La belle chatte !
« Amènes là moi samedi à 18h00 chez moi. Marc »
Tout a commencé par ce texto envoyé à Mathias. Il pensait que Marc allait revenir sur sa parole ou aurait tout simplement oublié leur soirée très arrosées de poker, mais hélas non. Ce message sur son portable le rappelait à l’ordre.
Il ne pouvait plus faire marche arrière et devait convaincre Audrey de s’y rendre. Comment avait-il pu jouer sa copine à un jeu de hasard ? Cela la réduisait à une simple marchandise, il la considérait comme une valeur marchande. Il s’en voulait tellement.
Audrey n’arrivait pas à y croire dans quelle situation Mathias l’avait mise. Elle se sentait trahie par l’homme qu’elle aimait. Jamais elle n’aurait pensé ça de lui. Elle savait de quoi était capable cet homme, elle pouvait craindre le pire avec lui. Mais par amour pour son homme et après une très longue discussion elle décida tout de même, à contre cœur, de donner suite au rendez-vous en faisant jurer Mathias que plus jamais il ne jouera à des jeux aussi débiles. Et elle était claire, si Marc devenait trop envahissant elle arrêtera tout, tout de suite.
Mathias la déposa devant le portail de la propriété de Marc.
« Tu m’appelles pour que je revienne te chercher. Merci encore ma chérie, je t’aime. » Un dernier baiser à sa jeune et jolie petite copine avant de la laisser dans les griffes de cet assureur.
Audrey n’en voulait pas tant que çà à Mathias, elle savait à quel point cet homme était manipulateur et au combien il mettrait tout en œuvre pour avoir ce dont il souhaite. Il ne fallait pas le sous-estimer.
Elle arriva sur le pas de porte et adressa un dernier regard vers son homme, qui s’éloignait en voiture. Elle était maintenant seule devant cette grande maison sans vraiment savoir ce qui l’attendait à l’intérieur.
Après une bonne inspiration, elle frappa timidement à la porte, son cœur battait fort dans sa poitrine. C’était bien la première fois pour elle où elle se sentait stressée autant.
C’était Jean Pierre qui lui ouvrit la porte.
« Bonjour Audrey, vas-y rentre. Marc t’attendait »
Audrey rentra dans le hall de la maison et Marc arriva à leur rencontre.
« Ah quel bonheur de te voir Audrey ! Alors comme ça on vient régler les dettes de jeu de son petit ami, je dois dire que je suis très fier de toi. Je te dois un certain courage tu sais. »
« Attends, rien nous lie entre nous. Si je veux partir je peux partir. Ceux sont vos affaires entre vous, je n’ai rien à voir là-dedans ! Tu ne peux me forcer à rien et … »
« Tutututu ma jolie ! Je peux te garantir que tu es liée à moi pour cette soirée et je compte bien en profiter, et Jean Pierre aussi »
Jean Pierre s’était légèrement mis en retrait de la scène, il semblait moins adhérer à cette situation que son collègue. Marc invita la jeune à le suivre dans son bureau.
« Tu vois la dernière fois ici avec ton petit copain on a mis les choses au clair. Regarde je n’invente rien. » Il lui tendit un document où était apposé la signature de Mathias en bas à droite.
« Tu vois ce contrat ? Et bien il stipule que Mathias me doit une dette de jeu à savoir la libre jouissance de sa copine le temps d’une soirée. J’ai même mis des petites closes qui me garantissent que tu iras jusqu’au bout regarde. »
Le document stipulait clairement qu’en cas de non tenue du contrat Audrey se verrait perdre son emploi et Manue aussi. Il faut le rappeler qu’Audrey avait trouvé son poste de commercial grâce au piston de Jean Pierre.
« Regardes, tu vois sur mon ordinateur le mail est prêt »
Audrey pouvait lire sur l’écran un mail adressé directement à son patron faisant acte de faits qu’elle n’était pas du tout à l’origine. Mais connaissant le caractère impulsif de son chef elle s’avait qu’il ne mettrait pas en doute la parole de son ami Jean Pierre et que devant ces fausses accusations, elle serait licenciée sur le champ.
