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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#2672448
en été 3/3


La première à poser une question fut la maîtresse de maison à son mari.

- Es-tu satisfait de ta matinée?
- Ho oui très satisfait. J’ai vu ce que je voulais voir et je sais quoi faire. Á moi
Il demanda à l’amie ce que nous avions fait ce matin

- Heu moi j’ai dormi puis je suis allée me baigner. Les autres je ne sais pas je crois qu’ils se sont baigné, puis il se sont douchés… en tous cas c’est ce que j’en sais
- Hum, il se sont douchés ensemble?
- Ben on pose pas une question à la fois?
La maîtresse de maison sourit et dit à son mari d’attendre le tour suivant. Elle dit que c’est à son amie de poser une question. Le collègue faisant semblant d’être pointilleux : ah non elle vient de poser sa question et nous aussi; "c’est à lui", dit-il en me regardant.
J’en profitais pour essayer de dévier du sujet des activités matinales.

- Ah puisque c’est à moi et qu’on ne peut répondre que la vérité ou demander un gage alors je voudrais connaître la recette de mon cocktail

Le collègue semblait apprécier

- Tu joues très bien, je ne veux pas donner la recette mais pour éviter le gage je vais donner les ingrédients

C’était pas mal joué. Il énuméra:

- Concombre, pour la forme, gingembre et céleri pour le booster et puis deux ingrédients spéciaux: viagra et une pointe de cocaïne

Tout le monde trouvait le coup bien monté et je dois dire que je sentais clairement les effets du cocktail. A son tour il demanda à sa femme: " qu’avez vous fait ce matin?"
Sans se départir de son sourire elle regardait son mari tranquillement.

Il lui dit: - "Tu préfères un gage?"

- " Non, tu préfèrerais me donner un gage?" lui demanda t-elle le regard droit et clair

- " Non" fit il dans un sourire franc.

Bien que l’atmosphère était joueuse je sentais la chaleur et je craignais que ça tourne à l’orage.

L’amie intervient: " ah on les connaît les gages!"

La femme répondit enfin à son mari en le regardant dans les yeux:

- " J’ai invité ton collègue à venir avec moi dans la piscine, nu comme tu l’avais décidé ce matin, je me suis laissé couler et j’ai gobé son gland sous l’eau…"

- " Et ensuite?"

- " Ensuite je l’ai entraîné derrière la cabine où on se repose parfois le soir et je me suis appuyée contre le mur, je lui ai présenté ma vulve et il a léché délicieusement mon entrejambe, j’espère que tu as apprécié"

Le collègue était en sueur et moi aussi.

- " Beaucoup, j’ai beaucoup apprécié"

Les époux ne s’étaient pas quitté des yeux. L’amie faisait mine de tomber des nues.

- " Ah d’accord c’est pour ça que je ne vous voyais plus"

Je ne savais plus où me mettre.

- " Tu les as quitté des yeux?" demanda le collègue à l’amie

- " bah… un moment pendant que je mettais mon maillot pour les rejoindre dans la piscine."

Il prit un air contrarié trop appuyé pour être réel

- " Tu mettais un maillot? Pour quoi faire?"

La copine prolongea le jeu en feignant la gaffe: "Oups!"

Ils éclatèrent de rire: " un gage! un gage! " très satisfaite l’amie demande un gage: le collègue lui demande d’enlever son paréo et la femme qu’elle passe sous la table et qu’elle nous suce chacun à notre tour. Le jeu prenait tournure et moi j’étais de plus en plus éberlué mais je n’étais pas déçu parce que dès qu’elle eut enlevé son paréo mon érection est devenue quasiment pénible.

Le mari réclame de me poser une question.

- " As-tu baisé ma femme ce matin? "

soulagé je pouvais répondre non

- " aimerais -tu baiser ma femme ?"

Á ce moment l’amie qui avait décidé de commencer par moi écartait sous la table le paréo pour accéder à ma queue, je déglutis et je réponds en sentant sa bouche avaler mon sexe

- " heu oui je crois que j’aimerais ça"

Il riaient tous les deux de bon cœur et c’était au tour de la femme de me poser une question, mais l’amie aspirait goulument et des bruits de succions obscènes réjouissaient mes hôtes.

- " quand tu me baisera, mon mari pourra t’il regarder?"

L’amie me pompait de toutes ses forces et j’étais déconcentré ce qui divertissait beaucoup mes hôtes.

- " heu oui, tu es sa femme tout de même…hmmmm…oui"

Ils avaient l’air ravis et comme si je n’étais pas en train de me faire sucer, comme si au-dessus de la table on était encore dans une situation quasi normale ils insistaient pour que je pose une question, sans trop d’imagination je demandais à l’épouse de mon collègue ce qu’elle préférait faire, alors que déjà je tenais difficilement cette pipe effrénée.

- " ce que je préfère faire…" elle fit mine de réfléchir et son mari était en sueur d’impatience, elle répétait, " ce que je préfère faire est de regarder mon mari se faire bien baiser".
L’amie ne perdait pas une miette du jeu et lâcha mon sexe un instant pour demander depuis le dessous de la table

- " et je pourrai regarder?"

ça les fit rire et moi gicler parce que je n’y tenais plus, j’éjaculai sur le visage de l’amie qui gloussa comme si elle venait de faire une bonne blague

- " waw il m’en a mit partout, génial il a tout craché"

et sortant nue de sous la table elle montrait son trophée, un long fil de mon sperme du front jusqu’aux lèvres et une grosse goutte sur un côté du nez. Son amie semblait satisfaite et lui en enleva un peu du bout des doigts qu’elle porta immédiatement à ses lèvres.

-" ho! tu en as dans les cheveux"

Le collègue lui était plus incisif et lui dit de venir lui montrer de plus près et comme elle faisait le tour de la table son amie lui claqua les fesses et elle montrait son visage en se pliant ingénument. Le collègue lui lècha le visage pour récupérer le sperme qui coulait et elle se recula vexée

- " ben et moi alors? ", puis elle récupéra avec les doigts le reste de la giclée comme si c’était un dessert.

- " tu n’as pas fini ton gage retourne s’y"

elle revint vers mon sexe pour y récupérer une dernière goutte avant de s’accroupir entre les cuisses de son amie, qui commenca instantanément à soupirer. Son mari la bombardait de question pour profiter de son émoi.

- " ça t’a plut ce matin?"

- " oui"

- " il t’a léché c’est ça"

- "oui, c’est ça , léché, sucé, bouffé…"

- " et c’était bon?"

