- 19 mars 2013, 13:31
#1318144
Son premier GB
Cela faisait bien deux mois, que notre petit week-end dans la belle propriété de Marc s’était passé. Nous en gardions bien entendu un agréable souvenir même si le sujet n’était pas très abordé entre nous. Nous n’avions pas eu d’occasion de nous revoir depuis, sauf bien entendu avec Mathias et Audrey avec qui nous avons tissé des liens bien plus fort qu’une simple relation amicale.
Depuis ce fameux week-end, je trouvais Manue différente, j’avais comme l’impression qu’elle se questionnait beaucoup, mais sur quoi je n’en savais rien. J’ai donc appelé Audrey pour en savoir plus, je savais qu’elles étaient tout le temps en contact et qu’au fil de nos histoires elles étaient devenues de véritables confidentes.
Audrey me rassura tout d’abord sur le fait qu’effectivement quelque chose c’était passé lors de ce fameux week-end mais qu’en rien j’y étais responsable et qu’il était question de moi. En fait, le fait de nous voir Mathias et moi accompagnés des deux autres compères en train de se livrer à des ébats plus que bestiaux sur cette jeune fille, la troublait. Mais pas dans le mauvais sens du terme. Elle aussi se posait des questions sur quelle sensation elle aurait de se voir livrée comme çà à quatre hommes à la fois, sans pouvoir contrôler quoi que se soit. Elle était venue chercher du réconfort près d’Audrey, qui elle aussi avait déjà connu cette expérience là lors d’une soirée étudiante bien arrosée (avant sa rencontre avec Mathias). Elle s’était retrouvée dans le même lit avec cinq garçons de sa promo. Lors de sa confession avec Manue, elle n’arrivait pas à lui cacher qu’elle ne regrettait en rien par rapport au plaisir qu’elle a pu prendre. Je crois qu’il était donc temps pour moi de prendre les choses en main, et d’être pour une fois à l’initiative d’une nouvelle expérience. Je n’acceptais pas l’idée que celle à qui je tiens le plus est un sentiment de frustration. Même si pour moi, de savoir que je m’apprête à livrer ma bien aimée à des étrangers m’était plus que difficile, je me devais de faire l’effort. Pour une fois que ce n’était pas Mathias à l’origine du projet, j’aurai au moins pour une fois (et je l’espère) toutes les éloges.
Je décidai donc d’appeler Mathias, pour lui faire part de mon projet et surtout de bien vouloir convier Marc et Jean Pierre à un petit rendez vous pour que nous puissions mettre un plan d’action en place. Je ne vous cache pas qu’elle a été la surprise de mon collègue.
« Putain Fred, sérieux ?? Tu veux te lancer là dedans avec Manue ? Pourquoi pas tu diras, çà peut être sympa. J’envoi un message à J-P de suite, il fera le relai à son pote car je n’ai pas son numéro. »
Je ne pouvais plus faire marche arrière, les jeux sont faits et rien ne va plus …
Le rendez-vous était prit au week-end suivant, Jean Pierre nous conviait tous les quatre au restaurant. Tellement heureux d’apprendre la nouvelle qu’il voulait à tout prix nous inviter à déjeuner.
Le jour de la rencontre arriva : nous étions tous les quatre assis à la même table dans un petit restaurant assez chic de Vannes. Les deux amis étaient venus avec leur test HIV à jour pour montrer de leur bonne foi. Marc avait attaché au sien les résultats d’Emilie, « car on ne sait pas de quoi est fait le futur », m’avait il dit.
Cette démarche tout à fait volontaire de ces étrangers me rassurait sur le choix que j’avais fait. Comme nous aimions le dire avec Manue, on peut se faire plaisir avec le sexe avec pour seule limite le respect des autres. Ce qu’ils venaient de faire en était la preuve.
C’est donc avec une boule au ventre un peu moins grosse que je me suis risqué à leur expliquer mon petit stratagème.
Marc et Jean Pierre ne cessaient de me faire déculpabiliser quant à l’action que j’entreprenais. Ils me rassuraient sur le fait, qu’eux aussi avaient ressentie la même chose ce week-end là, quand nous étions occupés à assouvir le soif de leur jeune Emilie, Manue assistait à la scène pas comme les autres. Ca l’intriguait terriblement, surtout de voir à quel point la jeune fille livrée comme çà à quatre hommes atteignait un plaisir non mesurable.