Elle sentait ses jambes se dérober sous elle.
« Et en plus de çà, un courrier recommandé est en attente et prêt à être expédié à Manue pour qu’elle aussi soit licenciée. Alors voilà, tournons pas autour du pot, ce soir tu seras ma chatte et si tu te sentais pas capable penses aussi à ta copine qui par ta faute perdrait son poste. Ton petit ami s’est engagé à te soumettre à mes moindres désirs. »
Elle était maintenant poings liés à ces deux hommes, elle ne pouvait plus faire demi-tour au risque de perdre son emploi et d’infliger le même sort à son amie. Elle se résigna donc.
« Bon, je vois que tu commences à comprendre. Vas te préparer » Il désignait la direction de la salle de bain. Tête baissée Audrey s’y dirigea.
Sur la petite paillasse prêt du lavabo un sac y était posé, il contenait quelques vêtements et du maquillage. Elle comprit que cela lui était destiné. Elle se déshabilla donc pour endosser sa tenue de soumise. Bas résilles, talons haut et petit collier ras du cou avec un petit pendentif. On aurait dit le genre de collier que l’on met à un animal pour y inscrire son nom.
Le maquillage qui était aussi dans le paquet était très prononcé, le rouge à lèvre était d’un vif comme le mascara qui était des plus noirs.
Elle se regarda une dernière fois dans le miroir avant d’aller retrouver les deux hommes dans le salon. Elle se sentait vraiment comme une pute maquillée de cette manière et contrainte d’être ici contre son gré.
Perchée sur ses talons elle arriva dans le salon où les hommes l’attendaient. Ils étaient tranquillement assis dans le canapé un verre de whisky à la main et appréciait le spectacle que leur offrait la jeune brune.
« Putain je m’y ferai jamais à tes loches ! Ils sont énormes ! J’imagine le jour où tu seras en cloque toi ! Ce sera encore plus un régal pour te baiser. Ça te va bien ce petit collier de chatte. Hein, tu l’as compris ça, tu seras notre chatte à Jean Pierre et moi ce soir. On va te faire ronronner nous ! »
Jean Pierre dévisageait la jeune fille dressée devant lui avec une part de culpabilité mais aussi d’excitation. Même si depuis le premier jour il avait d’yeux que pour Manue, être insensible aux formes d’Audrey relevait de la science-fiction.
« Tu n’as pas compris ce que je t’ai dit ? »
« Si si »
« Tu es notre chatte, alors comporte toi comme tel. Mets-toi à quatre pattes et vient te frotter à nous »
Honteusement, elle s’agenouilla au milieu du salon et posa ses mains au sol. A quatre pattes à la manière d’un chat elle se faufila entre la table du salon et le canapé pour venir se frotter contre les jambes des deux hommes. Le flan de ses cotes venait toucher le tissu des pantalons, elle gardait la tête baissée et n’osait lever le regard vers ses dominateurs. Marc se pencha vers elle et sans aucune délicatesse lui enfonça son majeur dans l’anus. Elle ne s’attendait pas à cela et marqua un arrêt.
« Tout çà est bien serré ! Mais ne t’inquiète pas on va y travailler. » Marc retira son doigt et se releva.
« Tu as peut être soif ? Attends je vais te servir à boire » Il alla dans la cuisine pour chercher de quoi se désaltérer. Mais à la grande surprise de la jeune technico commerciale, il arriva avec une écuelle.
« Ben quoi ?! Les chats ça boit du lait non ? Allez tiens je veux te voir laper ton lait. Et tu en auras d’autres à laper au cours de la soirée je peux te le garantir. » Riait-il.
