Je n'ai pas eu l'occasion de revenir sur le forum et je profite du calme de ce dimanche après midi. Le lendemain soir j'attendais donc (im)patiemment ma "libération". Porter la cage aussi longtemps, sans être désagréable, crée une sensation permanente dont on ne peut s'échapper.
Ma femme est arrivée dans la chambre. A sa tenue j'ai compris que ce ne serait pas l'effusion des grands soirs. J'avais le droit à son pyjama en coton gris

"chose promise, chose due" elle a ouvert la cage. Une vraie délivrance et j'ai commencé à bander rapidement. Je lui ai demandé si le pyjama était de circonstance. "il est plus confortable" . Elle s'est allongé près de moi et a masqué un bâillement... Elle s'est excusé et a posé la tête sur mon torse. J'ai glissé une mai sur sa poitrine mais elle m'a repoussé. Elle a dit "Allez au boulot" et a commencé à me branler. "même pas une petite pipe" j'ai osé. "jamais content" "tu ne sais pas ce que tu perds" elle a redressé, a repoussé les draps et a agité mon sexe entre le pouce et l'index. Elle a continué à me branler de cette façon. Malgré tout j'ai joui assez vite, une éjaculation que j'ai trouvé importante, certainement liée au port précédent de la cage. Elle même en a convenu en riant.