©FORUM CANDAU - N'oubliez pas de liker !
A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • 5
  • 6
  • 10
par manukib56
#1440022
La belle chatte !

« Amènes là moi samedi à 18h00 chez moi. Marc »

Tout a commencé par ce texto envoyé à Mathias. Il pensait que Marc allait revenir sur sa parole ou aurait tout simplement oublié leur soirée très arrosées de poker, mais hélas non. Ce message sur son portable le rappelait à l’ordre.

Il ne pouvait plus faire marche arrière et devait convaincre Audrey de s’y rendre. Comment avait-il pu jouer sa copine à un jeu de hasard ? Cela la réduisait à une simple marchandise, il la considérait comme une valeur marchande. Il s’en voulait tellement.

Audrey n’arrivait pas à y croire dans quelle situation Mathias l’avait mise. Elle se sentait trahie par l’homme qu’elle aimait. Jamais elle n’aurait pensé ça de lui. Elle savait de quoi était capable cet homme, elle pouvait craindre le pire avec lui. Mais par amour pour son homme et après une très longue discussion elle décida tout de même, à contre cœur, de donner suite au rendez-vous en faisant jurer Mathias que plus jamais il ne jouera à des jeux aussi débiles. Et elle était claire, si Marc devenait trop envahissant elle arrêtera tout, tout de suite.

Mathias la déposa devant le portail de la propriété de Marc.

« Tu m’appelles pour que je revienne te chercher. Merci encore ma chérie, je t’aime. » Un dernier baiser à sa jeune et jolie petite copine avant de la laisser dans les griffes de cet assureur.

Audrey n’en voulait pas tant que çà à Mathias, elle savait à quel point cet homme était manipulateur et au combien il mettrait tout en œuvre pour avoir ce dont il souhaite. Il ne fallait pas le sous-estimer.

Elle arriva sur le pas de porte et adressa un dernier regard vers son homme, qui s’éloignait en voiture. Elle était maintenant seule devant cette grande maison sans vraiment savoir ce qui l’attendait à l’intérieur.

Après une bonne inspiration, elle frappa timidement à la porte, son cœur battait fort dans sa poitrine. C’était bien la première fois pour elle où elle se sentait stressée autant.

C’était Jean Pierre qui lui ouvrit la porte.

« Bonjour Audrey, vas-y rentre. Marc t’attendait »
Audrey rentra dans le hall de la maison et Marc arriva à leur rencontre.

« Ah quel bonheur de te voir Audrey ! Alors comme ça on vient régler les dettes de jeu de son petit ami, je dois dire que je suis très fier de toi. Je te dois un certain courage tu sais. »

« Attends, rien nous lie entre nous. Si je veux partir je peux partir. Ceux sont vos affaires entre vous, je n’ai rien à voir là-dedans ! Tu ne peux me forcer à rien et … »

« Tutututu ma jolie ! Je peux te garantir que tu es liée à moi pour cette soirée et je compte bien en profiter, et Jean Pierre aussi »

Jean Pierre s’était légèrement mis en retrait de la scène, il semblait moins adhérer à cette situation que son collègue. Marc invita la jeune à le suivre dans son bureau.

« Tu vois la dernière fois ici avec ton petit copain on a mis les choses au clair. Regarde je n’invente rien. » Il lui tendit un document où était apposé la signature de Mathias en bas à droite.
« Tu vois ce contrat ? Et bien il stipule que Mathias me doit une dette de jeu à savoir la libre jouissance de sa copine le temps d’une soirée. J’ai même mis des petites closes qui me garantissent que tu iras jusqu’au bout regarde. »

Le document stipulait clairement qu’en cas de non tenue du contrat Audrey se verrait perdre son emploi et Manue aussi. Il faut le rappeler qu’Audrey avait trouvé son poste de commercial grâce au piston de Jean Pierre.

« Regardes, tu vois sur mon ordinateur le mail est prêt »

Audrey pouvait lire sur l’écran un mail adressé directement à son patron faisant acte de faits qu’elle n’était pas du tout à l’origine. Mais connaissant le caractère impulsif de son chef elle s’avait qu’il ne mettrait pas en doute la parole de son ami Jean Pierre et que devant ces fausses accusations, elle serait licenciée sur le champ.
Elle sentait ses jambes se dérober sous elle.

« Et en plus de çà, un courrier recommandé est en attente et prêt à être expédié à Manue pour qu’elle aussi soit licenciée. Alors voilà, tournons pas autour du pot, ce soir tu seras ma chatte et si tu te sentais pas capable penses aussi à ta copine qui par ta faute perdrait son poste. Ton petit ami s’est engagé à te soumettre à mes moindres désirs. »

Elle était maintenant poings liés à ces deux hommes, elle ne pouvait plus faire demi-tour au risque de perdre son emploi et d’infliger le même sort à son amie. Elle se résigna donc.

« Bon, je vois que tu commences à comprendre. Vas te préparer » Il désignait la direction de la salle de bain. Tête baissée Audrey s’y dirigea.

Sur la petite paillasse prêt du lavabo un sac y était posé, il contenait quelques vêtements et du maquillage. Elle comprit que cela lui était destiné. Elle se déshabilla donc pour endosser sa tenue de soumise. Bas résilles, talons haut et petit collier ras du cou avec un petit pendentif. On aurait dit le genre de collier que l’on met à un animal pour y inscrire son nom.
Le maquillage qui était aussi dans le paquet était très prononcé, le rouge à lèvre était d’un vif comme le mascara qui était des plus noirs.

Elle se regarda une dernière fois dans le miroir avant d’aller retrouver les deux hommes dans le salon. Elle se sentait vraiment comme une pute maquillée de cette manière et contrainte d’être ici contre son gré.

Perchée sur ses talons elle arriva dans le salon où les hommes l’attendaient. Ils étaient tranquillement assis dans le canapé un verre de whisky à la main et appréciait le spectacle que leur offrait la jeune brune.
« Putain je m’y ferai jamais à tes loches ! Ils sont énormes ! J’imagine le jour où tu seras en cloque toi ! Ce sera encore plus un régal pour te baiser. Ça te va bien ce petit collier de chatte. Hein, tu l’as compris ça, tu seras notre chatte à Jean Pierre et moi ce soir. On va te faire ronronner nous ! »

Jean Pierre dévisageait la jeune fille dressée devant lui avec une part de culpabilité mais aussi d’excitation. Même si depuis le premier jour il avait d’yeux que pour Manue, être insensible aux formes d’Audrey relevait de la science-fiction.

« Tu n’as pas compris ce que je t’ai dit ? »
« Si si »
« Tu es notre chatte, alors comporte toi comme tel. Mets-toi à quatre pattes et vient te frotter à nous »

Honteusement, elle s’agenouilla au milieu du salon et posa ses mains au sol. A quatre pattes à la manière d’un chat elle se faufila entre la table du salon et le canapé pour venir se frotter contre les jambes des deux hommes. Le flan de ses cotes venait toucher le tissu des pantalons, elle gardait la tête baissée et n’osait lever le regard vers ses dominateurs. Marc se pencha vers elle et sans aucune délicatesse lui enfonça son majeur dans l’anus. Elle ne s’attendait pas à cela et marqua un arrêt.

« Tout çà est bien serré ! Mais ne t’inquiète pas on va y travailler. » Marc retira son doigt et se releva.

« Tu as peut être soif ? Attends je vais te servir à boire » Il alla dans la cuisine pour chercher de quoi se désaltérer. Mais à la grande surprise de la jeune technico commerciale, il arriva avec une écuelle.

« Ben quoi ?! Les chats ça boit du lait non ? Allez tiens je veux te voir laper ton lait. Et tu en auras d’autres à laper au cours de la soirée je peux te le garantir. » Riait-il.

La jeune fille se vit contrainte de devoir se soumettre aux volontés de cet homme, elle dû s’incliner un peu plus pour arriver au niveau de sa gamelle. Elle sorti sa langue et bu comme elle pue. Sa position ne faisait qu’accentuer sa cambrure et ouvrait toujours un peu plus ses cuisses. Jean Pierre se leva à son tour du canapé et baissa son pantalon, son sexe était déjà tendu à son maximum. Marc était déjà au niveau de la brune, il posa sa main sur sa tête pour s’assurer qu’elle la garde bien dans la gamelle. Il approcha sa bouche de sa petite intimité et cracha dessus.

« Ça devrait lui suffire, mais vas-y mollo quand même JP. »

Jean Pierre s’accroupie au-dessus du fessier de la jeune fille et le sexe en main l’aligna dans l’axe de la petite rondelle rose. Son gland vint se poser dessus. Il essaya d’étaler au mieux la salive pour être sûr qu’elle soit le mieux lubrifier que possible même s’il savait pertinemment que cela ne serait pas suffisant.

Il commença à appuyer tandis que le visage d’Audrey s’enfonçait toujours un peu plus dans le lait. Elle était tétanisée par ce qui lui était en train d’arriver. Elle sentait au combien l’homme forçait derrière elle, mais cela lui semblait impossible pour elle d’être plus détendu. Elle savait qu’être sodomisée de la sorte sans préparation allait pour elle être un calvaire. Elle sentait son orifice se dilater malgré lui sous la pression du sexe hors norme. Malgré toute la lenteur de la progression de Jean Pierre, les moindres millimètres d’avancée décuplaient chez la jeune fille une douleur grandissante.

Elle ne pouvait crier tant sa bouche était noyée par le lait. Elle n’arrivait qu’à prendre que quelques petites inspirations par le nez quand la douleur se faisait moindre.

Marc recracha à nouveau pour rajouter un peu de lubrifiant naturel à la pratique. Il encouragea son ami à y aller un peu plus vite, qu’ils n’avaient pas que çà à faire non plus.

« Allez JP, vas-y enchaine. On ne va pas rester sur son cul toute la soirée. Ce n’est pas comme si c’était la première fois qu’elle se faisait enculer. Hein ma salope, ce n’est pas la première bite qui y rentre ? Et ce ne sera pas la dernière non plus ! »

Jean Pierre écouta comme à l’habitude son ami et poussa d’un coup sec. Son sexe trouva la place nécessaire et écartela l’anus d’Audrey. Un cri fort retenti dans toute la maison, Elle ressentie une décharge effroyable lors de cette intrusion. Il retenait la jeune fille par les hanches qui essayait tant bien que même à se dégager de ce membre surdimensionné. Mais il était trop fort elle, elle se résigna donc à son sort.

Malgré toute la tendresse qu’essayait de lui apporter Jean Pierre en coulissant entre ses cuisses le plus lentement possible, la douleur était encore bien présente.

« Bon n’y reste pas des heures non plus, le passage est fait maintenant. On sait qu’on pourra y revenir quand on voudra maintenant. »

Jean Pierre s’offrit encore quelques allers retours et se dégagea enfin d’Audrey. Elle se rassit pour reprendre sa respiration et se remettre de ses émotions. Son petit orifice lui faisait mal.

« Excusez-moi ? Je dois aller aux toilettes. »

A la différence de Manue, Audrey s’était toujours sentie à l’aise en présence de Marc et Jean Pierre et les avait tout de suite tutoyés, mais là instinctivement elle avait pris soin de vouvoyer Marc. Comme pour mettre une distance entre eux. Ce qui semblait ne pas déplaire à notre assureur, qui prenait cette politesse comme un début de soumission.

« Pour faire quoi ? »
« Je dois faire pipi. »
« Mais bien sur nous ne sommes pas des sauvages. »

Audrey se redressa en se dirigeant vers la petite pièce.

« Où vas-tu ? »
« Mais vous venez de me dire oui »
« Et tu crois qu’une chatte comme toi se déplace dressée sur ses pattes arrières. Mets-toi au sol et tout de suite. Et puis tu ne crois tout de même pas que les chattes ont accès aux toilettes. Si tu veux pisser tu vas dehors. » Il lui ouvrit la baie vitrée et alluma dehors. Reste bien devant je veux te voir.
L’envie était trop pressante pour la jeune brune et à quatre pattes elle alla sur une des terrasses de la propriété immense de l’hôte. Au bord de cette terrasse les pieds dans l’herbe, elle s’accroupie et urina devant le regard ébahie des deux hommes. Elle n’osait lever la tête de peur de croiser leurs regards tellement la honte l’enivrait.

Le petit air frais qui venait caresser son corps nu lui faisait un bien fou, elle resta un instant accroupie à apprécier de ce petit moment calme. Quand soudain elle fut rappelée à la réalité par une douche froide. Elle ouvrit les yeux et vit Marc devant elle l’écuelle à la main. Il venait de la lui vider sur le visage. Le lait goutait de son menton pour venir s’écraser sur sa poitrine.