La jeune fille se vit contrainte de devoir se soumettre aux volontés de cet homme, elle dû s’incliner un peu plus pour arriver au niveau de sa gamelle. Elle sorti sa langue et bu comme elle pue. Sa position ne faisait qu’accentuer sa cambrure et ouvrait toujours un peu plus ses cuisses. Jean Pierre se leva à son tour du canapé et baissa son pantalon, son sexe était déjà tendu à son maximum. Marc était déjà au niveau de la brune, il posa sa main sur sa tête pour s’assurer qu’elle la garde bien dans la gamelle. Il approcha sa bouche de sa petite intimité et cracha dessus.
« Ça devrait lui suffire, mais vas-y mollo quand même JP. »
Jean Pierre s’accroupie au-dessus du fessier de la jeune fille et le sexe en main l’aligna dans l’axe de la petite rondelle rose. Son gland vint se poser dessus. Il essaya d’étaler au mieux la salive pour être sûr qu’elle soit le mieux lubrifier que possible même s’il savait pertinemment que cela ne serait pas suffisant.
Il commença à appuyer tandis que le visage d’Audrey s’enfonçait toujours un peu plus dans le lait. Elle était tétanisée par ce qui lui était en train d’arriver. Elle sentait au combien l’homme forçait derrière elle, mais cela lui semblait impossible pour elle d’être plus détendu. Elle savait qu’être sodomisée de la sorte sans préparation allait pour elle être un calvaire. Elle sentait son orifice se dilater malgré lui sous la pression du sexe hors norme. Malgré toute la lenteur de la progression de Jean Pierre, les moindres millimètres d’avancée décuplaient chez la jeune fille une douleur grandissante.
Elle ne pouvait crier tant sa bouche était noyée par le lait. Elle n’arrivait qu’à prendre que quelques petites inspirations par le nez quand la douleur se faisait moindre.
Marc recracha à nouveau pour rajouter un peu de lubrifiant naturel à la pratique. Il encouragea son ami à y aller un peu plus vite, qu’ils n’avaient pas que çà à faire non plus.
« Allez JP, vas-y enchaine. On ne va pas rester sur son cul toute la soirée. Ce n’est pas comme si c’était la première fois qu’elle se faisait enculer. Hein ma salope, ce n’est pas la première bite qui y rentre ? Et ce ne sera pas la dernière non plus ! »
Jean Pierre écouta comme à l’habitude son ami et poussa d’un coup sec. Son sexe trouva la place nécessaire et écartela l’anus d’Audrey. Un cri fort retenti dans toute la maison, Elle ressentie une décharge effroyable lors de cette intrusion. Il retenait la jeune fille par les hanches qui essayait tant bien que même à se dégager de ce membre surdimensionné. Mais il était trop fort elle, elle se résigna donc à son sort.
Malgré toute la tendresse qu’essayait de lui apporter Jean Pierre en coulissant entre ses cuisses le plus lentement possible, la douleur était encore bien présente.
« Bon n’y reste pas des heures non plus, le passage est fait maintenant. On sait qu’on pourra y revenir quand on voudra maintenant. »
Jean Pierre s’offrit encore quelques allers retours et se dégagea enfin d’Audrey. Elle se rassit pour reprendre sa respiration et se remettre de ses émotions. Son petit orifice lui faisait mal.
« Excusez-moi ? Je dois aller aux toilettes. »
A la différence de Manue, Audrey s’était toujours sentie à l’aise en présence de Marc et Jean Pierre et les avait tout de suite tutoyés, mais là instinctivement elle avait pris soin de vouvoyer Marc. Comme pour mettre une distance entre eux. Ce qui semblait ne pas déplaire à notre assureur, qui prenait cette politesse comme un début de soumission.
« Pour faire quoi ? »
« Je dois faire pipi. »
« Mais bien sur nous ne sommes pas des sauvages. »
Audrey se redressa en se dirigeant vers la petite pièce.