- "oui …hhh…oui hhm"

- " il t’a fait jouir? "

- "presque……hhh……"

- "dit la vérité ! "

- " oui j’ai jouis"

- " et puis?"

- " J’ai pissé …hhh… comme tu voulais "

- " j’ai vu, ça t’a plu ça?"

-" hh…oui…je me suis sentie très…ah "

La langue de son amie était aussi vive sur son clitoris que sur ma queue et la femme du collègue avait de la peine à répondre

- " hh… je me suis sentie… sale……ta salope comme tu dis…j’ai ha …adoré… toi aussi? "

- " moi aussi "

puis mon collègue s’est tourné vers moi l’oeil complètement fou mais heureux

- " et toi tu as aimé aussi non? elle est bien ma pisseuse non?"

Sa femme était en train de se contracter et il avait plaisir à voir son orgasme monter, pour m’inviter au spectacle il me prit à partie: elle est extraordinaire elle jouit dès que c’est possible.

Moi je revenais à peine sur terre et j’avais bien compris le jeu. Le cocktail était excellent et je rebandais déjà.

Le wek-end ne faisait que commencer
dane a liké
#2673038
Merci beaucoup, je suis flatté. Ce sont des souvenirs disparates qui sont "remixés" dans d'autres situations qui constituent les histoires que j'écris.
J'y ai glissé quelques "mystères" ( à qui est la bouche de la première nuit? Que signifie le tatouage de l'amie? etc…) espérant que si ça plaît ou intéresse quelqu'un cette histoire puisse continuer. Je suis conscient que les plupart des membres qui viennent sur ce forum ne sont aps forcément intéressés par des récits (longs) mais ceux qui me lisent et qui me témoignent de leur émotion ( parfois de l'émotion tangible de leurs épouses ) me réchauffent le cœur.
dane a liké
#2673295
Vraiment merci de vos commentaires, j'apprécie beaucoup. Certaines images sont très …"émouvantes" parfois mais c'est vrai que j'ai un côté vieille France et j'adore jouir avec tout, j'aime le vin, j'aime bien manger, j'aime dessiner et écrire, et jouir en général. Même si le libertinage a ses compartiments, je me sens un "libertin global". Ainsi j'aime autant les maris que leurs épouses. Je serais très intéressé, d'ailleurs d'avoir l'avis de dames. Les quelques échos reçu par le tchat me disent qu'elles ne seraient pas insensibles à certaines évocations. Quelle joie! Quelle gloire!
Dionysos06 a liké
#2737545
Un vieil ami

chapître 1

C’était un jour un peu comme celui-ci, c’était l’été, mais comme souvent il y avait eu un orage la veille et le matin était frais.
J’ai vu sur la table mon téléphone s’allumer et apparaître sur l’écran le nom de la femme de mon ami. J’ai toujours eu une émotion particulière pour cette femme, du jour où mon ami nous la présentée.

Je m’en rappelle on étaient impatients de la rencontrer parce qu’il s’était solidement éteint à la suite de son divorce et qu’il s’était mis à travailler comme un dingue comme si c’était la seule chose qui le distrayait.

Il était amer et la séparation n’avait pas été très douce. D’autant qu’il avait du ressentiment à mon égard, pour lui faire mal sa femme lui avait révélé notre aventure d’un soir, dont elle avait été largement l’instigatrice et où, bourré, j’avais cédé à ses avances. J’en avais conçu un dépit aussi immense que la gueule de bois qui m’avait suivi toute la journée.

En fait j’avais été la victime d’un règlement de comptes entre eux et je m’étais trouvé bien con. Je n’en avais pas parlé et elle non plus jusqu’à ce que dans leurs orages, elle n’avait trouvé rien de mieux pour le blesser que de comparer ses performances aux miennes, qui ne devaient pourtant pas être fameuses vu l’ébriété mais soit, c’était pas fair-play.

Nos relations auraient pu en souffrir mais, dans le paquet il était passé au-dessus tant les récriminations avaient été dures entre eux. Puis les années ont passé et il ne semblait pas pressé de retomber amoureux. On se voyait plus avec la bande de potes parce qu’on étaient tous à peu près au point mort de ce point de vue. Puis il l’a rencontré et bien qu’on perde un copain on était content pour lui.

De mon côté le libertinage me convenait pas mal, sauf certains soirs où j’avais envie d’un amitié différente, enfin on ne peut pas tout avoir et mes aventures venaient et allaient comme bon leur semblent.

On s’était un peu éloigné mais on restait amis à jamais. Certains soirs, un peu imbibés, ça revenait sur le tapis sous forme de blague vache, mais rien de très lourd. Ça l’avait fait chier et moi aussi.

Mais à force sa nouvelle femme s’en était trouvée curieuse, elle n’en disait rien. Peu après il est tombé malade et un cancer de la prostate l’a inquiété puis déçu. Leur vie s’est assagie.

Durant l’ été je passais toujours quelques jours avec eux dans leur maison dans le Sud. Soit en remontant soit en descendant. C’est ainsi qu’un soir , sans que je m’y attende elle s’est ouverte à moi. Je sais qu’elle m’aime bien, moi aussi d’ailleurs j’ai beaucoup d’affection pour elle.

Ces soirs là de confidences, vous savez, tout le monde a connu ces moments suspendus où il faut juste écouter et ensuite faire semblant d’avoir oublié, il ne faut rien dire pour laisser le flux s’échapper. Elle se met à m’expliquer son dépit, pas que l’amour s’en aille non, c’est un homme formidable , mais elle, elle voit le temps passer. Elle soupire et elle devient amie avec son mari. Elle a aussi été très touchée par le cancer de son mari et puis…d’un point de vue pragmatique…le temps compte pour elle aussi. En prenant un verre je regarde cette femme et une sorte d’émotion (d’où une forme de pitié n’est pas exclue) me fait l’écouter doucement.

Je ne pouvais rien pour elle si ce n’est la serrer dans mes bras et un baiser, presqu’amical, n’a pas pu ne pas unir nos lèvres. Mais je ne voulais pas refaire de connerie et bien à contre cœur je l’ai tendrement repoussée. Elle a bien compris et elle m’a remercié en mélangeant, comme les femmes savent le faire, à la fois la frustration et les convenances sauvegardées.

Á la rentrée on s’est revu, comme si de rien n’était mais, assez vite une vie parallèle s’est installée. Une vie quasiment sexuelle où je rendais plus service qu’autre chose, comme si, pour ne pas casser les habitudes c’était plus pratique de demander ce service à un ami. Ce n’était cependant qu’en partie duplice. En y pensant je n’étais pas très fier et je crois elle non plus mais il se jouait autre chose. Pourtant c’est avec une sorte de soulagement que j’ai vu cette relation parallèle, s’espacer et puis disparaître.

