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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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#2525668
Cher @Dionysos06, ce topic est un magnifique recueil.
Dionysos06 a écrit :Éveil,
Le soleil ne brille plus aussi fort qu’avant ...

Tes poèmes en disent plus que nos photos sur ce qui nous anime et nous fait bruler. Merci à toi d'illustrer nos fantasmes avec tant de justesse. Quel talent !
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#2525721
@Saxojaune a raconté que, lors de leur séjour dans le Val de Loire avec Abel, il avait eu une bouffée d'envie pour le sexe dressé du complice de Clara. Cette confession m'a trotté dans la tête et inspiré ce poème que je lui dédie affectueusement.

Partage surprise,

Bien qu'il prétendît être épanoui,
Un mari, bien fait de sa personne,
Le verbe haut, la mine réjouie,
Sentait sa vie virer monotone.

Son union, quoique si singulière,
Ne lui procurait plus de piment.
Pourtant, par l'avant et par l'arrière,
Sa femme accumulait les amants.

La pauvre se donnait tant de mal
À complaire aux souhaits de son mari,
Que baisant dans le lit conjugal,
Elle croyait son homme ravi.

Elle ignorait que son candauliste
D'époux avait mûri dans sa tête
Le désir de goûter aux balistes
Qui à sa moitié faisaient la fête.

Le Pater Familias était bi,
Et nul n'en avait jamais rien su.
Il lui fallait, Urbi et Orbi,
Mettre en œuvre ce nouveau plan cul.

Ne pouvant plus taire son secret,
Il vint se joindre à la chevauchée
Des deux amants, dans le lieu sacré
Où leur copulation s'échauffait.

À leur insu, il se dévêtit,
Et se rua sur l'engin dressé
Du mâle interdit qui ne comprit
La situation qu'en étant sucé.

Le talent du mari était tel,
Que l'amant, bénissant cette bouche,
En grognant, expulsa tout son gel ;
Puis, foudroyé, il chut sur la couche.

Revigoré, il dit à la femme :
"Ton mari m'a sucé comme un chef.
C'est donc vous deux, que, tout feu, tout flamme,
À présent, je baise derechef."

Ainsi fait, la fière cocufieuse
Sut, à ses dépens, que le mariage
Est un compromis. Déçue, furieuse,
Elle dut se résoudre au partage.
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#2525924
Schat a rencontré son complice régulier, Vince91, et nous a montré des photos bien chaudes qiu méritaient ce poème.
À noter, que j'ai corrigé le texte car il manquait un vers.

Vincent, joyeux drille, s'en allait travailler (Schat)
Le cœur léger. Hélas, n'ayant pu ripailler
À l'envie, ses corps caverneux hurlaient famine.
Fort honnête, il ne commettrait pas de rapines
Pour palier ce manque qui le rendait marri.
Sur son chemin, demeurait @Schat, dont le mari
Était parti au labeur. La belle esseulée,
Pour le petit-déjeuner déjà s’afilait,
S'avérant fort gourmande et pleine de malice.
La crème fraîche et les bâtonnets de réglisse
S'épelaient : "mes amuse-bouche préférés".
Or, elle en manquait. Où donc trouver ces denrées ?
Le Destin se fit facétieux et résolut
La question. Il susurra à Vincent qu'il eût
Tout intérêt à entrer dans la maisonnée.
Il s'exécuta et vit @Schat qui raisonnait
Pour venir à bout de son manque si cruel.
"Gente dame", fit le visiteur, "c'est le Ciel
Qui m'envoie et me charge de votre pitance".
Derechef, il se met nu ; la belle est en transe.
Pour remercier le Très Haut de cette faveur,
Vers les corps caverneux, de toute son ardeur,
Elle se rue. Le mâle visiteur s'avère
Un exceptionnel distributeur. Il libère
De ses braies, non un bâtonnet, mais un gourdin
Gorgé de sève fraîche. En un tournemain,
@Schat, affamée et coquine, est remplie, repue.
Pour votre bien, démarrez le jour par du cul.
#2526777
@VincentMasseur33 a raconté une anecdote très érotique qui se passa lors d'un dîner au cours duquel sa voisine de table égara sa main sur sa cuisse. Ce récit m'a inspiré ce poème.

Le dîner.