« Tu sais Frédéric, je crois qu’il faut que tu l’acceptes aussi, que dans ce genre de pratique, ce que la femme recherche c’est une certaine virilité. Attention modère bien mes mots, je ne veux pas dire qu’il faut la violenter, loin de là. Mais peut être avoir des attitudes un peu plus fermes. Tu comprends ce que j’essaye de te faire comprendre ? »
« Vous savez Jean Pierre, je ne suis pas certain que ce soit de l’avis de Manue. »
« Non mais Jean Pierre a raison Fred, tu l’as même bien vu. Quand on est entre nous, et qu’on se montre un peu plus directif çà ne fait qu’accroitre le plaisir des filles. Ce n’est pas vrai ? »
« Oui, mais déjà le fait de me dire que je vais lui imposer un truc sans son consentement si en plus je sais qu’on va se montrer brutal avec elle. Je dis non ! »
« Oula mais non, excuse-moi de ne pas avoir été très clair. Je ne veux pas du tout être brutal mais plus directif pour reprendre le mot de Mathias qui est peut être plus approprié. »
(…) la discussion dura un long moment, jusqu’à trouver un terrain d’entente qui me paraissait acceptable.
Notre plan d’action étant mis au point, il ne me restait plus qu’à provoquer la situation.
La date était prise. Pour pimenter la situation je décidai de ne correspondre avec Manue que par texto. Ceci pour ne pas fléchir de la surprise par mon intonation de voix.
« Je serai chez toi demain soir à 20h00 précise. Tâche d’être le plus sexy possible, j’ai une surprise pour toi. »
« Où veux tu m’amener ? »
« Nulle part nous ne sortirons pas de ton studio. »
Je sentais bien à ses messages, qu’elle était dans la totale incompréhension mais connaissant bien maintenant ma petite amie, je savais qu’elle jouerait le jeu.
Après une bonne douche pour me décontracter au maximum, je m’habillais en pensant à la soirée qui allait se dérouler. Encore une fois j’avançais dans l’inconnu mais cette fois j’en étais le seul responsable. Un curieux mélange d’anxiété et d’excitation m’envahissait. Mais je ne pouvais plus rebrousser chemin, mes acolytes m’attendaient en bas de mon appartement.
Arrivés devant la résidence de Manue, j’engageais le pas. Les trois autres se tenaient à une bonne distance de moi pour ne pas éveiller les soupçons.
Je frappai à la porte, elle ne tarda pas à m’ouvrir pour m’accueillir dans une tenue pour la moins surprenante. Elle était seulement habillée d’un léger peignoir en soie, ses cheveux étaient attachés en arrière et une fois n’est pas coutume, elle s’était légèrement maquillée pour l’occasion. Je ne pouvais que la complimenter d’être encore une fois plus jolie. Je l’embrassai très tendrement et profita pour pousser la porte d’entrée en veillant bien à ne pas la faire claquer.
Manue avait agencé son studio pour l’occasion, de nombreuses bougies dispersées un peu partout dans les coins de l’appartement de l’étudiante donnaient un petit charme au lieu. Le Canapé lit de la pièce de vie avait été mis en position horizontale et une paire de draps en satin venait l’habiller. Une bouteille de vin rouge chambrait tranquillement sur la petite table de salon accompagné de deux verres. Malheureusement il n’y aura pas assez de verres pour la soirée me disais je dans ma tête.
Je me montrais très tactile avec ma belle, et ne manquait pas de l’embrasser dans le cou.
« Dis donc tu es d’humeur câlin ce soir ? Alors c’est quoi ta surprise ? Tu me fais languir depuis hier avec tu peux bien me le dire maintenant ? »
« Non c’est encore trop tôt. Ai patience … » Je l’embrassai tendrement.
Nos langues s’entrelaçaient, nos corps se rapprochèrent l’un de l’autre. Mes mains glissaient sur le tissu de son peignoir. Je sentais à travers celui-ci qu’il cachait de la lingerie affriolante. Je n’en pouvais plus je voulais savoir. Pendant notre long baiser, j’attrapais sa ceinture et avec une extrême lenteur vint défaire son nœud. L’habit glissant sur la peau de la jeune fille s’ouvrit comme un rideau de théâtre et me laissa apprécier du spectacle de la lingerie féminine sur un corps de 23 ans. Elle avait ressortie l’ensemble que lui avait offert Mathias pour son dernier anniversaire. Ce déshabillé rouge avait un pouvoir sur moi qu’elle connaissait bien. Le bustier push up mettait en valeur sa magnifique petite poitrine et offrait un large décolleté dessus. Le petit string rouge en dentelle ne faisait qu’accentuer les courbes de son petit fessier tandis que la porte jarretelle arrimée à sa taille laissait pendre de jolis petits bouts de dentelle auxquels aucun bas n’y était accroché. Ses jambes n’étaient habillées aucun artifice. Ma main vint s’en assura en venant y déposer une longue caresse tout au long de sa cuisse. Un léger frisson se fît sentir sur sa peau. Un détail qui faisait penser qu’elle était tout aussi excitée que moi. Doucement donc, j’entrepris de passer à l’étape supérieure. De ma poche je sortis un foulard pour lui bander les yeux.