Paradoxalement, le couple était devenu plus joyeux, tranquille et tendre. On aurait dit que cette passe avait réchauffé leur relation. On se voyait régulièrement et entre ce couple et moi il ne subsistait presque que de la franche amitié.

Jusqu’à ce jour d’été. Je savais qu’il n’était pas bien. Dans sa famille plusieurs personnes avaient fait des cancers, un jour la nouvelle est tombée. Puis ça a été foudroyant. La dernière fois que je l’ai vu il m’a dit que ça n’allait pas fort et qu’il comptait sur moi, dans ces cas là on ne demande pas trop d’explication et je lui ai dit que je serais là et qu’il pouvait compter sur moi. Il m’a dit: je sais dans un sourire triste. Puis on a essayé de blaguer mais il était très fatigué et je les ai laissé.

Ce matin là, elle m’a appelé pour me dire que c’était fini, qu’il était parti tranquillement et puis je n’ai pas compris parce que les sanglots déformaient son propos. Ensuite c’est la période classique des émotions. Moches. Après quelques jours de suractivité encombrée de tristesse, plus rien.

Par amitié j’ai repris contact après quelques jours , je sais qu’à ce moment-là il n’y a plus grand monde et qu’on est bien seul. Elle m’a dit qu’elle aimerait que je passe la voir parce qu’elle voudrait être distraite de toutes les choses qu’elle doit faire et qui sont pénibles.

Quand je suis arrivé, elle avait l’air fatigué mais, grande classe, dans sa tristesse elle avait encore de la place pour la mienne. Elle rangeait ses affaires parce qu’elle en avait le courage et surtout qu’elle ne désirait garder que les bons souvenirs.
Elle m’a parlé de sa fatigue. Puis elle m’a tendu une enveloppe avec une lettre de son mari qui m’était destinée. J’aurais voulu la lire là, tellement la curiosité était forte, quand quelqu’un vous manque et que subitement il apparaît c’est très émouvant. Je l’ai donc laissée à ses rangements et à sa fatigue en lui promettant de revenir la voir.
Ledaoen22, Domjaby, Domjaby et 3 autres a liké
#2737546
chapitre 2

Elle a compris et avec un sourire triste elle m’a dit que ça lui ferait du bien.

J’ai dû résister pour ne pas décacheter l’enveloppe avant d’être chez moi , et encore, bien assis avec à portée de main des mouchoirs en papier parce que je craignais mon émotion.


" Mon vieux,

Ça ne va pas très fort, alors avec toute la pudeur de notre vieille amitié, je n’oserai jamais te dire ce que je vais t’écrire.

Ça me fait mal et j’ai peur.

Parce qu’hier la nouvelle est tombée, j’ai eu les résultats et rien qu’à voir la gueule du docteur, je savais déjà.
Qu’est-ce que tu veux on peut s’en sortir une fois ou deux, mais à la fin…

Bon comment te dire? Quand tu liras ça moi je serai déjà parti. Pas très loin en vrai parce que toi aussi tu viendras. Il n’y a pas de raison que je sois le seul à flipper. Mais je voudrais te demander quelque chose.

Tu sais il y a des années qu’on se connaît alors tu ne m’en voudras pas, d’ailleurs au fond, tu me dois quelque chose.

Quand on m’a opéré du cancer de la prostate ma vie a changé, pas que la mienne d’ailleurs. Ça m’a fait chier, mais c’était ça ou rien. Ça m’enmerdait pour moi et aussi pour ma femme. Je la voyais inquiète puis éteinte. Ce n’était pas juste et j’ai repris goût à la vie en la voyant prendre un peu plus soin d’elle. Il m’a fallu faire des efforts pour me reprogrammer mais au final, contre toute attente, j’étais plutôt content pour elle, je soupçonnais bien une aventure.

J’étais content mais ça me faisait mal en même temps, et a elle aussi je le sais bien , alors on s’est mis à parler. Franchement. C’était pas simple, en partie parce qu’il y avait pas mal d’amour entre nous, mais elle m’a raconté. Je lui ai demandé de plutôt me parler d’elle que de toi, qui décidément ne peux pas t’empêcher de baiser ma femme. Mais là je ne pouvais pas vraiment t’en vouloir, même si j’avais pas tellement envie d’entendre parler de ta bite.

J’en ai appris beaucoup sur elle, et elle aussi je crois. Je ne l’en ai aimé que plus et peut-être mieux. On a fait un pacte. Bien que je n’en avais pas plus envie que ça, mais comme je voyais que c’était important pour elle, elle voyait ses amants en ma présence, comme ça elle n’avait pas la sensation de me tromper (ce qui la met mal à l’aise) et en plus elle se sent en sécurité. Au début elle ne se lâchait pas complètement, justement à cause de ma présence, mais petit à petit, au fur et à mesure que j’appréciais , que mes fantasmes changeaient et que du coup je "participais" plus, elle a commencé à se lâcher et à se désinhiber et là ma présence était un plus. Un condensateur de son plaisir. Elle le faisait pour elle mais aussi pour moi.

Puis là ça s’est espacé, à cause de moi, et j’en suis un peu triste, pas pour moi, j’ai d’autre choses en tête mais pour elle. Elle a beau me dire qu’elle ne pense pas à ça pour le moment, moi je sais bien où je vais et j’ai peur. Mais j’ai peur aussi pour elle, je sais que ça va être dur et qu’à cause de moi elle en voit de toutes les couleurs.

Je sais aussi que ce n’est pas le moment mais je ne voudrais pas…enfin tu comprends, et même si tu ne comprends pas: voilà je lui ai proposé de te revoir, elle a refusé parce qu’elle sait que ça me faisait chier, mais en vrai je voudrais qu’au moins tu la soutiennes et que si ça se met tu l’accompagnes, enfin que tu sécurises le truc, tu vois.

Je t’avoue que c’est trop bizarre de te demander ça, je ne veux même plus y penser après t’avoir écrit. Et puis, personnellement j’ai toujours fantasmé sur les jeunes mariées et les veuves, ne me demande pas pourquoi; ça m’a toujours fait bander.
Et là, je me dis que cette veuve là…
Bon allez va te faire voir mon ami.

Je vais crever et je vous attend de l’autre côté, compte sur moi pour préparer l’apéro. Je t’aime mon vieux pote."



