. »
D’un coté je ne pouvais que le comprendre, j’avais les même sentiments au tout début que j’ai connu Audrey. Cette jeune fille d’à peine 20ans. Elle était plus grande que Manue, les cheveux brun longs, sa taille était fine mais laissait entrevoir une poitrine bien plus imposante que le 85B de ma belle. Elle devait frôler les 90C. Ils étaient fermes et parfaitement dressés. Qu’est ce que j’aime y glisser mon organe entre ces deux protubérances, sentir la douceur de sa peau. Malgré tout l’amour que je portais à Manue, je ne pouvais plus cacher maintenant après temps de moments passés ensemble mon attirance physique pour la copine de mon ancien camarade de classe. Mais il ne pouvait y avoir de jalousie dans mon couple car elle-même ressentait la même attirance pour cette fille.
Marc ôta à son tour sa serviette, imité de très près par Mathias. Tous les regards étaient maintenant portés sur Manue, elle aussi se sentirait mieux si elle adoptait la même tenue que nous. Mais elle n’eu pas le choix, Jean Pierre agrippa la serviette et la lui retira par surprise.
Même sous une chaleur torride comme celle que nous étions en train de vivre, Manue arrivait tout de même à rougir de timidité. Ce qui en faisait la stupeur de Jean Pierre.

« Le prends pas mal ma petite Manue, je ne voulais pas te mettre mal à l’aise. En tout cas je suis toujours subjugué de voir à quel point tu es timide. Et pourtant des fois tu sais te montrer coquine. C’est ce que j’aime chez toi » Tout en s’adressant à elle, il laissait trainer ses yeux sur sa plastique. La sueur qui ruisselait le long de ses formes et entre ses seins ne faisait que donner un caractère très sensuel à la chose. Nous étions maintenant tous les six entièrement nus dans le sauna, chacun observait le corps de chacun en laissant aller ses idées. La chaleur devenait de plus en plus insoutenable, c’est Jean Pierre qui craqua le premier et déclara forfait. Marc accompagna son ami dehors. Mathias et moi les rejoignons assez rapidement. Les filles quant à elles trouvèrent la température encore supportable et y restèrent encore un petit moment.

A notre sortie, Emilie nous attendait dans une toute nouvelle tenue. Pendant que nous étions bien au chaud, elle en avait profité pour se faire une petite beauté. Elle se présenta à nous dans une petite tenue que je caractériserai de soubrette. Petit corset noir avec une fine dentelle blanche au niveau du décolleté. La fonction push up de se déshabillé mettait en valeur sa petite poitrine et la gonflait légèrement. Une jantière noire retenait de jolis bas blanc tandis que son sexe était caché par un joli string noir tout en dentelle. Ses cheveux étaient tirés en arrière et attaché par un élastique. Ses longues jambes étaient mises en valeur grâce à une paire de chaussures à talons très haut. Dans sa main elle tenait un plateau avec des serviettes propres pour que nous puissions nous éponger à la sortie de notre douche. L’esplanade en face de la piscine avait été rangée, et une nouvelle bouteille de champagne nous attendait dans son seau à glaces. Nous retournions donc sur les transats pour se désaltérer.

Même pas un quart d’heure n’était passé depuis que nous étions sortis, que les filles sortirent à leur tour. Elles passèrent vite sous la douche et elles se virent offrir par Emilie une serviette. Mais cette fois c’est Emilie qui les épongea, en s’assurant de n’oublier aucune goutte d’eau sur le corps de ces demoiselles. Une fois bien sèches, elles ne rejoignirent sur les transats pour prendre avec nous une coupe de champagne. Nous étions tous totalement détendus, et cette petite séance de sauna nous avait fait le plus grand bien.

Après nous avoir tous servis une coupe de champagne, la jeune fille se dirigea vers son maitre et s’agenouilla à ses cotés et sans même adresser la parole à qui que ce soit, le prît tranquillement en bouche. L’homme fît comme si de rien et continua de s’adresser à nous. Elle s’appliquait pour essayer de faire grossir ce membre, de temps à autre elle le retirait totalement de sa bouche pour ne faire qu’avec sa langue. Petit à petit, le sang commençait à se gorger. Le sexe était maintenant entre l’érection et son contraire. Elle le reprît donc en bouche. Tout en accentuant sa salive, elle l’invitait à s’enfoncer toujours un peu plus profond. Ca y est il était totalement dressé. Satisfaite de son travail, elle se releva pour se diriger vers son autre éducateur.
C’était au tour de Jean Pierre de venir grossir dans la bouche de la jeune fille, dans le même scénario que son prédécesseur, il vint s’enfoncer au plus profond de sa gorge. Elle avait du mal cette fois ci à dissimuler la difficulté à tout absorber de celui là, tellement on lui connaît des dimensions impressionnantes.
Ses deux hommes étaient maintenant fin prêt pour de nouvelles aventures. Mais dans sa galanterie, elle s’approcha de Mathias qui était assit à coté d’Audrey. Elle s’agenouilla entre les deux et pendant qu’elle s’attardait à faire grossir le sexe de Mathias dans sa bouche avec sa main gauche elle caresserait l’entre cuisse de la conjointe en y apportant une attention particulière à son clitoris. Arriva ensuite notre tour et de la même manière que notre couple d’amis, elle vint se positionner entre nous pour mutualiser son action.

Avec les grandes variations de températures entre le sauna et la douche, mon sexe était loin d’avoir des dimensions hors normes. Ce qui amusait Manue qui ne cessait de regarder la jeune fille lutter pour le garder en bouche. Heureusement qu’elle savait y faire, une fois bien au chaud entre ses lèvres, son petit jeu de langue a su redonner de la vigueur à mon organe. Et à mon tour j’ai pu apprécier de m’y glisser jusqu’au fond de sa gorge.

Les hostilités étaient lancées, nous étions tous les six à nouveaux excités. Pour le coup, je ne me sentais pas d’humeur à faire des infidélités à ma copine. J’avais surtout très envie d’elle et c’est tout naturellement à elle que je vins me présenter, le sexe en érection. Elle semblait heureuse de me voir arriver à elle, et dans un grand élan me prit sans se faire prier en bouche. Quel plaisir de redécouvrir la douceur de sa peau. Elle aussi était contente de retrouver mon sexe et elle le montra en s’appliquant un peu plus dans la fellation qu’elle était en train de m’offrir. Elle salivait volontairement pour bien assurer le contact doux entre mon sexe et ses lèvres. Son corps était allongé sur le transat, entièrement nu. Une jambe légèrement relevé faisait apparaître son entre-cuisse, j’avais une vue imprenable sur son petit sexe imberbe et totalement luisant. Les caresses de la petite soubrette avaient porté ses fruits. Sa petite poitrine n’attendait plus que mes mains, et donc dans la plus grande délicatesse je laisse mes mains se balader dessus en prenant bien soin de venir titiller les petits bouts pour les rendre un peu plus dur. Dans un exercice de contorsion, j’arrive tout en maintenant mon sexe dans sa bouche, à me cambrer suffisamment pour venir lui donner un long baiser et profiter de l’occasion pour prendre entre mes lèvres son sein droit.

Pendant un bref moment de lucidité, je fais brièvement un tour d’horizon pour voir comment le reste de la compagnie s’occupait. Mathias et Audrey était aussi lié par une envie de rester entre eux tandis que les deux hommes étaient tranquillement assis à nous observer leur sexe en main. Emilie quant à elle était assise entre ses deux hommes, dans l’attente de nouvelles directives. Elle profitait bien entendu du spectacle que nous étions en train de leur offrir.

Manue et moi étions d’humeur câline, et sans aucune précipitation nous dérivions tranquillement dans la jouissance de nos deux corps. Toujours allongée, je me mis à sa hauteur pour à mon tour jouer de ma langue pour lui procurer du plaisir. Elle écarta délicatement ses jambes pour m’inviter à atteindre son sexe. Lui aussi était comme les deux autres filles totalement épilé, il luisait et sentait bon le plaisir charnel. Mes lèvres viennent en contact avec ses petites lèvres, timidement je sortis ma langue pour venir en contact avec son petit bouton. Le plus doucement possible je viens jouer avec en dessinant des petits huit, je savais qu’elle adorait çà et que cette technique pouvait la mettre dans des états. Comment elle s’agrippait à mes cheveux et de la manière qu’elle exerçait une pression constante sur ma tête, pour bien l’appliquer contre son sexe, démontraient bien que ce que j’étais en train de lui faire l’amener dans un état second. Ses petits gémissements commençaient à prendre de la voix et vinrent masquer ceux d’Audrey. Qui elle aussi recevait de la part de son compagnon le même traitement. Ce spectacle était très apprécier de Marc et Jean Pierre, chacun d’eux se masturbait en pensant à sa préférée. Marc c’était Audrey, et Jean Pierre sans surprise Manue.

Cette idée d’être épié et surtout envié pendant notre moment d’intimité ne faisait qu’attiser en moi ce désir pour ma copine. Au fur et à mesure de mes tendres baisers je glissais ma langue dans l’entrée de sa fente et venais gouter à son précieux liquide. Elle était maintenant totalement prête pour pouvoir m’accueillir.

Nous inversons donc les rôles, c’est moi qui vins m’allonger sur le transat tandis que la jeune fille totalement nue, vint s’accroupir au dessus de ma verge dressée pour elle. Elle me saisit en main et vient poser mon gland juste à l’entrée de son sexe. Je ne faisais qu’effleurer ses lèvres humides. Une fois m’avoir axé, elle me relâcha de sa main, et redressa son dos pour se mettre totalement droite à moi. Je en faisais rien c’était elle qui avait les commandes. Le plus lentement possible, elle fléchissait les jambes pour venir s’appuyer maintenant. Mon sexe commençait doucement à forcer le passage, elle n’arrêtait pas sa descente et absorbait toujours un peu plus mon organe. De longues secondes passèrent et sa progression était toujours aussi régulière. Je savais qu’elle adorait par-dessus tout ce genre d’intrusion. Elle aimait ressentir chaque centimètre pénétrer son jeune corps mince. Je profitais de cette occasion pour venir prendre en main sa jolie petite poitrine, ses seins étaient fermes. Leur taille était idéale pour une bonne prise en main, ni trop grosse, ni trop petite. Avec la même douceur, je viens les malaxer. De temps à autre je les rapproche l’un contre l’autre, en me laissant penser que des fois j’y glisse mon sexe entre. Elle était maintenant totalement descendue, j’étais donc entièrement en elle. Elle n’entreprit pas de va et vient tout de suite mais avec son bassin elle décrivait de larges cercles avec comme axe ma verge toujours enfoncée au plus profond. Ces mouvements de rotation ne faisaient qu’accentuer l’ouverture de son sexe et je sentais sur mes hanches son précieux liquide y couler. Elle bascula sa tête en arrière pour montrer à quel point elle appréciait ce qu’elle entreprenait. Ses gémissements se faisaient toujours plus rapprochés. Les cercles se transformèrent en huit, la vitesse augmenta sensiblement. Mais mains étaient toujours en train d’encercler sa poitrine, je venais aussi de temps en temps pincer ses petites auréoles roses pour venir exciter ses jolis tétons. Pendant cette douce chevauchée, j’épiais mes amis. Audrey était arrivé à quatre pattes à même le sol sur un tapis du transat, pendant que Mathias se livrait à des vas et viens incessants entre ses cuisses. Sa lourde poitrine ne faisait que balloter à chaque coup de son compagnon, ce qui ne faisait qu’accroitre l’excitation de Marc, très fidèle à la scène qui lui était proposé.
Il savourait sans ménagement cette situation, voir ces seins aller d’avant en arrière au rythme des allers et venus de cet homme dans le sexe de cette jeune étudiante était pour lui si excitant. Il se laissait même aller à quelques commentaires avec son ami.

« Putain, j’ai jamais vu une gamine avec une paire de seins pareils. Ils sont gros mais semblent super fermes. On aurait du gout à les prendre en bouche et à les saisir à pleine main. Elle m’excite cette gamine Jean Pierre »
« A qui le dis tu Marc, moi c’est l’autre qui me trouble. Je ne sais pas elle un truc. Son petit coté timide me fait craquer. Et puis regarde ce corps, il est parfaitement proportionné. »
C’est Emilie pour le coup qui en rajouta « Et encore vous n’avez pas tout vu, moi j’ai pu venir les gouter et je peux vous dire qu’elles sont sublimes. Leur peau, l’odeur de leur sexe, un régal. Et puis leurs mecs ne sont pas si mal non plus. » dit elle d’un ton très coquin.

Je glissais mes mains au niveau de ses fesses, les empoigne très fermement. Maintenant je pouvais aussi contrôler ses aller et venus sur mon sexe. Je la surélevais pour venir juste faire le contact avec mon gland et son sexe, et je relâchais pour qu’elle vienne s’empaler en une fois. Je renouvelais régulièrement cette méthode, qui à chaque relâchement lui faisait sortir un petit cri.

Bientôt c’était les cris de Mathias que l’on commençait à attendre dans la pièce, il arrivait au plaisir ultime. Pour le coup, il se garda bien de rester dans le sexe de sa belle pour venir décharger. Par de grands sursauts, il venait déposer à l’intérieure d’elle une grosse quantité de sperme. Quand il se retira, un long filet blanchâtre coula le long des cuisses de la jeune fille. Elle resta dans cette position un bon moment pour reprendre ses esprits.

Une fois ses esprits repris, elle s’adressa à Marc.

« Dites moi, pourquoi ne viendriez vous pas entre mes seins ? Pour vous remercier de cette soirée forte sympathique je peux bien vous offrir ce petit privilège. » Il n’en fallut pas plus pour lui. Aussitôt dit, Marc se leva en direction d’Audrey, Mathias s’écarta légèrement pour laisser la place à son ainé. Elle se redressa face à lui s’accroupie pour être à la hauteur, avec ses mains elle saisit sa poitrine et vint la refermer autour de ce sexe encore inconnu. Marc fût stupéfait de voir que son sexe était entièrement recouvert, la sensation d’être emmitouflé lui était tellement agréable. La peau de la jeune était si douce qu’il s’y glissait facilement. A chaque fois que le bout de son sexe débordait des seins d’Audrey, elle profitait de l’occasion pour y glisser un petit bout de langue sur son gland, ce qui ne faisait qu’accroitre sa sensation de bien être. En très peu de temps, il sentait son sexe gonfler. Se retenir devenait un vrai supplice, il n’en pouvait plus. Et dans un grand râle, il déversa par de forts jets tout son sperme entre la poitrine de la jeune brune. Une explosion de jouissance, le menton d’Audrey en fît même les frais. Tout de le dessus de ses seins était immaculé de blanc, l’entre était lui aussi tapissé de ce liquide qui accentuait le glissement de ce sexe entre la peau.

Jean Pierre assistait à cette scène avec tellement d’envie, et sans se faire prier il se dirigea en notre direction le sexe à la main. Manue et moi le regardions arriver à nous.
Sans tourner autour du pot « Puis-je ? »
On n’eu pas le temps de répondre qu’il commençait déjà à se déverser sur la poitrine de Manue. Comme à son habitude, la quantité qu’il expulsait battait tous les records. Il frottait son sexe contre les tétons et n’arrêtait pas d’éjaculer en même temps. Il étalait son foutre partout sur le buste de ma copine. Moi qui étais toujours allongé en dessous en recevais aussi. Je n’avais jamais vu un sperme aussi chaud. Une fois s’être bien vidé sur le petit 85B, c’était au tour de ses mains de se balader sur le corps de Manue. Il prenait fermement la poitrine et la malaxait énergiquement. Son liquide séminal ainsi étalé donnait un aspect luisant à sa peau.
Prit de jalousie et d’excitation je ne pouvais à mon tour me retenir plus longtemps, et c’est allongé toujours au plus profond de ma petite amie que je viens déposer ma jouissance pendant qu’un retraité de soixante caresse le torse de celle avec qui je suis accouplé.

Nous nous étions encore une fois tous les quatre totalement vidés. Manue et Audrey se redressèrent pour prendre une serviette de bain et se diriger à nouveau sous la douche pour se nettoyer de tout le sperme accumulé sur leur corps. Mais Marc les arrêta.
« Non les filles, voyons vous oubliez votre petite rousse adorée. Elle va se faire une joie de vous nettoyer çà. N’est ce pas Emilie ? »
Emilie rentra en scène, elle prit les filles par la main pour les inviter à reprendre place sur les transats. La première servie fût Audrey. Elle s’occupa tout d’abord du sperme qui coulait entre ses jambes, avec sa langue elle recueillait le précieux liquide. Méticuleusement elle remonta jusqu’au sexe encore humide et y glissa sa langue. Après avoir bien nettoyer toute la partie basse, c’était autour de Manue de se faire nettoyer de mon sperme. Pour venir recueillir le maximum de nectar elle n’hésita pas à y glisser un doigt ou deux dans sa petite fente.

Une fois leur sexe totalement propre, c’était au tour des poitrines de venir se faire nettoyer par la même langue habille. Le corps de Manue en était totalement rempli, Jean Pierre n’avait pas minimisé la quantité. Emilie avait même du mal à tout avaler, mais en prenant son temps elle offrit à Manue une peau toute neuve et totalement nettoyée de la souillure de l’homme. Audrey se vît nettoyer de la même manière.

Les filles étaient maintenant tout à fait propres et pouvaient nous rejoindre pour trinquer une dernière coupe de Champagne avant d’aller chacun dans nos chambres respectives.

Ceci marqua pour nous la fin de cette soirée mémorable, où encore une fois nous aurons vécu une nouvelle expérience qui ne nous aura guère déplus.
par manukib56
#1318144
Son premier GB

Cela faisait bien deux mois, que notre petit week-end dans la belle propriété de Marc s’était passé. Nous en gardions bien entendu un agréable souvenir même si le sujet n’était pas très abordé entre nous. Nous n’avions pas eu d’occasion de nous revoir depuis, sauf bien entendu avec Mathias et Audrey avec qui nous avons tissé des liens bien plus fort qu’une simple relation amicale.

Depuis ce fameux week-end, je trouvais Manue différente, j’avais comme l’impression qu’elle se questionnait beaucoup, mais sur quoi je n’en savais rien. J’ai donc appelé Audrey pour en savoir plus, je savais qu’elles étaient tout le temps en contact et qu’au fil de nos histoires elles étaient devenues de véritables confidentes.

