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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#1043734
Je suis doucement en train de pousser ma femme à devenir la maîtresse de son patron.
Lui, c’est le genre rugbyman, donc baraqué, la cinquantaine bien conservée. Tout le monde sait à leur travail qu’il couche avec des femmes du boulot. Bref, la proie facile.
Cet après-midi, ils vont à un rdv ensemble, il y a pas mal de kilomètres à faire. C’est elle qui est au volant. Je lui ai demandé de s’habiller provocante. Elle a tout juste effleuré une objection, sur le port ou non de bas. Toujours est-il qu’elle est rentrée ce midi se changer, et voilà comment elle est repartie : chemisier noir à 4 boutons, dont les 3 derniers ouverts, ce qui laisse largement de quoi se rincer l’œil, soutien-gorge rembourré et sexy, jupe en jean qui arrive à mi cuisse, bas couleur chair bronzée, string bien évidemment, et petites bottines.
Il est prévu qu’elle relève un maximum sa jupe dans la voiture et qu’elle soupire plusieurs fois des « j’ai chaud » en jouant avec son décolleté.
On attend le verdict…
#1205889
Va falloir aller acheter du pain
Ce mercredi, je rentre un peu plus tôt que prévu à la maison, ma femme m’ayant prévenu par Sms que notre ami B. venait lui rendre une petite visite amicale…
En arrivant devant le domicile familial, je trouve, en effet, stationnée la superbe moto de B.
Le cœur battant, espérant frileusement les découvrir dans les bras l’un de l’autre, pour ne pas dire l’un dans l’autre, je m’avance à pas légers dans l’allée. A peine arrivée à hauteur de la porte d’entrée, j’entends des paroles qui proviennent de l’autre côté de la maison, là où nous avons installé notre terrasse pour profiter de l’ensoleillement et du calme du quartier puisque non exposée au regard d’éventuels voisins.
Je décide de signaler mon arrivée en amont afin de ne pas les effrayer et lance un sonore « c’est moi ! ». Quelques secondes plus tard, me voici arrivé sur la terrasse de la maison et découvre L. et B. confortablement installés sur une chaise, sirotant elle un thé, lui un café, papotant sans retenue et nullement gênés par mon intrusion. Je sers chaleureusement la main de B. qui me renvoie le franc sourire qui accompagnait mon geste. Je me tourne alors vers ma compagne, que je découvre alors très, mais alors vraiment très très courte vêtue…
Je m’installe sur une chaise aux côtés de B. de façon à avoir, comme lui, ma femme en visu directe. S’ensuit une discussion bon enfant sur le rôle la qualité des commerçants du coin, mais je ne peux m’empêcher à plusieurs reprises de porter mon regard vers son décolleté vertigineux où aucun tissu d’un quelconque soutien gorge ne vient retenir l’attention. C’est alors que L. déclare en souriant franchement :
- « Vous avez la vue qui baisse messieurs ? ».
B. ne se laisse pas intimider par cette question subite en enchaîne du tac au tac :
- « Je préférai quand même tout à l’heure quand tu montrais franchement tes seins ».
Eclat de rire général. Sentant que la situation est peut être sur le point d’évoluer dans un sens qui ne serait pas pour me déplaire, je poursuis cette conversation m’adressant à ma compagne :
- « Ah oui ? Et bien que s’est-il passé pour que tes seins se retrouvent de nouveau prisonniers ? »
- L : « tu me vois aller faire le thé et le café à moitié nue en passant devant la maison à la vue des voisins ? »
Nouvel éclat de rire général. B. me devance et lui rétorque :
- « Ceci dit, maintenant que les tasses sont là et qu’il fait chaud… » Il ne finit pas sa phrase mais chacun comprend où il veut en venir. J’acquiesce ses propos d’un mouvement de tête, espérant inciter L. à s’encanailler.
Après un bref échange de regards entre elle et moi, elle plonge ses yeux dans ceux de B., recule légèrement sa chaise, exposant intégralement son corps au soleil, soulève sa fine robe citron et exerce un imperceptible mouvement des bras pour s’exposer entièrement nue !