J’étais dévasté. Littéralement je ne savais plus où me mettre. Il m’a fallu du temps et je crois bien un verre ou deux pour m’en remettre et encore…

Mais le téléphone à vibré. Cette émotion à chaque fois mais ce coup si c’était très fort, à cause des circonstances.

C’était elle qui me demandait comment j’allais. Elle me dit qu’elle se doutait l’effet que la lettre avait dû me faire et qu’elle venait au nouvelles. J’étais confus, j’essayais de m’excuser du trouble dans quoi j’étais et de la forme d’indécence qu’il y avait alors qu’elle devait être triste.
Elle m’a dit qu’elle était tellement triste qu’elle avait encore beaucoup d’espace pour la tristesse des autres, après un temps elle me dit qu’il lui avait parlé de cette lettre et qu’ils en avaient parlé entre eux, qu’il lui avait fallu de l’estomac pour encaisser cet amour fou et qu’elle avait pleuré beaucoup. Il lui disait en riant qu’elle était en avance et ils avaient ris comme des enfants.

Mais que depuis que j’étais parti de chez elle , sachant que j’allais lire la lettre un mélange de culpabilité et d’excitation l’avait petit à petit gagnée. Depuis des semaines elle n’avait plus eu de vie sexuelle, bien sur, elle était occupée à autre chose et que subitement elle avait une envie folle d’un sexe qui veut d’elle, qui bande pour elle, pour son corps, sa chatte ou son cul. Elle me disait qu’elle n’était pas sure de comprendre elle-même et qu’elle renonçait à ce que moi je comprenne. En fait ce n’est pas des queues d’hommes qu’elle jouit tant, mais que là elle voudrait décrocher, ne plus penser à rien. Qu’elle aimerait que je vienne, maintenant, tout de suite, avec l’intention de la prendre…et ne plus la lâcher.
zztop, Domjaby, Dionysos06 et 2 autres a liké
#2737547
chapitre 3

Quand je suis arrivé elle avait l’air effaré, comme perdue. Mon premier réflexe était de la prendre dans mes bras et de la serrer fort. J’étais ému.

Nous étions dans le hall de cette maison que je connaissais bien, où tout encore semblait attendre mon ami.
Je la serrais contre moi et je sentais sa poitrine prise de hoquets d’émotion. Elle a pris mon visage en main et après un regard éperdu elle m’a embrassé à pleine bouche en tenant mon visage. Je la serrais plus fort mais assez vite mes mains ont glissé de ses épaules à ses hanches.
Sans arrêter de m’embrasser comme si elle avait voulu avaler ma langue, ses mains ont tiré ma chemise hors de mon pantalon pour pouvoir accéder à mon torse et mon dos. Elle avait fait ça avec une énergie que je ne lui connaissais pas, comme si elle avait été agacée.

Une de ses mains prit une des mienne pour la poser sur son cul avec une façon presqu’ autoritaire et mon autre main avait glissé sous son chemisier. On était là debout à se peloter. Ses ongles se marquaient dans mon dos et l’ a fait parcourir d’une sorte de courant électrique.
Elle ne relâchait pas son baiser et avec empressement je cherchais presque comme un ’automate à glisser une de mes mains sous la ceinture de sa jupe, mais la jupe était très ajustée et j’ai entrepris de la remonter pour y glisser ma main. Sous mes doigts ses bas faisaient obstacle à sa peau et ma main remontait du haut de ses cuisses à son ventre pour enfin glisser sous l’élastique, puis en descendant passer dans sa culotte. Je ne saurais dire pourquoi j’en étais là, mais je senti un frisson la parcourir quand mes doigts ont atteint ses poils pubien dans sa culotte.
Ma main s’est glissée alors dans une sorte d’ivresse instantanée vers sa vulve et elle écarta un peu les cuisses pour faciliter la manœuvre. Je tenais sa vulve en main, elle était énorme et chaude, sur mes doigts un fil brûlant marquait l’ouverture de ses lèvres. Comprimée sous ses bas et par le fin tissus de sa culotte mes doigts trouvaient le chemin de son sexe trempé, au point que mon pouce gluant pouvait masser le haut de ses lèvres, appuyant sur le capuchon de chair qui recouvre son clitoris. Á l’intérieur de son ventre un puis deux doigts s’étaient glissés et faisaient un bruit humide très excitant, je cherchais cet endroit moins lisse juste sous mon pouce à l’intérieur pour le masser avec douceur et brusquerie, je ne saurais dire exactement, je crois que c’est elle qui me guidait par télépathie, qui avait pris le contrôle de mes mains.
Elle s’était très légèrement cambrée pour que je puisse atteindre l’endroit. Mon autre main avait parcouru son dos vers le sillon de ses fesses et pressait doucement sur son coccyx pour imprimer un rythme.

Soudain son vagin qui s’était élargi considérablement alors que mes doigts y pénétraient s’est resserré, ses cuisses ont calé ma main qui contenait tout son sexe et elle a interrompu son baiser en haletant pour enfoncer ses dents dans mon épaule. Elle a éclaté en sanglots au moment où son sexe s’est trempé d’un coup, mouillant tout. C’était brûlant et ses cuisses broyaient ma main.

En pleurant elle reprit mon visage et m’embrassa à nouveau goulûment et quand ses cuisses relâchèrent ma main je remarquai qu’elle tremblait, qu’elle vacillait. Elle posait son visage sur ma poitrine et pleurait à gros sanglots ce qui me fit débander d’un coup et m’effrayait de ce que j’avais déclenché. Mais elle s’accrochait à moi et nous titubâmes jusqu’au salon.
Sur la table je vis une plaquette de Xanax dont elle m’avait dit que le médecin lui avait recommandé pour se détendre et trouver un peu de sommeil. Je voulais la faire s’asseoir et j’étais sur le point de me confondre en excuses, quand elle me poussa sur le sofa de sorte que j’étais penché en arrière et qu’elle défit presqu’ avec colère ma ceinture et ma braguette. Elle extirpa mon sexe qui à vrai dire présentait une demi-molle piteuse et elle emboucha mon gland comme si sa vie en dépendait. J’étais stupéfait mais ma queue avait moins d’état d’âme. Assez vite mon sexe se raidi dans sa bouche. Tellement que mon gland qu’elle faisait sortir et rentrer entre ses lèvres prenait un ton violacé. Elle baissa ses bas et sa culotte avec violence jusqu’à mi cuisse et releva sa jupe sur son ventre. Elle vint s’accroupir sur moi, littéralement, et dirigea mon sexe vers le sien. La position faisait que j’avais le haut de ses collants et sa culotte sous le nez et elle qui s’activait à faire rentrer mon sexe en elle, mais pas profondément, à l’entrée seulement. Elle se glissait d’avant en arrière en faisant progresser mon gland à chaque fois plus avant.