Audrey me rassura tout d’abord sur le fait qu’effectivement quelque chose c’était passé lors de ce fameux week-end mais qu’en rien j’y étais responsable et qu’il était question de moi. En fait, le fait de nous voir Mathias et moi accompagnés des deux autres compères en train de se livrer à des ébats plus que bestiaux sur cette jeune fille, la troublait. Mais pas dans le mauvais sens du terme. Elle aussi se posait des questions sur quelle sensation elle aurait de se voir livrée comme çà à quatre hommes à la fois, sans pouvoir contrôler quoi que se soit. Elle était venue chercher du réconfort près d’Audrey, qui elle aussi avait déjà connu cette expérience là lors d’une soirée étudiante bien arrosée (avant sa rencontre avec Mathias). Elle s’était retrouvée dans le même lit avec cinq garçons de sa promo. Lors de sa confession avec Manue, elle n’arrivait pas à lui cacher qu’elle ne regrettait en rien par rapport au plaisir qu’elle a pu prendre. Je crois qu’il était donc temps pour moi de prendre les choses en main, et d’être pour une fois à l’initiative d’une nouvelle expérience. Je n’acceptais pas l’idée que celle à qui je tiens le plus est un sentiment de frustration. Même si pour moi, de savoir que je m’apprête à livrer ma bien aimée à des étrangers m’était plus que difficile, je me devais de faire l’effort. Pour une fois que ce n’était pas Mathias à l’origine du projet, j’aurai au moins pour une fois (et je l’espère) toutes les éloges.

Je décidai donc d’appeler Mathias, pour lui faire part de mon projet et surtout de bien vouloir convier Marc et Jean Pierre à un petit rendez vous pour que nous puissions mettre un plan d’action en place. Je ne vous cache pas qu’elle a été la surprise de mon collègue.
« Putain Fred, sérieux ?? Tu veux te lancer là dedans avec Manue ? Pourquoi pas tu diras, çà peut être sympa. J’envoi un message à J-P de suite, il fera le relai à son pote car je n’ai pas son numéro. »

Je ne pouvais plus faire marche arrière, les jeux sont faits et rien ne va plus …

Le rendez-vous était prit au week-end suivant, Jean Pierre nous conviait tous les quatre au restaurant. Tellement heureux d’apprendre la nouvelle qu’il voulait à tout prix nous inviter à déjeuner.

Le jour de la rencontre arriva : nous étions tous les quatre assis à la même table dans un petit restaurant assez chic de Vannes. Les deux amis étaient venus avec leur test HIV à jour pour montrer de leur bonne foi. Marc avait attaché au sien les résultats d’Emilie, « car on ne sait pas de quoi est fait le futur », m’avait il dit.

Cette démarche tout à fait volontaire de ces étrangers me rassurait sur le choix que j’avais fait. Comme nous aimions le dire avec Manue, on peut se faire plaisir avec le sexe avec pour seule limite le respect des autres. Ce qu’ils venaient de faire en était la preuve.

C’est donc avec une boule au ventre un peu moins grosse que je me suis risqué à leur expliquer mon petit stratagème.

Marc et Jean Pierre ne cessaient de me faire déculpabiliser quant à l’action que j’entreprenais. Ils me rassuraient sur le fait, qu’eux aussi avaient ressentie la même chose ce week-end là, quand nous étions occupés à assouvir le soif de leur jeune Emilie, Manue assistait à la scène pas comme les autres. Ca l’intriguait terriblement, surtout de voir à quel point la jeune fille livrée comme çà à quatre hommes atteignait un plaisir non mesurable.

« Tu sais Frédéric, je crois qu’il faut que tu l’acceptes aussi, que dans ce genre de pratique, ce que la femme recherche c’est une certaine virilité. Attention modère bien mes mots, je ne veux pas dire qu’il faut la violenter, loin de là. Mais peut être avoir des attitudes un peu plus fermes. Tu comprends ce que j’essaye de te faire comprendre ? »

« Vous savez Jean Pierre, je ne suis pas certain que ce soit de l’avis de Manue. »

« Non mais Jean Pierre a raison Fred, tu l’as même bien vu. Quand on est entre nous, et qu’on se montre un peu plus directif çà ne fait qu’accroitre le plaisir des filles. Ce n’est pas vrai ? »

« Oui, mais déjà le fait de me dire que je vais lui imposer un truc sans son consentement si en plus je sais qu’on va se montrer brutal avec elle. Je dis non ! »

« Oula mais non, excuse-moi de ne pas avoir été très clair. Je ne veux pas du tout être brutal mais plus directif pour reprendre le mot de Mathias qui est peut être plus approprié. »

(…) la discussion dura un long moment, jusqu’à trouver un terrain d’entente qui me paraissait acceptable.

Notre plan d’action étant mis au point, il ne me restait plus qu’à provoquer la situation.

La date était prise. Pour pimenter la situation je décidai de ne correspondre avec Manue que par texto. Ceci pour ne pas fléchir de la surprise par mon intonation de voix.

« Je serai chez toi demain soir à 20h00 précise. Tâche d’être le plus sexy possible, j’ai une surprise pour toi. »
« Où veux tu m’amener ? »
« Nulle part nous ne sortirons pas de ton studio. »

Je sentais bien à ses messages, qu’elle était dans la totale incompréhension mais connaissant bien maintenant ma petite amie, je savais qu’elle jouerait le jeu.

Après une bonne douche pour me décontracter au maximum, je m’habillais en pensant à la soirée qui allait se dérouler. Encore une fois j’avançais dans l’inconnu mais cette fois j’en étais le seul responsable. Un curieux mélange d’anxiété et d’excitation m’envahissait. Mais je ne pouvais plus rebrousser chemin, mes acolytes m’attendaient en bas de mon appartement.

Arrivés devant la résidence de Manue, j’engageais le pas. Les trois autres se tenaient à une bonne distance de moi pour ne pas éveiller les soupçons.

Je frappai à la porte, elle ne tarda pas à m’ouvrir pour m’accueillir dans une tenue pour la moins surprenante. Elle était seulement habillée d’un léger peignoir en soie, ses cheveux étaient attachés en arrière et une fois n’est pas coutume, elle s’était légèrement maquillée pour l’occasion. Je ne pouvais que la complimenter d’être encore une fois plus jolie. Je l’embrassai très tendrement et profita pour pousser la porte d’entrée en veillant bien à ne pas la faire claquer.

Manue avait agencé son studio pour l’occasion, de nombreuses bougies dispersées un peu partout dans les coins de l’appartement de l’étudiante donnaient un petit charme au lieu. Le Canapé lit de la pièce de vie avait été mis en position horizontale et une paire de draps en satin venait l’habiller. Une bouteille de vin rouge chambrait tranquillement sur la petite table de salon accompagné de deux verres. Malheureusement il n’y aura pas assez de verres pour la soirée me disais je dans ma tête.

Je me montrais très tactile avec ma belle, et ne manquait pas de l’embrasser dans le cou.
« Dis donc tu es d’humeur câlin ce soir ? Alors c’est quoi ta surprise ? Tu me fais languir depuis hier avec tu peux bien me le dire maintenant ? »
« Non c’est encore trop tôt. Ai patience … » Je l’embrassai tendrement.

Nos langues s’entrelaçaient, nos corps se rapprochèrent l’un de l’autre. Mes mains glissaient sur le tissu de son peignoir. Je sentais à travers celui-ci qu’il cachait de la lingerie affriolante. Je n’en pouvais plus je voulais savoir. Pendant notre long baiser, j’attrapais sa ceinture et avec une extrême lenteur vint défaire son nœud. L’habit glissant sur la peau de la jeune fille s’ouvrit comme un rideau de théâtre et me laissa apprécier du spectacle de la lingerie féminine sur un corps de 23 ans. Elle avait ressortie l’ensemble que lui avait offert Mathias pour son dernier anniversaire. Ce déshabillé rouge avait un pouvoir sur moi qu’elle connaissait bien. Le bustier push up mettait en valeur sa magnifique petite poitrine et offrait un large décolleté dessus. Le petit string rouge en dentelle ne faisait qu’accentuer les courbes de son petit fessier tandis que la porte jarretelle arrimée à sa taille laissait pendre de jolis petits bouts de dentelle auxquels aucun bas n’y était accroché. Ses jambes n’étaient habillées aucun artifice. Ma main vint s’en assura en venant y déposer une longue caresse tout au long de sa cuisse. Un léger frisson se fît sentir sur sa peau. Un détail qui faisait penser qu’elle était tout aussi excitée que moi. Doucement donc, j’entrepris de passer à l’étape supérieure. De ma poche je sortis un foulard pour lui bander les yeux.

« Me bander les yeux, qu’elle drôle d’idée mais pourquoi donc ? »
« Je ne sais pas je me disais qu’on ne l’avait jamais fait et que ce petit accessoire pouvait peut être accroitre le charme de la soirée non ? »
Dans un très grand sourire elle se retourna pour me faciliter le positionnement du bandeau sur ses yeux et ainsi me permettre de le nouer. Je pris sa main et l’accompagna jusqu’au lit. Avant de venir l’allonger sur le matelas je dégageai son peignoir de ses épaules pour le faire glisser le long de son corps. La caresse de la soie sur sa peau lui fît dégager un petit souffle.

Elle était maintenant allongée sur son lit, elle était aveugle et n’avait que ses oreilles pour comprendre ce qui se passait dans la pièce. Dressé à coté d’elle, je retirai mes vêtements pour venir me présenter à elle totalement nu. Mon sexe était déjà bien gonflé de plaisir. La voir ainsi dans sa tenue, avec le foulard sur les yeux sans vraiment comprendre ce qui était en train de se passer la rendait encore plus vulnérable et donc plus désirable. Je viens le plus doucement possible me glisser entre ses jambes. A l’aide de mes mains j’écarte ses cuisses pour me laisser un passage. Je m’allonge, mon visage à la hauteur de son sexe. Il dégage une douce odeur de parfum ou de crème, ce n’est quand écarta légèrement son string que je compris la raison. Elle était passé chez l’esthéticienne dans l’après midi en vu de préparer cette soirée. Son sexe était luisant et doux. La tentation d’y poser mes lèvres étaient trop grande. Je posai ma bouche sur le dessus de son sexe, lentement je recule pour venir coller ses lèvres aux miennes, elles étaient humides. Sans brusquer je sorti ma langue pour venir m’y glisser. Je rencontre son petit clitoris avec qui je reste un petit moment à jouer. Le dos de Manue se creusait à chaque aller et venu de ma langue sur son bouton. Je la sentais partir. Ma langue abandonna son petit bouton quelques instants pour venir ouvrir un peu plus son sexe. J’essayais de la glisser à l’intérieur, son goût était absolument fabuleux. Ma langue rentrait et sortait à sa guise. Très vite je la remplace avec un doigt pour revenir jouer à son clitoris qui je savais elle y était très sensible. Mon sexe s’écrasait de plus en plus entre le matelas et moi. Il était tellement gonflé que j’en avais presque mal. Mais je m’obligeais à tenir.
Mon doigt était maintenant un peu plus libre à l’intérieur de son sexe, l’occasion pour moi d’y rajouter un deuxième tout en accentuant mon jeu de langue. Les petits gémissements de Manue devenaient un peu plus sonores et son premier orgasme arriva.

C’était ce que je recherchais, je savais que quand elle était dans cet état de plaisir elle était plus ou moins déconnectée de la réalité et était dans un état second. Aux petits cris de Manue les gars qui gardaient l’oreille collée à la porte avaient eux aussi senti le signal. Pour éviter de faire du bruit, tous les trois se dévêtir dans le couloir de la résidence.
Le plus discrètement possible Mathias entre ouvrit la porte du studio pour s’y introduire, suivi de près par ses compagnons. Dans le plus grand silence ils déposèrent leurs habits au sol, et vinrent se positionner autour du lit.
Mathias me rejoignit sur lit. Quand son poids enfonça un peu plus le matelas j’ai senti Manue tressauter de peur.

« Mais qu’est ce qui …. »
« Chut !!!! » lui répondis-je
Sans perdre de temps Mathias, saisit le sexe de la belle entre ses lèvres et à son tour vint jouer avec son petit bouton. Je sentais une très grosse hésitation chez Manue, comment devait-elle réagir. Qui était ce ? Mais les baisers de l’inconnu étaient trop forts. Cette vivacité ne lui était pas ici étrangère que çà, elle connaissait ce petit coup de langue. Enfin, la voilà rassurée, elle venait de reconnaître Mathias. Elle pouvait maintenant se laisser totalement aller à son plaisir.

Après quelques longues minutes de plaisir intense, c’était au tour de Marc de rentrer en scène. A pas de loup, il vint se positionner sur la droite de Manue au niveau de son visage. Le plus doucement possible il vint poser sa main sur l’épaule de la jeune fille pour lui faire part de sa présence. Elle sursauta … A peine eut elle le temps de reprendre ses esprits, et de se demander qui cela pouvait bien être, un sexe masculin venait toucher ses lèvres et forçait doucement le passage de sa bouche.
Elle avait reconnu Mathias avec moi entre ses jambes, qui pouvait être la troisième personne qui voulait à tout prix être prit en bouche. Elle se sentait piégée, devant l’insistance de cet organe qui forçait toujours un peu plus le passage, elle abdiqua en l’acceptant de leur prendre au fond de sa gorge. Elle ne savait pas comment réagir, devait elle dire stop à tout çà ? Elle se résigna et laissa cet homme faire des vas et viens dans sa bouche. Tout en se promettant de me demander des comptes une fois cette histoire terminée.

La scène était un peu difficile pour moi, j’étais pris d’un sentiment de jalousie. Mais l’excitation était aussi bien présente. Alternant toujours nos langues sur le haut du sexe de ma copine, Mathias et moi glissions en même temps un doigt dans son sexe humide. Mon index et son majeur entamèrent un balai dans son intérieur. Ses gémissements avaient même du mal à être étouffés par le sexe bien dur de Marc dans sa bouche. Avec sa main il avait surélevé la tête de la jeune fille pour bien l’axer avec son pénis, et avec l’aide de celle-ci lui donnait la cadence à laquelle il voulait être avalé. Il s’y enfonçait toujours un peu plus.

Arrive enfin le quatrième homme, je crois que c’était Jean Pierre le plus excité de nous tous. Il investit le coté gauche de la jeune étudiante. Il vint saisir son sein gauche à pleine main en ayant bien fait attention de venir s’y plonger par le décolleté. Cette intrusion stoppa net tout agissement de ma copine. Par effet de surprise, sa bouche se décolla du sexe de Marc et sa tête se retourna dans la direction du quatrième individu. Toujours plongée dans le noir, son appréhension se décuplait toujours. A qui était-ce cette main qui lui malaxait aussi fortement sa poitrine ? L’homme ne s’arrêtait pas là, à l’aide de son index et de son pouce il pinça son téton et le fît tourner entre ses doigts. La réaction escomptée ne se fît pas attendre. Très vite le téton de la jeune poitrine durcit. Il tenait dans sa main son sexe dur, long et gros. Ca se voyait dans ses yeux qu’il voulait la posséder, qu’il n’attendait que çà depuis longtemps et qu’enfin qu’aujourd’hui le jour fût arrivé et qu’il ne laisserait sa place pour rien au monde.
C’était à son tour de se faire offrir du savoir faire de ma belle en matière de fellation. Son gland appuyait sur la bouche de la soumise, elle était apeurée. Quand cela allait se terminer ? Face à la pression sur sa bouche une nouvelle fois elle capitula et l’ouvrit pour faire rentrer cet organe. Mais cette fois c’était différent, sa taille ne lui permettait pas d’être enfoncé bien profond dans sa gorge. C’est à ce moment là qu’un moment de lucidité lui fît prendre réellement conscience de qui elle avait à faire. Elle se souvenait avoir déjà rencontré un sexe aux dimensions hors normes, elle s’en était même approchée deux fois, quand il s’était déversé sur son corps. Il n’y avait donc plus de doute la voici à son tour (en remplacement d’Emilie) livrée à quatre hommes dont elle avait maintenant l’identité : Moi, Mathias, Marc et Jean Pierre.

Elle avait bien remarqué pendant ce week-end là que Jean Pierre attardait beaucoup son regard sur elle et elle se doutait bien qu’il avait du faire pression sur notre ami Mathias pour organiser ce genre de petit rendez-vous. Mais une fois n’est pas coutume, l’initiative ne venait pas de notre ami mais bel et bien de moi ! Et j’en étais peu fier.

Rassurée de savoir maintenant à qui elle avait à faire, la jeune étudiante pouvait se décontracter, et se donner un peu plus à la tâche qu’on lui demandait. Elle fît l’effort d’ouvrir un peu plus sa bouche pour essayer de l’avaler plus profondément.

Voyant que sa timidité s’estompait petit à petit, Marc prit la liberté de lui rendre la vue en ôtant son foulard des yeux.

« Bonsoir, ma belle ! Alors contente de ta surprise ? Tu sais, va falloir être très gentille avec nous, j’espère qu’on n’aura pas à regretter d’avoir fait le déplacement. Tu sais Jean Pierre trépignait d’impatience à l’idée de pouvoir enfin te baiser. D’ailleurs, je vois que tu t’es fait belle pour l’occasion. Par contre on n’a pas besoin d’artifice nous, alors si ce ne te dérange pas tu vas nous retirer tout çà »

Suivant les directives de Marc, nous nous dégagions tous les quatre du corps de la soumise pour qu’elle puisse se redresser pour ôter ses sous vêtements. Debout au milieu de nous, elle commença par retirer sa jarretière, le plus sensuellement possible elle laissa tomber les fines bretelles de son bustier et par un jeu d’accroches dans le dos le fit tomber à ses pieds. Ne restait plus que son petit string comme habit. String qu’elle enleva avec autant de sensualité. Ca y est elle était maintenant totalement nue devant, prêtre à se livrer corps et âme à nos moindre désirs.

C’est Jean Pierre qui fît le premier pas, en s’acharnant une nouvelle fois sur les petits tétons rose de la belle. Devant nous, il vint les pincer pour les faires rouler entre ses doigts, il tirait assez fortement dessus. Pendant qu’il s’occupait à les faire raidir, Marc s’agenouilla derrière elle, pour cacher son visage entre ses fesses. A l’aide de ses mains il écartait ses fesses, et venait caresser de sa langue son petit orifice. Il avait bien l’intention de profiter de l’occasion pour explorer ma petite amie de tous les cotés.
Déjà occupée par deux hommes, elle nous saisit Mathias et moi par le sexe pour commencer par nous masturber.
Après être satisfait de son travail fait sur les tétons, il s’assura en les mettant en bouche de la fermeté de ceux-ci. Avec sa langue il venait les titiller. En s’approchant comme çà au plus près d’elle son énorme sexe venait se plaquer contre le ventre de ma belle. Délaissant sa poitrine, c’est sur bouche qu’il vient déposer ses lèvres. Sa langue s’entre choquait avec la sienne, pendant que sa main gauche palpait son sein droit. J’en étais jaloux …

Mathias lui demanda de s’agenouiller devant nous et de nous prendre chacun en bouche. Pour lui donner une marche de progression nous nous étions alignés par ordre de croissance : j’étais donc le premier à me faire sucer, suivi de Marc, lui-même suivi de Mathias et pour finir par le plus vieux Jean Pierre.