J’avais beaucoup hésité pour cette soirée.
Y aller ou pas ? Je n’étais guère inspiré.
Finalement, j’acceptai cette invitation.
J’eus le nez bien creux avec cette inspiration.
Beau lieu, hôtes charmants, comme les invités.
Dès que furent achevées les civilités,
Nous fûmes installés à nos places assignées.
Il m’échut une voisine au port très soigné,
Mais aussi glaciale que l’air conditionné.
« Longue soirée, » pensai-je, « nul n’a mentionné
Que cette belle quadragénaire, à foison,
Fabrique, à toute heure, un Everest de glaçons. »
Le dîner démarra par des mots convenus.
Tous les propos grivois s’avérant malvenus,
J’échangeai avec ma voisine sur les mets,
Ou bien le temps maussade. J’avais beau mimer
Le plus grand intérêt, mon ennui grandissait.
Mais soudain, je sentis une main s’immiscer
Sous la nappe et venir se poser sur ma cuisse.
Ces doigts fins remontaient, pour mon plus beau supplice,
Vers la fourche affamée de ma virilité.
« Avant de consommer, j’ai l’humeur à tâter
La marchandise qui constitue mon dessert.
La Nature t’a gâté, et si tu t’en sers
Avec du talent, tu vas me faire grimper »
Souffla ma voisine qui m’avait agrippé.
Sous ses abords glaciaux, elle s’avérait coquine.
Les glaçons fondaient sous son amour de la pine.
« Rejoins-moi à la cave » me susurra-t-elle.
Elle se leva, tigresse et non plus agnelle.
Quand je la retrouvai, elle était déjà nue.
« Vois à quel point, en moi, tu es le bienvenu ! »
Soupirait-elle, me montrant sa vraie blondeur.
Ma hampe piaffait de montrer sa vraie valeur.
« J’ai très envie de toi, mais de préservatif
Je manque » lui dis-je déçu admiratif.
« Rassure-toi ! J’ai ce qu’il faut » dit le mari
Tout nu. « La voir baisée par d’autres me ravit. » 
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@017.jpg@.jpg
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#2527251
Brigitte, la délicieuse cocufieuse de @fredcandaule, alias la reine du vendredi lol , a raconté ses performances hôtelières avec son amant qui se sont achevées sans préservatif. Ce qui m'a inspiré ce texte, que je place ici, avec les autres.

Cette fois, il ira au bout.
Au tarot, il a tous les bouts.
Vraie nef amirale, sa proue
Vogue vers mes eaux, vent de bout.
Je suis si excitée, je bous,
Je remue sens dessus dessous.
Je tire des bords sur son bout
Luisant comme de l'acajou.
Comme j'aime faire joujou
Avec ce mandrin, cette houe.
À cru, sa tige de sagou
Explose en un coup de grisou
Dément au fond de mon minou.
C'était l'adieu au caoutchouc.
#2527253
Texte pour la ravissante Éden 68

Une seconde peau obscure
De mes envies le miroir.
Un entrelacs de soie pure
De tes désir le manoir.
Une mantille en cambrure
Pour ton épée façon poignard.

Texte dédié au ce si beau couple coquin et amoureux que sont Marine et Patrice.

Marine, tu es une aubépine,
Une odorante églantine
Dont le pistil alabandine
Excite tant mes narines,
Et durcit mes étamines.
Couronnant ta douce poitrine,
Tes tétons sont des mandarines
Pourvoyeurs d'amour, de vitamine.

Miss Cosmicnum est une cocufieuse phare de ce forum et son mari sait la magnifier dans ses ébats par son grand talent photographique.

Devant mon objectif, je bois
À la vision de tes exploits.
En bon candauliste, je vois,
Pour mon plus grand bonheur, les doigts
De ton amant fouiller le bois
De ta féminité. Ma fois,
Il s’y prend bien, comme il se doit.
Puis son pieux dur force l’étroit
Huis de tes lèvres, fier détroit.
Plus sa virilité, en toi,
Se meut, et plus en nous, j’ai foi.
#2527304
Sciences appliquées à la coquine Clara.

I) Entier et naturel,

Enfin ! Je viens de comprendre son intérêt.
Longtemps, je ne lui ai trouvé aucun d’attrait.
Le simple fait de l’évoquer me rebutait ;
Trop direct, désuet, manquant de subtilité.

Pour moi, la vie n’était pas une équation,
Mais plutôt un imperceptible tourbillon
De parfums flottant au jardin de la passion,
Mon corps enveloppé de douces vibrations.

Jusqu’au jour où s’installa un jeune voisin,
Qui s’avéra être un beau mathématicien.
Avec son esprit délicat, pointu et fin,
Il sut à mon grand désintérêt mettre fin.