Elle se soulevait pour regarder entre ses cuisses nos deux sexes pour s’empaler plus avant en dirigeant à coups de bassin mon gland vers un endroit profond, un pli qui passait et repassait sur le bout de mon gland cette fois profondément fiché en elle. J’accompagnais ses mouvements d’une certaine poigne sur les hanches comme pour accentuer les aller retours. J’étais au bord. Au bord d’une sorte de gouffre intérieur qui allait sous peu tirer de moi un grognement d’extase. Elle se relevait pour ne laisser en elle que mon gland, lui faisant faire de petits mouvements puis s’abattait sur mon ventre en se pénétrant de toute la longueur de mon sexe. Je sentais qu’elle appuyait son ventre contre le mien. Je sentais ses lèvres s’écraser sur la base de mon sexe et elle frottait ostensiblement son clitoris contre mes poils pubiens. Nous étions en sueur et nos bas ventres trempés.

Je sentis son vagin se contracter sur mon sexe et littéralement l’aspirer dans une sorte de convulsion, un tremblement très court et je senti mon sperme traverser mon sexe du fond de mon ventre vers le bout de mon gland. C’était une décharge électrique, le résultat d’une succion plutôt qu’une éjaculation claire. Elle gémit et je senti la chaleur se répandre en et sur moi, dans et autour de mon sexe et sur nos ventres collés. Un peu de cyprine coulait sur mes couilles et dans la raie de mes fesses, elle se laissait aller après s’être crispée d’un coup. Elle soupira et son visage dégoulinait de larmes, son nez coulait et elle s’affala sur moi sans que son vagin ne lâche ma queue. Elle resta là un long moment à sangloter. J’avais posé mes mains sur ses fesses et si l’instant d’avant mes doigts s’étaient aventurés vers les abords de son cul, j’avais maintenant envie de la serrer contre ma poitrine, pris d’une tendresse étrange.


En pensant à mon vieil ami.
zztop, Domjaby, Domjaby et 6 autres a liké
#2739792
toue ressemblance avec des faits réels serait purement fortuits. Les initiales ont pourtant été changées.

impromptu du pays des dinosaures

Il est un peu tard pour se coucher tôt, c’est la semaine pourtant, je viens de déposer la voiture partagée et je marche dans l’air de la nuit du mois d’août. J’ai à l’esprit plein d’images, de sons. Sur mes doigts encore l’odeur du savon. Ils doivent s’être couchés, l’un contre l’autre repus d’amour. Je rentre à l’appartement et je pose mon sac, machinalement je regarde les dessins de la soirée, deux dessins hâtifs pas vraiment aboutis.
C’est qu’ils m’ont chauffé tout les deux depuis quelques jours, j’en avais très envie d’eux. En enlevant mes vêtements mon sexe grossit comme si j’allais rejoindre S et F, mais je suis seul et je me couche le sexe dur. Pour apaiser mon corps et mon esprit je me caresse en me remémorant leurs yeux et leur gentillesse, leurs corps sportifs et sensuels. Je me masturbe en faisant défiler le fil des événements érotiques. Je jouis dans le cul de F. la langue de S.dans ma bouche.

J’avais rendez—vous tout à l’heure dans une boutique qui se veut chic dans le centre, une façade discrète, des panneaux aux images lisses, thème bien-être, bougie parfumée, musique douce. Mais en réalité, malgré les efforts du personnel souriant, ce n’est pas si agréable, l’aimable jeune homme flamand me tutoie, il me dit de le suivre et d’enlever tout le bas. Je me couche le cul nu sur la table et sur une musique douce il se penche sur mes cuisses et m’étale avec son petit bâton de la cire un peu trop chaude, il presse doucement un papier sur la cire et après quelques secondes il teste l’adhérence. Il semble satisfait et tire d’un coup, en matière de bien-être disons qu’il faut penser à plus tard. Les petits papier poilus s’accumule dans la corbeille et je pense en me retournant que c’est la moindre des choses de se présenter bien entretenu. Mon sexe, la raie de mes fesses, le haut de mes cuisses sont rougis par l’épilation, mais une fois dans la rue je sens mon corps sous mes vêtements. Je pense à ce soir et je me dis que j’aurais du me faire épiler il y a quelques jours.

La rue part de la grand route à angle vif, les maisons sont toutes des villas de luxe, je reconnais le portail et je range la voiture, je dois avoir quelques minutes d’avance, mais j’ai très envie de les rencontrer. F. m’accueille avec simplicité et j’admire leur magnifique maison, on parle de tout et de rien, on fait connaissance, je vois bien qu’eux aussi avaient envie que j’arrive pour voir qui était , en vrai, ce gars pour qui ils avaient eu un petit crush érotique. Je dois dire que depuis quelques jours je les vois passer sur le forum, splendides et avec des façons particulières, il émane de leurs posts une assurance, une bienveillance et me touche, et puis elle est vraiment canon, lui on le voit moins mais assez pour que je me surprenne à les désirer tous les deux.

Elle porte une robe noir seyante et des chaussures irisées du meilleur effet, lui est simple, sport et classe. Je ne veut pas leur dire aussi platement mais en leur parlant autour d’une immense table j’éprouve une frustration, ils sont trop loin, j’ai envie d’être proche à les toucher. J’ai envie de les dessiner, mais mon esprit valus vite en besogne et j’ai déjà envie de les goûter. Je propose tout de même qu’ils prennent la pose mais je ne parvient pas vraiment à les fixer, ils bougent pas mal et aussi mon ventre veut autre chose que dessiner. Elle est splendide dans cette facilité d’exposer ce corps de déesse, écartant plus qu’il ne faut ses cuisses et voyant mon regard s’accrocher sur son anatomie. Á un moment je dois m’approcher, je ne peux plus faire autrement, surtout je veux les toucher, et puis F. dans je sais le corps athlétique est trop sage. Je pense que j’ai envie qu’il me fasse bander et je lui demande d’enlever son tee-shirt. Il découvre des pectoraux de rêve, j’ai envie de sucer, lécher mais je m’en garde et je pelote un peu sa femme. J’écarte doucement ses cuisses douces et soyeuse d’huile de soin, autour de sa culotte ajourée de dentelle noires, on voit sa vulve avenante, impeccable et belle comme un fruit. J’ai envie d’elle. J’ai envie d’eux. Mais le corps de F. est encore caché, ravi à ma vue alors que S. toute habillée robe, soutient, culotte et chaussure en laisse tout deviner. D’initiative je demande à enlever se pantalon qui m’agace et je fait apparaitre le sexe te les cuisses de F. Je peux enfin caresser son corps et S. m’accompagne. Elle m’accompagne mais me regarde, je sens que la curiosité va le céder à l’excitation, en l’embrassant, en la caressant elle aussi je ressens son plaisir à mon intérêt pour son mari. Ce n’est pas tant mon goût parce qu’en principe je suis actif avec les mecs, mais , un peu pour faire fondre la glace, un peu pour le régal des yeux de S. je suce la queue de F.