A genoux elle s’approcha de moi, prit mon sexe en main et vint le porter à sa bouche. Sans difficulté elle arriva à le faire disparaître totalement dans sa bouche. Elle s’amusa un instant à le faire sortir totalement pour le faire rentrer aussitôt. J’adorais cela et elle le savait pertinemment. Vint le tour de Marc, qui était plus d’humeur brutale, ses deux mains apposer sur sa tête il exerçait une forte pression pour bien la maintenir enfoncée. Le front de Manue était même arrivé en buté contre son ventre. Quand il la laissa se dégager un grand filet de bave liait la bouche de la jeune fille au sexe. Arriva le tour de Mathias, je me souviens encore les premières fois où nous couchions avec lui, elle l’appréhendait toujours car elle disait qu’il était trop gros et elle avait peur d’avoir mal ou ne pas pouvoir le recevoir. Mais maintenant elle s’y était habituée et y prenait un réel plaisir. Et comme nous deux précédemment, elle chercha à le faire s’enfoncer jusqu’au fond de sa gorge. Elle y allait plus doucement qu’avec nous, mais après une bonne inspiration et un mouvement lent et régulier elle arriva pour la première fois à faire disparaître son sexe dans sa bouche. Elle ne pu le garder longtemps en bouche car l’organe lui chatouillait trop le fond de la gorge et des sursauts de vomissement lui faisait stopper son action.
Jean Pierre trépignait d’impatience à coté de Mathias pour attendre son tour. Une fois la jeune fille positionnée devant lui, il ne lui porta pas son sexe en bouche tout de suite. Il venait le caresser à nouveau sur le petit 85B. Il baladait son énorme sexe sur toute la surface de la jeune poitrine, de temps en temps il donnait quelques petits coups avec. Et passait de plus longs moments à frotter son gland contre les pointes dressées.

« Mmmmh tu peux pas t’imaginer à quel point j’aime tes petits seins. Depuis le premier jour où je t’ai rencontré je suis devenu dingue de ton corps. J’en rêvais la nuit. Essaye de me prendre entre tes seins. Fais-moi voir à quel point on y est bien. »

Manue referma sa petite poitrine autour de l’organe édifié devant elle, elle n’arrivait pas à le recouvrir totalement. Alors commença entre les deux individus un petit jeu de va et vient. Pour décupler le plaisir de l’homme, elle s’amusait à venir toucher avec la pointe de la langue la partie décalottée qui dépassait de sa poitrine. Il était maintenant temps pour elle de venir le prendre en bouche. Avant l’intrusion, elle cracha sur le sexe pour le lubrifier. Ouvrit ses lèvres le plus grandement possible et avec la plus grande prudence avança sa tête. Elle ne pouvait plus respirer cela lui remplissait trop la bouche, combative elle essayait tout de même d’aller le plus loin possible. Ceci ravit l’étranger. Après avoir été au plus profond de ce qu’elle pouvait elle se dégagea pour reprendre son souffle, et laissait trainer sa langue sur toute la longueur du pénis en prenant soin de bien saliver dessus.

« Dis moi, tu aimes te faire prendre par derrière ? » lui demanda Marc dans son langage cru qu’on lui connaît. Manue acquiesça de la tête.
« Très bien ma jolie, et ben aujourd’hui ca va te changer ce n’est pas une bite que tu auras mais quatre. Vas te mettre sur ton lit et montre nous ton petit cul. » Pendant qu’elle allait se mettre en position sur lit, il alla chercher dans sa veste un petit tube de lubrifiant. Manue était à quatre pattes sur son canapé lit, le sexe retourné vers nous. Sa tête reposait sur le matelas et elle accentuait la cambrure pour bien ouvrir ses cuisses. Marc se proposa de la préparer pour qu’elle puisse nous accueillir dans les meilleures conditions.

Comme au commencement, avec sa langue il vint pénétrer la petite intimité de Manue, lui aussi salivait abondamment pour bien lubrifier le passage. Il n’hésita pas à cracher pour s’assurer d’avoir la quantité nécessaire. Il introduisit un premier doigt pour s’assurer de l’étroitesse du passage.
« Va falloir être moins crispée que çà mademoiselle, mon doigt rentre tout juste. Surtout avec ce qui t’attend »
Il dut avoir recours au lubrifiant voyant que sa salive ne suffisait pas. Il n’était pas à l’économie avec, après avoir bien enduit la paroi fragile, il se risqua d’y glisser à nouveau son doigt. Très vite compléter par un deuxième, il faisait en sorte de les écarter pour ouvrir toujours un peu plus le passage. Ne cessant de rajouter du lubrifiant, il s’assurait consciencieusement de bien dilater le petit orifice pour nous permettre de l’investir sans dommages.
« Ca y est, çà commence à se détendre. Regarde comment j’y rentre plus facilement mes doigts maintenant. Tu aimes çà quand je te fouille l’intérieur ? En tout cas ton petit copain ne loupe pas une seconde du spectacle. Dis le lui que tu veux une bite dans ton cul !!! Allez fais pas ta timide. On sait tous ici que tu n’attends que çà. Vas y dis le lui à quel point tu ne tiens plus. Allez supplie moi d’accepter de bien vouloir te sodomiser. »
Timidement, elle rentra dans son jeu : « Oui, je n’en plus. Venez en moi s’il vous plait »
Il ne lui en fallait pas plus. A peine s’était il redressé que quasi immédiatement son sexe disparaissait dans entre les fesses. C’est très énergiquement qu’il entama des allers et retours incessants. Il se dégageait même totalement pour la re-pénétrer dans la foulée. Manue criait à chaque assaut, elle essayait tant bien que mal de tenir à quatre pattes malgré les coups de reins qu’elle recevait. Vint le tour de Mathias de prendre la relève, comme à son habitude lui non plus ne ménageait pas la jeune fille. Après s’être assuré qu’il pouvait la pénétrer sans trop de difficultés, il donna un rythme soutenu à sa pénétration. Il l’agrippait par les hanches pour la maintenir à la bonne hauteur et veiller à ce qu’elle ne glisse de trop. Après de longues minutes de chevauchées entre les reins de sa petite protégée, pour ne pas en finir de suite il préféra s’économiser en donnant la place au doyen de la soirée.
Nous étions tous intrigués par la scène qui allait suivre, allait il pouvoir la pénétrer ? Manue tourna sa tête en ma direction pour chercher un peu de soutien. Jamais avant elle n’avait eu de ce calibre, elle était apeurée à l’idée de devoir le recevoir pour la première fois en anal. Elle aurait tant aimé dans un premier temps le recevoir de manière plus conventionnelle. Mais la machine était lancée.
Jean Pierre prit soin de venir faire un apport de lubrifiant, et avec la plus grande attention commença sa pénétration le plus doucement possible. Les mains de la jeune fille s’agrippaient aux draps en satin, elle mordillait sa lèvre inférieure pour ne pas crier d’avantage. Marc écartait ses fesses au maximum pour donner encore plus d’espace. Le sexe de Jean Pierre commençait à se décalotter à l’entrée, une fois son gland totalement découvert, il commençait lentement à progresser un peu plus entre ses cuisses. Tout doucement la petite partie rose se dilatait, l’avancement se faisait par étape. Après un long moment d’insistance, le passage commença à se faire et le bout du pénis ne se voyait déjà quasiment plus. Il se retira à nouveau pour re-lubrifier la partie. Les premiers centimètres ne montrèrent plus de résistance, il fallut encore un petit effort pour enfin accueillir dans sa totalité le sexe hors normes de Jean Pierre. Jamais elle n’avait ressenti cette sensation, encore personne n’avait réussit à explorer cette partie la plus profonde d’elle. Elle le sentait venir taper contre les parois les plus reculées de son corps. Ce qui à chaque passage lui arrachait un petit cri.

Voyant que tout se passait pour le mieux et que la douleur s’estompait peu à peu chez la fille, Marc lui proposa son sexe à sucer. Il lui tenait encore un discours dominateur avec un vocabulaire toujours aussi cru.

« Mais on dirait que tu commences à aimer çà ? Il te remplie bien hein ? T’en avais jamais eu une aussi grosse dans ton petit cul. Dis le à Frédéric que tu aimes recevoir ce genre de queue dans ton cul. Allez !!!! »
« Oui j’aime çà. » répondit-elle honteuse.

Pendant que notre retraité était occupé entre les reins de ma douce, nous étions tous les trois cote à cote en face du visage crispé de la jeune fille pour se faire sucer à tour de rôle.
Mathias passa ses mains en dessous de son corps pour venir saisir la poitrine qui ballotait au rythme des saccades.

« Bon je crois, que c’est bon maintenant elle est prête à accueillir n’importe qui. Je crois que je l’ai bien dilaté. Fred, tu veux prendre la relève ? »

Je ne me fis pas prier, il se décala sur la droite pour me laisser la place dans l’axe de l’entre cuisse de ma petite amie. Sans aucune précaution, j’introduis mon sexe dans sa petite intimité. Quelle ne fût pas ma surprise de voir avec quelle facilité je pouvais m’y enfoncer jusqu‘à la garde. J’avais déjà eu l’occasion de passer après Mathias qui déjà pour nous était hors normes. Mais cette fois ci cela battait tous les records, c’est tout juste si elle devait me sentir passer.

« Alors Fred, passer après mon pote Jean Pierre çà fait toujours bizarre la première fois ! On se sent petit » Tout en s’adressant à moi, il s’allongea à coté de la belle pendant que les deux autres compères se tenaient debout à coté d’elle leur sexe à la main.
« Bon maintenant qu’elle est bien ouverte par là, on va pouvoir commencer à rentrer dans le vif du sujet. Allez viens donc ma belle t’empaler sur mon sexe, t’inquiète pas ton petit copain reviendra vite dans ton petit cul. Tu aimes être prise en sandwich ? »
Je me retirai de Manue pour la laisser libre, à peine avait-elle le temps de reprendre ses esprits qu’on lui demandait déjà de se mettre à califourchon sur Marc. Accroupie au dessus de lui, elle attrapa son sexe pour venir le positionner à l’entrée de son sexe. Doucement mais sans trop de difficultés elle arriva à descendre sur toute la longueur de son sexe.
« Et bien, même ici on y rentre facilement. T’es totalement trempée de l’intérieur. Tu caches bien ton jeu, timide de l’extérieur mais en fait … » Il ne finit pas sa phrase et à une cadence très rapide, rentrait et sortait son sexe pendant qu’elle était toujours accroupie. Ses testicules claquaient violemment contre les cuisses de la jeune majeur. Il maintenait ce rythme effréné pendant quelques secondes, ce qui décrocha un jouissement de Manue. Il la fît se pencher vers lui pour prendre ses petits seins en bouche et mordiller les tétons qui avaient été durcis par son pote. Je profitai de cette position pour revenir investir son petit orifice.
Mathias et Jean Pierre ne tenaient plus leur sexe en main, ils investissaient la bouche de la jeune châtain chacun à leur tour. Leur sexe s’entre choquèrent des fois entre les lèvres, mais il était impensable pour elle de pouvoir les prendre tous les deux en même temps. Déjà avec un elle avait beaucoup de difficultés.
Elle ne savait plus où mettre de la tête, son esprit était parti ailleurs, elle se sentait totalement déconnectée avec la réalité. C’était un moment imaginaire pour elle. Elle n’arrivait pas à savoir d’où venait le plaisir, et qui lui en procurait ? Mais elle était sure d’une chose elle prenait son pied. Tout son corps était en transe, les frissons sur sa peau le démontraient. Je m’activais énormément pour lui faire sentir ma présence entre ses reins. A chaque coup de bassin que je lui affligeais elle s’enfonçait toujours un peu plus sur l’homme allongée en dessous elle. A nouveau Jean Pierre avait réinvesti sa poitrine et la malmenait sous ses caresses. Mathias était concentré quant à lui sur sa bouche, il voulait revivre l’expérience du début, c'est-à-dire faire disparaître son sexe en totalité au fond de sa gorge.

Un long moment passa mais je voyais bien que Jean Pierre trépignait d’impatience, lui aussi avait envie de gouter à la fille. Marc et moi lui laissions donc la place. Il allongea la jeune fille et très câlin se livra à un magnifique cunnilingus avant à son tour venir la pénétrer. Il avait adopté la position du missionnaire sans doute pour avoir plus l’impression de la dominer. On voyait qu’il appuyait le plus possible pour à chaque coup de reins venir l’écraser de tout son poids.

« Dis donc Jean Pierre, je suis sur qu’il y aurait moyen d’y passer à deux dedans non ? » lui demanda Marc.
« Oh oui je pense »
« Ca te dirai Manue ? Je suis sur que tu ne serais pas contre. » Encore une fois elle acquiesça.
« Regardez-moi çà comment elle en redemande. Quel appétit !!! Et bien quitte à rajouter quelqu’un autant que lui aussi soit gros. Mathias qu’en dis-tu ? »
« C’est une invitation que je ne peux refuser »
Jean Pierre saisit Manue dans ses bras et la fît rouler, pour la renverser. C’était elle maintenant qui se retrouvait sur lui.
Mathias s’amenait derrière, Manue connaissait déjà çà nous l’avions innové ensemble mais cette fois ci les gabarits changent. Pour s’assurer de trouver facilement l’entrée, Mathias déposa son sexe au niveau des testicules de Jean Pierre et remonta doucement le long du sexe pour arriver au niveau des lèvres. Après une brève insistance, les lèvres se décontractèrent et accueillirent le second membre.
Marc et moi étions en train de nous faire prendre en bouche à notre tour pendant ce temps là.

Après s’être introduit à deux dans son sexe sans la ménager, nous la fîmes se remettre à quatre pattes au bord du lit. Et chacun à notre tour nous venions la pénétrer dans l’orifice de notre choix, en essayant d’alterner au maximum les plaisirs. Jamais auparavant je ne l’avais connu aussi dilatée. On y rentrait et sortait comme on voulait sans risque de lui faire mal. Sa main ne cessait de caresser son clitoris pour décupler le plaisir. Elle ne retenait plus ses cris et nous prouvait à quel point nous l’avions transporté dans le plaisir ultime. Marc ne cessait de tenir ses propos odieux envers elle, ce qui ne devait pas la déranger.
Après être passé successivement entre son sexe et sa petite intimité, j’arrivai à la jouissance. Mes amis aussi n’en étaient pas très loin. Mathias la fît à nouveau prendre la position à genoux à même le sol. Nous l’encerclions, chacun notre sexe gonflé à la main prêt à jaillir.
C’est d’ailleurs moi le premier à exploser, mes premiers jets étaient tellement fort qu’ils ne touchaient pas son visage et au fur et à mesure que mes testicules se vidaient les jets devenaient moins puissants et atteignirent son visage. Elle en avait partout des cheveux jusqu’au menton. Pendant que quelques gouttes coulaient de son menton sur sa poitrine, c’était autour de Marc d’honorer la fille de sa jouissance. Il était plus agile que moi et visait directement l’entrée de sa bouche. Elle récoltait tout le liquide mais ne l’avala pas, elle le fît ressortir de sa bouche pour le laisser couler sur tout son corps. Arriva Mathias, qui saisit le visage de Manue pour qu’elle se retourne vers lui, ne pouvant se retenir plus lui aussi essaya de diriger son jet puissant le mieux qu’il pouvait, et fini ses dernières gouttes bien englouti au fond de sa gorge. Il en ressorti par ailleurs parfaitement nettoyé.
Elle appréhendait Jean Pierre, ce n’était pas la première fois qu’il lui jouissait dessus et elle s’avait qu’en plus d’avoir un sexe aux dimensions gigantesques, sa quantité de sperme en était proportionnelle. Il se concentra exclusivement sur sa poitrine comme à son habitude. La quantité en était surprenante. A l’aide de son sexe, encore raide, il étalait au mieux son nectar pour uniformiser l’aspect luisant que cela donnait au corps de ma princesse. Il finit par se blottir entre les seins de la jeune dont à l’aide de ses mains vint les refermer autour de son sexe et s’offre une dernière fois un passage entre. Cette fois-ci le contact était beaucoup plus doux et la sensation de glisser était accentuée grâce aux différents spermes qui habillaient maintenant le corps de Manue.
Comme pour nous dire merci elle nous reprit chacun une dernière fois en bouche pour bien nettoyer nos sexes dégoulinants de plaisir.
Je sentais que sa respiration commençait petit à petit à revenir à la normale, et qu’enfin elle atterrissait en douceur dans le monde réel.

Elle se releva au milieu de l’assemblée totalement nue, enduit d’un liquide blanchâtre et collant. Son regard m’était adressé, un petit sourire vint l’accompagner. Elle m’embrassa tendrement en me chuchotant un énorme « Je t’aime ». Puis nous abandonna pour s’isoler dans la salle de bain afin de se nettoyer.

Satisfait de notre petite chevauchée, nous nous installèrent tous les quatre sur le lit et après avoir été chercher le complément en verres nous servirent en vin pour fêter notre première expérience.
par manukib56
#1321979
Acte 2

Pendant que nous étions tranquillement installés sur le canapé lit, nous entendions la douche. Manue devait être en train de se détendre sous une pluie bien chaude en essayant de reprendre ses esprits. Marc ne cessait de me complimenter sur ma copine, rejoint très très vite par Jean Pierre qui ne cessait de faire des éloges sur la beauté de son corps et la fermeté de sa poitrine.
Les deux hommes nous réinvitèrent à venir quand nous le souhaitions chez l’un ou chez l’autre et de pouvoir disposer à notre guise de leur étudiante. Mathias et moi en prenions note.
Les discussions allèrent de bon train, je m’en détachai petit à petit car mes pensées allaient vers Manue. Je décide donc d’aller la rejoindre dans la salle de bain.