« Me bander les yeux, qu’elle drôle d’idée mais pourquoi donc ? »
« Je ne sais pas je me disais qu’on ne l’avait jamais fait et que ce petit accessoire pouvait peut être accroitre le charme de la soirée non ? »
Dans un très grand sourire elle se retourna pour me faciliter le positionnement du bandeau sur ses yeux et ainsi me permettre de le nouer. Je pris sa main et l’accompagna jusqu’au lit. Avant de venir l’allonger sur le matelas je dégageai son peignoir de ses épaules pour le faire glisser le long de son corps. La caresse de la soie sur sa peau lui fît dégager un petit souffle.
Elle était maintenant allongée sur son lit, elle était aveugle et n’avait que ses oreilles pour comprendre ce qui se passait dans la pièce. Dressé à coté d’elle, je retirai mes vêtements pour venir me présenter à elle totalement nu. Mon sexe était déjà bien gonflé de plaisir. La voir ainsi dans sa tenue, avec le foulard sur les yeux sans vraiment comprendre ce qui était en train de se passer la rendait encore plus vulnérable et donc plus désirable. Je viens le plus doucement possible me glisser entre ses jambes. A l’aide de mes mains j’écarte ses cuisses pour me laisser un passage. Je m’allonge, mon visage à la hauteur de son sexe. Il dégage une douce odeur de parfum ou de crème, ce n’est quand écarta légèrement son string que je compris la raison. Elle était passé chez l’esthéticienne dans l’après midi en vu de préparer cette soirée. Son sexe était luisant et doux. La tentation d’y poser mes lèvres étaient trop grande. Je posai ma bouche sur le dessus de son sexe, lentement je recule pour venir coller ses lèvres aux miennes, elles étaient humides. Sans brusquer je sorti ma langue pour venir m’y glisser. Je rencontre son petit clitoris avec qui je reste un petit moment à jouer. Le dos de Manue se creusait à chaque aller et venu de ma langue sur son bouton. Je la sentais partir. Ma langue abandonna son petit bouton quelques instants pour venir ouvrir un peu plus son sexe. J’essayais de la glisser à l’intérieur, son goût était absolument fabuleux. Ma langue rentrait et sortait à sa guise. Très vite je la remplace avec un doigt pour revenir jouer à son clitoris qui je savais elle y était très sensible. Mon sexe s’écrasait de plus en plus entre le matelas et moi. Il était tellement gonflé que j’en avais presque mal. Mais je m’obligeais à tenir.
Mon doigt était maintenant un peu plus libre à l’intérieur de son sexe, l’occasion pour moi d’y rajouter un deuxième tout en accentuant mon jeu de langue. Les petits gémissements de Manue devenaient un peu plus sonores et son premier orgasme arriva.
C’était ce que je recherchais, je savais que quand elle était dans cet état de plaisir elle était plus ou moins déconnectée de la réalité et était dans un état second. Aux petits cris de Manue les gars qui gardaient l’oreille collée à la porte avaient eux aussi senti le signal. Pour éviter de faire du bruit, tous les trois se dévêtir dans le couloir de la résidence.
Le plus discrètement possible Mathias entre ouvrit la porte du studio pour s’y introduire, suivi de près par ses compagnons. Dans le plus grand silence ils déposèrent leurs habits au sol, et vinrent se positionner autour du lit.
Mathias me rejoignit sur lit. Quand son poids enfonça un peu plus le matelas j’ai senti Manue tressauter de peur.
« Mais qu’est ce qui …. »
« Chut !!!! » lui répondis-je
Sans perdre de temps Mathias, saisit le sexe de la belle entre ses lèvres et à son tour vint jouer avec son petit bouton. Je sentais une très grosse hésitation chez Manue, comment devait-elle réagir. Qui était ce ? Mais les baisers de l’inconnu étaient trop forts. Cette vivacité ne lui était pas ici étrangère que çà, elle connaissait ce petit coup de langue. Enfin, la voilà rassurée, elle venait de reconnaître Mathias. Elle pouvait maintenant se laisser totalement aller à son plaisir.
Après quelques longues minutes de plaisir intense, c’était au tour de Marc de rentrer en scène. A pas de loup, il vint se positionner sur la droite de Manue au niveau de son visage. Le plus doucement possible il vint poser sa main sur l’épaule de la jeune fille pour lui faire part de sa présence. Elle sursauta … A peine eut elle le temps de reprendre ses esprits, et de se demander qui cela pouvait bien être, un sexe masculin venait toucher ses lèvres et forçait doucement le passage de sa bouche.