Déjà que sa position était pour le moins très humiliante, mais se voir ainsi jeter à la figure son écuelle le demeurait encore plus. Marc la saisit par le sein droit qu’il tenait fermement dans sa main.

« Vient par ici ma petite chatte. » Il la fit se pencher sur la table de la terrasse et lui écarta ses cuisses. Par derrière, il vint coller son visage entre ses fesses et avec sa langue venait lécher ses petites lèvres.

« Mmmh quel agréable gout de pisse que tu es en train de m’offrir. » n’ayant rien pour s’essuyer et ayant été prise au dépourvu, la jeune fille n’avait pu égoutter les dernières petites gouttes qui perlaient sur son sexe.
Vint ensuite le tour de Jean Pierre d’y venir gouter. Pendant qu’il était occupé à balader sa langue dans le sexe de la brune, Marc se dévêtit.

« Tiens JP, laisse-moi la place. » Il eut à peine le temps de se décaler que Marc était déjà en train d’investir le petit cul d’Audrey.
« La vache mon salop, tu l’as bien ouverte. J’y rentre comme çà. » Volontairement il écrasait le corps de la jeune fille sur la table pour bien rendre la scène encore plus humiliante.
Il appuyait fortement sur son visage pour écraser sa joue sur le bois froid de la table.
Il ne ménageait pas du tout ses coups de reins, il ne préoccupait pas non plus du plaisir ou non de la jeune fille.

Il se retira d’elle et par les cheveux la traina par terre devant lui. Mise à genoux devant elle n’avait d’autre choix que de le prendre en bouche. Il s’enfonçait très profondément au fond de sa gorge malgré les sursauts et les renvois que cela lui provoquaient, il n’était pas décidé à baisser son action. Des larmes lui coulaient le long de son visage de jeune fille et le mascara qui habillait ses jolis yeux colorait maintenant ses joues. Son rouge à lèvres débordait de partout. A nouveau il l’agrippa par les cheveux pour basculer sa tête en arrière.

« Regarde-moi ta gueule de pute. Voilà ce que c’est de se tartiner la gueule avec du maquillage. » Avec son sexe il la frappa au visage. Bien après, j’aurai su avec Mathias que cette pratique à un nom : la biffle.
Marc laissa la place à son ami, qui lui aussi se laissa tenter par cette pratique pour le moins surprenante. Audrey n’arrivait pas à garder les yeux ouverts devant les coups forts de la matraque. Entre deux trois coups de biffle elle devait aussi le prendre en bouffe. Déjà que le sexe de Marc lui était difficile à prendre, n’en parlons pas de celui de Jean Pierre.

Sentant l’air se rafraichir, ils décidèrent de rentrer dans la maison. Audrey les suivaient à quatre pattes. Ils se dirigèrent vers la table haute du salon. Jean Pierre prit Audrey dans ses bras et l’allongea délicatement sur la table.

Sans un mot, il lui écarta les jambes et la resodomisa.
« T’attends pas à te prendre ailleurs ce soir. C’est ton petit cul étroit qui nous intéresse. Des trois, je crois que c’est toi la meilleure à enculer. Regarde tu n’as pas même crié quand Jean Pierre t’as prise là. » Jean Pierre ne la ménageait pas. Son rythme était soutenu, tout le corps de la jeune était balloté par les secousses de l’homme. Elle sentait les testicules taper sur son fessier, preuve qu’il se logeait bien tout au fond elle. Pendant ce temps Marc malaxait ses seins avec fermeté.

Les deux hommes se relayèrent un long moment dans son cul, elle se surprit même à jouir plusieurs fois. Leurs corps étaient en sueur et semblaient ne vouloir jamais s’arrêter.

Ils la firent se mettre à même le sol, directement sur le carrelage. A quatre pattes comme à son habitude, elle se cambrait le plus possible pour s’ouvrir au mieux à l’intrusion de ces hommes. Et à nouveau chacun à leur tour ils se positionnèrent au-dessus d’elle, accroupis, la sodomisant toujours un peu plus profond.

De temps à autre elle était tirée par les cheveux, fessée sur les cuisses, on venait même lui cracher dans l’orifice pour s’assurer de toujours bien coulisser. Cela dura encore et encore, c’était bien la première fois qu’elle les voyait aussi endurants. Son corps ne ressentait quasiment plus rien, il s’y était habitué. Elle se surprenait même à mouiller et sentir en elle du désir d’être prise ainsi.

« Ecoute-moi çà Jean Pierre, mais c’est qu’elle commence à couiner notre petite chatte. On dirait que tu aimes ça te faire enculer comme une mal propre. » Tout en lui parlant il lui tirait sur les cheveux pour bien lui faire redresser sa tête pendant qu’il lui investissait furieusement son anus.
« Putain je vais jouir !!! »
« Oh lui allez y s’il vous plait » lui implora-t-elle.

Il la tira à nouveau par les cheveux pour la faire se redresser devant lui, il pointa son sexe au-dessus de sa poitrine collante de lait. A peine la survolait elle qu’il déversa une quantité impressionnante de sperme régulé par de nombreux jets puissants. Il tapotait son gland sur le dessus de la poitrine, et vint finir son éjaculation en si glissant entre. Vint ensuite le tour de Jean Pierre qui à la différence de son ami privilégia la bouche de la jeune fille, il s’y engouffra rapidement, à peine avait-il enfoncé son sexe qu’il commença à s’y déverser de manière abondante. Audrey toussait sous les assauts de sperme qui venaient frapper le fond de sa gorge. La quantité était trop importante pour que sa bouche puisse contenir tout le sperme, elle laissait donc sa bouche entre ouverte pour laisser s’échapper le sperme, qui venait rejoindre celui de son ami en passant par le menton. Une fois s’être bien vidé, il sorti son sexe et à la manière d’un peintre vint étaler le plus uniforme qui soit son précieux liquide sur le visage de la jeune brune.

A peine en avait-il terminé avec elle que Marc revint sur le devant de la scène mais cette fois ci avec un vieil imper beige à la main.

« Tiens habilles toi, ton taxi t’attend ! »

Juste vêtue de cet affreux imper, la jeune fille se fît mettre à la porte. Elle était totalement nue et son corps sentait l’homme. Le visage encore enduit de cette matière, elle monta dans le taxi. Même après tout ce qu’elle venait de vivre elle arrivait encore à se sentir humiliée. Mais au fond elle, elle sentait bien que cela l’excitait et çà lui faisait peur.
Pendant tout le trajet qui la reconduisait chez Mathias, elle avait un sentiment de honte face aux regards incessants du chauffeur de taxi dans son rétroviseur. Elle avait encore le gout en bouche de Jean Pierre et son odeur corporelle lui était insoutenable. Elle avait hâte d’arriver pour prendre une douche.
Avatar de l’utilisateur
par kylegendary
#1444042
Salut. Tes récits sont vraiment top, ni trop longs, ni trop courts... En tout cas, rien à redire niveau excitation hein ;)

Continue ! Et merci encore :)
par cffj14
#1444180
manukib56 a écrit :Les récits sont trop longs ???? Je n'ai aucun commentaire

c'est pas qu'ils sont trop long,
c'est que c'est dur pour nous de tenir tellement c est exitant

juste un regret une photo des participantes juste une fois(mais il me semble que tu n'a pas l'autorisation :lol: )
par didso77
#1444223
Non tes récits sont super agréables et excitant à lire.

j'ai manqué de temps pour te mettre un commentaire et j'en suis désolé. Je ferais plus vite la prochaine fois.... Promis
Avatar de l’utilisateur
par bablar
#1445094
manukib56 a écrit :Les récits sont trop longs ???? Je n'ai aucun commentaire



Ah non au contraire ! Surement la mieux écrite et la plus bandante histoire lue sur le net !!
Avatar de l’utilisateur
par erwann1971
#1445830
manukib56 a écrit :Les récits sont trop longs ???? Je n'ai aucun commentaire


Oh non ils ne sont pas trop long, ce qui est trop long c'est l'attente entre deux récits mais on patiente.

Ils sont terriblement excitants, et j'ai toujours hâte de découvrir les nouveaux récits.

Surtout continue, ne t'arrête pas surtout.
par manukib56
#1451354
Mauvaise pioche !

Cela faisait maintenant deux semaines que l’intercaltion avec son propriétaire avait eu lieu au port de Vannes où par chance Marc et Jean Pierre étaient intervenus et avaient ainsi pu arrêter l’homme dans son élan.

Manue n’avait pas oublié ce moment, et à chaque fois qu’elle se rendait au bureau ou en sortait prenait garde de ses arrières.

Mercredi 02 octobre 2013 :

Manue se rendait à son bureau elle avait maintenant pris ses marques dans le monde de la vie active et de l’assurance. Marc lui déléguait de plus en plus de dossiers intéressants et la coachait avec un professionnalisme qui lui permettait d’apprendre beaucoup plus que dans n’importe qu’elle autre structure. Elle en avait discuté avec des camarades de promo, et elle voyait qu’elle avait plus de responsabilités que la moyenne. Elle en était maintenant certaine, son choix lui était très bénéfique aux détriments des humeurs sadiques de son maitre de stage.

Mais depuis son aventure avec Audrey, il était moins sur son dos et la laissait un peu plus tranquille. Il n’activait même quasiment jamais son petit œuf, qu’elle prenait toujours soin de s’équiper chaque matin.

Elle arriva à l’agence. Comme chaque mercredi matin, il avait son passage obligatoire dans la salle de pause pour se dévêtir avant d’aller saluer son chef. Même si il était moins sur elle, elle était quand même tenue d’être à cheval sur les règles qui lui étaient imposées. Elle s’y était habituée et y trouvait même un certain plaisir à travailler dans la tenue d’Eve.

« Bonjour Marc, vous allez bien ? »
« Ah bonjour Manue ! Tu es bien matinale ? »
« Oui, j’ai pas mal de petites paperasses à faire et comme je ne voudrai pas trop trainer ce soir. »
« Ok, tu me sers un café s’il te plait et on fait un petit point sur tes dossiers en cours. »

Manue appréciait ces petits moments privilégiés avec son patron, ce petit temps qu’ils s’accordaient tous les deux le matin au tour d’un café étaient très importants pour elle. L’occasion de lister ces taches et de faire part de ses interrogations.

Elle alla donc préparer le café en salle de pause, quand elle entendit un tour de clé dans la porte d’entrée.

Emilie ouvrit la porte de la salle et, comme sa copine il y’a quelques minutes, se dévêtit à son tour. Même si les deux filles vivaient sous le même toit, elles ne se voyaient pas souvent. Manue et moi avons toujours privilégié d’avoir notre autonomie et donc avons fait le choix d’avoir chacun notre appartement, même si nous vivons dans la même ville. Cela n’empêche que Manue dort tout de même plusieurs nuits pendant la semaine chez moi pour avoir un peu plus d’intimité que dans sa colocation.

Cela faisait bien deux jours que les filles ne s’étaient pas vus.

« Salut ! Que fais-tu de s’y bonne heure »
« C’est Marc qui m’a demandé de passer à l’agence ce matin, il m’a dit qu’il avait pas mal de dossiers en retard. Et qu’il aurait besoin d’un petit coup de main pour de la saisit. Et comme je n’ai pas de cours. »
« Ok cool ! Contente en tout cas de te voir. Ca va toi sinon ? »
« Oui ça va. Pas trop dormie cette nuit. Jean Pierre est passé à l’appart hier soir. Je crois qu’en fait il venait te voir toi. Mais il a été déçu d’apprendre que tu étais chez Fred. Il te kiffe vraiment c’est dingue çà. Enfin toujours est-il : il est rentré pour boire un verre et en fait il est resté un bon moment de la soirée. » Elle termina par un large sourire qui laissait penser.

Les deux filles sortir ensemble de la salle de pause, et se rendirent au bureau de leur boss.

« Ahhh ! Mes deux charmantes jeunettes. »

La pause-café ne dura pas trop longtemps du fait de la charge de travail de chacun. Après un bref briefing chacune savait ce qu’elle avait à faire. Manue retourna à son bureau, tandis qu’Emilie était cantonnée au classement de dossiers. La matinée était studieuse Quand tout à coup : quelqu’un frappa violemment aux carreaux de la porte d’entrée.

Marc sortit de son bureau : « Mais c’est quoi ce grabuge ! Emilie va te mettre dans le bureau de Manue et fermez la porte. Faut pas qu’on vous voit comme çà. » Emilie se précipita donc dans le bureau et ferma la porte. Manue abaissa les stores. Elles se tenaient toutes les deux derrière la porte afin d’entendre ce qui se passait.

Marc ouvrit la porte de l’agence et vit surgir l’ancien propriétaire dans le hall.