« Ah c’est toi ?! »
« Oui je venais te voir, çà va ? »
« Oui, enfin non pas trop. On a été con Fred ! »
Je faillis faire une crise cardiaque
« Comment çà ? »
« On les connaît à peine, et je couche avec ces deux types sans capotes. Je flippe sérieux. Prise par l’excitation je n’ai pas percutée »
Je la pris dans mes bras pour la consoler
« T’inquiète pas, avant cette rencontre ils ont été faire un test de dépistage. Ils sont cleans, j’ai la copie de leur examen si tu veux ? »
Une grosse expiration se dégagea de ses poumons, et son corps se détendait au fur et à mesure.
« Sérieux c’est vrai ? »
« Oui je te le jure, tu ne crois pas que j’aurai laissé faire sinon. »
« Oui je sais bien mais bon avec les idées de Mathias, tu sais faut s’attendre à tout ? »
« Les idées de Mathias ? »
« Ben oui, ils sont pas venus tout seul les deux ? C’est Mathias qui les a invités ? »
« Et ben justement, je voulais aussi en parler avec toi. En fait pour le coup ce n’est pas Mathias à l’initiative, mais moi. »
« Toi ? »
« Oui, depuis le week-end chez Marc je te sentais un peu songeuse. Et puis je me suis surtout dis que c’était toujours Mathias qui était le précurseur de tout et je voulais te prouver que moi aussi je pouvais entreprendre. Et après en avoir parlé à Audrey, elle m’a dit que dans la vie d’une fille c’était une bonne expérience. Je pensais bien faire. Tu ne m’en veux pas ? »
« Non, je suis juste surprise. Je voyais bien que tu dévisageais Jean Pierre depuis notre première rencontre. J’avais l’impression que tu étais jaloux de lui et là tu lui propose de consommer ta petite amie. Tu joues avec le feu ? »
« Oui, c’est vrai qu’il m’impressionne ce type, à soixante ans être toujours aussi bien foutu et t’as vu ses mensurations ? En plus il n’a d’yeux que pour toi. Et çà il ne s’en cache pas. Mais j’ai pris sur moi. Et je savais qu’il t’aurait dans tous les cas respecté et c’est pour moi le principal. Mais j’ai des raisons d’être jaloux »
« T’es bête ! Bien sur que non tu resteras toujours mon favori. Nous deux c’est pour longtemps. » Elle termina sa phrase par un doux et langoureux baiser.
Il était temps pour nous de rejoindre l’assemblée. Manue fît son arrivée dans la pièce habillée d’un peignoir de bain.

« Ah voilà notre chère demoiselle ! Tu nous excuseras nous nous sommes servi en vin. »
« Vous avez bien fait »
Marc et Jean-Pierre étaient confortablement assis sur le canapé lit, tandis que Mathias leur faisait face assit sur un tabouret. Les deux compères étaient encore totalement nus tandis que Mathias avait prit soin de mettre un caleçon.

Sans réfléchir, je me pris un tabouret pour venir m’asseoir à coté de mon ami, sans prendre attention que la seule place de libre dans le studio était le canapé et donc collée aux inconnus. Qui entre nous ne l’étaient plus vraiment. C’est donc timidement que Manue s’installa entre les deux hommes et se vît offrir un verre. Elle avait encore un peu de mal à se détendre, mais ils firent tout pour que cela se passe pour le mieux. Les sujets de discussion allèrent bon train et n’étaient pas tournés dans leur majorité sur le sexe. Ce qui aida considérablement Manue à se sentir beaucoup plus à l’aise en présence de ces deux étalons.
Notre centre d’intérêt du moment tournait sur les voyages, les vacances. La bonne ambiance était maintenant installée.

Je voyais bien que Jean Pierre ne s’était pas rassasié de Manue même après avoir couché avec elle. Il lorgnait beaucoup vers elle pour essayer d’en voir un peu plus dans l’échancrure de son peignoir. Il prit les devants et comme si de rien, il posa sa main sur sa cuisse. Manue me regarda intriguée. Nous continuions de garder le fil de la discussion, mais avec le temps il se montrait un peu plus entreprenant. Délicatement et par étape il remonta sa main pour la faire disparaître entre la cuisse et le peignoir. D’où j’étais, je pouvais voir que son sexe reprenait de la vigueur. Ne voyant aucune réticence de la part de la jeune fille, quant au contact de sa main sur sa cuisse il en conclu qu’il avait un droit de passage. Pendant que Marc nous contait son dernier voyage en Amérique du Sud et dont nous étions captivé par son récit, Jean Pierre qui avait déjà du entendre cette histoire des dizaines de fois n’en prêtait aucune attention. Trop occupé à vouloir réinvestir ce jeune corps. Tendrement il vient embrasser Manue dans le cou, tout en remontant sa main au niveau de l’entre cuisse. A l’aide de son autre main, il ouvrit son peignoir en défaisant le nœud de sa ceinture. Sa peau avait une odeur légèrement fruité sans doute due au gel douche. Elle était douce, ses cheveux encore mouillés goutaient sur ses épaules, et certaines perles d’eau venaient mourir sur le dessus de sa poitrine. Il la bascula en arrière, écarta son peignoir pour découvrir la totalité de son corps. Ses baisers se posèrent de nouveaux au creux de son cou à la jonction de son épaule. Ceci avait pour don de provoquer une chaire de poule sur tout son corps. Le plus tendrement possible il descendit sur le haut de son torse, pour arriver entre ses seins. Son visage était maintenant plaqué entre les deux, il s’en dégagea pour en saisir un en bouche, et avec une grande douceur vint caresser le téton avec le bout de sa langue. Sa main qui était toujours au niveau de son entre cuisse, prit plus d’assurance et vint se placer sur le sexe imberbe et doux. Il eu la joie de constater, que ses baisers portèrent ses fruits, il sentait avec son doigt que la jeune fille commençait à s’exciter. La zone était humide, il en profita donc pour s’y glisser entre ses lèvres. Son index fût très vite remplacé par le majeur. Et s’abandonna pour finir sur le petit bouton de la jeune demoiselle qu’il savait maintenant très sensible. Il ne se trompait pas, à peine avoir commencé à jouer avec que des petits gémissements de plaisir se faisaient entendre. Il atténua ces petits sons en venant l’embrasser tout en s’assurant de continuer son petit massage. Le dos de Manue se releva doucement du matelas, sa cambrure était le témoin du plaisir qu’elle était en train de prendre. Il décida donc de passer à l’étape supérieure, il se détacha de la bouche de la jeune fille et continua ses baisers tout au long de son corps pour venir s’agenouiller en face d’elle et pouvoir avoir un accès à son sexe. Manue écarta au maximum ses jambes pour lui laisser toute l’aisance nécessaire, il s’y faufila et remplaça son doigt par sa langue.
Cela ne semblait pas importuner son ami, qui continuait à discuter avec Mathias comme si de rien n’était.
« Mais vous vous connaissez depuis combien de temps ? »
« Fred et moi çà fait un petit moment déjà, on était en cours ensemble. On s’est perdu de vu et puis depuis maintenant presque un an on se côtoie un peu plus souvent comme tu peux le voir. »
« C’est quand même votre relation, je ne vous cache pas que j’en suis jaloux. En plus vous êtes tous les deux accompagnés de deux canons, ce qui ne gâche en rien ce mode de vie. Et j’ai cru comprendre en discutant avec les filles l’autre jour, que vous êtes bisexuels toi et Fred ? »
« Heu, je dirai pas vraiment bisexuel. Si tu veux je n’ai pas de réels attirances pour les hommes, par contre j’ai rien contre le fait que Fred et moi on soit un peu plus que des amis. C’est vrai que prit dans l’excitation du moment … Qu’est ce que tu en penses Fred ? »
« Heinnn, euuuuhh oui, de quoi en fait ? » occupé à regarder les deux autres je n’avais pas trop suivi le sujet.
« Marc, me demandait si nous étions bisexuels »
« Ca fait longtemps qu’on n’a pas couché ensemble ! »
« Oui, c’est vrai çà »
« Mais non je pense pas me considérer comme bi »

Le couple faisait totalement abstraction à nous, Jean Pierre était toujours occupé à procurer du plaisir à la jeune fille avec sa langue. Manue venait l’accompagner avec son doigt qui caressait son petit bouton pendant qu’il était occupé à savourer son abricot bien mur. Ses gémissements étaient annonciateurs d’un orgasme proche. Il intensifia ses baisers pour l’amener à ce plaisir ultime. Son souffle devenait plus saccadé, ses épaules se détachèrent du matelas, son dos s’arrondissait. Les gémissements se transformèrent en de réels petits cris. Son bassin se décolla du lit, elle avait de plus en plus de mal à rester immobile sous les coups de langue de son petit vieux. Sa main caressait plus fortement son clitoris pour cumuler les sources de plaisirs. A chaque passage de langue, il se rendait compte que l’humidité du sexe changeait. Le fluide clair devenait plus abondant ce qui avait pour conséquence d’exciter encore plus notre soixantenaire. Il s’aida de ses doigts pour venir recueillir le maximum de liquide au plus profond elle. Il incéra deux doigts sans rencontrer aucune difficulté, preuve qu’elle était maintenant prête à accueillir le sexe d’un homme. L’orgasme arriva enfin, il senti dans sa bouche une petite décharge de cyprine couler entre ses lèvres avec en son sonore un cri non retenu de Manue. Comme pour se rattacher à quelque chose pour ne pas tomber, elle saisit sa poitrine entre ses mains et la serra très très fortement. Tout son corps était maintenant recouvert de frissons. L’orgasme fît dresser ses tétons comme si ils avaient été en contact avec un glaçon. Cette érection ne fît qu’accroitre la fermeté de cette jeune poitrine. Jean Pierre accorda un petit moment de répit à Manue pour qu’elle puisse reprendre son souffle. Il en profita pour lui faire retirer son peignoir et ainsi la retrouver dans une nudité totale. Ses esprits à peine retrouvés, l’homme s’allongea sur elle de tout son poids. Il l’embrassa sur la bouche. Ses lèvres avaient un drôle de gout sans doute celui de sa jouissance. Elle sentait son sexe dur contre le sien, le bassin de Jean Pierre ondulait pour aider son pénis à trouver le chemin de l’entre jambe. Son gland arriva au niveau de ses grandes lèvres et avec la plus grande prudence les écarta pour s’y introduire. Commence alors un long va et vient en missionnaire.

« Il m’épatera toujours Jean-Pierre vous avez vu les jeunes. A soixante ans il est toujours bien foutu et en plus il a une endurance de jeune vingtenaire. De quoi faire des jaloux »
Ca y est l’attention était maintenant tournée sur Manue et son retraité. Cette situation et ce premier rang dont assistait Marc lui fît reprendre de la vigueur. Très sagement pour ne pas déranger son ami, il se tenait assis à coté d’eux et se masturbait tranquillement attendant son tour. Mathias aussi commençait à reprendre forme, et se masturbait aussi pour redonner de la vigueur à son sexe.

Après de très longues minutes passées sur le corps de ma petite amie, le râle de Jean Pierre se fît entendre dans la pièce, il venait de se répandre dans le sexe de la demoiselle. Il la remercia d’un baiser et se retira pour se mettre sur le coté. C’était au tour de Marc de prendre la relève et comme à l’identique de son ami, vint s’allonger sur la jeune fille. Il releva ses jambes pour bien les écarter, et vînt la pénétrer. Au moment où son sexe rentrait, on pouvait voir le sperme de son prédécesseur couler le long de son membre.

« Comment fais tu pour secréter autant de sperme toi ? Regarde, je suis à peine rentré qu’elle suinte de partout. On est encore trois à passer, je te signale »

A la différence de son compère il lui fallut moins de temps, pour lui, pour jouir dans ma copine. Il se retira quasi instantanément et un long filet de sperme coula entre les cuisses de la jeune adulte. C’était au tour de Mathias de venir apporter maintenant sa contribution. Dans le même mimétisme, il éjacula dans le vagin de Manue qui n’arrivait plus à retenir la quantité importante de sperme. Ca coulait à ne plus vouloir s’arrêter.
Je m’allongea à mon tour sur elle, son corps était brulant, mon sexe venait frotter l’intérieur de ses cuisses et glissait sur le sperme mélangé. Cette expérience était nouvelle, jamais avant je n’avais pénétré un sexe autant rempli de diverses sécrétions à la fois. Son sexe était totalement ouvert par les différentes intrusions quelles venaient de vivre. Mais le fait de baigner dans un liquide ne faisait que de décupler mon plaisir. Cette sensation était vraiment étrange et renforçait considérablement le coté doux à la chose. A chaque fois que je sortais mon sexe pour le re-rentrer à nouveau, une quantité de sperme venait me caresser et couler entre nos deux corps. Il m’était difficile de me retenir plus longtemps et comme tous les autres mon sperme vînt les rejoindre. J’ai vécu cette éjaculation comme une explosion. Mon cri en était le témoin, accompagné aussi par celui de Manue. Nous venions tous les deux de vivre un moment rare au même moment.

« Vraiment dommage que ma petite soumise ne soit pas de la partie, elle se saurait fait un plaisir de nettoyer Manue de tout son sperme. » ponctua Marc.

La soirée se termina sur cet orgasme magique que jamais auparavant nous n’avions connu. Mathias, Marc et Jean-Pierre après nous avoir remerciés rentrèrent chez eux.

Le lendemain matin, on sonna à la porte. Le bruit de la sonnette nous sorti de notre sommeil. Manue saisit s’habilla de son peignoir pour aller ouvrir et eu l’agréable surprise de se retrouver en face d’un livreur avec dans les bras un immense bouquet de fleurs. Cadeau de Marc et Jean Pierre pour la remercier de cette soirée passée ensemble.

Une bien belle attention, qui nous confortait dans ce que nous venions de faire et qui ne nous amenèrent pas de regrets.
par manukib56
#1332797
Un moment privilégié pour se retrouver.

Cela faisait un moment que nous nous n’étions pas retrouvés tous les quatre ensembles pour une petite soirée comme on les aime.

Après notre dernière histoire avec nos connaissances Marc et Jean Pierre, nous avions besoin de faire un petit break pour nous retrouver. C’est Mathias qui fût à l’initiative de ce petit week-end. Il nous proposa d’aller passer quelques jours sur la cote nord vers Saint Malo. Il connaissait un petit hôtel très sympa qui propose en plus d’une piscine chauffée un espace bien être avec Spa, sauna et massages. En faisant des recherches sur internet nous trouvons un site d’achat communautaire qui nous proposa des tarifs tout à fait abordable pour notre bourse d’étudiants, même si les revenus de Mathias pouvaient aisément nous permettre de payer ce petit week-end comme il nous avait gentiment proposé.

Réservations faites, ils nous tardaient d’y être pour profiter de cet instant « bien être ».

Nous sommes le samedi matin, nous avions passé la nuit chez Mathias afin de pouvoir partir le plus tôt possible et profiter ainsi du week-end dans sa totalité.

Installés dans la voiture de Mathias, moi devant et les filles derrières, nous sommes en route vers notre destination. Manue et moi n’avions pas revu Audrey depuis le fameux week-end chez Marc. Elle posa beaucoup de questions à Manue sur comment c’était passé sa fameuse soirée avec quatre hommes. Les discussions allèrent bon train entre les filles ce qui eu le mérite de ne pas nous faire voir passer l’heure et demi de route.

Nous arrivions devant notre hôtel, avec une vue imprenable sur les tours Vauban des iles au large de Saint Malo. Le timide soleil réchauffait difficilement ce vent hivernal qui nous glaçait. Sans plus tarder nous allions tous les quatre nous mettre au chaud dans l’hôtel. Pendant que Mathias et moi déchargions la voiture des bagages, les filles allèrent à la réception pour prendre les clés des chambres. En cette saison, notre hôtel n’était pas rempli mais accueillait tout de même pas mal de monde. Et à notre grande surprise, beaucoup d’Anglais et Chinois. Sans doute pour la proximité, pour les Anglais du Ferry et du Mont Saint Michel pour les chinois. Il fût même difficile de trouver deux chambres cote à cote. Un étage allait nous séparer pendant ce week-end.

Le garçon de l’accueil, nous donna nos clés respectives et nous invita à se rejoindre en bas dans quelques minutes le temps que nous nous installions dans nos chambres, pour nous faire ensuite visiter l’établissement.

Les Chambres étaient spacieuses et décorées avec gout et modernisme. La vue donnait sur une petite cour et juste derrière la grande bleue. Sans trop tarder, nous déposâmes nos deux valises et reprenons l’ascenseur pour retrouver nos amis à l’accueil pour la visite des lieux.

Après s’être vu attribué à chacun un peignoir et une serviette, nous découvrîmes l’espace piscine, jacuzzi avec une pièce adjacente pour le coté massage bien être. Nous étions tous les quatre excités à l’idée de remonter très vite pour nous équiper de nos maillots de bain pour profiter au plus vite de cette eau à 32°C.

Ce n’est qu’à peine trente minutes que nous étions arrivés sur Saint Malo, que nous étions déjà tous les quatre en peignoir au bord de la piscine. Avec nous d’autres gens : une famille de français avec un enfant en bas âge, un vieux couple d’Anglais retraité de longue date et un petit groupe de chinois aux âges variés. Malgré tout ce monde, le calme était tout de même instauré même si le coté intimiste n’y était pas. Nous nous installons sous le solarium pour nous réchauffer un tout petit peu avant d’aller nous mouiller. Les filles papotèrent pendant que Mathias et moi critiquions les physiques des autres touristes.

Le couple Anglais pouvait se reconnaître facilement avec le maillot une pièce fleuri de madame, un look « So British ».
Le corps des jeunes chinoises étaient déjà beaucoup plus intéressant à regarder. Ces petits gabarits toujours très bien proportionnés. Très fines avec de toutes petites poitrines, on avait l’impression qu’elles se ressemblaient toutes. Mais en rien cela n’entravait leur caractère érotique. Peut être un peu chauvin pour le coup, nos yeux se posèrent peut être plus longtemps vers la trentenaire tout jeune maman. Cette grande blonde élancée dégageait quelque chose de plus. Son corps portait encore les traces de la grossesse mais en rien cela ne l’enlaidissait. Elle avait gardé un petit ventre, sa poitrine généreuse pouvait laisser penser qu’elle allaitait son enfant. Tellement ses seins semblaient gonflés. Elle portait un maillot de bain deux pièces, sa culotte parfaitement échancrée ne laissait pas voir de signe de pilosité. On s’autorisait donc à imaginer que son sexe à elle aussi était parfaitement épilé.

Les filles avaient remarqué notre petit manège et nous détournèrent de cette jeune maman. Elles ôtèrent une à une leur peignoir pour aller se baigner. A ce moment là, Mathias et moi prirent conscience qu’on n’était tout de même pas mal loti. Nous étions quand même accompagnés de deux très jolies demoiselles au corps différents mais complémentaires. En plus cela nous pouvions jouir de ces deux jeunes filles à notre guise. Ce qui n’est pas le cas de tout le monde, on avait pleinement conscience de la chance que nous avions. Manue avait opté pour un maillot de bien une pièce mais dos nu, ce qui donnait un coté très sexy à la chose, tandis que sa copine avait opté pour un bikini deux pièces qui avait le mérite de mettre sa voluptueuse poitrine en avant. Ce qui n’était pas pour nous déplaire, ni le jeune papa qui avait délaissé la surveillance de son enfant pour observer les deux étudiantes. C’était de bonne guerre d’un coté, il y a même pas cinq minutes c’est nous qui étions scotchés sur la plastique de sa femme.

Après s’être délassé dans le grand bassin, nous nous accordions un petit temps dans le jacuzzi avant d’aller visiter la ville pendant qu’il fait encore jour. Même si les jours commencent timidement à rallonger nous sommes toujours en hiver et les journées sont courtes.