Elle avait reconnu Mathias avec moi entre ses jambes, qui pouvait être la troisième personne qui voulait à tout prix être prit en bouche. Elle se sentait piégée, devant l’insistance de cet organe qui forçait toujours un peu plus le passage, elle abdiqua en l’acceptant de leur prendre au fond de sa gorge. Elle ne savait pas comment réagir, devait elle dire stop à tout çà ? Elle se résigna et laissa cet homme faire des vas et viens dans sa bouche. Tout en se promettant de me demander des comptes une fois cette histoire terminée.
La scène était un peu difficile pour moi, j’étais pris d’un sentiment de jalousie. Mais l’excitation était aussi bien présente. Alternant toujours nos langues sur le haut du sexe de ma copine, Mathias et moi glissions en même temps un doigt dans son sexe humide. Mon index et son majeur entamèrent un balai dans son intérieur. Ses gémissements avaient même du mal à être étouffés par le sexe bien dur de Marc dans sa bouche. Avec sa main il avait surélevé la tête de la jeune fille pour bien l’axer avec son pénis, et avec l’aide de celle-ci lui donnait la cadence à laquelle il voulait être avalé. Il s’y enfonçait toujours un peu plus.
Arrive enfin le quatrième homme, je crois que c’était Jean Pierre le plus excité de nous tous. Il investit le coté gauche de la jeune étudiante. Il vint saisir son sein gauche à pleine main en ayant bien fait attention de venir s’y plonger par le décolleté. Cette intrusion stoppa net tout agissement de ma copine. Par effet de surprise, sa bouche se décolla du sexe de Marc et sa tête se retourna dans la direction du quatrième individu. Toujours plongée dans le noir, son appréhension se décuplait toujours. A qui était-ce cette main qui lui malaxait aussi fortement sa poitrine ? L’homme ne s’arrêtait pas là, à l’aide de son index et de son pouce il pinça son téton et le fît tourner entre ses doigts. La réaction escomptée ne se fît pas attendre. Très vite le téton de la jeune poitrine durcit. Il tenait dans sa main son sexe dur, long et gros. Ca se voyait dans ses yeux qu’il voulait la posséder, qu’il n’attendait que çà depuis longtemps et qu’enfin qu’aujourd’hui le jour fût arrivé et qu’il ne laisserait sa place pour rien au monde.
C’était à son tour de se faire offrir du savoir faire de ma belle en matière de fellation. Son gland appuyait sur la bouche de la soumise, elle était apeurée. Quand cela allait se terminer ? Face à la pression sur sa bouche une nouvelle fois elle capitula et l’ouvrit pour faire rentrer cet organe. Mais cette fois c’était différent, sa taille ne lui permettait pas d’être enfoncé bien profond dans sa gorge. C’est à ce moment là qu’un moment de lucidité lui fît prendre réellement conscience de qui elle avait à faire. Elle se souvenait avoir déjà rencontré un sexe aux dimensions hors normes, elle s’en était même approchée deux fois, quand il s’était déversé sur son corps. Il n’y avait donc plus de doute la voici à son tour (en remplacement d’Emilie) livrée à quatre hommes dont elle avait maintenant l’identité : Moi, Mathias, Marc et Jean Pierre.
Elle avait bien remarqué pendant ce week-end là que Jean Pierre attardait beaucoup son regard sur elle et elle se doutait bien qu’il avait du faire pression sur notre ami Mathias pour organiser ce genre de petit rendez-vous. Mais une fois n’est pas coutume, l’initiative ne venait pas de notre ami mais bel et bien de moi ! Et j’en étais peu fier.
Rassurée de savoir maintenant à qui elle avait à faire, la jeune étudiante pouvait se décontracter, et se donner un peu plus à la tâche qu’on lui demandait. Elle fît l’effort d’ouvrir un peu plus sa bouche pour essayer de l’avaler plus profondément.
Voyant que sa timidité s’estompait petit à petit, Marc prit la liberté de lui rendre la vue en ôtant son foulard des yeux.
« Bonsoir, ma belle ! Alors contente de ta surprise ? Tu sais, va falloir être très gentille avec nous, j’espère qu’on n’aura pas à regretter d’avoir fait le déplacement. Tu sais Jean Pierre trépignait d’impatience à l’idée de pouvoir enfin te baiser. D’ailleurs, je vois que tu t’es fait belle pour l’occasion. Par contre on n’a pas besoin d’artifice nous, alors si ce ne te dérange pas tu vas nous retirer tout çà »
Suivant les directives de Marc, nous nous dégagions tous les quatre du corps de la soumise pour qu’elle puisse se redresser pour ôter ses sous vêtements. Debout au milieu de nous, elle commença par retirer sa jarretière, le plus sensuellement possible elle laissa tomber les fines bretelles de son bustier et par un jeu d’accroches dans le dos le fit tomber à ses pieds. Ne restait plus que son petit string comme habit. String qu’elle enleva avec autant de sensualité. Ca y est elle était maintenant totalement nue devant, prêtre à se livrer corps et âme à nos moindre désirs.