« Mais qu’est-ce que vous foutez là. Vous ne voyez pas que l’agence est fermée ? »
« Vous allez me le payer, qu’avez-vous fait ? »
« Ahhh quand je vous disais que vous ne saviez pas à qui vous aviez à faire. Ce n’était pas des menaces en l’air. »
« Tous mes contrats d’assurances ont augmenté ! »
« Ben vous croyez quoi ! Que nous assureurs on ne se parle pas. Certes il y a une concurrence mais aussi une certaine fratrie. Faut bien que vous le preniez en compte, vous avez frappé à la mauvaise porte, on ne joue pas dans la même cour. »
« Mais vous n’avez pas le droit de faire ça ! »
« Comme vous n’avez pas le droit d’importuner ma salariée »
« Mais c’est une pute je vous dis ! Je l’ai baisé pour 300 euros, elle et son copain. C’est l’argent qui l’intéresse. C’est une trainée ! »
Marc avait un rictus qui ne faisait qu’accentuer l’énervement du propriétaire.
« Manue Emilie ??!! Vous pouvez venir ? »

Les deux filles derrière la porte se regardèrent le temps un instant ne comprenant pas. Marc était-il en train de les appeler ? Mais elles ne pouvaient sortir ainsi totalement nue.

« Manue, Emilie sortez du bureau. Venez-vous montrer au Monsieur. »

La porte du bureau s’ouvrit timidement, c’est Emilie qui franchie la première le seuil, totalement nue suivie de très près de sa colocataire. Ancienne locataire de l’homme qui avait investi le hall d’entrée de l’agence. L’homme n’en croyait pas ses yeux, deux filles totalement nues dans un cabinet d’assurance. Il croyait rêver.

« Alors écoutez mon cher monsieur, vous pouvez utiliser tous les adjectifs que vous voudrez à l’encontre de ma stagiaire mais sachez une chose. Elle est à moi ! Et en plus comme vous pouvez le voir ce n’est pas la seule. Alors votre amateurisme dans ce domaine vous savez où vous pouvez vous le mettre. Et moi, à la différence de vous, ça ne me coute pas un euro. Donc les choses vont être claires entre nous, vous nous oubliez et on ne vous revoit jamais, je vous jure que d’ici 2 mois vos prélèvements d’assurances retrouvent le vrai montant. Mais si j’apprends que vous vous approchez encore une fois de ma petite salope, je peux vous garantir que vos cotisations doubles voire même triples. Et en plus je vous passe « persona ingrata » dans toutes les compagnies d’assurance de la région. »
« Vous ne pouvez pas faire ça ! »
« Oh que si je peux le faire et vous en avez eu la preuve. Alors rincez-vous l’œil encore une minute, profitez du spectacle et déguerpissez avant que je ne change d’avis »
Marc prit les filles par la main et les fit tourner sur elles-mêmes montrant ainsi à l’intrus leurs jolis corps de jeunes filles. Il le nargua même en leur tâtant les fesses et la poitrine.
« Allez dégages maintenant ! »

Le propriétaire de Manue fît demi-tour dans l’instant et disparu de l’agence aussi brusquement qu’il n’était rentré. C’était pour lui la douche froide, mais il devait se rendre à la raison Marc était plus fort.

Les tentions étaient maintenant en train de retomber dans l’agence, Manue se sentait soulagée et avait bien compris qu’elle n’était pas prête de revoir ce type de sitôt. Elle allait retourner à son bureau quand son patron la retint par le bras.

« Et ma belle, ne t’en vas pas si vite. Tu pourrais au moins me remercier. »
« Oh oui pardon Marc, bien entendu je vous suis redevable. Merci beaucoup. »
« Mais je m’en fou de tes belles paroles ! » Il ouvrit son pantalon et sorti son sexe totalement mou.
« Remercie-moi avec des choses que tu sais bien faire. » Elle lui devait bien cela, la jeune fille s’agenouilla donc au milieu de l’accueil et sans plus attendre prit son patron en bouche. Elle essayait d’y mettre du sien en s’appliquant du mieux qu’elle pouvait pour remercier son chef comme il le méritait.

Le sexe était tellement au repos qu’il lui était difficile de le garder en bouche, elle l’aspirait donc à chaque passage de ses lèvres. Cette succion douce provoquait son effet chez son patron, le sexe se gorgeait petit à petit de sang pour terminer enfin raide au fond de sa gorge. Elle appuyait le bout de l’organe contre l’intérieur de sa joue et le faisait glisser contre la paroi. Vu comment Marc agrippait les cheveux de sa jeune stagiaire cette petite variante buccale avait donc son effet. Elle le faisait glisser sur toute la paroi pour le faire ressortir de sa bouche, et aussitôt à l’air libre elle le renfournait au plus profond de sa gorge. De sa main droite elle malaxait doucement les testicules tandis que sa main gauche caressait la fesse droite de son maitre de stage.

Emilie restait en arrière de la scène ne sachant pas si elle pouvait s'immiscer. Elle attendait donc un geste, un signe. Toujours est-il, elle prenait un certain plaisir à assister à ce moment. Elle aussi avait toujours aimé les formes longilignes de ma copine, même si elle se disait plus attirée par les hommes, elle ne restait pas insensible à la beauté féminine. Elle en a déjà fait souvent la preuve à Audrey et Manue. Elle savourait chaque moment, elle jalousait la poitrine ferme de sa copine. Même si Manue complexait beaucoup sur sa petite taille 85B, Emilie fantasmait sur le fait d’en avoir une comme la sienne. Ses seins étaient beaux, ronds et fermes. Le grain de peau de la jeune stagiaire ne faisait qu’accentuer le sentiment de douceur qu’ils pouvaient avoir. A chaque fois, qu’elle ressortait le sexe de l’homme de sa bouche et qu’elle le reprenait sa poitrine ondulait sous les mouvements de tête.

Marc prit son sexe en main, et de temps en temps venait tapoter avec sur la joue et les lèvres de la jeune fille. Son autre main agrippait toujours la tignasse et tirait la tête en arrière.
Manue ressentait une excitation non dissimulable, cela faisait des semaines que son patron lui faisait subir des humiliations sexuelles sans même l’avoir honorée une fois. Elle avait eu à plusieurs reprises le sexe de son patron en bouche mais pas en elle. Et là, elle le voulait. Elle voulait qu’il la pénètre, son sexe humide n’attendait que cela.

Elle se recula légèrement de l’homme et leva la tête en sa direction, son regard en disait long. Elle prit sur elle et se surprit à demander : « Je veux vous sentir en moi ! »

« Redis-moi ça ? »
« Je veux vous sentir en moi »
« Comment on demande ? »
« S’il vous plait, baisez-moi ! »
« Mais dis donc on dirait que tu es en train de devenir une vraie petite salope toi. Ton mec ne te suffit plus ? Regarde-moi ça, tu te rends compte ? Tu es à poil dans une agence d’assurances en train de sucer ton patron et tu le supplies, en plus, de te baiser comme une chienne à même le sol. On dirait que ton petit rôle de soumise commence à porter ses fruits. »
« S’il vous plait ! »
« Allonges toi par terre sur le dos. » il la poussa violemment au sol. Le corps nu de la jeune s’écroula sur la moquette de l’entrée. Marc sorti de sa poche la petite télécommande qui n’avait pas utilisé depuis un moment. Il actionna un bouton qui provoqua aussitôt chez la fille l’effet de surprise. L’œuf vibrait doucement en elle, elle sentait la chaleur augmenter dans son sexe. Une sensation agréable était en train de se produire dans son ventre. Elle fermait les yeux pour apprécier chaque moment. Marc et Emilie assistait à la scène amusés. Telle une fille radio télécommandée, Marc jouait avec son joystick comme un gamin. Il alternait des séquences de vibrations intenses avec des moments de relâches. Le corps sur le sol ondulait sous les secousses du jouet. Elle n’arrivait plus à contenir ses petits cris de jouissance, elle était maintenant totalement excitée.

Il n’avait jamais été aussi fort jusque-là avec l’œuf, il vibrait avec intensité dans la jeune fille ne lui laissa plus de petits temps pour re prendre ses esprits. Manue ne contrôlait plus son corps, tout vibrait en elle. Elle gesticulait dans tous les sens à même le sol implorant à son chef d’arrêter le supplice et de venir la baiser.

Mais Marc ne l’entendait pas dans ce sens.

« Il va falloir que tu apprennes une chose ma petite, pour que ma bite rentre dans ta chatte ou encore même dans ton cul, il va falloir la mériter. »
« S’il vous plait, je la mérite non ? »

Marc fit signe à Emilie de s’approcher. Ca y elle était enfin conviée à pouvoir participer aux ébats du bureau. Il la fit se mettre à quatre pattes justes à côté du corps nu animé. Il baissa son pantalon pour dégager totalement son sexe bien dur, et vint se positionner en levrette derrière Emilie. Après avoir craché dans le creux de sa main, il enduit de sa salive le bout de son sexe et vint pénétrer la jeune rousse d’une seule traite.
Manue assistait malgré elle à la scène et venait de comprendre le stratagème de son chef, il avait décidé de ne pas assouvir son désir et d’accroitre une nouvelle fois sa frustration. Il était en train de baiser énergiquement la jeune étudiante. Emilie n’eut pas long à atteindre son orgasme tellement les vas et viens se faisaient rapides. L’homme ne la ménageait pas et lui offrait quelques claques sur les fesses pour donner plus de tonus à sa chevauchée.

« Regarde çà comment elle couine ta petite copine. T’aurais aimée être à sa place toi ? Mais tu n’es pas assez salope pour ça. Faut mériter de se faire baiser comme une pute »
Manue avait perdu toute notion et employait à son tour le langage de Marc.
« Mais je suis une salope, je vous jure. J’ai envie d’être baisée aussi. S’il vous plait. »
« Non, tu es juste bonne à bouffer du foutre ! »
Marc se retira d’Emilie et vint se positionner au-dessus de Manue, debout.
« Ouvre ta bouche. Plus grand que ça. »
Il éjacula en prenant soin de viser la bouche grande ouverte. Mais à la distance d’où il se tenait il lui était difficile de bien viser. Et la figure de Manue se voyait enduire de sperme. Le liquide coulait de tous les côtés, allant même jusque dans les cheveux. Ses yeux lui piquaient à cause du sperme.

« Tire ta langue, montre-moi à quel point tu es une bonne bouffeuse de sperme »

Elle tira sa langue et des gouttes lui tombèrent dessus. Elle les avalait au fur et à mesure.
Marc stoppa l’œuf à l’aide de sa télécommande pour laisser la jeune fille reprendre ses esprits et conscience dans quel état elle était.

« Allez racle moi tout ce précieux jus avec ton doigt et bouffe le mon sperme. Je ne veux plus voir une trace »

A la manière d’une glace, la jeune fille récoltait avec son doigt le foutre de son visage et l’essuyait aussitôt avec sa bouche. Elle resta comme çà allongée de longues minutes en montrant à son chef à quel point elle prenait soin de ne négliger aucune zone.

« Bon allez on a perdu assez de temps, retournez au boulot ! »

Marc referma son pantalon et retourna comme si de rien n’était dans son bureau en prenant soin de fermer sa porte derrière lui.

L’excitation de la belle retombait petit à petit, et elle prenait conscience dans quel état elle était et les propos qu’elle avait pu tenir. Elle ressentait au plus profond d’elle un sentiment de honte et d’humiliation. Comment était-elle arrivée à ce point si esclave de son patron. Qu’était-elle devenue? Partagée entre la honte et le désir encore présent au fond elle, elle se redressa et retourna ainsi à son bureau.
par manukib56
#1456245
Soumise malgré elle.


Mathias n’avait jamais digéré le fait d’avoir joué sa petite amie au poker et par sa faute l’avoir soumise aux volontés d’un homme, bien qu’ayant des rapports un peu particulier avec lui, qui était il y a encore quelques temps totalement étranger.

Le soir où il avait accueilli chez lui, il se souvient encore du moment où il avait ouvert la porte de chez lui et la retrouvait habillée d’un simple imper totalement nue et souillée par le foutre des deux hommes.

Elle était rentrée chez lui tête baissée le suppliant de bien vouloir d’elle. Mathias s’en voulait tellement de la retrouver ainsi dans cet état.

Il la serra dans ses bras et l’embrassa tendrement pour lui montrer son affection et à quel point il était fier d’elle. Sa bouche avait un gout amer et sa peau sentait le sperme. Il se forçait à ne pas ressentir de jalousie et encore moins de dégout envers elle. Il lui retira son imperméable beige et vit autour du cou de sa copine le petit collier.