Dans le jacuzzi nous étions accompagnés de trois chinois, enfin pour être plus précis d’un chinois et deux chinoises. Une des deux nous faisait penser à Emilie, son corps était identique à celle qu’on avait rencontré il y a quelques semaines. Le haut de son maillot de bain deux pièces avait du mal à être rempli par sa petite poitrine. A l’inverse d’Audrey. Nous avions eu tous les quatre la même réaction ce qui nous fît sourire.

Midi était maintenant bien dépassé, il était temps pour nous d’aller prendre une douche et de se préparer à sortir pour espérer trouver encore un restaurant d’ouvert qui accepte de nous servir.

Tous les quatre dans l’ascenseur nous étions excités comme des enfants devant le week end qui s’offrait à nous et le fait de se pavaner en peignoir dans un hôtel nous amusait beaucoup. Manue et Audrey jouaient beaucoup la carte des filles aguicheuses en laissant entre ouvert leur peignoir pour offrir une vue imprenable sur leur maillot de bain et leur plastique de jeune vingtenaire. Certains clients que l’on croisait avaient du mal à tenir leur tête droite, et gênés ils laissaient aller leurs yeux sur les corps des demoiselles.

Chaque couple alla dans sa chambre pour se préparer à sortir et nous disposions de seulement quinze minutes pour nous retrouver en bas. Manue et moi arrivions dans notre chambre et sans perdre plus de temps laissions tomber notre peignoir et quittions nos maillots de bain pour filer sous la douche. L’inévitable arriva, nous retrouver nu tous les deux dans le même espace confiné sans qu’il ne se passe quelque chose était du ressort de la science fiction.

Tout commença, par un petit baiser pour lui dire à quel point j’étais content d’être là avec elle. Elle me rendît mon baiser avec un peu plus de tendresse. Je la serra dans mes bras. Sentir sa peau contre la mienne, son ventre appuyer sur mon sexe et sa poitrine venant s’écraser sur le bas de mon torse suffisaient pour faire monter en moi le désir. Notre baiser se terminait à peine, que je commençais à être pris par une érection. Ceci semblait amuser ma petite amie, qui se détacha de moi, prit un peu de recule et s’agenouilla sur le tapis de la salle de bain. Arrivée à la hauteur de mon sexe à moitié tendu, elle l’avala sans trop difficulté. Ses caresses buccales étaient douces, je sentais sa langue qui glissait sur le bout de mon pénis. Ses mains agrippaient mes fesses et elles exerçaient une pression comme si elle avait peur que je ne me dérobe. Ce qui était très loin d’être le cas, ni l’envie. Je posais les miennes sur sa tête et en mêlant caresses à fermeté, je la poussais à me pendre le plus loin possible en bouche. La tâche était facile pour l’instant mais à chaque allé et venu mon sexe prenait de la vigueur. Après avoir bien durci mon sexe, elle se redressa sur ses jambes et à nouveau vînt m’embrasser tendrement. Ses lèvres avaient encore le goût de mon sexe. Pendant ce long baiser, ma main vînt à la rencontre de son sexe démuni de poils, délicatement un de mes doigts s’y risqua de glisser entre ses lèvres. Je sentais son désir humide. Je détachai ma bouche de la sienne, la fît pivoter sur 180°. Elle était maintenant en face du miroir tandis que moi j’étais derrière elle. Je lui fis comprendre qu’elle devait se cambrer, ce qu’elle fît en saisissant le rebord du lavabo, elle s’en écarta au maximum pour avoir le dos le plus droit possible et ainsi être au niveau de mon bassin. Elle ouvrit ses jambes pour me donner le signal qu’elle était prête à me recevoir, sans plus attendre, je lui présentai mon sexe à l’entrée de son intimité. Doucement, mon sexe glissa entre ses lèvres pour disparaître entre ses cuisses. Mes mains s’agrippèrent à sa poitrine et je commençai alors dans un rythme effréné un jeu de va et vient. Quand je sentais que son plaisir allait arriver à son apogée, je cessais tout mouvement et ressortait totalement mon pénis. Je laissais volontairement retomber son plaisir pour à nouveau la re pénétrer. Ce petit jeu avait le don de l’agacer, mais sa frustration fût de courte durée. Après avoir bien joué à la faire enrager, je décidai d’y aller au bout et lui procurer le plaisir dont elle souhaitait. A peine était elle arrivée à l’orgasme que moi aussi à mon tour il était temps de jouir. Je me retirai totalement d’elle pour venir m’y déposer dans le bas de son dos. Et avec mon organe encore dur, étala ma semence sur sa peau qui avait le don de me procurer une caresse agréable. Un dernier baiser et nous accourons sous la douche pour ne pas cumuler notre retard.

Nos amis nous attendaient en bas depuis maintenant dix bonnes minutes.

« Ben alors, qu’est ce que vous foutiez ? Tous les restos vont être fermés à cette heure. »
« Désolé Mathias, on a eu un petit imprévu »
« Oui c’est çà ! Ca payera … »

Habillés chaudement, nous partons arpenter les rues de Saint Malo dans la quête de trouver un restaurant nous daignant accepter de nous recevoir.

Après de longues minutes à marcher dans le froid, et luttant contre le vent frais venant de la mer. Une crêperie accepta tout de même de nous prendre, pour les beaux yeux de ses demoiselles.

Je ne sais pour qu’elle raison, mais le sujet de discussion était fortement tourné sur le sexe. Nous revenions sur le fait que Manue et moi avions découvert un nouveau plaisir, lors de cette soirée chez elle avec les deux intrus. Quand je l’avais pénétré alors qu’avant moi trois personnes avaient déjà jouit en elle. Cette sensation nouvelle de baigner dans ce mélange doux et chaud. Cette expérience nous avait amené à un plaisir nouveau et jamais encore égalé.

Nous échangeâmes beaucoup, sur nos dernières expériences et l’évolution de notre relation. On concluait qu’on s’était tout de même bien trouvé et que chacun de nous arrivait à y trouver son compte. Je fîs remarquer tout de même que çà faisait longtemps que je n’avais pas approché Audrey, et que je devais l’admettre cela me manquait un peu. Une petite lueur de jalousie se lisait dans le regard de Manue.

« Oh t’inquiète Fred, je suis sur que ce week-end on va rattraper ce manque » me rassura Mathias.
« Mon petit mignon, je t’avais manqué. » ironisa Audrey.

L’après midi passa très vite, et après avoir erré dans les remparts de la ville fortifiée, frigorifiés comme nous étions, il était temps pour nous de regagner notre hôtel, pour se réchauffer au bord de la piscine. Les filles avaient aussi envie de se faire plaisir en s’offrant une petite heure de massage à l’espace bien être.

Arrivés à l’hôtel les groupes étaient faits : Les filles d’un coté pour leur soin du corps tandis que nous, nous allions nous prélasser en alternant piscine et jacuzzi, comme de vrais pachas.

L’heure était à la détente. Ce déjeuner aux discussions sexy nous avait bien excité mon ami et moi. Allongés dans nos transats nous ne cessions de commenter toutes les femmes que nous croisions au bord de la piscine. Y’en avait pour tous les gouts et tous les styles. Encore une fois nous admettions que nous avions beaucoup de chance d’être avec nos femmes respectives.

L’hôtel où nous séjournions accueillait un restaurant gastronomique, nous décidions donc de nous offrir ce petit plaisir. Sans plus attendre, nous allions nous préparer et optons pour attendre les filles au bar du restaurant.

Après une rapide douche et après avoir enfilé un pantalon et une chemise. Mathias et moi nous nous installions dans le salon de l’hôtel pour prendre un apéritif, pendant que nos femmes respectives se préparaient pour la soirée.

Après une petite heure de patience, elles arrivèrent enfin dans le hall de l’hôtel. Elles étaient resplendissantes. Audrey s’était habillée d’une magnifique robe de soirée en satin noir, un magnifique dos nu laissait entrevoir le bas de ses reins. Ses jambes étaient mises en valeur par une fine paire de chaussures à talon et pour couronner le tout : son décolleté plongeant ne pouvait laisser quelqu’un d’indifférent. Une fine dentelle noire dépassait légèrement de l’échancrure de la robe pour habiller subtilement sa généreuse poitrine.
Manue avait optée pour une tenue plus simple mais qui faisait autant son effet. Pour mettre ses fines et longues jambes en valeur, elle ne s’était habillée que d’un mini short gris et d’une paire de bottes à talons. Un très joli déshabillé noir tout fin venait agrémenter sa tenue. Une légère transparence du tissus nous montrait que la jeune fille ne portait pas de soutien gorge, et que sa petite poitrine se soutenait à elle-même. Les filles firent leur effet dans l’entrée de l’établissement, tous les hommes présents ne pouvaient se retenir de les regarder avec insistance. Même en présence de leur femme, la tentation était trop forte.

Les deux jeunes étudiantes nous rejoignirent à notre table, chacun à notre tour nous recevons de la part de ces jeunes filles un tendre baiser qui en disait long sur le thème de la soirée. Cette marque d’attention eu son petit effet dans l’assemblée, on pouvait deviner facilement l’incompréhension sur le visage des autres clients. Devant ce joli défilé Mathias, aux comptes beaucoup plus fournis que nous, suggéra d’accompagner notre soirée de champagne. En bon prince, il commanda donc une bouteille.

Audrey s’était assise prêt de moi, et se montrait câline envers moi. Cela faisait longtemps que nous n’avions pas été proches. Aux différentes occasions, nous étions à chaque fois prit par d’autres occupations. Cela me faisait plaisir de savoir que j’allais la retrouver en plus en compagnie de ma belle.
Sa main droite caressait de manière continue ma cuisse gauche, elle n’hésitait pas non plus de temps en temps à venir déposer un doux baiser dans le creux de mon coup. Les frissons et l’envie d’elle se faisaient vite ressentir. Manue procédait au même rituel envers mon ami ce qui avait aussi le don de m’exciter encore un peu plus. La soirée s’annonçait belle et douce.

Une fois notre bouteille de Champagne finie, il était temps pour nous de passer à table pour atténuer les effets de l’alcool.
Quand nous arrivions à notre table, cette fois je me retrouvais au coté de Manue qui à son tour se montrait tactile avec moi. Ce qui surprit les autres personnes dans la salle. Les femmes semblaient outrées de ce spectacle tandis que la gente masculine en était plutôt amusée. Nous recroisons la petite famille anglaise, qui se rendait aussi à diner. Après un échange de sourires de courtoisie pour se dire bonsoir, l’homme se trainait un peu de sa femme (qui portait leur enfant) pour rester en retrait et s’offrir un petit temps de plaisir à mater nos jolies filles.

Pendant tout le temps du repas, nos jambes se livrèrent à un vrai balai sous la table. Nous nous excitions mutuellement, limite à ce que le repas en devienne trop long. Je ne cessais de regarder dans le décolleté d’Audrey et m’imaginais déjà les prendre en bouche. La main de Manue me caressait la cuisse et n’hésitait pas à remonter mon entre jambe pour sentir ma bosse.
A peine le dessert terminé, il était temps pour nous de rejoindre nos quartiers. Tous les quatre nous nous levèrent de table et très excités nous nous dirigions vers l’ascenseur qui allait nous mener à nos chambres. Bras dessus bras dessous, nous étions tous les quatre hilares et impatients d’y être. A peine les portes de l’ascenseur se sont refermées sur nous que nous étions tous enlacés. La tentation était trop grande, je saisis Audrey par les hanches pour l’approcher de moi et vint l’embrasser sur la bouche. Nos langues s’entremêlèrent et nos lèvres étaient soudées entre elles. Mais mains glissaient le long de son dos nu, et vinrent se poser sur ses fesses. J’arrivais à sentir à travers sa robe, la dentelle de son string. Ma bouche se détacha de la sienne pour venir se poser entre ses seins. J’enfonçais mon visage au plus profond de son décolleté pendant que mes mains malaxaient vigoureusement ses fesses. Manue en n’était pas en reste, elle était déjà à genoux devant Mathias en le prenant dans sa bouche. Notre ascension toucha à sa fin, et les portes se ré-ouvrirent, par chance personne n’attendait devant. Nous nous extirpons de cette cage au plus vite pour aller nous isoler dans la chambre de Mathias et Audrey.

Dès que la porte se refermât derrière nous, tout prit beaucoup plus d’ampleur. En quelques fractions de seconde, Audrey avait fait tomber sa robe et se trouva en corset noir, string et talons hauts au milieu la pièce. Mathias, la braguette toujours ouverte et le sexe à moitié dur l’invita à terminer le travail que sa petite amie avait commencé. Avec obéissance elle prit position et enfourna dans sa bouche son sexe aux dimensions encore acceptables dans son intégralité. Pendant ce temps, je quittais à mon tour mes vêtements, pour me retrouver le premier totalement nu, mon sexe était déjà totalement dressé, lui et n’attendait qu’à se faire prendre en bouche. Avant de venir le présenter à elle, je passai derrière elle pour lui baisser les bretelles de son corraco et ainsi découvrir sa poitrine. Je glissais mes mains par devant pour m’assurer de la fermeté de ceux-ci. J’en profitai pour venir pincer très légèrement ses auréoles roses afin de les faire durcir.
Arrivé à ses cotés, elle retira sa bouche du sexe de son petit copain pour venir me prendre. Ses deux mains étaient occupées à nous masturber en même temps, tandis que chacun de nous tenait un sein dans sa main. C’était à qui allait faire durcir le téton le plus vite et le plus fort.

Manue nous rejoignit en ayant bien pris garde de laisser de coté ses habits. Elle n’avait conservé qu’un joli petit string blanc dentelle. Elle s’approcha de Mathias et tendrement lui caressait le dos pendant qu’il était occupé à se faire gober pas sa conjointe. En même temps que sa main descendait sur le bas du dos musclé du jeune homme elle s’accroupissait pour elle aussi arriver à la hauteur de l’érection. Sa main quitta le dos pour encercler l’organe, et ainsi remplacer celle de la jolie brune, qui laissa sa place pour venir s’occuper moi en totalité. Manue n’attendit plus pour le prendre à son tour en bouche. Elle s’était maintenant habituée à sa dimension et ne rencontrait plus trop de soucis pour le faire disparaître totalement dans sa gorge. Mais elle aimait aussi laisser sa langue glisser le long de ce pénis, pour y venir chatouiller les testicules de cet ami. Et remonter le plus doucement possible pour finir sur le bout décalotté. Elle savait que ce petit rituel avait un fort pouvoir d’excitation chez les hommes. Elle le retenait de son expérience avec Jean Pierre, comme elle avait d’énormes difficultés pour le prendre en bouche elle avait adopté cette méthode qui s’était avérée efficace.
Quel plaisir de se retrouver ainsi tous les quatre, je voyais aussi que Manue prenait beaucoup de plaisir à être ici. Elle s’appliquait à la tâche. Après nous être fait bien redresser nos membres, il était bien entendu normal que nous rendions l’appareil à ces demoiselles. Nous les allongions donc toutes les deux sur le grand lit « king size ». Audrey a profité de ce petit interlude pour retirer son haut. Elles étaient donc là toutes les deux sur le dos avec comme pour simple habit un string. L’un était noir, l’autre blanc. Je m’installai devant le noir et l’écarta à l’aide de mon index pour y découvrir un sexe. Qui cette fois ci n’était pas totalement imberbe, une petite bande noire décorait le milieu du triangle féminin. Je m’empresse d’y venir déposer un baiser pour m’assurer de la douceur de la coupe. Son corps sentait bon les huiles essentielles de la salle bien être et sa peau était d’une douceur. Je m’interrogeais sur celui de Manue. Lui aussi avait subit le même traitement, et à voir comment Mathias prenait plaisir à se trouver entre les cuisses de ma petite copine, je comprenais très bien qu’il aimait aussi, autant que moi, ce petit parfum.