Il prit le temps nécessaire pour m’expliquer
De l’exercice toutes les riches beautés.
« Combien de plaisirs et de possibilités
Offre un nombre à la fois naturel et entier ! »

« Mais ce qui en fait un objet si passionnant 
C’est que son étude est réservée aux amants
Qui prennent le temps de le faire en se couchant. »
Dit-il, malicieux, tout en me déshabillant.

Ces explications me firent un effet bœuf.
Mon âme cocufieuse sortit de son œuf.
Mon mari survint, disant : « chérie, quoi de neuf ? »
« Tu es cocu, j’adore le soixante-neuf ! »

II) L’équerre,

Une épouse charmante,
À la mine plaisante,
Et d’un rire enjoué
Rêvait chaque jour de jouer
Avec son beau voisin
Qu’on disait musicien.
« Je serai sa corde, frottée
Par son puissant archet. »
Pensait l’épouse en feu
Qui recevait si peu
De viriles caresses,
Peut-être par paresse ?,
De son gentil mari,
Mais peu porté sur le déduit.
Or, leurs emplois du temps,
Pour devenir amants,
Ne coïncidaient guère.
L’épouse fit maintes prières
Qui furent exaucées.
Le concert pouvait commencer.
Dès qu’il arriva, ils jouèrent
Le plus exquis des airs.
Quand le mari survint,
Sur un infatigable engin,
Sa femme gémissait
Et le voisin bissait.
« Mon mari, je veux jouir encor
En me passant de votre accord.
Pour m’envoyer en l’air,
Nous sommes enfin tombés d’équerre. »
#2527305
Hommage aux cornes, ici portées avec classe et bonheur.

Mes trophées,

Dieu que je les adore et les chéris !
Chaque jour je pense à elles et… souris.
De haute lutte je les ai acquises.
Les meilleurs experts, par leur entremise,
M’ont aidé dans la concrétisation
De ce vaste projet de collection.
Mon musée est digne de l’Ermitage.
Son catalogue contient tant de pages
Que moi seul en connaît le juste nombre.
J’aime admirer, dans la douce pénombre,
La gloire immortelle de mes trophées.
De leur beauté, je suis ébouriffé ;
De leur variété, je suis enthousiaste ;
Et les toucher me rend iconoclaste.
De ce lieu, je suis le conservateur ;
Et ma femme le grand ordonnateur.
Car, pour que cette collection grandisse,
Il faut d’abord qu’elle écarte les cuisses.
Si certains sont des adeptes d’Éros,
J’aime à vénérer le dieu Cernunnos.
Vous avez trouvé, j’ai l’âme bigorne
Pour être cocu et porter des cornes.
#2527306
Un hommage à Rimbaud, dont je suis un grand fan, par ce pastiche coquin du début de son plus célèbre poème.

Le bateau ivre,

Comme je descendais sur tes cuisses paisibles,
Je ne me sentis plus tenu dans mon ardeur ;
Ta peau rouge égrillarde me servant de cible,
L’ayant clouée nue au poteau de ma vigueur.

J’étais si désireux de ton joli corsage,
Porteur de seins gourmands dans du coton anglais.
Quand avec mes mains j’ai fini le dégrafage,
Tes rondeurs m’ont laissé descendre où je voulais.

Dans les clapotements de ta féminité,
Moi, les nuits, seul comme un main d’adolescent,
Je plongeai ! Et ta féminité démarrée
N’a pas subi tohu-bohus plus pénétrants.

Ton bouche a béni mes folles envies intimes.
Plus chaud que du charbon, j’ai roulé un palot
Qu’on appelle français, incandescence ultime,
Dix fois, pendant que tu me touchais les grelots.

Plus douce qu’aux pèlerins l’hostie la plus pure,
Ma nef, au fond de ton puits, jeta son grappin.
Et des traces bleutées qui jamais ne rassurent,
Te lava, à coup de piston de mon engin.

Et dès lors, je me suis baigné dans le poème
De ta mer, breuvage infusé et lactescent,
Dévorant tes tétons blonds ; où, plaisir extrême
Et ravi, mon sexe tantôt monte ou descend.
#2527371
Je ne sais pas où tu vas chercher cette inspiration. Il me faudrait une semaine entière pour mettre au point un texte qui tient debout mais toi tu sembles les distribuer comme des petits pains.