« Qu’est ce que c’est »
« Ils m’ont traité comme une chatte, la preuve en est »

Sa peau était collante avec le mélange de lait et de sperme, son maquillage dégoulinant sur son visage montrait les ravages des ébats sexuels qu’ils ont pu avoir.

Sans vouloir réfléchir Mathias la conduisit dans sa chambre et se déshabilla à son tour. Sans un échange de mots entre ce couple, il lui fit l’amour avec la plus grande douceur. Il était allongé sur elle et l’embrassait comme jamais il ne l’avait embrassé tout en baladant son sexe dans celui de sa copine. Cette marque d’affection permit à Audrey de reprendre confiance en elle et se sentir ainsi vraiment désirée.

Le jeune couple avait beaucoup discuté de cette soirée et Mathias avait juré de ne plus jamais jouer au poker du moins en engageant des paris.

Marc appela Mathias dans la semaine pour lui exposer sa version de la soirée, et que tout ce qu’a pu lui dire Audrey, elle avait certainement omis de lui dire qu’elle avait aussi pris son pied. Chose que Mathias ne voulait croire.

« Ecoute, si je te dis. Elle couinait quand on lui prenait le cul. Elle aurait voulu qu’on la baise. Je te dis, ta copine c’est une bonne salope avec du potentiel. File moi son numéro de portable je te garantis qu’elle sera prête à retenter l’expérience. Qu’est-ce que tu risques ? »

La discussion téléphonique entre les males s’éternisa dans le temps, mais le discours de Marc et sa négociation allait encore en sa faveur. Mathias lui donna le numéro de portable de sa copine, se persuadant qu’elle n’accepterait aucune avance de cet homme.

Marc appela dès le lendemain sa petite préférée.
« Oui, c’est Marc ! »
« Qu’est-ce que vous me voulez ? » depuis cette soirée elle n’arrivait pu à le tutoyer, le vouvoiement était pour elle une barrière imaginaire qui l’a permettrait peut-être de la préserver. Mais elle se trompait cela ne faisait qu’assoir sa soumission.
« Rendez-vous jeudi prochain à 12h00 sur le parking du haut du Carrefour de Vannes. Tu viens seule. »
« Je ne peux pas je bosse. »
« Je me suis arrangé avec ton patron, tu as ton après-midi. Soit à l’heure ! » Il raccrocha net sans même laisser le temps à la jeune fille de répondre.

Audrey ne savait pas comment réagir face à ce coup de fil. Elle refusa catégoriquement au tout début d’aller à ce rendez-vous. Puis les jours de la semaine s’écoulant et voyant la date approchée son avis divergeait. Elle décida de n’en parler à personne et de s’y rendre par simple curiosité pour voir jusqu’où cet homme était capable d’y aller.

Jeudi 16 octobre 2013 – 12h00.

Elle gara sa C3 blanche commerciale sur le parking extérieur à l’étage du centre commercial. Elle due patienter quelques instants avant de ne voir arriver à son niveau le gros 4x4 noir de Marc. Il ouvrit la porte passager et l’invita à monter à son bord.

« Où va-t-on ? »
« Pose pas de questions, montes et puis c’est tout. »

Elle monta dans le véhicule sans grande conviction. Aussitôt était-elle dans le véhicule qu’il redémarra pour quitter le parking. Malgré un temps un peu gris, le temps était encore très doux pour la saison. Le trajet en voiture ne dura pas très longtemps et ils se retrouvèrent dans un petit lotissement sur un petit parking public non loin de Vannes.

« Descends, on va faire un petit tour à pied histoire de discuter »

Attenant au parking un petit chemin débouchait et semblait se diriger vers un bois. Audrey pas très rassurée suivait tout de même Marc qui semblait très bien savoir ce qu’il faisait.

« Où allons-nous comme çà ? »
« Je te fais prendre l’air. On n’est pas bien ici tous les deux ? »

Marc semblait connaitre les lieux comme sa poche et de petits chemins en petits chemins, il réussit à perdre Audrey. Elle était totalement déboussolée.

Ils étaient maintenant dans un petit espace dégagé où de magnifiques chênes ornaient les environs. L’endroit était calme et totalement isolé. Elle ne s’attendait pas à trouver un petit coin comme celui-ci à proximité d’un lotissement.
A en voir la végétation, pas grand monde ne devait s’aventurer jusque ici.

« Tiens mets çà ! » Une cagoule ? Mais pour quoi faire ?
« Non je ne peux pas. Je pensais juste que vous vouliez me voir pour discuter, je ne rentre plus dans vos combines. J’ai payé pour Mathias, on ne vous doit plus rien.»
« Mets çà je te dis et arrête de poser des questions. Ne me fais pas perdre mon temps. »
Apeurée et se sentant isolée elle regrettait de s’être jetée ainsi dans la gueule du loup. Comment avait-elle pu être aussi naïve. Ne voyant plus d’issus, elle mit sur son visage la cagoule qui lui était tendue et la douce journée devenue tout d’un coup totalement sombre pour elle.

Marc la prit par la main et la dirigea vers un chêne, il la mit en face de l’arbre et lui fit passer les bras autour de celui-ci. Avec un collier plastique, souvent utilisé en bricolage, il lia ses bras autour de l’arbre. Son visage était écrasé contre le tronc. Son souffle était fort et ses jambes tremblaient sous elle. Elle était totalement tétanisée. L’homme passa ses mains entre l’arbre et elle pour lui saisir ses seins fermement comme il en avait l’habitude, son souffle était fort. Il lui remonta son petit pull et son soutien-gorge pour en sortir sa lourde. La cagoule sur le visage lui serrait tellement qu’il était difficile pour elle de prétendre sortir le moindre son de sa bouche. Et la peur l’en empêchait aussi. Ses mains glissèrent sur l’ouverture de son jean et le déboutonna. En même pas cinq minutes elle se retrouva pantalon et culotte sur les chevilles, et le haut remonté jusqu’au cou. Elle se sentait vulnérable et s’attendait au pire. Tout était noir autour d’elle, l’air automnal venait faire frissonner sa peau. Elle sentait sur son corps la matière dure de l’écorce. Marc ne la touchait plus, il s’était reculé. Le silence du lieu était revenu. Elle sentait sur son visage les larmes qui commençaient à perler, elle se sentait perdu.

Soudain un craquement de brindilles vint interrompre le silence qui s’était installé. Ce craquement devenait de plus en plus audible. Tous les sens de la jeune fille étaient en éveil. C’était des bruits de pas. Ils arrivaient de chaque côté d’elle, quelqu’un pour la sauver ?

Non, une main vint caresser sa fesse droite, elle la malaxait, la main glissait entre ses cuisses. Marc lui susurrait à l’oreille :

« Mmhhh mais c’est que tu mouilles, j’ai toujours su que tu étais une bonne petite salope. Mes potes et moi on va bien s’amuser. »

Ca y est, elle en était maintenant sure, il n’était pas tout seul. Qui était avec lui, ils étaient combien ? Qu’allait-il faire d’elle ? Elle commençait à suffoquer de panique sous son masque. Mais ce qui lui paraissait étrange, c’est que Marc avait raison. Même si elle était tétanisée par la peur, son sexe s’humidifiait au fil du temps. Elle croyait bien n’avoir jamais été aussi inondée auparavant.

La main qui parcourait son sexe se montra plus entreprenante, et deux doigts fouillaient maintenant l’intérieur de son vagin. Elle ne pouvait rien faire contre.

C’était je crois la première fois que les gars me faisaient l’honneur d’être le premier, ils avaient décidé que mon sexe étant le plus ordinaire qui soit, elle n’arriverait pas à me reconnaitre tout de suite. En fait, le petit stratège était ficelé depuis le tout début. Quand Marc avait appelé Mathias pour lui proposer de revoir Audrey, c’était en fait pour lui montrer à quel point elle aimait être soumise. Et il n’y avait qu’une seule chose à faire le lui prouver.

Je retirais donc mes doigts du sexe de la jolie brune, pour venir la pénétrer. J’étais excité par la situation même si un sentiment de culpabilité me faisait dire que ce qu’elle était en train de vivre en ce moment devait être atroce.
Cela faisait longtemps que je n’avais pas revu Audrey et quel plaisir de me retrouver ainsi en elle. Pendant que j’étais tranquillement en train de la baiser, Marc continuait son acharnement psychologique.

« Tu prends ton pied petite salope, hein ? Tu ne sais même pas qui est en train de te baiser que tu mouilles. Que dirait ton petit copain s’il te voyait ainsi ouverte à qui veut ? »

Mathias trépignait d’impatience à mes côtés, il était mélangé d’un sentiment d’excitation avec un certain énervement de voir sa copine ainsi. Jamais il n’aurait cru çà d’elle. Il attendait son tour le pantalon déjà sur les chevilles le sexe en érection.

Je me dégageais donc de la jeune fille pour laisser la place à son conjoint. Il arriva brutalement derrière elle. Avec sa main il écrasait son visage contre le tronc, il la pénétra de la façon la plus brutale qu’il soit. Tout son corps venait écraser sous ses assauts le corps de la jeune fille. Sa poitrine rappait contre l’écorce du chêne.

« Il te ménage pas celui-là, on aime être prise comme ça, hein ? Tu sais y’en a encore derrière à attendre leur tour. »

Mathias continuait à lui donner de gros coups de reins entre les cuisses, peu importe le plaisir. Il voulait la mal mener et cela semblait porter ses fruits. Malgré la cagoule on arrivait à entendre les cris sourds d’Audrey mais il était difficile pour nous de dire s’ils étaient de plaisir ou de douleur. Je pense que c’était un peu des deux. Mon ami suait à grosses gouttes à monter de cette façon sa petite amie. Il du même arrêter pour laisser la place à un troisième afin qu’il puisse reprendre son souffle. Jean Pierre ne laissa pas le temps à la jeune fille quant à elle de reprendre son souffle, il l’investit aussitôt son corps. Il essayait de se coller à la cadence qu’avait imposée Mathias.

« Tu ne t’es jamais fait limer comme çà. Encore une chance qu’ils n’en veulent qu’à ta chatte, imagine s’ils étaient dans ton cul. »

Malgré la taille imposante du sexe de Jean Pierre facilement reconnaissable, Audrey n’avait pas encore fait le lien et était toujours dans le questionnement sur qui était en train de la baiser ainsi. Mathias était à nouveau prêt pour reprendre le relai, suivi de ma participation.

Notre petit manège dura un très long moment, Audrey arrivait à peine à rester debout sur ses jambes tellement la fatigue physique et mentale l’avait inondée. Et contre toute attente, et à la plus grande surprise de Mathias on l’entendait même pousser des petits gémissements de plaisir. Ce qui je crois énervait encore plus profondément Mathias mais qui amusait Marc.

Marc passa derrière l’arbre pour découper le lien de la jeune fille, qui tomba aussitôt à genoux.
Il la traina à même le sol sur quelques mètres et chacun à notre tour on venait se vider sur elle, comme si on était devant un urinoir. Nos râles se faisaient entendre, très vite le corps et les habits de la jeune brune se voyaient immaculés de nos liquides blanchâtres à l’odeur âpre.

Audrey était inerte sur le tapis de feuilles attendant que cela se passe. On pouvait voir sur ses poignets la petite marque rose violette du lien qui avait servi à la maintenir à l’arbre.

Une fois notre affaire faite nous dégagions les parages, la jeune commerciale resta tout seul avec son bourreau.

Marc lui ôta sa cagoule, elle mit un certain temps avant de pouvoir ouvrir les yeux, aveuglée par la luminosité.

« Bon allez restes pas là, je te ramène. »

Dans le plus grand silence, ils remontèrent à la voiture de l’assureur. Et pas cinq minutes après, il la déposa sur le parking où il y a encore quelques heures elle y était sans savoir ce qui l’attendait.

Sans même un au revoir, Marc redémarra et quitta la jolie brune. Elle se retrouva ainsi totalement débrayée avec de grosses tâches de sperme sur les habits. Elle remonta dans sa voiture et rentra chez elle.
par cffj14
#1456865
zztop a écrit :2 belles petites soumises parfaites...ne manque plus que des photos......



les photos ont ete plusieurs fois demandées
je crois que l'on en aura jamais :(
par manukib56
#1463625
Sur la route des vendanges.

Manue m’annonça timidement qu’elle devait s’absenter quelques jours pour un déplacement d’affaires avec Marc sur Bordeaux.

C’est par ailleurs comme çà que nous avions compris d’où lui provenait tout son argent. En fait, il était actionnaire de plusieurs petits cabinets d’assurances un peu partout dans l’hexagone, qui se spécialisaient dans des domaines très particuliers. Notamment l’agence où ils devaient se rendre tous les deux était une petite compagnie d’assurances pour les fermes viticoles de la région Bordelaise. Marc s’y rendait une à deux fois dans le mois pour faire acte de présence auprès des salariés et l’occasion pour lui de rencontrer quelques potentiels futurs clients.