C’est Jean Pierre qui fît le premier pas, en s’acharnant une nouvelle fois sur les petits tétons rose de la belle. Devant nous, il vint les pincer pour les faires rouler entre ses doigts, il tirait assez fortement dessus. Pendant qu’il s’occupait à les faire raidir, Marc s’agenouilla derrière elle, pour cacher son visage entre ses fesses. A l’aide de ses mains il écartait ses fesses, et venait caresser de sa langue son petit orifice. Il avait bien l’intention de profiter de l’occasion pour explorer ma petite amie de tous les cotés.
Déjà occupée par deux hommes, elle nous saisit Mathias et moi par le sexe pour commencer par nous masturber.
Après être satisfait de son travail fait sur les tétons, il s’assura en les mettant en bouche de la fermeté de ceux-ci. Avec sa langue il venait les titiller. En s’approchant comme çà au plus près d’elle son énorme sexe venait se plaquer contre le ventre de ma belle. Délaissant sa poitrine, c’est sur bouche qu’il vient déposer ses lèvres. Sa langue s’entre choquait avec la sienne, pendant que sa main gauche palpait son sein droit. J’en étais jaloux …
Mathias lui demanda de s’agenouiller devant nous et de nous prendre chacun en bouche. Pour lui donner une marche de progression nous nous étions alignés par ordre de croissance : j’étais donc le premier à me faire sucer, suivi de Marc, lui-même suivi de Mathias et pour finir par le plus vieux Jean Pierre.
A genoux elle s’approcha de moi, prit mon sexe en main et vint le porter à sa bouche. Sans difficulté elle arriva à le faire disparaître totalement dans sa bouche. Elle s’amusa un instant à le faire sortir totalement pour le faire rentrer aussitôt. J’adorais cela et elle le savait pertinemment. Vint le tour de Marc, qui était plus d’humeur brutale, ses deux mains apposer sur sa tête il exerçait une forte pression pour bien la maintenir enfoncée. Le front de Manue était même arrivé en buté contre son ventre. Quand il la laissa se dégager un grand filet de bave liait la bouche de la jeune fille au sexe. Arriva le tour de Mathias, je me souviens encore les premières fois où nous couchions avec lui, elle l’appréhendait toujours car elle disait qu’il était trop gros et elle avait peur d’avoir mal ou ne pas pouvoir le recevoir. Mais maintenant elle s’y était habituée et y prenait un réel plaisir. Et comme nous deux précédemment, elle chercha à le faire s’enfoncer jusqu’au fond de sa gorge. Elle y allait plus doucement qu’avec nous, mais après une bonne inspiration et un mouvement lent et régulier elle arriva pour la première fois à faire disparaître son sexe dans sa bouche. Elle ne pu le garder longtemps en bouche car l’organe lui chatouillait trop le fond de la gorge et des sursauts de vomissement lui faisait stopper son action.
Jean Pierre trépignait d’impatience à coté de Mathias pour attendre son tour. Une fois la jeune fille positionnée devant lui, il ne lui porta pas son sexe en bouche tout de suite. Il venait le caresser à nouveau sur le petit 85B. Il baladait son énorme sexe sur toute la surface de la jeune poitrine, de temps en temps il donnait quelques petits coups avec. Et passait de plus longs moments à frotter son gland contre les pointes dressées.
« Mmmmh tu peux pas t’imaginer à quel point j’aime tes petits seins. Depuis le premier jour où je t’ai rencontré je suis devenu dingue de ton corps. J’en rêvais la nuit. Essaye de me prendre entre tes seins. Fais-moi voir à quel point on y est bien. »
Manue referma sa petite poitrine autour de l’organe édifié devant elle, elle n’arrivait pas à le recouvrir totalement. Alors commença entre les deux individus un petit jeu de va et vient. Pour décupler le plaisir de l’homme, elle s’amusait à venir toucher avec la pointe de la langue la partie décalottée qui dépassait de sa poitrine. Il était maintenant temps pour elle de venir le prendre en bouche. Avant l’intrusion, elle cracha sur le sexe pour le lubrifier. Ouvrit ses lèvres le plus grandement possible et avec la plus grande prudence avança sa tête. Elle ne pouvait plus respirer cela lui remplissait trop la bouche, combative elle essayait tout de même d’aller le plus loin possible. Ceci ravit l’étranger. Après avoir été au plus profond de ce qu’elle pouvait elle se dégagea pour reprendre son souffle, et laissait trainer sa langue sur toute la longueur du pénis en prenant soin de bien saliver dessus.