Nous en avons parlé hier et je suis sur que tu serais partant pour tenter de retranscrire le plaisir ressenti par le mari dans la frustration de ne pas pouvoir posséder sa femme sexuellement :) un challenge certainement tant tu semblais étranger à ce genre de plaisir :x
#2527692
@Saxojaune m'avait proposé ce défi :
Nous en avons parlé hier et je suis sur que tu serais partant pour tenter de retranscrire le plaisir ressenti par le mari dans la frustration de ne pas pouvoir posséder sa femme sexuellement :) un challenge certainement tant tu semblais étranger à ce genre de plaisir

J'ai relevé le défi (un vrai de vrai) et j'espère avoir su traduire la palette émotionnelle que @Saxojaune ressent.

Se tenir loin de,

« Se tenir loin de », tel est le sens de ce mot
Féminin. Quand je le disais, des jours hiémaux
Glaçaient mon cœur d’une épaisse couche de givre.
Je pensais impossible, que l’on voulût vivre,
En donnant à ce nom la moindre consistance.
Il fallait être fou ou rempli d’inconscience
Pour renoncer, de son plein gré, aux joies du corps.
Je les entendais dire : « mais c’est bien plus fort,
Plus sain, en muselant nos viriles envies ;
Au lieu de s’étioler, nous rayonnons de vie. »
Je ne les croyais pas. Puis le temps a passé,
Et de sombres démons m’ont traqué, pourchassé.
Tant de mes certitudes ont volé en éclat.
Ma nouvelle vie, sur un autre apostolat
S’est bâtie. J’ignorais que je l’avais en moi.
Et pourtant, désormais, pour ma plus grande joie,
Je me tiens souvent loin du puits chaud de ma femme.
Nul manque à cela. Mon âme est en paix. La flamme
De notre couple brille plus fort que jamais.
Je me sens léger, faux-bourdon au mois de mai
Contemplant le nectar de ma reine couler
Pour d’autres butineurs qui la font roucouler.
J’aurais cru que ce serait un déchirement ;
Au contraire, c’est mon épanouissement.
Je suis un sâdhu tout imprégné de lumière,
Nu dans la mer éthérée de l’antimatière.
Mon sexe au repos, plus qu’un organe, est le tref
Aimant où s’amarre l’incandescente nef
De ma femme repue des assauts répétés
De ses amants visitant sa féminité.
Pareils à l’éclipse dansée par trois planètes,
Nous avons besoin de tiers pour être à la fête.
Je vous sens stupéfaits, voire même incrédules.
Je reste un vrai mari, bien que je ne copule
Que rarement. C’est un jeu teinté de plaisir,
Réversible quand je le veux, sans coup férir.
Il réjouit aussi ma chérie. Complicité
Fusionnelle entre nous pour tant de volupté.
Les trois mots que je chéris le plus, à présent,
Sont « cocu », « amant », sans oublier « abstinent ».
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#2527722
Et voilà, je l'avais dit! Superbe!
Je trouve extraordinaire ta faculté à t'imprégner de chacune des personnalités de personnes écrivant sur ce forum. Tu aurais certainement fait un très bon psychiatre! Mais pour notre bonheur, tu nous régalés de tes poèmes "analytiques".
Moi, je ne m'en lasse pas.
Encore une fois, BRAVO! @Dionysos06
#2527727
@Patrice63 merci beaucoup pour ce bel hommage. Je m'inspire de la technique de Georges Simenon ; je m'évertue à être une éponge pour absorber les écrits des membres de ce forum et comprendre ce qu'ils ressentent et vivent. Aurais-je fait un bon psychiatre ? Je ne sais pas. Un bon confesseur ? Peut-être.
#2528359
En l'honneur de Marine et Patrice :

Marine nue dans ce cagibi,
Coquine se prenant en selfie
Pour faire bander son mari.
Mais le poète que je suis,
En extase devant elle l'est aussi.
Marine, ton corps je bénis.

En hommage à Fred et Brigitte :

Cette fois, il ira au bout.
Au tarot, il a tous les bouts.
Vraie nef amirale, sa proue
Vogue vers mes eaux, vent de bout.
Je suis si excitée, je bous,
Je remue sens dessus dessous.
Je tire des bords sur son bout
Luisant comme de l'acajou.
Comme j'aime faire joujou
Avec ce mandrin, cette houe.
À cru, sa tige de sagou
Explose en un coup de grisou
Dément au fond de mon minou.
C'était l'adieu au caoutchouc.
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