Il voulait que cette fois ci Manue participe avec lui à l’entretien avec un client. Manue avait travaillé sur le montage du dossier et il semblait intéressant qu’elle le suive jusqu’à la signature. Devant une telle opportunité il m’était impossible de montrer quel qu’il soit comme opposition A contre cœur donc, je l’encourageai donc à aller à ce déplacement en sachant bien qu’il cherchera à profiter de la moindre occasion pour la faire devenir encore plus vulnérable devant sa domination.

Nous passions notre dernière soirée chez elle, le moment était tendre et fusionnelle entre nous. Je ressentais un terrible pincement de la savoir à l’autre bout de la France avec cet homme. Depuis notre dernière histoire avec Audrey dans le bois de Vannes, j’ai vraiment pris conscience du pouvoir de manipulation que pouvait avoir cet homme sur son entourage. J’avais toujours admiré Audrey et Mathias pour leur côté assumé de leur sexualité, leur coté ouvert et libre. Mais la dernière fois, j’avais bien vu que ce n’était plus eux qui contrôlaient. Audrey était devenue vulnérable et était tombée dans l’engrenage de notre assureur.

Notre situation était étrange nous savions tous que chacun de nous était manipulé par ces deux hommes mais aucun de nous ne semblait vouloir y lutter.

Marc arriva à son appartement qu’il offrait gracieusement à ses deux jeunes filles (Manue et Emilie). Il semblait pressé de partir.

« Salut Fred, la forme ? Faudra qu’on se cale une bouffe un de ces jours. Tu m’excuses mais on est assez pressé, on a pas loin de cinq heures de route. Manue tu es prête ? »

Manue se dépêcha de prendre sa valise, s’habilla d’une petite veste et arriva dans l’entrée de l’appartement.

« Oui c’est bon, je pense n’avoir rien oublié. »
« Parfait allons y. Si tout roule bien nous devrions arriver sur Bordeaux pour 21h. On dinera à l’hôtel. »

Ce mot me fit frissonner de jalousie, « Hôtel ». Ils allaient partager le même hôtel pendant 2 nuits. Manue m’avait dit qu’une chambre lui était réservée pour elle uniquement mais une fois là bas, il pouvait se passer n’importe quoi que de toute manière je ne pourrai intervenir.
C’est donc le cœur blessé que je laisse partir ma petite amie avec son patron.

De la fenêtre de la kitchenette de son appartement, je la vis monter dans l’immense quatre quatre de Marc. Les vitres fumées de l’automobile m’empêchaient de voir ce qui s’y passait à l’intérieur. La voiture s’éloigna doucement dans la ruelle.

« Bon tu as tout bien prévu avec toi ? Les dossiers ? »
« Oui c’est bon, tout est dans la sacoche de l’ordinateur ? J’ai tout contrôlée ce matin avant de faire mes valises. »
« Je te fais confiance. Par contre tu ne comptes pas t’habiller comme çà demain ? »
« Non, vous inquiétez pas. Si j’ai mis un jean c’était parce que je savais que nous avions de la route. J’ai prévu un tailleur pour demain. »
« Oui on verra çà. Je te veux la plus belle qui soit demain. Je sais que ce client sera sensible à tes jolies courbes. Ca le déstabilisera pendant la signature. » Ils venaient à peine de rentrer sur la voie express en direction de Nantes, que Marc se gara sur le bas-côté près d’un poste d’appel.
« Qu’est-ce qu’il se passe ? Il y a un souci avec la voiture ? »
« Et tu oses me poser la question ? » Marc semblait d’un coup totalement énervé ce qui avait pour réaction de toujours apeurer Manue.
« Tu ne crois tout de même pas que tu vas voyager comme çà. Allez, retires moi tout çà. »
« Quoi comment ça ? Vous voulez que je me déshabille dans la voiture ? »
« On n’est pas d’en un endroit confiné ? Si, alors tu te dessapes tout de suite. »
Manue devait se résigner aux règles que lui imposait son chef, elle regrettait même de ne pas y avoir songé avant. Elle savait que quand elle anticipait cela se passait mieux après, mais là énervé comme il est, elle savait qu’elle allait devoir payer le prix de sa désobéissance.

Elle détacha sa ceinture de sécurité et serrée dans l’habitacle de la voiture elle se contorsionna pour retirer sans plus attendre ses vêtements. Qu’elle passait au fur et à mesure sur la banquette arrière. Elle savait qu’elle allait marquer des points : sachant qu’elle allait passer trois jours avec lui, elle s’était rendue la veille chez son esthéticienne. Son sexe était fraichement épilé et sa peau semblait douce.

Elle se réinstalla sur le siège et remis sa ceinture entre ses deux petits seins nus. Marc redémarra la voiture et reprit la route. Pendant qu’il conduisait, il s’amusait à violenter les petits tétons de la jeune fille pour les faire rougir et se dresser. Manue ne cessait de regarder par la fenêtre s’assurant que les personnes qu’ils doublaient ne pouvaient la voir à travers les vitres.

Cela faisait maintenant presque qu’une heure qu’ils étaient partis, Ils arrivèrent au niveau de Nantes, c’était l’heure de grande affluence des sorties de bureaux. Des ralentissements sur la rocade se faisaient nombreux.

Marc se sentait d’humeur joueuse pour le coup. Pendant un moment où ils étaient arrêtés sur la voie, ils étaient au niveau d’un camion de transport portugais. Marc qui avait accès à toutes les commandes des vitres électriques de la voiture, ouvrit très lentement le carreau passager.
Manue ne savait où se mettre. Il n’eut pas fallu pas une minute au chauffeur routier pour se rendre compte que la voiture à ses côtés accueillait une jolie demoiselle entièrement nue. Du haut de son bahut il pouvait aisément voir tout l’habitacle et ne se cachait pas de profiter du spectacle.

« Allez donc, écarte tes jambes, montres lui ce qu’il a envie de voir » Avec sa main qu’il glissa entre les cuisses de sa stagiaire, il lui écarta les jambes pour offrir au voisin une vue imprenable sur la vulve imberbe de la jeune fille.

Le portugais était aux anges et n’en croyait pas ses yeux. Cette petite exhibition ne dura pas longtemps mais pour Manue cela lui semblait être une éternité. Très vite, le trafic routier reprit et la file de véhicules se fît moins dense.

Marc referma la fenêtre de peur sans doute que sa petite protégée ne prenne froid.

Sa main droite trainait toujours entre les cuisses de Manue, avec un doigt il venait de temps à autre titiller son petit bouton. Qui sans surprise provoqua chez notre amie un certain émoi. Manue avait toujours été plus clitoridienne qu’autre chose. Il n’en fallait pas plus pour elle pour qu’elle soit totalement dégoulinante de plaisir. Et c’est ce qui interpella son patron.

« Mais dis-moi, c’est que tu es en train de mouiller comme une parfaite petite salope ? »

Malgré toute la honte qu’elle pouvait avoir, il lui été impossible de le dissimuler, son sexe était maintenant en train d’accueillir deux doigts de son patron. Deux doigts qui vinrent en butée contre l’œuf qu’elle avait appris à vivre avec.

« Mmmmmh je vois que tu ne le quittes plus ton petit jouet. C’est bien. Allez pour te récompenser tu vas pouvoir te désaltérer un peu. »
Il agrippa les cheveux de Manue et tira sa tête pour venir lui montrer ses intentions. Il voulait se faire sucer tout en roulant.
« Allez, viens me boire. » Il déboutonna son pantalon de costume et sortir son sexe dur. Elle n’avait d’autre choix que de le prendre en bouche.

Le sexe de l’homme était déjà bien tendu et elle rencontrait déjà des difficultés à le mettre entièrement dans sa bouche. Mais cela ne semblait pas amadouer notre patron d’entreprise qui appuyait avec sa main sur la tête de la jeune passagère pour s’assurer de bien enfoncer son organe jusqu’au plus profond de sa gorge. Lui aussi semblait très excité car la caresse buccale ne dura pas longtemps et très vite elle sentie au fond de sa gorge des sursauts de plaisir chaud l’inonder. Elle prenait bien soin de tout avaler sans laisser le moindre filet s’échapper sans quoi elle savait qu’elle serait réprimandée pour cela.

Une fois son affaire faite il la repoussa énergiquement. Mais l’homme semblait tout de même plus détendu. Le trajet se poursuit dans une circulation fluide. La nuit commençait à tomber.
Manue avait gardé un petit goût âpre dans la bouche, elle sentait le besoin de se désaltérer et surtout faire une petite pause commodité.

« Excusez-moi, on peut faire une petite pause. J’ai vu qu’il y avait une aire pas très loin à cinq kilomètres. »
« Oui bien sûr. »

Les panneaux annonçant clairement l’aire de repos étaient nombreux sur le bord de la route, malgré toutes ces indications Marc ne s’arrêta pas et continua sa route lancé à vive allure.

« Vous ne vous arrêtez pas ? »
« Non je connais une autre aire à quelques kilomètres de celle-ci. »
Manue était dans l’incompréhension totale, cette aire d’autoroute semblait offrir tous les services nécessaires. Grande station-service, magasins, aire d’accueil etc … Que pouvait-il y avoir d’autres de plus intéressant.
Ils roulèrent encore quelques kilomètres avant qu’elle ne ressente la voiture ralentir. Le clignotant était mis et le véhicule s’embrancha dans un couloir de ralentissement entre une grande allée de Pins.

L’endroit était glauque et sombre. De nombreux camions étaient stationnés sur les bords de la petite voie. Tout au fond de passage un petit bâtiment éclairé accueillait des toilettes et deux trois lavabos. Marc se gara volontairement à quelques pas du bâtiment bien en amont de la rangée des camions.

Manue n’osait trop rien dire de peur d’agacer une nouvelle fois son patron, elle tendit le bras à l’arrière pour attraper ses vêtements.

« T’embête pas avec ça. Tu n’as qu’à prendre ma veste elle sera suffisante. Tu ne comptes pas y rester une heure là-bas si ? »

Manue attrapa la veste noire de son patron et l’enfila. L’habit lui arrivait à peine au niveau des genoux. Elle inspira très fort pour se donner du courage et ouvrit la porte. Ses pieds se posèrent sur le sol et un petit vent frais vint s’engouffrer en dessous son vêtement qui la fit frissonner. Elle avança timidement, la tête baissée, au beau milieu de tous ces camions. Les plaques d’immatriculation vinrent de partout en Europe. Une grande majorité rentrait en Espagne ou au Portugal. Il ne fut pas longtemps pour qu’un camionneur prenne conscience de cette jeune fille, étrangement vêtue, qui passait entre leurs outils de travail. Il alluma ses phares pour lui éclairer non pas le chemin mais pour l’éclairer elle. Il remarqua qu’elle n’était pas chaudement habillée. Il ouvrit sa fenêtre de camion et la héla comme si il rappelait au pied son chien. Manue maintenait sa tête baissée et hâtait le pas. Le cri du camionneur donna l’alerte aux autres campeurs, qui tour à tour allumèrent leurs feus pour éclairer la piste du spectacle. La jeune fille était terrorisée, elle se faisait les pires scénarios dans sa tête et se demandait comment cela allait se terminer.

Elle arriva aux sanitaires où elle s’enferma dans une toilette. L’endroit était sale et fort odorant mais elle avait le sentiment d’être un peu protégée par cette porte verrouillée.

Malheureusement elle ne pouvait rester ici une éternité et fallait maintenant ressortir pour revenir à la voiture. Elle ouvrit timidement la porte et passa la tête pour s’assurer que personne ne l’attendait derrière. Après un bref passage au lavabo pour se laver les mains, elle se dirigea vers la grosse voiture noire de son patron, qui assistait à la scène amusé.

Il lui fallait maintenant retraverser à nouveau cette longue ligne droite entre les camions et assumer les regards pervers qui allaient se poser sur elle.
Au fur et à mesure qu’elle progressait, les phares des camions s’allumaient. Les klaxons retentirent dans le silence de la nuit. Elle était maintenant en train de courir hisser sur ses chaussures à talons.

Elle arriva enfin au niveau de la portière, elle saisit la poignée et s’engouffra dans l’auto. Marc riait aux éclats.

« Ma pauvre fille, tu devrais voir ta tête ! Tu as vu comment tu as été accueillie comme une star. Si çà ce n’était pas une haie d’honneur, sous les projecteurs. »

Manue n’était pas d’humeur à la rigolade, et sentait son cœur taper dans sa poitrine. Elle retira à nouveau la veste et le trajet pouvait reprendre son cour.