Indirectement un petit concours entre nous deux était lancé, à qui arriverait à faire gémir le premier la demoiselle qu’on avait au bout de la langue. Connaissant bien maintenant Audrey, je savais ce qu’elle aimait par-dessus tout. Elle adorait le passage feuille de rose au petit bouton. Ce saut de mouton avec ma langue entre ces deux extrémités avait le don de la faire jouir dans des temps record. Je gagnais donc cette course haut la main. Pour agrémenter son plaisir que je savais grandissant, je m’autorisai à glisser mon index dans son sexe, qui commençait à s’humidifier. Son goût commençait à changer, et cette petite acidité ne faisait que renforcer mon avis d’aller encore plus loin. Très vite je voyais bien que mon doigt ne lui suffisait plus, il me fallut en rajouter un autre. Pendant que mes deux doigts se baladaient entre ses lèvres inférieures, j’activais ma langue sur sa petite entrée pour l’humidifier comme il faut. Avec mon autre main, j’essayais d’y introduire mon autre index, pendant qu’avec ma bouche je faisais des apports de salive pour faciliter l’intrusion. Sans trop de peine mon index gauche s’introduit dans la partie serrée. Je n’avais plus de place pour mettre ma bouche tout l’espace était pris avec mes deux mains. Pendant que j’étais occupé à procurer du plaisir par les deux cotés à ma partenaire, je pris le temps de voir ce à quoi étaient occupés les voisins. Mathias était maintenant allongé sur le lit pendant que Manue, elle, était au dessus de lui dans le sens opposé. La tête de Mathias était caché entre les cuisses de ma belle, tandis qu’elle s’activait à lui faire une fellation digne de ce nom. Elle cambrait comme elle pouvait son dos pour se coller le plus à lui. Sa poitrine s’écrasait sur le bas de son ventre, lui permettant ainsi d’être au plus prêt de son sexe pour s’enfoncer toujours un peu plus. La vision que j’avais d’elle était des plus excitantes et me donnait encore plus envie de m’investir dans ce que j’étais en train de faire. Je surenchérie donc dans l’apport de salive et tente l’expérience d’y introduire un deuxième doigt pour créer une égalité entre son sexe et son petit orifice. Avec toutes les précautions nécessaires j’y arrive enfin. Mes deux doigts glissaient aisément. Elle s’agrippa à sa généreuse poitrine et la malaxa fortement comme pour se donner du courage. Il était arrivé temps de tourner et de retrouver nos copines respectives. Je m’agenouillai à coté du visage de Manue qui s’était allongée sur le lit, lui proposa mon sexe à sucer. Ce qu’elle fît sans se faire prier. Audrey se mit à quatre pattes la tête au dessus du sexe de Manue et se livra à son tour à un cunnilingus comme elle savait si bien y faire. Pendant ce temps là Mathias venait sonder si ma préparation était bonne. Sans plus attendre il avait décidé de prendre sa petite amie par l’entrée interdite. Ce qui ne devait pas être si interdit que çà, aux cris de jouissance de sa compagne. Je crois bien qu’Audrey est la rare fille à préférer la sodomie à la pénétration vaginale.
Après ce petit moment passé l’un à coté de l’autre nous décidions de nous rapprocher. Manue resta allongée sur le dos au milieu du lit tandis qu’Audrey se mis à quatre pattes au dessus d’elle dans la position bien connue du soixante neuf. Mathias reprit sa position intiale, derrière Audrey, pour continuer ce qu’il avait entrepris, à la différence qu’en même temps il sentait une langue venir caresser ses testicules et il s’accordait des fois des petits passages dans la bouche de la jeune fille allongée en dessous de lui avant de renfourner son sexe dans l’intimité de sa copine. J’adoptais quasi la même méthode que lui à la différence que je n’ai pas opté pour un passage dans le petit orifice de mon amie. C’était donc de manière dite plus traditionnelle que je comptais lui donner du plaisir et alternais ainsi mon sexe entre la bouche d’Audrey et le sexe de Manue. Pendant que mon sexe allait et venait entre les cuisses de Manue, Audrey en profitait pour venir titiller son petit bouton à l’aide de sa langue ce qui avait pour conséquence de décupler de manière significative le plaisir de ma jolie. Par chance ses cris étaient étouffés par le pénis de Mathias dans sa bouche.
Vint le moment de changer un peu de position, nous décidions d’offrir à Audrey ce qu’elle adore le plus : une double pénétration. Je m’allonge donc sur dos pour l’accueillir au dessus de moi. Elle se positionna dos à moi, pour que se soit moi qui la pénètre par derrière, elle allongea ses bras par derrière pour venir se mettre en appui contre le lit, ce qui eu pour effet de tendre sa poitrine, ne pouvant résister à la tentation, je les pris en main et m’amusa avec le temps que mon ami vienne prendre place devant. Il écarta bien le string noir de la jeune brune pour ne pas obstruer le passage qu’il souhaitait emprunter. Et dans un grand élan et avec tout le poids de son corps vint se loger entre les lèvres humides de sa conjointe. Sous l’assaut de son corps, je senti Audrey s’enfoncer en moi d’un seul coup. Ses fesses étaient maintenant en butées contre mon bas ventre, sans aucune simulation de sa part un très fort cri s’échappa de sa bouche pour bien nous faire comprendre que chacun de nous étions arrivés au maximum. Mathias était parti dans un rythme effréné, les cuisses et le dos d’Audrey ne cessèrent de s’aplatir contre moi, Manue s’était mise de coté par rapport à sa copine et l’embrassait pour lui donner son soutien. Cela devait la rappeler la dernière fois où elle aussi avait été mal menée par nous et les deux autres inconnus. Pendant son baiser ses mains se baladaient sur les seins lourds de sa partenaire. Quel plaisir je prenais à être écrasé comme çà par mes deux meilleurs amis.
Après s’être bien occupé de notre petite brune, les deux filles s’allongèrent toutes les deux cote à cote sur lit, s’apprêtant chacune à nous recevoir. Mathias choisit Audrey et moi ma compagne de toujours. Dans la position la plus classique : le missionnaire, je surélevais les jambes de Manue pour les monter jusqu’à mes épaules afin de m’assurer de la pénétrer au plus profond. Très vite je fus imité par Mathias. Après quelques minutes de va et vient entre les reins de nos amies respectives nous décidions de changer de partenaire. Cette fois ci c’était les jambes d’Audrey qui reposaient sur mes épaules et comme précédemment j’entamai un va et vient soutenu entre ses cuisses. Les filles laissèrent jaillirent leur jouissance en poussant des gémissements. Elles eurent un orgasme au même moment ce qui ne faisait qu’accroitre notre plaisir. Mais nous aussi on arrivait au point du non retour. On se détacha des filles qui firent une rotation complète sur le lit pour se retrouver la tête à l’envers en dessous de nos sexes. Elles se collèrent au niveau de la tempe pour être bien sur de pouvoir se faire inonder toutes les deux en même temps. C’est Mathias qui lâcha le premier son foutre sur le visage des filles en prenant bien soin de viser leur bouche. C’est Audrey qui en reçu le plus sachant que c’est elle qui fût la première servie. Mais en pivotant simplement la tête elle embrassa à pleine bouche de Manue pour lui faire partager. Pendant leur doux baiser lesbien, n’arrivant plus à me retenir j’éjaculais sur leur visage. Mon sperme se mêlait à leur salive et à celui de Mathias. Les filles en savouraient ce parfait mélange. Une fois m’être totalement vidé, Audrey vint me prendre en bouche une dernière fois pour s’assurer de me vider et à l’occasion de me nettoyer le sexe.
par manukib56
#1336781
Un moment privilégié pour se retrouver. Acte 2

Les filles eurent à peine le temps de se débarbouiller de notre semence avec une serviette, que Mathias et moi repartions à la charge.

Cette fois ci, c’était à nous de leur donner du plaisir avec notre bouche. Pour cela nous avons ôté leur string pour pouvoir avoir un accès direct sur leur sexe. C’était bien la première fois que les filles s’étaient différenciées sur la pilosité de leur sexe respectif. Manue avait optée pour une épilation intégrale tandis qu’Audrey s’était laissée aller au petit « ticket de métro » comme elle aimait à dire. Ce qui n’était pas pour nous déplaire.

Je commençais donc mon cunnilingus par le sexe doux et lisse de ma chère et tendre. Il était déjà humide et sentait le sexe de l’homme. Je m’appliquais pour faire dresser au mieux son clitoris qui je savais était très hétérogène chez elle. Elle m’aida en glissant sa main et laissant trainer un doigt sur son clitoris. Pendant qu’elle s’activait sur son petit bouton, je laissai ma langue se balader entre ses cuisses en l’oubliant un peu pour y revenir un peu plus tard.
Son autre main renfermait son sein gauche, son dos se décollait légèrement du matelas sous les assauts de ma langue couplés à l’efficacité de sa caresse.
Pendant que nous étions occupés à ce moment de tendresse, Mathias et Audrey se livrèrent à un jeu de performance ou je ne sais quoi. Trois de ses doigts glissaient déjà dans le sexe que j’imaginais totalement humide de sa copine. Il me fît signe de m’approcher.

« Dis donc Fred ca te dirais pas de faire une double ? »
« Mais on vient de le faire ! »
« Non une vaginale ! »
« Ben je sais pas … »
« Y a pas de raison que se soit toujours Manue qui en ai le droit non ? »
Je lui souris

Il s’allongea sur le dos et accueillît sa petite amie au dessus de lui en face à face. Elle saisit le membre tendu pour venir l’insérer entre ses lèvres ouvertes. Accroupie sur ses jambes, elle commença alors une petite série de vas et viens pour s’assurer de la bonne pénétration. Elle s’accorda une petite caresse sur son clitoris pendant cette rapide chevauchée pour accroitre encore une fois sa jouissance et ainsi assurer une parfaite humidité pour accueillir un deuxième sexe. Elle se pencha vers son homme pour l’embrasser, leurs ventres se collaient l’un à l’autre, elle essayait de relever au mieux son fessier pour me laisser le plus de place possible. J’enjambai mon ami pour me retrouver derrière sa petite amie, le sexe tendu à la main, je vins le déposer directement à l’entrée de son sexe déjà introduit. Manue vint à ma rencontre pour m’embrasser tout en me caressant le dos, et avec insistance je commençai à pousser sur cette paroi pour élargir le passage. Sous la pression quasi constante, je sentais le col se desserrer petit à petit. Je relâchais légèrement pour revenir tout doucement ré appuyer, les chaires commencèrent légèrement à se détendre. Je sentais bien aux gémissements de la petite brune que l’intrusion n’était pas si simple que çà, malgré les précautions prises avant par son amant. Manue s’occupait maintenant de sa copine en la caressant et en embrassant le maximum de surface de son corps pour lui donner un peu de tendresse. Il fallait donc en finir au plus vite pour lui épargner ce mauvais moment trop longtemps. A l’aide de mes mains que je posai sur son dos, je l’aplatissais le plus possible contre le torse de Mathias pour essayer toujours de gagner un peu plus d’ouverture. Pour le dernier essai, je ressorti totalement mon sexe et humidifia de ma salive la petite couronne. Mon gland se posa contre l’édifice déjà en place et avec la plus grande prudence glissa le long pour arriver au point de rencontre. Sa respiration saccadée montrait son hésitation et son appréhension. Sans violence je vins pousser un peu plus fort pour forcer le passage, çà y est je sentais que cela cédait sous ma contrainte. Les gémissements donnèrent place à de petits cris, mon gland s’effaça enfin. Encore un petit effort et nous y serons. Mathias essayait de ne pas trop bouger pour ne pas venir obstruer plus, elle rabaissa son dos pour venir reculer son sexe. Ce qui eu pour effet d’ouvrir un petit peu plus, je profitai de cette faille pour m’y glisser. Enfin !!! Après de longues minutes, j’étais maintenant entré. On laissa un peu de temps à la jeune fille pour reprendre ses esprits, et commencions très lentement des allers et retours. Au fur et à mesure de nos coups de reins nous sentions qu’elle se détendait toujours un peu plus. Pour arriver à une parfaite pénétration sans plus aucune résistance.
La cyprine coulait en abondance, les cris n’étaient plus les mêmes et laissaient place à de vrais effusions de plaisir. Nos rythmes s’accéléraient et petit à petit elle se redressa sur elle-même pour, à l’inverse de tout à l’heure, bien se refermer sur nous. Sa poitrine ballotait dans tous les sens, très vite arrêtée par Manue qui les prit en bouche et resta un bon moment à jouer avec.
Cela en devenait trop pour elle, l’orgasme arriva. Elle n’arrivait plus à se contrôler fasse aux assauts de ses hommes et les caresses buccales de son amie.

Après un long moment passé entre ses cuisses, nous lui accordions un peu de répits. Manue profita de cette occasion pour venir soulager la jeune brune par des baisers sur son sexe brulant. Pour ne pas perdre le rythme, ni notre érection, nous invitions Audrey à nous prendre en bouche pendant que Manue lui faisait un cunnilingus.

Manue s’installa à quatre pattes entre les jambes d’Audrey pour venir se cambrer au maximum afin d’être à la hauteur du bassin de la jeune fille. Cette position et cette cambrure ne faisait qu’accroitre mon envie de la pénétrer à nouveau. Après avoir été bien revigoré par mon amie, je décidai donc de profiter de la position pour la moins indécente de ma petite amie pour lui faire honneur. Elle était tellement occupée à donner plaisir qu’elle ne fît pas cas de mon arrivé derrière elle. C’est donc par effet de surprise que je décidai de la pénétrer d’une seule traite. Sa tête se releva aussitôt et se retourna pour avoir l’identité de cette intrusion brutale. Je glissai mes mains sous elle pour venir saisir son petit 85b et m’assurer que celui ne bouge pendant mes allers et venus entre les cuisses de ma belle. Mon rythme est instance, je sais que je vais avoir de l’endurance, je ne mollis donc pas. Elle essayait toujours de coller ses lèvres contre le sexe semi épilé de sa copine mais c’était difficile. J’étais trop courbé sur elle à vouloir tenir ses seins entre mains, je les lâchais donc pour me tenir bien droit et ainsi assurer une parfaite pénétration jusqu’à la garde. J’eu le succès attendu, ses cris étaient venus en remplacement de ceux d’Audrey. Ses petits seins ballotaient dans tous les sens rythmés par mes coups de reins. Les cris arrivèrent aux oreilles de Mathias, et voulait aussi donner sa petite contribution, nous alternions donc nos rôles et avec la même grâce que moi, il entreprit une chevauchée rapide. J’avais maintenant envie de recevoir Audrey au dessus de moi, je m’allongeai donc sur le dos et lui proposa de venir s’asseoir sur mon sexe durci par ses caresses buccales. Elle m’enjamba le corps, axa son bassin par rapport à mon sexe et descendit d’un coup pour venir l’enfoncer en une fois. Je me redressai pour venir plonger mon visage entre ses seins, toujours accroupie sur ses jambes, elle s’accrocha à mon cou pour assurer une stabilité et commença à coulisser énergiquement sur mon membre tendu. Ses seins frottaient mon visage à chaque descente ou remontée de la jeune fille. J’arrivais à mordiller de temps en temps un petit téton au passage. Mes mains vinrent tout naturellement s’accrocher à eux et ainsi m’assurer de pouvoir les porter en bouche à ma guise. Ma langue humidifiait à volonté les petits bouts roses, tandis que mes dents les mordillaient légèrement. Cela en devenait trop fort, il était temps pour moi de jouir une seconde fois. Audrey l’avait compris tout de suite à mon regard, et se dégagea de moi pour venir s’agenouiller à même le sol. A l’aide de ses mains elle souleva sa lourde poitrine, comme pour en faire un reposoir. Elle était en train de m’inviter à venir déposer ma semence dessus. Debout devant elle, le sexe à la main il ne me fallut que quelques mouvements de masturbation pour venir faire jaillir une nouvelle fois mon liquide blanchâtre sur sa peau. J’étais étonné de voir la quantité qu’il me restait encore, ma jouissance venait tapir toute la surface. Avec mon sexe j’étalai minutieusement mon sperme, et profitai que les deux protubérances se touchaient pour venir y glisser mon membre à demi tendu entre. Mon liquide facilitait grandement le coulissement entre nos peaux.
C’était au tour de Mathias d’arriver au point de non retour, il se dégagea précipitamment de Manue, qui en un éclair vint aussi à son tour se mettre à genoux à même le sol devant son partenaire. Elle ouvrit grand sa bouche pour venir boire directement à la source, par de grandes saccades et par de nombreux jets, il vint asperger le visage de la jeune fille. N’arrivant pas à bien viser l’entrée de sa bouche, il opta pour la solution de venir se terminer directement dedans. Assurant ainsi de pouvoir au moins lui délivrer une quantité minimum.

Après nous être bien déchargé sur nos amies, elles s’embrassèrent tout en s’enlaçant à nos pieds. Leurs corps, enduits de notre sperme, étaient collés l’un contre l’autre, créant un doux mélange. Leurs bouches se détachaient l’une de l’autre pour que chacune à leur tour la balader sur le corps de l’autre. Audrey venait de gouter au sperme de Mathias grâce à ce baiser, maintenant Manue goutait au mien en venant prendre en bouche le sein gauche de son amie. Elles étaient encore très excitées et ne comptaient pas s’arrêter là. Elles se levèrent en même temps, filèrent dans la salle de bain main dans la main.

« On revient les garçons, reprenez des forces … »

Après un très long moment passé enfermées dans la salle de bain, elles décidèrent enfin de ressurgir dans la chambre. Elles s’étaient rhabillées de leur lingerie pour notre plus grand plaisir. Elles firent comme si nous n’étions pas là et vinrent s’installer sur le lit. Manue s’allongea la première, et se laissa aller sous les caresses d’Audrey. On aurait vraiment cru que ces deux filles étaient lesbiennes si nous ne les connaissions pas. Leurs corps étaient en communion. Audrey s’allongeait sur Manue, sa poitrine venait écraser celle d’en dessous. La petite Brune s’imposa entre les jambes de sa partenaire, s’accroupie au maximum pour se mettre à niveau. Et entama un long baiser vaginal, sa langue roulait autour du petit bouton, pendant que ses doigts s’introduisaient dans la fente encore humide. Elle n’attendit pas longtemps avant d’y pouvoir y insérer jusqu’à trois doigts en même temps. Sa langue balayait maintenant le maximum de surface en partant de son bouton pour finir sur la périphérie de son petit orifice. Il était temps de venir investir ce petit rond rose qui à juger les baisers d’Audrey devait être parfaitement lubrifié. Elle s’en assura en venant y glisser doucement son index, qui rencontra aucune de résistance et s’effaça intégralement dans son petit trou serré. Manue se retenait aux cheveux d’Audrey comme si elle allait tomber, « Tomber de plaisir surement ». Les filles n’étaient pas rassasiées de nos deux étreintes. C’est au tour d’Audrey de se laisser aller aux caresses buccales de ma jeune amie. Manue fît ressortir la poitrine au dessus du soutien gorge pour venir la saisir en bouche et ainsi exciter les tétons afin de les faire durcir. Pendant cela, sa main glissa sous le string pour venir caresser la petite toison brune. Elles étaient belles se livrant comme çà à nos regards. Un signe de la tête de ma petite chérie nous donnait l’accord pour se joindre à elles. Elle abandonna sa petite amie du moment pour venir me prendre en bouche. Mon sexe était mou et rencontrait de grosses difficultés à vouloir grossir. Celui de Mathias reprit vite de la vigueur et explorait la gorge d’Audrey au plus profond qu’il soit. Malgré ma demi érection je senti tout de même monter en moi le désir, si rapide à arriver.
Quand Audrey comprit que j’allais me laisser aller une troisième fois, elle stoppa toute action avec son ami pour se mettre à quatre pattes sur lit en me suppliant de venir me terminer en elle. M’agrippant à ses cuisses, j’introduisis mon organe flasque avec quelques difficultés. Le contact de mon gland entre ses lèvres eurent pour effet d’accroitre mon excitation et cela ne faisait même pas 10 secondes que j’étais entré en elle, qu’à nouveau je me déversais. La quantité n’était pas aussi consistante que la première fois mais j’étais tout de même surpris du volume. Une fois avoir rempli à mon devoir, elle invita son ami à venir à son tour s’entre mouvoir entre ses reins et ainsi baigner dans mon jus fraichement déposé.

Mathias, me remplaça avec une certaine animosité, il ne prit pas garde à l’intrusion. Accroupie sur ses jambes il surplombait les fesses de sa conjointe, il appuya sur son sexe pour le dresser vers le bas et ainsi pourvoir l’amener à toucher les lèvres humidifiées de mon sperme. Son sexe aux dimensions qu’on lui connaît cognait contre la paroi vaginale de la jeune fille ce qui avait pour effet de la faire crier toujours un peu plus fort. Ses vas et viens faisaient un bruit de succion dans la cavité déjà remplie.
Entre deux cris, Audrey arriva tout de même à lui donner pour consigne de jouir bien au fond d’elle. Il ne se fît pas prier, même pas cinq minutes après il se déchargea dans un râle masculin. Son sperme se mélangeait au mien et cela semblait satisfaire notre jolie brune.

Le Week-end se déroula avec la complicité que l’on nous connaît maintenant, il était vraiment important pour nous de nous retrouver. Cela nous à conforter dans nos sentiments que nous pouvons avoir les uns envers les autres.
par manukib56
#1347782
A ma guise !

Nous étions tous les quatre attablés, quand un coup de sonnette à la porte d’entrée de chez Mathias vînt interrompre notre déjeuner.
Qui pouvait bien venir toquer un samedi midi en pleine heure de repas. Au visage de notre hôte, il n’attendait personne. Cette visite impromptue ne nous arrangeait guère car nous comptions aller au cinéma et ne pensions pas trainer à table dans l’espoir d’arriver à l’heure à la première séance de l’après midi.
C’était un après midi maussade comme nous en avons beaucoup connus cette année, particulièrement pluvieuse en Bretagne.