« Dis moi, tu aimes te faire prendre par derrière ? » lui demanda Marc dans son langage cru qu’on lui connaît. Manue acquiesça de la tête.
« Très bien ma jolie, et ben aujourd’hui ca va te changer ce n’est pas une bite que tu auras mais quatre. Vas te mettre sur ton lit et montre nous ton petit cul. » Pendant qu’elle allait se mettre en position sur lit, il alla chercher dans sa veste un petit tube de lubrifiant. Manue était à quatre pattes sur son canapé lit, le sexe retourné vers nous. Sa tête reposait sur le matelas et elle accentuait la cambrure pour bien ouvrir ses cuisses. Marc se proposa de la préparer pour qu’elle puisse nous accueillir dans les meilleures conditions.
Comme au commencement, avec sa langue il vint pénétrer la petite intimité de Manue, lui aussi salivait abondamment pour bien lubrifier le passage. Il n’hésita pas à cracher pour s’assurer d’avoir la quantité nécessaire. Il introduisit un premier doigt pour s’assurer de l’étroitesse du passage.
« Va falloir être moins crispée que çà mademoiselle, mon doigt rentre tout juste. Surtout avec ce qui t’attend »
Il dut avoir recours au lubrifiant voyant que sa salive ne suffisait pas. Il n’était pas à l’économie avec, après avoir bien enduit la paroi fragile, il se risqua d’y glisser à nouveau son doigt. Très vite compléter par un deuxième, il faisait en sorte de les écarter pour ouvrir toujours un peu plus le passage. Ne cessant de rajouter du lubrifiant, il s’assurait consciencieusement de bien dilater le petit orifice pour nous permettre de l’investir sans dommages.
« Ca y est, çà commence à se détendre. Regarde comment j’y rentre plus facilement mes doigts maintenant. Tu aimes çà quand je te fouille l’intérieur ? En tout cas ton petit copain ne loupe pas une seconde du spectacle. Dis le lui que tu veux une bite dans ton cul !!! Allez fais pas ta timide. On sait tous ici que tu n’attends que çà. Vas y dis le lui à quel point tu ne tiens plus. Allez supplie moi d’accepter de bien vouloir te sodomiser. »
Timidement, elle rentra dans son jeu : « Oui, je n’en plus. Venez en moi s’il vous plait »
Il ne lui en fallait pas plus. A peine s’était il redressé que quasi immédiatement son sexe disparaissait dans entre les fesses. C’est très énergiquement qu’il entama des allers et retours incessants. Il se dégageait même totalement pour la re-pénétrer dans la foulée. Manue criait à chaque assaut, elle essayait tant bien que mal de tenir à quatre pattes malgré les coups de reins qu’elle recevait. Vint le tour de Mathias de prendre la relève, comme à son habitude lui non plus ne ménageait pas la jeune fille. Après s’être assuré qu’il pouvait la pénétrer sans trop de difficultés, il donna un rythme soutenu à sa pénétration. Il l’agrippait par les hanches pour la maintenir à la bonne hauteur et veiller à ce qu’elle ne glisse de trop. Après de longues minutes de chevauchées entre les reins de sa petite protégée, pour ne pas en finir de suite il préféra s’économiser en donnant la place au doyen de la soirée.
Nous étions tous intrigués par la scène qui allait suivre, allait il pouvoir la pénétrer ? Manue tourna sa tête en ma direction pour chercher un peu de soutien. Jamais avant elle n’avait eu de ce calibre, elle était apeurée à l’idée de devoir le recevoir pour la première fois en anal. Elle aurait tant aimé dans un premier temps le recevoir de manière plus conventionnelle. Mais la machine était lancée.
Jean Pierre prit soin de venir faire un apport de lubrifiant, et avec la plus grande attention commença sa pénétration le plus doucement possible. Les mains de la jeune fille s’agrippaient aux draps en satin, elle mordillait sa lèvre inférieure pour ne pas crier d’avantage. Marc écartait ses fesses au maximum pour donner encore plus d’espace. Le sexe de Jean Pierre commençait à se décalotter à l’entrée, une fois son gland totalement découvert, il commençait lentement à progresser un peu plus entre ses cuisses. Tout doucement la petite partie rose se dilatait, l’avancement se faisait par étape. Après un long moment d’insistance, le passage commença à se faire et le bout du pénis ne se voyait déjà quasiment plus. Il se retira à nouveau pour re-lubrifier la partie. Les premiers centimètres ne montrèrent plus de résistance, il fallut encore un petit effort pour enfin accueillir dans sa totalité le sexe hors normes de Jean Pierre. Jamais elle n’avait ressenti cette sensation, encore personne n’avait réussit à explorer cette partie la plus profonde d’elle. Elle le sentait venir taper contre les parois les plus reculées de son corps. Ce qui à chaque passage lui arrachait un petit cri.