Ils avaient encore une bonne heure et demie devant eux. Leurs discussions prirent une tournure plus professionnelle et ils commencèrent à échanger sur des aspects techniques du dossier pour la réunion de demain.
par manukib56
#1465288
Un hôtel chic

Bordeaux pointait son nez au loin, les rues de la ville étaient calmes. La grosse berline se gara devant un hôtel huppé de la ville. Manue n’en croyait pas ses yeux, elle avait déjà pu observer par la vitre la beauté de la ville mais la devanture de l’hôtel était au-delà de ses espérances. Jamais auparavant elle n’aurait imaginé pouvoir séjourner dans ce genre d’établissement.

L’hôtel occupait un bâtiment du XVIIIe siècle dans le centre de Bordeaux, « le Patio de l'Intendance ». Il était situé à quelques mètres du Grand-Théâtre.

Il fallut un peu de temps pour elle pour sortir du véhicule, le temps de remettre ses habits qui étaient maintenant tout froissé.

Marc ouvrit sa fenêtre et fit signe au portier de venir les accueillir. Manue se fit ouvrir sa portière et sa valise la suivait dans tous ses mouvements portée par un groom.

Marc s’annonça à l’accueil et se vit confier deux clés. Manue se sentie soulagée, une chose était sure elle allait avoir sa chambre.
« Tiens voici la tienne » le numéro 115, elle réussit à lire que celle de son chef était juste à côté, le numéro 114. Elle ne serait donc pas loin de lui.

Arrivés chacun devant leur chambre, ils échangèrent un dernier regard.

« On se retrouve en bas dans trente minutes pour diner. »

Manue, prit possession de sa chambre. Tout lui semblait démesuré, du lit au petit salon, elle se sentait princesse. Sa chambre donnait directement sur le Patio de l’hôtel qui donnait une ambiance zen à la situation.

Elle quitta ses vêtements pour aller se glisser sous la douche et se rafraichir de ce voyage pleins de rebondissements.

Elle avait prévue dans sa valise de quoi s’habiller élégamment. Elle savait qu’elle serait amenée à diner voire même déjeuner au restaurant. Et pour son premier gros rendez-vous clientèle elle était décidée à se mettre sur son trente et un. Elle avait amené avec elle toute sa garde-robe.

Pour ce diner, elle opta pour une tenue sobre mais chic. Elle choisit un ensemble de dentelle noire pour ses sous-vêtements, une paire de bas auto-grippant. La robe de soirée était classe mais sans strass ou autre. Elle jouait la carte de la simplicité. Une petite paire de bottines pour accroitre sa féminité, un maquillage très léger pour mettre en avant ses jolis yeux. Et la jeune stagiaire était maintenant fin prête.
Elle arriva dans la salle de réception, où très vite elle fut prise en charge par un serveur qui l’accompagna à la table. Marc y était déjà installé et attendait sagement un verre de whisky à la main.

« Mais dis donc tu es métamorphosée. Voilà comment j’aime te voir habillée. Tu veux une coupe de champagne ? Garçon ! Apportez une coupe de champagne à la demoiselle. »

Même s’il avait l’habitude de la voir totalement nue, il n’arrivait pas à dégager son regard du petit décolleté qu’offrait sa robe. Le soutien-gorge balconnet donnait du volume à sa poitrine, le teint de sa peau aspirait à la douceur et aux caresses.

Marc était détendu et voulait apprécier de ce moment calme. C’était peut-être la première depuis qu’ils se connaissaient que Marc s’intéressait réellement à Manue et lui posait des questions sur notre vie de couple.

Pendant qu’ils étaient occupés à discuter, Manue se sentait bizarre, elle ressentait un certain fourniment dans ses jambes et son bas du ventre. Elle comprit très vite que son patron venait de glisser sa main dans sa poche de pantalon et était en train d’actionner la petite télécommande. Il n’avait pas actionné le potentiomètre à son maximum et cette légère caresse ne dérangeait guère sa convive. Manue prit une grande gorgée de champagne pour accuser le coup. Elle essayait, malgré le plaisir qui germait entre ses jambes, de faire bonne figure dans le restaurant. Déjà que les regards se portaient souvent sur elle de par sa beauté mais aussi de l’étrangeté du couple. La différence d’âges entre eux interloquait les femmes et faisait envie aux hommes.

Le tissu fin de sa robe, laissait apparaitre la forme de ses petits seins magnifiquement moulés dans un soutien-gorge en dentelle. Marc plongeait son regard dans le décolleté et appréciait de voir des petits frissons se former sur le dessus de la poitrine, preuve que l’œuf était en train de produire l’effet escompté. Manue se sentait se dérober, cette petite vibration constante entre ses cuisses ne lui laissait pas le temps de reprendre ses esprits. Elle voulait couper court à ce repas et remonter dans sa chambre pour pouvoir se laisser aller. Bien entendu ce n’était pas l’avis de son chef qui était disposé à poursuivre ce tête à tête.

La discussion de Marc vira sur des questions d’ordres plus personnelles, mais dans l’état d’excitation où elle était, elle se livra au jeu des confidences.

« Alors raconte-moi un peu comment ça se passe sous la couette avec ton petit copain ? »
« Oh je pense que vous le savez non ? Vous connaissez bien Frédéric maintenant »
« Oui mais tu aimes faire l’amour avec lui ? »
« Bien entendu, j’ai beaucoup d’affection pour Frédéric. »
« Mais tu préfères allez te faire baiser ailleurs ! »
« Non, heuuuu enfin … » Le visage de la jeune fille devint écarlate, l’homme savait qu’il avait touché un point sensible.
« Tu aimes être brutalisée, tu aimes être prise sauvagement. » Tout en discutant il augmentait graduellement l’intensité du jouet intime.
« Mais pourquoi vous ne voulez pas me baiser ? »
« Tiens, tiens, tiens, Mademoiselle se réveille. Pourquoi tu voudrais que je te baise ? »
« Cela fait plusieurs mois maintenant que vous jouez avec moi. Vous me faites les pires choses mais vous ne me baisez jamais »
« Arrêtes avec la sémantique : tu veux que je te baise oui ou non ? »
« Oui bien sûr, à croire que je suis repoussante. »
« Et bien il va falloir t’y faire » Marc coupa court à la discussion.

Le repas reprit une suite plus courtoise malgré l’œuf qui ne cessait de vibrer dans ses entrailles. Elle arriva difficilement jusqu’au dessert et elle se surprit même à devoir contenir un orgasme pour ne pas éveiller l’attention sur elle dans le restaurant.

Une fois le diner terminé ce n’est pas sans hâte qu’elle se leva de table pour enfin pouvoir retourner dans sa chambre. Debout au milieu des tables Marc demanda à Manue de l’embrasser langoureusement.
Elle s’approcha de son chef monta sur la pointe des pieds pour arriver à son niveau et le pris dans ses bras tout en l’embrassant. Cette démonstration créa la stupeur dans l’assemblée. Toutes les suppositions et les pour parler qu’avait suscité ce couple à leur arrivée dans le restaurant virent se lever dans l’instant. C’était vraiment un couple. Malgré la différence d’âge mais aussi de physique.

Ils quittèrent main dans la main le restaurant pour rejoindre les chambres. Marc appuya sur bouton d’appel de l’ascenseur. Et une fois n’est pas coutume, c’est ma chère et tendre qui prit les devants pour impressionner son patron.

Pendant que l’ascenseur se faisait attendre, elle passa sa main dans son dos pour saisir la fermeture de sa robe. Elle abaissa la fermeture éclair d’un mouvement brusque. Marc retourna la tête en sa direction. Dans un geste de rotation des épaules elle réussit à faire glisser les bretelles de sa robe, qui embarquèrent avec elles le tissu noir à ses pieds. Elle se retrouva ainsi en lingerie à côté de son patron devant la porte toujours close. Marc ne pouvait qu’apprécier le choix de lingerie de la jeune fille, ses bas et ses sous-vêtements noirs donnèrent encore plus un caractère sexuel au jeune corps.

La porte s’ouvrit, il s’engouffra à l’intérieur rejoint par sa stagiaire qui le temps de l’ouverture avait déjà ôté son soutien-gorge. Pendant la fermeture, c’était au tour du petit string noir dentelle de quitter la peau douce de l’étudiante.

« Ne soyez pas surpris, je ne fais qu’appliquer les règles. Totalement nue dans un endroit clos. » Il la gifla, ce qui qui eut pour effet de déstabiliser complètement Manue.
Elle portait encore la marque rouge sur la joue droite pendant qu’il était en train de maltraiter ses tétons. Ils tiraient dessus comme pour les désolidariser du sein. Il soulevait la poitrine avec insistance et la ballotait à grand coups. La punition était douloureuse et infligent. La jeune fille n’avait toujours pas relevé la tête, encore étourdie.
« C’est bien beau de vouloir prendre les devants mais il faut qu’il soient bien fait. Regarde-moi ces tétons, qu’est-ce que je t’avais dit. »

La porte s’ouvrit, ils étaient arrivés à leur palier. Marc sorti précipitamment et alla directement dans sa chambre. Manue prit le temps de ramasser ses habits au sol et se tenant la joue retourna dans sa chambre seule. L’excitation qu’elle avait eue jusqu’ici était vite retombée. Elle était maintenant honteuse, des propos qu’elle avait pu tenir et surtout dans quel accoutrement elle se retrouvait.

Elle déposa ses vêtements sur une chaise, et posa une jambe sur son lit et commença à faire descendre son bas. A ce moment-là elle reçut une violente décharge qu’il la poussa à s’allonger sur le lit. Elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait. L’œuf vibrait intensément et ne semblait vouloir s’arrêter. Elle avait l’impression qu’avec les vibrations il essayait de gagner du terrain à l’intérieur d’elle et s’aventurait toujours un peu plus profond. Son sexe lui faisait mal, il fallait pour elle trouver une solution pour l’aider. Elle n’avait jamais été une adepte de la masturbation, elle trouvait çà toujours dommage. Mais là c’était différent il le fallait pour l’aider à soulager son vagin. Elle descendit timidement donc sa main droite et alla directement positionner son index sur son clitoris. Calmement elle le caressa en prenant bien soin de faire de jolis arcs de cercle, elle connaissait suffisamment son corps et son plaisir pour savoir que quand une langue d’un homme lui promulguait cette exploration, ça avait pour conséquence de la retourner littéralement.

La situation était bizarre de sentir sa propre main lui procurer une sensation qui n’était pas encore du plaisir. Mais au bout de quelques instants, elle sentait que son sexe commençait à se mettre en marche et s’humidifiait au fil des caresses. Plus son sexe mouillait, plus le jouet intime en devenait agréable. Et par mécanisme, sa masturbation s’intensifiait pour lui permettre d’apprécier pleinement du plaisir vibratoire. Avec son autre main elle se malaxait la poitrine comme pour simuler qu’un homme la touchait.

Elle gémissait maintenant à pleine gorge, et s’acharnait toujours un peu plus sur sa petite poitrine qui pour le coup subissait ses assauts de plaisir. Elle tirait aussi violemment que son chef tout à l’heure sur ses tétons pour les faire sortir.
Ses doigts glissaient maintenant dans son sexe et venaient jouer avec l’œuf, elle l’attrapait avec la petite ficelle et le faisait venir juste au bord de ses lèvres. De temps en temps elle le ressortait complètement pour venir l’apposer directement sur son clitoris, qui provoquait chez elle une montée d’adrénaline couplée avec un gémissement aigue.

Gémissement qui arrivait à traverser les murs de l’hôtel. Marc qui avait judicieusement choisit la chambre à coté, entendait ces petits cris. Et cela provoquait chez lui, une forte érection.

Manue s’accorda un petit instant de répit, retira l’œuf et le posa sur le lit. Pendant ce bref intermède, il se déshabilla intégralement pour se sentir plus à l’aise et ainsi pouvoir reprendre tranquillement son plaisir solitaire.

Au moment où elle se rassit sur lit et prit l’œuf en main, un désir étrange lui vint. Mais il était plus fort qu’elle, de toute façon sa conscience ce soir était totalement faussée. C’est donc tout naturellement à quatre patte qu’elle se hissa sur le matelas du king size, elle saliva abondamment sur son index et l’inséra le plus délicatement possible dans son anus. Elle procéda de cette manière plusieurs fois de suite pour s’assurer de bien lubrifier sa petite entrée. Une fois que deux de ses doigts glissaient aisément dans son petit trou, elle entreprit d’y glisser l’œuf. Elle avait du mal à l’insérer tellement il vibrait. Elle se demandait même si elle y arriverait. Mais tellement excitée elle se donnait du mal à la tâche. Après plusieurs minutes, elle y arriva et le perdit maintenant totalement, seule la ficelle rappelait de sa présence. Sa main s’adonnait donc à nouveau sur son clitoris pendant que son petit cul était maltraité par les vibrations fortes du jouet.