« Où vas-tu ? »
« Mais vous venez de me dire oui »
« Et tu crois qu’une chatte comme toi se déplace dressée sur ses pattes arrières. Mets-toi au sol et tout de suite. Et puis tu ne crois tout de même pas que les chattes ont accès aux toilettes. Si tu veux pisser tu vas dehors. » Il lui ouvrit la baie vitrée et alluma dehors. Reste bien devant je veux te voir.
L’envie était trop pressante pour la jeune brune et à quatre pattes elle alla sur une des terrasses de la propriété immense de l’hôte. Au bord de cette terrasse les pieds dans l’herbe, elle s’accroupie et urina devant le regard ébahie des deux hommes. Elle n’osait lever la tête de peur de croiser leurs regards tellement la honte l’enivrait.
Le petit air frais qui venait caresser son corps nu lui faisait un bien fou, elle resta un instant accroupie à apprécier de ce petit moment calme. Quand soudain elle fut rappelée à la réalité par une douche froide. Elle ouvrit les yeux et vit Marc devant elle l’écuelle à la main. Il venait de la lui vider sur le visage. Le lait goutait de son menton pour venir s’écraser sur sa poitrine.
Déjà que sa position était pour le moins très humiliante, mais se voir ainsi jeter à la figure son écuelle le demeurait encore plus. Marc la saisit par le sein droit qu’il tenait fermement dans sa main.
« Vient par ici ma petite chatte. » Il la fit se pencher sur la table de la terrasse et lui écarta ses cuisses. Par derrière, il vint coller son visage entre ses fesses et avec sa langue venait lécher ses petites lèvres.
« Mmmh quel agréable gout de pisse que tu es en train de m’offrir. » n’ayant rien pour s’essuyer et ayant été prise au dépourvu, la jeune fille n’avait pu égoutter les dernières petites gouttes qui perlaient sur son sexe.
Vint ensuite le tour de Jean Pierre d’y venir gouter. Pendant qu’il était occupé à balader sa langue dans le sexe de la brune, Marc se dévêtit.
« Tiens JP, laisse-moi la place. » Il eut à peine le temps de se décaler que Marc était déjà en train d’investir le petit cul d’Audrey.
« La vache mon salop, tu l’as bien ouverte. J’y rentre comme çà. » Volontairement il écrasait le corps de la jeune fille sur la table pour bien rendre la scène encore plus humiliante.
Il appuyait fortement sur son visage pour écraser sa joue sur le bois froid de la table.
Il ne ménageait pas du tout ses coups de reins, il ne préoccupait pas non plus du plaisir ou non de la jeune fille.
Il se retira d’elle et par les cheveux la traina par terre devant lui. Mise à genoux devant elle n’avait d’autre choix que de le prendre en bouche. Il s’enfonçait très profondément au fond de sa gorge malgré les sursauts et les renvois que cela lui provoquaient, il n’était pas décidé à baisser son action. Des larmes lui coulaient le long de son visage de jeune fille et le mascara qui habillait ses jolis yeux colorait maintenant ses joues. Son rouge à lèvres débordait de partout. A nouveau il l’agrippa par les cheveux pour basculer sa tête en arrière.
« Regarde-moi ta gueule de pute. Voilà ce que c’est de se tartiner la gueule avec du maquillage. » Avec son sexe il la frappa au visage. Bien après, j’aurai su avec Mathias que cette pratique à un nom : la biffle.
Marc laissa la place à son ami, qui lui aussi se laissa tenter par cette pratique pour le moins surprenante. Audrey n’arrivait pas à garder les yeux ouverts devant les coups forts de la matraque. Entre deux trois coups de biffle elle devait aussi le prendre en bouffe. Déjà que le sexe de Marc lui était difficile à prendre, n’en parlons pas de celui de Jean Pierre.
Sentant l’air se rafraichir, ils décidèrent de rentrer dans la maison. Audrey les suivaient à quatre pattes. Ils se dirigèrent vers la table haute du salon. Jean Pierre prit Audrey dans ses bras et l’allongea délicatement sur la table.