Voyant que tout se passait pour le mieux et que la douleur s’estompait peu à peu chez la fille, Marc lui proposa son sexe à sucer. Il lui tenait encore un discours dominateur avec un vocabulaire toujours aussi cru.
« Mais on dirait que tu commences à aimer çà ? Il te remplie bien hein ? T’en avais jamais eu une aussi grosse dans ton petit cul. Dis le à Frédéric que tu aimes recevoir ce genre de queue dans ton cul. Allez !!!! »
« Oui j’aime çà. » répondit-elle honteuse.
Pendant que notre retraité était occupé entre les reins de ma douce, nous étions tous les trois cote à cote en face du visage crispé de la jeune fille pour se faire sucer à tour de rôle.
Mathias passa ses mains en dessous de son corps pour venir saisir la poitrine qui ballotait au rythme des saccades.
« Bon je crois, que c’est bon maintenant elle est prête à accueillir n’importe qui. Je crois que je l’ai bien dilaté. Fred, tu veux prendre la relève ? »
Je ne me fis pas prier, il se décala sur la droite pour me laisser la place dans l’axe de l’entre cuisse de ma petite amie. Sans aucune précaution, j’introduis mon sexe dans sa petite intimité. Quelle ne fût pas ma surprise de voir avec quelle facilité je pouvais m’y enfoncer jusqu‘à la garde. J’avais déjà eu l’occasion de passer après Mathias qui déjà pour nous était hors normes. Mais cette fois ci cela battait tous les records, c’est tout juste si elle devait me sentir passer.
« Alors Fred, passer après mon pote Jean Pierre çà fait toujours bizarre la première fois ! On se sent petit » Tout en s’adressant à moi, il s’allongea à coté de la belle pendant que les deux autres compères se tenaient debout à coté d’elle leur sexe à la main.
« Bon maintenant qu’elle est bien ouverte par là, on va pouvoir commencer à rentrer dans le vif du sujet. Allez viens donc ma belle t’empaler sur mon sexe, t’inquiète pas ton petit copain reviendra vite dans ton petit cul. Tu aimes être prise en sandwich ? »
Je me retirai de Manue pour la laisser libre, à peine avait-elle le temps de reprendre ses esprits qu’on lui demandait déjà de se mettre à califourchon sur Marc. Accroupie au dessus de lui, elle attrapa son sexe pour venir le positionner à l’entrée de son sexe. Doucement mais sans trop de difficultés elle arriva à descendre sur toute la longueur de son sexe.
« Et bien, même ici on y rentre facilement. T’es totalement trempée de l’intérieur. Tu caches bien ton jeu, timide de l’extérieur mais en fait … » Il ne finit pas sa phrase et à une cadence très rapide, rentrait et sortait son sexe pendant qu’elle était toujours accroupie. Ses testicules claquaient violemment contre les cuisses de la jeune majeur. Il maintenait ce rythme effréné pendant quelques secondes, ce qui décrocha un jouissement de Manue. Il la fît se pencher vers lui pour prendre ses petits seins en bouche et mordiller les tétons qui avaient été durcis par son pote. Je profitai de cette position pour revenir investir son petit orifice.
Mathias et Jean Pierre ne tenaient plus leur sexe en main, ils investissaient la bouche de la jeune châtain chacun à leur tour. Leur sexe s’entre choquèrent des fois entre les lèvres, mais il était impensable pour elle de pouvoir les prendre tous les deux en même temps. Déjà avec un elle avait beaucoup de difficultés.
Elle ne savait plus où mettre de la tête, son esprit était parti ailleurs, elle se sentait totalement déconnectée avec la réalité. C’était un moment imaginaire pour elle. Elle n’arrivait pas à savoir d’où venait le plaisir, et qui lui en procurait ? Mais elle était sure d’une chose elle prenait son pied. Tout son corps était en transe, les frissons sur sa peau le démontraient. Je m’activais énormément pour lui faire sentir ma présence entre ses reins. A chaque coup de bassin que je lui affligeais elle s’enfonçait toujours un peu plus sur l’homme allongée en dessous elle. A nouveau Jean Pierre avait réinvesti sa poitrine et la malmenait sous ses caresses. Mathias était concentré quant à lui sur sa bouche, il voulait revivre l’expérience du début, c'est-à-dire faire disparaître son sexe en totalité au fond de sa gorge.
Un long moment passa mais je voyais bien que Jean Pierre trépignait d’impatience, lui aussi avait envie de gouter à la fille. Marc et moi lui laissions donc la place. Il allongea la jeune fille et très câlin se livra à un magnifique cunnilingus avant à son tour venir la pénétrer. Il avait adopté la position du missionnaire sans doute pour avoir plus l’impression de la dominer. On voyait qu’il appuyait le plus possible pour à chaque coup de reins venir l’écraser de tout son poids.