Mathias sorti de table pour aller ouvrir, tandis que Manue, moi et Audrey continuions notre repas.

La gâche de la porte se fît entendre et dans la même fraction de seconde l’étonnement de notre ami quand il découvrit l’inconnu.
« Et ben dis donc, qu’elle surprise ! Tu n’es pas avec tes acolytes ? Ne reste pas comme çà sur le pas de la porte, entre donc. Je suis sur que mes amis seront très content de te voir »

Quelle ne fût pas notre surprise, à notre tour, de voir rentrer dans la pièce de vie, notre chère Emilie. Elle avait l’air toute timide, et gênée d’être parmi nous. Elle gardait la tête baissée et aucun son ne sortait de sa bouche. Elle était habillée d’un long manteau beige qu’on aurait pu caractériser d’imper. Timidement elle tend une enveloppe à Mathias et honteusement rabaisse son regard vers le sol.

« Qu’est ce qu’il se passe tu as perdu ta langue ? » Il ouvrit la lettre et après lecture un petit rictus dans le coin de ses lèvres annonça que la réponse à cette visite inopinée y était détaillée. Et que maintenant il en comprenait le sens.
« Tiens donc ! Les amis, je crois que notre week-end va être plus chaleureux que prévu. Nos chers amis, Marc et Jean Pierre, nous font l’honneur de nous offrir leur petite soumise pour deux jours. Tenez lisez çà»

FAITES EN CE QUI VOUS PLAIERA ! ! ! AMICALEMENT, MARC & JEAN PIERRE

« Attendez mais pour qui ils se prennent ceux là ? Qu’est ce que vous voulez qu’on foute avec leur pouffe. Ils n’ont plus l’énergie pour la satisfaire ? On n’est pas une garderie !! » Manue semblait révoltée par ce geste, qui pour nous nous amusait plus qu’autre chose. C’est bien la première fois que je la voyais énervée ainsi.
« Et toi tu te laisses faire ? » s’adressait elle à la jeune majeur qui se tenait au milieu de la pièce. Manue s’approcha d’elle et essaya de lui faire relever sa tête.
« Regarde-nous au moins ! Assume-le pourquoi tu es ici » Elle déboutonna la veste de la jeune fille et la fît tomber à ses pieds.
« Ah mais en plus tu as la tenue complète à ce que je vois » En la déshabillant ainsi de son manteau nous avions pu découvrir que la jeune rousse n’était habillée que d’un string, d’une paire de bas et d’une paire de chaussures à talons. Son habit de service comme aimait dire Marc. Sa toute petite poitrine pointait sauvagement, sans doute causé par le froid de cette saison.
« Regarde moi, tes tétons sont déjà hérissés, me dit pas que tu es excitée ? »
« Non, répondit elle honteusement, c’est juste que j’ai froid. Ils m’ont fait venir ici de chez Jean Pierre à pied. »
« Et tu voudrais qu’on te plaigne ? Va nous attendre dans le salon, on va décider de ton sort. »
« Pourquoi tu t’énerves sur la petite, Manue. Elle n’y est pour rien la pauvre. Et puis c’est plutôt marrant non ? Pour une fois que ce n’est pas nous qui allons payer les frais » tentait de comprendre Audrey une fois qu’Emilie avait quitté la pièce.
« Oui, je sais mais c’est ce qu’ils recherchent ! Et on va leur prouver que nous aussi on peut être dominants. On tient notre petite revanche Audrey ! » Mathias et moi ne comprenions pas tout à ces sous-entendus. Je me doutais bien que cela devait avoir un rapport avec la fois où nous avions du les laisser toutes les deux aux mains de Jean Pierre. Et je crois que Manue tenait sa vengeance et qu’elle comptait bien le faire savoir.
« En tout cas les garçons, que les choses soient claires tout de suite, vous ne la touchez pas sans qu’Audrey ou moi ne vous l’ayons dit. Elle nous appartient ce week-end, propriété féminine. »

Manue était métamorphosée, c’est bien la première fois que je la voyais aussi déterminée et entreprenante. Nous ne pouvions qu’acquiescer ses ordres.

« Ok mais que fait on ? On va tout de même au ciné ? Faut qu’on l’amène avec nous, par contre elle ne peut pas venir comme çà. » J’étais un peu décontenancé par ce chamboulement de dernière minute. Et devant l’autorité de Manue, Mathias ne prenait pas d’initiatives.

« Ecoutez les garçons allez y au cinéma, Audrey et moi on va s’occuper de Larousso pendant ce temps là. Ne vous inquiétez pas. Par contre Fred, laisse moi tes clés de voiture on va en avoir besoin. Vous n’aurez qu’à prendre celle de Mathias » On voyait qu’elle avait déjà clairement défini son petit plan d’actions dans sa tête et que nous n’avions plus qu’à suivre ses directives.

C’est donc entre hommes que nous sommes allés voir Phantom, quitte à ce que nous soyons ensemble autant choisir un film qui nous corresponde plus. Et ainsi éviter les comédies romantiques. D’un coté on était assez gagnant mais quand même bien curieux de savoir ce que pouvait faire nos copines respectives avec cette jeune étudiante soumise.

Une fois le film terminé nous étions impatients d’arriver à la maison pour savoir ce qu’il en était de cet après midi entre filles. Mais elles n’étaient toujours pas rentrées quand nous sommes arrivés. Nous avions bien patienté une bonne heure avant de les voir toutes les trois réapparaître dans la maison. A peine passée le pas de la porte, Emilie due abandonner son manteau et ainsi dévoiler son jeune corps à toute l’assemblée. Ce n’était pas la première fois que nous le voyons mais le plaisir des yeux était toujours intact. Ce qui nous frappa tous les deux, c’est de voir la difficulté qu’elle avait à se déplacer. Elle ne marchait pas comme d’habitude. La façon dont elle déambulait dans la pièce amusait beaucoup les filles, ce qui laissait présager qu’elles y étaient pour quelque chose.

« Montre à nos amis notre petit cadeau » lui ordonna Audrey. Obéissante, elle s’agenouilla à même le sol au milieu du salon sur le tapis de la table basse. Tête baissée, elle se rabaissa à se mettre à quatre pattes devant nos pieds. Elle posa sa tête sur le tapis pour accentuer sa cambrure et ainsi ouvrir ses cuisses à nos regards. Nous étions abasourdis par ce que nous étions en train de voir. Dans l’entre cuisse de la jeune fille deux cercles apparaissaient derrière la ficelle du sous vêtement. Le premier était noir et avait une circonférence de quinze à vingt centimètres et venait obstruer son sexe, tandis que le deuxième de couleur rose de bien plus petite taille ornait son petit orifice.
C’est donc cela qui l’empêcher de marcher correctement, et ce n’est pas surprenant.

« Mais où avez-vous été avec elle ? Elle porte çà depuis combien de temps ? » questionna Mathias
« En fait, on avait notre petite revanche à prendre mais fallait s’équiper, donc nous avons été au sex-shop de Vannes, celui tout près de la Préfecture. Je peux vous dire qu’elle a eu son petit succès dans le magasin. » semblait s’amuser Audrey en nous racontant leurs péripéties.
« Mais qu’est ce que vous lui avez fait ? »
« Au rien de bien méchant, après concertation avec Manue nous avons décidé que nous allions un peu nous amuser. En fait on s’est dit que nous allions nous en servir comme récipient et ainsi la rendre complètement pleine à ses maîtres. Vous vous rappelez quand vous avez fait votre petite partouze avec Manue et que chacun à votre tour vous avez jouit en elle. Et bien on va reproduire la même chose. Mais pour s’assurer de ne rien perdre nous avons préférer prendre les devants et obstruer les ouvertures. Donc les garçons quand vous ressentirez le besoin de décharger ce week-end vous penserez bien à votre vide couille, tout en prenant soin de bien refermer après. » Pendant ses recommandations elle nous montrait les accessoires qu’elles avaient acheté pour l’occasion. Le sextoy rose était plus communément appelé un Plug anal. Son extrémité avait une forme ovoïde suivi d’une petite tige et terminé par un petit plateau circulaire, qui lui avait vocation à être mis en butée à l’entrée de l’orifice.
Le noir était dans le même principe mais de dimensions vraiment énormes. Celui-ci était plus catalogué dans les godes et portait même le nom de Zoogod. Les filles nous expliquèrent que le commerçant leur avait présenté ce produit comme étant fortement inspiré par le sexe d’un chien. Sa forme d’ogive à l’extrémité se terminait de manière très large sur la base, ce qui avait pour vocation de représenter le dit « Nœud » de l’animal. Selon les dires de ces demoiselles et de ce qu’elles auraient compris du vendeur, pendant l’accouplement canin, le sexe du mâle gonfle exagérément au niveau la base pour s’assurer de rester soudé à la femelle pendant son éjaculation. L’éjaculation canine pourrait soit disant durer jusqu’à plusieurs minutes. Une recrudescence de pratiques zoophiles fait son apparition dans le monde libertin extrême, les entreprises du sexe ont donc tout de suite répondu présents en offrant la possibilité aux femmes, mais aussi aux hommes, qui le souhaitent de s’initier à cette pratique par la voie d’objets du plaisir. Les filles ont trouvés çà marrant même si l’idée de devoir s’accoupler avec un chien leur paraissait inconcevable et totalement contre nature, par contre ce jouet en plastique leur était tout à fait adapté pour l’utilité qu’elles contaient en faire.

« Bon on doit vous l’avouer, cela n’a pas été simple pour le lui introduire. Il a vraiment fallut si reprendre à plusieurs fois. (…) »

Quand elles se sont arrêtées sur le modèle qu’elles souhaitaient, Audrey qui à moins froid aux yeux que Manue a demandé cash si elles pouvaient l’essayer tout de suite dans le cas où elles ne seraient pas satisfaites. Le commerçant leur a proposé de se mettre dans un coin du magasin. Une fois à l’abri des regards, elles invitèrent la jeune rousse à quitter son manteau. Honteusement elle l’ouvrit et se retrouva ainsi dans sa tenue indécente dans un lieu totalement inconnu pour elle. Cela ne faisait même pas trente secondes qu’elle était dénudée que le commerçant arriva à leurs niveaux, en leur proposant un tube de lubrifiant gracieusement offert par le magasin. Une tentative comme une autre pour pouvoir se faire inviter à assister à la scène. Audrey et Manue jugèrent intéressant tout de même d’être assistées par un technicien qui pourra certainement leur être de bons conseils. Une fois l’objet sorti de son emballage, il fût déposé à même le sol. Pendant qu’Audrey se livrait à un magnifique cunnilingus sur la jeune fille, Manue enduisait cette phalange de lubrifiant. La brunette commençait à y introduire un doigt très vite suivi d’un deuxième dans le sexe d’Emilie, histoire de préparer un peu le terrain. Le visage de la jeune fille trahissait un sérieux mélange d’inquiétude quant à son devenir avec un soupçon de plaisir. Ce qui par ailleurs surprit Audrey quand elle sentit le goût amer de la jouissance de sa compagne dans sa bouche. C’était au tour de Manue de prendre place à genoux devant le corps à demi nu pour se livrer à ses caresses. Elle avait préparé par la même occasion le petit Plug anal qui s’enfourna sans grande difficulté dans la petite cavité. Avec sa langue elle vint aussi ajouter sa salive à celle d’Audrey sur les lèvres déjà bien humides. Ses doigts fouillaient l’entrecuisse en essayant d’y aller au plus profond. Une fois les préliminaires faits, le moment de l’intrusion était arrivé.
La toute juste majeure s’accroupie au dessus de l’objet noir et se positionna le plus dans l’axe possible. Pendant qu’elle se plaçait au mieux, Audrey lui martyrisait ses tétons pour la distraire de la douleur qu’elle risquait d’avoir quand elle entamera sa descente. Soutenu par Manue, elle commença à fléchir les jambes pour se mettre en contact, elle était apeurée par ce qu’elle allait vivre et suppliait une dernière fois les filles de lui épargner cela et qu’elle n’y était rien dans l’affaire. Mais rien y faisait, elles allaient jouir de cette fille à leur guise. Manue écarta son string pour s’assurer qu’aucun obstacle ne vienne perturber la pénétration. Elle profita de cette occasion pour jouer avec le petit bouton d’Emilie et ainsi l’aider un peu.
Doucement et le plus lentement possible la jeune rousse commença à s’asseoir sur ce qui va l’accompagner un long moment. Son visage se crispait à chaque millimètre inséré. Elle relâchait souvent la pression pour revenir avancer toujours un petit peu plus. Petit à petit son sexe s’ouvrait et venait recouvrir le socle. Après de très longues minutes le sexetoy était maintenant totalement introduit dans le corps d’Emilie, au prix de plusieurs cris et de quelques larmes. Le commerçant qui avait assisté à la scène dans sa totalité, et à en voir la bosse qui se dessinait dans son pantalon, appréciait fortement ce spectacle, aida la jeune fille à se relever. Audrey et Manue l’aidait à marcher tellement les premiers pas étaient difficiles avec ses deux corps étrangers. Rhabillée de son manteau, elles retournèrent à la voiture pour nous rejoindre à la maison.
par manukib56
#1355963
A ma guise ! (Acte 2)

Nous étions là tous les trois dans ce salon regardant ce corps en pleine contorsion qui nous montrait ses accessoires, qui par la force des choses lui avaient été imposés. J’en avais presque de la peine pour cette jeune fille qui se voyait infliger une vengeance dont elle en n’était même pas la cause. Un de ses maîtres, car c’est ainsi qu’il faut les appeler, avait usé de son pouvoir de dominateur avec Audrey et Manue, et je me souviens encore comme si c’était hier, dans quel un état d’excitation nous les avions retrouvés, comme il est rare de les voir. Qu’avait il bien pu leur faire faire ? Malgré cette volonté de vengeance, les deux amies restèrent muettes sur les agissements qu’avaient pu avoir le voisin de Mathias envers elles.

Ce mystère perpétuel avait comme mérite d’attiser notre jalousie et de surcroit accroitre considérablement notre désir pour nos chères et tendres. Un sentiment étrange …

Audrey avait retiré les accessoires qui obstruaient Emilie pour nous les présenter. Aussitôt terminée sa présentation elle prit soin de bien les remettre à leur place en ne prenant garde de brusquer ou non la jeune fille à quatre pattes sur le tapis. L’intrusion anale se fît sans trop de difficulté par rapport à l’objet non identifié noir qui vint reprendre sa position entre les lèvres totalement dilatées. Cette nouvelle pénétration décrocha un cri sourd à l’adolescente de dix huit ans.

« Et bien tu commences à t’y faire on dirait à ton nouvel ami ! » s’adressa Manue à sa souffre douleur.

Après s’être assurée d’avoir tout bien refermé, Audrey invita Mathias à prendre place dans le canapé, aussitôt imité par Manue qui me saisit par la main pour m’y accompagné aussi.

Une fois nous avoir bien installé confortablement, chacune d’elles se positionna entre nos jambes, accroupie à la hauteur de notre ceinture. Simultanément elles dégrafèrent notre pantalon pour en extraire notre sexe encore endormi. Avec le savoir faire qu’on leur connaissait, elles arrivèrent en quelques minutes à nous faire durcir dans leur bouche. On sentait bien dans leur rythme qu’elles étaient pressées, et voulaient nous faire monter notre jouissance sans vraiment s’attarder sur un moment intime et câlin. Elles arrivèrent au résultat voulu. Sentant notre sexe gonfler dans leurs bouches elles arrêtèrent de manière brutale leurs caresses buccales pour ne pas que nous nous déchargions trop vite.

Ce fût moi le premier à avoir eu l’honneur de dépluguer la demoiselle, ce sextoy à la forme et aux dimensions peu communes était difficile à extraire, tellement il remplissait bien le ventre de la jeune soumise. Avec la plus grande précaution et pour éviter une déchirure mon geste lent et constant semblait efficace et ainsi la délivra de son fardeau. J’avais comme directive de me masturber en dehors d’elle et ne venir la pénétrer qu’au moment où j’éjaculerai. A genou derrière elle, le sexe tendu je me masturbais donc pour refaire gonfler mon sexe de plaisir. Quand je sentais la pression devenir trop forte c’était le signal pour entreprendre de la pénétrer et y déposer ma semence bien au fond d’elle. Qu’elle ne fût pas ma surprise de voir avec qu’elle facilité je pouvais m’y engouffrer. Je me souviens lors de notre soirée avec Marc et Jean Pierre j’avais eu la même surprise avec Manue, mais cette fois ci le record était à nouveau battu. Je n’étais même pas sur qu’elle puisse me sentir tellement son sexe était dilaté. Mon sexe était à peine rentré que je commençais déjà à éjaculer. Cela faisait une semaine que je n’avais pas eue de rapport sexuel, ma quantité de sperme était donc assez conséquente, ce qui satisfaisait mes deux pleinement mes deux copines. Je m’accordais tout de même quelques petits allers retours histoire de bien pousser le liquide au fond et ainsi laisser place à mon ami, qui attendait juste à coté de moi. A peine j’étais sorti qu’il viola l’entrée pour venir s’y répandre à son tour. Il était moins une pour lui. A voir le temps dont il resta en elle pour bien se vider, je compris aussi que pour lui cela faisait un moment qu’il n’avait pas éjaculé.

Manue ressaisit le bouchon et le réintroduit quasi instantanément pour ne pas voir couler ce précieux liquide et le gâcher.

Audrey ordonna à la jeune fille de se relever et d’ôter la totalité de ses vêtements pour n’avoir plus aucun artifice sur elle, à part ses deux compagnons du week-end qui resteront soudés à elle. Une fois entièrement dénudée, elle alla s’asseoir sur le canapé pour attendre de nouvelles instructions tandis que nous nous reprenions le cours des choses.

La fin de l’après midi arrivait et la luminosité diminuait déjà beaucoup. Un temps pluvieux où il fait bon de rester à la maison et c’est bien ce que nous envisagions de faire. Notre week-end se trouvait un peu chamboulé par cette visite inattendue mais nous comptions bien en profiter au maximum. Mathias opta pour faire un petit feu dans la cheminée histoire de ramener un petit peu de douceur dans la pièce. Nous convenons donc d’une petite soirée cocooning auprès du feu chouchouté par notre convive.

Sa nouvelle mission était de nous préparer un diner digne de ce nom, ce qui parut lui satisfaire. Pendant que les filles étaient occupées à se préparer en haut et que Mathias et moi étions avachis dans le canapé à regarder un programme télé, la jeune étudiante œuvrait dans la cuisine pour nous concocter un bon petit plat dans la tenue d’Eve. Nous étions, faut l’avouer, plus captés par le spectacle dans la cuisine que l’émission de télévision qui était diffusée devant nous. Cette fille filiforme et longiligne avait un certain charme, malgré une absence totale de formes elle dégageait un certain sex-appeal. Sa poitrine aussi petite qu’elle puisse être avait le don de nous exciter. Nos idées en devenaient obscènes et voir cette gamine totalement nue dans la cuisine ne faisait qu’accroitre un peu plus notre envie de sexe. De toute façon Mathias ne pouvait plus le dissimuler plus longtemps tellement la forme de son sexe se lassait voir à travers son jean. Mais les règles imposées par les filles étaient claires, nous n’avions pas le droit de nous en approcher sans leur consentement.