Sans un mot, il lui écarta les jambes et la resodomisa.
« T’attends pas à te prendre ailleurs ce soir. C’est ton petit cul étroit qui nous intéresse. Des trois, je crois que c’est toi la meilleure à enculer. Regarde tu n’as pas même crié quand Jean Pierre t’as prise là. » Jean Pierre ne la ménageait pas. Son rythme était soutenu, tout le corps de la jeune était balloté par les secousses de l’homme. Elle sentait les testicules taper sur son fessier, preuve qu’il se logeait bien tout au fond elle. Pendant ce temps Marc malaxait ses seins avec fermeté.
Les deux hommes se relayèrent un long moment dans son cul, elle se surprit même à jouir plusieurs fois. Leurs corps étaient en sueur et semblaient ne vouloir jamais s’arrêter.
Ils la firent se mettre à même le sol, directement sur le carrelage. A quatre pattes comme à son habitude, elle se cambrait le plus possible pour s’ouvrir au mieux à l’intrusion de ces hommes. Et à nouveau chacun à leur tour ils se positionnèrent au-dessus d’elle, accroupis, la sodomisant toujours un peu plus profond.
De temps à autre elle était tirée par les cheveux, fessée sur les cuisses, on venait même lui cracher dans l’orifice pour s’assurer de toujours bien coulisser. Cela dura encore et encore, c’était bien la première fois qu’elle les voyait aussi endurants. Son corps ne ressentait quasiment plus rien, il s’y était habitué. Elle se surprenait même à mouiller et sentir en elle du désir d’être prise ainsi.
« Ecoute-moi çà Jean Pierre, mais c’est qu’elle commence à couiner notre petite chatte. On dirait que tu aimes ça te faire enculer comme une mal propre. » Tout en lui parlant il lui tirait sur les cheveux pour bien lui faire redresser sa tête pendant qu’il lui investissait furieusement son anus.
« Putain je vais jouir !!! »
« Oh lui allez y s’il vous plait » lui implora-t-elle.
Il la tira à nouveau par les cheveux pour la faire se redresser devant lui, il pointa son sexe au-dessus de sa poitrine collante de lait. A peine la survolait elle qu’il déversa une quantité impressionnante de sperme régulé par de nombreux jets puissants. Il tapotait son gland sur le dessus de la poitrine, et vint finir son éjaculation en si glissant entre. Vint ensuite le tour de Jean Pierre qui à la différence de son ami privilégia la bouche de la jeune fille, il s’y engouffra rapidement, à peine avait-il enfoncé son sexe qu’il commença à s’y déverser de manière abondante. Audrey toussait sous les assauts de sperme qui venaient frapper le fond de sa gorge. La quantité était trop importante pour que sa bouche puisse contenir tout le sperme, elle laissait donc sa bouche entre ouverte pour laisser s’échapper le sperme, qui venait rejoindre celui de son ami en passant par le menton. Une fois s’être bien vidé, il sorti son sexe et à la manière d’un peintre vint étaler le plus uniforme qui soit son précieux liquide sur le visage de la jeune brune.
A peine en avait-il terminé avec elle que Marc revint sur le devant de la scène mais cette fois ci avec un vieil imper beige à la main.
« Tiens habilles toi, ton taxi t’attend ! »
Juste vêtue de cet affreux imper, la jeune fille se fît mettre à la porte. Elle était totalement nue et son corps sentait l’homme. Le visage encore enduit de cette matière, elle monta dans le taxi. Même après tout ce qu’elle venait de vivre elle arrivait encore à se sentir humiliée. Mais au fond elle, elle sentait bien que cela l’excitait et çà lui faisait peur.
Pendant tout le trajet qui la reconduisait chez Mathias, elle avait un sentiment de honte face aux regards incessants du chauffeur de taxi dans son rétroviseur. Elle avait encore le gout en bouche de Jean Pierre et son odeur corporelle lui était insoutenable. Elle avait hâte d’arriver pour prendre une douche.