« Dis donc Jean Pierre, je suis sur qu’il y aurait moyen d’y passer à deux dedans non ? » lui demanda Marc.
« Oh oui je pense »
« Ca te dirai Manue ? Je suis sur que tu ne serais pas contre. » Encore une fois elle acquiesça.
« Regardez-moi çà comment elle en redemande. Quel appétit !!! Et bien quitte à rajouter quelqu’un autant que lui aussi soit gros. Mathias qu’en dis-tu ? »
« C’est une invitation que je ne peux refuser »
Jean Pierre saisit Manue dans ses bras et la fît rouler, pour la renverser. C’était elle maintenant qui se retrouvait sur lui.
Mathias s’amenait derrière, Manue connaissait déjà çà nous l’avions innové ensemble mais cette fois ci les gabarits changent. Pour s’assurer de trouver facilement l’entrée, Mathias déposa son sexe au niveau des testicules de Jean Pierre et remonta doucement le long du sexe pour arriver au niveau des lèvres. Après une brève insistance, les lèvres se décontractèrent et accueillirent le second membre.
Marc et moi étions en train de nous faire prendre en bouche à notre tour pendant ce temps là.
Après s’être introduit à deux dans son sexe sans la ménager, nous la fîmes se remettre à quatre pattes au bord du lit. Et chacun à notre tour nous venions la pénétrer dans l’orifice de notre choix, en essayant d’alterner au maximum les plaisirs. Jamais auparavant je ne l’avais connu aussi dilatée. On y rentrait et sortait comme on voulait sans risque de lui faire mal. Sa main ne cessait de caresser son clitoris pour décupler le plaisir. Elle ne retenait plus ses cris et nous prouvait à quel point nous l’avions transporté dans le plaisir ultime. Marc ne cessait de tenir ses propos odieux envers elle, ce qui ne devait pas la déranger.
Après être passé successivement entre son sexe et sa petite intimité, j’arrivai à la jouissance. Mes amis aussi n’en étaient pas très loin. Mathias la fît à nouveau prendre la position à genoux à même le sol. Nous l’encerclions, chacun notre sexe gonflé à la main prêt à jaillir.
C’est d’ailleurs moi le premier à exploser, mes premiers jets étaient tellement fort qu’ils ne touchaient pas son visage et au fur et à mesure que mes testicules se vidaient les jets devenaient moins puissants et atteignirent son visage. Elle en avait partout des cheveux jusqu’au menton. Pendant que quelques gouttes coulaient de son menton sur sa poitrine, c’était autour de Marc d’honorer la fille de sa jouissance. Il était plus agile que moi et visait directement l’entrée de sa bouche. Elle récoltait tout le liquide mais ne l’avala pas, elle le fît ressortir de sa bouche pour le laisser couler sur tout son corps. Arriva Mathias, qui saisit le visage de Manue pour qu’elle se retourne vers lui, ne pouvant se retenir plus lui aussi essaya de diriger son jet puissant le mieux qu’il pouvait, et fini ses dernières gouttes bien englouti au fond de sa gorge. Il en ressorti par ailleurs parfaitement nettoyé.
Elle appréhendait Jean Pierre, ce n’était pas la première fois qu’il lui jouissait dessus et elle s’avait qu’en plus d’avoir un sexe aux dimensions gigantesques, sa quantité de sperme en était proportionnelle. Il se concentra exclusivement sur sa poitrine comme à son habitude. La quantité en était surprenante. A l’aide de son sexe, encore raide, il étalait au mieux son nectar pour uniformiser l’aspect luisant que cela donnait au corps de ma princesse. Il finit par se blottir entre les seins de la jeune dont à l’aide de ses mains vint les refermer autour de son sexe et s’offre une dernière fois un passage entre. Cette fois-ci le contact était beaucoup plus doux et la sensation de glisser était accentuée grâce aux différents spermes qui habillaient maintenant le corps de Manue.
Comme pour nous dire merci elle nous reprit chacun une dernière fois en bouche pour bien nettoyer nos sexes dégoulinants de plaisir.
Je sentais que sa respiration commençait petit à petit à revenir à la normale, et qu’enfin elle atterrissait en douceur dans le monde réel.
Elle se releva au milieu de l’assemblée totalement nue, enduit d’un liquide blanchâtre et collant. Son regard m’était adressé, un petit sourire vint l’accompagner. Elle m’embrassa tendrement en me chuchotant un énorme « Je t’aime ». Puis nous abandonna pour s’isoler dans la salle de bain afin de se nettoyer.
Satisfait de notre petite chevauchée, nous nous installèrent tous les quatre sur le lit et après avoir été chercher le complément en verres nous servirent en vin pour fêter notre première expérience.