Les deux se voient dans la plus grande simplicité réaliser un fantasme, F. presqu’étonné que ça existe vraiment, se laisse faire, on dirait qu’il n’ose pas manifester l’effet troublant que ça ne peut pas ne pas lui faire. S. est plus joyeuse et franchement ravie de voir cette image, elle parait presque reconnaissante pour deux. Ils sont tous les deux nus dans leur fauteuil et moi je les caresse, je les embrasse, je les lèche et les suce alors que j’ai encore tous mes vêtements.

Mon crush se confirme, il se passe quelque chose, je n’ai pas envie de baiser ce soir, j’ai envie de faire l’amour, oui l’amour, naissant, charmant. J’ai envie de les aimer et de leur donner du plaisir parce que je vois qu’ils m’en donneront.
Je comprends tout de suite que la nouveauté, l’étrangeté des sensations feront que F. sera à son écoute, à l’écoute ravie de son corps. happé par l’attention que requiert mes explorations, la franchise de mes doigts, leur volonté voluptueuse, mais il ne s’agit pas de laissé S. de côté. Elle a un corps magnifique et alors que tout pourrait la conduire à être un peu snob de sa beauté c’est tout le contraire, elle aime donner. Ils ne sont pas libertins depuis longtemps et jouissent de la liberté avec un appétit presqu’enfantin. Oui c’est bon et simple de chercher le plaisir. F. se cambre, je le pénètre avec franchise, mes doigts fouillent son corps et joue de sa prostate. S. est délicieuse et à un moment il n’est plus possible de ne pas lui faire l’amour. F. nous regarde je ne sais plus ce qu’il ressent parce que les vagues de sensation viennent du sexe de S. empalé sur le mien, il se place derrière elle et avec mile précaution lui introduit son sexe dans le cul. Je pose mes mains qui courraient jusque là sur leurs deux sexes, goûtant moi aussi le plaisir de S. remplie. J’ai envie qu’elle m’embrasse, qu’elle dise à F. qu’elle l’aime mais elle gémit, elle est à autre chose. J’attire à moi, à travers S. , les hanches et les reins de F. J’ai envie d’eux, nous sommes ensemble. Je jure qu’à ce moment je les ai aimés.
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Une nouvelle histoire, bien sûr comme d'habitude les noms sont changés et les détails ne pourraient évidement pas être réels…

C'est une première partie dites moi si vous aimeriez la suite.


Sincèrement en y allant je n’avais pas d’a priori. Quelques jours plutôt lors d’un dîner (on se voit toujours avec une petite bande que j’ai rencontré il y a cinq ans la première fois que je venais travailler ici) on s’étaient rendu compte P et moi qu’on serait seuls pour la Saint-Valentin. Moi en fait je m’en fout, j’ai pris l’habitude d’être seul en déplacement même si quelquefois quand la pression est trop forte je fini bien par trouver l’endroit, le bar, le club, ou les gens du coin s’encanaillent. Mais ce sujet de la Saint-Valentin marche toujours dans les dîners. Bien sûr c’est commercial et bien sûr tout le monde aime ça cageoler son ou sa Valentine.

Mais là vu que R était lui aussi en déplacement ce soir là, l’idée de P de m’inviter en tête à tête pour faire contre mauvaise fortune bon cœur avait fait sourire d’un air entendu les amis autour de la table. Déjà R, dont l’humour pince sans rire et ravageur m’avait un soir présenté comme l’amant de sa femme à toute l’assemblée. Mais comme il avait présenté chacune et chacun de façon loufoque c’était passé, malgré quelques regards échangés parmi ceux qui savaient que si ce n’était pas tout à fait vrai , ce n’était pas tout à fait faux.

En fait il y a cinq ans, c’est a dire à peu près un an avant que P rencontre R, c’est vrai qu’on était sortis ensemble avec mon coloc de l’époque et une copine à elle , M, présente aux dîners.
C’est vrai qu’elle n’allait pas super bien à l’époque; son couple tirait solidement la gueule et elle ne savait pas trop où elle en était. Du coup on était pas mal allé boire des verres et qu’ un peu pompette on s’était laissé aller à des confidences.
Toujours est-il que dans cette parenthèse c’est vrai qu’un jour elle était rentrée avec moi à l’appart et qu’elle m’avait sucé parce qu’ "elle avait trop envie d’autre chose" et c’est vrai aussi que si mon coloc n’était pas rentré alors que j’avais ma langue bien enroulée autour de son clito je ne sais pas ce qui se serait passé, enfin si…
Mais on l’avait entendu ouvrir et pester en bas sur la double porte et on avait juste eu le temps de se reculotter. Il nous avait trouvé un peu hirsutes et l’oeil fou au point qu’il s’était demandé si on avait pris un truc ou quoi. Puis on avait bu un verre ensemble et P était rentrée. Deux jours plus tard le gars me racontait tout fier qu’il avait quelque chose avec P. Ils avaient échangé un baiser et elle lui avait demandé de lui caresser les seins.
J’avais rien dit en c’en était resté là.

Cinq ans plus tard P et R ont un petit garçon. Et R a un humour ravageur.

Du coup les allusions salaces ont courus durant toute la soirée concernant notre "anti-Saint-Valentin", mais l’assemblée, justement avec les blagues du mari pouvait "officiellement" croire que ce serait une soirée amicale et plutôt de dépit d’être seuls ce soir là.

Toujours est-il qu’en y allant je ne voulais pas me mettre Martel en tête. Si ça se trouve on va juste papoter, boire un coup et puis voilà.
Quand j’ai sonné P m’a immédiatement ouvert en me disant que c’était pas très malin, que le petit dormais et qu’elle préférerait ne pas recommencer tout le cycle d’histoire-un peu d’eau… etc le moment ou les petits craignent de s’endormir. Mais un coup d’oeil au baby phone l’apaisa.