La douche à l’étage était en marche, on entendait de l’eau couler. Mathias se leva brusquement du canapé ôta ses vêtements dans la foulée. Et se retrouva totalement nue au milieu du salon le sexe dressé vers le ciel. Ni une ni deux il monta à l’étage d’un air bien décidé. Il trouva Audrey dans sa chambre en train de terminer de s’habiller.

« C’est Manue qui est sous la douche ? »
« Ben oui qui veux tu d’autre ? Mais qu’est ce que tu fais dans cette tenue ? »
« Attends tu crois que de voir la gamine en bas à poil en train de cuisiner ne me fait rien ? En plus vous nous interdisez de la toucher. Désolé mais … » Il n’eut même pas le temps de terminer sa phrase qu’il était déjà sorti de la chambre pour faire éruption dans la salle de bain. Manue sursauta de surprise, elle était juste en train de sortir de la douche et tentait de saisir la serviette éponge. Son bras tendu en direction de la serviette fût alpagué par la main de Mathias, qui la fît sortir de force. A peine était elle sortie de la cabine, qu’il la prit dans ses bras pour la surélever et la poser au niveau des lavabos. Sans ménagement il lui écarta les jambes pour y glisser sa tête et venir à pleine bouche lécher son sexe. Il s’aida de ses doigts pour écarter les lèvres et ainsi découvrir le clitoris de la jeune fille. Il voulait que sa caresse buccale soit la plus efficace possible et pour cela il s’était focalisé sur le petit bouton exclusivement. Sa langue dessinait des huit en prenant bien soin d’être au maximum en contact avec le petit bout de chair. Il connaissait bien Manue et savait qu’elle y était très sensible. Le parfum du gel douche lui était agréable, à chaque coup de langue il buvait les gouttes d’eau qui perlaient encore sur son corps. Devant l’intensité de ces caresses, elle ressentait le besoin de prendre en main sa petite poitrine et la malaxait au rythme des huit de son amant. Ce spectacle ne faisait qu’attiser le désir de Mathias qui augmentait ses zigzags sur le bouton. Il était arrivé pour lui le moment de la désirer comme il le voulait. Il se redressa devant elle tout en saisissant les jambes pour assurer le bon écart. Il s’y faufila entre et pointa son sexe à l’entrée de celui de la fille. Il savait que ses caresses avaient suffisamment lubrifié la jeune étudiante et pouvait ainsi l’honorer sans perdre de temps. C’est donc dans un coup de rein franc qu’il la pénétra d’une traite, ce qui arracha un cri, non pas de douleur mais de surprise, à Manue. Il n’y allait pas tendrement et enchaînait les allers et venus le plus vite qu’il pouvait. Se penchant vers elle, il arrivait en même temps à lui saisir un téton entre ses dents de temps à autre.

Audrey débarqua à son tour dans la salle de bain.
« Et ben ??? Je ne vous dérange pas j’espère. » Après une brève tape sur les fesses de Mathias pour lui donner du courage, elle embrassa à pleine bouche sa petite amie comme pour lui donner son consentement. Cette interruption n’avait pas stoppé la fougue de l’homme qui continuait à faire glisser son sexe dans celui de son invité.

Audrey se dirigea vers la cage d’escalier pour me demander de monter à l’étage avec la gamine. Au passage je demande donc à Emilie de me suivre et de laisser ce qu’elle était en train de faire. Monter les escaliers c’était avéré être un calvaire pour elle, à chaque fois qu’elle devait surélever une jambe pour atteindre une marche les godes bougeaient dans ses entrailles et lui provoquaient une sensation vive. C’est donc lentement et le plus doucement possible qu’elle escalada cet escalier pour rejoindre les trois autres compères.

« T’en mis du temps à venir !!! Va te mettre à quatre pattes sur la descente de bain, je crois qu’on va avoir besoin de toi sans tarder. » Docilement et sous les ordres d’Audrey, la petite rousse s’exécuta et se positionna sur le tapis. Audrey saisissait le plug noir d’une main et d’un coup sec le retira de la jeune fille. On pouvait lire la douleur sur son visage. Quand Mathias eu connaissance que la gamine était à nouveau ouverte, il s’extirpa rapidement de Manue pour venir s’engouffrer dans la grande ouverture et s’y déverser à nouveau en s’assurant d’y aller le plus profond possible de peur d’en voir ressortir.

« Mais dis donc, j’ai l’impression qu’elle est déjà bien rempli. Encore une fois et elle sera à ras bord » disait il.
« Qu’attends-tu pour finir de la remplir » s’adressait Audrey à moi.

Faut dire que j’étais déjà prêt depuis un petit moment. De voir défiler Emilie en bas totalement nue et d’apercevoir Mathias en train de baiser Manue n’avaient fait que monter mon désir. Mon sexe était totalement dur et n’attendait plus qu’à passer à l’action. Manue toujours assise sur le bord des lavabos m’invita à prendre place. C’est donc dans la même position que mon ami que je me retrouve à mon tour en train de me livrer à des allers et venus entre les cuisses de ma belle. Pour ne pas trop la perturber j’avais gardé le même rythme de mon prédécesseur. Pendant que j’étais occupé à faire jouir ma petite amie légitime, Audrey ôta le deuxième plug de la jeune fille. On pouvait dire que maintenant elle était totalement nue, plus rien ne l’habillait. Il ne me fallut pas longtemps pour arriver à l’extase, à mon tour donc je vins me positionner derrière notre jouet du week-end et délicatement vins terminer de la remplir. Il n’eu pas fallut une grosse quantité pour voir le sperme déborder de son sexe et commencer à couler le long du mien. Audrey m’ordonna de réagir vite en investissant son petit orifice pour le combler, lui aussi, de notre foutre. Je me redressais donc légèrement sur mes jambes pour être à la bonne hauteur de mon nouvel objectif et d’un mouvement brusque vins le pénétrer en prenant bien soin de tenir mon sexe en main et m’assurer de déposer mes dernières gouttes de jouissance bien au fond. Je ne m’attardai pas trop en elle et me retira une fois le travail achevé. A peine m’être dégagé d’elle, Audrey arriva avec ses deux plugs. Le rose rentrant sans grande difficulté tandis que le gros noir montrait une grosse résistance notamment due à la quantité de sperme qui remplissait et empêchait l’intrusion. La jeune fille se déhanchait et on sentait bien qu’elle en ressentait une douleur, mais cela ne changea en rien à la motivation de notre chère amie qui avait décidé que coute que coute il rentrera. C’est au bout d’un long moment et de plusieurs tentatives qu’il rentra enfin, un bruit de succion accompagna le geste et une coulée de sperme jaillit entre le plastique et le sexe de la fille.

Après ce dernier assaut, elle s’avachit à même le sol pour essayer de reprendre ses esprits et son souffle. Jamais auparavant elle n’avait été traitée de la sorte, elle pensait avoir tout vu avec ses deux amants mais là, elle se trouvait plus bas que terre. Son corps resta inerte un long moment. Ses esprits à nouveau repris elle se releva au milieu de l’assemblée et retourna timidement au fourneau pour continuer à nous préparer notre diner.

Après une rapide douche, nous descendîmes tous les quatre pour dîner. La table du salon était dressée et décorée avec goût. Il fallait admettre que pour le coup elle s’était appliquée pour nous satisfaire. Devant ce beau travail nous l’invitions tout de même à notre table afin de partager notre repas. Elle resta muette durant tout le temps où nous étions attablés. Occupés dans nos discussions diverses et variées nous avions totalement fait abstraction à la jeune fille.

Je remarquai tout de même qu’elle ressentait le besoin de se lever de table souvent. Elle prétextait que c’était pour nous servir, mais je comprenais que la position assise lui était inconfortable et que tout le poids de son corps appuyait sur ses corps étrangers.

Le repas terminé nous décidions de boire le café, tranquillement dans le salon au coin du feu. Nous laissions Emilie débarrasser la table et nous servir en café.

Nous sentions Audrey malicieuse, elle s’installa de manière désinvolte sur le canapé et ordonna à Emilie de s’approcher d’elle mais à quatre pattes. Interloqués nous étions tous les trois spectateurs de cette scène. La jeune soumise s’agenouilla à même le sol et vint dans le même mouvement y déposer ses mains. La tête baissée elle traversa la cuisine et le salon telle une chienne à l’approche de son maitre. Audrey se préparait à accueillir la petite rousse, elle releva sa jupe et écarta de manière significative ses jambes. A part une paire de bas auto-agrippant la brune pulpeuse ne portait rien d’autre en dessous. L’accès à son sexe y était direct. Quand la jeune fille fût à porter de mains elle la saisit par les cheveux pour l’attirer à elle et l’amener entre ses cuisses.

« Allez vient me préparer, je veux être reluisante de plaisir avant de me taper les deux males de la maison. Qui après s’être occupés de moi viendrons à nouveau te remplir. »
Docilement elle vint glisser son visage entre les cuisses et timidement commença un cunnilingus maladroit.

Devant cette scène, Manue prit les devants en invitant Mathias et moi à nous séparer de nos vêtements afin qu’elle puisse elle aussi à son tour nous préparer, pour que nous puissions être opérationnel quand Audrey aura terminé avec sa muse.

A genoux entre nous deux, qui maintenant étions totalement nus, elle saisit dans chaque main nos sexes encore mous et fatigués de nos derniers ébats. Elle commença à prendre en bouche celui de Mathias, on entendait de sa bouche un bruit d’aspiration, indispensable pour le garder en bouche. Elle ne resta pas plus d’une minute puis se fût mon tour. Mon sexe étant encore plus petit que celui de mon compère, ma chère et tendre rencontrait encore plus de difficulté à le maintenir bien au chaud entre ses lèvres. Elle activait énergiquement sa main sur nos membres en espérant les stimuler un peu plus. Audrey quant à elle était stimulée, vu les gémissements qu’elle poussait face au jeu de langue de notre invitée.

Pendant que Manue était retournée à s’occuper de Mathias je profitai de l’occasion pour faire glisser la fine bretelle de son caraco et celle aussi de son soutien gorge pour venir libérer son sein gauche. Le malaxant vigoureusement, le contact de sa poitrine ferme et douce avec ma main accentuait mon désir. Et l’érection commençait à se faire sentir. Voyant le bout de mon sexe se redresser doucement, elle sauta dessus pour continuer le travail. Mon camarade opta pour la même méthode et à son tour découvrit le deuxième sein de ma copine. La jeune fille châtain lâcha nos sexes un instant pour retirer complètement son haut et ainsi nous offrir son torse. Nous étions maintenant tous les deux occupés à balader nos mains sur son torse en prenant bien soin de venir en contact avec ses tétons. Nous les voulions durs, pour cela chacun de nous avait sa méthode. Tandis que Mathias préférait la méthode plus efficace, en pinçant le petit bout rose entre deux doigts et en tirant lentement dessus. Comme pour lui donner une direction vers laquelle il devait tendre. J’optai pour une manière plus douce en venant simplement caresser à l’aide de mon pouce la petite protubérance. Cette stimulation provoquait une excitation chez notre amie qui se donnait encore plus pour nous prodiguer une caresse buccale digne de ce nom. Mon sexe commençait à prendre des proportions plus honorables tandis que celui de mon ami avait prit un peu de retard. Retard très vite comblé par l’expérience grandissante de ma petite étudiante qui par une succession de vas et viens au fond de sa gorge et de caresses a réussit à redonner la vitalité qu’on lui connaît.

Audrey dégagea la gamine d’entre ses jambes pour laisser l’accès à un de nous. Elle voulut se relever du canapé mais le plaisir que lui avait prodigué la petite lui fît tourner la tête. Elle se rasseyait aussitôt et après quelques secondes qui lui ont permis de reprendre ses esprits, elle se positionna à son tour à quatre pattes, les bras reposant sur le dossier du canapé. Elle se cambra en prenant bien soin de relever sa jupe pour ne rien cacher de son désir. C’est Mathias qui prit les devants, en se positionnant derrière sa copine.

« Vu tes gémissements j’imagine que la gamine a du bien faire son travail. Je n’ai pas besoin de repasser derrière elle ? »
« Non viens comme çà »
Agrippé aux hanches de son amie, il prit un léger recul et dans un mouvement de reins secs il enfourcha le sexe féminin. Un cri sourd retentit dans le salon. Même si elle savait à quoi s’attendre, elle n’imaginait pas une telle fougue. Son rythme était rapide et très saccadé. Il savait qu’il serait endurant et qu’il pouvait mettre toute la puissance qu’il désirait. J’assistais à cet accouplement avec beaucoup de désir surtout que Manue avait repris à mon encontre ses caresses. Voyant que nous étions tous les deux occupés, il interpella Emilie.

« Viens par là ! » A genoux, elle s’approcha du propriétaire, qui n’arrêtait pas son déhanché. A son tour il vint l’agripper par les cheveux et lui fît comprendre en lui collant son visage sur les fesses de sa belle qu’il voulait qu’elle lui prépare la partie intime de sa copine. Pendant qu’il continuait ses assauts, Emilie lubrifiait avec la langue le petit orifice.

« Lubrifie la bien. N’hésite pas à mettre la dose de salive. Tu sais comment je vais m’y prendre, donc plus elle sera préparée mieux ce sera pour elle. »

A peine sa phrase terminée, il dégagea la tête rousse. Sorti son sexe d’entre les cuisses et sans aucune précaution vint commencer à forcer le passage tout juste lubrifié mais absolument pas dilaté. Dans un moment de lucidité Audrey essaya de raisonner son ami.

« Attends !!!!! C’est encore trop tôt !!! Je ne …….. » Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’il fût interrompue par l’intrusion du bout de la verge de son ami. Le passage venait d’être forcé et il était maintenant trop tard de faire marche arrière. Dans un dernier geste de courage elle accentua sa cambrure et s’aida de ses mains pour écarter au maximum ses fesses. Il poussa sauvagement une dernière fois et se retrouva enfin au fond de sa partenaire. Pareil que tout à l’heure, il entama son rythme fou malgré les hurlements d’Audrey, qui ne savait plus trop bien ce qu’elle ressentait. Petit à petit les hurlements devinrent cris et laissèrent places au final à des gémissements de plaisir. Après cinq longues minutes passées dans le petit orifice il m’invita à se joindre à lui. Tout naturellement donc je quittai ma copine pour rejoindre le couple. Mathias lui accorda un petit moment de répit et profita de cette occasion pour la dévêtir complètement. Son chemisier gris cachait un joli soutien gorge blanc tout en dentelle qui mettait en valeur sa poitrine. Une fois dégrafé celui-ci, je ne pouvais que poser mes yeux sur ses beaux seins bien lourds. Sa petite jupe glissa le long de ses jambes, délicatement pour ne pas les effiler elle retira aussi ses bas. Ca y est elle était totalement nue et prête à nouveau à rentre en scène.

J’avais assisté à ce striptease confortablement assis dans le canapé, elle s’avança devant moi et escalada le canapé pour se mettre à califourchon au dessus de mon sexe. Doucement elle descendit et vint s’empaler sur mon organe. Pendant sa descente sa poitrine venait me donner une caresse au visage, je me laissais donc aller à cette douceur. Pendant que je m’égarais dans mon plaisir, je ressentais sa poitrine appuyer toujours un peu plus contre moi. Elle était entrain d’essayer de se cambrer un peu pour laisser place à son ami. Mathias saliva dans le creux de sa main et enduit son sexe de ce liquide. A l’aide de sa main gauche il appuyait sur le haut du dos de sa compagne pour la faire cambrer toujours un peu plus. Avec sa main droite il guidait son sexe entre les fesses. Il savait maintenant qu’il pouvait y aller tranquillement, le passage était fait. Ca y est elle était maintenant prise par ses deux camarades en même temps. Mon visage se perdait entre ses seins qui ballotaient au rythme des secousses de Mathias. Manue se rejoignit à nous pour venir embrasser Audrey et se faire embrasser ses petits seins par Mathias. Notre chevauchée dura de très longues minutes, nous n’avions aucune envie de changer quoi que se soit. Nous étions en train de prendre un plaisir fou. Mathais étant plus à l’étroit que moi sentit monter le plaisir le premier.

Manue lui fit amener la jeune fille en ayant bien pris soin de retirer l’objet rose. Il s’extirpa rapidement de sa copine et investit le petit orifice d’Emilie qui comme Audrey il y a quelques minutes cria sous la pression. Dès qu’il fut arrivé en buté, il ne lui fallut pas dix secondes pour se déverser dans les entrailles de cette soumise. Il commenta le fait qu’elle n’allait pas être dur à remplir voyant ce qu’il était en train de lui en mettre. Une fois la tâche effectuée, il se retira avec un bruit de succion. Audrey me libéra, pour que je puisse me présenter au dessus de la jeune fille. Manue profita d’un petit moment de battement pour me reprendre brièvement en bouche histoire de s’assurer que c’était bien elle à l’origine de mon éjaculation. En clair, elle voulait le dernier mot. Ses derniers petits coups de langues eurent leur effet, et c’est avec hâte que je m’introduis à mon tour dans Emilie pour venir y déposer ma précieuse semence. A peine j’eu commencé à éjaculer que mon sperme débordait. Son dernier orifice était lui aussi maintenant totalement plein.

« Retires toi vite, tu vois bien que ca déborde. Remplis lui la bouche » m’ordonna Manue.

Obéissant donc, je déchargeai le reste dans la petite bouche de la jeune majeur. Pour augmenter son humiliation j’avais pour consigne de bien pousser mon sperme au fond de sa gorge à l’aide de mon sexe le temps qu’il soit encore bien raide. Elle avait des petits sursauts de vomissement, tellement j’enfonçais ma verge le plus profond possible. J’ai cru que j’allais l’étouffer en la noyant dans mon sperme.

A peine j’avais terminé d’éjaculer que les filles avaient déjà rassemblé toutes les affaires de la jeune fille pour la ramener chez elle.

« Pleine comme elle est, elle ne nous servira plus à grand-chose. Mathias va la déposer devant chez Jean Pierre. Et surtout ne t’arrête pas, aucun contact. OK ? » lui commanda Audrey.

Même pas rhabillée, elle due monter en voiture avec Mathias et se vît déposer sur le bord de la route à l’entrée de la propriété de Jean Pierre. Sans aucun échange de paroles, Mathias reparti. Le colis avait été déposé
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • 5
  • 10

Notre boutique candauliste 100% sécurisée