- L. sur un ton sarcastique et s’adressant à nous deux : « c’est mieux comme ça ? »
- B. et moi, ensemble : « Aaah oui ! ».
Sans nous laisser reprendre notre souffle, elle plonge le majeur de sa main droite dans sa bouche et le ressort rapidement, humidifié. Le majeur en question prend alors la direction de ses grandes lèvres qu’elle écarte sans ménagement, laissant apparaître le reste de son anatomie la plus intime. Elle a déjà fermé les yeux et entame la masturbation de sa vulve où tour à tour elle joue avec ses petites lèvres et son clitoris. B. et moi n’en perdons pas une miette mais n’osons pas nous défier du regard. J’aimerai que notre ami sorte son sexe, mais il n’en fait rien et je ne me vois pas le lui demander. Nous restons là, les bras ballants, un peu hébétés, mais ravis du spectacle qui s’offre à nous. L. se fait jouir au bout de quelques minutes non s’en être contorsionnée sur sa chaise, dans un silence quasi religieux.
Aussi incroyable que cela puisse paraître, B. et moi n’avons exercé le moindre geste ni dit la moindre parole. Non, nous avons juste profité de ce moment, d’un érotisme profond et terriblement excitant.
L. a simplement enfilé de nouveau sa robe, ne fuyant pas nos regards, puis m’a lancé : « Va falloir aller acheter du pain, le nouveau boulanger ferme tôt le mercredi ».
#1249672
Je vous livre l’info brute comme elle vient de me parvenir : ma femme vient de me téléphoner pour me dire qu’elle a déjeuné avec son supérieur ce midi : arrivés ensemble, il l’a flatté dans la voiture, puis au restaurant (où ils déjeunaient avec d’autres personnes). A table, elle me dit qu’il lui a d’abord mis la main sur un genou deux ou trois fois tout en discutant avec la tablée puis qu’il lui a caressé une cuisse à 3 reprises. Précision : elle portait une jupe avec collant. Elle me dit s’être laissée faire sans broncher mais que désormais la situation est quelque peu ambiguë. Me demandant mon avis sur la situation, je lui ait évidemment dit que cela ne me gênait pas si elle voulait aller plus loin avec lui. Je dois dire que je suis très excité plutôt. Je lui demande : « et après le repas, qu’avez vous fait ? ». Elle me répond « rien, dans la voiture il ne m’a fait aucune allusion et moi non plus, mais j’avais terriblement envie de lui… » Affaire à suivre…
#1304755
Cela faisait bien longtemps que notre ami B. n’avait pas pointé le bout de son nez… Et hier matin, surprise, ma chère et tendre m’informe qu’ils ont convenu de se voir dans l’après-midi, pendant que je serais au travail, loin, très loin…
- il m’a envoyé un sms pour savoir si l’on pouvait prendre un café, me dit-elle.
Comme nous sommes mercredi, la rencontre se fera à notre domicile, comme d’habitude d’ailleurs… Et en présence des enfants de l’un et des nôtres. Et oui, B. n’est pas venu les mains vides.
Nous en concluons que la rencontre sera amicale du fait de la présence de nos petits espions en herbe. Ceci étant dit, on peut quand même pimenter quelque peu notre après-midi.
Je propose à ma belle d’adopter une tenue adéquate, à savoir mi provocante et mi bonne mère de famille. Elle opte pour un jean serré porté sur un string de manière à révéler ses courbes. Pour la partie supérieure, un sous-pull blanc semi transparent fera très bien l’affaire. Elle hésite à porter un soutien gorge, je lui déconseille mais me désobéit, soit.
Le voilà arrivé. Les enfants sont bien vite séparés des grandes personnes, chaque groupe occupant les extrémités opposées de la maison. Ma femme et B. demeurent dans la cuisine, endroit o combien stratégique puisqu’il permet de surveiller les allers et venues de tous les occupants de notre domicile.