En me servant un de ces merveilleux mojitos elle faisait mine de s’excuser de m’avoir si mal reçu. Elle était habillée comment dire…très Saint valentin. Une petite robe fuseau noires, fort ouverte dans le dos et sobre sur le devant, des bas et des talons. Sur l’arrière des bas courait une couture et à de micro reliefs sur la robe on pouvait voir que c’étaient vraiment des bas…accrochés par des jarretelles.

J’avais moi-même soigné un peu ma tenue, chic mais cool… à tout hasard. Surtout, comme je le fais souvent pour les soirées même chastes, je portais un de ces slips sympas qu’on trouve sur les site de vêtements gay.
C’est un jokstrap à la base mais avec une poche pour y glisser tout l’appareil, couilles comprises et qui contient un anneau en élastique qui enserre doucement les couilles et le sexe. Comme ça je sens ma bite dans mon froc.

Un peu sur le ton qu’aurait eu R, elle me dit que nous sommes très chics et qu’elle est toute excitée depuis l’après-midi. Elle me dit que R est désolé de ne pas être là qu’il est retenu pour la soirée à 150km et qu’il râle un peu. Elle me dit qu’on va faire une photo pour lui envoyer. Je lui dit que c’est peut-être un peu remuer le couteau dans la plaie, elle me dit que non ça lui fera plaisir et que même c’est lui qui a demandé. On se serre l’un contre l’autre et on envoie la photo, tout sourire.
Tout de suite il répond avec son humour habituel: " mais qu’ils sont beaux les Valentins" puis une correction "les anti-Valentins". On envoie un smiley et on entame notre cocktail. P est vraiment en beauté et décoche des regards de braises, ou alors c’est moi qui fantasme?

On s’assied à peine dans le canapé qu’un message arrive de R. " Je rêve ou ce goujat est venu sans fleurs?" En effet j’ai apporté une bouteille de bulles mais j’avais hésité, des fleurs quand même ça fait un peu trop non? Je veux dire pour passer la soirée de Saint-Valentin avec une femme mariée.

Elle lui répond du tac au tac "tout fout le camp mon cher". Je commençais à comprendre que la soirée aurait lieu à trois, P le téléphone et moi.
Mais, spirituel, R réplique " je vais vous foutre la paix, enfin deux heures, mais heureusement que j’y ai pensé moi" avec un émoji clin d’oeil.

P me regarde et me dit "c’est vrai R m’a fait un petit cadeau pour ce soir et il t’a laissé quelque chose aussi, enfin il m’a demandé de garder quelque chose pour toi", j’étais un peu gêné d’être venu sans même un petit truc mais en vrai elle n’était pas à proprement parler ma Valentine.

Je bredouille :"c’est gentil de sa part d’avoir pensé à moi" elle me dit "ho oui " avec l’enthousiasme d’une enfant face à un gâteau d’anniversaire. "Et tu ne devineras jamais où il m’a demandé de te le laisser" et elle éclate de rire. Moi un peu penaud je dis que non, je n’en ai aucune idée.

On boit et on papote et elle m’explique qu’elle a bien sur raconté à R comment on s’était connu. "Je lui ai tout dit, c’était plus simple que de tourner autour du pot" Du coup on se met à parler de lui, elle me dit comme il est super cool et très libre dans sa tête et dans son corps, mais enfin comme tous les mecs il a voulu savoir si sa bite était une des meilleures que P avait goûtée. Et là j’ai failli avaler de travers ma gorgée du troisième cocktail qui commençait faire son effet. Elle dit " j’ai bien été obligée de lui dire puisqu’il me le demandait que j’avais surtout aimé ta queue, et que je regrettais quand même de n’avoir pu que la sucer"

Je lui dit que je l’avais toujours sur moi et on a éclaté de rire, elle me dit qu’elle doit absolument raconter ça à R et immédiatement elle tape le message, en réponse il texte un émoji mort de rire et demande immédiatement si j’ai trouvé son petit cadeau, elle répond "non il n’a même pas commencé à chercher" et là: emoji dépité.

Je lui demande si c’est une sorte de jeu de piste , elle me dit d’un air évasif :
-"si on veut, mais il n’y a pas de mystère; je te dis où il m’a demander de le cacher?"
- " ha ok je veux bien parce que j’ai aucune idée"
- " ho, dommage!, enfin je peux te le dire mais je ne peux pas te le donner moi-même. Et comme ça tu verras aussi ce qu’il m’a offert à moi, c’est très joli"
J’étais un piqué au jeu.
- "et donc? -lui dit-je- "
- "Dans ma culotte"
- …
- " je lui ai souvent raconté comme j’avais adoré sentir ta main dans ma culotte et comme ça m’avait fait mouiller d’un coup il y a cinq ans. Ça reste un excellent souvenir tu sais?" et là-dessus elle se penche vers moi pour m’embrasser avec son rouge à lèvres très marquant.

Je me suis penché moi aussi sur elle été j’ai immédiatement caressé sa poitrine en l’embrassant, j’en avais tellement envie depuis que j’étais entré.
Elle me disait "descend!" et tout en l’embrassant à nouveau j’ai remonté sa robe, caressant le haut de ses cuisses couvertes par ces bas coutures, puis enfin sa peau et sa culotte de dentelle fine, noire comme sa robe et ses bas.

Là elle écarte généreusement les cuisses pour que j’accède mieux à sa culotte mais je prends un peu de temps autour des liserés de dentelle, essayant de deviner à travers le fin tissus ce que pourrait être le cadeau. Á ma demi-surprise, en effet ,il semble qu’il y ait quelque chose, je glisse ma main sous l’élastique à la rencontre d’un mini rectangle de poils crissants sous les doigts et en progressant je la sens qui soupire dans mon oreille. Mes doigts frôlent puis fouillent les replis de ses lèvres, ma langue cherche et trouve la sienne dans sa bouche, puis mes doigts trouvent sur le sexe déjà humide un petit paquet visqueux. Curieux et , je dois dire étonné, je retire le petit paquet et je l’entend soupirer d’une légère frustration. En regardant le cadeau de R je me rends compte que c’est une enveloppe de capotes. Un préservatif "caché" dans la culotte de sa femme! Il faut le faire pour une soirée de Saint-Valentin.

Elle se redresse un peu dans le canapé, mais sans se "rhabiller" directement , comme si elle avait été prise en faute, elle attrape son téléphone, elle dit "sorry je dois lui écrire, j’ai promis que je lui dirais quand tu aurais trouvé son cadeau" et elle de tapoter sur son écran, puis elle me demande d’approcher la pochette pour faire une photo de ma main, de l’enveloppe métallisée un peu moite et du haut de ses cuisses avec sa robe relevée sur sa culotte.