Entendant ces cris, Marc ne pouvait se retenir d’aller voir ce qui était vraiment en train de se passer. Heureusement que pendant les réservations des deux chambres il avait demandé à avoir un double de la carte de la chambre de sa salariée pour des cas où ils auraient besoin de travailler.

Il sorti de sa chambre le sexe bien tendu dans son pantalon, il ne lui fallut pas plus de cinq pas pour se retrouver maintenant devant la chambre 115. Il ne prit pas la peine de frapper et chercha même à se faire le plus discret possible en passant la carte dans la serrure de la porte. Le voyant vert l’autorisa à ouvrir la porte, qu’il fit en la retenant au maximum pour éviter de faire du bruit. Il s’introduit dans la chambre tamisée. Il avançait à pas de loup dans la chambre quand il fut surpris de voir sa jeune stagiaire dans cette position. Manue n’avait pas encore pris conscience que quelqu’un se tenait derrière elle, de toute manière elle n’était plus du tout en contact avec la réalité.

« Dis donc je te payes pas une chambre de luxe pour te voir avachie comme çà sur un lit. Un peu de tenue. »
Manue stoppa tout à l’entende de la voix de son chef. Elle n’osait pas se retourner et croiser son regard, tellement elle était houleuse.

« Oh mais dites-moi, je vois que tu le préfères dans le cul. Mais tu es devenue une vraie petite chienne toi maintenant. En plus de quémander la bite de ton chef tu la voudrais dans ton petit cul étroit ? » Il déboutonna son pantalon et sorti son sexe raide. Il le présenta à elle tel un éleveur proposant un morceau de sucre à son animal pour qu’il effectue son numéro.
« C’est donc çà que tu veux ? Allez, viens la chercher » Au fur et mesure il s’éloignait d’elle, l’obligeant à descendre du lit et à continuer à quatre pattes à même le sol.

La voyant ainsi ramper devant lui, lui donna une idée. Il retira la ceinture de son pantalon et l’enroula autour du cou de la jeune fille. Il passa la lanière en cuir dans la boucle du ceinturon pour en faire une laisse. Plus il tirait sur la ceinture, plus elle serrait autour du cou de Manue, qui lui coupait la respiration. Il la balada ainsi partout dans la grande chambre.

« Va falloir assumer d’être une petite chienne. Ne lève pas la tête comme ça ! » Tout en s’amusant à la promener en laisse, il se donnait à cœur joie de lui donner des claques sur les fesses.

Après s’être bien amusé avec lui, il la fît remonter sur le lit toujours à quatre pattes. La laisse encore pendante au cou la jeune fille se sentait humiliée d’être traitée de la sorte mais d’un côté elle l’avait bien cherché.

Marc saisit la petite ficelle qui sortait de son anus et sans prendre garde tira dessus d’un coup sec. Manue sentie un déchirement ce qui lui valut un cri fort et strident. Elle qui avait pris bien soin de l’insérer en douceur pour ne pas se brusquer se voit infliger totalement l’inverse pour le retirer. L’homme était maintenant en train de la fouiller avec ses doigts. Elle n’arrivait pas à savoir combien il en avait inséré, mais toujours est-il y’en avait de trop. Elle sentait son anus se dilater à chaque passage de son chef. Il écartait même ses doigts pour ouvrir encore un peu plus le passage. Avec son autre main, il renfourna l’œuf dans son sexe et poussa le plus loin possible. Elle était maintenant solliciter par tout. Il crachait sur son petit orifice rose pour aider l’intrusion de ses doigts. Elle essayait de se cambrer au maximum pour faciliter les envies de Marc.

Quand il en eu assez avec elle, il reprit la laisse et la fît descendre du lit.

« Au pied ! » La jeune esclave s’arrêta aux pieds de son maitre, l’anus douloureux.
« Ouvre-moi ton cul. Allez, écarte moi ça ! » Avec ses deux mains elle essayait d’écarter au mieux ses fesses pour accentuer l’ouverture déjà béante de son petit trou. Elle se disait au fond elle, que ça y est enfin elle allait avoir le droit à sa bite. Peut-être dans son cul mais c’est déjà ça. Elle attendait sagement que son maitre vienne l’enfourner. Elle posa sa tête contre le sol et relevait au maximum son postérieur, ses mains agrippaient ses cuisses pour les ouvrir le plus possible. Ca est tout était prêt maintenant pour l’accueillir en elle. Il n’avait plus qu’disposer d’elle comme il l’entendait. Il se faisait attendre voire même désirer.

Mais une nouvelle fois ce fût la douche froide pour ma belle, quelques instants après elle sentit une sensation de chaleur dans son anus. Un liquide coulait entre ses cuisses et arrivait même à rentrer dans trou ouvert. Marc était tout simplement en train d’éjaculer au-dessus d’elle en prenant bien soin de viser la cible qu’il s’était donné.

« Tiens, prends ça. Regarde un peu comment je le rempli ton petit cul de mon jus. T’aurai voulu que je te foute au fond hein ? »

Son bas du dos et son entrecuisse étaient maintenant tapissés de sperme. Quand elle voulue se relever, Marc était déjà au niveau de la porte.

« Demain matin, petit déjeuner à 8h. On partira ensuite direct à l’agence où je te présenterai l’équipe. On ne repassera à l’hôtel avant demain soir. » Et il claqua la porte derrière lui.

Elle resta de longues minutes allongée à même le sol tentant de reprendre ses esprits. Après une petite douche rapide, elle alla se coucher sans plus attendre. La journée du lendemain serait à coup sûr, une dure journée pour elle encore.
par manukib56
#1470396
Une journée d’affaires (d’enfer) 1

7h00 :

Le réveil était bien matinal pour notre chère petite stagiaire, elle était tombé de sommeil tout de suite après son aventure encore rocambolesque avec son chef. Mais cette nuit fut très appréciable et elle était maintenant en forme pour assurer une autre journée.

Elle sauta du lit pour se glisser sous la douche histoire de bien se réveiller. Elle savait qu’aujourd’hui cette journée était importante pour elle sur le plan professionnel. Elle allait faire sa première rencontre clientèle pour un gros dossier. Il fallait donc tout mettre de son côté pour que ce rendez-vous se passe pour le mieux et se concrétise par une signature. Elle savait que si elle y arriverait, Marc lui donnerai d’autres dossiers tout aussi intéressant.

Elle sortit de la salle de bain drapée d’une serviette éponge, elle se plongea dans sa valise pour trouver la tenue qui la mettrait le plus en valeur. Elle avait conscience que la première impression était toujours la meilleure, et que malgré tous les préjugés que l’on peut avoir le physique joue un facteur clé dans les échanges commerciaux et humains.

Elle opta donc à nouveau pour une tenue sobre mais stricte, elle avait une petite jupe droite noire avec lequel son petit chemisier satin beige irait parfaitement. Elle prit soin de garder quelques boutons dégrafés pour offrir une petite vue plongeant sur son décolleté, cela ne rendait en rien sa tenue choquante mais l’érotisme était tout de même présent.

Par-dessus le tout une petit veste tailleur et les cheveux attachés. La voici maintenant métamorphosée en parfaite assistance sulfureuse.

Un léger maquillage et la voici fin prête à descendre pour rejoindre son patron au petit déjeuner.

Marc était déjà installé une tasse de café à la main en train de lire le journal.

« Passez une bonne nuit ? »
« Oui agréable et vous ? »
« Ca va ! Dis-moi tu n’as pas mis un soutien-gorge tout de même ? »
« Si bien sûr. »
« Va me retirer çà tout de suite ! Je veux que tu sois bandante ok ? »
Vexée, Manue s’absenta quelques instants aux toilettes pour retirer son soutien-gorge comme l’avait demandé Marc. Elle prit bien soin avant de se rhabiller de titiller ses petits tétons pour s’assurer qu’ils soient bien durs devant son chef et que le tissu fin de sa chemise saurait les mettre en valeur.

Elle retourna dans la salle de réception, et alla se servir une tasse de thé. Les regards des autres hommes d’affaires se faisaient insistants sur son chemisier. L’effet qu’elle souhaitait produire était pour le coup réussit. Elle retourna à la table avec son patron.

« C’est mieux comme çà. Tu as bien vu comment les autres t’ont maté. »
Manue ne répondit pas. Le petit déjeuner vite avalé ils quittèrent leur hôtel pour se rendre dans la petite agence dont Marc était actionnaire. C’était important pour lui de venir à chaque fois qu’il était sur Bordeaux faire un petit passage dans les bureaux pour rencontrer le personnel.

« Bon tu verras l’équipe est très petite. Une standardiste qui fait aussi un peu de secrétariat mais elle n’est pas là souvent, elle travaille à cinquante pour cent et sinon il y’a Camille. Camille est un peu ton homologue. Elle a commencé aussi comme toi en stage, son père est un petit vignoble du haut bordelais, sa formation et sa connaissance du monde fermé qu’est le celui du vin, nous permets de nous positionner sur des marchés à forte valeur ajoutée. »

Ils arrivèrent devant la devanture de la petite agence locale. Elle avait certes un pignon sur rue mais la surface ne semblait pas importante. Marc toqua à la porte d’entrée. Comme l’agence de Vannes, celle-ci était fermée aussi le mercredi pour des raisons administratives.

Le store vénitien bougea derrière la porte et un bruit de clé retenti dans la serrure. La porte s’entreouvrit légèrement.

« Marc ! Oh quelle surprise ! » La porte s’ouvrit et une magnifique jeune fille blonde très élancée apparut. Camille était une jeune femme de trente ans à peine, ses cheveux longs blonds et attachés en queue de cheval. Elle portait une petite paire de lunettes qui lui donnait un air sérieux. Elles avaient des yeux bleus qui auraient pu faire fondre n’importe quel homme. Elle était habillée d’une petite robe cachemire cintrée sur ses hanches fines. Manue était abasourdie par la beauté naturelle de cette fille, c’était bien la première fois pour elle qu’elle trouvait une fille aussi belle et raffinée. Elle incarnait à la fois la classe, le sérieux.
« Bonjour Camille, oui on vient un petit peu à l’improviste. Un rendez-vous de dernière minute sur Bordeaux. »
« Vous auriez dû appeler la veille, je ne vous accueille pas comme il se doit. »
« Ce n’est pas grave. Permets-moi de te présenter Emmanuelle, ma stagiaire de Vannes. Cela fait maintenant deux mois qu’elle a intégré avec moi l’agence. »
« Enchantée de faire ta connaissance Emmanuelle, moi c’est Camille. Je suis ici depuis un peu plus longtemps que toi, cela doit faire cinq ans. J’ai intégré l’agence juste après mon master pro. Je vous en prie entré. Je vais faire un café. » Il y avait chez cette fille comme un coté très avenant. Elle inspirait la gentillesse et la douceur mais selon Marc en affaire s’était une vraie tueuse. Elle avait une capacité de négociation impressionnante, vous me direz on sait où elle a été formée.

L’agence était un peu agencée comme celle de Vannes, un hall d’accueil donnait sur un bureau dans le fond. A la différence, qu’un petit comptoir laissait penser que l’autre salariée recevait le public ici. A côté du bureau qui devait être celui de Camille, une salle d’archives qui faisait office de salle de pause aussi. Les trois personnes entrèrent dedans.

« Aline n’est pas là ? »
« Non nous sommes mercredi aujourd’hui et comme l’agence est fermée, elle ne travaille pas. Je vous l’avais déjà dit, elle ne travaille que le lundi, mardi et jeudi matin »
« Ah oui c’est vrai. Bon quoi de neuf ? » Les deux collègues discutèrent un long moment entre eux des affaires courantes.

« Bon écoute, on doit te laisser on voit Manoux ce matin pour un dossier un peu particulier. Il voudrait assurer de l’immobilier pour le compte d’un vignoble mais en passant par une SCI pour ne pas l’avoir dans le capital de la SARL. »
« Ohh vaste sujet ! »
« C’est Manue qui a géré le dossier et je dis dire qu’il est monté. Ecoute on a qu’à déjeuner tous les ensembles. On passe te prendre à l’agence ? 12h30 – 13h00. »
« Parfait je serai prête. A tout à l’heure alors. Bon courage Manue »

Manue sentait son cœur battre intensément dans sa poitrine, elle venait de prendre conscience qu’on s’approchait du but. Et qu’il fallait qu’elle assure.