Après avoir discuté de choses et d’autres et consommés un ou deux cafés, B. interpelle mon épouse sur un ton léger, lui faisant remarquer qu’il n’est pas insensible à ses charmes : « très joli ce sous pull » lui dit-il, puis continuant après une brève hésitation : « mais ne serais-ce pas mieux sans soutien-gorge ? ». Ma femme se met à rire et tout en s’exécutant, c’est à dire en ôtant la lingerie superflue, lui fait part de mon commentaire sur le sujet. Il rit alors lui aussi, et poursuit : « dis donc, il n’est vraiment pas très jaloux ton mari ».
- Tu ne crois pas si bien dire, affirme-t-elle, lui tendant son soutien gorge. La forme de ses seins sont maintenant bien visibles. Le transparent et la forme du sous-pull laissent clairement entrapercevoir deux belles pommes, superbement mises en valeur par la posture debout et bien rectiligne de Madame.
- Que veux-tu que je fasse de ton soutien-gorge dis moi ?
- Et bien pose le, et viens donc derrière moi.
B. se lève, pose l’artifice textile sur son siège, et se positionne derrière L., non sans avoir au passage caressé d’une main le bas ventre de ma belle. Celle-ci est en ébullition m’avouera-t-elle. D’avoir revu son ancien amant, et très certainement futur, l’a met dans un état d’excitation bien palpable. Toujours positionné dans son dos, B. l’embrasse dans le cou, ses mains caressant tour à tour les épaules, les flancs et les fesses de L. Sans se retourner, elle caresse à son tour l’entrejambe habillé de B. qui s’avère être doté d’un membre déjà bien dur.
- Tu crois que ton mari me laisserait te peloter les seins hors de sa présence ? Lui dit-il.
- Je n’en suis pas sur, mais dans le doute essaye on verra bien, lui répond-t-elle, espiègle.
B. fait durer la montée d’excitation de ma belle, il lui passe maintenant de nouveau la main sur le bas ventre mais en ayant relevé son sous-pull et en prenant bien soin de s’arrêter sous ses deux petites pommes dont les deux pépins sont désormais aussi durs que le sexe de notre ami.
- Il va falloir trouver un moment pour se voir, en toute intimité, lui glisse-t-elle. Tu pourras te libérer ?
B. prend le temps de répondre, et sans retourner L. contre lui, se fend d’un ton plus sérieux : « tu es sures pour ton mari ? ».
L. lui fait un clin d’œil renversé par dessus son épaule et lui susurres : « certaine à 100% ».
Sur ces mots, B. l’embrasse à pleine bouche et lui malaxe les seins, ce qui a pour effet de provoquer un gémissement contenu de ma salope de femme.
Mais déjà les enfants se rapprochent de la cuisine, il est temps de tout remettre en place…
#1608405
Ce midi elle déjeunait au resto avec deux amis, anciens collèges, un homme et une femme. Le déjeuner se termine, elle les invite ensuite à venir prendre un café à notre domicile qui se trouve à quelques km de leur resto. La fille refuse, prétextant un rendez-vous, mais le gars est ok. Elle me téléphone dans la voiture et me dit : « je suis en route pour la maison, devine avec qui ? ». N’attendant pas sa réponse, je l’encourage à se montrer hospitalière, même si je ne connais pas son ami en question.
Elle me dit alors qu’il la suit en voiture et qu’ils ne vont pas tarder à arriver : « Il n’est pas très beau garçon mais qu’est-ce que tu aimerais que je fasse ? ». Sachant avec quelle robe elle est partie travailler ce matin, je ne fais pas de souci pour l’intérêt de notre visiteur du jour…
- « et bien, montre lui déjà tes seins » lui dis-je.
- « comme ça ? »
Je réfléchis 2 secondes et poursuit : « comme tu le connais bien, dis-lui que tu réfléchis à te faire poser des implants et que tu voudrais son avis sur la taille de tes seins ».
- « excellente idée ! » rétorque-t-elle.

A SUIVRE…

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