- 30 sept. 2015, 14:20
#1826121
Dans les couloirs, je tiens Marie par les hanches, Antoine est derrière et je suis sûr qu’il mate son ptit cul, il sait qu’elle porte un string car il a posé sa main à plusieurs reprise dessus. Nous l’invitons à goûter des rhums arrangés acheté sur le marché. Je sers les verres, il s’assoit dans un fauteuil, moi sur le lit et Marie sur mes genoux. Nous trinquons. Marie met ses bras autour de mon cou et m’embrasse langoureusement, son baiser dure et je lui rends bien. Je lui caresse les cheveux, le visage, elle ferme les yeux. Je lui caresse le cou et les épaules. J’ai très envie d’elle, de la voir nue, de parcourir son corps avec ma langue. Je descends une bretelle et découvre un sein que je caresse avec ma langue immédiatement. Elle a toujours les yeux fermés. Je regarde Antoine qui les a bien ouverts. Je descends l’autre bretelle. Sa poitrine est découverte et je m’occupe du deuxième sein comme du premier. Je l’allonge sur le lit, continue mes caresses au niveau des cuisses. Je sens la chaleur dans son entrejambe. L’atmosphère devient chaud bouillant. Je suis très excité. La présence d’Antoine ne nous gêne pas, bien au contraire. Je lui hôte sa robe, la retourne et lui bouffe le cul encore couvert de son string. Nous entamons de véritables préliminaires en compagnie d’un autre homme et ni elle, ni moi ne pouvons nous arrêter. Cela va maintenant au-delà de la simple exhibe.
Antoine sort son sexe et se caresse, il n’est ni plus gros, ni plus long que le mien mais semble déjà bien dur. Je retourne Marie sur le dos, lui retire son string que j’envoie à Antoine et lui fais un cunni. Ça y est Marie commence à bouger ses hanches, à pousser de petits gémissements très excitants. Elle me saisit par les cheveux et me plaque la bouche sur sa délicieuse chatte bien ouverte. Elle tourne la tête vers Antoine pour la première fois et tend son bras. Il se déshabille et vient sur le lit. Il l’embrasse à pleine bouche et lui caresse les seins à pleine main. Je sens bien que l’attente a été longue et le désir très fort car ses mouvements sont fougueux. Sa langue se promène partout sur sa poitrine et revient vers la bouche. Tout en continuant mon cunni, je voie leur langue s’unir. Je décide de pénétrer Marie. Elle pousse un petit cri et branle plus vivement notre partenaire. Il approche sa bite de sa bouche, elle le regarde et le suce. Il ferme les yeux tant il a dû en rêver. Elle enfourne bien son sexe à l’intérieur et moi je suis très doux dans ma pénétration pour qu’elle puisse s’appliquer.
Je décide de la mettre à quatre pattes, Antoine s’allonge, elle continue sa fellation et je continue ma pénétration. Je lui pétris les fesses, Antoine découvre ses cheveux pour voir le visage de Marie et lui enfoncer la tête un peu plus profondément. Devant ce spectacle j’accentue mon mouvement, Marie se cambre de plus en plus, je jouis et continue car je sens Marie toute proche de l’extase. Elle a relâché le pénis d’Antoine et se met à jouir fortement. Je me retire, m’allonge sur le côté du lit, Marie se place à côté et Antoine va vers sa sacoche. Il en sort une capote et dit :
« je peux ? » je regarde Marie qui me regarde ? Chacun cherche le consentement de l’autre. Elle voit que je suis d’accord et dit « oui ». Il vient se placer derrière Marie, sur le côté, et la caresse, elle cherche sa bite qu’elle caresse aussi, il enfile sa capote, elle soulève une jambe et il la pénètre. Petits mouvements d’abord, ses mains parcours les seins de ma femme, il l’embrasse dans le cou puis lui dit :
« Mets toi sur le dos, je veux te voir pendant que je te fais l’amour ». Elle s’exécute. Il la prend, elle lui attrape son cul et accompagne le mouvement. « Oh ce que c’est bon, ce que t’es bonne, je l’ai toujours su. J’ai maté tes seins, ta chatte, je me suis branlé en pensant à toi et maintenant je te baise. Je savais que j’aurai beaucoup de plaisir. Et toi tu aimes ?
-oui j’aime ça, continue.
-tes seins sont beaux. (Il les lèche avec fougue et l’embrasse. Il met de grands coups). Ils sont beaux quand ils bougent comme ça. Elle te fait du bien ma bite ?
-oui. (J’embrasse Marie et bande à nouveau, elle me caresse).
-alors dis-le
-elle me fait du bien ta bite, oui elle me fait du bien. Puis ajoute au bout d’un moment : je veux venir sur toi.
Elle se place sur lui et commence sa danse, cheveux en arrière, ses seins bougent et Antoine les mains libres en profite un maximum.
« Je prends mon pieds, t’es géniale, je te baiserais toute la nuit. Si tu savais ce que tu m’as excité quand je t’ai caressée sur la plage. J’en avais la bite toute dure. Est-ce que tu as senti ma bite quand j’étais assis sur toi ?
-oui je la sentais, je la sentais quand tu t’avançais pour me toucher les seins. Je la sentais à travers mon maillot sur mon ptit cul.
-T’as aimé que je te caresse sur la plage, t’as aimé sentir ma bite, hein, dis-le.
-oui j’ai aimé, j’étais excitée, je ne bougeais pas, tu m’as paralysée. Pendant un instant j’ai eu envie de toi et maintenant on est là tous les trois. Je mouille sur ta belle bite bien dure. Oui c’est bon, j’aime ce que tu me fais, oh j’aime ça, j’aime ta bite. CONTINUE»
Je me lève, me place à côté de Marie et lui mets ma bite sur ses lèvres. Elle la lèche, ralentit le mouvement et la prend en pleine bouche.
Puis Antoine se redresse, reprend son mouvement en plaquant les fesses de Marie avec ses mains. Il descend une main sous les fesses de Marie qui bascule sa tête en arrière comme un gros laissé aller. Il lui a mit un doigt dans l’anus, elle s’accroche à lui ouvre la bouche, jouit une deuxième fois et s’affale sur Antoine. Pour terminer, il la replace sur le dos, la pénètre, lui remonte les genoux. Je veux que Marie me finisse aussi, elle me suce en plaçant sa tête sur le côté. Ce n’est pas facile, il va vite. Au bout d’un moment, il se raidit et jouit à son tour pendant plusieurs secondes en attrapant Marie avec force. 3 secondes après, moins bousculée, Marie s’y prend mieux, ne tenant plus, je préviens Marie que je vais venir mais elle continue et me regarde dans les yeux. Je jouis dans sa bouche avec un énorme plaisir (pour la deuxième fois depuis que nous nous connaissons).
Petit à petit, l’excitation retombe, le cœur ralentit, les effets de l’alcool s’amenuisent. Marie prend la parole :
« Je vais aller prendre une douche et quand j’en sortirai, tu seras parti Antoine. Demain nous nous croiserons peut-être mais il ne se passera rien, nous profiterons de notre dernière matinée seuls.
Elle embrassa Antoine sur la bouche qui lui rendit son baiser, lui prit un sein et uns fesse comme pour imprimer les formes de Marie sur sa peau. Elle se leva et partit dans la salle de bain.
Antoine se rhabilla, il me remercia pour ce moment. On échangea deux-trois mots sur ce qui venait de se passer et il partit.