Ils avaient rendez-vous dans le château d’un domaine bordelais en plein milieu des vignes. L’homme qui les a reçus était un très gros négociant en vin qui travaillait pour le compte de grossistes de toute la France et même de l’étranger. L’homme était un grand personnage bien bâti d’une petite cinquantaine d’années. Il était habillé d’un costard noir qui lui donnait un côté un peu italien. Mais seulement une apparence en fait c’était lui aussi un enfant du pays qui a grandi au milieu des vignes. Ils les invitèrent à passer dans une salle où ils seraient plus à l’aise pour discuter business.

Marc et Manue s’installèrent côte à côte au tour de la grande table ronde devant lequel se dressait leur client. Manue retira sa veste pour être plus à l’aise malgré la faible température de la pièce dont les larges murs en pierres de la propriété avait su garder la fraicheur.

L’homme la dévisagea de la tête au pied et de par la force de son regard, mettait mal à l’aise la jeune fille. Qui par cette petite différence de température sentait ses petits tétons se dresser sous son tissu. Son potentiel client en avait aussi conscience et avait du mal à tenir son regard bien droit. Elle joua de cet avantage et entrepris son discours commercial.

L’entrevue dura de longues heures, les cafés s’enchainèrent et les discussions allaient de bon train. L’homme d’affaires essayait de négocier mais Manue savait rester ferme sur son prix tout en mettant l’accent sur la qualité du suivi de dossier. Le négociant semblait convaincu par le discours de la jeune fille qui ne se laissait pas démonter face à ses arguments. C’est donc avec confiance qu’il accepta de signer le contrat.

« Et bien Monsieur, vous pouvez être fier de votre stagiaire. Cette demoiselle, malgré son âge, a su montrer qu’elle avait du caractère. Et permettez-moi un autre compliment tout à fait en dehors du contexte, vous avez un sacré bon gout en terme d’assistantes. J’ai eu à plusieurs reprises l’occasion de côtoyer Camille mais je vois qu’en Bretagne vous avez aussi de très jolies jeunes filles. »

Marc remercia son nouveau client et le salua. Manue était toute excitée d’avoir su porter son dossier jusqu’au bout et de l’avoir concrétisé.

Une fois dans la voiture Marc ne manqua pas de féliciter sa jeune assistante.
« Tu as fait un travail remarquable. Je suis très fier de toi, j’ai toujours eu confiance en tes capacités mais là encore une fois tu as su briller au bon moment. Allez pour fêter ça, je vous amène toi et Camille déjeuner dans un chouette petit resto dont vous me direz des nouvelles.»

Il ne fallut pas plus de quinze minutes à nos deux protagonistes pour arriver devant l’agence de Bordeaux toujours close. Marc frappa à la porte.
« C’est ouvert ! » cria Camille derrière la porte. Marc l’ouvrit et tous les deux entrèrent dans le hall d’accueil. La lumière du bureau de Camille était allumée qui montrait sa présence dans les locaux.
« J’arrive, j’éteins l’ordi et je suis à vous. »

Le son windows que tout le monde connait retentit dans son bureau et la petite lumière s’éteint. C’est à ce moment-là que Camille fît irruption dans le hall, elle était totalement nue. Ses longs cheveux blonds étaient détachés et tombaient sensuellement sur ses épaules. Son corps avait une harmonie parfaite, ses courbes étaient parfaitement dessinées et son grain de peau bronzé accentuait la beauté naturelle de celui-ci. Sa poitrine était l’excellence et le fantasme de beaucoup de femmes. Ni trop grosse, ni trop petite, un mamelon parfaitement proportionné par rapport au reste du sein. Un mamelon qui était parfaitement dressé comme l’aimait leur chef. Son sexe était parfaitement épilé et semblait être d’une douceur inégalable. Elle avait gardé pour seul habit sa petite paire de lunettes qui lui donnait toujours ce petit air fille sérieuse.

« Je n’avais pas voulu déroger à la règle, mais je ne sais pas si Emmanuelle était au courant ? »
« Tu as très bien fait. Si, bien entendu qu’elle est au courant, elle est élevée à la même enseigne. »

Non seulement cet homme s’était créé un petit empire dans le monde des assurances mais en plus il s’était constitué un harem de petites soubrettes, toutes plus jolies les unes que les autres. Manue n’aurait jamais cru qu’une femme comme Camille puisse aussi venir manger dans la main de son chef. Elle dégageait tellement d’assurance, de classe … Toujours est-il elle était là devant elle totalement nue à la convenance du responsable de l’agence.

« Vous savez, même quand je sais que vous ne venez pas il m’arrive encore, très régulièrement, de travailler ainsi. »
« Oui mais pas avec une bite dans la bouche. Allez viens ici ! »
Ca y est le ton était donné. Il ne lui fallut même pas une fraction de seconde pour déboutonner son pantalon et sortir son sexe mou de son boxer. Camille s’approcha de lui docilement et s’agenouilla devant. Sa main venait prendre le sexe, elle s’essaya à quelques mouvements mais voyant l’état léthargique du membre elle préféra le saisir sans plus attendre en bouche. Elle l’aspirait fortement pour bien s’assurer que son petit sexe restait en bouche. Quand l’organe prit enfin du volume et pouvait tenir droit, elle le ressortait de sa bouche pour saliver abondamment dessus. Ce tissu de salive ne faisait qu’accroitre le contact doux et humide entre le sexe et sa bouche ce qui décuplait chez l’homme son plaisir. Sa verge se gorgeait donc de sang et devint en l’espace de quelques minutes dur comme de la pierre. Manue était contemplative de l’expérience de cette femme.

« Ben quoi ! Reste pas plantée là. Qu’est-ce que t’attends pour te foutre à poil. Montre à Camille comment t’es golée. »

Manue se plia une nouvelle fois au bon vouloir de son patron. C’est donc seule de son côté qu’elle abandonna sa tenue de femme d’affaires. Elle déboutonna son petit chemisier qu’elle laissa tomber sur le sol. Sa petite jupe cintrée suivie la même direction. Pendant qu’elle se livrait à son effeuillage, Camille s’activait sur le sexe de son patron. Il la saisissait fermement par les cheveux pour lui imposer une cadence. La jeune cadre trentenaire s’engageait dans des gorges profondes qui semblaient combler son boss. Après s’être enfoncé le sexe au plus profond de sa bouche, elle ressortait le sexe et crachait dessus pour le reprendre aussitôt entre ses lèvres. Cette fille paraissait très expérimentée en fellation. Sa main exerçait une forte pression sur l’organe comme si elle voulait retenir la jouissance.

Quand Marc prit à nouveau conscience de la présence de Manue dans la pièce, il fît arrêter la jolie blonde dans son élan.

« Attends, arrête un instant faut que je montre quelque chose. Approche toi, reste pas dans ton coin. Va te foutre sur la chaise de l’accueil. »

Manue alla saisir la chaise à roulette et la fit rouler jusqu’au milieu du hall et s’assit.

« Allez, écarte tes jambes et montre à ta nouvelle amie mon petit cadeau. » obéissante elle écarta ses cuisses, pour dévoiler le petit fil rose qui sortait de son sexe.

« Mais qu’est-ce que c’est ? Une boule de Geisha ? »
« Mieux que ça ! Tiens essaye si tu veux. » Marc tendit à Camille la petite télécommande.
« Oh vous en avez fait une salope télécommandée ? » Camilla saisit le petit boitier et, sans en connaitre les connaissances et les réglages, poussa le bouton à son maximum, ce qui provoqua chez la jeune soumise une décharge insoutenable. Ne s’attendant pas à une telle intensité, elle en tomba de la chaise et se retrouva aux pieds des deux individus en train de se mouvoir.
« Mais c’est génial ce jouet ! »
Pendant que les deux assureurs faisaient des éloges à ce petit sextoy, Manue se contorsionnait sous les vibrations et gémissait à pleine gorge.

Camille eu tout de même un petit élan de solidarité et ré appuya sur le bouton pour soulager la jeune fille.

« Ah tu as toujours été trop sentimentale. Fallait la laisser se ruer par terre. »

Marc embrassa sa salariée et caressait en même temps sa magnifique poitrine. Il était beaucoup plus doux avec elle qu’il le pouvait être avec Audrey, Emilie ou Manue.
Ils étaient tranquillement en train de se lover pendant que Manue se remettait de ses émotions et suivait avec intérêt les ébats amoureux du couple.

Marc souleva Camille par les hanches et vint délicatement la poser sur le bureau de l’entrée, Il s’accorda un petit instant pour retirer à son tour ses vêtements pour se sentir plus à l’aise dans ses mouvements. Une fois totalement nu, il s’agenouilla pour se mettre au niveau du sexe de la jeune femme, il écarta de manière très sensuelle ses jambes et vint glisser son visage pour venir à son tour lui délivrer une caresse buccale. Avec sa langue, il venait caresser le petit bouton et venait de temps en temps se glisser entre ses petites lèvres inférieures. Il était doux et prenait le temps de bien faire les choses. Camille se tenait sur ses coudes et d’une main elle caressait la tête de son ainé pour l’encourager dans sa tâche. Son visage ne trahissait pas le plaisir qu’elle était en train de prendre. Avec son autre main, elle venait caresser son sein gauche. L’ambiance était érotique et sensuelle. Manue jalousait sa collègue de travail d’être ainsi cajolée par Marc.

« On n’invite pas votre petit stagiaire à se joindre à nous ? »
« Certainement pas, laisse-la dans son coin »

Marc se redressa, se logea entre les jambes de sa compagne et la pénétra avec la plus grande délicatesse. Son mouvement de reins était ample, il s’appliquait pour bien faire. Il ressortait à l’occasion son sexe pour recommencer son intrusion douce et poussait lentement pour la pénétrer jusqu’à la garde. Camille était conquise et gémissait des petits cris de plaisir. Pendant qu’il faisait jouer son bassin, il se penchait pour prendre en bouche un téton.
Sa langue enroulait le petit mamelon rose, il le titillait.

Etait venu le temps de changer de position, Marc se retira de Camille et alla s’assoir sur la chaise. Son sexe tendu il invita la salariée à venir s’y installer. Elle lui tourna le dos et vint coulisser sur son membre. Les deux corps étaient maintenant pleinement en action. Marc agrippait les deux seins et les malaxait tendrement. Manue le surprit même à le voir déposer de tendres baisers sur l’épaule droite de Camille.

Elle sentie en elle un petit sentiment de jalousie, comment son patron pouvait se montrer aussi tendre avec cette jeune femme alors que elle n’était traitée comme la moins que rien. Elle resta là donc dressée devant ce couple en pleine action, attendant qu’on veuille bien s’adresser à elle.

Camille lui accordait de temps à autre des petits regards complices, comme pour la rassurer de savoir qu’elle devait être déçue de ne pouvoir participer à cette chevauchée.

Chevauchée qui d’ailleurs prit de la cadence, l’homme s’activait un peu et surélevait la jeune femme par le dessous des cuisses pour s’assurer de la voir bien coulisser sur son sexe pour le final. Son bassin se levait de la chaise pour gagner quelques centimètres de plus dans le sexe féminin. Vînt alors l’explosion de plaisir, Marc lâcha un long râle roque qui laissait supposer qu’au même instant une quantité de sperme était en train de s’écouler à l’intérieur de la bordelaise. Son visage montrait à quel point il était à l’apothéose de son plaisir.

Après avoir repris ses esprits, il quitta Camille, qui pris place sur la chaise à son tour pour reprendre ses esprits.

« Et toi reste pas planter là, tu ne vois pas que tu as du nettoyage à faire ! » s’adressait il à Manue en pointa le sexe dégoulinant de Camille.

Encore une fois elle obéit à son chef et alla se loger entre les jambes de Camille. Son sexe sentait encore l’homme. Avec sa langue elle recueillit tout d’abord le liquide qui coulait à l’extérieur, le long des cuisses et des lèvres. Une fois la partie extérieure faite, elle enfouit sa langue à l’intérieur pour venir chercher le jus au plus profond. Elle s’accordait de temps en temps des petits passages sur le clitoris de la jolie blonde encore tout sensible des ébats. Camille lui caressait l’arrière de la tête et n’hésitait pas à y apposer une petite pression pour bien faire comprendre à la jeune étudiante que sa caresse buccale était des plus agréables.

Une fois s’être assurée d’avoir tout bien nettoyé, Manue se releva.

« Wouahhh, la petite sait y faire avec les filles ! » la félicita Camille. « Elle m’a fait avoir un deuxième orgasme. Faut que vous passiez me voir plus souvent ! »

« Bon rhabillez-vous la récréation est terminée. Je vous amène déjeuner. »

Une à une, chacune de leur côté, les filles se rhabillèrent pour aller déjeuner dans un grand restaurant de la ville.
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • 5
  • 6
  • 10

Notre boutique candauliste 100% sécurisée