Il répond "enfin j’y croyais plus! qu’est-ce qu’il foutait? Tu lui avais proposé un scrabble ou quoi?" puis " dis-donc il est bien poisseux il me semble ce condon" et je la vois qui tape "déso j’étais trempée, en plus il embrasse super bien, quand il a fini par mettre sa main dans ma culotte j’ai cru que j’allais jouir…depuis le temps"

Elle me regarde, tout sourire puis le téléphone vibre c’est lui qui écrit "tu avais envie hein?" avec un smiley clin d’œil. Elle répond "ho oui" avant que je lui enlève les téléphone des mains pour le poser sur la table en face du canapé et que je me penche en arrière. Je l’entraîne avec moi et je lui dis de me sucer. Elle défait en me regardant la tirette de mon pantalon et dégage mon sexe du jockstrap, de la poche et de l’anneau élastique avec une dextérité un peu amoindrie par l’empressement. Elle fini par extirper ma verge qui est déjà très en forme par toutes ces manipulations.

Plutôt que de l’emboucher directement comme je le lui ai demandé elle décalotte mon gland et le regarde comme un bonbon, elle le flatte un peu puis semble examiner l’orifice de l’urètre en la déformant un peu par pression de son pouce. Mon sexe suinte déjà un peu de présperme transparent et elle pointe sa langue pour récolté un peu de ce lubrifiant brillant.
Puis elle gobe tout le gland et la chaleur de sa bouche, la salive qu’elle rassemble sur le bout de mon gland, sa langue qui semble vouloir pénétrer le méat, puis une succion longue et puissante.

Quand elle lâche son emprise elle me regarde toute fière, "regarde comme tu bandes, comme il est beau", elle se retourne attrape son téléphone et prend une photo, elle dit "c’est pour R je lui ai dit comme elle était belle, mais bon, il n’avait pas l’image". Elle lui envoie la photo de ma bite qui bande comme un cerf toute brillante de la salive de P et elle prend soin de laisser sa main autour de la hampe sur l’image, elle dit "c’est pour qu’il se rende compte de la taille…R est un amant , et un mari, formidable, mais il doit beaucoup compter sur sa langue et ses doigts, et c’est un expert crois moi"

La réponse de R ne se fait pas attendre il écrit "ah ouais, en effet! garde m’en un peu, dans ce cas là je rentre". Elle rigole, elle écrit "y ‘en aura plus je vais tout manger" et en riant elle se remet à me sucer de tout son cœur.
Pendant qu’elle aspire comme si ma queue avait été mordue par un serpent et qu’elle voulais recracher le venin je lui tiens les cheveux mais sans trop de conviction, ce que je voudrais c’est retrouver cette chatte toute chaude dont je me rends compte qu’elle me manque depuis cinq ans. Je faufile ma main jusqu’à la ceinture qui tient les jarretelles puis sa culotte entre ses cuisses nues sur le dessus et j’écarte un peu l’élastique pour faciliter la progression, je tire un peu sur l’étoffe et elle m’aide en baissant, seulement un peu, sa culotte. Ma main est encore dans le tissus et mes doigts glissant le long de ses lèvres, entourent entre l’index et le majeur le replis du clito puis glissent lentement dans un replis chaud comme si elle brûlait de l’intérieur.
Entre les lèvres et sans jamais laisser le clito , je trempe mes doigts dans une source vivante, élastique, meuble et surtout qui se pousse vers moi, qui ondule, qui roule et qui roucoule.
Bientôt mes doigts sont trempés et glissent phalange après phalange dans l’organe accueillant. Ça glisse, ça flic floc, ça se trempe et sa roule sous mes doigts. Bon dieu je pourrais y glisser la main entière si elle n’était pas en train de me masser les couilles, de fureter d’un doigt entre mes fesses et si elle ne variait pas entre enrouler sa langue autour de mon gland, introduire le bout de sa langue le plus loin possible dans mon méat et emboucher tout mon sexe jusqu’à en avoir des hoquets et devoir le rendre en bavant. Et puis reprendre le tout en bouche et aspirer comme si elle allait prendre ma vie. Je sentais sa chatte trempée et son doigt qui agace mon trou de cul, mon gland dans sa bouche et je l’entends dans un souffle qui me dit "baise moi la gueule" puis ré-emboucher toute ma queue.

Je veux bien tout ce qu’on veut mais à ce traitement là je mets quiconque au défi de résister, j’ai senti au même moment son doigt s’enfoncer dans mon cul, sa chatte s’ inonder d’un jet brûlant et une sorte de foudre fière, courant de ma prostate au bout de mon gland. J’ai tout lâché dans un râle au fond de sa bouche. Je grognais, elle rigolait de satisfaction et je crois bien qu’on a jouit ensemble.

Un temps. Je venais d’éjaculer comme rarement et pourtant ma queue était encore bien dure et volontaire. Je lâchais un "putain, quelle décharge!" En rigolant, contente de son coup, elle me dit "non moi c’est P, mais situ veux tu peux m’appeler putain, R adorerait…viens on fait une photo pour lui". Et sans aucun délais elle se fait un selfie avec ma queue suintante pleine de rouge à lèvres et son visage souriant juste à côté. Comme légende je vois qu’elle écrit "j’ai tout bouffé, tu ne sais pas ce que tu rates". Avec plus de retard qu’à l’accoutumée la réponse arrivait sous forme de vocal, pendant que je m’étais laissé aller en arrière dans le canapé, le pantalon baissé, la chemise ouverte dans le bas et ma queue qui n’avait pas encore débandé couchée sur mon ventre. Sur le vocal on entendait R dire avec la distance du haut parleur "ne le vide pas complètement ma chérie, c’est un ami" elle rigole en me le faisant écouter puis lui répond par un vocal "t’inquiète pas mon amour il n’est pas près de débander, on pense fort à toi, je t’embrasse mon petit chien" et de raccrocher.


En effet , je ne débandais pas vraiment. Alors que je venais de gicler ma queue était à peine ammolie sur mon ventre et un fil de sperme s’écoulait encore de mon gland. P me propose un autre cocktail en me disant "il faut tout boire, dans la glace pillée j’ai mis un viagra de R, le mixer a tout mélangé. Pour moi j’ai mis l’autre partie de la glace" et P me montre le bol où elle a réservé la glace pilée au viagra.

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